Rwanda: Cartographie des crimes
Let us remember Our People
You can't stop thinking
Welcome to Home Truths
Everybody Hurts
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Concerne vos propos dans l’entretien que vous avez eu avec les journalistes de
RFI et de TV 5 Monde, le 23 novembre 2008 sur l’arrestation de Madame Rose
Kabuye par la justice française impliquée dans l’attentat contre les Présidents Juvénal
Habyarimana et Cyprien Ntaryamira et leurs collaborateurs, survenu le 6 avril 1994
vers 20 heures 30 à Kigali.
Excellence Monsieur le Ministre,
J’ai l’honneur de Vous transmettre ma très haute estime pour les effo rts inlassables et
le combat combien noble que la France, Pays de la liberté, de la démocratie et des
droits de l’homme, mène au sein de la Communauté Internationale, en faveur de la
paix et pour le respect des droits de l’homme dans le monde. Je suis particulièrement
et avec beaucoup d’intérêts la sollicitude de la France pour le retour de la paix dans
les divers pays en guerre ou en conflits larvés en Afrique tels que la Côte d’Ivoire, la
Centre Afrique, le Tchad, le Darfour, la Somalie et la RDC dans la région du Kivu,
à l’Est.
Dans la région des Grands Lacs, vous n’ignorez pas le drame qui a frapp é ce petit
pays à l’Est de la RDC depuis le mois d’octobre 1990, lorsque la coalition
NRA/FPR/APR a envahi ce territoire à partir de l’Ouganda. Là encore, la France a
joué un rôle combien positif, en aidant ce pays à faire face à une gu erre barbare
d’agression, en vertu des accords de coop ération signés entre le Rwanda et la France.
En dépit des différents accords de cessez-le-f eu et de l’accord de paix signé à
Arusha, en République Unie de Tanzanie le 4/8/1993, devant les observateurs
internationaux qui devaient garantir la mise en application de l’accord de p aix, le
FPR, a dans la suite, refusé le partage du pouvoir et a délibérément déclenché
l’offensive exterminatrice et finale d’avril juillet 1994, à l’issue de laquelle, il a pris le
pouvoir, après avoir causé et versé un immense bain de sang. Ce qui s’appelle
aujourd’hui, le génocide des Tutsis.
Je suis sincèrement de ceux qui dénoncent la mauvaise foi du FPR qui cherche par
tous les moyens de se soustraire à ses immenses responsabilités dans le drame qu’il a
au peuple rwandais depuis 1990, en se déchargeant de ces responsabilités pour les
rejeter sur les Hutus du Rwanda et la Communauté internationale au sein de laquelle
la France a pourtant a joué un rôle combien positif en assistant le Gouvernement
rwandais d’alors à faire à d’innombrables défis, dans le cadre d’une agression
perpétrée contre le Rwanda à partir de l’Uganda.
Je suis de ceux qui dénoncent le mensonge et la mauvaise foi des autorités du FPR,
qui incriminent faussement les troupes françaises de participation aux événements
tragiques d’avril juillet 1994, lorsque ces autorités savent bien que les troupes
françaises avaient quitté le Rwanda, conformément à l’accord de cessez-le-feu de
Dar-es-salaam signé entre le Gouvernement rwandais et le FPR le 7 mars 1993.
D’ailleurs le Général Dallaire confirme le dép art des troupes françaises du Rwanda,
dans son ouvrage « J’ai serré la main du diable », à la page 174.
Certes, les troupes françaises sont revenues plus tard à Kigali, dans le cadre de
l’opération Amaryllis et lors de l’opération « Turquoise ». Ces opérations se sont
déroulées dans un cadre légal et ont pu sauver des dizaines de milliers de gens
menacés par les combats du FPR. Je n’ignore pas les fausses accusations montées par
le régime tyrannique du FPR contre les autorités françaises et de très hauts gradés de
l’armée française, sur b ase de mensonges et de contrevérités, dans ce qui s’appelle
désormais le « Rapport Mucyo » auquel beaucoup de gens ont réagi en dénonçant
les mensonges y contenus.
