Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Thursday, July 2, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Tiré de Emmanuel Ndahayo et Aimable Dufatanye,La violence politico-militaire contre les femmes au Rwanda, Editions Sources du Nil (commander le livre ici: www.editions-sources-du-nil.fr)
Les pratiques d’agafuni (houe usée) et d’akandoyi ont été infligées aussi bien aux hommes qu’aux femmes. La pratique d’agafuni que les Inkotanyi du FPR ont utilisé de manière très large et fréquente consistait à broyer les têtes des victimes par une houe usée. agafuni était souvent pratiquée après la torture akandoyi qui consistait à ligoter les jambes et les bras de la victime ensemble dans son dos et à tirer la corde jusqu’à ce que les os de la poitrine craquent. Spécialement envers les femmes, d’autres pratiques de violence physique ont été commises. Elles englobent plusieurs formes de cruauté dont les plus fréquentes étaient :
L’
Le viol sexuel
Ceci veut dire que plusieurs femmes ou filles et généralement de même famille pouvaient être violées au même moment et au même endroit par plusieurs individus. Il y a eu donc des cas où des femmes mariées ont été violées devant leurs maris et en même temps et au même endroit que leurs filles, majeures ou mineures. Il y a eu souvent des viols collectifs « tournantes » où une seule femme était successivement la victime de plusieurs violeurs. Dans plusieurs cas, des viols sexuels ont été commis à la fois collectivement et en masse, c'est-à-dire par plusieurs violeurs sur plusieurs victimes. Plusieurs victimes pouvaient également être violées en même temps et plusieurs violeurs pouvaient alterner sur différentes victimes.
Cette barbarie a touché toutes les catégories de femmes, quelle que soit leur origine ethnique ou régionale, leur niveau d’éducation, leur âge, leur situation socio-économique etc. Dans cette période de guerre, ce sont les femmes associées au camp ennemi qui étaient principalement et systématiquement visées. Ceci signifie que dans le nord du Rwanda dans les territoires contrôlés par le FPR des victimes étaient des femmes hutues qui étaient associées au camp du gouvernement. Les viols contre les femmes tutsies, globalement associées au camp du FPR par leurs violeurs, ont été surtout commis vers la fin de la guerre quand celle-ci s’est étendue sur d’autres régions du pays.
Alors que les viols collectifs ou en masse ont eu lieu pendant la guerre et le génocide ainsi que pendant les mois qui ont suivi la fin de la guerre, les viols individuels continuent jusqu’à présent sous plusieurs formes avec des motifs différents. Le fait que le Rwanda n’est pas un pays où la loi et l’État protègent les citoyens, mais bien l’endroit où le plus fort piétine le faible, les femmes tout comme beaucoup d’autres personnes sans protection restent à la merci de ceux qui ont le pouvoir de trancher sur leur sort.
Le climat de guerre est délibérément et ingénieusement maintenu au Rwanda : les soldats campent partout sur les collines et marchent avec leurs armes dans les rues des villes, les civils armés formant d’innombrables « unités de défense locale » (local defence force), appelées DASSO (District Administrative Security Support Organ), sont disséminés partout sur le territoire rwandais. La loi du plus fort favorise le viol et d’autres abus contre des personnes faibles. Dans une telle situation, les femmes qui ne sont pas protégées par des acteurs armés, sont exposées aux viols permanents, autant que d’autres personnes sans défense sont obligées de payer sans cesse des rançons pour acheter leur vie.
Mutilation des organes génitaux
Pendant cette guerre, beaucoup de femmes ont subi la mutilation de leurs organes génitaux. Cet acte de barbarie se faisait surtout à l’aide de simples couteaux de poche. Dans certains cas, les sexes des femmes victimes étaient « travaillés » à l’aide de
baïonnettes. Selon les témoignages recueillis, ces mutilations étaient commises lors des escarmouches par des rebelles qui n’avaient pas le temps de violer leurs victimes. Dans la plus part des cas, les victimes ont succombé à l’hémorragie.
