Rwanda: Cartographie des crimes
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KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
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Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Les massacres de Kibeho sont revenus sur la scène médiatique avec la publication, il y a quelques mois, du livre de l'australien Terry Pickard.
L'auteur est militaire et faisait partie d'une équipe médicale australienne de 32 personnes, venues au Rwanda dans le cadre d'une mission de maintien de la paix de l'ONU.
Terry Pickard a assisté aux scènes horribles où des civils sans défense furent objet de bombardements de la part des militaires du Front Patriotique Rwandais (FPR).
Les victimes étaient regroupées dans le camp de Kibeho, au sud-ouest du Rwanda, dans l'ancienne préfecture de Gikongoro. Le livre de Thierry Pickard
[1] est un témoignage de plus sur les odieux massacres de Kibeho commis entre le 18 et le 22 avril 1995. En effet, avant le livre, l'historienne sociologue Claudine Vidal[2] avait publié un long article sur le sujet, fait notamment de synthèse de rapports des Médecins Sans Frontières qui étaient eux aussi sur place lors de ce carnage.Genèse des massacres
Le scénario macabre fut le suivant : depuis le 17 avril, le camp de Kibeho fut encerclé par plus 2500 soldats de l'APR (Armée du FPR) pour empêcher tout approvisionnement des réfugiés. Ainsi jusqu'au bombardement du camp, les réfugiés furent privés d'eau, de nourriture ; l'accès aux latrines leur fut interdit. Quiconque voulaient échapper à cette torture collective était abattu. Le 22 avril 1995, en début d'après-midi, le Colonel Fred Ibingira, qui dirigeait l'opération, donna l'ordre aux militaires du FPR de tirer dans la foule : des armes lourdes, des lance-roquettes, des grenades et des kalachnikovs furent utilisés. Très vite, des cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants jonchèrent le sol et des camions préalablement prévus étaient là pour ramasser les cadavres et les emmener dans des fours crématoires de la forêt naturelle de Nyungwe, à quelques kilomètres de là. Ce transport macabre a duré toute la nuit. Les victimes dénombrées furent de 8000 cadavres éparpillés sur le site.
Le président Pasteur Bizimungu, enjambant les cadavres de Kibeho, va parler de 300 victimes. Lors de la commémoration du génocide qui eut lieu à Kibeho le 7 avril 1999, Bizimungu, « évoquant le sort fait aux déplacés du camp de Kibeho, dont les trois quarts étaient des femmes et des enfants, n'eut qu'un mot : il s'agissait de tueurs et non de victimes innocentes comme l'avait prétendu la communauté internationale »[4].
Les Casques Bleus ont assisté en spectateur à ce massacre de masse car ils avaient reçu de leur supérieur de l'ONU l'ordre de ne pas intervenir.
Les rescapés ont été tués sur leur chemin de retour
Le journal français « Libération » du 23/06/1995 a parlé de 60.000 déplacés disparus au Rwanda : « Deux mois après la tuerie du camp hutu de Kibeho, des milliers de réfugiés manquent à l'appel ». Le journaliste Philippe Ceppi, citant les sources de l'Integrated Operation Centre (IOC), la Centrale humanitaire des Nations-Unies a écrit : « La banque de données de l'IOC a beau faire et refaire ses comptes, son total reste
Fred Ibingira sempiternellement le même : 60.000 déplacés se sont volatilisés dans la nature ». Randolph Kent, Directeur du Bureau de coordination humanitaire des Nations Unies au Rwanda (UNREO), cité par le même journal, précise : « Quels que soient les chiffres de départ, il reste que plusieurs dizaines de milliers de gens ont disparu ». Les rescapés des massacres de Kibeho ont été interceptés par les hommes de Fred Ibingira et tués sur leur chemin de retour.
Les massacres de Kibeho ont été dirigés par le Colonel Ibingira qui a bénéficié d'une totale impunité. Des voix se sont élevées et Ibingira fut jugé le 19/12/1996 dans un procès que les organisations de défense des droits de l'Homme Human Right Watch/Africa et la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme ont qualifié de simulacre dans leur déclaration du 30/12/96. Cet officier n'a jamais été inquiété..
Quelques extraits du livre de Terry Pickard
- Des personnes partaient pour des interrogatoires et n'étaient plus revus. (…) Les réfugiés étaient battus sur les points de contrôle ; les militaires du FPR venaient même chercher des malades dans le centre médical (CCP : Casuality Collection Point):
Some were taken for questioning by RPA and were never seen again…(p.57) ; the RPA was forcing refugees through the checkpoint , beating them with stick (…); the RPA occasionally came into CCP and removed all patients because we were taking too long (p.62)..
