Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Wednesday, July 5, 2017
Par Jacques Hogard
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Rwanda : La
médiatisation excessive et répétitive des mensonges
Le
microcosme médiatique parisien est très agité depuis quelques jours : en
effet, la revue XXI, dont les actionnaires sont l’éditeur Laurent
Beccaria et Patrick de Saint-Exupéry, annonçait de fracassantes révélations sur
la supposée implication française dans le génocide rwandais de 1994. Le tout
sous un titre racoleur, « réarmez-les ».
En
réalité, l’article de quelques pages, richement orné d’artistiques dessins –
auxquels on fait bien entendu dire ce que l’on veut -, ne ressemble en rien,
contrairement aux appréciations admiratives de
certains journalistes du Figaro, à une « longue enquête »
et encore moins à une « enquête fouillée » !
Le Monde ne fait pas vraiment mieux ! Son journaliste écrit : « Intitulé « Réarmez-les », l’article de Patrick de Saint-Exupéry, cofondateur de la revue, s’appuie sur le témoignage d’un haut fonctionnaire qui a pu consulter les archives sur le conflit rwandais. Lorsque l’Elysée annonça en 2015 l’ouverture de ces archives, deux hauts fonctionnaires furent en effet chargés de vérifier leur contenu. L’ancien officier de l’armée de terre Guillaume Ancel est l’un d’eux. Il décrit dans l’article le document officiel donnant l’ordre de réarmer ceux qui viennent de commettre le génocide, pendant l’opération militaire « Turquoise », officiellement organisée par la France pour« mettre fin aux massacres ».
Une drôle
de source
Lorsqu’on
sait qui est Guillaume Ancel, auquel j’ai consacré quelques pages dans la très
récente réédition de mon témoignage sur le Rwanda[1. « Les Larmes de
l’Honneur, 60 jours dans la tourmente du Rwanda »], il y a presque de quoi
mourir de rire ! Guillaume Ancel, jeune capitaine d’artillerie à l’époque
de l’opération Turquoise en 1994, a servi sous mes ordres du 29 juin au 6 août
1994, date de son retour anticipé en France. Il a pris définitivement sa
retraite au tout début de 2014, après avoir demandé, sans succès, sa
réintégration dans l’armée de terre au terme d’une période de disponibilité de près
de 10 ans dans le civil, à la SNCF. C’est alors que, récupéré par les réseaux
qui attaquent sans relâche la France et l’armée française pour son rôle au
Rwanda depuis l’été 1994, il se découvre une nouvelle carrière de communicant,
après 20 ans d’un silence scrupuleusement respecté et qu’il se lance à son tour
dans le sillage de son nouveau maître à penser, Patrick de Saint-Exupéry.
Il est
par conséquent amusant et particulièrement intéressant de noter ce lapsus du Monde,
très vite corrigé par la rédaction dès lors qu’elle se sera aperçue de sa
bévue : il est tout de même drôle de penser qu’un média aussi
professionnel puisse ainsi citer le nom de Guillaume Ancel et reconvertir ainsi
un officier subalterne à l’époque des faits, aujourd’hui dans le privé, en un
très hypothétique « haut fonctionnaire » chargé par l’Elysée, rien de
moins, de vérifier les archives de l’Etat, et plus étonnant encore, de laisser
entendre qu’il puisse ainsi être l’homme qui « décrit » ce
fameux « document officiel donnant l’ordre de réarmer ceux qui viennent
de commettre le génocide » sans toutefois pouvoir le produire !
Car, ce
qu’il faut noter dans cet « insignifiant article de M. Patrick de
Saint-Exupéry », ainsi que le qualifie avec pertinence le professeur
Bernard Lugan, c’est qu’il ne donne évidemment aucun nom, et en tout cas pas
celui du fameux « haut-fonctionnaire » qui se serait confié à
Patrick de Saint-Exupéry ! Aucun fac-similé de cet « ordre »,
(dont aucun des officiers supérieurs de l’opération Turquoise n’a jamais vu la
couleur !), aucun fait, aucune date, aucun élément précis à l’appui de ses
dires.
