Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Wednesday, April 8, 2009
permanent contre le monde entier
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NDLR. POUR COMPRENDRE: Ce témoignage n'est qu'un ajout à tout ce que le monde connaissait. Pour avoir réussi à planiffier le génocide rwandais, Paul Kagame reçoit un cadeau: l'immunité présidentiel - diriger le Rwanda pour ne pas être rattrapé par la justice. Pour leur sécurité, Ses co-auteurs étrangers reçoivent l'immunité du travail aux Nations-Unies tels que, Roméo Dallaire, Kofi Annan, Sadako Ogata, Louise Arbour, etc.
***
Les autres criminels sont accueillis à Kigali comme des Héros. Sadako Ogata reçoit une médaille en guise de remerciement pour le génocide en RDC contre les réfugiés hutus. Bill Clinton est un héro à Kigali malgré le discours officiel en contreverse qu'il n'a pas intervenu au Rwanda et a refusé que les Nations Unies interviennent. Roméo Dallaire est un héro et arrive à tourner un film au Rwanda (une mise en scène) apprécié par le le plus grand criminel du monde, Paul Kagame. Et pour mieux embellir le costume et blanchir le Nazi rwandais, Tony Blair devient le confident No 1 du dictateur sanguinaire!
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NDLR. POUR COMPRENDRE: Ce témoignage n'est qu'un ajout à tout ce que le monde connaissait. Pour avoir réussi à planiffier le génocide rwandais, Paul Kagame reçoit un cadeau: l'immunité présidentiel - diriger le Rwanda pour ne pas être rattrapé par la justice. Pour leur sécurité, Ses co-auteurs étrangers reçoivent l'immunité du travail aux Nations-Unies tels que, Roméo Dallaire, Kofi Annan, Sadako Ogata, Louise Arbour, etc.
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Les autres criminels sont accueillis à Kigali comme des Héros. Sadako Ogata reçoit une médaille en guise de remerciement pour le génocide en RDC contre les réfugiés hutus. Bill Clinton est un héro à Kigali malgré le discours officiel en contreverse qu'il n'a pas intervenu au Rwanda et a refusé que les Nations Unies interviennent. Roméo Dallaire est un héro et arrive à tourner un film au Rwanda (une mise en scène) apprécié par le le plus grand criminel du monde, Paul Kagame. Et pour mieux embellir le costume et blanchir le Nazi rwandais, Tony Blair devient le confident No 1 du dictateur sanguinaire!
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En effet, au Rwanda en général, et à Kigali la capitale en particulier, la journée du 7 avril 2009 était exclusivement consacrée à la commémoration du 15 ème anniversaire de la prise de pouvoir par les armes du Front patriotique rwandais ( FPR ) de Paul Kagame; mais aussi à la mémoire des victimes des massacres à l´échelle nationale qui eurent lieu là-bas pendant cent jours.
C´est-à-dire du 7 avril 1994, jour qui avait suivi les assassinats avec une entreprise terroriste du président Juvérnal Habyarhimana et de son homologue burundais Cyprien Ntaryamira, au 18 juillet 1994, officiellement retenu comme le jour de la fin de cette horrible hécatombe.
Même s´il est vrai - c´est le cas de le dire - qu`après cette date, d´innombrables témoignages concordants, venant même du côté des convertis tutsis ayant été co-acteurs de ces massacres soutiennent que, les nouveaux maîtres des lieux du Front patriotique rwandais à dominante tutsie, après avoir chassé du pouvoir le parti unique de l´époque et ses milices Interhamwes qui trouvèrent refuge à l´est du Congo - aujourd´hui transformé eux tous, en zone de non-droit et en immense mouroir -, continuèrent d´en perpétrer d´autres contre les populations civiles hutues - charniers et fosses communes - qu´ils ont par suite mis sur le dos des convaincus.
Quinze ans après l´acte terroriste du FPR et son corollaire, dont les conséquences ont endeuillé des millions des Rwandais, et continuent d´être ressenties dans la région entière des Grands Lacs, en particulier au Congo qui, lui aussi en 13 ans, deplore déjà six millions de ses filles et fils, sans qu´il n´est soit pour autant au bout de ses peines.
Cependant, une question vient à l´esprit par rapport à la journée d´aujourd´hui au Rwanda: doit-on à travers des cérémonies hypocrites qui cachent mal la responsabilité des vrais initiateurs et auteurs de cette tragédie, continuer à entretenir le mensonge et à faire le culte de la haine?
L´Afrique, le monde dit civilisé ou sinon les démocraties occidentales - porteuses de grandes valeurs et de principes - , et la Communauté de nations tout entière, doivent-ils continuer à se laisser délibérément floués par le régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda; sachant bien que celui-ci est à des années lumières d´être saint et exempt de toute responsabilité dans cette affaire? Qui trompe-t-on et de qui se moque-t-on en définitive?
Les Rwandais ont besoin de se réconcilier et de panser leurs plaies, et non pas de continuer indéfiniment d´accabler les uns ou à s´accuser mutuellement.
Il est tout à fait légitime et justifié pour les Rwandais de commémorer la mémoire des victimes de cette tragédie humaine qui s´était abattue sur ce pays voisin, voire frère du Congo; mais toutefois, sans omettre de tenir compte de la sensibilité des discours et propos qui sont tenus par les détenteurs actuels du pouvoir, lesquels discours laisseraient à penser que ceux-ci, seraient encore loin d´être animés d´une véritable volonté d´aider le peuple rwandais à se réconcilier avec lui-même. Et ce, dans le seul dessein d´occulter la vérité de peur que leur responsabilité n´éclate au grand jour; et de conserver ainsi le pouvoir monopolistique au profit d´un régime et d´un syndicat de familles appartenant à la minorité tutsie, selon le vocabulaire politique en usuel là-bas au Rwanda.
En fait, la mort d´un seul être humain quelle soit la manière dont elle survient, c´est-à-dire naturellement, accidentellement ou brutalement causée à dessein ou pas, par les circonstances fâcheuses de la vie, a toujours constitué une perte, un motif de tristesse, d´anxiété et de consternation pour toute la communauté. Et ce, dans toutes les civilisations du monde depuis la nuits des temps.
Ceci dit, imaginons-nous un peu l´ampleur que cela pourrait avoir sur la société, lorsque mort d´homme survient à une échelle industrielle comme ce fut le cas au Rwanda en 1994, et comme c´est encore le cas au Congo en général, et au Nord-Kivu en particulier depuis 1996. La peine et les conséquences désastreuses qui en résultent pour la société sont incommensurables et ne peuvent s´oublier par le fait des bidons accords entre compères, du moins, en ce qui concerne le Congo.
Toutefois, la mort d´un ou des plusieurs individus une fois survenue, quels soient la perte, les peines, les douleurs et les conséquences qu´elle engendre: les morts, il faut bien finir par les enterrer. C´est là même la loi de la nature, pour ne pas parler de celle de Dieu le créateur de la vie et de toute chose. Et à cet effet, Les Écritures Saintes sont formelles et nous disent: << Tu es venu en poussières et tu retourneras en poussières >>. Dans le parler populaire dans certains pays d´Afrique de l´ouest, dont en Côte d´Ivoire pour ne pas le nommer, on va même jusqu´à l´exprimer par un syllogisme selon lequel: <>. Et cela a toujours été le cas et fait partie de la norme dans toutes les sociétés humaines, indépendamment de leurs races, de leurs cultures, de leurs croyances religieuses ou ancestrales, etc...
Voire, des êtres exceptionnels tels ceux que je m´en vais énumérer, n´ont pas été des cas d´exception à cette règle divine. Le grand patriarche et père des croyants Abraham, avait été enterré. Tout comme le Fils de l´Homme, qui s´était fait homme pour sauver l´humanité, à savoir Jésus Christ lui-même, s´était fait inhumer avant de vaincre sur la mort trois jours plus tard. Il en avait été de même pour le grand prophète Moïse, qui avait sorti son peuple de l´esclavage d´Égypte, que Dieu lui-même après lui avoir retiré sa confiance, - mourût sans avoir vu la Terre promise - prit le soin de l´enterrer à un endroit secret que ne connaît personne si ce n´est lui seul, comme nous l´enseigne les Écritures Saintes.
L´inhumation d´un défunt, peu importe les coutumes en usage ou le rite - chrétien, juif, musulman, hindou, bouddhiste ou ancestral - dans le cadre duquel elle a lieu, reste aussi bien symbolique qu´important, car elle marque pour le (a) disparu (e) comme qui dirait, la rupture du cordon ombilical le (la) reliant au monde d´en deçà, c´est-à-dire de notre monde des vivants, à celui d´au-delà, c´est-à-dire celui des morts. Et ceci, pour lui permettre d´effectuer librement et en toute beauté le grand voyage vers l´autre cosmogonie. Car, dans toutes civilisations du monde, on croit à une autre vie après la mort physique d´un être humain sur cette terre des Hommes. C´est pourquoi, d´un côté, on parle de la réincarnation, du purigatoire, du séjour des morts, du paradis ou de l´enfer. Et de l´autre, de l´Égypte ancienne, de la Grèce antique, en passant par l´Empire romain à nos jours, on construisait et on construit encore: pyramides, nécropoles, cimetières où l´on enterrait et enterre - suivant leurs statuts sociaux - les morts pour leur repos éternel. Passage quasi-obligé d´une cosmogonie à l´autre.
C´est ainsi donc que dans certaines coutumes usuelles en Afrique, dont au Congo: on ne déclare pas quelqu´un mort, ni encore moins on ne le pleure, ni on n´organise ses funérailles, avant d´avoir vu son cadavre. Ce n´est qu´après l´avoir vu et organisé son deuil, et son enterrement en bonne et due forme, qu´on le croit définitivement mort et parti dans le monde d´au-delà. Autrement, les croyances populaires très ancrées dans la culture et les mentalités collectives soutiennent le contraire. On considère que le (a) défunt (e) est encore là parmi nous dans le monde d´en deçà, pour les pires et pour les meilleurs, et ce, selon son état d´esprit par rapport aux circonstances juste ou injustes ayant conduit à sa mort.
Ceci, explique le fait qu´il ne soit pas rare de voir lors des enterrements, les vivants prononcer soit des oraisons funèbres pour implorer le pardon d´un défunt, soit des incantations pour conjurer les effets de sa colère ou de sa méchanceté, qui pourraient éventuellement s´abattre sur les vivants. Et même après cela, dans certains cas, on continue à servir le répas complet aux défunts, en déposant soit à leurs tombes, soit à un endroit précis de la maison où ils avaient l´habitude de s´installer de leur vivant. Et dans l´Église catholique, comme vous le savez, on dit ou on chante une messe de requiem pour le repos du défunt. De tous ce qui précède, il n´y a rien de la superstition...
À quoi servent-ils réellement tous ces mémoriaux du génocide disséminés à travers tout le territoire national rwandais? Sans doute pour la mémoire nous dira-t-on. Mais ne constituraient-ils pas pour le régime au pouvoir, des armes politiques et des sanctuaires permanents pour continuer à entretenir la haine ethnique entre Hutus et Tutsis?
Le Rwanda est le seul pays où, en nombre et par tête d´habitants au kilomètre carré, l´on compte le plus des mémoriaux au monde. Car, dans chaque village, dans chaque ville, a été dressé pour <> semble-t-il, un mémorial en mémoire des victimes du génocide de 1994... Celui de Gisozi, à Kigali, où a été regroupés les restes plus de 250 000 corps, est l´un des plus visités, et bien entendu, l´un des plus coûteux. En effet, il est vrai qu´établir l´identité exacte de chacune des victimes par rapport aux cadavres et aux restes humains trouvés sur les lieux de crime, ne serait certes pas une mince affaire, mais plutôt une opération de tant coûteuse que difficile; compte tenu des circonstances dans lesquelles avaient eu lieu les différents massacres pendant les cent jours évoqués ci-haut; où l´animosité humaine des uns et des autres, déshumanisant l´autrui, a permis aux bourreaux de tout bord, de traiter son prochain exactement comme se comporte le boucher dans l´exercice de son noble métier dans sa boucherie. Abomination inqualifiable!
Toutefois, il conviendrait, au-delà de la sensibilité de cette question et du devoir de mémoire qui sont sans nulle doute importants, de se poser la question de savoir: si ces ouvrages qu´on entretient à coup de millions de francs rwandais - qui auraient pu se servir à autres choses - , ne seraient-ils pas devenus des sanctuaires de la haine et l´antagonisme ethniques ( hutue-tutsie ), qui ont caractérisé l´histoire de ce pays voisin, depuis l´arrivée des premiers colons et missionnaires européens?
Avec ou de quel sentiment, un visiteur rwandais qui ressort d´un de ces mémoriaux, serait-il animé vis-à-vis de son ou de ses compatriotes de l´autre ethnie ( hutue ), si il s´agit le cas échéant d´un Tutsi? Réponse: il pourrait être tenté de reporter ce ressentiment qu´il éprouverait sur tous les Hutus, qui pourraient tous d´emblée être perçus à ses yeux comme des tueurs irréfléchis, ou une véritable incarnation du Mal. Si c´est plutôt d´un Hutu dont il est question, et qui sait ce qui a dû réellement se passer pendant ces cents jours-là, celui-ci aura le sentiment de subir une injustice de l´Histoire. Entre Africains, on se connaît. Car, il n´y a pas mieux qu´Africain, qui connaisse ce qui se passe exactement dans la tête et le raisonnement d´un autre Africain. Le cartésianisme occidental, reste encore dans une très large mesure, l´apanage des Occidentaux eux-mêmes. Qu´en serait-il alors d´un visiteur étranger, sachant bien que c´est aux seuls Hutus - suite aux mensonges de Paul Kagame - que la Communauté internationale, faisant preuve de peu d´impartialité, aurait selon la plus grande vraisemblance, choisi de faire porter toute la responsabilité de cette tragédie du Rwanda?
Ces mémoriaux, ayant le courage de le reconnaître et de dire haut et fort les choses, qui ressembleraient plus à des forteresse de la haine inter-ethnique, ne sont certes pas de nature à favoriser l´indulgence, l´oubli, et la réconciliation et la cohabitation hamonieuse et sincère des Rwandais toutes ethnies confondues, en vue de l´émergence d´une nouvelle société démocratique et républicaine, débarrassée de tous les démons de la haine et des guerres inter-ethniques.
Ainsi, il existe donc le risque aussi bien pour les Rwandais que non- Rwandais, qu´on finisse par se dire et se laisser convaincre par la rpopagande, qu´il faudra enfermer les Hutus - injustement reconnus comme les seuls coupables - dans un sentiment de culpabilité permanente; et qu´il est juste de les frapper indéfiniment de parias pour les faire expier leurs abominables forfaits. Et ainsi donc, laisser libre cours à la clique à Paul Kagame, de monopoliser tous les pouvoir au profit de quelques familles de l´ethnie à laquelle il appartient, et de n´en faire qu´à sa tête. En bloquant bien entendu, toute bonne initiative ou tentative de véritable dialogue et réconciliation nationale, en vue de la vraie sécurité et d´une paix durable, et du développement intégral, qui sont d´un intérêt vital, pour le Rwanda, le Congo et la région des Grands Lacs africains tout entière. Ceci, au nom d´une velléité d´extermination d´une partie de la population rwandaise par les extrémistes, dont il est pourtant au premier degré, l´initiateur et l´un des acteurs principaux responsables.
C´est plutôt par stratégie et escroquerie politiques et non par respect aux morts, que le régime de Kigali répand ça et là des mémoriaux.
Par conséquent, il paraît clair que c´est dans cette logique-là que s´inscrit la stratégie du régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda. Faire porter le chapeau aux uns, pour un drame humain dont la responsabilité est à partager, et accaparer ainsi tous les pouvoir comme pour prendre sa revanche, et diriger enfin le pays par la terreur comme c´est actuellement le cas.
En effet, comment peut-on expliquer que des gens qui tuent à une échelle industrielle aussi facilement qu´on tue des insectes - dont l´exceptionnel maccabre bilan est de près de 7 millions de vies humaines fauchées, au Rwanda, au Congo et dans une moindre mesure au Burundi - , qui n´ont donc aucun respect pour la vie elle-même, puissent en avoir pour les morts des massacres qu´ils ont eux-mêmes occasionnés? Paul Kagame et compagnie au pouvoir à Kigali, sont trop mal placés pour se livrer à de telles cérémonies de receuillement pour qu´on croie en leur sincérité... N´est-ce pas là un choquant paradoxe et escroquerie politique de mauvais goût? Pourquoi donc alors les Justices francaise et espagnole les poursuivraient-elles des gens qui se sont auto-érigés en <<>>, si cela serait vrai? À moins qu´elles soient toutes les deux devenues déraisonnables et folles. Ce qui est loin d´être le cas.
Et si d´après le régime rwandais, la France qui, selon lui, aurait été de près ou loin impliquée dans ce drame, et voudrait pour cela lui faire un procès politique, avec les neuf mandats d´arrêts délivrés par le juge Jean-Louis Bruguière à l´encontre de neuf (9) membres de son équipe; et que dira-t-on alors de la Justice espagnole qui est allée quatre fois plus loin, qui, par le juge Baltazar Garzón, en a délivré au total quarante (40) contre les mêmes individus et trente un (31) autres depuis février 2009?
Dans ce cas, l´armée espagnole aurait elle aussi d´après le régime génocido-militariste rwandais participé aux massacres en 1994, et l´espagne voudrait elle aussi lui faire un procès politique?
Les dirigeants rwandais qui ne supportent pas la vérité, doivent comprendre qu´il y a des Congolais, des Rwandais comme le Major Abdul Ruzibiza - pour ne citer que lui, et dont vous aurez l´opportunité de savourer l´interview sur le lien en bas de page -, et bien des gens de bon sens de par le monde, qui ne supportent pas non plus le mensonge, et que la vérité doit tôt ou tard être restituée.
Ceci dit, depuis 2007, des renseignements très précis font état de multiples tranferts des ossement et restes humains sortis de fosses communes au Congo, et ensuite convoyés par camions entiers, des zones jadis contrôlées par des pseudo-rébellions, devenues par la faiblesse et grâce la complicité d´un des leûrs à la tête du semblant d´État congolais, des partis politiques pseudo-congolais que sont le Rasseblement des Congolais Démocrates (RCD) d´Azarias Ruberwa, ensuite par le CNDP de Laurent Nkundabatware; vers le Rwanda, pour aller renforcer et gonfler en restes humains, les mémoriaux existant là-bas sur place, et charger ainsi davantage ceux qu´ils accusent eux, d´en être les seuls responsables; pendant qu´une partie de ces ossements humains étaient déversée, dans des sacs avec des poids à l´intérieur, pour les tracter au fond du Fleuve Congo.
Et ce, pour parer à l´éventualité d´une enquête internationale qu´ils redoutent encore, en faisant d´avance disparaître les preuves de leurs crimes de guerre et crimes contre l´humanité, dans les zones où sevissaient l´armée rwandaise, sous le couvert des alliés Rwando-<> ci-haut cités. Pourquoi donc, et quel est le vrai dessein de toutes ces machiavéliques manigances autour des restes humains et des mémoriaux? Réponse: grosse escroquerie politique et vaste manipulation de la Communauté internationale...
Le Rwanda ne serait-il pas devenu comparable à un immense château hanté? Tant que les victimes du génocide seront pas enterrées dignement...