- L'Armée du FPR avait coupé l'approvisionnement en vivres et en eau cinq jours plus tôt. Les réfugiés étaient dans la survie:
The RPA had cut off all food and water supplies to the camp five days earlier. Now the refugees were showing their sheer desperation to survive (p.63).
- La solution pour les militaires du FPR étaient de tuer tout déplacé (IDPs : Internally displaced persons) qui voulait s'échapper de la ceinture du camp faite par les soldats. Les réfugiés ayant paniqué, ils ont voulu s'enfuir et les soldats ont ouvert le feu avec leur kalachnikov et des armes lourdes postés sur les montagnes environnantes. Les soldats de l'ONU observaient l'horreur l'ONU leur ayant empêché d'intervenir:
The RPA's solution was to kill any IDPs trying to break through the ring of soldiers. Back at our bunker all hell was breaking loose around us. Some of the refugees had panicked and started running towards the checkpoint to try and get out. That was when the RPA opened fire with AK47s and rocket-propelled grenades.. They also had a 50-calibre machinegun pumping away on the nearby hill overlooking the checkpoint. We could see the RPGs wobbling
Les victimesthrough the air as they headed for their target and landing among groups of refugees, killing up to half. The survivors were then mown down with rifle and machinegun fire. We could only sit and watch in horror. The restrictions placed on us by the UN charter meant we weren't allowed to react in any way with our own weapons. Under our rules of engagement, we couldn't act because our own lives were not being directly threatened. The UN had ordered us not to intervene; this was a local matter that needed to be sorted out by the Rwandan people themselves. It was all very well for them to give those orders (p.74).
- Les réfugiés qui ont voulu chercher refuge chez les soldats de l'ONU n'avaient pas de chances car ces Casques Bleus évitaient de devenir la cible des militaires du FPR.
A minute or so later, three refugees came running over the hill directly to the front of our bunker. No more than 20 metres away, they had the widest, panic-stricken eyes I have ever seen. They were trying to get to the apparent safety of the UN compound. They knew they would be killed if they couldn't find protection. But there was none. They were close to us when I said to the others that we had better get our heads below the level of the sandbags because I knew they would make attractive targets to the RPA. We all ducked down and within a few seconds a massive amount of automatic machinegun and rifle fire was directed into the area. When the shooting died down and we looked up, all three were dead. It was a man, woman and child; most likely a family. The look of pure desperation and animal-like fear in the father's dark, wide eyes will be burned into my memory forever (p.75).
- Les militaires tuaient les rescapés des bombardements avec des baïonnettes pour épargner leurs balles. Dans ce massacre, personne n'était épargné. Même des bébés sur le dos de leurs mères étaient tués. D'autres avaient la gorge coupée. C'est la première fois où Terry Pickard, dans sa vie de militaire, a vu des hommes devenir des cibles de tir à l'arme comme dans des exercices militaires. Il a demandé à un soldat zambien ce qu'il pense, comme africain, de ce que l'armée du FPR a fait pour ces réfugiés. Le soldat zambien lui a expliqué que les soldats du FPR ne sont pas des hommes, mais des animaux qui savent se servir des armes à feu.
Meanwhile, the killing just went on and on right in front of us. Those who were unfortunate enough not to be killed outright lay injured in the field until they were hunted down and shot at close range. Some were simply bayoneted were they lay, so the RPA could conserve ammunition. None were spared, not even the babies on their mother's backs. Many had their throats cut. The things I saw through my Steyr's telescopic sight were almost impossible to comprehend. When a machinegun is fired it tends to leave a pattern where the rounds land called the "beaten zone". Rounds do not land in exactly the same spot and have a spray effect. I had seen this many times on the range in Australia. I had never seen the effect when humans were the target. I had a close-up view of people dropping to the ground as they were hit. As shocking as it sounds, it went on for so long a kind of boredom set in. After a white I got talking to the Zambian soldier crouching next to me. I asked him what he thought of the RPA and what they were doing to the refugees. I wanted to know his opinion as someone from Africa.