Et pour
cause : c’est là la manière habituelle de procéder de M. de Saint Exupéry,
comme il nous l’a montré en 2004 lors de la parution de son pamphlet
« l’inavouable », réédité en 2009 sous le titre de « complices
de l’inavouable ». Ce qui lui vaudra d’ailleurs quelques ennuis avec
la justice.
Ladite
« responsabilité » de la France sert les intérêts de Kagame
Comme
l’explique le professeur Lugan, Patrick de Saint-Exupéry accuse toujours, mais
« sans la moindre preuve, sans la publication du moindre document
nouveau, et uniquement sur la base de sous-entendus orientés ».
C’est
donc un coup médiatique, et rien d’autre qu’un coup médiatique que cet article
creux et insipide que M. de Saint Exupéry vient de produire dans sa revue XXI.
Il faut
dire que la période s’y prête bien. En France, le président Macron et son
Assemblée introuvable viennent d’être élus. Il faut donc bien qu’à Kigali le
général-président Paul Kagame teste ce nouveau pouvoir dont la politique
étrangère, et notamment africaine n’est pas encore connue. Pour ce faire, le
sanglant dictateur a impérativement besoin de ses amis et relais d’influence en
France.
Et puis à
Kigali précisément, c’est ce même général-président, au pouvoir depuis 1994,
mais officiellement élu depuis 2003 et candidat en août à un nouveau mandat de
7 ans, qui a besoin de desserrer l’étau qui se referme inexorablement sur lui.
La relance récente par la justice française de la procédure relative aux
circonstances de l’assassinat de son prédécesseur le 6 avril 1994 et de son
rôle plus que présumé dans cet évènement déclencheur du génocide, est un souci
constant pour lui et la vraie raison de son ire contre la France. Cette
offensive médiatique organisée dans l’Hexagone autour de la revue XXI
arrive à point nommé pour tenter d’étouffer une nouvelle fois l’enquête sur
l’attentat contre le Falcon 50 du président Habyarimana qui déclencha le
génocide.
Il est
surprenant que cette campagne médiatique sans fondement ni éléments nouveaux,
soit quasiment alignée sur celle qui se déroule à Kigali, au terme de cette
période de l’« Icyunamo », deuil national de 3 mois chaque année,
pendant laquelle est inlassablement rappelée la prétendue « responsabilité
de la France dans le génocide rwandais ». « Responsabilité »
essentielle car elle constitue la seule et dernière légitimité possible pour le
régime totalitaire du général-président Kagame.
On
comprend mieux les possibles motivations de Patrick de Saint-Exupéry et de ses
fidèles : « il faut sauver le soldat Kagame » ! Il faut
sauver coûte que coûte le régime totalitaire moribond de Kigali !
Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Tuesday, July 4, 2017
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Monsieur le Président de la République
Palais de l'Elysée
55, Rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
Bruxelles, le 21/05/2017
Excellence, Monsieur le Président de la République,
Objet : Réaction à la lettre d’Alain Gauthier
En tant qu’Avocat, j’ai attentivement lu la lettre que Monsieur Alain Gauthier du Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda a adressée à Votre Excellence en date du 14 mai 2017 sur son souhait de faire extrader au Rwanda certains réfugiés rwandais vivant en France.
Permettez-moi de commencer par rappeler qu’Alain Gauthier et sa femme Dafroza sont à l'origine de la plupart des enquêtes françaises sur le génocide au Rwanda comme mentionné dans leur courrier.
Monsieur Alain Gauthier avoue que son épouse est la belle-sœur du Général James Kabarebe, tout puissant ministre de la Défense du régime du Front Patriotique Rwandais et ancien chef d'Etat-Major Général des armées de la République Démocratique du Congo. Il est de notoriété publique que ce Front sème la terreur tant au Rwanda que dans les pays limitrophes et loin des frontières tel qu’en Afrique du Sud ou en Belgique où le régime de Kigali a tué et tue encore des réfugiés Hutu et Tutsi.