Dans l’histoire du Rwanda il est connu que seuls les hommes vaincus lors des expéditions des conquêtes subissaient l’amputation des sexes dont les dépouilles servaient à décorer le tambourKalinga (signe du pouvoir des monarques tutsis). Notons en outre que les guerriers récupéraient et emportaient les organes masculins amputés de leurs adversaires comme preuves à présenter au roi qu’ils avaient réellement tué l’ennemi afin d’en être récompensé. La barbarie qui consiste à mutiler les organes génitaux n’avait jamais été commise contre les femmes au Rwanda avant l’introduction de la guerre nouvelle. La raison de la mutilation des sexes des femmes n’a donc rien à voir avec la culture et le passé des Rwandais. C’est une nouveauté étrangère.
Mutilation des seins
Les mutilations des seins des femmes est un acte de barbarie qui accompagnait souvent celle de la mutilation des sexes. Mais il arrivait que seuls les seins soient coupés et les sexes épargnés ou vice-versa.
Cela dépendait de la volonté des rebelles et du temps dont ils disposaient pour commettre ces atrocités. Les instruments utilisés dans les deux cas sont les mêmes. L’analyse des témoignages montrent cependant que la mutilation du sexe se produisait souvent après le viol, et que la mutilation des seins se faisait le plus souvent dans le cadre des actes de tortures commis surtout pour arracher aux victimes des informations ou pour les contraindre à commettre de la bestialité sur d’autres membres de leurs propres familles.
Cela dépendait de la volonté des rebelles et du temps dont ils disposaient pour commettre ces atrocités. Les instruments utilisés dans les deux cas sont les mêmes. L’analyse des témoignages montrent cependant que la mutilation du sexe se produisait souvent après le viol, et que la mutilation des seins se faisait le plus souvent dans le cadre des actes de tortures commis surtout pour arracher aux victimes des informations ou pour les contraindre à commettre de la bestialité sur d’autres membres de leurs propres familles.
Dépeçage et éventrement des femmes
Cette bestialité consiste en l’ouverture des ventres des victimes du sexe jusqu’au niveau de l’estomac par des objets tranchants. Des fois cette ouverture pouvait aller jusqu’au niveau du cou.
Dans la plupart des cas, cette pratique se faisait en suspendant les femmes à l’envers les jambes écartées, sur des branches d’arbres ou sur d’autres objets qui pouvaient servir de poteaux transversaux attachés sur d’autres supports verticaux.
Les femmes enceintes étaient, plus que d’autres, visées par cette cruauté. Après avoir éventré les femmes enceintes, on enlevait les fœtus et on laissait mourir la maman et le fœtus séparément. Ce que nous n’avons jamais compris et dont nos interlocuteurs étrangers n’ont aucune idée, ce sont les motivations ou le but poursuivi dans cet acte barbare de séparation des corps des deux victimes. Probablement que cela tient à des croyances en vigueur en Ouganda ou alors cela tient tout court à la cruauté visant l’objectif de choquer les populations et de les chasser de leurs terres. Ce qui est certain, c’est que ces comportements inhumains du FPR ont provoqué une aversion totale de la population contre ses combattants et une peur bleue ne fut-ce qu’à l’évocation du nom FPR !
Empalement des femmes à l'aide d'objets pointus
Cette forme de cruauté consistait à percer le corps des femmes du sexe à la tête ou au cou, à l’aide des objets comme des bâtons ou des métaux très pointus. Ces objets étaient enfoncés dans le vagin et poussés à travers les intestins jusqu’au niveau de la poitrine. Comme dans les cas précédents, les victimes étaient souvent suspendues à des troncs d’arbres ou sur tout autre objet servant de transversale ou de poteau. Avant que leurs corps soient traversés par des objets pointus, les victimes subissaient souvent le déchirement du sexe, que les criminels effectuaient de la manière la plus atroce en enfonçant
sauvagement des objets dans les parties intimes des victimes. Avec ces bestialités les victimes souffraient énormément et ne mourraient pas immédiatement. L’agonie était trop longue. Les victimes mourraient d’une longue hémorragie qui s’accompagnait des douleurs intenses.
