Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Friday, November 7, 2008
Comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française.
Thierry Meyssan*
Analyste politique, fondateur du Réseau Voltaire. Dernier ouvrage paru : L’Effroyable imposture 2
Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité. Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité. Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays. Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française. Ils ont été stupéfaits par cet « hyper-président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.
Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté. Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.
C’est que l’homme est habile. Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.
Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.
Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière. Très en arrière. Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.
Secrets de famille
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile. Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.
En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétique, décident de susciter un coup d’État militaire en France. L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA —théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.— et par l’OTAN. Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup. Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général De Gaulle sans avoir besoin de recourir la force [1].
Or, Charles De Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler. Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française. Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance. Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, De Gaulle se rend à l’évidence. Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.
Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat [2]. Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique. Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.
Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano. Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri (« l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste [3]. Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de De Gaulle, Achille Peretti —un Corse lui aussi—.
Ainsi défendu, De Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale. Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon. Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ; Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ; il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ; Il expulse l’OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ; Il dénonce la Guerre du Viêt-nam (discours de Phnon Penh, 1966) ; Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ; Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ; etc.
Simultanément, De Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger. Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total) [4], tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’Afrique francophone.
Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, De Gaulle s’allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou. Les deux hommes forment un tandem efficace. L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.
Lorsque De Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un cancer. Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile. Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Edouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.
La fabrication de Nicolas Sarkozy
Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy. Né en 1955, il est le fils d’un noble catholique hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une roturière juive originaire de Thessalonique. Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce. Pal Sarkosy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.
Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti. Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.
Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French connexion » qu’Hollywwod devait porter à l’écran. S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Time cite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard. On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».
En 1977, Pal Sarkozy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important. Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.
À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste. Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.
En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. Son témoin de mariage est Charles Pasqua. En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.
L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.
Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly. Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.
Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro. Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia. Le mari trompé se suicide en absorbant des drogues. La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.
En 1993, la gauche perd les élections législatives. Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Edouard Balladur un tandem comparable à celui de De Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Edouard Balladur. Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. S’il conserve la haute main sur la marijuana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.
À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.
C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur. La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. Tout dérape. Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu. Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviétique.
Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entre-tuer. Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf. À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.
La traversée du désert
Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance. L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.
En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia. Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).
Dernier acte
Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps : d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.
Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.
Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore. La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé. Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.
Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur. Erreur ! À ce poste, il contrôle les préfets et de le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations.
Il s’occupe aussi des affaires corses. Le préfet Claude Érignac a été assassiné. Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République. Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste. Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin. C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île. Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux. Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui. Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait. Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf. Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures d’Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération. Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.
Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination. Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine [5], dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur. Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.
Reste à neutraliser les candidatures d’opposition. Les cotisations d’adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert). Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA [6]). Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste. Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn [7].
Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul le premier représente un danger pour Sarkozy. Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment. Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal. L’opération est possible parce que Strauss-Kahn est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis. Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévot de l’université, Condoleezza Rice [8]. Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.
Premiers jours à l’Élysée
Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne. Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s. La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.
Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.
Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.
Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).
Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes : Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua. François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild. Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush. Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe [9].
Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.
Kouchner a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis [
10]. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.Pour complèter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie. Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. Elle a organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre les l’avionneur français Dassault [11].
Nouvelle escapade durant l’été. Nicolas, Cécilia, leur maîtresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.
La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) [12] directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden) [13]. Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5e noueur de deals dans le monde et gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.
La cote de popularité du président est en chute libre dans les sondages. L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ». L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Edouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale. Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni. Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas. Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.
Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont affaire ?
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Selon nos confrères de Paris, Le tribunal correctionnel de Paris vient de relaxé l’écrivain Pierre Péan qui était poursuivi pour “complicité de diffamation raciale” et “complicité de provocation à la discrimination raciale” à la suite de la publication en 2005 du livre “Noires fureurs, blancs menteurs” (Ed. Fayard) sur le génocide rwandais. La maison d’édition Fayard a également été relaxée.
Il était reproché notamment à Pierre Péan de reprendre dans son ouvrage les accusations attribuant aux Tutsis une “culture du mensonge et de la dissimulation”.
Le tribunal a estimé “que la formulation +culture du mensonge et de la dissimulation+, aussi brutale qu’elle puisse apparaître, spécialement pour les victimes d’un génocide, ne peut être considérée comme l’imputation d’un fait précis visant à jeter le discrédit sur l’ensemble des Tutsis”.
Les juges ont souligné en outre “que si l’auteur attribue principalement aux Tutsis ce particularisme culturel, il le prête également aux Hutus et plus généralement aux Rwandais”.
Au nom de Pierre Péan, Me Florence Bourg a salué “une victoire de la liberté d’expression, du vrai débat d’idées sur un sujet très difficile”
SOS Racisme avait déposé une plainte en octobre 2006, reprochant à Pierre Péan d’avoir écrit que les Tutsis avaient recours au mensonge et à la dissimulation ou étaient des professionnels de la manipulation, l’écrivain citant parfois d’autres auteurs dans les pages poursuivies.
L’avocat de SOS Racisme, Léon Lef Forster, a fait part de sa “grande tristesse” après cette décision et a annoncé immédiatement annoncé qu’il ferait appel.
Il était reproché notamment à Pierre Péan de reprendre dans son ouvrage les accusations attribuant aux Tutsis une “culture du mensonge et de la dissimulation”.
Le tribunal a estimé “que la formulation +culture du mensonge et de la dissimulation+, aussi brutale qu’elle puisse apparaître, spécialement pour les victimes d’un génocide, ne peut être considérée comme l’imputation d’un fait précis visant à jeter le discrédit sur l’ensemble des Tutsis”.
Les juges ont souligné en outre “que si l’auteur attribue principalement aux Tutsis ce particularisme culturel, il le prête également aux Hutus et plus généralement aux Rwandais”.
Au nom de Pierre Péan, Me Florence Bourg a salué “une victoire de la liberté d’expression, du vrai débat d’idées sur un sujet très difficile”
SOS Racisme avait déposé une plainte en octobre 2006, reprochant à Pierre Péan d’avoir écrit que les Tutsis avaient recours au mensonge et à la dissimulation ou étaient des professionnels de la manipulation, l’écrivain citant parfois d’autres auteurs dans les pages poursuivies.
L’avocat de SOS Racisme, Léon Lef Forster, a fait part de sa “grande tristesse” après cette décision et a annoncé immédiatement annoncé qu’il ferait appel.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Wednesday, November 5, 2008
Dix officiers français de haut rang ayant participé à l'opération militaro-humanitaire "Turquoise" au Rwanda en 1994, ont porté plainte en diffamation mardi à Paris après avoir été mis en cause en août dans un rapport rwandais les accusant d'avoir participé au génocide. Lire la suite l'article
Cette plainte contre X avec constitution de partie civile pour "diffamation publique" a été déposée mardi devant la doyenne des juges d'instruction du tribunal de grande instance de Paris, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Parmi les plaignants figurent cinq généraux, dont Jean-Claude Lafourcade qui a commandé l'opération Turquoise, et cinq colonels, a indiqué à l'AFP un proche des plaignants.
Ces dix officiers ont tous été cités dans un rapport rwandais sur le rôle supposé de la France dans le génocide, présenté à la presse le 5 août par le ministre rwandais de la Justice, Tharcisse Karugarama.
La plainte des militaires vise particulièrement le communiqué du ministre qui rendait compte de ce rapport.
"Ce communiqué a la particularité d'être rédigé en langue française, alors même qu'il est rendu disponible sur un site entièrement en langue anglaise. Il interpelle directement les autorités et l'opinion française et les personnes visées sont connues sur le territoire français", expliquent les avocats des plaignants pour justifier la compétence de Paris.
"Les militaires ayant servi au Rwanda de 1990 à 1994, et en particulier ceux qui ont participé à l'Opération Turquoise", ont été accusés d'avoir "+pleinement pris en charge le projet génocidaire+, plusieurs d'entre eux étant désignés nominativement comme comptant parmi les + personnalités militaires françaises les plus impliquées dans le génocide+", rappelle le général Lafourcade, dans un communiqué.
"Des militaires français ont commis eux-mêmes directement des assassinats de Tutsis et de Hutus (...) des militaires français ont commis de nombreux viols sur des rescapées tutsies", dénonçait également le communiqué rwandais
"Ces accusations graves et infondées ne pouvaient rester sans réponse. C'est pourquoi, une dizaine d'officiers mis en cause, atteints dans leur honneur, ont décidé de donner une suite judiciaire aux accusations ainsi portées, devant la justice de notre pays", explique le général Lafourcade.
Environ 800.000 personnes, selon l'ONU, essentiellement parmi les minorités tutsie et les Hutus modérés, ont été tuées pendant le génocide d'avril à juillet 1994 au Rwanda, planifié et exécuté par les extrémistes hutus.
"Les soldats français ont rempli de manière digne et exemplaire, sous les yeux de nombreux observateurs, la mission qui leur a été désignée au Rwanda par le gouvernement et le président de la République. Les Nations Unies et la Communauté internationale leur en ont donné acte en 1994", explique l'officier supérieur.
"En 1998, une commission parlementaire française a écarté toute ambiguïté possible sur leur action", poursuit le général en qualifiant les accusations portées d'"indignes et d'inacceptables".
"Je pense que ce rapport est la réponse du président (rwandais Paul) Kagame aux accusations portées par la France sur son implication dans l'attentat contre Habyarimana (ancien président rwandais). Pour moi c'est très politique", avait estimé en août l'amiral Jacques Lanxade, chef d'Etat-major des armées à l'époque du génocide.
Kigali a rompu fin novembre 2006 ses relations diplomatiques avec Paris après que le juge Jean-Louis Bruguière a réclamé des poursuites contre M. Kagame pour sa "participation présumée" à cet attentat.
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Sunday, November 2, 2008
Mesdames,
Messieurs,
Les média occidentaux reprennent encore une fois la chanson de haine de Paul Kagame.
Jusqu'aujourd'hui, des vies humaines perdues se comptent par dizaines de millions. Ce qui n'embarrasse personne de ces média puisqu’elles reprennent les slogans leur dictés par leurs gouvernement respectifs. S’il ya changement d'administration côté rebelle, les copy/paste ou copier/coller journalistes attendent des instructions pour divulguer le nouveau chef du CNDP. C'est en fait la vraie tragédie dans la région et au Rwanda en particulier.
Messieurs,
Les média occidentaux reprennent encore une fois la chanson de haine de Paul Kagame.
Jusqu'aujourd'hui, des vies humaines perdues se comptent par dizaines de millions. Ce qui n'embarrasse personne de ces média puisqu’elles reprennent les slogans leur dictés par leurs gouvernement respectifs. S’il ya changement d'administration côté rebelle, les copy/paste ou copier/coller journalistes attendent des instructions pour divulguer le nouveau chef du CNDP. C'est en fait la vraie tragédie dans la région et au Rwanda en particulier.
Un réfugé Hutu survivant des massacres du FPR au Congo
Il est aussi incompréhensible le fait que l'homme recherché par la communauté internationale pour blanchiment d'argent soit un ami, un interlocuteur pour le monde Libre. Et lorsque j'apprends tous les jours à mon travail la lutte contre le blanchiment d'argent (anti-money laundering), cela me fait la honte alors que l'Union Européenne et les Etats Unis se sont engagés à lutter contre ce fléau.
Ceci me mène à comprendre pourquoi l'opium en Afghanistan reste une production soutenue avec des milliers d'ha plantés. Les enfants afghans, les femmes afghanes se nourrissent actuellement de la drogue.
Alors qu' il n'y a pas longtemps, les femmes ne pouvaient oser. Est-ce le développement attendu de l'Occident? Questionnable!
Très peu de ces réfugiés pourront survivre les grands masscres
du FPR sous les ordres de Paul Kagame
Au contraire, je m'attendais à ce que les occidentaux, à commencer par l'Union Européenne, prennent des mesures draconiennes contre les rebelles et le régime criminel et récidiviste rwandais. Aucun mot ne sort de ces média. La seule organisation qui a dénoncé ce comportement indigne est Norvégienne. Son représentant a déclarer sur BBC que les crimes qui se font en RDC sont plus 20 fois plus grave qu'en Afghanistan, 100 fois plus grave qu' en Irak. Et pourtant 9 millions et demi de Congolais et de Hutus Rwandais sont morts sous l'étiquette de la recherche des Interahamwe. Des enfants, des femmes ont été massacrés sous la même étiquette en 1994. En 1995, les mêmes méga massacres ont été commis contre les enfants Hutus et les femmes Hutus, innocentes dans cette tragédie sous la même étiquette nourri et avec le couvert des média occidentaux.