Depuis 2001, ce couple franco-rwandais a déposé plus d’une vingtaine de dossiers entre les mains des juges d'instruction parisiens. La femme et l'homme ne cessent de démontrer qu’ils sont agents du pouvoir rwandais en ce qu’ils chassent des intellectuels Hutu réfugiés en France en leur collant vaille que vaille le crime de génocide. Ils sont d’ailleurs mensuellement rémunérés pour leur rôle dans la persécution des Hutu réfugiés dans Votre pays.
Mais ce n’est pas tout : ils sont le refrain de la chanson de Kigali qui ne cesse de charger les militaires français d’avoir participé au génocide des Tutsi et/ou d’avoir protégé les Hutu qui fuyaient vers la RDC en 1994. Ces Hutu seront pourchassés et massacrés par le Front Patriotique Rwandais qui, selon le Rapport Mapping de l'ONU (01/10/2010, s'est rendu coupables d'actes qualifiables de génocide s’ils étaient soumis au juge. Des témoignages irréfutables ont démontré que pareils actes contre des Hutu ont été notamment commis à Kibeho, au stade de Byumba et à Kanama. Ils attendent que le juge les qualifie mais le Front Patriotique Rwandais s’ingère dans les juridictions internationales. Espérant échapper à la justice, le régime de Kigali use de tous moyens de pression et de la corruption pour s'assurer la complaisance des juges habituellement impartiaux mais qui cèdent aux pressions diplomatiques et politiques des sponsors de Kigali pour lui assurer l’impunité.
D’ailleurs, plusieurs anciens militaires Tutsi ayant servi au sein du Front Patriotique Rwandais se sont déjà prononcés au sujet de ces actes qu’ils qualifient de génocide contre les Hutu à voir comment Paul Kagame les a systématiquement planifiés et organisés.
Entre-temps, le Rwanda a demandé et obtenu en 1994 un Tribunal pénal international pour le Rwanda qui devait juger tous les crimes commis au Rwanda du 1er janvier au 31 décembre 1994. Ce Tribunal a déjà fermé ses portes sans avoir jugé un seul Tutsi ni aucun membre du Front Patriotique Rwandais.
A l’intérieur du Rwanda, le régime du Front Patriotique Rwandais a instauré des tribunaux traditionnels dénommés gacaca qui sont accusés de partialité et qui n’ont jugé aucun Tutsi, ni aucun membre du Front Patriotique Rwandais ou sponsor international.
Les terribles crimes commis au Rwanda entre le 1er octobre 1990 et aujourd’hui ont été attribués aux seuls Hutu par le régime du Front Patriotique Rwandais alors que ce Front, essentiellement tutsi, a massacré les Hutu, simplement pour être nés tels ou pour avoir épousé l’esprit de tolérance et de cohabitation pacifique entre les trois ethnies du Rwanda.
La lettre d’Alain Gauthier est dès lors une suite de l’œuvre du Front Patriotique Rwandais et de son chef Paul Kagame qui continuent de persécuter les Hutu qui les ont fuis. Ils regrettent de ne pas les avoir exterminés et Paul Kagame ne cesse de le répéter, lui qui a également une dent contre la France.
Il s’avère que quelques pays comme les Etats-Unis, les Pays-Bas-Bas et le Canada ont succombé aux mensonges et travestissement de la vérité orchestrés par le Front Patriotique Rwandais et ont extradé quelques réfugiés Hutu au Rwanda. Ces ex-réfugiés subissent dans ce pays une injustice sans nom. Il en est de même des opposants qui ont osé déclarer leur intention d'affronter Paul Kagame dans les urnes. Ils ont été tous condamnés ou tués. Il y a quelques jours, Jean Damascène HABARUGIRA, un militant des Forces Démocratiques Unifiées (FDU-INKINGI) a été décapité après castration et enlèvement des yeux. La Présidente de ce parti est écrouée pour 15 ans d’emprisonnement ferme. Et lorsque Madame Victoire Ingabire Umuhoza a fait appel à la Cour africaine des droits de l’homme à Arusha, le Rwanda s’est vite retiré de cette institution judiciaire internationale pour ne pas perdre la face.