Les victimes étaient regroupées dans le camp de Kibeho, au sud-ouest du Rwanda, dans l'ancienne préfecture de Gikongoro. Le livre de Thierry Pickard[1] est un témoignage de plus sur les odieux massacres de Kibeho commis entre le 18 et le 22 avril 1995. En effet, avant le livre, l'historienne sociologue Claudine Vidal[2] avait publié un long article sur le sujet, fait notamment de synthèse de rapports des Médecins Sans Frontières qui étaient eux aussi sur place lors de ce carnage.
Tout a commencé par le démantèlement de petits camps de la région pour forcer les gens à aller se regrouper dans celui de Kibeho. Cette fermeture forcée a fait des morts et des blessés. A la veille du bombardement du camp de Kibeho, celui-ci comptait entre 100 et 150.000 personnes. Entre-temps, le gouvernement de Kigali ayant fait savoir que ce camp était un véritable arsenal d'armes, une force combinée de 2000 militaires du FPR et de 1800 Casques Bleus de la MINUAR fit une descente surprise dans le camp de Kibeho et de Ngabo dans Gikongoro et y imposa un couvre-feu de 24 heures pour récupérer toutes les armes. A l'issue de l'opération, pas une seule arme ne fut découverte. Les fouilleurs, pour ne pas rentrer berdouille, saisirent des milliers d'outils à lames (bladed instruments)[3], bref des outils agricoles (serpette, houe,…) d'un paysan rwandais.
Le scénario macabre fut le suivant : depuis le 17 avril, le camp de Kibeho fut encerclé par plus 2500 soldats de l'APR (Armée du FPR) pour empêcher tout approvisionnement des réfugiés. Ainsi jusqu'au bombardement du camp, les réfugiés furent privés d'eau, de nourriture ; l'accès aux latrines leur fut interdit. Quiconque voulaient échapper à cette torture collective était abattu. Le 22 avril 1995, en début d'après-midi, le Colonel Fred Ibingira, qui dirigeait l'opération, donna l'ordre aux militaires du FPR de tirer dans la foule : des armes lourdes, des lance-roquettes, des grenades et des kalachnikovs furent utilisés. Très vite, des cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants jonchèrent le sol et des camions préalablement prévus étaient là pour ramasser les cadavres et les emmener dans des fours crématoires de la forêt naturelle de Nyungwe, à quelques kilomètres de là. Ce transport macabre a duré toute la nuit. Les victimes dénombrées furent de 8000 cadavres éparpillés sur le site.
Le président Pasteur Bizimungu, enjambant les cadavres de Kibeho, va parler de 300 victimes. Lors de la commémoration du génocide qui eut lieu à Kibeho le 7 avril 1999, Bizimungu, « évoquant le sort fait aux déplacés du camp de Kibeho, dont les trois quarts étaient des femmes et des enfants, n'eut qu'un mot : il s'agissait de tueurs et non de victimes innocentes comme l'avait prétendu la communauté internationale »[4].
Les Casques Bleus ont assisté en spectateur à ce massacre de masse car ils avaient reçu de leur supérieur de l'ONU l'ordre de ne pas intervenir.
Les rescapés ont été tués sur leur chemin de retour
Le journal français « Libération » du 23/06/1995 a parlé de 60.000 déplacés disparus au Rwanda : « Deux mois après la tuerie du camp hutu de Kibeho, des milliers de réfugiés manquent à l'appel ». Le journaliste Philippe Ceppi, citant les sources de l'Integrated Operation Centre (IOC), la Centrale humanitaire des Nations-Unies a écrit : « La banque de données de l'IOC a beau faire et refaire ses comptes, son total reste
Fred Ibingira sempiternellement le même : 60.000 déplacés se sont volatilisés dans la nature ». Randolph Kent, Directeur du Bureau de coordination humanitaire des Nations Unies au Rwanda (UNREO), cité par le même journal, précise : « Quels que soient les chiffres de départ, il reste que plusieurs dizaines de milliers de gens ont disparu ». Les rescapés des massacres de Kibeho ont été interceptés par les hommes de Fred Ibingira et tués sur leur chemin de retour.
Les massacres de Kibeho ont été dirigés par le Colonel Ibingira qui a bénéficié d'une totale impunité. Des voix se sont élevées et Ibingira fut jugé le 19/12/1996 dans un procès que les organisations de défense des droits de l'Homme Human Right Watch/Africa et la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme ont qualifié de simulacre dans leur déclaration du 30/12/96. Cet officier n'a jamais été inquiété..