Introduction d'objets dans les parties génitales
Dans de nombreux cas, les rebelles « travaillaient » les parties génitales des victimes avec des objets. Les bourreaux faisaient subir à leurs victimes une souffrance extrême en introduisant sauvagement des objets comme des bâtons, des bouteilles, des bananes vertes, des pilons enduits de piment fort, des patates douces, des canons de fusils etc. dans les parties génitales et les remuaient sauvagement dans tous les sens.
Viol forcé entre les victimes
Les rebelles du FPR ont souvent forcé les membres d’une même famille à avoir des relations sexuelles incestueuses, que ce soit entre mère et fils, père et fille, frère et sœur, oncle et nièce, tante et neveu, etc. Des membres de famille, y compris des enfants, étaient également contraints non seulement à assister à ces viols forcés des leurs, mais aussi à les commettre eux-mêmes. Cette forme de viol allait naturellement au de-là de la souffrance physique des victimes et conduisait à une souffrance profonde psychologique et existentielle. Certaines des victimes qui n’avaient pas succombé à ces atrocités, n’ayant pu supporter de vivre avec le poids de tels souvenirs et d’une telle souffrance, se sont par la suite suicidées.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Monday, June 29, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Rwanda: coup de théâtre au pays de Shakespeare
À l'heure où
les idéologues de Survie en sont encore aux versions canoniques du drame
rwandais selon lesquelles seuls les extrémistes hutus seraient responsables des
centaines de milliers de morts de 1994, l'actualité nous offre une surprise de
nature à modifier radicalement cette perspective.
Voici qu'à la faveur d'un déplacement à Londres, le chef des services de renseignements rwandais, Emmanuel Karenzi Karake, sous le coup d'un mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne, a été arrêté samedi par la police londonienne. Le mandat a été émis dans le cadre d'une procédure pour génocide et crimes contre l'humanité.
Oui, vous avez bien lu: génocide et crimes contre l'humanité.... pour un homme de Kagame.
Extrait Chronique d'un génocide (La partie occultée): 1994 - 1996 les massacres commis par le FPR Voici qu'à la faveur d'un déplacement à Londres, le chef des services de renseignements rwandais, Emmanuel Karenzi Karake, sous le coup d'un mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne, a été arrêté samedi par la police londonienne. Le mandat a été émis dans le cadre d'une procédure pour génocide et crimes contre l'humanité.
Oui, vous avez bien lu: génocide et crimes contre l'humanité.... pour un homme de Kagame.
Cette
arrestation montre que l'analyse d'un génocide dont la responsabilité
incomberait aux seuls hutu est loin d'être admise dans le monde et qu'il n'y a
qu'en France où la presse n'a pas su reconnaître ses errances et s'enferre dans
le déni en omettant systématiquement de traiter depuis des années tout ce qui
remet en cause la doxa. Le cliché d'une armée française engagée dans le
génocide aux côtés des hutu a été propagé en dépit du fait que ladite armée
n'était pas présente au Rwanda au moment des faits. Nous avons eu ici même, sur
Mediapart, un soldat français venu opportunément s'interroger sur sa possible
inculpation devant le TPI au moment du vingtième anniversaire du génocide. Il
est difficile de ne pas voir dans cette attitude un élément d'une campagne de
presse bien orchestrée et visant à empêcher de soulever le voile qui occulte la
responsabilité du FPR (la soi-disant armée de libération tutsi) dans
l'assassinat du président en exercice et dans le génocide qui a suivi.
Il est notable qu'à l'heure ou la presse anglaise rend compte de cette arrestation - notamment la BBC, le Guardian, l'indépendant et le Telegraph - en France, seuls RFI, le point et le Parisien en parlent.