Au regard de ce qui précède, le régime du Front Patriotique Rwandais est bâti sur le mensonge et le crime mais également sur une justice entièrement soumise au pouvoir. Alain Gauthier croit alors qu’il en est ainsi en France et veut que le Président de la République française trempe dans l’injustice comme celui du Rwanda. Il fait semblant d’ignorer la séparation des pouvoirs en France et estime que le Président français va dicter sa volonté aux magistrats professionnels comme au Rwanda.
Faut-il vous dire, Excellence Monsieur le Président, que Vous ne pouvez tomber dans le piège de Kigali au travers du Français Alain Gauthier et sa femme qui est la belle-soeur du général Kabarebe James dont les mains sont pleines de sang.
Il convient plutôt de rappeler à Votre Excellence que le pouvoir du Front Patriotique Rwandais vise toujours à combattre l’influence française dans la Région des Grands Lacs pour y implanter la culture anglophone. Ce fut le nœud de la guerre lancée sur le Rwanda le 1er Octobre 1990 à partir de l'Ouganda, un pays anglophone. C’est pourquoi Paul Kagame ne cesse de blâmer la France et de charger les militaires français des crimes qu’ils n’ont pas commis.
Je pourrais Vous suggérer d’aider les Rwandais à organiser une conférence sur leur réconciliation pour que les Tutsi, les Hutu et les Twa vivent dans la paix. Il importe évidemment de noter que Paul Kagame qui a implanté au Rwanda une dictature sanguinaire et de terrorisme d’Etat ne voudra pas facilement prêcher la paix et réunifier les Rwandais.
Toutefois, il y a lieu de compter sur Votre influence traduite par la confiance que les Français viennent de placer massivement en Vous pour que Vous travailliez à ramener la paix en Afrique centrale où, osé-je le dire, Paul Kagame a semé et entretenu un conflit qui a trop duré.
Je réitère tout mon soutien à la justice de votre pays et appelle à tout mettre en oeuvre pour faire éclater toute la vérité sur le dossier Rwanda.
Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Président de la République, l’expression de ma plus haute considération.
Innocent TWAGIRAMUNGU
Avocat au Barreau de Bruxelles
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Friday, June 30, 2017
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Rwanda : M. de Saint-Exupéry accuse t-il la France afin de protéger le général Kagamé ?
S'il y a tant de silence, derrière cette porte, c'est sans doute qu'on y a besoin de silence ! Ce silence ne peut que susciter la suspicion. La France aurait-elle participé à l'instauration de la féroce dictature de Kagame au Rwanda?
Communiqué de Bernard Lugan[1]
Fidèle caisse de résonance du régime de Kigali, la presse française donne actuellement une énorme publicité à un insignifiant article de M. Patrick de Saint-Exupéry dans lequel, sans la moindre preuve, sans la publication du moindre document nouveau, et uniquement sur la base de sous-entendus orientés, il accuse la France d’avoir voulu « réarmer » les génocidaires rwandais durant l’été 1994.
Plus encore, voilà maintenant la BNP qui est désormais soupçonnée d’être partie prenante dans cette rocambolesque affaire.
L’explication
d’une telle campagne orchestrée depuis le Rwanda est pourtant limpide:
l’étau se refermant peu à peu sur le régime Kagamé, dans le cadre de
l’enquête sur l’attentat contre l’avion du président Habyarimana, ses
amis français sont actuellement à la manœuvre afin d’intimider Emmanuel
Macron, comme ils avaient si bien réussi à le faire avec Nicolas Sarkozy
et François Hollande. A une différence près : depuis quelques mois, les
éléments qui s’accumulent sur le bureau des magistrats français et qui
mettent directement en cause le régime de Kigali dans le déroulé des
évènements de l’année 1994 sont tels qu’il est désormais impossible
d’étouffer l’affaire…
Deux points sont établis :
1) L’attentat du 6 avril 1994 qui provoqua la mort du président hutu Habyarimana fut le déclencheur du génocide.