En 1996, 1997 et en 1998, de nouveaux massacres ont été commis contre les Réfugiés Hutus toujours taxés de génocidaires, la même étiquette. Des enfants, des femmes, ont été violés, massacrés, enterrés vivants, les corps coupés de leurs corps avec de petites haches que leur fournissaient certains de ces Occidentaux. Tout le monde sait de qui je parle. Je les ai croisés au moment où je rentrais de force au Rwanda. C'était la première fois que je voyais de petites haches attachés avec des poignards-baïonnette militaires.
Qui dira, des autorités administratives anglo-américaines, des autorités belges du moment et d'aujourd'hui, que le génocide n'est pas planifié avec leur participation?
Au contraire, je m'attendais à ce que les occidentaux, à commencer par l'Union Européenne, prennent des mesures draconiennes contre les rebelles et le régime criminel et récidiviste rwandais. Aucun mot ne sort de ces média. La seule organisation qui a dénoncé ce comportement indigne est Norvégienne. Son représentant a déclarer sur BBC que les crimes qui se font en RDC sont plus 20 fois plus grave qu'en Afghanistan, 100 fois plus grave qu' en Irak. Et pourtant 9 millions et demi de Congolais et de Hutus Rwandais sont morts sous l'étiquette de la recherche des Interahamwe. Des enfants, des femmes ont été massacrés sous la même étiquette en 1994. En 1995, les mêmes méga massacres ont été commis contre les enfants Hutus et les femmes Hutus, innocentes dans cette tragédie sous la même étiquette nourri et avec le couvert des média occidentaux.
En 1996, 1997 et en 1998, de nouveaux massacres ont été commis contre les Réfugiés Hutus toujours taxés de génocidaires, la même étiquette. Des enfants, des femmes, ont été violés, massacrés, enterrés vivants, les corps coupés de leurs corps avec de petites haches que leur fournissaient certains de ces Occidentaux. Tout le monde sait de qui je parle. Je les ai croisés au moment où je rentrais de force au Rwanda. C'était la première fois que je voyais de petites haches attachés avec des poignards-baïonnette militaires.
Qui dira, des autorités administratives anglo-américaines, des autorités belges du moment et d'aujourd'hui, que le génocide n'est pas planifié avec leur participation?
Qui peut m’expliquer une telle animosité? Une animosité qui a commencé en 1990, 1993, 1994, 1995, 1996, 1998 jusqu'aujourd'hui? des millions de corps d'une ethnie présentés au monde entier comme des corps d'une autre ethnie! Tout ceci pour masquer leurs crimes. Les images que nous voyons à la télé sont celles qui rendent hommage à celui qui est responsable de la tragédie rwandaise et congolaise. Ces mêmes média sont allés plus loin pour nous dire, à nous les survivants, que Paul Kagame est, ouvrez les guillemets, un bon stratège, un vrai new leader fermez violemment les guillemets.
Jean-Christophe, Nizeyimana, dans "J'accuse"
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Friday, October 31, 2008
Il paraît que le 1er octobre ait été, au Pays des mille collines, proclamé, FÊTE NATIONALE DES HÉROS !!!Pour ma part, je considère que le 1er octobre de chaque année devrait être proclamé JOUR DE DEUIL NATIONAL. Le calvaire actuel du peuple rwandais a pour point de départ cette date-là. Au demeurant, le législateur rwandais ne s'y est pas du tout trompé. La loi organique n° 8/96 sur l'organisation des poursuites des infractions constitutives du crime de génocide ou de crimes contre l'humanité adoptée par l'Assemblée Nationale de Transition le 9 août 1996, sanctionnée et promulguée par le Président de la République le 30 août 1996 et publiée au Journal Officiel de la République Rwandaise n° 17 du 1er septembre 1996 s'applique au génocide et aux crimes contre l'humanité commis au Rwanda À PARTIR DU 1er octobre 1990. C'EST TOUT DIRE. Le début du génocide et des crimes contre l'humanité n'est certainement pas un jour de fête. C'est (ou ce devrait être) un JOUR DE DEUIL NATIONAL. D'aucuns objecteront, à juste titre, que ce qui a poussé une couche de la population rwandaise exilée du pays depuis des décennies à prendre les armes pour retourner chez elle, C'EST UNE SITUATION D'INJUSTICE FLAGRANTE QUI N'AVAIT QUE TROP DURÉ (plus de 30 ans d'exil forcé). Ils n'ont pas complètement tort.
Il va sans dire qu'il s'agissait d'UNE SITUATION SCANDALEUSE, INIQUE ET INACCEPTABLE. Nul Rwandais n'a le droit de dénier à un autre Rwandais le droit de retourner chez lui, sur la terre de ses ancêtres. C'est pourtant ce que les deux premières Républiques successives ont fait pendant plus de 30 ans. Par ailleurs, les négociations, notamment entre les gouvernements rwandais et ougandais, pour régler pacifiquement la question des réfugiés PIÉTINAIENT. En réalité, le gouvernement rwandais traînait les pieds et faisait preuve d'une mauvaise foi manifeste à tel point qu'une solution pacifique à court terme à la question des réfugiés semblait très hypothétique. Certains réfugiés, appuyés par un des pays voisins du Rwanda ont alors décidé de prendre les armes en vue de régler cette question MILITAIREMENT. C'est ce qui eut lieu. DOMMAGE VRAIMENT.
Ce qui a ainsi eu lieu est sans doute très logique pour toute personne qui croit aux vertus de la lutte armée comme mode de règlement de certains problèmes de société.
Je ne fais pas partie de cette catégorie de personnes-là. A mes yeux, les frappes aériennes contre l'IRAK en 1991 étaient tout aussi condamnables que l'invasion du Koweit par les troupes irakiennes en 1990. L'invasion des troupes rwandaises et ougandaises du Congo de Kabila était tout autant condamnables que l'occupation d'une partie du territoire éthiopien par les troupes érythréennes (et vice versa). La violence des troupes russes en Tchétchénie est tout autant condamnable que les exactions commises par les indépendantistes tchétchènes contre les intérêts russes, etc..., etc..., etc...
La lutte armée est la plus mauvaise solution pour régler les problèmes de ce monde. Les Benjamin Franklin, Victor Hugo et les autres avaient certainement raison, quand ils disaient:
1) "UNE BONNE GUERRE, UNE MAUVAISE PAIX: CELA N'EXISTE PAS".(Benjamin Franklin)
2) "QU'EST-CE QUE LA GUERRE? C'EST LE SUICIDE DES MASSES."(Victor Hugo)
3) "LA GUERRE! C'EST UNE CHOSE TROP GRAVE POUR LA CONFIER À DES MILITAIRES."(Georges Clemenceau)
4) "Il semble que le héros est d'un seul métier, qui est celui de la guerre, et que le grand homme est de tous les métiers... L'un et l'autre mis ensemble ne pèsent pas un homme de bien." (La Bruyère)
5) "Le vrai démocrate est celui qui par des moyens purement non violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son pays et, finalement, celle de l'humanité toute entière" (Gandhi).
Ceux dont le coeur est à la fête à l'occasion du 1er octobre de chaque année, ont leurs propres convictions que je ne partage pas.
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Habyarimana Kagame15 Feb 2008, 23:24
Does Rwandan "development record" prevent criminals from being prosecuted. What is the link between administering justice and being jealous for Rwanda's development. Is there development in this Central African nation that relies entirely on foreign aid, with no steady supply of power, no proper functioning infrastructure, and a big proportion of poor and starving peasants. What is wrong with suspected criminals facing justice? How can we determine the innocence of anyone, unless by examining them by laws? Why should Hutus be prosecuted for their participation in genocide and not Tustis when evidence shows that the latter took part in reprisal killings in Rwanda and beyond its borders? As Rwandans we see not even the slightest objection to an all-round justice. Judge Frenado needs to be commended for his firm belief in equity justice as a way of enhancing democracy. If Kagame and his cronies are rules innocent, then they will be set free and can resume their normal lives. Refraining to administer judicial trials against suspected genocidares in the RPF regime is a crime similarly to the laxity of the rest of the world in intervening in the 1994 catastrophe.But the people of Rwanda too have a role to play in exercising justice. Madame Victoire iNGABIRE of the Rwandan Rally for Democracy quoted in her independence speech that foreign powers might never take the initiative to arrest RPF genocide suspect, in that case, the Rwandan people have to do so.The only way to do so is to fight this ugly blood-thirst regime. Rwandans cannot be ruled by killers and therefore, an armed struggle has approval. The revolutionary war will have the responsibility of bringing Kagame and his cronies under justice. And ending the cycle of impunity in central Africa once for all.
Habyarimana Kagame15 Feb 2008, 23:24
Does Rwandan "development record" prevent criminals from being prosecuted. What is the link between administering justice and being jealous for Rwanda's development. Is there development in this Central African nation that relies entirely on foreign aid, with no steady supply of power, no proper functioning infrastructure, and a big proportion of poor and starving peasants. What is wrong with suspected criminals facing justice? How can we determine the innocence of anyone, unless by examining them by laws? Why should Hutus be prosecuted for their participation in genocide and not Tustis when evidence shows that the latter took part in reprisal killings in Rwanda and beyond its borders? As Rwandans we see not even the slightest objection to an all-round justice. Judge Frenado needs to be commended for his firm belief in equity justice as a way of enhancing democracy. If Kagame and his cronies are rules innocent, then they will be set free and can resume their normal lives. Refraining to administer judicial trials against suspected genocidares in the RPF regime is a crime similarly to the laxity of the rest of the world in intervening in the 1994 catastrophe.But the people of Rwanda too have a role to play in exercising justice. Madame Victoire iNGABIRE of the Rwandan Rally for Democracy quoted in her independence speech that foreign powers might never take the initiative to arrest RPF genocide suspect, in that case, the Rwandan people have to do so.The only way to do so is to fight this ugly blood-thirsty regime. Rwandans cannot be ruled by killers and therefore, an armed struggle has approval. The revolutionary war will have the responsibility of bringing Kagame and his cronies under justice. And ending the cycle of impunity in central Africa once for all.
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Wednesday, October 29, 2008
Kagame Soutenu par le médiocre président que les Etats Unis aient jamais eu. G. Walker Bush en complicité avec Blair, le conseiller du Top Nazi Rwandais. D'où viennent les ordres d'attaquer, de se retirer, de faire la trêve? Qui finance le terrorisme, et le génocide en RDC et au Rwanda? Un crève-la faim Nkunda est-il en mesure d'achter des armes qui coûtent des millions de dollars? Qui est derrière ce plan macabre? Paul Kagameest habillé par la mafia, le fascisme et le nazisme international. Personne n'ignore son passé, un délinquant dont les chiques lui étaient ce que sont les tiques aux vaches. Qui finance ses agressions, ses guerres? Ne faudra-il pas trainer en justice cuex-là mêmes qui financent les criminels Tutsis jouissant de l'impunité même s'il faut violer 50 Congolaises ou Hutues réfugiées en RDC (fillettes et leurs mamans confondus)?
Bravo aux officiers congolais au front dans le Kivu, et qui ont alerté leurs compagnons d’armes à Kinshasa et à travers tout le pays, de refuser d’aller au front pour être livré en pâture à l’ennemi comme de la chair à canon. Une manière astucieuse d’éliminer les vaillants fils et filles du pays pour les remplacer progressivement par des infiltrés rwandais au sein du CNDP.
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En effet, le nouveau responsable de la Monuc qui venait à peine de prendre ses fonctions trois semaines plus tôt, a été scandalisé par le degré de complicité interne et externe qui alimente et entretient le désastre humanitaire qui sévit en République Démocratique du Congo depuis plus d’une décennie. Le Commandant espagnol a été autant effrayé et qu’indigné, nous a confié notre source, par le degré d’infiltration des institutions de la RDC au plus haut sommet de l’Etat et au sein des FARDC (armée congolaises) par ses voisins et agresseurs de l’Est, rendant ainsi inefficace voir dangereuse la mission de l’ONU dans cette région. Il a été ensuite ahuri par la complexité des intérêts financiers et économiques des différents puissants lobbies qui soutiennent et alimentent la guerre à l’Est du pays, et qui annihilent tout effort de la MONUC à ramener la paix dans cette partie de l’Afrique. Trop de forces centrifuges opérant à partir de Kinshasa et de l’extérieure de la RDC compromettent pour plusieurs années la paix et la sécurité dans la partie Est du pays.
L’acte courageux du commandant espagnol Vicente Diaz de Villegas est un signal fort pour le peuple congolais. Il a secoué le cocotier de la Communauté internationale. Le monde se réveille enfin et commence à se poser des vraies questions sur ce qui se passe réellement dans notre pays, la République Démocratique du Congo. C’est donc le moment où tout le peuple congolais doit se mettre debout pour se prendre en charge.