Comme évoqué plus haut, l´inhumation selon les coutumes en usage, est un acte important dans toutes les civilisations humaines, pour le repos des morts. Dans le respect le plus absolu pour les victimes du génocide rwandais de 1994, pour lesquels le souci de voir leurs âmes reposer en paix nous anime. Il y a cependant lieu de se demander si les autorités rwandaises ne feraient pas mieux: de chercher à les identifier d´abord, et ensuite, à leur donner des sépultures dignes? C´est bien entendu, ce qu´elles ont dû faire du site de Nyanza sur les collines qui surplombent Kigali, où se tiennent les cérémonies d´aujourd hui, a été réhabilité en fosses communes pour toutes victimes. N´empêche-t-on pas aux morts de s´en aller vers l´au-delà, en les enfermant dans des lieux où ils ont été injustement victimes de la barbarie des uns et de l´ambition des autres? En faisant cyniquement d´eux des objets de musée exposés à la curiosité du monde, ne se serve-t-on pas là d´eux comme du matériel durable de propagande à l´échelle internationale et d´armes de récupération politique massive? Au regard du comportement des dirigeants rwandais et de tous ce qui se fait depuis 15 ans, on est tenté d´y répondre par l´affirmative en disant: Oui!
Vu ce qui précède, ne serait-il pas juste de dire que le Rwanda, dont le territoire national est disséminé des mémoriaux serait hanté par l´esprit des morts, à l´image d´un immense château dont toutes les pièces seraient hantées? Étant donné que les détenteurs du pouvoir n´ont jamais permis aux morts d´effectuer comme il se doit, leur dernier voyage vers l´autre cosmogonie. Des corps qui n´ont pas été portés à terre, ou sinon incinérés pour être inhumés ou répandus dans la nature, ne retournent pas en poussières selon la volonté divine. N´est-ce pas! Et ces victimes, soulignons-le, ne sont pas avec le coeur plein d´anthousiasme, eu égard aux conditions injustes et aux méthodes inhumaines que nous connaissons, dans lesquelles la mort atroce leur avait été infligée.
Rappelons, dans même ordre d´idées que, le parc de ces nombreux mémoriaux du génocide rwandais dressés partout dans le pays, absorbent des frais évalués à plusieurs millions de francs rwandais. Des sommes colossales qui auraient pu servir à autre chose, comme par exemple: la lutte contre la pauvreté que le Gouvernement a fait de l´un de ses chévaux de bataille. Dans un pays où les populations ont cruellement besoin de chaque petit franc qui compte pour sa survie, et où ni l´assitance financière généreuse que lui apporte la Communauté internationale, ni le banditisme d´État auquel il se livre sur les ressources minières, économiques et autres de son voisin congolais depuis 13 ans, comme confirmé par nombre de Rapports des Nations Unies, n´ont suffi pour y éradiquer la misère, car plus de 70% de sa population totale vit sous le seuil de pauvreté.
Ainsi, il est impérieux de préciser un fait très déterminant dans la trame et la dynamique du drame rwandais de 1994, dont on a souvent tendance à oublier: l´analphabétisme. Car, les élites des deux bords eux inscrits, savent bien ce qu´ils font, et ce qu´ils font faire aux populations souvent peu ou pas du tout inscrites. Retenons qu´au-delà des efforts qui sont faits par les autorités et de l´aide de l´UNESCO dont bénéficie le pays, dans le cadre des objectifs du Millénium des Nations unies pour l´éducation; le Rwanda detient le triste record de personnes analphabètes, soit 80% de sa population globale, pour 0,25% des diplômés universitaires. Respectivement, le taux plus élevé et le plus faible dans la région de Grands Lacs, mais surtout de toute l´Afrique. Conséquence: population facilement manipulable à dessein par l´élite. De là, on comprend plus facilement pourquoi l´holocauste a pu avoitr lieu.
C´est ainsi donc que les mémoriaux du génocide pour ne <<>>, pourraient bien être troqués contre des écoles et des bibliothèques, où l´on pourra mieux conserver la mémoire sans pour autant rémuer le coûteau dans la plaie comme c´est actuelllemnt le cas. En termes plus clairs pour ne pas avoir à macher les mots: <>. Des établissements publics, où l´on apprendra aux enfants rwandais, et à tous les Rwandais en général:
1. Le sens de l´égalité de droits et l´appartenance à une seule et même nation; quelles que soient les différences morphologiques ou autres, qui ne peuvent en aucun cas servir d´excuse pour déhumaniser autrui, et l´affubler de tous les noms d´oiseaux.
2. À faire un bon usage de la machette dont on s´en sert uniquement pour défricher le terrain et des travaux champêtres, relatifs à la culture du thé et du café, source principale des revenus dont le pays a cruellement besoinn pour son développement, et non pas pour charcuter son compatriote.
3. Où les Rwandais, s´instruiront sur l´usage pacifiste et défensif de la mitrailleuse ou du pistolet-mitrailleur, dont on ne pourrait se servir que lorsque le pays fait face à une menace extérieure, et non pas pour se massacrer mutuellement entre concitoyens au Rwanda, ou contre des paisibles et pacifiques voisins au Congo. Car un peuple qui a connu la souffrance, doit apprendre à avoir des égards pour les autres. Et non, se transformer soi-même en bourreau des autres (des Congolais).
En définitive: une telle approche serait judicieuse, et ferait mieux l´affaire des Rwandais, plutôt que ces mémoriaux qui ne font pas autre chose qu´entretenir la haine de l´autre.
À quoi ressemblerait donc le monde, si tous les pays du monde décidaient d´emboîter les pas au Rwanda, en dressant partout des mémoriaux <>?
Figurez-vous un peu l´hypothèse de voir tous les pays du monde, emboîter les pas aux autorités rwandaises en construisant ca et là des mémoriaux, pour les victimes de guerres ou massacres qu´ils ont connus. Vous conviendrez avec moi qu´il y a n´aurait sûrement plus de terrains vides pour autre chose. Ceci dit, imaginez-vous:
- Que la Russie et tous les pays qui autrefois formaient l´ex-Union soviétique, qui ont perdu ensemble près de 20 millions de leûrs lors de la Séconde Guerre mondiale, fassent autant. Rappelons aussi que les Russes auraient ou envisageraient d´ailleurs de déménager le Camarade Vladimir Oulianov Lénine, grand théoricien et père fondateur de l´ex-Union soviétique, de son très célèbre mausolée sur la Place Rouge de Moscou, où il repose embaumé depuis sa disparition en 1924, et le troquer contre une sépulture dans la terre. Moins coûteuse semble-t-il.
- Que l´État hébreu, c´est-à-dire Israël avec ses 6 millions de victimes de la Shoa, décide enfn d´importer d´Allemagne et d´Europe, les restes encore existants de celles-ci, pour les abriter dans des mémoriaux qu´il fera dresser dans toutes ses villes et villages, dans les limites de la minuscule superficie de son territoire.
- Que la Grande-Bretagne, qui avait vu sa magnifique capitale la ville de Londres, constamment bombardée par la Luft Waffe, l´aviation allemande (plutôt nazie), lors de la Seconde Guerre mondiale, occasionnant ainsi plusieurs milliers de victimes, sans parler de dégâts materiels; ait choisi de les conserver dans des memoriaux.
- Que tous les pays d´Europe: de la Belgique à la France, de la Pologne à la Tchéquie, du Danemark à la Norvège, du Balkan à l´Oural, qui ont souffert de affres de l´occupation nazie, fassent comme le Rwanda.
Conclusion: il n´existait pas aujourd´hui d´amitié et de la concorde entre tous ces pays ci haut cites et l´Allemagne fédérale, ni même l´Union européenne...
Imaginez aussi que le Congo construise partout sur l´étendue de son territoire national, notamment à Kiwanja qui a été récemment au mois de septembre 2008, le théâtre de massacres perpétrés par les troupes rwandaises sous le couvert de Laurent Nkundabatware, des mémoriaux pour ses 6 millions de morts - non décretés par le Congo, mais établis par des sources internationales indépendantes - dûs aux trois (3) guerres d´agréssion et de prédation rwando-ougando-burundaises, lui imposées et soutenues par les pirates de la Globalisation néolibérale tirant les ficelles dans l´ombre. On ne parlerait plus jamais de paix entre le Congo et tous ces pays agresseurs précités.
Eh bien, figurez-vous dans le même ordre d´idées, que le Cambodge fasse de même de ses 2 millions de victimes de la terreur des Khmers rouges: il n´y aurait sûrement pas la paix et la réconciliation nationale qui règnent en moment dans ce pays. Que l´Arménie ait fait autant: le rapprochement en vue d´un dialogue qui s´amorce petit à petit avec la Turquie, s´éloignerait davantage. Si les Kurdes irakiens qui ont aujourd´hui un des leûrs à la tête de l´Irak, avait construit à Allabja des mémoriaux pour <<>> les 6 000 victimes gazées sur ordre de Saddam Hussein, et exécuté par les bons soins d´Ali le Chimique?
Iil n´y aurait certes pas aujourd´hui de paix entre les différents groupes ethniques qui composent ce pays. À quoi ressemblerait aujourd´hui le Liban, si les Chrétiens et les Musulmans de ce pays procédèrent de la même manière? Et que dire de la grande Chine par rapport au Japon? De l´Algérie par rapport à la France? de l´Angola par rapport au Portugal? Que dire des USA, par rapport aux lattaques terroriste du 11 septembre 2001 contre les deux Tours jumelles du centre de New York?
Conclusion: les uns éprouveront indéfiniment de la rancoeur et de la haine pour les autres; ils seront en état de guerre permanent les uns contre les autres; et ne pourront jamais réaliser quelque chose de bon ensemble, et ce, au grand dam de tout le monde.
Enfin, Paul Kagamé et son régime, ont trouvé une formule magique, qu´ils qualifient de: divisionnisme, pour faire taire leurs adversaires et tout son de cloche discordant qui revendiquent l´ouverture, le dialogue et la démocratie au Rwanda. Que sont-ils devenus? Les Bizimungu et consort.....
En effet, il n´y a au Rwanda de Paul Kagamé, aucune place pour l´opposition politique démocratique. La presse libre, il en existe pas, et la presse nationale, totalement inféodée au régime. Aucune forme de constestation n´est permise dans le pays: c´est le comble du totalitarisme pur et dur et de la pensée unique. Au fait, que sont devenus les deux anciens ministres de l´Intérieur et de la Justice? Séjournent-il toujours en prison?
Où serait donc passé l´opposant, et ancien Premier ministre consensuel, Faustin Twagiramungu? Toujours en fuite à l´étranger! Et alors enfin, l´ancien Président de la République de 1994 à 2000, en l´occurence Pasteur Bizimungu, celui qui, pour justifier la guerre d´agression et de prédation décretée son Vice-président et ministre de la Défense contre le Congo, réclamait à cor et à cri la convocation d´une deuxième <> pour rédécouper le Congo, et rendre au Rwanda ses territoires qui se trouveraient de l´autre côté de la frontière? Continue-t-il toujours de moisir dans les géôles du régime de terreur pour cause d´avoir tenté de fonder son propre parti politique? Et curieusement, tous, des Hutus, et tous accusé de <<>>. Comprenne qui pourra!
Enfin, pour clore, revenons un peu à l´affaire de la présence des Hutus à l´est du Congo. Ainsi donc, préférant au dialogue l´usage de la force contre ceux-ci; près d´un mois après que l´Armée rwandaise qui était intervenu au Congo pour traquer les rebelles hutus, serait <<>> chez elle au Rwanda; et ce, après des cérémonies grandoises organisées par le Chef d´état-major général rwandais, James Kabarebe - recherché par la Justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l´humanité - , et le général d´opérette congolais, John Numbi à Goma; où par un communiqué conjoint, ils clamaient leur victoire et déclaraient haut et fort avoir neutralisé la résistance hutue. Peut-on donc dans ce cas, nous Congolais, prendre bonne note de cela, et considérer que l´Armée de Kagamé ne reviendra plus chez nous sous ce prétexte-là? Puisque l´affaire est définitivement réglée selon eux. Seul l´avenir nous le dira. Le peuple du Congo a besoin d´un <> comme préalable à la normalisation de nos relations bilatérales.
À la Communauté internationale de retenir qu´un génocide rwando-rwandais, dont un régime au pouvoir au Rwanda est coresponsable, ne lui procure nullement le droit d'en commettre d´autres contre ses propres populations, et encore moins contre celles du Congo voisin. Cela ne lui donne pas non plus le droit de bâtir une dictature monoethnique et néo-féodale, le placant au-dessus des lois internationales. Le monde a pour cela le devoir d´ouvrir grand les yeux, et d´empêcher à ce que cet homme et son régime dangereux ne continue plus impunément à faire d´autres millions de victimes au Rwanda, au Congo et dans toute la région des Grands Lacs africains.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple.
Pépin Lulendo
Le 7 avril 2009
C´est-à-dire du 7 avril 1994, jour qui avait suivi les assassinats avec une entreprise terroriste du président Juvérnal Habyarhimana et de son homologue burundais Cyprien Ntaryamira, au 18 juillet 1994, officiellement retenu comme le jour de la fin de cette horrible hécatombe.
Même s´il est vrai - c´est le cas de le dire - qu`après cette date, d´innombrables témoignages concordants, venant même du côté des convertis tutsis ayant été co-acteurs de ces massacres soutiennent que, les nouveaux maîtres des lieux du Front patriotique rwandais à dominante tutsie, après avoir chassé du pouvoir le parti unique de l´époque et ses milices Interhamwes qui trouvèrent refuge à l´est du Congo - aujourd´hui transformé eux tous, en zone de non-droit et en immense mouroir -, continuèrent d´en perpétrer d´autres contre les populations civiles hutues - charniers et fosses communes - qu´ils ont par suite mis sur le dos des convaincus.
Quinze ans après l´acte terroriste du FPR et son corollaire, dont les conséquences ont endeuillé des millions des Rwandais, et continuent d´être ressenties dans la région entière des Grands Lacs, en particulier au Congo qui, lui aussi en 13 ans, deplore déjà six millions de ses filles et fils, sans qu´il n´est soit pour autant au bout de ses peines.
Cependant, une question vient à l´esprit par rapport à la journée d´aujourd´hui au Rwanda: doit-on à travers des cérémonies hypocrites qui cachent mal la responsabilité des vrais initiateurs et auteurs de cette tragédie, continuer à entretenir le mensonge et à faire le culte de la haine?
L´Afrique, le monde dit civilisé ou sinon les démocraties occidentales - porteuses de grandes valeurs et de principes - , et la Communauté de nations tout entière, doivent-ils continuer à se laisser délibérément floués par le régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda; sachant bien que celui-ci est à des années lumières d´être saint et exempt de toute responsabilité dans cette affaire? Qui trompe-t-on et de qui se moque-t-on en définitive?
Les Rwandais ont besoin de se réconcilier et de panser leurs plaies, et non pas de continuer indéfiniment d´accabler les uns ou à s´accuser mutuellement.
Il est tout à fait légitime et justifié pour les Rwandais de commémorer la mémoire des victimes de cette tragédie humaine qui s´était abattue sur ce pays voisin, voire frère du Congo; mais toutefois, sans omettre de tenir compte de la sensibilité des discours et propos qui sont tenus par les détenteurs actuels du pouvoir, lesquels discours laisseraient à penser que ceux-ci, seraient encore loin d´être animés d´une véritable volonté d´aider le peuple rwandais à se réconcilier avec lui-même. Et ce, dans le seul dessein d´occulter la vérité de peur que leur responsabilité n´éclate au grand jour; et de conserver ainsi le pouvoir monopolistique au profit d´un régime et d´un syndicat de familles appartenant à la minorité tutsie, selon le vocabulaire politique en usuel là-bas au Rwanda.
En fait, la mort d´un seul être humain quelle soit la manière dont elle survient, c´est-à-dire naturellement, accidentellement ou brutalement causée à dessein ou pas, par les circonstances fâcheuses de la vie, a toujours constitué une perte, un motif de tristesse, d´anxiété et de consternation pour toute la communauté. Et ce, dans toutes les civilisations du monde depuis la nuits des temps.
Ceci dit, imaginons-nous un peu l´ampleur que cela pourrait avoir sur la société, lorsque mort d´homme survient à une échelle industrielle comme ce fut le cas au Rwanda en 1994, et comme c´est encore le cas au Congo en général, et au Nord-Kivu en particulier depuis 1996. La peine et les conséquences désastreuses qui en résultent pour la société sont incommensurables et ne peuvent s´oublier par le fait des bidons accords entre compères, du moins, en ce qui concerne le Congo.
Toutefois, la mort d´un ou des plusieurs individus une fois survenue, quels soient la perte, les peines, les douleurs et les conséquences qu´elle engendre: les morts, il faut bien finir par les enterrer. C´est là même la loi de la nature, pour ne pas parler de celle de Dieu le créateur de la vie et de toute chose. Et à cet effet, Les Écritures Saintes sont formelles et nous disent: << Tu es venu en poussières et tu retourneras en poussières >>. Dans le parler populaire dans certains pays d´Afrique de l´ouest, dont en Côte d´Ivoire pour ne pas le nommer, on va même jusqu´à l´exprimer par un syllogisme selon lequel: <
Voire, des êtres exceptionnels tels ceux que je m´en vais énumérer, n´ont pas été des cas d´exception à cette règle divine. Le grand patriarche et père des croyants Abraham, avait été enterré. Tout comme le Fils de l´Homme, qui s´était fait homme pour sauver l´humanité, à savoir Jésus Christ lui-même, s´était fait inhumer avant de vaincre sur la mort trois jours plus tard. Il en avait été de même pour le grand prophète Moïse, qui avait sorti son peuple de l´esclavage d´Égypte, que Dieu lui-même après lui avoir retiré sa confiance, - mourût sans avoir vu la Terre promise - prit le soin de l´enterrer à un endroit secret que ne connaît personne si ce n´est lui seul, comme nous l´enseigne les Écritures Saintes.
L´inhumation d´un défunt, peu importe les coutumes en usage ou le rite - chrétien, juif, musulman, hindou, bouddhiste ou ancestral - dans le cadre duquel elle a lieu, reste aussi bien symbolique qu´important, car elle marque pour le (a) disparu (e) comme qui dirait, la rupture du cordon ombilical le (la) reliant au monde d´en deçà, c´est-à-dire de notre monde des vivants, à celui d´au-delà, c´est-à-dire celui des morts. Et ceci, pour lui permettre d´effectuer librement et en toute beauté le grand voyage vers l´autre cosmogonie. Car, dans toutes civilisations du monde, on croit à une autre vie après la mort physique d´un être humain sur cette terre des Hommes. C´est pourquoi, d´un côté, on parle de la réincarnation, du purigatoire, du séjour des morts, du paradis ou de l´enfer. Et de l´autre, de l´Égypte ancienne, de la Grèce antique, en passant par l´Empire romain à nos jours, on construisait et on construit encore: pyramides, nécropoles, cimetières où l´on enterrait et enterre - suivant leurs statuts sociaux - les morts pour leur repos éternel. Passage quasi-obligé d´une cosmogonie à l´autre.
C´est ainsi donc que dans certaines coutumes usuelles en Afrique, dont au Congo: on ne déclare pas quelqu´un mort, ni encore moins on ne le pleure, ni on n´organise ses funérailles, avant d´avoir vu son cadavre. Ce n´est qu´après l´avoir vu et organisé son deuil, et son enterrement en bonne et due forme, qu´on le croit définitivement mort et parti dans le monde d´au-delà. Autrement, les croyances populaires très ancrées dans la culture et les mentalités collectives soutiennent le contraire. On considère que le (a) défunt (e) est encore là parmi nous dans le monde d´en deçà, pour les pires et pour les meilleurs, et ce, selon son état d´esprit par rapport aux circonstances juste ou injustes ayant conduit à sa mort.