Quelques extraits du livre de Terry Pickard
- Des personnes partaient pour des interrogatoires et n'étaient plus revus. (…) Les réfugiés étaient battus sur les points de contrôle ; les militaires du FPR venaient même chercher des malades dans le centre médical (CCP : Casuality Collection Point):
Some were taken for questioning by RPA and were never seen again…(p.57) ; the RPA was forcing refugees through the checkpoint , beating them with stick (…); the RPA occasionally came into CCP and removed all patients because we were taking too long (p.62)..
- L'Armée du FPR avait coupé l'approvisionnement en vivres et en eau cinq jours plus tôt. Les réfugiés étaient dans la survie:
The RPA had cut off all food and water supplies to the camp five days earlier. Now the refugees were showing their sheer desperation to survive (p.63).
- La solution pour les militaires du FPR étaient de tuer tout déplacé (IDPs : Internally displaced persons) qui voulait s'échapper de la ceinture du camp faite par les soldats. Les réfugiés ayant paniqué, ils ont voulu s'enfuir et les soldats ont ouvert le feu avec leur kalachnikov et des armes lourdes postés sur les montagnes environnantes. Les soldats de l'ONU observaient l'horreur l'ONU leur ayant empêché d'intervenir:
The RPA's solution was to kill any IDPs trying to break through the ring of soldiers. Back at our bunker all hell was breaking loose around us. Some of the refugees had panicked and started running towards the checkpoint to try and get out. That was when the RPA opened fire with AK47s and rocket-propelled grenades.. They also had a 50-calibre machinegun pumping away on the nearby hill overlooking the checkpoint. We could see the RPGs wobbling
Les victimesthrough the air as they headed for their target and landing among groups of refugees, killing up to half. The survivors were then mown down with rifle and machinegun fire. We could only sit and watch in horror. The restrictions placed on us by the UN charter meant we weren't allowed to react in any way with our own weapons. Under our rules of engagement, we couldn't act because our own lives were not being directly threatened. The UN had ordered us not to intervene; this was a local matter that needed to be sorted out by the Rwandan people themselves. It was all very well for them to give those orders (p.74).
- Les réfugiés qui ont voulu chercher refuge chez les soldats de l'ONU n'avaient pas de chances car ces Casques Bleus évitaient de devenir la cible des militaires du FPR.
A minute or so later, three refugees came running over the hill directly to the front of our bunker. No more than 20 metres away, they had the widest, panic-stricken eyes I have ever seen. They were trying to get to the apparent safety of the UN compound. They knew they would be killed if they couldn't find protection. But there was none. They were close to us when I said to the others that we had better get our heads below the level of the sandbags because I knew they would make attractive targets to the RPA. We all ducked down and within a few seconds a massive amount of automatic machinegun and rifle fire was directed into the area. When the shooting died down and we looked up, all three were dead. It was a man, woman and child; most likely a family. The look of pure desperation and animal-like fear in the father's dark, wide eyes will be burned into my memory forever (p.75).
- Les militaires tuaient les rescapés des bombardements avec des baïonnettes pour épargner leurs balles. Dans ce massacre, personne n'était épargné. Même des bébés sur le dos de leurs mères étaient tués. D'autres avaient la gorge coupée. C'est la première fois où Terry Pickard, dans sa vie de militaire, a vu des hommes devenir des cibles de tir à l'arme comme dans des exercices militaires. Il a demandé à un soldat zambien ce qu'il pense, comme africain, de ce que l'armée du FPR a fait pour ces réfugiés. Le soldat zambien lui a expliqué que les soldats du FPR ne sont pas des hommes, mais des animaux qui savent se servir des armes à feu.
Meanwhile, the killing just went on and on right in front of us. Those who were unfortunate enough not to be killed outright lay injured in the field until they were hunted down and shot at close range. Some were simply bayoneted were they lay, so the RPA could conserve ammunition. None were spared, not even the babies on their mother's backs. Many had their throats cut. The things I saw through my Steyr's telescopic sight were almost impossible to comprehend. When a machinegun is fired it tends to leave a pattern where the rounds land called the "beaten zone". Rounds do not land in exactly the same spot and have a spray effect. I had seen this many times on the range in Australia. I had never seen the effect when humans were the target. I had a close-up view of people dropping to the ground as they were hit. As shocking as it sounds, it went on for so long a kind of boredom set in. After a white I got talking to the Zambian soldier crouching next to me. I asked him what he thought of the RPA and what they were doing to the refugees. I wanted to know his opinion as someone from Africa. He explained to me that he thought the RPA were not people but animals with the ability to use weapons. He also reminded me that these two tribes, the Hutu and the Tutsi, had been at each other's throats for many, many generations. The only difference now was they used AK47s and machineguns instead of spears and shields (p.76)..