On imagine sans peine que les Malagardis, Dupaquier, Vulpian, Colombat, Bourmeau et autres Saint Exupéry et Mehdi Ba doivent commencer à se dire que leur statut de défenseurs inconditionnels du régime de Paul Kagamé les expose à être démentis par les faits dans un avenir qui se rapproche de plus en plus. Quant au reste de la presse française, qui a massivement gobé l'intoxication tutsi au moment du génocide et qui a fermé les yeux sur les suite des massacres en RDC, il est assez réticent à admettre qu'il a été grossièrement manipulé.
Il y a peu, Le Monde s'était fendu d'un article sur la qualité des prisons rwandaises, nous apprenant au passage que les excréments des prisonniers étaient recyclés en biogaz pour le chauffage.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/05/04/au-rwanda-les-prisons-tournent-au-biogaz_4626806_3244.html
Par contre ils n'avaient pas pipé mot de l'assassinat de P. Karegeya, de l'enlèvement de Gafirita - du à la curieuse incurie du juge Trevidic* . Ils avaient en outre fait silence à propos du documentaire de la BBC "Rwanda's untold story" Ledit documentaire a rendu fou furieux le régime de Kigali qui a suspendu la BBC au Rwanda.
https://vimeo.com/112879025
Ils n'ont bien sur rien dit du sabotage de l'enquête par le duo Trevidic - Poux pendant des années. http://www.recim.org/prov/RencontresPaix.pdf (à partir de la page 5)
On espère donc que, fidèle à sa curiosité pointilleuse, le quotidien du soir se donnera la peine de reconnaître qu'il existe une enquête pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité qui vise les responsables tutsi, et que celle-ci n'est pas due aux manipulations de la françafrique mais, tout au contraire, à l'opiniâtreté d'un avocat et d'un juge espagnols.
Bien entendu, ledit quotidien a dû reconnaître les exactions du régime en place envers les membres de la profession journalistique qui ne récitaient pas convenablement le catéchisme autorisé. Mais c'est que Reporter Sans Frontières et Human Right Watch ont suffisamment élevé la voix.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/03/03/un-journaliste-condamne-a-25-ans-de-prison-au-rwanda_4586522_3212.html
Quant à notre bien aimé journal Mediapart, nous aimerions qu'il ne soit pas d'une discrétion de violette sur ce sujet.
Evidemment, il ne reste plus aux blancs-menteurs français - Malagardis, Dupaquier, Vulpian, Dumas, Colombat, Bourmeau , Saint Exupéry, Mehdi Ba - qu'à nous expliquer que ce sont les espagnols qui sont les cerveaux du génocide rwandais puisqu'ils incriminent Kagame et les siens pour crimes de guerre voire crimes contre l'humanité.
La mise en cause de l'armée française est un leurre bien pratique et a mobilisé tant d'idiots utiles qu'il suffira d'ajouter que le mandat contre Kagamé est un ultime vestige du franquisme. Un peu de passion indignée fera l'affaire. Le franquisme complice de l'armée française génocidaire, ça sonne tellement bien: Pavlov en frétille de joie dans sa tombe.
Voici les articles de la presse française:
http://www.rfi.fr/afrique/20150623-rwanda-karenzi-karake-londres-foreign-office-espagne-interpol-kagame/
http://www.leparisien.fr/faits-divers/genocide-au-rwanda-le-general-emmanuel-karenzi-karake-arrete-samedi-a-londres-23-06-2015-4885629.php
http://www.lepoint.fr/monde/londres-arrete-le-chef-des-renseignements-rwandais-23-06-2015-1939079_24.php
*Trévidic ne voulait pas que Gafirita, qui craignait pour sa vie, témoigne sous X à propos de l'attentat contre l'avion présidentiel. Il était donc convenu que l'identité de Gafirita ne serait révélée qu'à son arrivée en France. Hélas, cet accord ne fut pas respecté et Gafirita fut enlevé à Nairobi dès que sa convocation par le juge fut émise. Pourtant, Trévidic avait accepté le témoignage sous X d'un ancien d'Abou Nidal dans l'affaire de la rue des Rosiers.