Ceci, explique le fait qu´il ne soit pas rare de voir lors des enterrements, les vivants prononcer soit des oraisons funèbres pour implorer le pardon d´un défunt, soit des incantations pour conjurer les effets de sa colère ou de sa méchanceté, qui pourraient éventuellement s´abattre sur les vivants. Et même après cela, dans certains cas, on continue à servir le répas complet aux défunts, en déposant soit à leurs tombes, soit à un endroit précis de la maison où ils avaient l´habitude de s´installer de leur vivant. Et dans l´Église catholique, comme vous le savez, on dit ou on chante une messe de requiem pour le repos du défunt. De tous ce qui précède, il n´y a rien de la superstition...
À quoi servent-ils réellement tous ces mémoriaux du génocide disséminés à travers tout le territoire national rwandais? Sans doute pour la mémoire nous dira-t-on. Mais ne constituraient-ils pas pour le régime au pouvoir, des armes politiques et des sanctuaires permanents pour continuer à entretenir la haine ethnique entre Hutus et Tutsis?
Le Rwanda est le seul pays où, en nombre et par tête d´habitants au kilomètre carré, l´on compte le plus des mémoriaux au monde. Car, dans chaque village, dans chaque ville, a été dressé pour <
Toutefois, il conviendrait, au-delà de la sensibilité de cette question et du devoir de mémoire qui sont sans nulle doute importants, de se poser la question de savoir: si ces ouvrages qu´on entretient à coup de millions de francs rwandais - qui auraient pu se servir à autres choses - , ne seraient-ils pas devenus des sanctuaires de la haine et l´antagonisme ethniques ( hutue-tutsie ), qui ont caractérisé l´histoire de ce pays voisin, depuis l´arrivée des premiers colons et missionnaires européens?
Avec ou de quel sentiment, un visiteur rwandais qui ressort d´un de ces mémoriaux, serait-il animé vis-à-vis de son ou de ses compatriotes de l´autre ethnie ( hutue ), si il s´agit le cas échéant d´un Tutsi? Réponse: il pourrait être tenté de reporter ce ressentiment qu´il éprouverait sur tous les Hutus, qui pourraient tous d´emblée être perçus à ses yeux comme des tueurs irréfléchis, ou une véritable incarnation du Mal. Si c´est plutôt d´un Hutu dont il est question, et qui sait ce qui a dû réellement se passer pendant ces cents jours-là, celui-ci aura le sentiment de subir une injustice de l´Histoire. Entre Africains, on se connaît. Car, il n´y a pas mieux qu´Africain, qui connaisse ce qui se passe exactement dans la tête et le raisonnement d´un autre Africain. Le cartésianisme occidental, reste encore dans une très large mesure, l´apanage des Occidentaux eux-mêmes. Qu´en serait-il alors d´un visiteur étranger, sachant bien que c´est aux seuls Hutus - suite aux mensonges de Paul Kagame - que la Communauté internationale, faisant preuve de peu d´impartialité, aurait selon la plus grande vraisemblance, choisi de faire porter toute la responsabilité de cette tragédie du Rwanda?
Ces mémoriaux, ayant le courage de le reconnaître et de dire haut et fort les choses, qui ressembleraient plus à des forteresse de la haine inter-ethnique, ne sont certes pas de nature à favoriser l´indulgence, l´oubli, et la réconciliation et la cohabitation hamonieuse et sincère des Rwandais toutes ethnies confondues, en vue de l´émergence d´une nouvelle société démocratique et républicaine, débarrassée de tous les démons de la haine et des guerres inter-ethniques.
Ainsi, il existe donc le risque aussi bien pour les Rwandais que non- Rwandais, qu´on finisse par se dire et se laisser convaincre par la rpopagande, qu´il faudra enfermer les Hutus - injustement reconnus comme les seuls coupables - dans un sentiment de culpabilité permanente; et qu´il est juste de les frapper indéfiniment de parias pour les faire expier leurs abominables forfaits. Et ainsi donc, laisser libre cours à la clique à Paul Kagame, de monopoliser tous les pouvoir au profit de quelques familles de l´ethnie à laquelle il appartient, et de n´en faire qu´à sa tête. En bloquant bien entendu, toute bonne initiative ou tentative de véritable dialogue et réconciliation nationale, en vue de la vraie sécurité et d´une paix durable, et du développement intégral, qui sont d´un intérêt vital, pour le Rwanda, le Congo et la région des Grands Lacs africains tout entière. Ceci, au nom d´une velléité d´extermination d´une partie de la population rwandaise par les extrémistes, dont il est pourtant au premier degré, l´initiateur et l´un des acteurs principaux responsables.
C´est plutôt par stratégie et escroquerie politiques et non par respect aux morts, que le régime de Kigali répand ça et là des mémoriaux.
Par conséquent, il paraît clair que c´est dans cette logique-là que s´inscrit la stratégie du régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda. Faire porter le chapeau aux uns, pour un drame humain dont la responsabilité est à partager, et accaparer ainsi tous les pouvoir comme pour prendre sa revanche, et diriger enfin le pays par la terreur comme c´est actuellement le cas.
En effet, comment peut-on expliquer que des gens qui tuent à une échelle industrielle aussi facilement qu´on tue des insectes - dont l´exceptionnel maccabre bilan est de près de 7 millions de vies humaines fauchées, au Rwanda, au Congo et dans une moindre mesure au Burundi - , qui n´ont donc aucun respect pour la vie elle-même, puissent en avoir pour les morts des massacres qu´ils ont eux-mêmes occasionnés? Paul Kagame et compagnie au pouvoir à Kigali, sont trop mal placés pour se livrer à de telles cérémonies de receuillement pour qu´on croie en leur sincérité... N´est-ce pas là un choquant paradoxe et escroquerie politique de mauvais goût? Pourquoi donc alors les Justices francaise et espagnole les poursuivraient-elles des gens qui se sont auto-érigés en <<>>, si cela serait vrai? À moins qu´elles soient toutes les deux devenues déraisonnables et folles. Ce qui est loin d´être le cas.
Et si d´après le régime rwandais, la France qui, selon lui, aurait été de près ou loin impliquée dans ce drame, et voudrait pour cela lui faire un procès politique, avec les neuf mandats d´arrêts délivrés par le juge Jean-Louis Bruguière à l´encontre de neuf (9) membres de son équipe; et que dira-t-on alors de la Justice espagnole qui est allée quatre fois plus loin, qui, par le juge Baltazar Garzón, en a délivré au total quarante (40) contre les mêmes individus et trente un (31) autres depuis février 2009?
Dans ce cas, l´armée espagnole aurait elle aussi d´après le régime génocido-militariste rwandais participé aux massacres en 1994, et l´espagne voudrait elle aussi lui faire un procès politique?
Les dirigeants rwandais qui ne supportent pas la vérité, doivent comprendre qu´il y a des Congolais, des Rwandais comme le Major Abdul Ruzibiza - pour ne citer que lui, et dont vous aurez l´opportunité de savourer l´interview sur le lien en bas de page -, et bien des gens de bon sens de par le monde, qui ne supportent pas non plus le mensonge, et que la vérité doit tôt ou tard être restituée.
Ceci dit, depuis 2007, des renseignements très précis font état de multiples tranferts des ossement et restes humains sortis de fosses communes au Congo, et ensuite convoyés par camions entiers, des zones jadis contrôlées par des pseudo-rébellions, devenues par la faiblesse et grâce la complicité d´un des leûrs à la tête du semblant d´État congolais, des partis politiques pseudo-congolais que sont le Rasseblement des Congolais Démocrates (RCD) d´Azarias Ruberwa, ensuite par le CNDP de Laurent Nkundabatware; vers le Rwanda, pour aller renforcer et gonfler en restes humains, les mémoriaux existant là-bas sur place, et charger ainsi davantage ceux qu´ils accusent eux, d´en être les seuls responsables; pendant qu´une partie de ces ossements humains étaient déversée, dans des sacs avec des poids à l´intérieur, pour les tracter au fond du Fleuve Congo.
Et ce, pour parer à l´éventualité d´une enquête internationale qu´ils redoutent encore, en faisant d´avance disparaître les preuves de leurs crimes de guerre et crimes contre l´humanité, dans les zones où sevissaient l´armée rwandaise, sous le couvert des alliés Rwando-<
Le Rwanda ne serait-il pas devenu comparable à un immense château hanté? Tant que les victimes du génocide seront pas enterrées dignement...
Comme évoqué plus haut, l´inhumation selon les coutumes en usage, est un acte important dans toutes les civilisations humaines, pour le repos des morts. Dans le respect le plus absolu pour les victimes du génocide rwandais de 1994, pour lesquels le souci de voir leurs âmes reposer en paix nous anime. Il y a cependant lieu de se demander si les autorités rwandaises ne feraient pas mieux: de chercher à les identifier d´abord, et ensuite, à leur donner des sépultures dignes? C´est bien entendu, ce qu´elles ont dû faire du site de Nyanza sur les collines qui surplombent Kigali, où se tiennent les cérémonies d´aujourd hui, a été réhabilité en fosses communes pour toutes victimes. N´empêche-t-on pas aux morts de s´en aller vers l´au-delà, en les enfermant dans des lieux où ils ont été injustement victimes de la barbarie des uns et de l´ambition des autres? En faisant cyniquement d´eux des objets de musée exposés à la curiosité du monde, ne se serve-t-on pas là d´eux comme du matériel durable de propagande à l´échelle internationale et d´armes de récupération politique massive? Au regard du comportement des dirigeants rwandais et de tous ce qui se fait depuis 15 ans, on est tenté d´y répondre par l´affirmative en disant: Oui!
Vu ce qui précède, ne serait-il pas juste de dire que le Rwanda, dont le territoire national est disséminé des mémoriaux serait hanté par l´esprit des morts, à l´image d´un immense château dont toutes les pièces seraient hantées? Étant donné que les détenteurs du pouvoir n´ont jamais permis aux morts d´effectuer comme il se doit, leur dernier voyage vers l´autre cosmogonie. Des corps qui n´ont pas été portés à terre, ou sinon incinérés pour être inhumés ou répandus dans la nature, ne retournent pas en poussières selon la volonté divine. N´est-ce pas! Et ces victimes, soulignons-le, ne sont pas avec le coeur plein d´anthousiasme, eu égard aux conditions injustes et aux méthodes inhumaines que nous connaissons, dans lesquelles la mort atroce leur avait été infligée.
Rappelons, dans même ordre d´idées que, le parc de ces nombreux mémoriaux du génocide rwandais dressés partout dans le pays, absorbent des frais évalués à plusieurs millions de francs rwandais. Des sommes colossales qui auraient pu servir à autre chose, comme par exemple: la lutte contre la pauvreté que le Gouvernement a fait de l´un de ses chévaux de bataille. Dans un pays où les populations ont cruellement besoin de chaque petit franc qui compte pour sa survie, et où ni l´assitance financière généreuse que lui apporte la Communauté internationale, ni le banditisme d´État auquel il se livre sur les ressources minières, économiques et autres de son voisin congolais depuis 13 ans, comme confirmé par nombre de Rapports des Nations Unies, n´ont suffi pour y éradiquer la misère, car plus de 70% de sa population totale vit sous le seuil de pauvreté.
Ainsi, il est impérieux de préciser un fait très déterminant dans la trame et la dynamique du drame rwandais de 1994, dont on a souvent tendance à oublier: l´analphabétisme. Car, les élites des deux bords eux inscrits, savent bien ce qu´ils font, et ce qu´ils font faire aux populations souvent peu ou pas du tout inscrites. Retenons qu´au-delà des efforts qui sont faits par les autorités et de l´aide de l´UNESCO dont bénéficie le pays, dans le cadre des objectifs du Millénium des Nations unies pour l´éducation; le Rwanda detient le triste record de personnes analphabètes, soit 80% de sa population globale, pour 0,25% des diplômés universitaires. Respectivement, le taux plus élevé et le plus faible dans la région de Grands Lacs, mais surtout de toute l´Afrique. Conséquence: population facilement manipulable à dessein par l´élite. De là, on comprend plus facilement pourquoi l´holocauste a pu avoitr lieu.
C´est ainsi donc que les mémoriaux du génocide pour ne <<>>, pourraient bien être troqués contre des écoles et des bibliothèques, où l´on pourra mieux conserver la mémoire sans pour autant rémuer le coûteau dans la plaie comme c´est actuelllemnt le cas. En termes plus clairs pour ne pas avoir à macher les mots: <
1. Le sens de l´égalité de droits et l´appartenance à une seule et même nation; quelles que soient les différences morphologiques ou autres, qui ne peuvent en aucun cas servir d´excuse pour déhumaniser autrui, et l´affubler de tous les noms d´oiseaux.
2. À faire un bon usage de la machette dont on s´en sert uniquement pour défricher le terrain et des travaux champêtres, relatifs à la culture du thé et du café, source principale des revenus dont le pays a cruellement besoinn pour son développement, et non pas pour charcuter son compatriote.
3. Où les Rwandais, s´instruiront sur l´usage pacifiste et défensif de la mitrailleuse ou du pistolet-mitrailleur, dont on ne pourrait se servir que lorsque le pays fait face à une menace extérieure, et non pas pour se massacrer mutuellement entre concitoyens au Rwanda, ou contre des paisibles et pacifiques voisins au Congo. Car un peuple qui a connu la souffrance, doit apprendre à avoir des égards pour les autres. Et non, se transformer soi-même en bourreau des autres (des Congolais).
En définitive: une telle approche serait judicieuse, et ferait mieux l´affaire des Rwandais, plutôt que ces mémoriaux qui ne font pas autre chose qu´entretenir la haine de l´autre.
À quoi ressemblerait donc le monde, si tous les pays du monde décidaient d´emboîter les pas au Rwanda, en dressant partout des mémoriaux <
Figurez-vous un peu l´hypothèse de voir tous les pays du monde, emboîter les pas aux autorités rwandaises en construisant ca et là des mémoriaux, pour les victimes de guerres ou massacres qu´ils ont connus. Vous conviendrez avec moi qu´il y a n´aurait sûrement plus de terrains vides pour autre chose. Ceci dit, imaginez-vous:
- Que la Russie et tous les pays qui autrefois formaient l´ex-Union soviétique, qui ont perdu ensemble près de 20 millions de leûrs lors de la Séconde Guerre mondiale, fassent autant. Rappelons aussi que les Russes auraient ou envisageraient d´ailleurs de déménager le Camarade Vladimir Oulianov Lénine, grand théoricien et père fondateur de l´ex-Union soviétique, de son très célèbre mausolée sur la Place Rouge de Moscou, où il repose embaumé depuis sa disparition en 1924, et le troquer contre une sépulture dans la terre. Moins coûteuse semble-t-il.
- Que l´État hébreu, c´est-à-dire Israël avec ses 6 millions de victimes de la Shoa, décide enfn d´importer d´Allemagne et d´Europe, les restes encore existants de celles-ci, pour les abriter dans des mémoriaux qu´il fera dresser dans toutes ses villes et villages, dans les limites de la minuscule superficie de son territoire.
- Que la Grande-Bretagne, qui avait vu sa magnifique capitale la ville de Londres, constamment bombardée par la Luft Waffe, l´aviation allemande (plutôt nazie), lors de la Seconde Guerre mondiale, occasionnant ainsi plusieurs milliers de victimes, sans parler de dégâts materiels; ait choisi de les conserver dans des memoriaux.
- Que tous les pays d´Europe: de la Belgique à la France, de la Pologne à la Tchéquie, du Danemark à la Norvège, du Balkan à l´Oural, qui ont souffert de affres de l´occupation nazie, fassent comme le Rwanda.
Conclusion: il n´existait pas aujourd´hui d´amitié et de la concorde entre tous ces pays ci haut cites et l´Allemagne fédérale, ni même l´Union européenne...
Imaginez aussi que le Congo construise partout sur l´étendue de son territoire national, notamment à Kiwanja qui a été récemment au mois de septembre 2008, le théâtre de massacres perpétrés par les troupes rwandaises sous le couvert de Laurent Nkundabatware, des mémoriaux pour ses 6 millions de morts - non décretés par le Congo, mais établis par des sources internationales indépendantes - dûs aux trois (3) guerres d´agréssion et de prédation rwando-ougando-burundaises, lui imposées et soutenues par les pirates de la Globalisation néolibérale tirant les ficelles dans l´ombre. On ne parlerait plus jamais de paix entre le Congo et tous ces pays agresseurs précités.
Eh bien, figurez-vous dans le même ordre d´idées, que le Cambodge fasse de même de ses 2 millions de victimes de la terreur des Khmers rouges: il n´y aurait sûrement pas la paix et la réconciliation nationale qui règnent en moment dans ce pays. Que l´Arménie ait fait autant: le rapprochement en vue d´un dialogue qui s´amorce petit à petit avec la Turquie, s´éloignerait davantage. Si les Kurdes irakiens qui ont aujourd´hui un des leûrs à la tête de l´Irak, avait construit à Allabja des mémoriaux pour <<>> les 6 000 victimes gazées sur ordre de Saddam Hussein, et exécuté par les bons soins d´Ali le Chimique?
Iil n´y aurait certes pas aujourd´hui de paix entre les différents groupes ethniques qui composent ce pays. À quoi ressemblerait aujourd´hui le Liban, si les Chrétiens et les Musulmans de ce pays procédèrent de la même manière? Et que dire de la grande Chine par rapport au Japon? De l´Algérie par rapport à la France? de l´Angola par rapport au Portugal? Que dire des USA, par rapport aux lattaques terroriste du 11 septembre 2001 contre les deux Tours jumelles du centre de New York?
Conclusion: les uns éprouveront indéfiniment de la rancoeur et de la haine pour les autres; ils seront en état de guerre permanent les uns contre les autres; et ne pourront jamais réaliser quelque chose de bon ensemble, et ce, au grand dam de tout le monde.
Enfin, Paul Kagamé et son régime, ont trouvé une formule magique, qu´ils qualifient de: divisionnisme, pour faire taire leurs adversaires et tout son de cloche discordant qui revendiquent l´ouverture, le dialogue et la démocratie au Rwanda. Que sont-ils devenus? Les Bizimungu et consort.....
En effet, il n´y a au Rwanda de Paul Kagamé, aucune place pour l´opposition politique démocratique. La presse libre, il en existe pas, et la presse nationale, totalement inféodée au régime. Aucune forme de constestation n´est permise dans le pays: c´est le comble du totalitarisme pur et dur et de la pensée unique. Au fait, que sont devenus les deux anciens ministres de l´Intérieur et de la Justice? Séjournent-il toujours en prison?