D-53127 Bonn
E-mail: strizek@-t-online.de
Bonn, le 1er janvier 2009
M. Kenneth Roth
Executive Director of
Human Rights Watch
350 Fifth Avenue, 34th floor
New York, NY 10118-3299
USA
Email: hrwnyc@hrw.org
Objet.: Votre lettre adressée à Hassan Bubacar Jallow le 11 décembre 2008 et votre message adressé à Paul Kagame le 23 décembre 2008
Monsieur le Directeur Exécutif,
Paul Kagame est un homme sans scrupule et ne connaît pas des sentiments de gratitude. Alison Des Forges ne lui est plus utile. Voilà la fin d’une relation d’utilité. Elle rapportait longtemps pour Kagame, mais depuis un certain temps les pertes excédaient les bénéfices. Solde négative, donc, adieu.
Vous ne devriez pas vous en plaindre. Vous saviez depuis longtemps qui est ce partenaire de HRW. Dès son arrivée à HRW en 1992 après le départ de Rakiya Omaar et d’Alex de Waal tombés en disgrâce pour leurs positions critiques vis-à-vis de l’intervention occidentale en Somalie et la fondation de leur organisation pro-FPR African Rights, Alison Des Forges a tout au début œuvré en faveur du FPR d’une façon moins visible que ses prédécesseurs.
Cette Commission dont Alison Des Forges a fait partie en janvier 1993 a fourni un des grands faux documents de l’histoire moderne. On sait aujourd’hui que cette Commission a inventé un scénario mensonger pour aveugler la communauté internationale et divertir l’opinion publique des effets désastreux prévisibles de la reprise de la guerre le 8 février 1993 par le FPR. Puisque les membres du Conseil de Sécurité n’étaient majoritairement pas encore en faveur de l’idée de favoriser la prise totale du pouvoir au Rwanda par les rebelles tutsi du FPR, ils ont forcé celui-ci d’accepter un cessez-le-feu.
Mais le faux rapport de la « Commission Internationale d’Enquête » publié seulement après cette défaite politique du FPR a servi de « blueprint » pour la mise en place de la « lecture officielle » biaisée des événements après l’assassinat des Présidents Habyarimana et Ntaryamira le 6 avril 1994 et la reprise de la guerre immédiate par le FPR, ce qui déclencha des massacres de masse envers la population tutsi. Ces massacres provoqués par le FPR étaient prévisibles pour tout observateur averti, comme par exemple les services de renseignement américains.
Il fallait, donc, anticiper une propagande susceptible d’attribuer la responsabilité pour cette catastrophe aux « génocidaires innées » hutu (d’après Kagame). Cette propagande déjà contenue dans le rapport de la CIE en mars 1993 était d’autant plus nécessaire après la décision honteuse de l’administration Clinton de forcer les Nations Unies le 21 avril 1994 de ne pas intervenir en faveur d’un sauvetage de cette population tutsi menacée.
Le sort tragique des tutsi, a affirmé Alison Des Forges pendant presque 10 ans devant le TPIR, était uniquement le résultat de la programmation d’un génocide par des extrémistes hutu proches du régime du Président Habyarimana. Seulement, quand on s’est aperçu qu’il était déraisonnable de convaincre le monde entier que Habyarimana avait préparé un génocide rendu possible seulement par son suicide, il fallait trouver un « mastermind » en la personne du Colonel Bagosora pour l’hypothèse de la planification d’un génocide.
L’établissement du TPIR selon le modèle des procès de Nuremberg en 1945/1946 était déjà préconçu dans le rapport de la CIE en mars 1993, donc plus d’une année avant les événements horribles survenus après l’attentat du 6 avril 1994. À Nuremberg, qu’on y ait pu juger un grand nombre de responsables de la guerre d’agression et du génocide anti-juif, c’était incontestable. Pour le cas rwandais, il a fallu donc présenter Bagosora et alii comme des grands planificateurs d’un génocide tout en évitant de les accuser d’une guerre d’agression dont la responsabilité incombe sans aucun doute dès le 1er octobre 1990 au FPR.
Votre lettre adressée à Hassan Bubacar Jallow le 11 décembre 2008 demandant la poursuite des crimes du FPR fait oublier que HRW et notamment Alison Des Forges sont partiellement responsables de la mauvaise conception du TPIR dès le début.