2) La thèse du régime de Kigali, à savoir celle du génocide « programmé » et « planifié » par les « extrémistes » hutu, a volé en éclats devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda). Ce tribunal créé par le Conseil de sécurité de l’ONU et siégeant à Arusha de 1995 à 2016, a en effet, dans ses jugements concernant les « principaux responsables du génocide » -dont celui du colonel Bagosora présenté comme l’architecte du génocide-, que ce soit en première instance ou en appel, clairement établi qu’il n’y avait pas eu « entente » pour le commettre[2]. Si ce génocide n’était pas programmé, c’est donc qu’il fut spontané, et ce qui le provoqua fut l’assassinat du président Habyarimana.
Voilà pourquoi la question de savoir qui a ourdi cet attentat est primordiale. Or, il n’y a jamais eu d’enquête internationale menée sur ce crime qui coûta la vie à deux présidents en exercice élus, celui du Rwanda et celui du Burundi, qui avaient pris place dans le même avion.
Par les énormes pressions qu’ils exercèrent sur le Conseil de sécurité de l’ONU, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, alliés indéfectibles du régime de Kigali, réussirent en effet à interdire au TPIR de mener cette enquête.
Au mois de janvier 1997, Madame Louise Arbour, Procureur du TPIR de septembre 1996 à septembre 1999, ordonna ainsi à Michael Hourigan de cesser ses investigations. Ce fonctionnaire de l’ONU avait pourtant été personnellement chargé par elle, d’identifier les commanditaires et les auteurs de l’attentat du 6 avril 1994. Madame Arbour voulait alors étayer l’acte d’accusation rachitique qu’elle était occupée à dresser contre les anciens dirigeants du régime Habyarimana, en montrant que cet attentat avait été commis par des « extrémistes hutu », et qu’en le commettant, ces derniers avaient donné le signal du génocide qu’ils avaient programmé.
Or,
sur place, à Kigali, menant son enquête, Michael Hourigan découvrit
tout au contraire que les auteurs de l’attentat n’étaient pas des « Hutu
extrémistes », mais des Tutsi du FPR… et il obtint même les noms de
ceux qui, selon lui, auraient abattu l’avion du président Habyarimana.
Il rédigea un rapport qu’il remit personnellement à Madame Arbour qui le
somma alors de mettre un terme à ses recherches, exigeant la
confidentialité absolue sur ses découvertes. Le contrat de Michael
Hourigan avec l’ONU ne fut pas renouvelé.
Saisie par les familles de l’équipage français de l’avion présidentiel abattu, la justice française s’est ensuite risquée sur cette affaire qui fut confiée au juge Bruguière. Bien que le TPIR ait refusé de le lui communiquer, et cela au prétexte qu’il n’existait pas ( !!!), le juge Bruguière obtint malgré tout une copie du « Rapport Hourigan ». Puis, devant le juge, Michael Hourigan authentifia son texte dont il confirma la teneur. Poussant plus loin ses investigations, le juge Bruguière interrogea le capitaine sénégalais Amadou Deme, adjoint de Michael Hourigan et ancien numéro 2 du renseignement de l’ONU au Rwanda. Cet officier lui confirma à la fois les résultats de l’enquête à laquelle il avait personnellement participé, et l’insolite changement d’attitude de madame Arbour à partir du moment où le FPR fut suspecté d’avoir assassiné le président Habyarimana.
Le
16 novembre 2006, au terme de son enquête, le juge Bruguière accusa à
son tour le général Kagamé et il lança neuf mandats d’arrêt contre des
membres importants de son premier cercle. Après le départ à la retraite
de ce magistrat, l’enquête fut reprise par le juge Trévidic, puis par
les juges Herbaut et Poux.
Au
mois de juillet 2013 puis en janvier 2014, le juge Trévidic interrogea
Jean-Marie Micombero, ancien secrétaire général au ministère rwandais de
la Défense et qui, le 6 avril 1994, était affecté à une section chargée
du renseignement dépendant directement de Paul Kagamé. Le témoin lui
confirma les noms des deux membres de l'armée de Paul Kagamé qui, le 6
avril 1994, auraient tiré les deux missiles qui abattirent l’avion
présidentiel. Il livra également au juge nombre de détails sur les
préparatifs et sur le déroulement de l’attentat[3]. Ces déclarations
recoupaient en les confirmant celles recueillies en leur temps par le
juge Bruguière auprès d’autres témoins.