Il est notable qu'à l'heure ou la presse anglaise rend compte de cette arrestation - notamment la BBC, le Guardian, l'indépendant et le Telegraph - en France, seuls RFI, le point et le Parisien en parlent.
On imagine sans peine que les Malagardis, Dupaquier, Vulpian, Colombat, Bourmeau et autres Saint Exupéry et Mehdi Ba doivent commencer à se dire que leur statut de défenseurs inconditionnels du régime de Paul Kagamé les expose à être démentis par les faits dans un avenir qui se rapproche de plus en plus. Quant au reste de la presse française, qui a massivement gobé l'intoxication tutsi au moment du génocide et qui a fermé les yeux sur les suite des massacres en RDC, il est assez réticent à admettre qu'il a été grossièrement manipulé.
Il y a peu, Le Monde s'était fendu d'un article sur la qualité des prisons rwandaises, nous apprenant au passage que les excréments des prisonniers étaient recyclés en biogaz pour le chauffage.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/05/04/au-rwanda-les-prisons-tournent-au-biogaz_4626806_3244.html
Par contre ils n'avaient pas pipé mot de l'assassinat de P. Karegeya, de l'enlèvement de Gafirita - du à la curieuse incurie du juge Trevidic* . Ils avaient en outre fait silence à propos du documentaire de la BBC "Rwanda's untold story" Ledit documentaire a rendu fou furieux le régime de Kigali qui a suspendu la BBC au Rwanda.
https://vimeo.com/112879025
Ils n'ont bien sur rien dit du sabotage de l'enquête par le duo Trevidic - Poux pendant des années. http://www.recim.org/prov/RencontresPaix.pdf (à partir de la page 5)
On espère donc que, fidèle à sa curiosité pointilleuse, le quotidien du soir se donnera la peine de reconnaître qu'il existe une enquête pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité qui vise les responsables tutsi, et que celle-ci n'est pas due aux manipulations de la françafrique mais, tout au contraire, à l'opiniâtreté d'un avocat et d'un juge espagnols.
Bien entendu, ledit quotidien a dû reconnaître les exactions du régime en place envers les membres de la profession journalistique qui ne récitaient pas convenablement le catéchisme autorisé. Mais c'est que Reporter Sans Frontières et Human Right Watch ont suffisamment élevé la voix.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/03/03/un-journaliste-condamne-a-25-ans-de-prison-au-rwanda_4586522_3212.html
Quant à notre bien aimé journal Mediapart, nous aimerions qu'il ne soit pas d'une discrétion de violette sur ce sujet.
Evidemment, il ne reste plus aux blancs-menteurs français - Malagardis, Dupaquier, Vulpian, Dumas, Colombat, Bourmeau , Saint Exupéry, Mehdi Ba - qu'à nous expliquer que ce sont les espagnols qui sont les cerveaux du génocide rwandais puisqu'ils incriminent Kagame et les siens pour crimes de guerre voire crimes contre l'humanité.
La mise en cause de l'armée française est un leurre bien pratique et a mobilisé tant d'idiots utiles qu'il suffira d'ajouter que le mandat contre Kagamé est un ultime vestige du franquisme. Un peu de passion indignée fera l'affaire. Le franquisme complice de l'armée française génocidaire, ça sonne tellement bien: Pavlov en frétille de joie dans sa tombe.
Voici les articles de la presse française:
http://www.rfi.fr/afrique/20150623-rwanda-karenzi-karake-londres-foreign-office-espagne-interpol-kagame/
http://www.leparisien.fr/faits-divers/genocide-au-rwanda-le-general-emmanuel-karenzi-karake-arrete-samedi-a-londres-23-06-2015-4885629.php
http://www.lepoint.fr/monde/londres-arrete-le-chef-des-renseignements-rwandais-23-06-2015-1939079_24.php
*Trévidic ne voulait pas que Gafirita, qui craignait pour sa vie, témoigne sous X à propos de l'attentat contre l'avion présidentiel. Il était donc convenu que l'identité de Gafirita ne serait révélée qu'à son arrivée en France. Hélas, cet accord ne fut pas respecté et Gafirita fut enlevé à Nairobi dès que sa convocation par le juge fut émise. Pourtant, Trévidic avait accepté le témoignage sous X d'un ancien d'Abou Nidal dans l'affaire de la rue des Rosiers.