Comme vous le savez, le 18 décembre 2008, dans son jugement dans le procès appelé « Militaires I » le TPIR a prouvé que l’hypothèse d’un génocide planifié est à écarter désormais.[3] Je dois reconnaître qu’Alison Des Forges a accepté ce fait dans sa déclaration à la journaliste Lydia Polgreen des New York Times le 19 décembre 2008 :
« The exclusion of the conspiracy charge against the men is a blow to Rwandan officials, said Alison Desforges of Human Rights Watch, because it undercuts their argument that the genocide was not a one-time event but the inevitable product of an anti-Tutsi atmosphere dating from the colonial era. “It brings us back to reality and says this genocide was a discrete historical event related to a specific set of circumstances,” Ms. Desforges said. »
Mais Mme Des Forges devrait faire un pas supplémentaire. Elle devrait reconnaître qu’elle a trop longtemps présenté sciemment des « preuves » erronées de la planification au TPIR dans ses innombrables audiences d’expertise. Elle reconnaît de par sa déclaration récente d’avoir toujours présenté les arguments des « Rwandan officials » et non pas les résultats de ses propres recherches. « Their arguments » était toujours les siens. HRW et FIDH devraient reconnaître ce fait d’autant plus que le juge norvégien Eric Møse a démantelé un par un les « signes précurseurs » à cette planification contenus dans « Leave None to Tell the Story ».
Pour rétablir l’honneur de HRW vous devriez reconnaître publiquement ces erreurs et présenter vos excuses à la Communauté internationale. Vous devriez également encourager Alison Des Forges à démissionner de son rôle de Senior Adviser for Africa de HRW.
Veuillez accepter, Monsieur le Directeur Exécutif, l’expression de ma haute considération
Helmut Strizek
[2] Je connais vos démarches en ce sens auprès du Conseil de Sécurité en 2002 et 2003. Elles sont restées sans suite du fait que le successeur de Carla del Ponte a refusé carrément – protégé par Kofi Annan – de s’occuper des crimes du FPR. Alison Des Forges a continué de servir d’expert du nouveau Procureur Jallow comme si rien ne s’était passé.
[3] Avant de disposer du texte intégral du jugement, on ne peut pas faire des commentaires approfondis sur les peines prononcées dans ce jugement. Néanmoins quelques constatations sont déjà possibles : L’acquittement du Général Kabiligi s’explique par le constat de l’absence de planification. Les peines prononcées contre Bagosora, Nsengiyumva et Ntabakuze sont justifiées par leurs soi-disant responsabilités comme supérieurs hiérarchiques de meurtres attribués à des militaires non-identifiés et non pas pour une quelconque planification d’un génocide.
Rwanda: No Conspiracy, No Genocide Planning ... No Genocide?
But, as those who have followed the ICTR closely know, convictions of members of the former Rwandan government and military are scarcely newsworthy.Ever since former ICTR Chief Prosecutor Carla Del Ponte and ICTR Chief Investigative Prosecutor Michael Hourigan went public in 2007-8 exposing US-UK manipulations to grant de facto impunity to current Rwandan President Paul Kagame and his henchmen, between 1997 and the present, convictions of the vanquished in the Rwanda war are a given.
Peter Erlinder is a professor at William Mitchell College of Law, St. Paul, MN. He is a past-President of the National Lawyers Guild, a Lead Defense Counsel-UN International Criminal Tribunal for Rwanda, and the President of the ICTR-ADAD (Association des Avocats de la Defense).
We saw no mention about the Rwandans suffering in displaced and concentration camps, massive theft of resources, rapes, arbitrary arrests and millions of deaths in Rwanda and outside of it.
Political Ponerology should be very helpful to Experts that may advise how to end the Tutsi-led RPF oppressive regime led by the mastermind and genocide merchant : General Paul Kagame.
Meanwhile, family members of the abducted victims are sending invoiced alert asking for stopping RPF criminals actually busy with "crushing the abscess" after the UN report on RPF crimes in Congo and the decision for stopping aid to Rwanda by Scandinavian and Dutch millions of Euro's that was used by RPF to enlarge their crimes against Hutus living the Eastern region of the Democratic republic of the Congo.
We have collected information from reliable sources; we have gotten all the information and they have been checked. We have ranked information sources. The situation is very very serious and should be taken seriously in view of the latest development. We will be releasing names of the abducted victims and disappeared.