Je sais que les relations diplomatiques sont mauvaises entre Paris et Kigali, suite à la surenchère d’un régime criminel qui intimide ses partenaires sans nécessairement prendre en compte l’avis et les intérêts des millions de Rwandais, pour s’attirer la bienveillance de la Communauté internationale qu’il a jusque-là manipulée à volonté, pour couvrir ses crimes abominables. Mais comme le disait si bien Madame Braeckmann, en Kinyarwanda la vérité passe à travers le feu et
ne brûle pas. Espérons que l’arrestation et son placement sous contrôle judiciaire par
les autorités judiciaires françaises permettra au monde entier de savoir ce qui s’est
passé, spécialement à partir de la destruction de l’avion présidentiel le 6 av ril 1994.
Car cela n’intéresse pas seulement les victimes de cet attentat au premier rang
desquels se trouvent les familles de l’équipage de l’avion, mais des millions de
Rwandais ont tragiquement vécu cet événement fatidique qui n’était qu’un maillon
dans un plan militaire conçu , soigneusement préparé et mis en œuvre par le FPR
cette nuit du 6 à 7 avril 1994 à partir de Kigali, pour prendr e le pouvoir par la force.
Monsieur le Ministre,
Ils sont très nombreux au Rwanda et dans le monde ceux qui, ont salué l’arrestation
de Madame Rose Kabuye à l’Aéroport de Frankfurt, en République fédérale
d’Allemagne et son transfert devant la justice française, en vertu des mandats d’arr êt
internationaux lancés par le juge antiterroriste Jean Louis Bruguièr e, dans le cadre des
enquêtes menées sur l’attentat contre l’avion du Président Juvénal Habyarimana ;
attentat dans lequel périrent sur le coup deux chefs d’État dans l’exercice de leurs
Lire le Communiqué conjoint publié à l’issue de la rencontre de haut niveau entre le Gouvernement de la République Rwandaise et le Front Patriotique Rwandais, tenue à Dar-Es-Salaam du 5 au 7 mars 1993. Au point IV) de ce document il est décidé : « Retrait des troupes étrangères et leur remplacement par une force internationale neutre organisée dans le cadre de l’OUA et des Nations Unies et ayant en conformité avec l’article II.6 de l’Accord du 12 juillet 1992, une vocation
humanitaire. Cette force sera normalement installée à Kigali et aura pour tâche de contribuer à assurer
l’ap aisement et en particulier la sécurité des expatriés, partout ils peuvent être.
Lire aussi le document confidentiel entre le Gouvernement rwandais et le Front patriotique rwandais
relatif aux modalités de retrait des troupes françaises. Ce document dispose que les troupes françaises
présentes au Rwanda depuis le 8 février 1993 d evront se retirer du pays à partir du 17 mars 1993 dans
un délai de 8 jours. Le reste des troupes françaises présentes au Rwanda avant le 8 février 1 993, deux
co mpagnies devront être canto nnées à Kigali à partir du 17 mars 1993 jusq u’à leur remplacement par
une force internationale neutre convenue de commun accord entre les deux parties.
Voir la réaction des détenus contre le Rapport Mucyo.
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fonctions et des Ministres rwandais et burundais. Cet attentat est reconnu aujourd’hui
par les experts du Tribunal Pénal International pour le Rwanda comme l’élément
déclencheur des massacres intervenus au Rwanda en avril juillet 1994, d’autant
plus que, dans la même nuit du 6 au 7 avril 1994, le Front Patriotique Rwandais a
repris les hostilités sur tous les fronts, en massacrant de nombreuses populations
depuis cette nuit même à Kigali, dans les secteu rs Kimihurura, Kacyiru, Remera et
Kicukiro. Il n’est donc plus permis d’accréditer la thèse fausse selon laquelle le FPR
serait intervenu militairement le 7 avril 1994 dans l’après midi, vers 16 heu res pour
arrêter le massacre de Tutsis et de Hutus modérés. Il se trou ve même qu’au vu de la
preuve documentaire actuellement disponible, les membres de l’opposition qui disait-
on, avaient été massacrés par la garde présidentielle, ont été en réalité tués p ar les
agents du FPR. Celui-ci avait détaché auprès de chaque membre concerné des agents
de surveillance. Ainsi auraient été tués par le FPR Lando, Kavaruganda et autre
Ngango…..Cela s’entend puisque la garde présidentielle était déjà sous le feu du FPR.