Bravo aux bataillons des FARDC qui ont jeté leurs armes et refusé de s’embarquer dans l’avion pour aller mourir bêtement dans le piège de Kanambe et de ses frères rwandais dans le front. Les militaires congolais doivent avant toute autre chose se débarrasser traîtres qui foisonnent au sein des Etats-majors des FARDC, en commençant par son «Commandant suprême» («Joseph Kabila») qui est agent des services de renseignement de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) et de Paul Kagame qui l’a introduit en RDC dans les bagages de l’AFDL.
Bravo aux bataillons des FARDC qui ont jeté leurs armes et refusé de s’embarquer dans l’avion pour aller mourir bêtement dans le piège de Kanambe et de ses frères rwandais dans le front. Les militaires congolais doivent avant toute autre chose se débarrasser traîtres qui foisonnent au sein des Etats-majors des FARDC, en commençant par son «Commandant suprême» («Joseph Kabila») qui est agent des services de renseignement de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) et de Paul Kagame qui l’a introduit en RDC dans les bagages de l’AFDL.
Ayant constaté avec certitude que la situation sécuritaire de l’Est de la RDC se dégrade dangereusement et présage pour un avenir très proche d’un nouveau génocide à une échelle très élevée, le nouveau Commandant de la MONUC a constaté en revanche que l’ONU n’avait pris aucune disposition adéquate pour empêcher ces nouveaux massacres à grande échelle. Il estime donc que comme au Rwanda en 1994, la communauté internationale, en l’occurrence l’ONU, avec la complicité des hautes autorités congolaises, ferme déjà les yeux sur une situation hautement dramatique et humainement insupportable qui s’annoncent pour les jours à venir.
Bravo aux officiers congolais au front dans le Kivu, et qui ont alerté leurs compagnons d’armes à Kinshasa et à travers tout le pays, de refuser d’aller au front pour être livré en pâture à l’ennemi comme de la chair à canon. Une manière astucieuse d’éliminer les vaillants fils et filles du pays pour les remplacer progressivement par des infiltrés rwandais au sein du CNDP.
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Les dessous d’un génocide programmé dans l’Est de la RDC
L’Oeil du Patriote l’avait annoncé il y a déjà quelques jours, et le Président de l’APARECO l’a stigmatisé avec force dans le mémorandum qu’il vient d’adresser aux Chefs d’Etats et de Gouvernements africains: le processus d’occupation de l’Est de la République Démocratique du Congo par le Rwanda et l’Ouganda, avec la complicité de «Joseph Kabila» et de Laurent Nkunda interposé, est désormais dans sa phase finale. Alors que nos troupes espèrent en vain, un renforcement de leurs positions, l’imposteur national cherche plutôt à distraire le peuple congolais en tournant ses regards vers des mises en scènes des découvertes des caches d’armes à Kinshasa. Ce qui lui fournit en même temps le prétexte de mobiliser le gros de l’effectif de l’armée à des opérations nocturnes de bouclage pour dénicher d’autres caches d’armes. Déjà plusieurs cris se font entendre parmi la population pour dénoncer des exactions, des abus et des nombreux cas de viols auxquels se livrent les militaires commis à ces opérations.
L’Oeil du Patriote l’avait annoncé il y a déjà quelques jours, et le Président de l’APARECO l’a stigmatisé avec force dans le mémorandum qu’il vient d’adresser aux Chefs d’Etats et de Gouvernements africains: le processus d’occupation de l’Est de la République Démocratique du Congo par le Rwanda et l’Ouganda, avec la complicité de «Joseph Kabila» et de Laurent Nkunda interposé, est désormais dans sa phase finale. Alors que nos troupes espèrent en vain, un renforcement de leurs positions, l’imposteur national cherche plutôt à distraire le peuple congolais en tournant ses regards vers des mises en scènes des découvertes des caches d’armes à Kinshasa. Ce qui lui fournit en même temps le prétexte de mobiliser le gros de l’effectif de l’armée à des opérations nocturnes de bouclage pour dénicher d’autres caches d’armes. Déjà plusieurs cris se font entendre parmi la population pour dénoncer des exactions, des abus et des nombreux cas de viols auxquels se livrent les militaires commis à ces opérations.
Et pendant que le tout nouveau Premier Ministre congolais s’offre en spectacle dans un show politique minable avec ses nouveaux ministres du gouvernement dit «de combat», posant (pour les fans?) comme des joueurs d’une équipe au pied de l’avion devant les amener à Goma pour … «encourager les troupes » (sic), sur le terrain des opérations à l’est du pays où se joue le sort de millions d’hommes, de femmes et d’enfants, la situation tourne à la catastrophe. Pour une fois, l’opinion internationale, les médias européens en particulier, semble se réveiller devant l’ampleur du cataclysme en perspective. Mais ce n’est pas la
compassion qui est à la base de ce réveil de la conscience collective d’une opinion européenne longtemps indifférente aux crimes les plus abjects qui se commettent chaque jour dans cette partie de la RDC depuis plus d’une décennie. Loin s’en faut ! L’homme qui a créé l’événement et bousculé les consciences en jetant le pavé dans la marre s’appelle Vicente Diaz de Villegas, Commandant espagnol de la MONUC qui vient de prendre le service il y a à peine trois semaines. Officiellement, il a démissionné pour des raisons de convenance personnelle. C’est la version diplomatique consacrée pour ne pas donner la vraie raison .Ainsi, L’oeil du Patriote a obtenu pour vous, de la part d’un diplomate européen à Kinshasa et qui a requis l’anonymat, les véritables raisons cachées qui ont poussé le Général espagnol à jeter l’éponge dès le début de son mandat. Curieux non ? Ces raisons illustrent d’elles-mêmes l’ampleur du complot dont notre pays est victime.
compassion qui est à la base de ce réveil de la conscience collective d’une opinion européenne longtemps indifférente aux crimes les plus abjects qui se commettent chaque jour dans cette partie de la RDC depuis plus d’une décennie. Loin s’en faut ! L’homme qui a créé l’événement et bousculé les consciences en jetant le pavé dans la marre s’appelle Vicente Diaz de Villegas, Commandant espagnol de la MONUC qui vient de prendre le service il y a à peine trois semaines. Officiellement, il a démissionné pour des raisons de convenance personnelle. C’est la version diplomatique consacrée pour ne pas donner la vraie raison .Ainsi, L’oeil du Patriote a obtenu pour vous, de la part d’un diplomate européen à Kinshasa et qui a requis l’anonymat, les véritables raisons cachées qui ont poussé le Général espagnol à jeter l’éponge dès le début de son mandat. Curieux non ? Ces raisons illustrent d’elles-mêmes l’ampleur du complot dont notre pays est victime.
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PAUL KAGAME OU L' INCARNATION D'ADOLPHE HITLER
Il est notoire que cette attaque généralisée ou systématique contre la population civile congolaise est facilitée par certains dirigeants occidentaux sans scrupules qui donnent des ordres à Kagame de masscrer tout sur son passage pourvu que le pillage des ressources minières en République Décratique du Congo soit possible.
http://untreaty.un.org/ilc/texts/instruments/francais/projet_d'articles/7_3_1954_francais.pdf
PROJET DE CODE DES CRIMES CONTRE LA PAIX
ET LA SECURITE DE L’HUMANITE
1954
Texte adopté par la Commission à sa sixième session, en 1954, et soumis à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les travaux de ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 1954, vol. II.
Copyright © Nations Unies
Principe VII
La complicité d’un crime contre la paix, d’un crime de guerre ou d’un crime contre l’humanité, tels qu’ils sont défi nis dans le principe VI, est un crime de droit international.
3. PROJET DE CODE DES CRIMES (1954 ET 1996)
a) Projet de code des crimes contre la paix
et la sécurité de l’humanité (1954)*
Article premier
Les crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité défi nis dans le présent code sont des crimes de droit international, et les individus qui en sont responsables seront punis.
Article 2
Les actes suivants sont des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité :
1) Tout acte d’agression, y compris l’emploi par les autorités d’un Etat de la force armée contre un autre Etat à des fins autres que la légitime défense nationale ou collective ou soit l’exécution d’une décision, soit l’application d’une recommandation d’un organe compétent des Nations
Unies.
2) Toute menace, par les autorités d’un Etat, de recourir à un acte d’agression contre un autre Etat.
3) Le fait, pour les autorités d’un Etat, de préparer l’emploi de la force armée contre un autre Etat à des fi ns autres que la légitime défense nationale ou collective ou soit l’exécution d’une décision, soit l’application d’une recommandation d’un organe compétent des Nations Unies.
4) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’organiser ou d’encourager sur son territoire ou sur tout autre territoire l’organisation des bandes armées en vue d’incursions sur le territoire d’un autre Etat, ou d’en tolérer l’organisation sur son propre territoire, ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer que des bandes armées se servent de son territoire comme base d’opérations ou comme point de départ pour des incursions sur le territoire d’un autre Etat, ainsi que la participation directe ou l’appui donné à l’incursion.
* Texte adopté par la Commission à sa sixième session, en 1954, et soumis à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les travaux de ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire
de la Commission du droit international, 1954, vol. II.
5) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’entreprendre ou d’encourager des activités visant à fomenter la guerre civile dans un autre Etat,
ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer des activités organisées visant à fomenter la guerre civile dans un autre Etat.
6) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’entreprendre ou d’encourager des activités terroristes dans un autre Etat, ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer des activités organisées calculées en vue de perpétrer des actes terroristes dans un autre Etat.
7) Les actes commis par les autorités d’un Etat en violation des obligations qui incombent à cet Etat en vertu d’un traité destiné à assurer la paix et la sécurité internationales au moyen de restrictions ou de limitations aux armements, à la préparation militaire ou aux fortifi cations, ou d’autres restrictions de même nature.
8) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’annexer, au moyen d’actes contraires au droit international, un territoire appartenant à un autre Etat.
9) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’intervenir dans les affaires intérieures ou extérieures d’un autre Etat par des mesures de coercition, d’ordre économique ou politique, en vue de forcer sa décision et d’obtenir des avantages de quelque nature que ce soit.
10) Les actes commis par les autorités d’un Etat ou par des particuliers dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel, y compris :
i) Le meurtre de membres du groupe;
ii) L’atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe;
iii) La soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence susceptibles d’entraîner sa destruction physique totale ou partielle;
iv) Les mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe;
v) Le transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.
11) Les actes inhumains, tels que l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation ou les persécutions, commis contre des éléments de la population civile pour des motifs sociaux, politiques, raciaux, religieux ou culturels, par les autorités d’un Etat ou par des particuliers agissant à l’instigation de ces autorités ou avec leur consentement.
12) Les actes commis en violation des lois et coutumes de la guerre.
13) Les actes qui constituent :
i) Le complot en vue de commettre l’un quelconque des Crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
ii) L’incitation directe à commettre l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
iii) La complicité dans l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
iv) La tentative pour commettre l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article.
Article 3
Le fait que l’auteur a agi en qualité de chef d’Etat ou de gouvernement ne l’exonère pas de la responsabilité encourue pour avoir commis l’un des crimes défi nis dans le présent code.
Article 4
Le fait qu’une personne accusée d’un des crimes défi nis dans le présent code a agi sur l’ordre de son gouvernement ou d’un supérieur hiérarchique ne dégage pas sa responsabilité en droit international si elle avait la possibilité, dans les circonstances existantes, de ne pas se conformer à cet ordre.
b) Projet de code des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité (1996)*
Première partie. Dispositions générales Article premier
PORTÉE ET APPLICATION DU PRÉSENT CODE
1. Le présent Code s’applique aux crimes contre la paix et la sécurité
de l’humanité énoncés dans la deuxième partie.
2. Les crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité sont des
crimes au regard du droit international et sont punissables comme tels, qu’ils soient ou non punissables au regard du droit national.
* Texte adopté par la Commission à sa quarante-huitième session, en 1996, et soumis
à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 1996, vol. II (deuxième partie).
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Il est notoire que cette attaque généralisée ou systématique contre la population civile congolaise est facilitée par certains dirigeants occidentaux sans scrupules qui donnent des ordres à Kagame de masscrer tout sur son passage pourvu que le pillage des ressources minières en République Décratique du Congo soit possible.
http://untreaty.un.org/ilc/texts/instruments/francais/projet_d'articles/7_3_1954_francais.pdf
PROJET DE CODE DES CRIMES CONTRE LA PAIX
ET LA SECURITE DE L’HUMANITE
1954
Texte adopté par la Commission à sa sixième session, en 1954, et soumis à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les travaux de ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 1954, vol. II.