THE YEAR 2009 will be - if nothing is done to protect them - a dangerous time for the Hutu ethnic members inside or outside Rwanda as RPF terror, RPF impunity in human rights violations and general lawlessness grip the nation. Up to now the world community blindly goes behind and support RPF stories, lies and genocidal ideology to eliminate and exterminate those who are able to stop the increasing genocide. On the contrary, the world community, except certain democratic European countries, has done little to stop the political killings and disappearances except take token steps to assuage local and international outcry.
On the other hand, the year also signals victories in the people’s relentless struggle against political repression, political and ethnic structure and state terrorism as the survivors’ clamor for justice and democracy starts to be echoed here in Europe...
Torture, kidnappings and disappearances must be taken very seriously. They are a prelude for RPF murders
They are suffering horrendous deaths. These tortures, killings, disappearances and kidnappings are yet other human rights abuses committed by President Paul Kagame and his RPF and again demonstrate the importance of international action/reaction to investigate and document such abuses, through an International Commission of Inquiry.”
Rwanda survivors encourage the worldwide community to use its influence and authority to promote and preserve human rights, peace and security in Rwanda for all of its inhabitants without exclusion, discrimination.
For those who have no idea about RPF crimes, the Rwanda genocide began with the 1990 invasion of northern Rwanda by the then Tutsi RPF forces that brutally targeted everyone in their path. After four years of living in displaced camps without security or food, Hutus living in those areas were terrified then displaced. They got killed, survivors became homeless, hungry and angry and—justifiably—they took up arms to defend themselves.
“The international arrest warrants issued by Spain and France against some 40 former RPF/A and current Rwanda Defense Force (RDF) are patently dismissed by Western media of all stripes, buried behind waves of pro-RPF propaganda and intimidation that labels anyone who does not support the Kigali military dictatorship as genocide deniers, themselves guilty, by extension, of genocide”. Keith Snow, 5 December, 2008.
For one reason or the other, victims all share the similar fate: They happened to be born Hutus. Personal narratives are but the painful testament to the growing callousness of the powers-that-be and a bitter indictment against the iniquity and injustice that had been and are still being committed in Rwanda, all in the name of the planed, sponsored and then merchant led genocide
We must make both the world community, the shocking Nazi adviser Tony Blair and the RPF perpetrators answerable for whatever wrongdoing that has been committed.
Everyone must be made aware that RPF tyranny cannot go unpunished though the perpetrator, be he a simple armed local defense force, DMI agents, Local RPF authorities, RPF leadership and Tutsi-led Rwandan Patriotic Army, Paul Kagame.
What is important is that justice be meted out – Truth be ferreted, RPF perpetrators be prosecuted and Hutu families be indemnified.
The process begins by assuaging our fears and saying to ourselves:
“Never again…RPF tyranny.”
All humans are born equal and created in God’s image.
N.B.: L'information ci-après doit être pris dans le contexte du moment pour vous informer. Les preuves et les aveux qui y sont présentés sont une nécessité pour nous afin de comprendre la manipulation de l'histoire par les blancs menteurs et les *Nazis* rwandais.
Les Nations Unies ont pour la première fois pris part pour la 2ème fois pris part au génocide rwandais. Mais les NationsUnies, c' est trop vague comme nom. Les instigateurs, les supporteurs du FPR sont bien connus et bien documentés.
* Le Terme "Nazi" est utilisé pour expliquer les différents crimes commis par le FPR au Rwanda surtout au Rwanda et dans la République Democratique du Congo. Tous les crimes qui ont été commis par les Nazis allemands ont été soit répétés par le FPR/APR/RDF/LDF/DMI et autres services de renseignement de Paul Kagame y compris les escadrons de la mort placés sous son propre commandement.
- http://www.dailymotion.com/visited/search/grands%2Blacs/video/xup7u_lafrique-en-morceaux-
- http://www.youtube.com/watch?v=ZW0fRwGKV2I&NR
- http://www.youtube.com/watch?v=MW8j-o3JPrY&NR
- http://www.youtube.com/watch?v=IjiIh-cN9lM&mode=related&search=
- http://www.youtube.com/watch?v=02b2V6hK3EQ&mode=related&search=
Dès ce moment, le colonel Bagosora fut présenté à l’opinion comme « cerveau du génocide », comme l’homme qui avait publiquement déclaré, lors des négociations d’Arusha, vouloir rentrer au Rwanda pour préparer l’apocalypse. Il fut également présenté comme un membre éminent de « l’Akazu » sinon comme carrément un parent du président Habyarimana et à ce titre membre des « escadrons de la mort » et autres « réseau zéro » mais surtout d’une organisation terroriste dénommée « Amasasu ».