La
contre-attaque du général Kagamé se fit à travers ses puissants réseaux
d’influence français et par le biais d’une presse qui ne cessa jamais
de lui servir de porte-voix, notamment Libération, Le Monde et Le Figaro.
Appuyé
sur les uns et sur les autres, il tenta de répétitives manœuvres
dilatoires destinées à discréditer le travail du juge Bruguière. Mais,
au moment où, de guerre lasse, le juge Trévidic s’apprêtait à clôturer
son instruction, trois témoins de la plus haute importance se
manifestèrent.
Il
s’agissait du général Faustin Kayumba Nyamwaza, ancien chef
d’état-major de l’APR (Armée patriotique rwandaise, l’armée tutsi), à
l’époque responsable du renseignement militaire, du colonel Patrick
Karegeya, ancien chef des renseignements du Rwanda, tous deux réfugiés
en Afrique du Sud d’où ils accusaient de la façon la plus claire le
président Kagamé d’être le responsable de l’attentat du 6 avril 1994 qui
coûta la vie au président hutu Habyarimana, et d’Emile Gafarita qui
prétendait être l'un des trois membres du FPR qui transportèrent depuis
l'Ouganda jusqu'à Kigali les missiles qui abattirent l'avion du
président Habyarimana.
Au
mois de juin 2010, le général Kayumba survécut par miracle à une
tentative d’assassinat dont les auteurs, des Rwandais, furent arrêtés et
jugés en Afrique du Sud. Le colonel Patrick Karegeya fut étranglé le 31
décembre 2013 dans sa chambre d’hôtel de Johannesburg.
Emile
Gafarita fut quant à lui enlevé à Nairobi le 13 novembre 2014 à la
veille de son départ pour la France où il devait être interrogé par le
juge Trévidic. Dans la procédure de réouverture d'instruction qui était
alors en cours, la teneur de ce que le témoin-acteur allait dire aux
juges était accessible à la Défense. Cette dernière informa ses clients
de l’existence d’Emile Gafirita et de son prochain témoignage. Avocat de
l’Etat rwandais (Afrikarabia,
19 octobre 2016) et de 6 des 7 mis en examen, M° Léon-Lef Forster, dans
un entretien avec la journaliste canadienne Judi Rever[4] l’a
reconnu:« J’ai
informé les mis en examen, un avocat a l’obligation d’indiquer à ses
clients où en est la procédure…il est parfaitement légitime que les
clients soient informés des raisons pour lesquelles le dossier est
ré-ouvert ».
A
partir de ce moment, Emile Gafirita fut en danger de mort[5]. Dans ces
conditions, il est pour le moins « insolite » que les juges français qui
allaient l’interroger n’aient pas pris la précaution de le mettre sous
protection. D’autant plus qu’Emile Gafirita se savait menacé et que,
dans l’attente de sa convocation qui arriva le jour de sa disparition, il avait écrit par mail à son avocat, M° Cantier, qu’il souhaitait être entendu : « le plus vite serait le mieux avant qu’ils ne me fassent taire à jamais ».
Emile
Gafirita avait demandé à être entendu sous X avec le statut de « témoin
protégé », ce qui ne lui fut pas accordé par le juge Trévidic. Et
pourtant, comme l’a révélé plus tard Emmanuel Fansten dans Libération du
4 mars 2015, à la même époque, le juge Trévidic qui enquêtait sur
l’attentat de la rue Copernic entendit sous X un ancien membre du groupe
Abou Nidal.
Pourquoi une telle différence de traitement ? Le juge Trévidic justifia son refus d’entendre anonymement Emile Gafarita « par le nombre conséquent de manipulations constatées dans l’instruction» (Jeune Afrique, 9
décembre 2014). Cette explication laisse pour le moins perplexe car le
juge d’instruction a précisément parmi ses missions celle de faire le
tri entre les éléments qu’il recueille. Dans tous les cas, ceux qui
enlevèrent Emile Gafirita ne partageaient pas ses doutes…
La
justice française a donc été incapable de protéger ce témoin essentiel
puisque ses ravisseurs ont été prévenus qu'il était depuis quelques
semaines à Nairobi où il vivait clandestinement sous un nom d'emprunt
dans l'attente de son départ pour la France.