Copyright © Nations Unies
Principe VII
La complicité d’un crime contre la paix, d’un crime de guerre ou d’un crime contre l’humanité, tels qu’ils sont défi nis dans le principe VI, est un crime de droit international.
3. PROJET DE CODE DES CRIMES (1954 ET 1996)
a) Projet de code des crimes contre la paix
et la sécurité de l’humanité (1954)*
Article premier
Les crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité défi nis dans le présent code sont des crimes de droit international, et les individus qui en sont responsables seront punis.
Article 2
Les actes suivants sont des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité :
1) Tout acte d’agression, y compris l’emploi par les autorités d’un Etat de la force armée contre un autre Etat à des fins autres que la légitime défense nationale ou collective ou soit l’exécution d’une décision, soit l’application d’une recommandation d’un organe compétent des Nations
Unies.
2) Toute menace, par les autorités d’un Etat, de recourir à un acte d’agression contre un autre Etat.
3) Le fait, pour les autorités d’un Etat, de préparer l’emploi de la force armée contre un autre Etat à des fi ns autres que la légitime défense nationale ou collective ou soit l’exécution d’une décision, soit l’application d’une recommandation d’un organe compétent des Nations Unies.
4) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’organiser ou d’encourager sur son territoire ou sur tout autre territoire l’organisation des bandes armées en vue d’incursions sur le territoire d’un autre Etat, ou d’en tolérer l’organisation sur son propre territoire, ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer que des bandes armées se servent de son territoire comme base d’opérations ou comme point de départ pour des incursions sur le territoire d’un autre Etat, ainsi que la participation directe ou l’appui donné à l’incursion.
* Texte adopté par la Commission à sa sixième session, en 1954, et soumis à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur les travaux de ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire
de la Commission du droit international, 1954, vol. II.
5) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’entreprendre ou d’encourager des activités visant à fomenter la guerre civile dans un autre Etat,
ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer des activités organisées visant à fomenter la guerre civile dans un autre Etat.
6) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’entreprendre ou d’encourager des activités terroristes dans un autre Etat, ou le fait, pour les autorités d’un Etat, de tolérer des activités organisées calculées en vue de perpétrer des actes terroristes dans un autre Etat.
7) Les actes commis par les autorités d’un Etat en violation des obligations qui incombent à cet Etat en vertu d’un traité destiné à assurer la paix et la sécurité internationales au moyen de restrictions ou de limitations aux armements, à la préparation militaire ou aux fortifi cations, ou d’autres restrictions de même nature.
8) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’annexer, au moyen d’actes contraires au droit international, un territoire appartenant à un autre Etat.
9) Le fait, pour les autorités d’un Etat, d’intervenir dans les affaires intérieures ou extérieures d’un autre Etat par des mesures de coercition, d’ordre économique ou politique, en vue de forcer sa décision et d’obtenir des avantages de quelque nature que ce soit.
10) Les actes commis par les autorités d’un Etat ou par des particuliers dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel, y compris :
i) Le meurtre de membres du groupe;
ii) L’atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe;
iii) La soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence susceptibles d’entraîner sa destruction physique totale ou partielle;
iv) Les mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe;
v) Le transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.
11) Les actes inhumains, tels que l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation ou les persécutions, commis contre des éléments de la population civile pour des motifs sociaux, politiques, raciaux, religieux ou culturels, par les autorités d’un Etat ou par des particuliers agissant à l’instigation de ces autorités ou avec leur consentement.
12) Les actes commis en violation des lois et coutumes de la guerre.
13) Les actes qui constituent :
i) Le complot en vue de commettre l’un quelconque des Crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
ii) L’incitation directe à commettre l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
iii) La complicité dans l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article;
iv) La tentative pour commettre l’un quelconque des crimes défi nis aux paragraphes précédents du présent article.
Article 3
Le fait que l’auteur a agi en qualité de chef d’Etat ou de gouvernement ne l’exonère pas de la responsabilité encourue pour avoir commis l’un des crimes défi nis dans le présent code.
Article 4
Le fait qu’une personne accusée d’un des crimes défi nis dans le présent code a agi sur l’ordre de son gouvernement ou d’un supérieur hiérarchique ne dégage pas sa responsabilité en droit international si elle avait la possibilité, dans les circonstances existantes, de ne pas se conformer à cet ordre.
b) Projet de code des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité (1996)*
Première partie. Dispositions générales Article premier
PORTÉE ET APPLICATION DU PRÉSENT CODE
1. Le présent Code s’applique aux crimes contre la paix et la sécurité
de l’humanité énoncés dans la deuxième partie.
2. Les crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité sont des
crimes au regard du droit international et sont punissables comme tels, qu’ils soient ou non punissables au regard du droit national.
* Texte adopté par la Commission à sa quarante-huitième session, en 1996, et soumis
à l’Assemblée générale dans le cadre de son rapport sur ladite session. Le rapport, qui contient également des commentaires sur les projets d’articles, est reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 1996, vol. II (deuxième partie).
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Saturday, October 25, 2008
Tony Blair, The Rwanda Nazism adviser
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
- He actually wear the Rwanda nazism medals granted by his best friend Paul Kagame, the heavyweight criminal the world has ever hosted. He is alleged to have funded neo- Nazi activities in Rwanda by supporting and advising the African Hitler.
- 9 years in power
- 71,617 deaths
- Iraq war (2003-)
- 115 UK troop deaths 30,000 Iraqi troop deaths (estimate by Gen Tommy Franks in Oct 2003) 39,460-43,927 civilian deaths (Iraq Body Count)
Afghanistan (2001-) - 16 UK troop deaths (as of 1 August 2006)
- 1,300-8,000 direct civilian deaths (Guardian estimate). Unknown Taliban deaths
- Sierra Leone (2000-2002)
- 1 UK troop death 25 foreign troop deaths (at least)
Nato bombing of Serbia (1999) - No UK troop deaths. Unknown Serbian troop deaths 500-1,500 civilian deaths (according to Human Rights Watch/Nato estimates)
- Operation Desert Fox (1998)
- 200-300 Iraqi deaths (based on UN estimate)
- John Major22,316 deaths7 years in power Gulf war (1991)
- 16 UK troop deaths 20,000-22,000 Iraqi troop deaths 2,300 civilian deaths (according to the Iraqi government)
- The figures do not take into account the estimated 350,000 Iraqis who died as a result of sanctions between 1991 and 2003 - under John Major and Tony Blair.
- Blair's body count is probably underestimated here because there are no figures for Taliban and Serbian military deaths.
- Estimates for Iraqi deaths range between 30,000 and 300,000. The official Bush estimate is 30,000 deaths. Iraq Body Count estimates between 39,460 and 43,927, although it admits this is far below the real total, as the database counts only reported deaths. A Lancet report in 2004 estimated 100,000 deaths, although one of the authors says the total could be 300,000.
- 458,000 Hutus killed in Biumba, Rwanda by RPF rebels backed by the British goverment
- 21,000 Hutus mass-slaughtered including children and women in Kibeho camp, the second biggest camp after Auschuitz
- 1,750,000 Hutu refugees mass-assasinated in the Democratic Republic of the Congo in 1996-1997 RPF invasion.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
General Dallaire helped the mega massacres in Rwanda by covering RPF crimes and for what has happened during the 1993-1994 assassnations and massacres.
General Dallaire has blood on his hands, told him Jean-Christophe in the Hague, Netherlands
UNAMIR military force commander, Canadian General Romeo Dallaire is believed to have much blood on his hands after he covered up RPF crimes in Rwanda
The murder of two African presidents
The idea that the Rwandan government planned the genocide of the minority Tutsi population in 1994 rests primarily on the statements of the enemies of that government who need the idea of a genocide in order to justify the final act of aggression against Rwanda by the Rwanda Patriotic Front (RPF) so-called and its allies. That final act of aggression was the RPF offensive launched the night of April 6, 1994 with the massacre of everyone on board the jet aircraft of President Habyarimana, the Hutu president of Rwanda and President Ntaryamira, the Hutu president of Burundi.
The two presidents were returning from a meeting called by President Museveni of Uganda to discuss the implementation of the Arusha Accords, the peace agreement between the Rwandan government and the RPF-Ugandan forces which had invaded the country in 1990. Also on board the plane was the Rwandan Army Chief of Staff, other dignitaries and a French military crew. The plane was shot down by anti-aircraft missiles as it approached Kigali airport. It is now established that the plane was shot down by the RPF with the cooperation and assistance of western powers including the United States of America, Britain, Belgium and Canada. President Ntaryamira was the second Hutu president murdered by Tutsis. President Ndadaye of Burundi was murdered by Tutsi officers of the Burundi Army in October of 1993.
British and US interests
The attack on the plane was the culmination of a long-planned war by the RPF and its allies. The war began in 1990 when Ugandan soldiers of Tutsi origin invaded Rwanda under the name of the RPF. This act of aggression by Uganda was supported by both Britain and the USA. Those countries provided the encouragement and the financial, material, logistical, advisory and training support necessary, flowing it all through the Ugandan Army to the RPF. The American and British instigated and controlled the war as a means of advancing their grand strategy of invading Zaire to seize control of the vast resources of the Congo basin.
The first attack was repelled and the RPF then adopted terrorism and guerilla operations to undermine Rwanda. Several other major attacks took place in the following three years. At the same time, the western allies of the RPF pressured the Rwandan government to come to terms with the RPF and in 1993 at Arusha, Tanzania, a series of negotiations resulted in the signing of the Arusha Accords. The Rwandan government was forced to make several major concessions to the RPF even though it could only claim, at best, to represent 15% of the Rwandan population. The Accords called for the establishment of a transition government sharing power with the RPF, leading to elections of a final government. However, it was known by everyone that the RPF could never win such elections and could only win power by force of arms and treachery.
Enter Dallaire
The Accords also called for the presence in Rwanda of a neutral UN force to help keep the peace during the process. That force, known as UNAMIR, was headed by Jacques Roger Booh-Booh and, under him, the military force commander, Canadian General Romeo Dallaire.
As UN documents show, Dallaire was aware, at least from December 1993, and probably before, that the RPF, with the support of the Ugandan Army, was daily violating the Accords by sending into Rwanda men, materiel, and light and heavy weapons in preparation for a final offensive. Dallaire kept this information from his boss Booh-Booh and the Secretary General, Boutros-Ghali. The RPF was assisted in these violations of the Accords by the Belgian contingent of UNAMIR and the Canadian officers involved who turned a blind eye to the RPF and Ugandan Army smuggling into Rwanda men and materiel and even assisted them in doing so all the while protesting that the Hutu regime was hiding weapons, a charge which has never been proved.
In conjunction with the military build-up by the RPF and its allies, including the infiltration into Kigali, the capital city, of up to 10,000 RPF soldiers, western journalists and western intelligence services masquerading as “human rights” organizations began a concerted propaganda campaign against the Government and through it the Hutu people, accusing it of various human rights abuses, none of which were substantiated. The RPF engaged in assassinations of officials, politicians and civilians, and attempted to cast the blame on the government. Dallaire assisted in this campaign by suppressing facts concerning these crimes and openly siding with the RPF propaganda statements.
A country pushed to the brink
These actions, combined with the stresses of the war on the economy and the social fabric of the country, mass unemployment, a large internal refugee population fleeing RPF attacks, and the breakdown of the government’s ability to function caused by the collapse of revenue from coffee and tea exports, resulted in a tinderbox. Only a spark was needed for the country to explode. That spark was the murder of the much-loved President and the country-wide offensive launched by the RPF and its allies the night of April 6, 1994.
From the very start of their offensive, the RPF began a propaganda campaign claiming that they were motivated by the need to stop a “genocide”. This entirely false claim was never questioned by the western press, always eager to support their governments, even in the face of the fact that the Rwandan government several times asked the RPF for cease-fires so that civilian attacks on civilians could be stopped, and the fact that Rwanda, then a member of the Security Council, demanded that 5,000 more UN troops be sent to assist in controlling the situation a request refused at the instigation of the US.
They stepped up this campaign as the war progressed. On April 13, 1994 the RPF demanded the trial of the Rwandan government and army for “genocide” before an international tribunal, echoing the threat made to President Habyarimana by Herman Cohen[2] on behalf of the US in the fall of 1993 that unless Habyarimana ceded all power to the RPF his body would be dragged through the streets of Kigali and his government tried by an international tribunal. This demand at one and the same time:
criminalized the Rwandan government,
justified the RPF and American refusal to negotiate terms with “criminals”,
prevented the government from obtaining support and assistance from its major western ally, France,
destroyed any support it had in the international community and public opinion, and finally,
justified the brutal RPF military dictatorship over the people of Rwanda and the refusal to allow Hutus any power in Rwanda.