Où serait donc passé l´opposant, et ancien Premier ministre consensuel, Faustin Twagiramungu? Toujours en fuite à l´étranger! Et alors enfin, l´ancien Président de la République de 1994 à 2000, en l´occurence Pasteur Bizimungu, celui qui, pour justifier la guerre d´agression et de prédation décretée son Vice-président et ministre de la Défense contre le Congo, réclamait à cor et à cri la convocation d´une deuxième <
Enfin, pour clore, revenons un peu à l´affaire de la présence des Hutus à l´est du Congo. Ainsi donc, préférant au dialogue l´usage de la force contre ceux-ci; près d´un mois après que l´Armée rwandaise qui était intervenu au Congo pour traquer les rebelles hutus, serait <<>> chez elle au Rwanda; et ce, après des cérémonies grandoises organisées par le Chef d´état-major général rwandais, James Kabarebe - recherché par la Justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l´humanité - , et le général d´opérette congolais, John Numbi à Goma; où par un communiqué conjoint, ils clamaient leur victoire et déclaraient haut et fort avoir neutralisé la résistance hutue. Peut-on donc dans ce cas, nous Congolais, prendre bonne note de cela, et considérer que l´Armée de Kagamé ne reviendra plus chez nous sous ce prétexte-là? Puisque l´affaire est définitivement réglée selon eux. Seul l´avenir nous le dira. Le peuple du Congo a besoin d´un <
À la Communauté internationale de retenir qu´un génocide rwando-rwandais, dont un régime au pouvoir au Rwanda est coresponsable, ne lui procure nullement le droit d'en commettre d´autres contre ses propres populations, et encore moins contre celles du Congo voisin. Cela ne lui donne pas non plus le droit de bâtir une dictature monoethnique et néo-féodale, le placant au-dessus des lois internationales. Le monde a pour cela le devoir d´ouvrir grand les yeux, et d´empêcher à ce que cet homme et son régime dangereux ne continue plus impunément à faire d´autres millions de victimes au Rwanda, au Congo et dans toute la région des Grands Lacs africains.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple.
Pépin Lulendo
Le 7 avril 2009
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Tuesday, April 7, 2009
***
L' Association des survivants Rwandais remercie en toute sincèrité tous ceux qui ont commencé hier en particulier les enfants et familles des victimes avec l'assistance de notre héro Joseph Matata à travers le grand chemin vers le statut pour la mémoire des nôtres à Bruxelles et ayant perdu la vie dans les différents massacres organisés dans le pays à partir du nord du Rwanda.
Pour vous rafraîchir la mémoire, plus de 3 et demi millions de victimes ont perdu la vie dans ce génocide rwandais planifié, organisé, et exécuté à plus grande échelle depuis le 6 avril 1994 Paul Kagame, le plus grand criminel que notre planète ait jamais hébergé. En 1995, KIbeho: Le livre de Terry Pickard sur les masscres de Kibeho est un témoignage émouvant.
Les images de Klein sur les méga-massacres de 21 mille intellectuels hutus avec leurs familles. Le rapport Gersony vous en parle en long et en large du matin jusqu'au soir pour vous révéler la cruauté de Paul Kagame et son organisation criminelle du FPR.
Après ces grands massacres, les rescapés d'entre-nous dont plusieurs ont connu le jour le plus long au Rwanda et en République Démocratique du Congo, au Congo Brazzaville, au Gabon, en Zambia, en Tanzania, au Burundi, au Kenya, au Malawi jusqu'en Afrique du Sud , la route vers les camps de concentration tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Rwanda; les déportations, les lieux d’extermination au nord-ouest du Rwanda, à Gitarama, Kibungo, Kibeho dans Gikongoro qui n'existe plus sur la carte du Rwanda (et pour cause) et évidemment dans les camps des réfugiés en RDC.
Je ne vous rappelle pas comment les nôtres ont été enfermés dans des containers, des maisons inoccupées, etc. Je ne parle pas de viols suivis d'exécutions sommaires. je ne parle pas du camp d'Auschuitz Rwandais: Kibeho: ces cadavres de ces enfants, de ces femmes, ces hommes et ces vieillards qui ont eu le malheur d'appartenir à l'ethnie Hutu. Plus tard nous entendrons de la bouche de Kagame qu' il utilisera la stratégie de la cuillère pour arriver à ses fins.
Les images de Klein sur les méga-massacres de 21 mille intellectuels hutus avec leurs familles. Le rapport Gersony vous en parle en long et en large du matin jusqu'au soir pour vous révéler la cruauté de Paul Kagame et son organisation criminelle du FPR.
Après ces grands massacres, les rescapés d'entre-nous dont plusieurs ont connu le jour le plus long au Rwanda et en République Démocratique du Congo, au Congo Brazzaville, au Gabon, en Zambia, en Tanzania, au Burundi, au Kenya, au Malawi jusqu'en Afrique du Sud , la route vers les camps de concentration tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Rwanda; les déportations, les lieux d’extermination au nord-ouest du Rwanda, à Gitarama, Kibungo, Kibeho dans Gikongoro qui n'existe plus sur la carte du Rwanda (et pour cause) et évidemment dans les camps des réfugiés en RDC.
Je ne vous rappelle pas comment les nôtres ont été enfermés dans des containers, des maisons inoccupées, etc. Je ne parle pas de viols suivis d'exécutions sommaires. je ne parle pas du camp d'Auschuitz Rwandais: Kibeho: ces cadavres de ces enfants, de ces femmes, ces hommes et ces vieillards qui ont eu le malheur d'appartenir à l'ethnie Hutu. Plus tard nous entendrons de la bouche de Kagame qu' il utilisera la stratégie de la cuillère pour arriver à ses fins.
Comme dans la plupart des zones occupées par le FPR pendant la période 1990-91, les cadavres des nôtres étaient jonchées ici et là; ils étaient percés de baïonnettes et jetés dans le fleuve.Nil et Nyabarongo , et arrivaient dans le lac Victoria.
Leurs cadavres ont été portés par les eaux des fleuves, d'autres avaient été brûlés vifs et leurs cadavres jetés dans les lacs Burera et Ruhondo, puis dans les lacs cyohoha, Ihema, etc. Actuellement, nous pensons à toutes ces cadavres de vieilles femmes, d'enfants hutus dont certains furent ensuite jetés vifs dans ces fleuves et rivières pour être noyés.
Leurs cadavres ont été portés par les eaux des fleuves, d'autres avaient été brûlés vifs et leurs cadavres jetés dans les lacs Burera et Ruhondo, puis dans les lacs cyohoha, Ihema, etc. Actuellement, nous pensons à toutes ces cadavres de vieilles femmes, d'enfants hutus dont certains furent ensuite jetés vifs dans ces fleuves et rivières pour être noyés.
Les victimes récoltés en Uganda entassées dans les fausses communes et ceux de l'intérieur du Rwanda n'auront jamais cet honneur.
Le changement de régime au Rwanda est le suel qui pourra permettre aux Rwandais de s'asseoir ensemble, toutes les ethnies confondues, dire la VERITE sur ce qui s'est passé au Rwanda puis demander que justice soit faite. C'est dans cette atmosphère que la réconcilation aura ses assises au Rwanda et dans les pays voisins.
Le changement de régime au Rwanda est le suel qui pourra permettre aux Rwandais de s'asseoir ensemble, toutes les ethnies confondues, dire la VERITE sur ce qui s'est passé au Rwanda puis demander que justice soit faite. C'est dans cette atmosphère que la réconcilation aura ses assises au Rwanda et dans les pays voisins.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Human Right Watch, Alison Des Forges & Disinformation on Central Africa
6 April 2009
Keith Harmon snow
http://www.allthingspass.com/
6 April 2009
Keith Harmon snow
http://www.allthingspass.com/
***
Hello
I'd like to share my most recent publication: PLEASE PUBLISH (w/attribution) OR DISTRIBUTE.
Why is this important to you?
Because corporations are trying to rule the world and their lawyers are threatening my existence as a journalist.
Because most readers of this email will have seen a story about "genocide" in Rwanda somewhere, in some form, and the same story has unfolded around Darfur, Sudan. It is intertwined with the information systems and Hollywood, and most everything out there is dishonest, disinformation, meant to deceive, confuse, and disempower us. More than that, propaganda is meant to insure our participation in systems of exploitation.
Because genocide is widespread. It is happening to native Americans, Hawai'ians, indigenous people everywhere. There is a long history of mass murder, and consciousness comes in understanding our role in it. Most important, it is critical to understand the U.S. government's relationship to dictatorships, atrocities, and plunder in Central Africa, Columbia, Canada -- everywhere and anywhere it is happening.
Innocent people are being hurt, and some of them are people I know. They are good people, deserving of your consciousness.
This story is about Human Rights Watch and Alison Des Forges, the HRW researcher on Rwanda killed in the Continental Airlines plane crash in Buffalo NY.
Please support this work with a donation. This is independent thought, independent action, the power of one.
blessings
keith
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Because genocide is widespread. It is happening to native Americans, Hawai'ians, indigenous people everywhere. There is a long history of mass murder, and consciousness comes in understanding our role in it. Most important, it is critical to understand the U.S. government's relationship to dictatorships, atrocities, and plunder in Central Africa, Columbia, Canada -- everywhere and anywhere it is happening.
Innocent people are being hurt, and some of them are people I know. They are good people, deserving of your consciousness.
This story is about Human Rights Watch and Alison Des Forges, the HRW researcher on Rwanda killed in the Continental Airlines plane crash in Buffalo NY.
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keith
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On 12 February 2009, Alison Des Forges, a senior researcher with Human Rights Watch (HRW) for more than 20 years, was killed when Continental Airlines Flight 3407 crashed on route to Buffalo, New York. Des Forges was widely cited as a staunch critic of the Rwandan military government controlled by Paul Kagame and the victors of the war in Rwanda, 1990-1994.
In the ongoing life-and-death struggle to reveal the truth about war crimes and genocide in Central Africa, competing factions on all sides have posthumously embraced Alison Des Forges as an activist challenging power and a purveyor of truth and justice against all odds. Meanwhile, in March, 2009, based on false accusations of genocide issued by the Kagame regime and given the close relations between Rwanda and the Obama administration’s former Clintonite officials the U.S. Department of Homeland Security began the process of revisiting all immigration cases of Rwandan asylum seekers and criminalizing innocent refugees.
“In May of 1994, a few weeks into the killings of Tutsis in Rwanda, [Alison Des Forges] was among the first voices calling for the killings to be declared a genocide,” reported Amy Goodman, posthumously, on Democracy Now. “She later became very critical of the Tutsi-led Rwandan government headed by Paul Kagame and its role in the mass killings in both Rwanda and neighboring Congo after 1994. Last year, she was barred from entering Rwanda.”
To say that Des Forges was “amongst the first voices calling for the killings to be declared genocide” in 1994 is an Orwellian ruse. The genocide label applied by Alison Des Forges and certain human rights bodies in May of 1994 was misdirected, used to accuse and criminalize only the majority Hutu people and the remnants of the decapitated Habyarimana government (much as the genocide and war crimes accusations have been selectively applied against President Omar alBashir in Sudan).
The Clinton administration refused to apply the genocide label: to do so might have compromised an ongoing U.S.-backed covert operation: the invasion of the Pentagon’s proxy force, the Rwandan Patriotic Front/Army (RPF/A). According to Wayne Madsen, an U.S. intelligence insider Wayne Madsen, Des Forges’ criticisms of the U.S.-brokered pact between presidents Paul Kagame (Rwanda) and Joseph Kabila (Democratic Republic of Congo or DRC) in December 2008 “earned her some powerful enemies ranging from the murderous Kagame, who will not think twice about sending his agents to silence critics abroad, and international interests who want to nothing to prevent them from looting the DRC’s vast mineral and energy resources.”
“With U.S. military forces of the U.S. Africa Command (AFRICOM) now backing a joint Ugandan-DRC offensive in the northeastern DRC to wipe out the Lord’s Resistance Army,” wrote Madsen on 16 February 2009, “with hundreds [sic] of civilian casualties in the DRC and Uganda, and a secret pact worked out between Kabila and Kagame to permit Rwandan troops to occupy the eastern DRC, the target of both operations is securing the vast territory that is rich in commodities that the United States, Britain and Israel all allies of Uganda and Rwanda want badly. Those commodities are gold, diamonds, columbium-tantalite (coltan), platinum and natural gas.”
Massive oil reserves are also at stake, with major concessions bifurcated by the international border. Ongoing petroleum sector investment (exploration and exploitation) in the region involves numerous western extraction companies—many being so-called petroleum ‘minors’ likely fronting for larger corporations including Hardman Resources, Heritage Oil and Gas, H Oil & Minerals, PetroSA, Tullow Oil, Vangold Resources, ContourGlobal Group, Tower Resources, Reservoir Capital Group, and Nexant (a Bechtel Corporation subsidiary).
Billed as a “tireless champion” and “leading light in African human rights,” there is much more to this story than the western propaganda system has revealed: Alison Des Forges and HRW provided intelligence to the U.S. government at the time of the 1994 crises, and they have continued in this role to the present. Des Forges also supported the show trials at the International Criminal Tribunal for Rwanda (ICTR), institutionalizing victor’s justice and shielding the Kagame regime.
Alison Des Forges came across to many people as a wonderful human being with great compassion and impeccable integrity. Indeed, this was my impression upon meeting her as well. She is said to have helped people who were being persecuted no matter that they were Hutus or Tutsis by the Rwandan regime that has for more than 19 years operated with impunity behind the misplaced and misappropriated moral currency of victimhood. In the recent past, Alison Des Forges spoke to some limited degree against the war crimes of the Kagame regime.
The volcanoes region of the Zaire-Uganda-Rwanda border in 1991, seen in relative peace here, was then just beginning to suffer the destabilizing effects caused by the U.S.-backed invasion of Rwanda by Ugandan troops and the Rwandan Patriotic Army. In life she did not speak about the deeper realities of ‘genocide in Rwanda’, and she had plenty of chances.
In fact, she is the primary purveyor of the inversion of truth that covered up the deeper U.S. role in the Rwanda ‘genocide’, and she spent the past 10 years of her life explaining away the inconsistencies, covering up the facts, revising her own story when necessary, and manipulating public opinion about war crimes in the Great Lakes of Africa—in service to the U.S. government and powerful corporations involved in the plunder and depopulation of the region.
THE MYSTERIES OF A PRESIDENT
“Alison des Forges is a liar,” Cameroonian journalist Charles Onana told me, in Paris, France, several years ago. Onana is the author of numerous exposés on war crimes, genocide and crimes against humanity in Central Africa, and he is the author of the book The Secrets of the Rwandan Genocide, Investigations on the Mysteries of a President, published in French in 2001.
Paul Kagame, Rwanda’s one-party president ‘elected’ through rigged elections, sued Charles Onana for defamation in a French court in 2002; Kagame lost the original trial and the appeal. Kagame was the commander of the Rwandan Patriotic Front/Army (RPF/A) and a leading agent with Ugandan President Yoweri Museveni and their U.S., U.K., Belgian and Israeli backers behind the massive bloodshed and ongoing terrorism in Rwanda, Uganda, Burundi, Congo, Sudan and Somalia.
“Leading light in African Human Rights killed in Buffalo Crash,” reported the Pentagon’s mouthpiece, CNN. “Human Rights Watch, which is based in New York, said she was ‘best known for her award-winning account of the genocide, Leave None to Tell the Story.’ She was truly wonderful, the epitome of the human rights activist principled, dispassionate, committed to the truth and to using that truth to protect ordinary people.”
Alison Des Forges first worked as a HRW agent in Rwanda in 1992; in 1993 she helped produce a major international document highly biased against the Rwandan Government and protective of the RPF/A invaders: Report of the International Commission of Investigation on Human Rights Violations in Rwanda since October 1, 1990.
In late 1992, the International Federation of Human Rights, Human Rights Watch, the Inter-African Union for Human Rights and the Rights of Peoples, and the International Center for the Rights of the Individual and the Development of Democracy created the International Commission of Investigation on Human Rights Violations in Rwanda since October 1, 1990. With ten members from eight countries, the commission reported its findings in March 1993: Des Forges was cochairperson, one of the three principal writers, and translator of the French to English version.
The report noted that ‘hundreds of thousands’ of Rwandans were made homeless and forced to flee, prior to January 1993, but these casualties of the RPF/A invasion were not attributed to international crimes of peace against a sovereign government committed by an invading army the RPF/A guerrillas covertly backed by the U.S., Britain, Belgium and Israel but instead merely to ‘war’. In other words, the initial act of aggression, the RPA/F invasion, was institutionally protected and the ar crimes that set the stage for the conflagrations in Rwanda and Congo went unpunished.
Later in 1993, Rwandans Ferdinand Nanimana and Joseph Mushyandi, representing four Rwandan organizations under the Rwanda Associations for the Defense of Human Rights, challenged the Des Forges commission in their 26-page document, A Commentary on the Report of the International Commission's Inquiry on the Violation of Human Rights in Rwanda since October 1990. “How can an international commission be taken seriously when its members spent only two weeks extracting verbal and written evidence on human rights violations for a period of two years?” the authors wrote.
They also pointed out that the commission spent less than two hours in areas controlled by the RPF/A rebels and that they could not visit all the 11 prefectures in the country because of demonstrations that blocked the roads. “Can there be any objective and credible conclusions in their report?” Ferdinand Nahimana was later sentenced to life imprisonment for genocide. Many members of the Rwandan human rights organizations he worked with prior to April 1994 were subsequently killed.
The rights and due process of Rwandan Hutus tried by the ICTR have been systematically violated due to the victor’s justice secured by the U.S., Europe, Israel and the proxy states Uganda, Tanzania and Rwanda. ICTR detainee, Tanzania, 2000.
Like other researchers who have endlessly perpetuated the disinformation, Des Forges made no attempts to correct the record. In 1992, human rights researchers Rakiya Omaar and Alex de Waal established the London-based NGO African Rights.
In August 1995, African Rights published Rwanda: Death, Despair and Defiance, another pivotal ‘human rights’ report that manufactured the ‘genocide’ fabrications, set the stage for victor’s justice at the ICTR, and began the process of dehumanizing millions of Hutu people and protecting the true terrorists. In 1995, Omaar and de Waal recycled the disinformation in the left-leaning Covert Action Quarterly under the title “U.S. Complicity by Silence: Genocide in Rwanda.”
Since 2003, Alex de Waal has been one of the primary disinformation conduits on Darfur, Sudan. “This woman [Omaar] of Somali origin is an RPF agent,” says Jean-Marie Higiro, former director of the Rwandan Information Office (ORINFOR). “[Today] she has her office in Kigali. In 1994 she was at Mulindi [Rwanda], the headquarters of the RPF. As the RPF conquered territories from the Rwandan Government Forces [FAR], she collected information fed to her by the RPF.”
“An intensive back and forth activity between this so-called British human rights organization, African Rights, and the intelligence services of the [Kagame] President’s office and the Rwandan military, has been observed,” wrote Hotel Rwanda star Paul Rusesabagina. “Her investigators are very close to the [RPF/A] military intelligence apparatus, and the modus operandi of both appears to be similar.”
Alison Des Forges years long ‘investigations’ into the bloodshed of 1994 resulted in the fat treatise on genocide in Rwanda, Leave None to Tell the Story, a book co-researched and co-written by Timothy Longman, now Associate Professor of Africana Studies and Political Science at Vassar College. Longman and Des Forges produced numerous documents based on field investigations in Congo (Zaire), Rwanda and Burundi, from 1995 to 2008 touted as independent and unbiased human rights documents, all skewed by hidden interests.
On 12 February 2009, Alison Des Forges, a senior researcher with Human Rights Watch (HRW) for more than 20 years, was killed when Continental Airlines Flight 3407 crashed on route to Buffalo, New York. Des Forges was widely cited as a staunch critic of the Rwandan military government controlled by Paul Kagame and the victors of the war in Rwanda, 1990-1994.