Statement from
the families of the Spanish victims on the arrest of Karenzi Karake in London,
UK.
We, the families of the Spanish nationals who died violently in Rwandaand the Democratic Republic of Congo between 1994 and 2000:
-JOAQUIM VALLMAJÓ SALA (BYUMBA,NORTHERN RWANDA, +April 26, 1994)
- SERVANDO MAYOR GARCÍA, JORGE JULIORODRÍGUEZ, MIGUEL
ANGEL ISLA ANDFERNANDO LUCIO DE LA FUENTE DE LA FUENTE (BUGOBE / BUKAVU, EASTERN DRC, +October 31, 1996).
- Mª
FLORS SIRERA FORTUNY, MANUEL
MADRAZO OSUNA, LUIS VALTUEÑA GALLEGO(RUHENGERI, NORTHERN RWANDA, +January
18, 1997).
- ISIDRO UZCUDUN
POUSO (MUGINA, GITARAMA,CENTRAL RWANDA, + June 10, 2000).
having learned of the arrest of General KARAKE KARENZI in London(UK), under an international arrest warrant and a European arrest warrant issued by the Spanish courts in accordance with international lawand the principles of international law:
DECLARE
I.- In the absence of a judicial enquiry by the International CriminalTribunal for Rwanda or the national courts of Rwanda and theDemocratic Republic of Congo into the circumstances surrounding theviolent death of our relatives in Rwanda and the Democratic Republic ofCongo, we found ourselves compelled to press criminal chargesbefore the Spanish
courts.
II.- After over three years of judicial investigation at national andinternational levels, the Central Court of Instruction No. 4 of theNational Court issued a reasoned indictment, laying out detailedprima facie evidence on 40 senior military officers of the RwandanPatriotic Army (RPA / RPF) for criminal acts committed betweenOctober 1, 1990 and July 1, 2002, both in Rwanda and the Democratic Republic of Congo (http://www.veritasrwandaforum.org/dosier/resol_auto_esp_06022008.pdf). These 40 senior military officers areunder investigation for their alleged involvement in genocide, crimesagainst humanity, war crimes, crimes of terrorism or association to anarmed group with terrorist intent.
III.- The arrest of General KARAKE KARENZI in London (UK)represents a major step forward towards the end of impunity forinternational crimes carried out during that period in those two
African countries, which has caused -and continues to cause- so much suffering to individuals, families and communities of differentnationalities and peoples.
IV.- We, the families of the Spanish victims, express once again oursolidarity and sympathy to all the survivors of human rights abuses, andthe families of victims of violent death in Rwanda and the DemocraticRepublic of the Congo at that time, regardless of their age, gender,ethnicity, nationality or any other status. In their memory, and afterdecades of having being ignored as victims, particularly the countlessRwandan and Congolese victims, each and everyone have the right totruth, justice, reparation and guarantees of non-recurrence.
REQUEST
First.- In accordance with universal human rights and applicableinternational law, we request that a trial affording all legal guarantees toboth defendants and victims takes place.
Second.- To the Spanish authorities:
- That, in compliance with international obligations and treaties towhich Spain is party, legal validation is provided to the direct delivery andreception of General KARAKE KARENZI arrested under a European
arrest warrant issued by the Spanish courts.
- That once the arrested General KARAKE KARENZI is in Spain underthe Spanish jurisdiction, and after any required procedures and possiblecomplementary research, an oral trial is opened to prosecute the facts subject of
research in this cause of justice.
