[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]

Le colonel Jacques Hogard, officier supérieur, ancien parachutiste de la légion étrangère, commentera l’attitude du chef de l’Etat à l’égard de l’Armée depuis le début du quinquennat… Une relation tendue.
Maurice AUDIN était un traître à sa Patrie, un communiste qui a aidé les ennemis de la France à tuer des soldats français, vos enfants métropolitains, et des civils innocents.
Arrêté, sur ordre du général Massu, par les « paras » du 1er REP, qu’il ait été exécuté, fusillé ou assassiné, il méritait son sort.
Macron veut non seulement humilier l’armée, mais aussi la France et le peuple français. Attendons voir l'année prochaine, avrir 2019. Peut-on prédire que le Président de la République Emmanuel Macron, va aller au Rwanda demander pardon à Paul Kagame, le terroriste et génocidaire rwandais?
Le président de la République, Emmanuel Macron veut, à travers le sort de Maurice Audin, reconnaître la responsabilité de l’État, celle de l’Armée française et d’un système légalement constitué, « la torture ».
Est-ce de l’inconscience naturelle chez lui ou s’agit-il d’une volonté délibérée d’humilier, d’insulter la France, sa Patrie ?
23 ans après le génocide rwandais : des officiers français mis en cause. Réaction exclusive du général Didier Tauzin, can
23 ans après le génocide rwandais : des officiers français mis en cause Réaction exclusive du Général Didier Tauzin, candidat à l'élection présidentielle Avec Armel Joubert des Ouches Mardi 29 novembre dernier, le parquet rwandais a annoncé l'ouverture d'une enquête sur le rôle d'une vingtaine de responsables français dans le génocide qui eut lieu en 1994 dans ce pays.
Massacre de Tingi Tingi (RDC) en 1997: Reed Brody témoigne
C'est un crime de masse qui est passé sous silence depuis 20 ans. Selon MSF, Médecins sans frontières, quelque 190.000 réfugiés hutus rwandais ont été massacrés dans les forêts de l'est du Congo-Kinshasa, notamment dans la clairière de Tingi Tingi. L'avocat américain Reed Brody a fait partie d'une équipe de 20 enquêteurs désignés par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan qui s'est rendue sur place quelques mois plus tard. Aujourd'hui, Reed Brody est membre de la Commission internationale de juristes, basée à Genève. Il témoigne au micro de RFI.
RFI : Reed Brody, il y a vingt ans, le 1er mars 1997, le camp de réfugiés de Tingi-Tingi a été pris d’assaut par les rebelles de Laurent Désiré Kabila et l’armée rwandaise. Qu’est-ce qui s’est passé ce jour-là ?
Reed Brody : D’après nos informations, ce jour-là, des éléments des rebelles de Kabila et l’armée rwandaise sont entrés dans le camp, où il y avait 200 à 150 000 réfugiés hutus rwandais et ils ont tué sans discrimination ceux qui restaient. D’après nos informations, une bonne partie avait déjà quitté le camp, mais plusieurs centaines d’entre eux s’y trouvaient encore, y compris des malades qui ne pouvaient pas fuir. Et selon des témoins, les soldats auraient tué la plupart des victimes à coups de couteau.