The RPF and its allies succeeded in all these objectives and continue their propaganda campaign today with continuous show trials both in Rwanda, through the Gacaca “trial” system and through the show trials of Hutus taking place at the American and British controlled Rwanda War Crimes Tribunal in Arusha, Tanzania.
Two major problems with RPF claims of genocide
However, there are two major problems with the RPF claims. Firstly, there is a surprising lack of evidence of a genocide of Tutsis. In fact, the only independent study of those killed in Rwanda in 1994, being conducted by a team of researchers at the University of Maryland indicates that there were approximately 250,000 people killed, not the 800,000 plus advanced by the RPF and that for every Tutsi killed two Hutus were killed and those mainly by the RPF. This is confirmed in the recently released book, Rwanda, Histoire Secrete (2005, Edition du Panama) written by a former RPF officer named Abdul who states that the RPF shot down the plane [for further sources on this key issue see APPENDIX below] and that there was a genocide not of Tutsis by Hutus but of Hutus by the RPF.
Secondly, there is a stunning lack of documentary evidence of a government plan to commit genocide. There are no orders, minutes of meetings, notes, cables, faxes, radio intercepts or any other type of documentation that such a plan ever existed. In fact, the documentary evidence establishes just the opposite.
The "genocide" fax
This lack of documentation is the Achilles Heel of the RPF-western claims of genocide. Something was needed to fill this void. That something is the so-called “genocide” fax supposedly sent to New York UN HQ on the night of January 10th-11th 1994 and which first made its appearance in public on November 28th, 1995 when it was placed in the UN files in New York and contemporaneously leaked to a journalist in Belgium and the London Observer.
This fax is the single document upon which the claims of a planned genocide rest. It was supposedly sent by General Dallaire to General Baril, another Canadian general at the Dept of Peace Keeping Operations in New York. It sets out the claims of a UN informant named Jean Pierre Turatsinze that the ruling government party planned to exterminate Tutsis, was training civilians for that purpose and that there was a plan to kill Belgian soldiers to provoke the withdrawal of UN forces. This fax has been trumpeted by the ICTR prosecution as the key to the plan to commit genocide. However, all the evidence presented at the Tribunal and elsewhere establishes that, in fact, the fax is a fabrication.
On November 5th, 1995 the RPF organized a conference in Kigali to amplify support for their claims of genocide and for the trial and punishment of those responsible. This conference failed to provide any documentary evidence of such a claim. At the same time a UNAMIR commission was created by its new head, Mr. S Khan and which included several UN officers who went through all the UNAMIR cables, faxes and reports to determine whether there had been any prior indication of such a plan. Not one document was found, especially the “genocide” fax. That report is dated November 20th , 1995.
Fax on the fast track
Then, mysteriously, a few days after the release of the UN report, on November 28th, 1995 a fax machine at the UN offices in New York received a fax of a copy of a code cable dated January 11th 1994 sent by Dallaire to General Baril. The problem is that the person who sent the fax to New York that day was a Colonel R. M. Connaughton of the British Army, based at Camberly, Surrey, England, the home of the British Military Academy, Sandhurst as well as several other British Army establishments. His name and fax number appear at the top of the document. There was no cover letter explaining who sent it, why it was sent, nor is there anything indicating why this document was accepted by the UN in New York and placed in the DPKO files.
This document has typed on its face, “This cable was not found in DPKO files. The present copy was placed in the files on November 28th, 1995.” It is signed by Lamin J. Sise, a UN official. The document contains other handwritten notes made on it after its receipt that day.
However, the copy of this document presented by the Prosecutor at the ICTR for the last ten years has had the name and fax number of the sender, Sise’s note and other notes removed. It is this doctored version of the cable that the Prosecutor tried to present as an exhibit in the Military II in October, 2005, through a prosecution witness, Lt. Col. Claeys, an officer of the Belgian Army and one of the men who claims to have drafted and sent the original cable. But the prosecution suffered a major setback and embarrassment when defence counsel objected to the attempt to make this doctored version an exhibit and entered into the record the copy of the fax contained in the DPKO files bearing the name of the British Army source.
Conflicting testimony
Both General Dallaire and Lt. Col. Claeys have testified that the contents of the fax as set out in the fax presented by the prosecution are identical to the contents of the fax or cable sent the night of January 10th-11th, though interestingly Dallaire states that Claeys was not involved in drafting the fax, whereas Claeys insists he was. It is clear that Dallaire testified to the contrary when he was faced on cross-examination in the Military I trial with statements made by Claeys in 1995 to Belgian investigators and in 1997 to the Belgian Senate, that the fax sent that night dealt only with weapons caches and seeking protection for the informant and contained nothing about killing Tutsis or killing Belgian soldiers. In order to eliminate this embarrassing fact, Dallaire simply erased Claeys from the picture.
It is clear from the the fax itself and the surrounding circumstances, that there was a fax sent that night but it was not the one now presented to the ICTR and the world as the one sent by Dallaire.
The informant was presented to Dallaire by Faustin Twagiramungu , a Rwandan opposition candidate for Prime Minister and an opponent of the Rwandan government and a sympathizer of the RPF. He has since stated that he told Dallaire and his staff that the informant claimed to have information only about weapons caches and he was surprised to hear years later that the informant had information about the killing of Tutsis and Belgians.
General Dallaire does not mention such a fax before November 1995. There is no mention of plans to kill Tutsis or Belgians contained in notes of meetings between the informant and Claeys which followed the first meeting with the informant described in the fax. Again, the principal subject mentioned in those meetings is weapons caches. Neither Dallaire nor any of the Belgian commanders acted as if they had received any such information. There was no action taken by them to put their men on alert or to take precautions. There was no response from New York to such a fax. There exist only responses to a fax concerning weapons caches, but this original fax is nowhere to be found.
It is clear that Dallaire sent a fax that night and that it concerned only weapons caches and seeking advice from New York regarding the protection of the informant. In fact, the subject heading of the “genocide” fax is not “genocide” or “killing” but an innocuous “Request For Protection of Informant”. The present fax was fabricated using the original fax which dealt with weapons caches only by cutting out some of the paragraphs of that fax and pasting in new paragraphs about killing Tutsis and Belgians. This is supported by the fact that the paragraphs are numbered 1 through 13 but there is no paragraph 12. Further the only reply to a fax sent that night from Kigali refers to a paragraph 7 as the action paragraph. But in the fax as presented by the prosecution the action paragraph is paragraph 9, the paragraph seeking advice on protection of the informant. Also Paragraph 11 states that Dallaire will meet with Faustin Twagiramungu to brief him on events but as we know that man states that he was never told of such information coming from the informant. Lastly, paragraph 2 states that the killing of Belgians would “guarantee Belgian withdrawal from Rwanda” something that could only be known after the fact.
Nobody told Booh-Booh
One last curious fact is that Dallaire states he bypassed protocol by sending the fax without the signature of his boss, Booh-Booh or his seeing it. He states that this is the only occasion when this happened. This only makes sense if, in fact, he did not violate protocol as he never sent this fax in the first place. His version is a way of getting around the fact that Booh-Booh never saw what is now called the “genocide” fax. Booh-Booh testified at the Rwanda War Crimes Tribunal the week of November 21, 2005 that he never saw the fax Dallaire says he sent and that further that General Dallaire never mentioned to him in their meeting of January 12, 1994 that the informant mentioned the killing of Belgians or Tutsis. Booh-Booh also testified that when he and Dallaire met with several western ambassadors, including the Belgian ambassador, Dallaire never mentioned the killing of Belgians or Tutsis to them either nor in their meeting with President Habyarimana. In those meetings Dallaire spoke only about allegations of weapons caches.
New colonialism masquerading as “international justice”
All these circumstances can lead to one conclusion only; that the fax is a fabrication after the fact and that a fraud is being committed on the people of Rwanda and the world and the judges of the Rwanda war crimes tribunal. This fabricated fax is being used to try to condemn the accused on trial before the ICTR and to support the now discredited idea that a genocide was planned by the former Rwandan government against the Tutsi population of that tragic country. However it is becoming increasingly clear that General Dallaire worked with the RPF throughout the period of his mandate in Rwanda in violation of the UN mandate. Booh-Booh states that he provided military intelligence to the RPF as well as covering up their preparation for their final offensive and through his false testimony at the Rwanda War Crimes Tribunal and his book continues to act on behalf of powerful interests in his own government and that of the United States and Britain.
The fabrication of the “genocide” fax is one more nail in the coffin of the Rwanda war crimes tribunal, ready to be buried under the weight of accusations of selective prosecution, political bias, unfair procedures, trial by hearsay, perjured testimony and the cover-up of the murder of two African heads of state and all in the name of a new colonialism masquerading as “international justice”.
Appendix
1) In his book, Abdul Ruzibiza states that he was one of the men involved in the shootdown as part of the shootdown team. He was an officer in the RPF. He is dues to testify at the ICTR in the coming weeks if his security can be assured. He is presently in hiding in Norway.
2) The Hourigan Report This report (a copy of which is in the author's possesion) was written by an Australian lawyer acting as the head of the investigative team at the ICTR assigned by then prosecutor Louise Arbour to determine who shot down the plane. She was acting under the theory that "extremist" Hutus in the Rwandan government shot down the plane. Hourigan and his team were successful in finding three members of the shootdown team who stated they were RPF and that they were assisted by a foreign power (unnamed) and that they had the documents to prove it. They asked for protection. When Arbour was presented with these facts she ordered the investigation closed. The author was informed by a former FBI agent who worked at the ICTR that she did so on the instructions of the US ambassador in Rwanda. (Which would make her guilty of being an accessory to a war crime as the murder of a head of state in a war is a war crime and it is evident that the murder of the president and army chief of staff was the first action of the RPF offensive.) This report was first published in the National Post in Canada by a reporter named Stephen Edwards in 2001.
The UN at first denied this report existed. But several defence counsel demanded its production so it was then "found" and sent under seal to the judges at the ICTR. They then released it to several defence teams.
Hourigan wrote this report to the oversight office for some reason and is a summary of the complete file. Several requests have been made to have the complete investigative file released, without success. Hourigan is now said to be working as a lawyer in Atlanta, Georgia.
3. Jean Piere Mugabe the former head of RPF intelligence who also fled the regime also stated in 2001 that Kagame and the RPF shot down the plane.
4. French investigative judge Brugiere investigating the shootdown on behalf of the families of the French crew leaked (or someone in his office did) a copy of the report to a French journalist with the English name Steven Smith last year who published its findings in Le Monde that it was the RPF who shot it down with the assistance of others.
5. Former Secratery General Boutros-Boutros Ghali stated this year that he had met Brugiere at a conference and was told by the French judge that the CIA was "heavily implicated" in the shootdown.
6. The RPF was the only force in Rwanda which had anti-aircraft missiles to the knowledge of the Force Commander Dallaire. Dallaire arranged for the closure of the western approach to the runway at the request of the RPF. This made it easier for the RPF and others to track the plane as it came in from the east. The Belgian contingent of the UN force was in control of the airport area and the area from which the missiles were fired. A Belgian unit (later killed at Camp Kigali) were the only people caught by the army coming out of the firing area after the shootdown when the army threw up a cordon to try to catch the culprits.
7. Wayne Madsen a former US intel officer who wrote, CIA Covert Operations in the Great Lakes Area, 1990-93, states that (and testified to this before the US Congress in 2001 when hearings were held by Cynthia McKinney into the Rwanda and Congo wars) that the CIA, using a Swiss front company used that company to rent a hangar at the Kigali airport in which they assembled the missiles. He also states that the US hoped to kill at the same time Mobutu of Zaire and Daniel Arap Moi of Kenya all in in one fell swoop (they were supposed to attend the same meeting and be on the same flight) in order to seize control of all central and east Africa. At that time the US 6th fleet was cruising off Mombasa and there were 600 US Rangers on stand-by to assist the RPF in Burundi.
8. Charles Onana a well-know journalist writing on this subject wrote about his investigations and that it was the RPF, as did Canadian author Robin Philpot in his book It Didn't Happen That Way In Kigali (loose translation of the French title).
7. Honore Ngambo, Mobutu's former chief of security published a book earlier this year in France in which he recounts the last meeting between Mobut and the Hutu president two days before he was killed in which the President stated that he was told by Herman Cohen he was basically a dead man and that he heard from his agents in the RPF camp that they were going to shootdown the plane. He confronted Dallaire with this and that he knew Dallaire was involved and Dallaire just replied "No one will believe you".