Par conséquent le déferlement de la garde présidentielle pour massacrer les Tutsi dès
la descente de l’avion fait partie de cette légende que les ténors du FPR, comme
Madame Braeckmann, amplifient encore maintenant, jusqu’à prétend re que ce serait
cette même garde présidentielle qui aurait descend u l’avion présidentiel à partir de
« sa position de Masaka ». Comme si Madame Braeckmann ignorait que Kigali et ses
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environs étaient placés sous régime de consignation d’armes,
dans un périmètre
englobant la localité de Masaka.
Depuis la reprise des combats à partir de Kigali,les autorités rwandaises ont demandé
la cessation des combats depuis le 7 avril 1994 ; le FPR y a réservé systématiquement
une fin de non recevoir. Et au moment où les responsables rwandais réclamaient
l’aide de la Communauté internationale pour protéger les populations, le FPR a
menacé de s’attaquer au x troupes étrangères qui se trouveraient sur son couloir de
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progression.
Cet attentat contre l’avion du Président Habyarimana n’est donc pas un
élément isolé ; il n’aurait pas été le prétexte pour les soi-disant extrémistes Hutus de
mettre en exécution le plan de génocide concocté depuis longtemps ; puisqu’il a
sonné le signal de lancement de l’offensive finale sur Kigali. La thèse d’un complot
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hutu pour conserver le pouvoir sans partage, cette thèse ne p eut plus être défendue
maintenant, faute de preuve et parce qu’il est évid ent que c’est le FPR qui est le vrai
planificateur de cette tragédie. L’attentat est donc directement lié à l’offensive finale
du FPR pour prendre le pouvoir par la force ; laquelle offensive a entr aîné la
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catastrophe rwandaise.
Après avoir attendu en vain la vérité sur cette attentat terroriste qui a coûté la vie à
deux chefs d’État dans l’exercice de leur fonction, à l’équipage français, à plusieurs
Ministres rwandais et burundais et au chef de l’état- major de l’armée rwandaise et
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Toutes les unités des fo rces armées rwandaises dans le périmètre KWSA, étaient placées sous le
co ntrôle de la MINUAR qui avait détaché un élément de contrôle dans chaque camp militaire. La garde
présid entielle ne pouvait donc pas avoir une p osition de tir à Masaka. Cette localité au contraire avait,
co mme le centre de Kabuga, une position de la MINUAR. Voir l’accord KWSA signé le 24 d écembre
1993 par les parties concernées.
Voir la Déclaration d u FPR datée du 09 avril 1994.
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5
Lire Bernard Lugan dans son ouvrage « Rwanda, Co ntre enquête sur le génocide », page 153-164.
Lire le récent d ocument d u colonel Luc Marchal sur l’arrestation de Rose Kabuye. Plusieurs
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documents découverts par le procureur du TPIR dans le cadre d es enquêtes spéciales réalisées par le
TPIR sur les crimes du FPR en font foi.
4
qui a sonné le signal de lancement de l’offensive finale et exterminatrice du FPR pour
prendre le pouvoir par la force, en violation de l’accord de paix d’Arusha.
Des millions de gens attendent que, enfin, la justice fran çaise puisse mener le travail
judiciaire nécessaire à travers le dossier Rose Kabuye, afin d’éclairer l’opinion
rwandaise et le public international sur les tenants et les aboutissants de cet attentat
qui a déclenché l’épouvantable tragédie rwand aise d’avril juillet 1994.
Seulement votre déclaration le 23 novembre 2008 devant les journalistes de RFI et
de TV5, sur la mise en liberté de Mad ame Rose Kabuye, placée sous contrôle
judiciaire, en qualité de Ministre des Affaires Étrangères de la France a jeté le trouble,
lorsque vous vous êtes félicité de ce que Madame Rose Kabuye ait été placée en
liberté sous contrôle judiciaire et de ce qu’elle pourra bientôt lever le malentendu et
ainsi permettre à la France de poursuivre ses efforts de normalisation des relations
avec le Rwanda. Vous avez dit que Rose Kabuye est parmi ceux qui ont arrêté le
génocide au Rwanda en 1994 et qu’elle n’a rien à avoir av ec le génocide des Tutsis ;
ce génocide, selon Vous, ayant été préparé depuis longtemps par le régime déchu et
ayant massacré 800.000 Tutsis.