C’est très difficile de le savoir. Des estimations varient entre 100 000 et 300 000 et des charniers continuent même aujourd’hui à être découverts.
RFI :Ce que l’on sait quand même, je crois, Reed Brody, c’est qu’en octobre 96, au début de la guerre, le Haut-commissariat aux réfugiés avait dénombré plus d’un million 200 000 réfugiés hutus rwandais dans l’est du Congo et que 900 000 d’entre eux étaient rentrés alors au Rwanda. Il restait quelque 340 000 réfugiés qui s’étaient enfuis sur les routes vers l’ouest du Congo. Est-ce qu’on a une idée du nombre de survivants sur ces 340 000 personnes ?
Eh bien justement, non. Il faut voir qu’il y avait d’abord le génocide au Rwanda, où entre 500 et 800 000 personnes ont été massacrées. Les génocidaires ont été vaincus par le Front Patriotique Rwandais dirigé par Kagamé, et craignant des représailles, plus d’un million de Hutus rwandais ont fui le Rwanda pour se réfugier justement, dans l’est du Congo. Mais les réfugiés étaient accompagnés de génocidaires, notamment des milices Interahamwe qui ont pris le contrôle de ces camps et en ont profité pour lancer des attaques contre le Rwanda et contre les Hutus congolais. Le président Kagamé qui n’était pas à l’époque président, se plaignait de l’existence de ces milices à ces frontières et a fini par lancer des attaques. Or, face à ces attaques, une partie des réfugiés est rentrée au Rwanda et une autre partie est allée plus loin dans la forêt congolaise. Et c’est là où la traque de ces réfugiés a commencé.Des massacres ont été commis par les rebelles aidés par l’armée rwandaise de Kagamé.
RFI :Selon un rapport de Médecins Sans Frontières de mai 1997, les rebelles de Laurent-Désiré Kabila et l’armée rwandaise de Paul Kagamé ont mis alors en place une stratégie délibérée visant l’élimination de tous les réfugiés rwandais restants, y compris les femmes et les enfants.
C’est très possible. La plupart des corps qui ont été retrouvés c’était des femmes, des enfants, etc. Donc il est très possible que des Hutus aient été tués en tant que tels.
RFI :Un agent humanitaire de Médecins Sans Frontières qui était à Tingi-Tingi témoigne : « Nos cris vers la communauté internationale se brisaient sur des refus polis. On nous parlait de mauvaise image des réfugiés ».
Justement, il y avait ce grand problème politique : tout le monde était très content de voir le renversement de Mobutu, donc on ne voulait pas se poser de questions.

Non. Evidemment, il y avait une toute petite partie qui était des génocidaires. La grande partie de ces réfugiés était des civils hutus qui craignaient des représailles. Mais il faut voir le contexte. Il y avait à ce moment-là un nouveau leadership en l’Afrique centrale qui était vanté par les Etats-Unis et la communauté internationale. Il y avait Monsieur [Yoweri] Museveni, il y avait [Paul] Kagamé. Donc on voulait accueillir ces nouveaux leaders sans poser trop de questions.
RFI :Et ce même agent humanitaire de MSF dit : « On nous parlait aussi de pression américaine ».
Je peux témoigner que c’était vrai. Nous, on voulait accéder à Tingi-Tingi et aux autres sites des massacres. Le gouvernement Kabila a refusé et j’ai été personnellement objet de pressions du gouvernement américain qui voulait qu’on dise qu’on a fait notre enquête,mais sans descendre sur le terrain. Et donc on avait des pressions du gouvernement américain pour enquêter seulement là où Kabila voulait qu’on enquête.
RFI :Donc il y avait des consignes du président Bill Clinton pour qu’on ferme les yeux sur le massacre de ces réfugiés hutus ?
Jusque-là je ne peux pas parler de Bill Clinton, mais ce que je peux dire c’est que l’ambassadeur sur place et même au département d’Etat, voulait qu’on puisse dire qu’il y a eu une enquête et que maintenant on peut [avancer].

Justement, aucune. Et ça c’est le problème. Déjà en 98 notre équipe avait appelé les Nations unies à demander justice pour les victimes de ces crimes. Et Kofi Annan, quand il a présenté notre rapport devant le Conseil de sécurité, a demandé que les coupables de violation rendent des comptes. Mais en 98, comme douze ans plus tard, le Conseil de sécurité a enterré le rapport. Et en fait, quand je lis ce rapport Mapping, ce qui est triste c’est qu’on voit le cycle des massacres et l’impunité. Il y a un cycle où il y a des violations des droits de l’Homme et des vengeances alimentées chaque fois par l’impunité. Et ce qui est vraiment décourageant pour moi c’est de voir, douze ans après, les mêmes genres de massacres, les mêmes acteurs. Et cela continue. Et il n’y a pas une volonté politique de la part de la communauté internationale de passer à l’étape suivante qui est d’identifier les meurtriers et de les traduire en justice.
RFI :Et peut-on dire que de Bill Clinton à Barack Obama il y a des administrations américaines qui veulent regarder ailleurs ?
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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