Dans
son livre "La France dans la terreur rwandaise" (Editions Duboiris,
2014, page 302), le journaliste Onana rapporte de graves propos tenus
par le colonel Karegeya peu avant son assassinat: " (...) tout ce que
fait votre juge (Trévidic) se trouve dans les médias, même les noms des
témoins qui peuvent ainsi être retournés par Kigali ou assassinés".
Allons
plus loin : certaines sources sud-africaines laisseraient entendre que
des fonctionnaires de l’ambassade de France à Pretoria auraient
oralement tenté de dissuader, fin novembre 2016, les autorités
judiciaires sud-africaines d’accorder aux magistrats français les
possibilités d’entraide judiciaire leur permettant d’interroger le
général Nyamwaza.
Le
30 novembre 2016, interloquées par cette demande orale insolite, les
autorités sud-africaines auraient alors demandé que cette requête soit
formulée par écrit… ce qui aurait mis un terme à cette tentative
d’entrave à la justice…et, les quatre « visas » des autorités
judiciaires sud-africaines nécessaires à l’exécution de l’entraide
judiciaire internationale furent accordés aux juges français mi-février
2017. Avant d’être bloqués à la fin du mois à la suite de la visite
exceptionnelle faite en Afrique du Sud par le général Joseph
Nzabamwita, Responsable des services nationaux de renseignement et de sécurité (NISS), envoyé du général Kagamé.
Dans
une enquête très documentée parue dans le « UN », n°140 du 1° février
2017 sous le titre « Récit d’une manipulation », Pierre Péan explique
comment, à partir de l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy et jusqu’au
départ du juge Trévidic, un groupe comprenant diplomates, magistrats,
politiques et hommes de l’ombre, groupe relayé par les réseaux
pro-Kagamé français se serait ingénié à saboter l’enquête du juge
Bruguière. Cet article n’a été relayé par aucun média français bien
qu’il détaille de nombreux et très graves faits d’entrave à la justice.
Quoiqu’il
en soit, loin des tumultes et des manipulations médiatiques, un dossier
existe et, pour le régime de Kigali, ses avancées pourraient être
dévastatrices. Voilà pourquoi ses amis ont reçu l’ordre d’allumer des
contre-feux et voilà pourquoi, la presse française est actuellement et
une nouvelle fois à la manœuvre.
Que contient en effet le dossier des juges Herbaut et Poux ?
Les éléments qui figurent dans le dossier d’instruction pèsent plus lourd que les sous-entendus de M. de Saint-Exupéry :
1)
Le dossier donne, entre autres, le lieu du tir des missiles, les noms
des deux tireurs et des membres de leur escorte, la marque et la couleur
des véhicules utilisés pour transporter les missiles depuis l’Ouganda
jusqu’au casernement de l’APR situé au centre de Kigali et de là,
jusqu’au lieu de tir à travers les lignes de l’armée rwandaise, ainsi
que le déroulé de l’action.
2)
Le dossier contient la preuve que l’avion présidentiel rwandais a été
engagé par deux missiles dont la traçabilité a été établie. Grâce à la
coopération judiciaire de la Russie, la justice française sait en effet
que ces deux missiles dont les numéros de série étaient respectivement 04-87-04814 et 04-87-04835 faisaient partie d’un lot de 40 missiles SA-16 IGLA livrés
à l’armée ougandaise quelques années auparavant. Or, Paul Kagamé et ses
principaux adjoints furent officiers supérieurs dans l’armée ougandaise
avant la guerre civile rwandaise et, de 1990 à 1994, l’Ouganda fut la
base arrière, mais aussi l’arsenal du FPR. De plus, devant le TPIR, il
fut amplement démontré que l’armée rwandaise ne disposait pas de tels
missiles et que l’arme du crime était bien entre les mains du FPR.