Dans le même ordre d’idées, répondant à la qu estion d’un journaliste qui vous
demandait si les auteurs de l’attentat ne savaient pas qu’ils allaient provoquer des
massacres, vous vous êtes insurgé contre une question qui, selon vous relevait du
négationnisme ; vous affirmiez avec force qu’on ne peut pas nier que le génocide ait
été préparé de longue date et que votre visite au Rwanda au moment de la tragédie
vous a permis de voir des enfants de 12 à 13 ans armés de machettes ; vous avez
même argumenté sur la planification du génocide par l’ancien régime en disant que
vous savez ainsi que beaucoup d’autres que deux millions de machettes ont été
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commandées pour massacrer les Tutsis.
Le souhait de tous c’est de voir la justice française à l’œuvre pour tirer au clair une
affaire dont non seulement les victimes attendent l’issue avec ferveur, mais aussi,
vous vous en doutez bien plus de 7 millions Rwandais et l’humanité entière
attendent la vérité sur le drame rwandais à partir à l’issue du verdict de cette affaire.
Les gens ne sont pas intéressés de savoir que Madame Kabuye est une héro ïne qui a
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arrêté le génocide, dans la mesure où la guerre qu’elle a préparée
et à laquelle elle a
participé entraîné un grand nombre de victimes innocentes dès lors même que
l’accord de paix signé le 4/8/2008 mettait fin à la guerre entre le gouvernement
rwandais et le FPR.
En outre dans les procès qui se sont déroulés au TPIR, il n’a pas été produit un seul
rapport fiable sur le nombre et l’identité exacte de victimes de la tragédie rwandaise,
ainsi que les circonstances exactes de la mort des victimes. De 500.000 victimes,
chiffres qui auraient été avancés par des services secrets étrangers au cas où le FPR
reprenait les combats, à cause des tensions que sa stratégie de déstabilisation avait
créées dans le pays, on est passé à 800.000 et même à plus de un million de victimes.
Il est à penser que ce chiffre ne p eut être de loin inférieur à la réalité plus macabre. Et
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contrairement aux idées reçues, les Hutus sont les plus nombreux.
Cfr émission de France 24 en date du 24 novembre 2008.
7
8
è me
Rose Kabuye se trouvait au CND à Kimihurura depuis l’installation du 3
bataillon APR.
Il y a lieu de prendre l’exemple du mémorial de Gisozi qui abrite 250.000 crânes. Dont on pourrait
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penser qu’il s’agit de Tutsis. Alors que les chiffres du recensement général de la population de la ville
de Kigali en 1994 donne l’effectif total de 235.000 habitants dont seulement 3 9000 habitants sont
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Si vous avez les preuves sur la planification du génocide des Tutsis que le procureu r
du TPIR n’a pas encore trouvées, vous rendriez un grand service à l’humanité entière,
en les lui donnant, parce que jusqu’ici il ne les a pas montrées. En tous la commande
de deux millions de machettes relèverait plus de l’affabulation que de la réalité, parce
que cette preuve –là n’a pas été montrée.
Quant au voyage que vous avez effectué au Rwanda, il est étonnant de voir que vous
parliez des enfants de 12 à 13 ans que vous avez vus avec des machettes ; cela pour
confirmer que la commande de machettes avait eu lieu. Vous voudrez considérer que
le court séjour que vous avez passé à Kigali vous étiez chaque fois escorté par la
MINUAR dans un véhicule blindé, parce que la ville de Kigali était bombardée nuit et
jour par l’artillerie du FPR qui, au mois de mais avait presque conquis toute la ville.
Nulle part vous n’êtes descendu pour visiter les places ou les différents endroits de la
ville, excepté votre visite dans les installations hébergeant les réfugiés, notamment le
stade Amahoro, en zone FPR.