In the ongoing life-and-death struggle to reveal the truth about war crimes and genocide in Central Africa, competing factions on all sides have posthumously embraced Alison Des Forges as an activist challenging power and a purveyor of truth and justice against all odds. Meanwhile, in March, 2009, based on false accusations of genocide issued by the Kagame regime and given the close relations between Rwanda and the Obama administration’s former Clintonite officials the U.S. Department of Homeland Security began the process of revisiting all immigration cases of Rwandan asylum seekers and criminalizing innocent refugees.
“In May of 1994, a few weeks into the killings of Tutsis in Rwanda, [Alison Des Forges] was among the first voices calling for the killings to be declared a genocide,” reported Amy Goodman, posthumously, on Democracy Now. “She later became very critical of the Tutsi-led Rwandan government headed by Paul Kagame and its role in the mass killings in both Rwanda and neighboring Congo after 1994. Last year, she was barred from entering Rwanda.”
To say that Des Forges was “amongst the first voices calling for the killings to be declared genocide” in 1994 is an Orwellian ruse. The genocide label applied by Alison Des Forges and certain human rights bodies in May of 1994 was misdirected, used to accuse and criminalize only the majority Hutu people and the remnants of the decapitated Habyarimana government (much as the genocide and war crimes accusations have been selectively applied against President Omar alBashir in Sudan).
The Clinton administration refused to apply the genocide label: to do so might have compromised an ongoing U.S.-backed covert operation: the invasion of the Pentagon’s proxy force, the Rwandan Patriotic Front/Army (RPF/A). According to Wayne Madsen, an U.S. intelligence insider Wayne Madsen, Des Forges’ criticisms of the U.S.-brokered pact between presidents Paul Kagame (Rwanda) and Joseph Kabila (Democratic Republic of Congo or DRC) in December 2008 “earned her some powerful enemies ranging from the murderous Kagame, who will not think twice about sending his agents to silence critics abroad, and international interests who want to nothing to prevent them from looting the DRC’s vast mineral and energy resources.”
“With U.S. military forces of the U.S. Africa Command (AFRICOM) now backing a joint Ugandan-DRC offensive in the northeastern DRC to wipe out the Lord’s Resistance Army,” wrote Madsen on 16 February 2009, “with hundreds [sic] of civilian casualties in the DRC and Uganda, and a secret pact worked out between Kabila and Kagame to permit Rwandan troops to occupy the eastern DRC, the target of both operations is securing the vast territory that is rich in commodities that the United States, Britain and Israel all allies of Uganda and Rwanda want badly. Those commodities are gold, diamonds, columbium-tantalite (coltan), platinum and natural gas.”
Massive oil reserves are also at stake, with major concessions bifurcated by the international border. Ongoing petroleum sector investment (exploration and exploitation) in the region involves numerous western extraction companies—many being so-called petroleum ‘minors’ likely fronting for larger corporations including Hardman Resources, Heritage Oil and Gas, H Oil & Minerals, PetroSA, Tullow Oil, Vangold Resources, ContourGlobal Group, Tower Resources, Reservoir Capital Group, and Nexant (a Bechtel Corporation subsidiary).
Billed as a “tireless champion” and “leading light in African human rights,” there is much more to this story than the western propaganda system has revealed: Alison Des Forges and HRW provided intelligence to the U.S. government at the time of the 1994 crises, and they have continued in this role to the present. Des Forges also supported the show trials at the International Criminal Tribunal for Rwanda (ICTR), institutionalizing victor’s justice and shielding the Kagame regime.
Alison Des Forges came across to many people as a wonderful human being with great compassion and impeccable integrity. Indeed, this was my impression upon meeting her as well. She is said to have helped people who were being persecuted no matter that they were Hutus or Tutsis by the Rwandan regime that has for more than 19 years operated with impunity behind the misplaced and misappropriated moral currency of victimhood. In the recent past, Alison Des Forges spoke to some limited degree against the war crimes of the Kagame regime.
The volcanoes region of the Zaire-Uganda-Rwanda border in 1991, seen in relative peace here, was then just beginning to suffer the destabilizing effects caused by the U.S.-backed invasion of Rwanda by Ugandan troops and the Rwandan Patriotic Army. In life she did not speak about the deeper realities of ‘genocide in Rwanda’, and she had plenty of chances.
In fact, she is the primary purveyor of the inversion of truth that covered up the deeper U.S. role in the Rwanda ‘genocide’, and she spent the past 10 years of her life explaining away the inconsistencies, covering up the facts, revising her own story when necessary, and manipulating public opinion about war crimes in the Great Lakes of Africa—in service to the U.S. government and powerful corporations involved in the plunder and depopulation of the region.
THE MYSTERIES OF A PRESIDENT
“Alison des Forges is a liar,” Cameroonian journalist Charles Onana told me, in Paris, France, several years ago. Onana is the author of numerous exposés on war crimes, genocide and crimes against humanity in Central Africa, and he is the author of the book The Secrets of the Rwandan Genocide, Investigations on the Mysteries of a President, published in French in 2001.
Paul Kagame, Rwanda’s one-party president ‘elected’ through rigged elections, sued Charles Onana for defamation in a French court in 2002; Kagame lost the original trial and the appeal. Kagame was the commander of the Rwandan Patriotic Front/Army (RPF/A) and a leading agent with Ugandan President Yoweri Museveni and their U.S., U.K., Belgian and Israeli backers behind the massive bloodshed and ongoing terrorism in Rwanda, Uganda, Burundi, Congo, Sudan and Somalia.
“Leading light in African Human Rights killed in Buffalo Crash,” reported the Pentagon’s mouthpiece, CNN. “Human Rights Watch, which is based in New York, said she was ‘best known for her award-winning account of the genocide, Leave None to Tell the Story.’ She was truly wonderful, the epitome of the human rights activist principled, dispassionate, committed to the truth and to using that truth to protect ordinary people.”
Alison Des Forges first worked as a HRW agent in Rwanda in 1992; in 1993 she helped produce a major international document highly biased against the Rwandan Government and protective of the RPF/A invaders: Report of the International Commission of Investigation on Human Rights Violations in Rwanda since October 1, 1990.
In late 1992, the International Federation of Human Rights, Human Rights Watch, the Inter-African Union for Human Rights and the Rights of Peoples, and the International Center for the Rights of the Individual and the Development of Democracy created the International Commission of Investigation on Human Rights Violations in Rwanda since October 1, 1990. With ten members from eight countries, the commission reported its findings in March 1993: Des Forges was cochairperson, one of the three principal writers, and translator of the French to English version.
The report noted that ‘hundreds of thousands’ of Rwandans were made homeless and forced to flee, prior to January 1993, but these casualties of the RPF/A invasion were not attributed to international crimes of peace against a sovereign government committed by an invading army the RPF/A guerrillas covertly backed by the U.S., Britain, Belgium and Israel but instead merely to ‘war’. In other words, the initial act of aggression, the RPA/F invasion, was institutionally protected and the ar crimes that set the stage for the conflagrations in Rwanda and Congo went unpunished.
Later in 1993, Rwandans Ferdinand Nanimana and Joseph Mushyandi, representing four Rwandan organizations under the Rwanda Associations for the Defense of Human Rights, challenged the Des Forges commission in their 26-page document, A Commentary on the Report of the International Commission's Inquiry on the Violation of Human Rights in Rwanda since October 1990. “How can an international commission be taken seriously when its members spent only two weeks extracting verbal and written evidence on human rights violations for a period of two years?” the authors wrote.
They also pointed out that the commission spent less than two hours in areas controlled by the RPF/A rebels and that they could not visit all the 11 prefectures in the country because of demonstrations that blocked the roads. “Can there be any objective and credible conclusions in their report?” Ferdinand Nahimana was later sentenced to life imprisonment for genocide. Many members of the Rwandan human rights organizations he worked with prior to April 1994 were subsequently killed.
The rights and due process of Rwandan Hutus tried by the ICTR have been systematically violated due to the victor’s justice secured by the U.S., Europe, Israel and the proxy states Uganda, Tanzania and Rwanda. ICTR detainee, Tanzania, 2000.
Like other researchers who have endlessly perpetuated the disinformation, Des Forges made no attempts to correct the record. In 1992, human rights researchers Rakiya Omaar and Alex de Waal established the London-based NGO African Rights.
In August 1995, African Rights published Rwanda: Death, Despair and Defiance, another pivotal ‘human rights’ report that manufactured the ‘genocide’ fabrications, set the stage for victor’s justice at the ICTR, and began the process of dehumanizing millions of Hutu people and protecting the true terrorists. In 1995, Omaar and de Waal recycled the disinformation in the left-leaning Covert Action Quarterly under the title “U.S. Complicity by Silence: Genocide in Rwanda.”
Since 2003, Alex de Waal has been one of the primary disinformation conduits on Darfur, Sudan. “This woman [Omaar] of Somali origin is an RPF agent,” says Jean-Marie Higiro, former director of the Rwandan Information Office (ORINFOR). “[Today] she has her office in Kigali. In 1994 she was at Mulindi [Rwanda], the headquarters of the RPF. As the RPF conquered territories from the Rwandan Government Forces [FAR], she collected information fed to her by the RPF.”
“An intensive back and forth activity between this so-called British human rights organization, African Rights, and the intelligence services of the [Kagame] President’s office and the Rwandan military, has been observed,” wrote Hotel Rwanda star Paul Rusesabagina. “Her investigators are very close to the [RPF/A] military intelligence apparatus, and the modus operandi of both appears to be similar.”
Alison Des Forges years long ‘investigations’ into the bloodshed of 1994 resulted in the fat treatise on genocide in Rwanda, Leave None to Tell the Story, a book co-researched and co-written by Timothy Longman, now Associate Professor of Africana Studies and Political Science at Vassar College. Longman and Des Forges produced numerous documents based on field investigations in Congo (Zaire), Rwanda and Burundi, from 1995 to 2008 touted as independent and unbiased human rights documents, all skewed by hidden interests.
According to a recent PBS Frontline eulogy, less than two weeks into the killing in April 1994 Des Forges met with officials in the U.S. State Department and National Security Council (NSC) and lobbied for their help. “We were not asking for U.S. troops,” Frontline quotes her to say, “it was clear to us that there was no way that the U.S. was going to commit troops to Rwanda.”
But the U.S. military was heavily backing the RPF/A tactically and strategically already.
Key to the operation were ‘former’ Special Operations Forces (Ronco Company) providing military equipment and ferrying RPA troops from Uganda to Rwanda; the Pentagon's logistical and communications support; Defense Intelligence Agency and CIA operatives. Canadian General Romeo Dallaire, commander of the United Nations Assistance Mission in Rwanda (UNAMIR), was also collaborating with the RPF/A, serving the Pentagon interest.
Genocide in Rwanda became a massive psychological operation directed against media consumers using ghastly images—produced by RPA-embedded photographers like James Nachtwey and Gilles Peres to infer that all cadavers were Tutsi victims of an orchestrated Hutu genocide; meanwhile the text was racist disinformation produced by Joshua Hammer. Newsweek, June 20, 1994.
ICTR defense attorney Christopher Black reports that reliable sources confirm that US Special forces were with the RPF all the way through the war. “My client testified in June that U.S. Hercules [C-130 military aircraft] were seen dropping troops in support of the RPF…” Further, on 9 April 1994, three days after the so-called ‘mysterious plane crash’ where Burundi's President Cyprien Ntaryamira and President Habyarimana were assassinated, some 330 U.S. marines landed at Bujumbura's airport in Burundi, ostensibly to ‘rescue Americans’ in Rwanda.
More centrally however, Uganda with U.S. trained forces and U.S. supplied weaponry launched its war against Rwanda as a proxy force for the United States of America. The result was a coup d‘etat: we won. The 2003 Frontline interview with Alison Des Forges exemplifies her continuing role in whitewashing U.S. involvement in war crimes and genocide in Central Africa.
“Kagame received his military education under the Pentagon's Joint Combined Exchange Training (JCET) at the Command and General Staff College of Fort Leavenworth, Kansas, beginning in 1990,” wrote John E. Peck of the Association of African Scholars (2002). “His sidekick, Lt. Col. Frank Rusagara, got his JCET schooling at the U.S. Naval Academy in Monterey, California.
Both were dispatched to Rwanda in time to oversee the RPF's takeover in 1994. Far from being an innocent bystander, the Washington Post revealed on July 12, 1998 that the United States not only gave Kagame $75 million in military assistance, but also sent Green Berets to train Kagame's forces (as well as their Ugandan rebel allies) in low intensity conflict (LIC) tactics. Pentagon subcontractor Ronco, masquerading as a demining company, also smuggled more weapons to RPF fighters in flagrant violation of UN sanctions. All of this U.S. largesse was put to lethal effect in the ethnic bloodbath that is still going on.”
“This genocide resulted from the deliberate choice of a modern elite to foster hatred and fear to keep itself in power,” Des Forges wrote, blaming ‘Hutu Power’. However, her assertions about a ‘planned’ Hutu genocide “They seized control of the state and used its machinery and its authority to carry out the slaughter” collapse under scrutiny.
From 1990 to 1994, the Rwandan Patriotic Army (RPA), comprised most heavily of Ugandan soldiers led by Ugandan citizens like Paul Kagame, committed atrocity after atrocity as they forced their way to power in Kigali, always falsely accusing their enemies—the power-sharing government of then President Juvenal Habyarimana—of genocide. “Kagame assigned some people to work with Alison Des Forges,” says Ugandan Human Rights expert Remigius Kintu, “and also to assist her in fabricating and distorting stories to suit Tutsi propaganda plans.”
According to the International Forum for Truth and Justice in the Great Lakes Region of Africa, whose discoveries resulted in the high courts of Spain issuing international indictments against 40 top RPF/A officials: “Between 1990 and 1994, the RPA waged a systematic, pre-planned, secretive but highly organized terrorist war aimed at eliminating the largest number of Rwandan people possible bodies were hacked to pieces and incinerated en masse.
From 1994, once the RPA violently seized power, a terror regime was created, and developed, and a criminal structure parallel to the state was set up to pursue pre-determined kidnappings; torturing and raping of women and young girls; terrorist attacks (both directly and by simulating that the same had been perpetrated by the enemy); illegal detention of thousands of civilians; selective murdering; systematic elimination of corpses either by mass incineration or by throwing them into lakes and rivers; indiscriminate attacks against civilians based on pre-determined ethnic categories for the elimination of the predominant ethnic group; and also to carry out acts of war in Rwanda and Congo.”
Before former President Habyarimana’s assassination on 6 April 1994, Des Forges, and the organizations she worked with, blamed the whole war crimes show on President Habyarimana and his government, they dismissed the illegal invasion and atrocities of the RPF/A, and they began calling it genocide against the Tutsis as early as 1992.
“In the Military II case Alison Des Forges admitted that she was funded by USAID when she was part of that so-called International Commission condemning the Rwandan Government [Habyarimana] for human rights violations,” reports Canadian Chris Black, a defense attorney at the ICTR, “and she admitted that she just took the word of the RPF and pro-RPF groups and that she did not deal with RPF atrocities, as she did not have the time.”
Chris Black notes that Des Forges presented reports to the ICTR in certain legal cases that were decidedly doctored from the original reports presented in previous cases against other accused Hutu genocidaires, and that it was necessary to cross-examine Des Forges ‘very forcefully’ to get her to agree that changes had been made to the reports presented as evidence in the case being tried.
Twelve year-old Hutu child soldiers with the Forces for the Democratic Liberation of Rwanda (FDLR) in Congo—so-called genocidaires who purportedly fled Rwanda in 1994 and have served as Kagame’s justification for plundering and depopulating Congo since.
“In her expert report in the 2006 Military II trial against General Ndindiliyimana,” Chris Black adds, “she removed all the positive things she had said about him in her book and in her previous expert report in the [Colonel Théoneste] Bagasora case. When asked by me why she deleted the positive view of him at his own trial, and why she tried to hide the fact that he saved a lot of Tutsis, among other things, she had no explanation. It was a cheap, low thing to do and I can tell you even the judges here at the ICTR were not too happy about it.”
On December 18, 2008, after the protracted ‘Military I’ trial, the judges at the International Criminal Tribunal on Rwanda ruled that there was no conspiracy to commit genocide by former Rwandan military leaders affiliated with the former Habyarimana government. It was war, and the actions far from a calculated genocide were found by ICTR judges to be ‘war-time conditions’.
“The media reports of the December 18 judgment [Military I] at the International Criminal Tribunal for Rwanda focused primarily on the convictions of three of four former top military leaders, who were the supposed ‘masterminds’ of the Rwandan genocide,” wrote ICTR defense lawyer Peter Erlinder.
“But, as those who have followed the ICTR closely know, convictions of members of the former Rwandan government and military are scarcely newsworthy.” Since the inception of the ICTR its decisions have been decisively biased victor’s justice in favor of protecting the Kagame regime and its backers. Thus it is no surprise that the former top military leaders of the Habyarimana government Colonel Théoneste Bagosora and Major Aloys Ntabakuze were sentenced to life imprisonment for acts of genocide, war crimes and crimes against humanity. However, an act of genocide is not an organized, calculated, systematic genocide.
“The real news was that ALL of the top Rwandan military officers, including the supposedly infamous Colonel Bagosora, were found not guilty of conspiracy or planning to commit genocide,” writes Erlinder. “And General Gratien Kabiligi, a senior member of the general staff, was acquitted of all charges! The others were found guilty of specific acts committed by subordinates, in specific places, at specific times not an overall conspiracy to kill civilians, much less Tutsi civilians.”
Now, after more than fifteen years of massive western propaganda proclaiming an organized, systematic elimination of the Tutsi people by the Hutu leaders of the former Rwandan government, the official Rwanda genocide story has finally collapsed.
THE GENOCIDE FACTS
In contradistinction to the establishment narrative accusing the ‘Hutu leadership’ of an ‘organized’ and ‘planned’ genocide were the countless acts of genocide committed through a spontaneous uprising of the Hutu masses people who had been brutalized, disenfranchised, uprooted and forced from homes; people who had witnessed massacres and rapes of family members; people who were themselves the victims of brutal atrocities.
These were more than a million internally displaced Rwandan Hutus, people who had been terrorized by the Rwandan Patriotic Army from October 1990 to April 1994, as it butchered its way into Rwanda; and possibly a million Burundian refugees, Hutus who suffered massive reprisals in Burundi after the first civilian President, Melchior Ndadaye, a democratically elected Hutu, was assassinated by the Tutsi military in October 1993.
There is evidence that the RPA/F pursued “pseudo-operations” death squads committing atrocities disguised as government soldiers—and evidence that at least some of the infamous Interahamwe militias pursued their campaigns of terror in the pay of the Rwandan Patriotic Front/Army. “She [Des Forges] concealed the fact that from 1990 the war caused an unprecedented economic poverty and that the one million internally displaced people tore the social fabric apart!” wrote Dr. Helmut Strizek, a former German official who had called for Des Forges’ resignation from HRW.
“And these people knew that Tutsi rebels [RPA] caused their misery. They did not wait for ‘instructions’ in order to revenge, once no one was able to maintain public order after the April 6 [1994] assassination [sic] and resumption of hostilities by the RPF.”
“Alison Des Forges is no longer,” writes Charles Onana. “Peace be with her soul! She nonetheless leaves behind her many victims of injustice, who she painstakingly accused, using false testimony, before the International Criminal Tribunal Court for Rwanda (ICTR).”