8. The author possesses a radio intercept of a message sent by Kagame to his forces in the field the night of the shootdown stating that the "Target is hit" and encouraging his forces to take to the field and that they would be in Kigali and were receiving support from their friends in the south, that is from Burundi—US and Burundian forces the latter of which actually invaded Rwanda in May to link up with the RPF coming form the north. Other radio messages were intercepted referring to the fact the RPF had the assistance of the Belgians in the UN forces who were fighting alongside them. The Belgians deny this of course.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
General Dallaire has blood on his hands, told him Jean-Christophe in the Hague, Netherlands
UNAMIR military force commander, Canadian General Romeo Dallaire is believed to have much blood on his hands after he covered up RPF crimes in Rwanda
The murder of two African presidents
The idea that the Rwandan government planned the genocide of the minority Tutsi population in 1994 rests primarily on the statements of the enemies of that government who need the idea of a genocide in order to justify the final act of aggression against Rwanda by the Rwanda Patriotic Front (RPF) so-called and its allies. That final act of aggression was the RPF offensive launched the night of April 6, 1994 with the massacre of everyone on board the jet aircraft of President Habyarimana, the Hutu president of Rwanda and President Ntaryamira, the Hutu president of Burundi.
The two presidents were returning from a meeting called by President Museveni of Uganda to discuss the implementation of the Arusha Accords, the peace agreement between the Rwandan government and the RPF-Ugandan forces which had invaded the country in 1990. Also on board the plane was the Rwandan Army Chief of Staff, other dignitaries and a French military crew. The plane was shot down by anti-aircraft missiles as it approached Kigali airport. It is now established that the plane was shot down by the RPF with the cooperation and assistance of western powers including the United States of America, Britain, Belgium and Canada. President Ntaryamira was the second Hutu president murdered by Tutsis. President Ndadaye of Burundi was murdered by Tutsi officers of the Burundi Army in October of 1993.
British and US interests
The attack on the plane was the culmination of a long-planned war by the RPF and its allies. The war began in 1990 when Ugandan soldiers of Tutsi origin invaded Rwanda under the name of the RPF. This act of aggression by Uganda was supported by both Britain and the USA. Those countries provided the encouragement and the financial, material, logistical, advisory and training support necessary, flowing it all through the Ugandan Army to the RPF. The American and British instigated and controlled the war as a means of advancing their grand strategy of invading Zaire to seize control of the vast resources of the Congo basin.
The first attack was repelled and the RPF then adopted terrorism and guerilla operations to undermine Rwanda. Several other major attacks took place in the following three years. At the same time, the western allies of the RPF pressured the Rwandan government to come to terms with the RPF and in 1993 at Arusha, Tanzania, a series of negotiations resulted in the signing of the Arusha Accords. The Rwandan government was forced to make several major concessions to the RPF even though it could only claim, at best, to represent 15% of the Rwandan population. The Accords called for the establishment of a transition government sharing power with the RPF, leading to elections of a final government. However, it was known by everyone that the RPF could never win such elections and could only win power by force of arms and treachery.
Enter Dallaire
The Accords also called for the presence in Rwanda of a neutral UN force to help keep the peace during the process. That force, known as UNAMIR, was headed by Jacques Roger Booh-Booh and, under him, the military force commander, Canadian General Romeo Dallaire.
As UN documents show, Dallaire was aware, at least from December 1993, and probably before, that the RPF, with the support of the Ugandan Army, was daily violating the Accords by sending into Rwanda men, materiel, and light and heavy weapons in preparation for a final offensive. Dallaire kept this information from his boss Booh-Booh and the Secretary General, Boutros-Ghali. The RPF was assisted in these violations of the Accords by the Belgian contingent of UNAMIR and the Canadian officers involved who turned a blind eye to the RPF and Ugandan Army smuggling into Rwanda men and materiel and even assisted them in doing so all the while protesting that the Hutu regime was hiding weapons, a charge which has never been proved.
In conjunction with the military build-up by the RPF and its allies, including the infiltration into Kigali, the capital city, of up to 10,000 RPF soldiers, western journalists and western intelligence services masquerading as “human rights” organizations began a concerted propaganda campaign against the Government and through it the Hutu people, accusing it of various human rights abuses, none of which were substantiated. The RPF engaged in assassinations of officials, politicians and civilians, and attempted to cast the blame on the government. Dallaire assisted in this campaign by suppressing facts concerning these crimes and openly siding with the RPF propaganda statements.
A country pushed to the brink
These actions, combined with the stresses of the war on the economy and the social fabric of the country, mass unemployment, a large internal refugee population fleeing RPF attacks, and the breakdown of the government’s ability to function caused by the collapse of revenue from coffee and tea exports, resulted in a tinderbox. Only a spark was needed for the country to explode. That spark was the murder of the much-loved President and the country-wide offensive launched by the RPF and its allies the night of April 6, 1994.
From the very start of their offensive, the RPF began a propaganda campaign claiming that they were motivated by the need to stop a “genocide”. This entirely false claim was never questioned by the western press, always eager to support their governments, even in the face of the fact that the Rwandan government several times asked the RPF for cease-fires so that civilian attacks on civilians could be stopped, and the fact that Rwanda, then a member of the Security Council, demanded that 5,000 more UN troops be sent to assist in controlling the situation a request refused at the instigation of the US.
They stepped up this campaign as the war progressed. On April 13, 1994 the RPF demanded the trial of the Rwandan government and army for “genocide” before an international tribunal, echoing the threat made to President Habyarimana by Herman Cohen[2] on behalf of the US in the fall of 1993 that unless Habyarimana ceded all power to the RPF his body would be dragged through the streets of Kigali and his government tried by an international tribunal. This demand at one and the same time:
criminalized the Rwandan government,
justified the RPF and American refusal to negotiate terms with “criminals”,
prevented the government from obtaining support and assistance from its major western ally, France,
destroyed any support it had in the international community and public opinion, and finally,
justified the brutal RPF military dictatorship over the people of Rwanda and the refusal to allow Hutus any power in Rwanda.
The RPF and its allies succeeded in all these objectives and continue their propaganda campaign today with continuous show trials both in Rwanda, through the Gacaca “trial” system and through the show trials of Hutus taking place at the American and British controlled Rwanda War Crimes Tribunal in Arusha, Tanzania.
Two major problems with RPF claims of genocide
However, there are two major problems with the RPF claims. Firstly, there is a surprising lack of evidence of a genocide of Tutsis. In fact, the only independent study of those killed in Rwanda in 1994, being conducted by a team of researchers at the University of Maryland indicates that there were approximately 250,000 people killed, not the 800,000 plus advanced by the RPF and that for every Tutsi killed two Hutus were killed and those mainly by the RPF. This is confirmed in the recently released book, Rwanda, Histoire Secrete (2005, Edition du Panama) written by a former RPF officer named Abdul who states that the RPF shot down the plane [for further sources on this key issue see APPENDIX below] and that there was a genocide not of Tutsis by Hutus but of Hutus by the RPF.
Secondly, there is a stunning lack of documentary evidence of a government plan to commit genocide. There are no orders, minutes of meetings, notes, cables, faxes, radio intercepts or any other type of documentation that such a plan ever existed. In fact, the documentary evidence establishes just the opposite.
The "genocide" fax
This lack of documentation is the Achilles Heel of the RPF-western claims of genocide. Something was needed to fill this void. That something is the so-called “genocide” fax supposedly sent to New York UN HQ on the night of January 10th-11th 1994 and which first made its appearance in public on November 28th, 1995 when it was placed in the UN files in New York and contemporaneously leaked to a journalist in Belgium and the London Observer.
This fax is the single document upon which the claims of a planned genocide rest. It was supposedly sent by General Dallaire to General Baril, another Canadian general at the Dept of Peace Keeping Operations in New York. It sets out the claims of a UN informant named Jean Pierre Turatsinze that the ruling government party planned to exterminate Tutsis, was training civilians for that purpose and that there was a plan to kill Belgian soldiers to provoke the withdrawal of UN forces. This fax has been trumpeted by the ICTR prosecution as the key to the plan to commit genocide. However, all the evidence presented at the Tribunal and elsewhere establishes that, in fact, the fax is a fabrication.
On November 5th, 1995 the RPF organized a conference in Kigali to amplify support for their claims of genocide and for the trial and punishment of those responsible. This conference failed to provide any documentary evidence of such a claim. At the same time a UNAMIR commission was created by its new head, Mr. S Khan and which included several UN officers who went through all the UNAMIR cables, faxes and reports to determine whether there had been any prior indication of such a plan. Not one document was found, especially the “genocide” fax. That report is dated November 20th , 1995.
Fax on the fast track
Then, mysteriously, a few days after the release of the UN report, on November 28th, 1995 a fax machine at the UN offices in New York received a fax of a copy of a code cable dated January 11th 1994 sent by Dallaire to General Baril. The problem is that the person who sent the fax to New York that day was a Colonel R. M. Connaughton of the British Army, based at Camberly, Surrey, England, the home of the British Military Academy, Sandhurst as well as several other British Army establishments. His name and fax number appear at the top of the document. There was no cover letter explaining who sent it, why it was sent, nor is there anything indicating why this document was accepted by the UN in New York and placed in the DPKO files.
This document has typed on its face, “This cable was not found in DPKO files. The present copy was placed in the files on November 28th, 1995.” It is signed by Lamin J. Sise, a UN official. The document contains other handwritten notes made on it after its receipt that day.
However, the copy of this document presented by the Prosecutor at the ICTR for the last ten years has had the name and fax number of the sender, Sise’s note and other notes removed. It is this doctored version of the cable that the Prosecutor tried to present as an exhibit in the Military II in October, 2005, through a prosecution witness, Lt. Col. Claeys, an officer of the Belgian Army and one of the men who claims to have drafted and sent the original cable. But the prosecution suffered a major setback and embarrassment when defence counsel objected to the attempt to make this doctored version an exhibit and entered into the record the copy of the fax contained in the DPKO files bearing the name of the British Army source.
Conflicting testimony
Both General Dallaire and Lt. Col. Claeys have testified that the contents of the fax as set out in the fax presented by the prosecution are identical to the contents of the fax or cable sent the night of January 10th-11th, though interestingly Dallaire states that Claeys was not involved in drafting the fax, whereas Claeys insists he was. It is clear that Dallaire testified to the contrary when he was faced on cross-examination in the Military I trial with statements made by Claeys in 1995 to Belgian investigators and in 1997 to the Belgian Senate, that the fax sent that night dealt only with weapons caches and seeking protection for the informant and contained nothing about killing Tutsis or killing Belgian soldiers. In order to eliminate this embarrassing fact, Dallaire simply erased Claeys from the picture.
It is clear from the the fax itself and the surrounding circumstances, that there was a fax sent that night but it was not the one now presented to the ICTR and the world as the one sent by Dallaire.
The informant was presented to Dallaire by Faustin Twagiramungu , a Rwandan opposition candidate for Prime Minister and an opponent of the Rwandan government and a sympathizer of the RPF. He has since stated that he told Dallaire and his staff that the informant claimed to have information only about weapons caches and he was surprised to hear years later that the informant had information about the killing of Tutsis and Belgians.
General Dallaire does not mention such a fax before November 1995. There is no mention of plans to kill Tutsis or Belgians contained in notes of meetings between the informant and Claeys which followed the first meeting with the informant described in the fax. Again, the principal subject mentioned in those meetings is weapons caches. Neither Dallaire nor any of the Belgian commanders acted as if they had received any such information. There was no action taken by them to put their men on alert or to take precautions. There was no response from New York to such a fax. There exist only responses to a fax concerning weapons caches, but this original fax is nowhere to be found.
It is clear that Dallaire sent a fax that night and that it concerned only weapons caches and seeking advice from New York regarding the protection of the informant. In fact, the subject heading of the “genocide” fax is not “genocide” or “killing” but an innocuous “Request For Protection of Informant”. The present fax was fabricated using the original fax which dealt with weapons caches only by cutting out some of the paragraphs of that fax and pasting in new paragraphs about killing Tutsis and Belgians. This is supported by the fact that the paragraphs are numbered 1 through 13 but there is no paragraph 12. Further the only reply to a fax sent that night from Kigali refers to a paragraph 7 as the action paragraph. But in the fax as presented by the prosecution the action paragraph is paragraph 9, the paragraph seeking advice on protection of the informant. Also Paragraph 11 states that Dallaire will meet with Faustin Twagiramungu to brief him on events but as we know that man states that he was never told of such information coming from the informant. Lastly, paragraph 2 states that the killing of Belgians would “guarantee Belgian withdrawal from Rwanda” something that could only be known after the fact.