Certes vous êtes allés voir le gouvernement intérimaire dans son refuge à Gitarama.
Mais vous vous souvenez qu’au retour, alors que la MINUAR vous a placé dans un
véhicule blindé à partir de Giticyinyoni, à cause des combats intenses qui se
déroulaient dans la ville, le convoi a néanmoins essuyé d es tirs d’une mitrailleuse en
flanc de la colline Jari, peu avant les feux rouges de la Nyabugogo. Vous vous
souvenez qu’au retentissement des tirs, le convoi s’est arrêté et vous avez fait un
mouvement dangereux en sortant du blindé pour vous coucher dans une rigole. Mais
chose étonnante, vous avez déclaré le soir sur les ondes internationales que vous aviez
fait objet de tirs de la part des FAR. Peut-être craigniez-vous de dire que c’était le
FPR qui venait de tirer sur votre convoi ! Le FPR le faisait d’ailleurs souvent contre
des convois escortés par la MINUAR !
En clair vous n’avez peut-être voulu rendre compte des réalités macabres de cette
guerre qui est de la responsabilité totale du FPR. Vous vous souvenez que c’est alors
que vous avez fait un rapport indiquant qu’il se déroulait un génocide des Tutsis, alors
que dans le même temps tous les efforts tentés pour faire cesser les combats étaient
boycottés par le FPR qui tirait même sur des convois humanitaires lors des opérations
d’échanges de réfugiés entre la zone gouvernementale et la zone FPR..
Monsieur le Ministre,
Je suis de ceux sont conscients que la France doit faire ce qui est possible pour
défendre ses intérêts. Mais il faut penser que la France peut dans la mesure du
possible concilier ses intérêts av ec son devoir moral de contribuer au rétablissement
de la vérité sur le drame rwandais. Ce ne sont pas les responsables fran çais qui
ignorent en effet, les non dits, les contrevérités et les mensonges qui ont été
fabriqués et entretenus sur la tragédie rwand aise. Mieux que n’importe qui, les
autorités françaises savent combien le Gouvernement fran çais a déployé d’ énormes
efforts pour empêcher que la catastrophe ne s’abatte sur le Rwanda, depuis 1990,
mais elle n’a pas été entendue d’autres pays membres du Conseil de Sécurité de
l’ONU, comme en témoignent de nombreux documents des Nations Unies. Nous ne
pensons donc pas qu’il soit de l’intérêt de la France de cautionner le mensonge du
Tutsis. Or non seulement toute la population de la ville de Kigali n’a pas été massacrée pour donner
250.000 crânes, mais encore tous les Tutsis de la ville de Kigali n’ont pas tués, puisque dans les sites
et dans les opérations d’échange sous la houlette de la MINUAR au moins 25000 d’entre eux o nt été
protégés et sauvés. Cela sans compter ceux que le FPR a extraits et co nduits vers ses arrières.
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FPR en accédant à la fausse thèse dont ses lobbies du FPR ont inondé le monde, en
faisant croire que le FPR n’aurait repris les combats en avril juillet 1994 que pour
arrêter le génocide. De nombreuses preuves documentaires montrent que c’est le
FPR qui a attaqué le Rwanda depuis 1990 à partir de l’Uganda, qu’il a violé tous les
accords de cessez-le-feu et l’acco rd de paix d’Arusha, en assassinant le Président
Habyarimana et en reprenant les combats dans la nuit du 6 au 7 avril 1994.
Devons - nous penser que votre intervention est destinée à banaliser le r ôle du FPR
dans l’attentat contre l’avion présidentiel, pour empêcher la découv erte d e la vérité
par la Justice française, à un moment crucial où d’aucuns s’attend raient plutôt à une
plus grande transparence qui dégagerait la France du bourbier rwandais, et permettrait
au peuple rwandais de se réconcilier. La France n’étant pas impliquée dans l’attentat
contre l’avion présidentiel, la justice française n’a aucun obstacle à établir la vérité sur
cet attentat.