Alison Des Forges provided expert testimony in 11 genocide trials before the ICTR, including the ‘Military I’ trials that condemned Col. Theoneste Bagosora and two others on December 18. Des Forges also testified in genocide trials in Belgium, Switzerland, the Netherlands and Canada.
Charles Onana continues:
“Among her victims there is Jean-Paul Akayesu, the first to be condemned to life imprisonment for genocide. This man, who Alison Des Forges had accused without any proof against him, was even defended by a Tutsi from the Patriotic Rwandan Army [RPA] who had been party to the fabrication of the ‘incriminating’ evidence against him in Rwanda. The Tribunal never listened to this witness, but they did listen to Alison Des Forges.”
“I have also discovered during the course of my investigations into the ICTR that, at the start of the trial in 1997, she introduced a forged fax that was purported to be written by General Dallaire in 1994. This fax, maintained Des Forges, concerned the ‘planning of genocide’.”
New Yorker staff writer Philip Gourevitch spread the mythology of “The Genocide Fax” far and wide. Gourevitch’s first pro-RPF/A disinformation piece appeared in the New Yorker in December 1995; in May 1998 the New Yorker published Gourevitch’s “The Genocide Fax,” a charade fed to him by Madeleine Albright’s undersecretary of state James Rubin.
Gourevitch’s fictional book We Wish to Inform You That Tomorrow We Will Be Killed With Our Families was funded by the euphemistically named U.S. Institute for Peace and written in league with the Kagame regime. It is certainly possible that Alison Des Forges was unaware of the original fabrication, but she and Human Rights Watch never changed their tune, and they never denounced the fabrication.
Charles Onana continues:
“It was on the basis of this false document that she called for the condemnation of Jean- Paul Akaseyu. To lend credibility to this first trial process, the ICTR, with astonishing lightness and irresponsibility, condemned this man to life. The Tribunal had no proof. The judicial dossier is slapdash and skimpy, but that has no importance. This was Alison Des Forges first great victory.”
“She then decided to pursue a Rwandan refugee living in Canada: an ideal target. He had the misfortune to be Hutu. For her, this man was a ‘planner of genocide’. But where is the proof? Alison Des Forges has none, but she wants to see this man [Leon Mugesera] in prison. Having deciphered or seen through Alison Des Forge’s arguments, the Judge of the Canadian Federal Tribunal concluded witheringly and without pity: ‘I note above all the relentlessness with which Mme Des Forges launched her diatribe against M. [Leon]
Mugesera, and am astonished by the lack of care she has demonstrated in drawing up the report for the International Commission of Enquiry and in her Expert Assessment.’” “The Canadian judge did not hesitate to qualify Mme. Des Forges as partisan, demonstrating ‘a prejudice or preconceived position against Léon Mugesera’.
He concluded that she could not be considered an objective witness, adding that no correctly informed tribunal could take her allegations seriously. Nevertheless it was on the basis of the same arguments, and of the same fantasy report published in 1999, that she accused numerous Rwandans, all Hutu.”
“CONTINENTAL SHIFT,” one of Philip Gourevitch’s pivotal disinformation essays that appeared in the New Yorker, outlined the “new brand of African leader” exemplified by Yoweri Museveni and Paul Kagame: it is a whitewash of U.S.-backed terrorism.
“It was thus that she devoted the penultimate day of her examination, during the process against the military, to presenting Colonel Bagosora, Hutu, as the king pin in the genocide. The Tribunal in the long-running ‘Military I’ trial did not accept the ‘planning of genocide’ that Alison Des Forges never ceased to hammer on about by means of her pseudo-fax of 11 January 1994. She lied, lied and lied again. She tried a come back or to recover her credibility by criticizing her ‘hero’ Paul Kagame, the organizer the 6 April 1994 assassination of two presidents.”
“Alison Des Forges finally dared to speak of the crimes committed by the Tutsi rebels of the RPF/A: the great taboo. It was a bit late but it assuaged her conscience. For those who were condemned by the ICTR, deliberately and unjustly recorded by her, there will be no justice for them.
Can Alison Des Forges still hear their suffering and their pain? She who has done them so much harm—along with their families? She who claimed to defend the Rights of Man has without doubt violated the rights of many Rwandans, who will undoubtedly never forget her. Their homage to Mme. Des Forges would have been different, very different, to what her many friends in the media have to say.”
Timothy Longman and Des Forges, the co-authors of the HRW treatise, Leave None To Tell The Story, both worked with USAID, the U.S. State Department and the Pentagon. Des Forges was a member of the HRW board from 1988 and was “principal researcher” on Rwanda and Burundi, 1991-1994.
In this period Des Forges also consulted for USAID, and collaborated with the State Department, Pentagon, and National Security Council. Simultaneously, Des Forges worked with, informed and influenced U.S. Congress-people, Permanent Representatives at the United Nations, the U.N. Under-Secretary General, and U.N. Special Rapporteur for Rwanda and Special Rapporteur for
Summary and Arbitrary Executions.
Des Forges also pumped the disinformation into the academic world through her high-level ties to human rights committees, African and Africana Studies departments and the elite African Studies Association. In the same period, Des Forges constantly influenced the U.S. media through special briefings to the editorial boards and reporters of the New York Times, Washington Post, National Public Radio, and Associated Press, and she was frequently presented as an “expert” on genocide in Rwanda for CNN, 60 Minutes, Nightline, All Things Considered, BBC, Radio France Internationale, and the Canadian Broadcasting Company.
Such relations explain the mass media’s consistency in producing the monolithic disinformation about Rwanda that shielded the illegal U.S.-backed and covert RPF/A (Ugandan) guerrilla insurgency. The blanket media coverage falsely situated the “Rwanda genocide” as it is now widely misunderstood: 100 days of genocide, 800,000 to 1.2 million Tutsis killed with machetes; the ‘highly disciplined’ RPF/A stopping the genocide.
Such is the disinformation that indoctrinated the English-speaking media consumers and created a mass psychological hysteria about Rwanda that persists to this day. Timothy Longman worked with Des Forges in Rwanda in 1994 and has worked regularly with both USAID and HRW on contracts in Congo, Burundi and Rwanda, throughout the late 1990’s and into the present; Longman worked in Rwanda on one USAID contract for Management Systems Incorporated, a firm whose clients include the Pentagon.
Longman also worked as a consultant for HRW in the spring of 2000 conducting field research in eastern Democratic Republic of Congo and producing “a detailed report on human rights conditions in rebel-controlled areas.” The Des Forges and Longman position vis-à-vis their whitewashing of the Tutsi-led RPF/Aorganized genocide in Rwanda certainly explains the sanitation of HRW reports, and it raises questions, for example, about how Human Rights Watch ‘researchers’ navigate their ‘work’ in rebel (read: Rwandan and Ugandan) controlled areas in DRC.
It also raises questions about how, why and when HRW does or doesn’t expose the western operatives, non-government organizations and multinational corporations: a singular example is the Human Rights Watch report that mildly exposes the criminal operations of Anglo-Gold Ashanti a company partnered with the Bushconnected Barrick Gold Corporation in eastern DRC.
HRW says nothing about Moto Gold, Mwana Africa, Banro Resources, Hardmann Oil, Tullow Oil, De Beers, H Oil & Gas, OM Group, Metalurg, Kotecha, International Rescue Committee and the many proxy armies, militias, gunrunners, massacres, extortion, and all other forms of organized white collar war crimes and crimes against humanity in the Congo. The role of HRW as an intelligence conduit to the U.S. Government is incidentally confirmed by Samantha Power in her book A Problem from Hell: America in the Age of Genocide a whitewash of U.S. and allied war crimes for which she was rewarded with a Pulitzer Prize. While Power’s “bystanders to genocide” thesis about Rwanda is a total inversion of the facts, she notes in passing that “Human Rights Watch supplied exemplary intelligence to the U.S. Government and lobbied in one-on-one meetings” in April and May 1994, and that Alison Des Forges and other HRW staff visited the White House on April 21, 1994.
Samantha Power is currently a member of the National Security Council in the administration of President Barack Obama. The mass media was flooded with “Rwanda genocide” disinformation between April and July of 1994, and advertising that served up subliminal seduction and white supremacy often surrounded these ‘news’ clips.
This adverts’ sexualized message MODERN MEANS STAYING COOL, CALM AND DIRECTED is augmented by a sanitized ‘news’ clip that described the double presidential assassination as a “mysterious plane crash.” New York Times, June 12, 1994.
Alison Des Forges continued to remain silent about western corporate and military interests in the Great Lakes region to her death. A perfect example of this silence is the very unrevealing March 2008 interview by the U.S. nationalist and Zionist U.S. Holocaust Memorial Museum titled Alison Des Forges: The Impact of Rwandan Genocide in Congo.
Timothy Longman also produces significant pro-US propaganda about Sudan. Thus it is important to note that amongst the key USAID conduits for disinformation and covert operations in Sudan today is Roger Winter, one of the primary architects of the RPF/A guerrilla war, organized from Washington in 1989, that led to the loss of at least twelve million lives in the Great Lakes of Africa since October 1990.
Alison Des Forges, of course, never mentioned Roger Winter or his colleague in covert operations, Susan Rice, the Obama Administration’s Ambassador to the U.N. “Roger Winter was with the RPA on the front lines in Rwanda and he regularly briefed the Clinton Administration of the RPA’s military achievements,” says Jean Marie Vianney Higiro, former Rwandan official. “Alison Des Forges contributed to the RPF/A takeover of Rwanda.
I have no doubt about that… I met her three times, first in 1995, and in 2004 she encouraged me to testify at the ICTR. I said no way: I will only testify if RPF officials are arrested. She insisted I should testify, she was confident that the RPF were going to be arrested. I think she did not realize that the U.S. government would never accept that. She was something of an opportunist.”
“I don’t know how assassins could control icing on the wings or why it was necessary to bring down 50 other people just to silence her,” says ICTR lawyer Chris Black, commenting on the speculation that Alison Des Forges was assassinated by ‘plane crash’. “It would have been much simpler to kill her in all sorts of other ways. But she was no big critic. She made some noises, but it was just to give Human Rights Watch some credibility.”
“I hold a strong belief in the plane crash being planned,” says Remigius Kintu. “These international cabal members have no mercy to hide their crime in something like this and could care less about the other people on the plane. As for Roger Winter, he was the chief logistics boss for [RPF] Tutsis until their victory in 1994, operating from 1717 Massachusetts Avenue NW in Washington D.C.”
The zeal displayed by Alison Des Forges and Human Rights Watch in the pursuit of justice and human rights appears in sharp contradistinction to their absence of zeal in pursuing the architects of the criminal invasion of Rwanda on 10 October 1990, the double presidential assassinations of 6 April 1994, and all kinds of other nasty corporate conspiracies in Central Africa.
Thus while the world commemorated the 15th Anniversary of the “Rwanda Genocide” on 6 April 2009, innocent Rwandan asylum seekers and critics of the Kagame terrorist regime, all over the world, live under perpetual fear of being hunted down, branded as genocide perpetrators, ostracized, and persecuted by an illegitimate one-party dictatorship comprised 40 military officials indicted for war crimes, crimes against humanity and genocide by two international courts.
According to insiders from Rwanda, Kagame’s ruthless Directorate of Military Intelligence has dispatched some 300 agents to Europe to kill RPF opponents; some of these agents are operating under cover as bogus asylum seekers in Europe and North America.
As of January 20, 2009 the U.S. Department of Homeland Security began reopening all cases of Rwandan asylum seekers, and is criminalizing and threatening to deport legitimate refugees to Rwanda, actions that violate the 1951 United Nations High Commission for Refugees Convention and Protocol Relating to the Status of Refugees.
But the U.S. military was heavily backing the RPF/A tactically and strategically already.
Key to the operation were ‘former’ Special Operations Forces (Ronco Company) providing military equipment and ferrying RPA troops from Uganda to Rwanda; the Pentagon's logistical and communications support; Defense Intelligence Agency and CIA operatives. Canadian General Romeo Dallaire, commander of the United Nations Assistance Mission in Rwanda (UNAMIR), was also collaborating with the RPF/A, serving the Pentagon interest.
Genocide in Rwanda became a massive psychological operation directed against media consumers using ghastly images—produced by RPA-embedded photographers like James Nachtwey and Gilles Peres to infer that all cadavers were Tutsi victims of an orchestrated Hutu genocide; meanwhile the text was racist disinformation produced by Joshua Hammer. Newsweek, June 20, 1994.
ICTR defense attorney Christopher Black reports that reliable sources confirm that US Special forces were with the RPF all the way through the war. “My client testified in June that U.S. Hercules [C-130 military aircraft] were seen dropping troops in support of the RPF…” Further, on 9 April 1994, three days after the so-called ‘mysterious plane crash’ where Burundi's President Cyprien Ntaryamira and President Habyarimana were assassinated, some 330 U.S. marines landed at Bujumbura's airport in Burundi, ostensibly to ‘rescue Americans’ in Rwanda.
More centrally however, Uganda with U.S. trained forces and U.S. supplied weaponry launched its war against Rwanda as a proxy force for the United States of America. The result was a coup d‘etat: we won. The 2003 Frontline interview with Alison Des Forges exemplifies her continuing role in whitewashing U.S. involvement in war crimes and genocide in Central Africa.
“Kagame received his military education under the Pentagon's Joint Combined Exchange Training (JCET) at the Command and General Staff College of Fort Leavenworth, Kansas, beginning in 1990,” wrote John E. Peck of the Association of African Scholars (2002). “His sidekick, Lt. Col. Frank Rusagara, got his JCET schooling at the U.S. Naval Academy in Monterey, California.
Both were dispatched to Rwanda in time to oversee the RPF's takeover in 1994. Far from being an innocent bystander, the Washington Post revealed on July 12, 1998 that the United States not only gave Kagame $75 million in military assistance, but also sent Green Berets to train Kagame's forces (as well as their Ugandan rebel allies) in low intensity conflict (LIC) tactics. Pentagon subcontractor Ronco, masquerading as a demining company, also smuggled more weapons to RPF fighters in flagrant violation of UN sanctions. All of this U.S. largesse was put to lethal effect in the ethnic bloodbath that is still going on.”
“This genocide resulted from the deliberate choice of a modern elite to foster hatred and fear to keep itself in power,” Des Forges wrote, blaming ‘Hutu Power’. However, her assertions about a ‘planned’ Hutu genocide “They seized control of the state and used its machinery and its authority to carry out the slaughter” collapse under scrutiny.
From 1990 to 1994, the Rwandan Patriotic Army (RPA), comprised most heavily of Ugandan soldiers led by Ugandan citizens like Paul Kagame, committed atrocity after atrocity as they forced their way to power in Kigali, always falsely accusing their enemies—the power-sharing government of then President Juvenal Habyarimana—of genocide. “Kagame assigned some people to work with Alison Des Forges,” says Ugandan Human Rights expert Remigius Kintu, “and also to assist her in fabricating and distorting stories to suit Tutsi propaganda plans.”
According to the International Forum for Truth and Justice in the Great Lakes Region of Africa, whose discoveries resulted in the high courts of Spain issuing international indictments against 40 top RPF/A officials: “Between 1990 and 1994, the RPA waged a systematic, pre-planned, secretive but highly organized terrorist war aimed at eliminating the largest number of Rwandan people possible bodies were hacked to pieces and incinerated en masse.
From 1994, once the RPA violently seized power, a terror regime was created, and developed, and a criminal structure parallel to the state was set up to pursue pre-determined kidnappings; torturing and raping of women and young girls; terrorist attacks (both directly and by simulating that the same had been perpetrated by the enemy); illegal detention of thousands of civilians; selective murdering; systematic elimination of corpses either by mass incineration or by throwing them into lakes and rivers; indiscriminate attacks against civilians based on pre-determined ethnic categories for the elimination of the predominant ethnic group; and also to carry out acts of war in Rwanda and Congo.”
Before former President Habyarimana’s assassination on 6 April 1994, Des Forges, and the organizations she worked with, blamed the whole war crimes show on President Habyarimana and his government, they dismissed the illegal invasion and atrocities of the RPF/A, and they began calling it genocide against the Tutsis as early as 1992.
“In the Military II case Alison Des Forges admitted that she was funded by USAID when she was part of that so-called International Commission condemning the Rwandan Government [Habyarimana] for human rights violations,” reports Canadian Chris Black, a defense attorney at the ICTR, “and she admitted that she just took the word of the RPF and pro-RPF groups and that she did not deal with RPF atrocities, as she did not have the time.”
Chris Black notes that Des Forges presented reports to the ICTR in certain legal cases that were decidedly doctored from the original reports presented in previous cases against other accused Hutu genocidaires, and that it was necessary to cross-examine Des Forges ‘very forcefully’ to get her to agree that changes had been made to the reports presented as evidence in the case being tried.
Twelve year-old Hutu child soldiers with the Forces for the Democratic Liberation of Rwanda (FDLR) in Congo—so-called genocidaires who purportedly fled Rwanda in 1994 and have served as Kagame’s justification for plundering and depopulating Congo since.
“In her expert report in the 2006 Military II trial against General Ndindiliyimana,” Chris Black adds, “she removed all the positive things she had said about him in her book and in her previous expert report in the [Colonel Théoneste] Bagasora case. When asked by me why she deleted the positive view of him at his own trial, and why she tried to hide the fact that he saved a lot of Tutsis, among other things, she had no explanation. It was a cheap, low thing to do and I can tell you even the judges here at the ICTR were not too happy about it.”
On December 18, 2008, after the protracted ‘Military I’ trial, the judges at the International Criminal Tribunal on Rwanda ruled that there was no conspiracy to commit genocide by former Rwandan military leaders affiliated with the former Habyarimana government. It was war, and the actions far from a calculated genocide were found by ICTR judges to be ‘war-time conditions’.
“The media reports of the December 18 judgment [Military I] at the International Criminal Tribunal for Rwanda focused primarily on the convictions of three of four former top military leaders, who were the supposed ‘masterminds’ of the Rwandan genocide,” wrote ICTR defense lawyer Peter Erlinder.
“But, as those who have followed the ICTR closely know, convictions of members of the former Rwandan government and military are scarcely newsworthy.” Since the inception of the ICTR its decisions have been decisively biased victor’s justice in favor of protecting the Kagame regime and its backers. Thus it is no surprise that the former top military leaders of the Habyarimana government Colonel Théoneste Bagosora and Major Aloys Ntabakuze were sentenced to life imprisonment for acts of genocide, war crimes and crimes against humanity. However, an act of genocide is not an organized, calculated, systematic genocide.
“The real news was that ALL of the top Rwandan military officers, including the supposedly infamous Colonel Bagosora, were found not guilty of conspiracy or planning to commit genocide,” writes Erlinder. “And General Gratien Kabiligi, a senior member of the general staff, was acquitted of all charges! The others were found guilty of specific acts committed by subordinates, in specific places, at specific times not an overall conspiracy to kill civilians, much less Tutsi civilians.”
Now, after more than fifteen years of massive western propaganda proclaiming an organized, systematic elimination of the Tutsi people by the Hutu leaders of the former Rwandan government, the official Rwanda genocide story has finally collapsed.
THE GENOCIDE FACTS
In contradistinction to the establishment narrative accusing the ‘Hutu leadership’ of an ‘organized’ and ‘planned’ genocide were the countless acts of genocide committed through a spontaneous uprising of the Hutu masses people who had been brutalized, disenfranchised, uprooted and forced from homes; people who had witnessed massacres and rapes of family members; people who were themselves the victims of brutal atrocities.