Nobody told Booh-Booh
One last curious fact is that Dallaire states he bypassed protocol by sending the fax without the signature of his boss, Booh-Booh or his seeing it. He states that this is the only occasion when this happened. This only makes sense if, in fact, he did not violate protocol as he never sent this fax in the first place. His version is a way of getting around the fact that Booh-Booh never saw what is now called the “genocide” fax. Booh-Booh testified at the Rwanda War Crimes Tribunal the week of November 21, 2005 that he never saw the fax Dallaire says he sent and that further that General Dallaire never mentioned to him in their meeting of January 12, 1994 that the informant mentioned the killing of Belgians or Tutsis. Booh-Booh also testified that when he and Dallaire met with several western ambassadors, including the Belgian ambassador, Dallaire never mentioned the killing of Belgians or Tutsis to them either nor in their meeting with President Habyarimana. In those meetings Dallaire spoke only about allegations of weapons caches.
New colonialism masquerading as “international justice”
All these circumstances can lead to one conclusion only; that the fax is a fabrication after the fact and that a fraud is being committed on the people of Rwanda and the world and the judges of the Rwanda war crimes tribunal. This fabricated fax is being used to try to condemn the accused on trial before the ICTR and to support the now discredited idea that a genocide was planned by the former Rwandan government against the Tutsi population of that tragic country. However it is becoming increasingly clear that General Dallaire worked with the RPF throughout the period of his mandate in Rwanda in violation of the UN mandate. Booh-Booh states that he provided military intelligence to the RPF as well as covering up their preparation for their final offensive and through his false testimony at the Rwanda War Crimes Tribunal and his book continues to act on behalf of powerful interests in his own government and that of the United States and Britain.
The fabrication of the “genocide” fax is one more nail in the coffin of the Rwanda war crimes tribunal, ready to be buried under the weight of accusations of selective prosecution, political bias, unfair procedures, trial by hearsay, perjured testimony and the cover-up of the murder of two African heads of state and all in the name of a new colonialism masquerading as “international justice”.
Appendix
1) In his book, Abdul Ruzibiza states that he was one of the men involved in the shootdown as part of the shootdown team. He was an officer in the RPF. He is dues to testify at the ICTR in the coming weeks if his security can be assured. He is presently in hiding in Norway.
2) The Hourigan Report This report (a copy of which is in the author's possesion) was written by an Australian lawyer acting as the head of the investigative team at the ICTR assigned by then prosecutor Louise Arbour to determine who shot down the plane. She was acting under the theory that "extremist" Hutus in the Rwandan government shot down the plane. Hourigan and his team were successful in finding three members of the shootdown team who stated they were RPF and that they were assisted by a foreign power (unnamed) and that they had the documents to prove it. They asked for protection. When Arbour was presented with these facts she ordered the investigation closed. The author was informed by a former FBI agent who worked at the ICTR that she did so on the instructions of the US ambassador in Rwanda. (Which would make her guilty of being an accessory to a war crime as the murder of a head of state in a war is a war crime and it is evident that the murder of the president and army chief of staff was the first action of the RPF offensive.) This report was first published in the National Post in Canada by a reporter named Stephen Edwards in 2001.
The UN at first denied this report existed. But several defence counsel demanded its production so it was then "found" and sent under seal to the judges at the ICTR. They then released it to several defence teams.
Hourigan wrote this report to the oversight office for some reason and is a summary of the complete file. Several requests have been made to have the complete investigative file released, without success. Hourigan is now said to be working as a lawyer in Atlanta, Georgia.
3. Jean Piere Mugabe the former head of RPF intelligence who also fled the regime also stated in 2001 that Kagame and the RPF shot down the plane.
4. French investigative judge Brugiere investigating the shootdown on behalf of the families of the French crew leaked (or someone in his office did) a copy of the report to a French journalist with the English name Steven Smith last year who published its findings in Le Monde that it was the RPF who shot it down with the assistance of others.
5. Former Secratery General Boutros-Boutros Ghali stated this year that he had met Brugiere at a conference and was told by the French judge that the CIA was "heavily implicated" in the shootdown.
6. The RPF was the only force in Rwanda which had anti-aircraft missiles to the knowledge of the Force Commander Dallaire. Dallaire arranged for the closure of the western approach to the runway at the request of the RPF. This made it easier for the RPF and others to track the plane as it came in from the east. The Belgian contingent of the UN force was in control of the airport area and the area from which the missiles were fired. A Belgian unit (later killed at Camp Kigali) were the only people caught by the army coming out of the firing area after the shootdown when the army threw up a cordon to try to catch the culprits.
7. Wayne Madsen a former US intel officer who wrote, CIA Covert Operations in the Great Lakes Area, 1990-93, states that (and testified to this before the US Congress in 2001 when hearings were held by Cynthia McKinney into the Rwanda and Congo wars) that the CIA, using a Swiss front company used that company to rent a hangar at the Kigali airport in which they assembled the missiles. He also states that the US hoped to kill at the same time Mobutu of Zaire and Daniel Arap Moi of Kenya all in in one fell swoop (they were supposed to attend the same meeting and be on the same flight) in order to seize control of all central and east Africa. At that time the US 6th fleet was cruising off Mombasa and there were 600 US Rangers on stand-by to assist the RPF in Burundi.
8. Charles Onana a well-know journalist writing on this subject wrote about his investigations and that it was the RPF, as did Canadian author Robin Philpot in his book It Didn't Happen That Way In Kigali (loose translation of the French title).
7. Honore Ngambo, Mobutu's former chief of security published a book earlier this year in France in which he recounts the last meeting between Mobut and the Hutu president two days before he was killed in which the President stated that he was told by Herman Cohen he was basically a dead man and that he heard from his agents in the RPF camp that they were going to shootdown the plane. He confronted Dallaire with this and that he knew Dallaire was involved and Dallaire just replied "No one will believe you".
8. The author possesses a radio intercept of a message sent by Kagame to his forces in the field the night of the shootdown stating that the "Target is hit" and encouraging his forces to take to the field and that they would be in Kigali and were receiving support from their friends in the south, that is from Burundi—US and Burundian forces the latter of which actually invaded Rwanda in May to link up with the RPF coming form the north. Other radio messages were intercepted referring to the fact the RPF had the assistance of the Belgians in the UN forces who were fighting alongside them. The Belgians deny this of course.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Tuesday, October 21, 2008
Yhteiskunta Maaria Ylänkö
Uusi sota kytee Kongossa
Ruandan kansanmurhan haavoja revitään auki Kongon ja Ruandan rajaseuduilla. Ruandaa hallitsevat nyt tutsit, ja hutujen ja tutsien välit kiristyvät Itä-Kongossa. Kongon hallitus syyttää ruandalaisjoukkoja hyökkäyksistä rajan yli, paikallinen tutsikapinallisjohtaja laajentaa valtaansa ja humanitaarinen katastrofi uhkaa.
[ 21.10.2008 ]
Kongon ulkoministeriön tiedottajan Claude Kamangan mukaan kapinallisjohtaja Laurent Nkundan joukot ovat vallanneet lokakuun 8. päivä Kongon hallituksen sotilastukikohdan, joka sijaitsee 45 km Pohjois-Kivun pääkaupungista Gomasta. YK:n Kongon operaation johtaja Alan Doss raportoi lokakuun alussa tilanteen Kongon itäosissa kiristyeen hälyttävästi. Myös Kongon ylimmät katoliset piispat ovat vedonneet kansainväliseen yhteisöön humanitaarisen katastrofin pysäyttämiseksi.
Laurent Nkunda, oikealta nimeltään Nkundabatware, ilmoittaa suojelevansa Itä-Kongon tutsiväestöä ”kansanmurhamieliseltä” paikallisväestöltä. Kansanmurhalla Nkunda viittaa Ruandan vuoden 1994 kansanmurhaan, jossa 800 0000 ihmistä sai surmansa. Kongon hallitus väittää ulkoministeri Mbusa Nyamwisin suulla Ruandan presidentti Paul Kagamen tukevan Nkundan joukkoja. Kagamella puolestaan on hyvät suhteet Washingtoniin.
Ruandalaisiksi väitetyt hyökkäykset viime elokuun lopulta alkaen ovat ajaneet kymmeniä tuhansia ihmisiä kodeistaan. Koko Itä-Kongossa on YK:n arvioiden mukaan tällä hetkellä jo 150 000 koditonta. Alueella on elinarvikerkriisi ja sitä uhkaa nälänhätä.
Viime viikolla Kongon hallitus esitti YK:lle lähes neljäkymmentä valokuvaa, jotka tukevat hallituksen mukaan väitettä, että hyökkääjät koostuvat myös Ruandan hallituksen joukosta. Kongon YK-lähettiläs Atoki Ileka on vaatinut YK:n turvallisuusneuvoston kokousta, jotta Ruandaa painostettaisiin luopumaan hyökkäyksestään. YK:lla on Kongossa 17 000 rauhanturvaajaa.
Ruandan ulkoministeri Rosemary Museminali kiistää Ruandan hyökkäyksen. "Mitä intressiä Ruandalla olisi hyökätä Kongoon", Museminali ihmettelee.
Kongo on muun muassa matkapuhelimissa käytettävän tinan suurin tuottaja maailmassa. Kaksi kolmasosaa tinasta tuotetaan Itä-Kongon provinsseista, ja Goma on viennin pääkeskus.
Syyskuussa brittiläisomisteinen Kivu Resources ilmoitti peruuttavansa päätöksensä investoida 28 miljoonaa dollaria Pohjois-Kivun Mpama Bisiyen tinaesiintymään. Syyksi Kivu Resources ilmoittaa Kongon hallituksen armeijan prikaatin, joka on miehittänyt kaivoaluetta joulukuusta 2004 alkaen. ”Me emme voi enää työskennellä siellä, sillä sotilaat uhkailevat meitä ja tuhoavat omaisuutta. Kongon hallitus on luvannut parannusta, mutta mitään ei tapahdu”, Kivu Resources selittää vetäytymistään.
Kongon hallituksen kaivosministeri Martin Kabwelulu on viime helmikuusta alkaen yrittänyt häätää ainakin 2000 villiä eli rekisteröimätöntä kaivosyrittäjää tinaesiintymäalueelta. Jonah Capital -yhtiön pääosin omistama ja Neitsytsaarilla päämajaansa pitävä Kivu Resources aikoo siirtää tinan tuotannon etelämmäs Kongon Katangaan.
Lokakuun alussa Goman tinakaivoksiin ja tinakauppaan erikoistuneet rekisteröityneet liikeyritykset menivät lakkoon vastalauseena jatkuvalle tappamiselle, joka tekee liiketoiminnasta mahdotonta alueella. Käytännössä vetäytyminen on merkinnyt yleislakkoa. Normaali päivittäistalous on pysähtynyt ja alue on suistumassa täyteen anarkiaan.
Itä-Kongon tulenarkaa tilannetta lisäävät myös ugandalaistaustaisen Lords Resistange Armyn hyökkäykset pohjoisempana Iturissa. Koltaaniesiinymien lisäksi myös kulta- ja timanttivaroiltaan rikasta aluetta on vaikea valvoa huonojen kulkuyhteyksien vuoksi, eikä Kongolla ole käytettävissään tutkia ja muuta modernia teknologiaa, hyökkäysten todentamiseksi.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Local residents in Graz, Austria, watch as a ceremonial hall burns at the Jewish cemetery. November, 1938
Dear Jean-Christophe,
Seventy years ago on November 9–10, the Nazis staged vicious attacks—or pogroms—against Jews in Germany in riots that came to be known as Kristallnacht or "Night of Broken Glass."
Local residents in Graz, Austria, watch as a ceremonial hall burns at the Jewish cemetery. November, 1938 70th Anniversary of KristallnachtEncouraged by the Nazis, rioters burned or destroyed 267 synagogues and vandalized or looted 7,500 Jewish businesses. Kristallnacht marked a violent turn in the Nazis' anti-Jewish policy that culminated in the Holocaust. To commemorate the 70th anniversary of Kristallnacht the Museum has compiled resources for your own commemoration or classroom that include an online exhibition, eyewitness testimony, posters, photographs, videos, documents, maps, and more.