- That request again from the authorities of the Republic of SouthAfrica, in accordance with the unanimous decision of the Government
of Spain dated September 17, 2010( http://www.veritasrwandaforum.org/dosier/sol_extrad/100917_consejo_ministros.pdf ) the arrest and surrender of General KAYUMBANYAMWASA, under international arrest warrant and demand forextradition of the Central Court of Instruction No. 4 of the AudienciaNacional (Spanish courts of justice), recalling that both Spain andSouth Africa are states party to the European Convention on
Extradition.
Third.- To the British authorities:
- That, in compliance with the international obligations and treaties towhich the United Kingdom is party, legal validation is provided to the
direct delivery of General KARAKE KARENZI arrested under aEuropean arrest warrant issued by the Spanish courts.
- That the situation of arrest remains, at the disposal of the courtsuntil released to the Spanish judicial authorities.
Fourth.- To the international community:
- That considering that the criminal acts that took place betweenOctober 1, 1990 and July 1, 2002 in Rwanda and the DemocraticRepublic of Congo are under investigation by the Spanish courts sincemost of them do not fall within the temporal jurisdiction of theInternational Criminal Tribunal for Rwanda based in Arusha, Tanzania(1994) nor that of the International Criminal Court based in TheHague, Netherlands (July 1, 2002 onwards), cooperation from theauthorities of the states of the international community and members ofthe United Nations is sought in order to deliver the defendants for thepurpose of conducting a trial with all legal guarantees underapplicable international law.
Tuesday, June 23, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Rwandan
Tutsi spy chief Lt Gen Emmanuel Karenzi Karake was arrested on June 20, 2015 at
the Heathrow Airport as he prepared to board a plane back home from an official
mission. The decision by the United Kingdom to arrest him is likely to spark a
diplomatic row between Kigali and London. FILE PHOTO | CYRIL NDEGEYA
IN SUMMARY
·
Lt Gen Emmanuel Karenzi Karake was arrested on
Saturday at Heathrow Airport as he prepared to board a plane back home from an
official mission.
·
According to reports in the UK, Gen Karake was
arrested on a European Arrest Warrant based on the 2008 indictments by Spanish
Judge Fernando Andreu Merelles.
·
President Paul Kagame has also on many occasions
spoken out against the indictments.
The decision by the United
Kingdom to arrest the head of Rwanda’s National Intelligence and Security
Services (NISS) is likely to spark a diplomatic row between Kigali and London.
Lt Gen Emmanuel Karenzi
Karake's arrest on Saturday at Heathrow Airport as he prepared to board a plane
back home from an official mission was based on indictments on war crimes
issued by a Spanish Judge in 2008 on 40 senior Rwandan army officers.
On Tuesday, the British High
Commission in Kigali issued a statement confirming the arrest by UK’s
Metropolitan Police on June 20 on behalf of the authorities in Spain.
“This was a legal obligation,
following the issue of a valid European arrest warrant,” the statement reads in
part.
The EastAfrican understands that Rwanda's
Minister of Foreign Affairs Louise Mushikiwabo has already arrived in London
for talks with UK authorities over the arrest of the 54-year old General, who
had reportedly travelled to London to attend an international meeting on
security.
In a post on her official
twitter account Tuesday, Ms Mushikiwabo decried the action by the UK government
as based on "lunacy".
"Western solidarity in
demeaning Africans is unacceptable!! It is an outrage to arrest #Rwandan
official based on pro-genocidaires lunacy!"
Rwanda’s Minister of Justice
Johnston Busingye confirmed on Monday night that Gen Karake was prevented from
boarding a flight home, detained and arraigned before a magistrate’s court in
Westminster, with another appearance scheduled for Thursday.
'Genocide, crimes against
humanity'
Gen Karake, who has served in
different high ranking army and UN Peacekeeping positions, was arrested on a
European Arrest Warrant based on the 2008 indictments by Spanish Judge Fernando
Andreu Merelles.