These were more than a million internally displaced Rwandan Hutus, people who had been terrorized by the Rwandan Patriotic Army from October 1990 to April 1994, as it butchered its way into Rwanda; and possibly a million Burundian refugees, Hutus who suffered massive reprisals in Burundi after the first civilian President, Melchior Ndadaye, a democratically elected Hutu, was assassinated by the Tutsi military in October 1993.
There is evidence that the RPA/F pursued “pseudo-operations” death squads committing atrocities disguised as government soldiers—and evidence that at least some of the infamous Interahamwe militias pursued their campaigns of terror in the pay of the Rwandan Patriotic Front/Army. “She [Des Forges] concealed the fact that from 1990 the war caused an unprecedented economic poverty and that the one million internally displaced people tore the social fabric apart!” wrote Dr. Helmut Strizek, a former German official who had called for Des Forges’ resignation from HRW.
“And these people knew that Tutsi rebels [RPA] caused their misery. They did not wait for ‘instructions’ in order to revenge, once no one was able to maintain public order after the April 6 [1994] assassination [sic] and resumption of hostilities by the RPF.”
“Alison Des Forges is no longer,” writes Charles Onana. “Peace be with her soul! She nonetheless leaves behind her many victims of injustice, who she painstakingly accused, using false testimony, before the International Criminal Tribunal Court for Rwanda (ICTR).”
Alison Des Forges provided expert testimony in 11 genocide trials before the ICTR, including the ‘Military I’ trials that condemned Col. Theoneste Bagosora and two others on December 18. Des Forges also testified in genocide trials in Belgium, Switzerland, the Netherlands and Canada.
Charles Onana continues:
“Among her victims there is Jean-Paul Akayesu, the first to be condemned to life imprisonment for genocide. This man, who Alison Des Forges had accused without any proof against him, was even defended by a Tutsi from the Patriotic Rwandan Army [RPA] who had been party to the fabrication of the ‘incriminating’ evidence against him in Rwanda. The Tribunal never listened to this witness, but they did listen to Alison Des Forges.”
“I have also discovered during the course of my investigations into the ICTR that, at the start of the trial in 1997, she introduced a forged fax that was purported to be written by General Dallaire in 1994. This fax, maintained Des Forges, concerned the ‘planning of genocide’.”
New Yorker staff writer Philip Gourevitch spread the mythology of “The Genocide Fax” far and wide. Gourevitch’s first pro-RPF/A disinformation piece appeared in the New Yorker in December 1995; in May 1998 the New Yorker published Gourevitch’s “The Genocide Fax,” a charade fed to him by Madeleine Albright’s undersecretary of state James Rubin.
Gourevitch’s fictional book We Wish to Inform You That Tomorrow We Will Be Killed With Our Families was funded by the euphemistically named U.S. Institute for Peace and written in league with the Kagame regime. It is certainly possible that Alison Des Forges was unaware of the original fabrication, but she and Human Rights Watch never changed their tune, and they never denounced the fabrication.
Charles Onana continues:
“It was on the basis of this false document that she called for the condemnation of Jean- Paul Akaseyu. To lend credibility to this first trial process, the ICTR, with astonishing lightness and irresponsibility, condemned this man to life. The Tribunal had no proof. The judicial dossier is slapdash and skimpy, but that has no importance. This was Alison Des Forges first great victory.”
“She then decided to pursue a Rwandan refugee living in Canada: an ideal target. He had the misfortune to be Hutu. For her, this man was a ‘planner of genocide’. But where is the proof? Alison Des Forges has none, but she wants to see this man [Leon Mugesera] in prison. Having deciphered or seen through Alison Des Forge’s arguments, the Judge of the Canadian Federal Tribunal concluded witheringly and without pity: ‘I note above all the relentlessness with which Mme Des Forges launched her diatribe against M. [Leon]
Mugesera, and am astonished by the lack of care she has demonstrated in drawing up the report for the International Commission of Enquiry and in her Expert Assessment.’” “The Canadian judge did not hesitate to qualify Mme. Des Forges as partisan, demonstrating ‘a prejudice or preconceived position against Léon Mugesera’.
He concluded that she could not be considered an objective witness, adding that no correctly informed tribunal could take her allegations seriously. Nevertheless it was on the basis of the same arguments, and of the same fantasy report published in 1999, that she accused numerous Rwandans, all Hutu.”
“CONTINENTAL SHIFT,” one of Philip Gourevitch’s pivotal disinformation essays that appeared in the New Yorker, outlined the “new brand of African leader” exemplified by Yoweri Museveni and Paul Kagame: it is a whitewash of U.S.-backed terrorism.
“It was thus that she devoted the penultimate day of her examination, during the process against the military, to presenting Colonel Bagosora, Hutu, as the king pin in the genocide. The Tribunal in the long-running ‘Military I’ trial did not accept the ‘planning of genocide’ that Alison Des Forges never ceased to hammer on about by means of her pseudo-fax of 11 January 1994. She lied, lied and lied again. She tried a come back or to recover her credibility by criticizing her ‘hero’ Paul Kagame, the organizer the 6 April 1994 assassination of two presidents.”
“Alison Des Forges finally dared to speak of the crimes committed by the Tutsi rebels of the RPF/A: the great taboo. It was a bit late but it assuaged her conscience. For those who were condemned by the ICTR, deliberately and unjustly recorded by her, there will be no justice for them.
Can Alison Des Forges still hear their suffering and their pain? She who has done them so much harm—along with their families? She who claimed to defend the Rights of Man has without doubt violated the rights of many Rwandans, who will undoubtedly never forget her. Their homage to Mme. Des Forges would have been different, very different, to what her many friends in the media have to say.”
Timothy Longman and Des Forges, the co-authors of the HRW treatise, Leave None To Tell The Story, both worked with USAID, the U.S. State Department and the Pentagon. Des Forges was a member of the HRW board from 1988 and was “principal researcher” on Rwanda and Burundi, 1991-1994.
In this period Des Forges also consulted for USAID, and collaborated with the State Department, Pentagon, and National Security Council. Simultaneously, Des Forges worked with, informed and influenced U.S. Congress-people, Permanent Representatives at the United Nations, the U.N. Under-Secretary General, and U.N. Special Rapporteur for Rwanda and Special Rapporteur for
Summary and Arbitrary Executions.
Des Forges also pumped the disinformation into the academic world through her high-level ties to human rights committees, African and Africana Studies departments and the elite African Studies Association. In the same period, Des Forges constantly influenced the U.S. media through special briefings to the editorial boards and reporters of the New York Times, Washington Post, National Public Radio, and Associated Press, and she was frequently presented as an “expert” on genocide in Rwanda for CNN, 60 Minutes, Nightline, All Things Considered, BBC, Radio France Internationale, and the Canadian Broadcasting Company.
Such relations explain the mass media’s consistency in producing the monolithic disinformation about Rwanda that shielded the illegal U.S.-backed and covert RPF/A (Ugandan) guerrilla insurgency. The blanket media coverage falsely situated the “Rwanda genocide” as it is now widely misunderstood: 100 days of genocide, 800,000 to 1.2 million Tutsis killed with machetes; the ‘highly disciplined’ RPF/A stopping the genocide.
Such is the disinformation that indoctrinated the English-speaking media consumers and created a mass psychological hysteria about Rwanda that persists to this day. Timothy Longman worked with Des Forges in Rwanda in 1994 and has worked regularly with both USAID and HRW on contracts in Congo, Burundi and Rwanda, throughout the late 1990’s and into the present; Longman worked in Rwanda on one USAID contract for Management Systems Incorporated, a firm whose clients include the Pentagon.
Longman also worked as a consultant for HRW in the spring of 2000 conducting field research in eastern Democratic Republic of Congo and producing “a detailed report on human rights conditions in rebel-controlled areas.” The Des Forges and Longman position vis-à-vis their whitewashing of the Tutsi-led RPF/Aorganized genocide in Rwanda certainly explains the sanitation of HRW reports, and it raises questions, for example, about how Human Rights Watch ‘researchers’ navigate their ‘work’ in rebel (read: Rwandan and Ugandan) controlled areas in DRC.
It also raises questions about how, why and when HRW does or doesn’t expose the western operatives, non-government organizations and multinational corporations: a singular example is the Human Rights Watch report that mildly exposes the criminal operations of Anglo-Gold Ashanti a company partnered with the Bushconnected Barrick Gold Corporation in eastern DRC.
HRW says nothing about Moto Gold, Mwana Africa, Banro Resources, Hardmann Oil, Tullow Oil, De Beers, H Oil & Gas, OM Group, Metalurg, Kotecha, International Rescue Committee and the many proxy armies, militias, gunrunners, massacres, extortion, and all other forms of organized white collar war crimes and crimes against humanity in the Congo. The role of HRW as an intelligence conduit to the U.S. Government is incidentally confirmed by Samantha Power in her book A Problem from Hell: America in the Age of Genocide a whitewash of U.S. and allied war crimes for which she was rewarded with a Pulitzer Prize. While Power’s “bystanders to genocide” thesis about Rwanda is a total inversion of the facts, she notes in passing that “Human Rights Watch supplied exemplary intelligence to the U.S. Government and lobbied in one-on-one meetings” in April and May 1994, and that Alison Des Forges and other HRW staff visited the White House on April 21, 1994.
Samantha Power is currently a member of the National Security Council in the administration of President Barack Obama. The mass media was flooded with “Rwanda genocide” disinformation between April and July of 1994, and advertising that served up subliminal seduction and white supremacy often surrounded these ‘news’ clips.
This adverts’ sexualized message MODERN MEANS STAYING COOL, CALM AND DIRECTED is augmented by a sanitized ‘news’ clip that described the double presidential assassination as a “mysterious plane crash.” New York Times, June 12, 1994.
Alison Des Forges continued to remain silent about western corporate and military interests in the Great Lakes region to her death. A perfect example of this silence is the very unrevealing March 2008 interview by the U.S. nationalist and Zionist U.S. Holocaust Memorial Museum titled Alison Des Forges: The Impact of Rwandan Genocide in Congo.
Timothy Longman also produces significant pro-US propaganda about Sudan. Thus it is important to note that amongst the key USAID conduits for disinformation and covert operations in Sudan today is Roger Winter, one of the primary architects of the RPF/A guerrilla war, organized from Washington in 1989, that led to the loss of at least twelve million lives in the Great Lakes of Africa since October 1990.
Alison Des Forges, of course, never mentioned Roger Winter or his colleague in covert operations, Susan Rice, the Obama Administration’s Ambassador to the U.N. “Roger Winter was with the RPA on the front lines in Rwanda and he regularly briefed the Clinton Administration of the RPA’s military achievements,” says Jean Marie Vianney Higiro, former Rwandan official. “Alison Des Forges contributed to the RPF/A takeover of Rwanda.
I have no doubt about that… I met her three times, first in 1995, and in 2004 she encouraged me to testify at the ICTR. I said no way: I will only testify if RPF officials are arrested. She insisted I should testify, she was confident that the RPF were going to be arrested. I think she did not realize that the U.S. government would never accept that. She was something of an opportunist.”
“I don’t know how assassins could control icing on the wings or why it was necessary to bring down 50 other people just to silence her,” says ICTR lawyer Chris Black, commenting on the speculation that Alison Des Forges was assassinated by ‘plane crash’. “It would have been much simpler to kill her in all sorts of other ways. But she was no big critic. She made some noises, but it was just to give Human Rights Watch some credibility.”
“I hold a strong belief in the plane crash being planned,” says Remigius Kintu. “These international cabal members have no mercy to hide their crime in something like this and could care less about the other people on the plane. As for Roger Winter, he was the chief logistics boss for [RPF] Tutsis until their victory in 1994, operating from 1717 Massachusetts Avenue NW in Washington D.C.”
The zeal displayed by Alison Des Forges and Human Rights Watch in the pursuit of justice and human rights appears in sharp contradistinction to their absence of zeal in pursuing the architects of the criminal invasion of Rwanda on 10 October 1990, the double presidential assassinations of 6 April 1994, and all kinds of other nasty corporate conspiracies in Central Africa.
Thus while the world commemorated the 15th Anniversary of the “Rwanda Genocide” on 6 April 2009, innocent Rwandan asylum seekers and critics of the Kagame terrorist regime, all over the world, live under perpetual fear of being hunted down, branded as genocide perpetrators, ostracized, and persecuted by an illegitimate one-party dictatorship comprised 40 military officials indicted for war crimes, crimes against humanity and genocide by two international courts.
According to insiders from Rwanda, Kagame’s ruthless Directorate of Military Intelligence has dispatched some 300 agents to Europe to kill RPF opponents; some of these agents are operating under cover as bogus asylum seekers in Europe and North America.
As of January 20, 2009 the U.S. Department of Homeland Security began reopening all cases of Rwandan asylum seekers, and is criminalizing and threatening to deport legitimate refugees to Rwanda, actions that violate the 1951 United Nations High Commission for Refugees Convention and Protocol Relating to the Status of Refugees.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sunday, April 5, 2009
Bruxelles, le 2 avril 2009
La Commémoration de toutes les victimes du génocide rwandais aura lieu lundi 6/04/2009 de 13h30 à 15h30 au Mémorial du génocide érigé au croisement de trois routes à savoir l’avenue R. Vandendriessche, l’avenue Jules César et la rue Père E. Devroye dans la Commune de Woluwe Saint Pierre (WSP). Vous êtes invités à vous rassembler au Métro Montgomery à 13h. Depuis le 1/10/1990 jusqu’à ce jour, ce génocide a frappé simultanément les Hutus, les Tutsis, les Hutsis (issus des mariages mixtes hutu-tutsi) et les Twas au Rwanda et en RDC.
En tant que rescapé du génocide rwandais et en ma qualité d’ancien Secrétaire Permanent de l’ARDHO (1ère Association Rwandaise de défense des Droits de l’Homme qui est née au Rwanda) et d’actuel Coordinateur du CLIIR (Centre de Lutte contre l’Impunité et l’Injustice au Rwanda), j’assume la responsabilité d’inviter tous les rescapés du génocide résidant en Belgique et dans d’autres pays européens à venir pleurer ensemble leurs proches parents et à se recueillir au Mémorial dédié à toutes les victimes et érigé à Woluwe St Pierre.
J’estime que les accablantes preuves disponibles et rassemblées sur les différents criminels par les magistrats espagnols et français démontrent suffisamment que le génocide rwandais ne peut se réduire aux seules victimes TUTSIES et ignorer les autres victimes « NON-TUTSIES ». Je déclare solennellement que toutes les victimes, quelque soit leur groupe ethnique (tutsi, twa, hutu) méritent le même respect que nous devons à tous les êtres humains massacrés au Rwanda et en République Démocratique du Congo depuis 1990 jusqu’à ce jour.
Tous égaux devant la mort. Tous les rescapés sont égaux et respectables devant la Loi. Toutes les victimes ont droit à la Mémoire. Tout en prévoyant de rassembler tous les rescapés (sans discrimination) en avril 2010 devant ce Mémorial, je dénonce toute discrimination entretenue au Rwanda et en Belgique entre les survivants du génocide que nous sommes tous devenus.
Pleurer, Commémorer, se recueillir devant le Mémorial offert à toutes les victimes c’est un DROIT inaliénable mes frères et sœurs Tutsis, Hutus, Twa et Hutsis. C’est un DEVOIR sacré et incontournable pour tous les survivants.
Se recueillir au Mémorial, ce n’est pas une FAVEUR à mendier auprès de qui que ce soit. Car, aucune autorité rwandaise, belge, onusienne, européenne ou autre ne pourra ressusciter nos chers disparus, ni effacer la souffrance des peuples rwandais, congolais et burundais, ni nous dédommager en tant que survivants.
Ce génocide planifié à l’étranger et rendu possible par de petits noyaux de « prédateurs anglo-saxons et européens ». Ces prédateurs, qui portent une lourde responsabilité dans cette tragédie africaine, ont réussi à s’approprier, par le chaos et la dévastation des peuples noirs, les richesses naturelles et minières de l’Afrique des Grands Lacs.
Ce génocide, qui a été exécuté par les rwandais eux-mêmes (toutes ethnies confondues) avec le soutien politique, militaire et économique de ces prédateurs étrangers tels qu’ils ont été identifiés dans le Mémorandum adressé en février 2008 au Conseil de Sécurité de l’ONU par la Cellule de la Documentation du Partenariat Intwari composée par des rescapés tutsis et hutus dont un ancien ministre de la Défense Nationale du président rwandais Paul KAGAME réfugié en Suisse fin 2003.
La Commémoration de toutes les victimes du génocide rwandais aura lieu lundi 6/04/2009 de 13h30 à 15h30 au Mémorial du génocide érigé au croisement de trois routes à savoir l’avenue R. Vandendriessche, l’avenue Jules César et la rue Père E. Devroye dans la Commune de Woluwe Saint Pierre (WSP). Vous êtes invités à vous rassembler au Métro Montgomery à 13h. Depuis le 1/10/1990 jusqu’à ce jour, ce génocide a frappé simultanément les Hutus, les Tutsis, les Hutsis (issus des mariages mixtes hutu-tutsi) et les Twas au Rwanda et en RDC.
En tant que rescapé du génocide rwandais et en ma qualité d’ancien Secrétaire Permanent de l’ARDHO (1ère Association Rwandaise de défense des Droits de l’Homme qui est née au Rwanda) et d’actuel Coordinateur du CLIIR (Centre de Lutte contre l’Impunité et l’Injustice au Rwanda), j’assume la responsabilité d’inviter tous les rescapés du génocide résidant en Belgique et dans d’autres pays européens à venir pleurer ensemble leurs proches parents et à se recueillir au Mémorial dédié à toutes les victimes et érigé à Woluwe St Pierre.
J’estime que les accablantes preuves disponibles et rassemblées sur les différents criminels par les magistrats espagnols et français démontrent suffisamment que le génocide rwandais ne peut se réduire aux seules victimes TUTSIES et ignorer les autres victimes « NON-TUTSIES ». Je déclare solennellement que toutes les victimes, quelque soit leur groupe ethnique (tutsi, twa, hutu) méritent le même respect que nous devons à tous les êtres humains massacrés au Rwanda et en République Démocratique du Congo depuis 1990 jusqu’à ce jour.
Tous égaux devant la mort. Tous les rescapés sont égaux et respectables devant la Loi. Toutes les victimes ont droit à la Mémoire. Tout en prévoyant de rassembler tous les rescapés (sans discrimination) en avril 2010 devant ce Mémorial, je dénonce toute discrimination entretenue au Rwanda et en Belgique entre les survivants du génocide que nous sommes tous devenus.
Pleurer, Commémorer, se recueillir devant le Mémorial offert à toutes les victimes c’est un DROIT inaliénable mes frères et sœurs Tutsis, Hutus, Twa et Hutsis. C’est un DEVOIR sacré et incontournable pour tous les survivants.
Se recueillir au Mémorial, ce n’est pas une FAVEUR à mendier auprès de qui que ce soit. Car, aucune autorité rwandaise, belge, onusienne, européenne ou autre ne pourra ressusciter nos chers disparus, ni effacer la souffrance des peuples rwandais, congolais et burundais, ni nous dédommager en tant que survivants.
Ce génocide planifié à l’étranger et rendu possible par de petits noyaux de « prédateurs anglo-saxons et européens ». Ces prédateurs, qui portent une lourde responsabilité dans cette tragédie africaine, ont réussi à s’approprier, par le chaos et la dévastation des peuples noirs, les richesses naturelles et minières de l’Afrique des Grands Lacs.