D’autant
plus qu’au mois d’août 2016, la MONUSCO a saisi en RDC un missile de
type SA-16 de la même série que ceux qui furent tirés contre l’avion du
président Habyarimana le 6 avril 1994. Or, ce missile avait appartenu à
une milice soutenue par le Rwanda. Un rapport officiel de la MONUSCO a
été transmis au siège de l’ONU à New-York qui visiblement tarde à le
transmettre au juge français malgré les recommandations du rédacteur du
rapport en question (Référence : Strictly Confidential. Goma, 20
septembre 2016).
En
dépit de toutes les pressions qu’ils subissent et qui vont aller
croissant, il faudra bien que, tôt ou tard, les juges fassent la balance
entre les éléments que contient le dossier de l’assassinat du président
Habyarimana. Or, comme les magistrats instructeurs auraient entre les
mains suffisamment d’éléments pour étayer la thèse de la responsabilité
du général Kagamé dans l’attentat du 6 avril 1994 qui coûta vie au
président Habyarimana, attentat qui fut l’élément déclencheur du
génocide, tout va in fine dépendre du Parquet chargé de porter l’accusation à l’audience.
Nous
voilà donc revenus à la politique, donc aux réseaux d’influence que
Kigali entretient en France et dont la mission est de tenter
d’influencer la Justice pour que soit étouffé le dossier car, comme l’a
dit Madame Carla Del Ponte qui succéda à Louise Arbour au poste de
Procureur du TPIR : « S’il
était avéré que c’est le FPR qui a abattu l’avion du président
Habyarimana, c’est toute l’histoire du génocide du Rwanda qu’il faudrait
re-écrire ».
Et de cela, les alliés, les soutiens et les obligés du général Kagamé ne veulent évidemment pas entendre parler.
Pour en savoir plus, voir le livre de Bernard Lugan :
Rwanda : un génocide en questions
Editions du Rocher, 2014, 286 pages, cahier de cartes en couleur.
Les châtiments corporels ou les amendes infligés
aux Hutus "génocidaries" qui font le travail forcé dans des
constructions différentes sont fréquents. "Si le quota de la journée n’est
pas atteint, le coupable reçoit vingt coups de bâton. Nous devons finir, sinon
nous sommes punis par le gouvernement qui nous a forcé à accepter des crimes
que nous n'avons pas commis", raconte le déserteur du SLORC. Les fuyards
capturés sont torturés devant les autres travailleurs, pour l’exemple.
[1] Expert assermenté devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda) dans les affaires Emmanuel Ndindabahizi (TPIR-2001-71-T), Théoneste Bagosora ( TPIR-98-41-T), Tharcisse Renzaho (TPIR-97-31-I), Protais Zigiranyirazo. (TPIR-2001-73-T), Innocent Sagahutu (TPIR-2000-56-T), Augustin Bizimungu (TPIR- 2000-56-T) et commissionné dans les affaires Edouard Karemera (TPIR-98-44 I) et J.C Bicamumpaka (TPIR-99-50-T).
[2] A
l’exception du jugement de Jean Kambanda, ancien Premier ministre
condamné en 1998, après qu’il eut plaidé coupable contre la promesse
d’une peine réduite, procédure qui de facto lui avait fait accepter l’acte d’accusation du procureur. Depuis, il est revenu sur cette reconnaissance.
[3] Voir
à ce sujet l’interview recueillie par Pierre Péan intitulée « J’ai
assisté à la préparation de l’attentat qui a déclenché le génocide » (Marianne numéro du 28 mars au 3 avril 2014).
[4] Judi Rever « Witness in French inquiry into 1994 Rwanda plane crash disappears ». 20 novembre 2014 en ligne.
[5] Le
18 novembre 2014, le professeur belge Filip Reyntjens, juriste
spécialiste du Rwanda et expert devant le TPIR, écrivit à M° Bernard
Maingain, avocat belge des mêmes officiels rwandais mis en examen par le
juge Bruguière : « Si vous avez communiqué le nom de M. Gafirita, qu’on
ne verra probablement plus, à vos clients rwandais, vous devriez avoir
honte et votre conscience devrait être lourde » (cité par Jeune Afrique, 9 décembre 2014).
Publié par Administrateur à 20:26
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
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Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
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