Il faut penser que la France n’aurait au cun intérêt à dégager le régime FPR de ses
responsables dans l’attentat qui a déclenché une tragédie humaine dont des millions
de Rwandais gardent la mémoire. La seule manière d’aider les Rwandais à se
réconcilier avec eux –mêmes et avec la Communauté internationale, est de faire
éclater la vérité sur le drame rwandais qu e les Rwandais ont subi et qui les a terrassés
pour très longtemps encore.
Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Ministre les assurances de ma très haute
considération.
K.D
Civil War
For the next three years, Museveni allowed his former troops to move freely across the Rwanda-Uganda border as the RPF terrorized and dispossessed hundreds of thousands of Hutu peasants in northern Rwanda of the most fertile land in the country. Robin Philpot, who has written a damning exposé on the Western role played in the Rwandan civil war, has written that within “two and a half years after the invasion, only 1800 people lived in an area of northern Rwanda that previously had a population of 800,000.”
In a testimony submitted to the International Criminal Tribunal for Rwanda, one source recites that
from 1989 onwards, America supported joint RPF-Ugandan attacks upon Rwanda... There were at least 56 'situation reports' in (US) State Department files in 1991… As American and British relations with Uganda and the RPF strengthened, so hostilities between Uganda and Rwanda escalated… By August 1990 the RPF had begun preparing an invasion with the full knowledge and approval of British intelligence.
In response to the October 1990 invasion, the Rwandan government had some 8000 suspected collaborators arrested, holding them for periods ranging from a few days to a few months. And without taking into consideration the state of emergency which gave rise to these arrests, human rights organizations like Human Rights Watch, as Philpot reports, ignorantly claimed that “the arrests provided verifiable proof of serious human rights violations...proof of the genocidal intentions of the Rwandan Government leaders”.
Aside from the attacks being lodged by NGOs, Habyarimana was facing a host of other destabilizing forces from without. The ‘international community’ was pressuring Habyarimana to hold multiparty elections (while under occupation); and the IMF was imposing a Structural Adjustment Program that ended up leading to a harsh devaluation of the Rwandan Franc.
In the same period in neighbouring Burundi, the first democratically elected Hutu president Melchior Ndadaye was assassinated by Tutsi officers in the Burundian army shortly after taking office. As a consequence, 375,000 Hutu refugees fled from Burundi to Rwanda to add to the one million Hutus internally displaced by the RPF.
The precipitating cause for what came to be known as the Rwandan genocide came on April 6, 1994 when the plane carrying President Habyarimana and the president of Burundi Cyprien Ntaryamira was shot down with a shoulder rocket. But this is not how the world would come to know this event: not as an assassination of two heads of state deeming a global outcry and an appropriate response by the United Nations, but rather a ‘plane crash’, brought down by unknown perpetrators, likely ‘Hutu extremists’ looking for a pretext to execute their genocidal plot. But no evidence has ever been brought against any Hutu extremists for this crime. In fact, all evidence that has been gathered on the case points to the RPF and Paul Kagame.
The Consequences of the Rwandan Civil War:
Holocaust and Plunder in the Congo
In the wake of the events of 1994 in Rwanda, with the coming to power of the RPF, some 1,300,000 Rwandan refugees fled to the Democratic Republic of Congo (at that time, still Mobuto’s Zaïre). Upon the justification that Hutu génocidaires who had fled to the eastern region of Zaïre needed to be eliminated, Rwanda and Uganda invaded and occupied the eastern regions of Zaïre. In an oral report provided by investigative journalist Wayne Madsen to the U.S. congress, he claims that U.S. intelligence and satellite imagery aided Rwanda and Uganda in carrying out their genocidal assaults in the refugee camps where hundreds of thousands of Hutus were living. Meanwhile, the U.S., Rwanda, and Uganda were all supporting Laurent Kabila and his paramilitary squad, the Alliance of Democratic Forces for the Liberation of Congo-Zaire (AFDL-CZ) against the Mobutu government.
America's early support for Laurent Kabila, which was aided by U.S. allies in Rwanda and Uganda, had less to do with getting rid of the Mobutu regime than it did in opening up Congo's vast mineral riches to North American based mining companies.