Ce génocide, qui a été exécuté par les rwandais eux-mêmes (toutes ethnies confondues) avec le soutien politique, militaire et économique de ces prédateurs étrangers tels qu’ils ont été identifiés dans le Mémorandum adressé en février 2008 au Conseil de Sécurité de l’ONU par la Cellule de la Documentation du Partenariat Intwari composée par des rescapés tutsis et hutus dont un ancien ministre de la Défense Nationale du président rwandais Paul KAGAME réfugié en Suisse fin 2003.
Pour plus d'information, vous pouvez consulter les organisateurs de ladite commémoration.
Il s’agit de :
Monsieur Gérard KARANGWA :
Tél +31 630 897 180
E-mail : gkarangwa@yahoo.fr,
Monsieur Alphonse Noël NDANYUZWE
Tél : +32 498 772 054
E-mail : ndanyuzwe.noel@caramail.com,
Monsieur Déogratias MUSHAYIDI
E-mail : dmushayidi@yahoo.fr
Général Emmanuel HABYARIMANA
Téléphone : +41 786 522 183 em.hame@laposte.net.
(Lisez la planification : pages 20, …
(Lisez comment les tutsis ont été sacrifiés pour justifier le massacre des Hutus du Rwanda) :
CENTRE DE LUTTE CONTRE L’IMPUNITE
ET L’INJUSTICE AU RWANDA (CLIIR)
Boulevard Léopold II, n°227
1080 BRUXELLES
Tél/Fax:32.81/60.11.13 GSM: 0476.701.569
Mail : cliir2004@yahoo.fr
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Saturday, April 4, 2009
15ème anniversaire de l'attentat contre l'avion du président du Rwanda (du 6 avril 1994), les victimes françaises font confiance à la justice
Paris le 3 avril 2009,
Il y a 15 ans, le 6 avril 1994, l’avion du Président du Rwanda était abattu. L’équipage, composé de trois hommes, était français.
Leurs familles ont saisi la justice en 1997 et l’enquête a été confiée à la section anti-terroriste du parquet de Paris. Depuis 15 ans, ces familles n’ont cessé de croire en la Justice et à l’approche de cette date anniversaire souhaitent exprimer leur détermination à connaître les auteurs et les commanditaires de cet attentat.
l’AfVT, Association française des Victimes du Terrorisme, nouvellement constituée en remplacement de SOS Attentats dissoute en septembre 2008, se joint au collectif des victimes françaises de l’attentat du 6 avril 1994 pour prendre acte, non sans un certain étonnement, des décisions permettant au Colonel Rose Kabuyé, mise en examen pour complicité d'assassinats et association de malfaiteurs, le tout en relation avec une entreprise terroriste, et placée sous contrôle judiciaire, de quitter le territoire français et de retourner au Rwanda.
A l’occasion de cette autorisation, la défense du Colonel Kabuyé a pu toutefois ainsi noter que la justice française pouvait fonctionner efficacement tout en étant modérée.
Fortes de ce constat, les huit autres personnes mises en cause par les juges français dans ce dossier pourront considérer qu’il n’existe aucun obstacle à ce qu’ils se présentent à la justice, aux côtés du Colonel Kabuyé.
Cette présentation volontaire ne pourra que contribuer à la désignation des auteurs de cet attentat meurtrier : tel est le seul objectif des familles des victimes françaises.
Contrairement à l’amalgame qui est souvent fait dans les medias, la démarche du collectif et de l’Association française des Victimes du Terrorisme n’a jamais visé à intervenir dans le débat sur les responsabilités politiques du génocide mais s’inscrit dans le seul cadre de la résolution de cet attentat.
Guillaume Denoix de Saint Marc
AfVT - Association française des Victimes du Terrorisme
2 rue Juliette Lamber, 75017 Paris, France
mobile : (+33) 6 61 11 96 54
fax : (+33) 1 47 66 01 93
e-mail : gsaintmarc@AfVT.org
Il y a 15 ans, le 6 avril 1994, l’avion du Président du Rwanda était abattu. L’équipage, composé de trois hommes, était français.
Leurs familles ont saisi la justice en 1997 et l’enquête a été confiée à la section anti-terroriste du parquet de Paris. Depuis 15 ans, ces familles n’ont cessé de croire en la Justice et à l’approche de cette date anniversaire souhaitent exprimer leur détermination à connaître les auteurs et les commanditaires de cet attentat.
l’AfVT, Association française des Victimes du Terrorisme, nouvellement constituée en remplacement de SOS Attentats dissoute en septembre 2008, se joint au collectif des victimes françaises de l’attentat du 6 avril 1994 pour prendre acte, non sans un certain étonnement, des décisions permettant au Colonel Rose Kabuyé, mise en examen pour complicité d'assassinats et association de malfaiteurs, le tout en relation avec une entreprise terroriste, et placée sous contrôle judiciaire, de quitter le territoire français et de retourner au Rwanda.
A l’occasion de cette autorisation, la défense du Colonel Kabuyé a pu toutefois ainsi noter que la justice française pouvait fonctionner efficacement tout en étant modérée.
Fortes de ce constat, les huit autres personnes mises en cause par les juges français dans ce dossier pourront considérer qu’il n’existe aucun obstacle à ce qu’ils se présentent à la justice, aux côtés du Colonel Kabuyé.
Cette présentation volontaire ne pourra que contribuer à la désignation des auteurs de cet attentat meurtrier : tel est le seul objectif des familles des victimes françaises.
Contrairement à l’amalgame qui est souvent fait dans les medias, la démarche du collectif et de l’Association française des Victimes du Terrorisme n’a jamais visé à intervenir dans le débat sur les responsabilités politiques du génocide mais s’inscrit dans le seul cadre de la résolution de cet attentat.
Guillaume Denoix de Saint Marc
AfVT - Association française des Victimes du Terrorisme
2 rue Juliette Lamber, 75017 Paris, France
mobile : (+33) 6 61 11 96 54
fax : (+33) 1 47 66 01 93
e-mail : gsaintmarc@AfVT.org
http://www.afvt.org/
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BRUXELLES, 2 avril 2009 - Selon l'ancien ministre Willy Claes, le général Kagamé, actuel président du Rwanda, a été «au moins en partie responsable du génocide rwandais en 1994».
La semaine prochaine, cela fera exactement quinze ans, qu’a éclaté au Rwanda, petit pays d’Afrique centrale, le dernier génocide du 20ème siècle.
Suite à l'assassinat de dix paras belges, le 7 avril 1994, la Belgique a retiré presque aussitôt le reste de son contingent de casques bleus.
Etant donné que les Belges formaient le noyau de la mission de l'ONU, le reste de la force onusienne est parti avec eux. C’est ainsi que le génocide a donc pu éclater et emporter près d'un million de vies humaines.
En 2000, à Kigali, capitale rwandaise, le premier ministre Guy Verhofstadt a été présenter ses excuses, au nom du gouvernement belge.
Neuf ans plus tard, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères en 1994, déclare qu’il avait trouvé inapproprié le fait que Verhofstadt se soit également excusé auprès du général Kagamé.Paul Kagamé a été avant et pendant le génocide, le chef de la rébellion tutsie et est devenu président après le génocide. Pour Claes, il ne fait aucun doute que Kagamé est « au moins en partie responsables» du génocide.
A l’époque les excuses Verhofstadt, qui auparavant était dans l’opposition, ont été surtout considérées comme une raillerie à la politique du CVP, parti démocrate flamand, au pouvoir lors du génocide au Rwanda.
Voir interview
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Friday, April 3, 2009
Agence Hirondelle 21/01/2008)
Arusha, (FH) - Les responsables militaires des Nations Unies envoyés au Rwanda avant le génocide ont été visés par une manœuvre d'intoxication de la part des rebelles du Front patriotique rwandais (FPR), a affirmé cette semaine un officier belge témoignant devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Le colonel Luc Marchal, qui commandait le secteur de Kigali, au sein de la force des Nations Unies, a affirmé que le fameux Jean-Pierre qui avait révélé la présence de caches d'armes dans la capitale rwandaise était en contact avec des représentants du FPR, dont l'officier de liaison entre les Nations Unies et les rebelles.
Déjà, a-t-il expliqué, dès leur arrivée, ils avaient reçu une lettre d'officiers de l'armée dénonçant un « plan machiavélique » du président en exercice, Juvénal Habyarimana, qui allait se concrétiser par des massacres et des assassinats.
« Cette lettre s'est avérée être un faux », a-t-il dit. Les révélations de « Jean Pierre », estimées crédibles après une première vérification, avaient amené le chef des forces des Nations Unies du Rwanda, le général Roméo Dallaire, à demander à son quartier général à New York l'autorisation d'intervenir, mais cela lui avait été refusé. Cette incident a été longuement commenté notamment dans le livre écrit pour sa défense par le général canadien, aujourd'hui sénateur.
« Tout récemment, il y a moins de deux ans, j'ai trouvé le fil conducteur de tout cela », a expliqué l'officier belge désormais à la retraite. « Il s'agissait d'un programme permanent d'intoxication de la Minuar et de l'opinion publique internationale », a-t-il dit.
Il a cité plusieurs officiers appartenant à l'armée rwandaise et qui ont rejoint les rangs du FPR dès sa victoire en 1994. Reprise dans de nombreux livres sur le génocide, cette affaires des caches d'armes devant lesquelles les Nations Unies avaient été impuissantes, ainsi que le projet de tuer « mille tutsis en 20 minutes » faisait partie d'un plan concerté, a expliqué l'officier belge venu à Arusha témoigner en faveur de l'ancien chef d'état major de la gendarmerie rwandaise, le général Augustin Ndindiliyimana.
Ce dernier est jugé avec trois autres officiers des anciennes Forces armées rwandaises (FAR), défaites et chassées du pays en juillet 1994, par la rébellion du FPR, actuellement au pouvoir. PB/GF 18 janvier 2008
© Agence Hirondelle
© Copyright Agence Hirondelle
Arusha, (FH) - Les responsables militaires des Nations Unies envoyés au Rwanda avant le génocide ont été visés par une manœuvre d'intoxication de la part des rebelles du Front patriotique rwandais (FPR), a affirmé cette semaine un officier belge témoignant devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Le colonel Luc Marchal, qui commandait le secteur de Kigali, au sein de la force des Nations Unies, a affirmé que le fameux Jean-Pierre qui avait révélé la présence de caches d'armes dans la capitale rwandaise était en contact avec des représentants du FPR, dont l'officier de liaison entre les Nations Unies et les rebelles.
Déjà, a-t-il expliqué, dès leur arrivée, ils avaient reçu une lettre d'officiers de l'armée dénonçant un « plan machiavélique » du président en exercice, Juvénal Habyarimana, qui allait se concrétiser par des massacres et des assassinats.
« Cette lettre s'est avérée être un faux », a-t-il dit. Les révélations de « Jean Pierre », estimées crédibles après une première vérification, avaient amené le chef des forces des Nations Unies du Rwanda, le général Roméo Dallaire, à demander à son quartier général à New York l'autorisation d'intervenir, mais cela lui avait été refusé. Cette incident a été longuement commenté notamment dans le livre écrit pour sa défense par le général canadien, aujourd'hui sénateur.
« Tout récemment, il y a moins de deux ans, j'ai trouvé le fil conducteur de tout cela », a expliqué l'officier belge désormais à la retraite. « Il s'agissait d'un programme permanent d'intoxication de la Minuar et de l'opinion publique internationale », a-t-il dit.
Il a cité plusieurs officiers appartenant à l'armée rwandaise et qui ont rejoint les rangs du FPR dès sa victoire en 1994. Reprise dans de nombreux livres sur le génocide, cette affaires des caches d'armes devant lesquelles les Nations Unies avaient été impuissantes, ainsi que le projet de tuer « mille tutsis en 20 minutes » faisait partie d'un plan concerté, a expliqué l'officier belge venu à Arusha témoigner en faveur de l'ancien chef d'état major de la gendarmerie rwandaise, le général Augustin Ndindiliyimana.
Ce dernier est jugé avec trois autres officiers des anciennes Forces armées rwandaises (FAR), défaites et chassées du pays en juillet 1994, par la rébellion du FPR, actuellement au pouvoir. PB/GF 18 janvier 2008
© Agence Hirondelle
© Copyright Agence Hirondelle
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Thursday, April 2, 2009
Let the remembrance of the innocent Hutu and Tutsi be preserved.Every year beginning April 6th, Rwandans pause in a silent moment of Remembrance of children, men and women, family members And closer friends Who died during times 1990-1998 and from forcibly repatriation. Before the RPF invasion October 1st 1990, Rwandans were fortunate So far And all things were cheerful. Then the RPF Nazi started with the untold Mega massacres Of The innocent Hutu and Tutsi "For those killed by RPF, the Rwandese Nazi"
***
As we did not forget ubwicanyi bwa FPR ,The horror remains in our minds
kwicisha udufuni, kubamba abantu ku biti, gusekura impinja ba nyina
bakazirya, kurunda abahutukazi mu mazu,
bakajugujyamo grenades haba muli Gitarama,
za Ruhengeri na Byumba,
Kurunda abagore n'abana mu birwa bya Cyohoha,
bakaribwa n'imisundwe,
gufatwa kungufu muli za gereza za communes na gendarmeries,
abana balira muzindi cells,
abandi bakicana babitegetswen'abagizi ba nabi ba RPF,
usigaye akicwa urubozo na RPF soldier,
kwica abagabo gusa(gendercide) ku musanze n'i Gitarama;
Abaphiriye mu manama, mu bukwe, ntiwareba!
Izo nzira karengane zose, haba mu Rwanda muli Congo
N'abandi bose bishwe na the RPF death squad,
parents, brothers and sisters, wives and husbands,
For all mass-slaughtered refugees,
Abo bose,They sent ripples of pain through our minds.
Memories of death and haunted fears,
And the chills begin to crawl slowly up our spines.
The shockwaves of RPF terror, then the wiping of tears,
For it was all too real once more.
We grieve for the innocent lives that were lost,
As our prayers begin to reach Heaven's door.
Take their hands Dear God we pray,
And let them know we truly cared.
Their lives will not have been lost in vain,
But we're thankful for the lives that were spared.
We share the emptiness they feel inside,
The pains of grief they bear.
he loss of direction, their questions of why,
With the smell of murder in the air.
Whether it be Byumba, Ruhengeri,Kibungo,or Gitarama,
Or out on the open waves.
These beasts keep planting the seeds of fear,
While their leaders hide in Rwanda, the temple of Impunity.
You are in our hearts and our minds,
For the losses you have suffered today.
We'll continue the prayers to our Lord above,
That He'll hold your fears at bay.
For all those victms, no kubabikoze bose bica abandi,
kuli Kagame wiyibagiza ibyaha yakoze, na RPF members,
So that we can fully reconcile,
Do more than to remember,
**
Never Forget.
**
The remembrance of the innocent Hutu refugee be preserved
Every year on April 6 and November 14,
Rwandans pause in a silent moment of remembrance of children,
men and women, family members and closer friends
Who died during times of forcibly repatriation.
We honor all of those assassinated, machetted , akandoyed
by the RPF Nazi during its dreadful crusade
across Zaïre hunting those children and women
Only because they happened to be born Hutus.
Even if they died, killed by RPF, the Rwandese Nazi,
they gave their lives and their futures
so that our generation may survive
and live in peace
3,500,000 innocent Hutus, the pride of our hearts,
died among them refugees,
forcibly returnees,
those who did not flee in 1994
when the 3rd Reich top leader Paul Kagame took power in Rwanda.
These RPF, the Rwandese Nazi wars touched the lives of Rwandans of all ages,
all races, and all social classes, all ethnic groups,
Abatwa, Abahutu and Abatutsi.
Our beloved innocent fathers,
mothers, sons, daughters and brothers,
sweethearts:
They were killed only because most of them were born Hutus,
with many Tutsis who fled the RPF Nazi,
they refused the RPF fascism and dictatorship,
they were killed because they opposed
the Paul Kagame Nazi regime,
they wanted freedom and to live in peace.
Let the remembrance of the innocent Hutu refugee be preserved
Every year on April, Rwandans pause in a silent moment
of remembrance of children, men and women,
family members and closer friends
Who died during times of forcibly repatriation.
The meaning of their massacres rests
with our collective national consciousness;
our future is ARGR Intabaza,
as the well-known organization of survivors
of RPF mega atrocities not yet prosecuted and punished.
Our closest physical and emotional experience
may be the discovery of 1996-1997 wartime
memorabilia in our family organization:
ARGR – Intabaza
Those 1996, 1997 and 1998
Hutu forcibly returned to Rwanda have never lived in peace.
Here is their daily bread: Arbitrary or Unlawful Deprivation of Life
· Disappearance·
Torture and Other Cruel,
Inhuman, or Degrading Treatment or Punishment
· Arbitrary Arrest and/or Detention·
Denial of Fair Public Trial across the country
· RPF Arbitrary Interference with Privacy,
Family, Home or Correspondence, every movement is controlled by LDF and or LDF.
No Freedom of Speech and Press ,
situation is daily worsened by the fear of RPF Nazi
No Freedom of Peaceful Assembly and Association has become ancient history
No Freedom of Religion since the RPF Nazi seized power in 1994
No Freedom of Movement within the Country,
Foreign Travel highly controlled by the totalitarian regime,
Emigration, and forcibly Repatriation of Hutu ethnic members
The RPF Nazi supports Hutu child prostitution and Trafficking
Most of Internal Hutus are forced to slavery,
our kids, daughters and moms live under prostitution by coercion,
kidnapping and rape.
The ethnic composition of the population denial
has led to the disappearance of
the Abatwa as the well-known minority group in Rwanda;
their rights are hijacked by RPF Tutsis extremists and Nazi.
The RPF Government refused to register CAURWA,
an advocacy group for Abatwa,
because its program of advocating
on behalf of one ethnic group was perceived as "divisive.
"RPF Incitement to
Acts of Discrimination at all social levels:
The RPF Nazi regime encourages Tutsi citizens
to make false accusations against or discriminate against Hutus.
Gacaca courts were created with the same purpose.
The RPF Nazi regime promotes
the Forced and or Compulsory
Labor aimed to enslave Hutus.
The Hutu child has no guarantee
for not being exploited in the organized Hutu child labor.
He knows no minimum Age for Employment.
Question: I s it possible to prosecute
Belgian and Dutch NGOs actually working in Rwanda
shoulder to shoulder with the RPF Nazi regime in Rwanda?
What about grouping dwellings “Imidugudu”
followed by Hutu expropriation by RPF High ranking military
and RPF leadership for large-scale farms: amarancha?
We ask everyone to light a candle during this month
of remembrance in their time zone.
Spread the word, increase support, inform your neighbor and
make people aware of killing innocent people,
refugees, and humankind loss.
Caution:
We believe that God's call i
s always to peace for ALL RWANDANS,
but it is also to justice and mercy.
When Paul Kagame and his RPF Nazis are trampled
upon with force and impunity,
war, we repeat again, war becomes inevitable
and even necessary. It is often the best we can do
when faced with great evil in an imperfect world.
So
that
we can fully reconcile,
Do more than to remember,
Never Forget.
Jean-Christophe Nizeyimana
ARGR - Intabaza.
Executive Secretary
© SurViVors Editions
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
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The killing Fields - Part II
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Daily bread for Rwandans
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The killing Fields - Part III
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Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)