The judge accused 40 Rwandan
military and political leaders of the ruling Rwanda Patriotic Front/Army of
engaging in reprisal killings and mass massacres in the years that followed the
1994 Genocide against the Tutsi.
Mr Merelles indicted the
officials for genocide, crimes against humanity and terrorism which resulted in
the deaths of hundreds of thousands of civilians, including eight Spaniards.
The Rwandan government vehemently denied the accusations.
Over the years, Kigali
dismissed the indictments and questioned their credibility, labelling them
“politically motivated”. President Paul Kagame has also on many occasions
spoken out against the indictments.
“The Bruguière (French Judge
Jean Louis) and Spanish indictments were created to merely inconvenience
Rwandans because they are hinged on no genuine legal premise and are not meant
to serve any justice or cause.
“For universal jurisdictions
to be credible, it has to go both ways and not the situation where we only have
some powerful nations having jurisdictions over less powerful ones,” President
Kagame said in 2012.
Diplomatic spat
The arrest of one of Rwanda’s
most senior military men is likely to spark diplomatic tension between the two
countries that have been good allies over the last 21 years. UK has been
Rwanda’s biggest foreign donor for over a decade now.
Kigali is also questioning the
motive and timing of the arrest.
“Gen Karake has travelled to
the UK on many occasions on official duty. There are questions as to why the
arrest happened now and not on the many times he has travelled there before,” a
military source told The EastAfrican.
The incident is reminiscent of
2008 when German authorities arrested Rose Kabuye, then head of President
Kagame’s Protocol, and handed her over to French authorities.
The arrest of Ms Kabuye
further strained already tense diplomatic ties between Rwanda and France. In
2006, Rwanda expelled the French and closed their embassy in Kigali after a
French Judge issued indictments against senior RPF officials.
While Ms Mushikiwabo is in the
UK to try diffuse the situation, it is not yet clear what measures Rwanda would
take if the UK decides to hand him over to Spanish authorities
Saturday, June 13, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Ms Ingabire Victoire Umuhoza Wacu The would be President of Rwanda |
Banyarwanda,
Banyarwandakazi,
Igihe kirageze ngo turebe aho tuli. Impamvu tukili hano mu buhungiro mu gihe bene wacu balimo bakora ibyo bategetswe nkaho batabyaye. Birabaje kubona 80% y'abagize igihugu badafite uburenganzira nk'ubabandi kubera ko bavutse ali abahutu cyangwa abatutsi bali imbere mu gihugu mbere ya mirongo icyenda.
Niyo mpamvu imibereho yacu igomba guhinduka, buli wese agashyiraho ake. Akemera ko ibintu bizahinduka ali uko abigizemo uruhare. Twilinde abatwoshya ahubwo twumve uwo uwali we wese ushaka ko dusubira iwacu mu gihugu cy'abatubyaye kandi dufite ishema tudashyize amaboko hejuru twishyiriye uwatumazeho abacu. Twongere twibuke ko badutangiye amafaranga menshi bagira ngo twige. Twibuke ko bagize uruhare ngo tumenye ko tutagomba gushirira ku icumu ko ahumbwo tugomba gukoresha ubwenge twahawe ali uko babwishyuriye ngo maze tuzashobore gukora ibyo bo batashoboye gukora. Twibuke ko bo baduhaye igihugu twe tukagiha umwanzi. Twibuke ko aho tuli hose ni tutisungana ntaho tuzagera. Tumenye abo tuli bo tumenye abo tuvugana n'icyo batumalira cyangwa batatumalira. niyo mpamvu musambwe kureba iyi video ili hasi aha. Mukayumva ikabaha guhindura imitekerereze n'imyifatire ku kibzo duhuriyemo twese: kubohoza igihugu. Nitbazababeshye: ntwe uzabavana aho muli, mu bibazo mulimo atali uko mufashe impoho ngo mugaruze urwatubyaye. ntabatindiye ngaho murebe kandi musabe n'abandi kuyireba.
Ubwenge burarahurwa. Ngaho nimwirebere kandi mwumve izi ntwali:
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)