Cependant, force est de constater que tout au long de son procès qui a duré près de six ans (2002-2008), aucun de ces clichés véhiculés par la presse ne fut formellement établi devant la Cour.
De même, Christophe Mfizi, l’inventeur du fameux « réseau zéro », malgré un rapport d’une centaine de pages commandité par le procureur et surtout grassement rémunéré, n’est pas parvenu à définir les contours de son « réseau zéro ».
Enfin, l’organisation terroriste « Amasasu » révélé par l’ancien ministre de la Défense James Gasana et qui est aussi collé au « CV » de Bagasora, ne semble pas avoir eu plus de défenseurs devant le TPIR que les autres mythes.
Acharnement par amertume et désenchantement ou désinformation ?
Le 18 décembre 2008 soit 12 ans après son arrestation, le verdict du procès Bagosora est tombé. Bagosora et deux de ses co-accusés ont été condamnés à la réclusion à perpétuité. Le quatrième été acquitté. On notera que tous les quatre furent acquittés du chef d’« entente en vue de commettre le génocide ». Dans le prononcé, il n’est dit nulle part que Bagosora est reconnu par la Cour pour avoir promis d’aller préparer l’apocalypse. Ni Bagosora, ni aucun de ses co-accusés ne fut condamné pour avoir créé et/ou été membre des « escadrons de la mort » ou des « Amasasu ». De même, la Cour n’a condamné personne pour être membre de « l’Akazu », même ceux dont les liens de parenté avec le président Habyarimana sont établis.
Prenant ses lecteurs pour des idiots, la brave Braeckman revient à la charge dans la même édition en affirmant que Bagosora a publiquement promis d’aller préparer l’apocalypse, qu’il a créé et soutenu les « escadrons de la mort » et autres « Amasasu ». Tout le contraire des conclusions auxquelles venaient d’arriver le TPIR.
Face aux caméras de France 24 et confrontée à la pugnacité du journaliste camerounais Charles Onana, Colette Braeckman se montre telle qu’elle est : une journaliste engagée, incapable de se ressaisir et peut-être sous influence. Dommage car elle est toujours présentée comme « spécialiste de la région des Grands Lacs en Afrique ».
Depuis hier mardi 23 décembre, Rose Kabuye n’attendait plus que son passeport pour faire ses valises. On imagine que dans son pays, c’est la joie parce qu’on ne pensait peut-être pas la revoir de sitôt, et c’est certain qu’il y aura du monde à l’aéroport international de Kigali pour l’accueillir. Son patron, le président Paul Kagamé, fera-t-il le déplacement à la tête d’une délégation ?
Si son calendrier ne le permet pas, peut-être qu’il attendra à la présidence sa responsable du protocole. Ce qui est sûr, elle verra l’homme fort du Rwanda, qui l’avait envoyée le mois dernier en Allemagne pour préparer une visite privée.Celle qui a eu à dire au lendemain de son arrestation qu’elle n’a pas peur car elle est innocente reverra donc sa famille et ses proches. Elle fêtera, comme les autres, pour essayer d’oublier un moment cette maudite date du 9 novembre 2008.
Mais Kabuye n’est pas pour autant sortie de l’auberge : après le nouvel an, elle doit retourner en France, puisque l’affaire n’a pas été classée. Elle s’est engagée à revenir à Paris avant le 10 janvier 2009, et le ministère de la Justice rwandaise avait également exprimé dans une lettre la volonté du gouvernement de respecter l’engagement pris auprès du juge français.
En Afrique, la parole donnée est sacrée, mais la question qu’on se pose est de savoir si elle reviendra pour se constituer prisonnière. C’est d’un vrai privilège que Kabuye a bénéficié parce qu’il y a d’autres terroristes ou présumés tels qui gémissent dans les fers en France depuis longtemps.N’ont-ils pas droit, eux aussi, aux fêtes de fin d’année dans leurs pays respectifs ? Ce dossier ayant envenimé les relations entre Paris et Kigali, veut-on aller vers un dégel des relations diplomatiques ?
Il y a du flou dans cette affaire à tel point qu’on ne peut s’empêcher de penser à une comédie française. Et si Kabuye changeait d’avis ? Après qu’elle a recouvré la liberté provisoire, Rose décidera de ce qu’elle doit faire. L’air de Kigali lui manquait, et maintenant tout est une question de responsabilité .Par Justin Daboné
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