Learn more about Kristallnacht and view available resources»
Did You Know?Since January, the Museum has conducted 7,000 archival searches for Holocaust survivors and their families in the International Tracing Service (ITS) collection, which includes records on 17.5 million victims of the Nazis. The Museum led a multiyear, international effort that finally succeeded in opening the German-based ITS in late 2007.Learn more about making a search request»
The Museum's International Tracing Service initiative is made possible in part by a generous donation from the Braman Family Foundation of Miami.Museum Visitor Comments"More than the cruelty of the Nazi regimes, I am appalled and sickened by the inaction of other sovereign nations…. The Holocaust is a crime of evil-doers as much as it is of the men who let this evil happen." "It is not enough to visit a museum and remember what happened. We must recall why it happened, how it happened, and what we can do to stop it."The Museum Near YouHow can you find information about Museum and related programs near you?
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Saturday, October 18, 2008
This is my best and only advice: Get into a situation that eliminates your reliance on luck and minimizes the impact of factors that are completely beyondyour control. Do this immediately.
- Cheney When He Was A Reasonable Man
- The Plans To Invade Iraq Made Years Before Invasion
- Bush Family Nazi Connection
- George Bush: History's Worst President
- The Crimes Of George W. Bush
- TRUMP "Bush worst president ever"
Just open the link here below:
http://endtimescenario.blogspot.com/
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Sunday, October 12, 2008
Terry Pickard
15-Sep-2008 21:31
A book has just been released in Australia. It is called "Combat Medic" and the author Terry Pickard's personal account of one Australian soldier who found himself at the centre of events that shocked the world, and the personal toll that he paid.Terry Pickard a seasoned medic and soldier, was one of a 32 strong force of Australian UN Peacekeepers in Kibeho on the 22nd of April 1995 when more than 4000 Rwandans were massacred and thousands more injured. the horror and unimaginable tragedy of the Kibeho Massacre still looms large in the lives of the Rwandans and the people sent there to help them. Terry Pickard's army career spaned nearly 20 years and more than 15 years after Rwanda he continues to struggle with Post Traumatic Stress. The book is available online at
www.bigskypublishing.com.au.
Combat Medic
An Australian's eyewitness account of the Kibeho Massacre
Terry Pickard
“I was one of 32 Australian soldiers in the area. We were facing more than 2000 RPA soldiers. We were good, but not that good. The numbers were heavily in their favour. I was worried but I wasn’t scared. All I had were questions. How the hell had a medical mercy mission ended in such a horrific tragedy? How had it been allowed to even get to this? Why were we not allowed to fire our weapons, to defend these poor refugees? God, I thought, I hope we live through this day. And if we do, I tell you what, won’t I have a story to tell”
- Terry Pickard
On the 22nd of April 1995 more than 4,000 Rwandans were massacred and thousands more injured in a place called Kibeho. Terry Pickard, a seasoned soldier and medic, was one of a 32-strong force of Australian UN peacekeepers in Kibeho on that terrible Saturday. While the United Nations’ presence prevented the death toll from being even worse than it was, the massacre continues to haunt him.
The rules of engagement that stopped him from intervening in the senseless slaughter and the life and death decisions he was forced to make when dealing with the injured condemned him to more than a decade of recurring nightmares and debilitating flashbacks.
The horror and unimaginable tragedy of the Kibeho Massacre still looms large in the lives of Rwandans and the people sent to help the African country. No one who walked away from that day was ever the same again.
Combat Medic is a personal account of one Australian soldier who found himself at the centre of events that shocked the world, and the personal toll that he paid.
Terry Pickard’s army career spanned nearly 20 years. More than 15 years after Rwanda he continues to struggle with post traumatic stress triggered by his experiences.
In 2005 those who served in Rwanda and the UN peacekeeping mission were informed that their service had been upgraded to “warlike’’. Very few of them had ever doubted it.
Combat Medic will be available October 2008. Pre-order now.
Review(s)
Evenings with Steve AustinTonight the sobering story of an Australian Army medic who witnessed the massacre of 4,000 people in Rwanda in 1995. 32 Aussie soldiers were in Kibeho and were instructed by the United Nations not to intervene when it was clear that civilians were about to be slaughtered. The story of Terry Pickard is compelling and thought provoking.
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Australian Peacekeeper & Peacemaker Veterans' AssociationReview by: Review by Gordon Traill, Iraq Veteran“COMBAT MEDIC” ‘An Australian’s eyewitness account of the Kibeho Massacre’ by Terry PickardCombat Medic by Terry Pickard is an eyewitness account by an Australian Army Medic who was at the “Kibeho Massacre” in Rwanda.“Combat Medic” is a fascinating story and a journey of one man’s life, pre and post Rwanda. Pickard is vivid in his descriptions of what it was like to serve on a UN mission. He is critical of how people have judged Peacekeeping service and the lack of bravery awards handed out to members of UNAMIR at Kibeho.
The powerful and confronting account of Pickard’s time at Kibeho will shock you. It will go some way for the reader to understand, why Pickard has struggled with severe Post Traumatic Stress Disorder (PTSD) for so many years since his return to Australia. Pickard definitely wears his heart on his sleeve as he deals with his illness.
The story of Kibeho needs to be told and be passed on to future generations of men and women who join the Australian Defence Force. “At last the old myth of Peacekeeping service with the UN being just a bit of a holiday and a good way of earning extra money was put away for good”. “We could only sit and watch in horror”. The scale of genocide that took place at Kibeho is mind numbing. The immense pressure and strictness of the Rules of Engagement (ROE) placed upon the Australians by the UN would have tested any man’s limits. The Rwandese Patriotic Army (RPA) tried everything to intimidate the Australians to open fire. Strict adherence of the ROE and personal discipline saved the Australians from being killed. SAS patrol medic Paul Jordan said years later "we are good, but not that good". “There were around 2,000 RPA soldiers, all focused on killing, and only 32 of us”.
Pickard details what would have happened if they were caught taking photos. “The RPA would not allow anyone to take photos, let alone footage”. “George Gittoes, the war artist attached to us, had been threatened with death if he took pictures”. He was “determined to let the world know what was happening in Kibeho”. George’s photos have been seen all over the world in magazines and television stories about Rwanda.
Infantry provided security to the Australian Medical team who worked tirelessly with the “sea of humanity” that was estimated to be around 150,000 people. Pickard talks about his trust in fellow Australian soldiers. "We were treating about six casualties who were placed along a wall for protection when shooting started. I wasn't sure whether I should continue treating them or take up a defensive position. I had a quick look around and saw our infantry blokes on the wire. As soon as I saw our blokes there I instantly knew I had nothing to worry about and was able to continue treating the casualties."
Pickard sums up his time at Kibeho, “April 18-22 1995, was the most testing time of my life both physically and mentally. I believe I did ok. We saved who we could and did our best in the most atrocious conditions”.
The members who served as part of United Nations Assistance Mission in Rwanda (UNAMIR) were awarded the Australian Service Medal (ASM) for ‘non warlike service’. In February 2006, the Government of the day changed the reclassification of service to the Australian Active Service Medal (AASM) for Warlike service.
Terry Pickard, the ADF members who served as part of UNAMIR and George Gittoes are the real heroes of Kibeho. The Anzac legend lives on.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
15-Sep-2008 21:31
A book has just been released in Australia. It is called "Combat Medic" and the author Terry Pickard's personal account of one Australian soldier who found himself at the centre of events that shocked the world, and the personal toll that he paid.Terry Pickard a seasoned medic and soldier, was one of a 32 strong force of Australian UN Peacekeepers in Kibeho on the 22nd of April 1995 when more than 4000 Rwandans were massacred and thousands more injured. the horror and unimaginable tragedy of the Kibeho Massacre still looms large in the lives of the Rwandans and the people sent there to help them. Terry Pickard's army career spaned nearly 20 years and more than 15 years after Rwanda he continues to struggle with Post Traumatic Stress. The book is available online at
www.bigskypublishing.com.au.
Combat Medic
An Australian's eyewitness account of the Kibeho Massacre
Terry Pickard
“I was one of 32 Australian soldiers in the area. We were facing more than 2000 RPA soldiers. We were good, but not that good. The numbers were heavily in their favour. I was worried but I wasn’t scared. All I had were questions. How the hell had a medical mercy mission ended in such a horrific tragedy? How had it been allowed to even get to this? Why were we not allowed to fire our weapons, to defend these poor refugees? God, I thought, I hope we live through this day. And if we do, I tell you what, won’t I have a story to tell”
- Terry Pickard
On the 22nd of April 1995 more than 4,000 Rwandans were massacred and thousands more injured in a place called Kibeho. Terry Pickard, a seasoned soldier and medic, was one of a 32-strong force of Australian UN peacekeepers in Kibeho on that terrible Saturday. While the United Nations’ presence prevented the death toll from being even worse than it was, the massacre continues to haunt him.
The rules of engagement that stopped him from intervening in the senseless slaughter and the life and death decisions he was forced to make when dealing with the injured condemned him to more than a decade of recurring nightmares and debilitating flashbacks.
The horror and unimaginable tragedy of the Kibeho Massacre still looms large in the lives of Rwandans and the people sent to help the African country. No one who walked away from that day was ever the same again.
Combat Medic is a personal account of one Australian soldier who found himself at the centre of events that shocked the world, and the personal toll that he paid.
Terry Pickard’s army career spanned nearly 20 years. More than 15 years after Rwanda he continues to struggle with post traumatic stress triggered by his experiences.
In 2005 those who served in Rwanda and the UN peacekeeping mission were informed that their service had been upgraded to “warlike’’. Very few of them had ever doubted it.
Combat Medic will be available October 2008. Pre-order now.
Review(s)
Evenings with Steve AustinTonight the sobering story of an Australian Army medic who witnessed the massacre of 4,000 people in Rwanda in 1995. 32 Aussie soldiers were in Kibeho and were instructed by the United Nations not to intervene when it was clear that civilians were about to be slaughtered. The story of Terry Pickard is compelling and thought provoking.
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Australian Peacekeeper & Peacemaker Veterans' AssociationReview by: Review by Gordon Traill, Iraq Veteran“COMBAT MEDIC” ‘An Australian’s eyewitness account of the Kibeho Massacre’ by Terry PickardCombat Medic by Terry Pickard is an eyewitness account by an Australian Army Medic who was at the “Kibeho Massacre” in Rwanda.“Combat Medic” is a fascinating story and a journey of one man’s life, pre and post Rwanda. Pickard is vivid in his descriptions of what it was like to serve on a UN mission. He is critical of how people have judged Peacekeeping service and the lack of bravery awards handed out to members of UNAMIR at Kibeho.
The powerful and confronting account of Pickard’s time at Kibeho will shock you. It will go some way for the reader to understand, why Pickard has struggled with severe Post Traumatic Stress Disorder (PTSD) for so many years since his return to Australia. Pickard definitely wears his heart on his sleeve as he deals with his illness.
The story of Kibeho needs to be told and be passed on to future generations of men and women who join the Australian Defence Force. “At last the old myth of Peacekeeping service with the UN being just a bit of a holiday and a good way of earning extra money was put away for good”. “We could only sit and watch in horror”. The scale of genocide that took place at Kibeho is mind numbing. The immense pressure and strictness of the Rules of Engagement (ROE) placed upon the Australians by the UN would have tested any man’s limits. The Rwandese Patriotic Army (RPA) tried everything to intimidate the Australians to open fire. Strict adherence of the ROE and personal discipline saved the Australians from being killed. SAS patrol medic Paul Jordan said years later "we are good, but not that good". “There were around 2,000 RPA soldiers, all focused on killing, and only 32 of us”.
Pickard details what would have happened if they were caught taking photos. “The RPA would not allow anyone to take photos, let alone footage”. “George Gittoes, the war artist attached to us, had been threatened with death if he took pictures”. He was “determined to let the world know what was happening in Kibeho”. George’s photos have been seen all over the world in magazines and television stories about Rwanda.
Infantry provided security to the Australian Medical team who worked tirelessly with the “sea of humanity” that was estimated to be around 150,000 people. Pickard talks about his trust in fellow Australian soldiers. "We were treating about six casualties who were placed along a wall for protection when shooting started. I wasn't sure whether I should continue treating them or take up a defensive position. I had a quick look around and saw our infantry blokes on the wire. As soon as I saw our blokes there I instantly knew I had nothing to worry about and was able to continue treating the casualties."
Pickard sums up his time at Kibeho, “April 18-22 1995, was the most testing time of my life both physically and mentally. I believe I did ok. We saved who we could and did our best in the most atrocious conditions”.
The members who served as part of United Nations Assistance Mission in Rwanda (UNAMIR) were awarded the Australian Service Medal (ASM) for ‘non warlike service’. In February 2006, the Government of the day changed the reclassification of service to the Australian Active Service Medal (AASM) for Warlike service.
Terry Pickard, the ADF members who served as part of UNAMIR and George Gittoes are the real heroes of Kibeho. The Anzac legend lives on.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
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Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
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Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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