Yet, despite how damning the report is of the Anglo-American puppets in the region, the report barely scratches at the surface of the role played by Western imperialism in fomenting the conflicts in the DRC. The report reads as if the only parties to whom economic benefits of the conflict in the DRC accrued were the Rwandan and Ugandan economies, thus casting the conflict as merely another born-in-Africa affair to which Western parties and corporations have unwittingly been pulled into. (The most recent depiction of this myth I can think of is in the film Blood Diamond, which puts forward the idea that it is the West who is victim, the beguiled victim of the illicit market of ‘blood diamonds’).
• “The Panel also has indications of the direct and indirect involvement of some staff of the embassies and cooperation of agencies of developed countries. They have facilitated the purchase of illegal minerals”
• “The rush to profit of some foreign companies that were ready to do business regardless of elements of unlawfulness and irregularities”
• “The political legitimization provided by some developed countries.”
The most telling statement made by the report on the same page was how “the main bilateral donors to Rwanda and Uganda have been the U.K., Denmark, Germany, and the U.S.” and how such bilateral aid has helped free up the recipient countries to spend more on their militaries while foreign aid took care of the social needs of the population. (I wonder what all those yuppie-do-gooder NGO workers administering humanitarian aid – feeding children, building schools – would say if one were to tell them that they were actually just freeing up the resources of the host government to carry out a genocidal conflict in the next country?) The report asks the critical question “while such [humanitarian] support is legitimate…Were these savings used to finance this war?”
Show Trials Intended to Rewrite History
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Il ne suffit pas de dire maintenant: “j’ai tout inventé” après avoir affirmé le contraire des années durant, et maintenant, c’est à dire au moment de l’arrestation de Rose Kabuye...Je n’ai pas grand chose à dire de plus. Sauf une chose: c’est bien lui qui a écrit son livre (de même que c’était lui qui a signé chez les juges et répondu au TPIR, ou qui écrivait en kinyarwanda son communiqué accusateur du 23 mars 2003). Or, des journalistes et des membres de certaines associations ont fait courir la rumeur qu’il n’était pas l’auteur de son livre, mais les universitaires qui l’ont préfacé et postfacé.
Du 23 au 26 avril 2005, André Guichaoua et moi-même nous rencontrons Ruzibiza à Oslo et avons une longue discussion de travail qui est enregistrée. Cet enregistrement a servi pour l’introduction, notamment en ce qui concernait les méthodes de travail de Ruzibiza et sa biographie.En septembre 2005, la mise au point du livre est achevée. Le livre sort en octobre, à Paris, chez l’éditeur Panama.
Filip Reyntjens, in «La Guerre des Grands Lacs, Alliances mondiales et conflits extraterritoriaux en Afrique Centrale ».
La solution est-elle pour demain?
Le conflit actuel en RDC est une tragédie humanitaire qui se déroule sous les yeux et le silence des ONG, des représentants des grandes puissances, de l’ONU ( la MONUC), de l’Union Africaine et dans l’impuissance totale du gouvernement congolais.
Le gouvernement congolais face à la guerre actuelle imposée à son pays
Le plus regrettable est de constater que le gouvernement congolais prend des décisions mitigées au lieu des décisions claires qui positionnent le peuple congolais dans leurs droits internationaux. Récemment, des Congolais et plusieurs africains ont appris par des médias occidentaux que le nouveau Ministre des affaires étrangères a invité les services de renseignement militaries rwandais de venir en RDC pour des enquêtes autour de la probable collaboration entre l’armée congolaise et les FDLR. Pourtant le gouvernement congolais avait déclaré à l’ONU que l'armée du CNDP de Nkunda Laurent est appuyée par le Rwanda. Les témoins oculaires tels que des ONG, la MONUC et la population locale ont confirmé dans les médias internationaux, la présence de l’armée rwandaise à coté des rebelles tutsi de Laurent Nkunda.
Si cette invitation est mise en application, l’ envahisseur sera autorisé officiellement à examiner la défense congolaise et ses positions, ce qui lui permettra de conquérir le Congo plus facilement.
Les décisions que les Congolais et les Africains attendent de la part du gouvernement congolais sont :
1) Demander l’embargo sur des armes à l’encontre des pays impliqués au conflit à savoir le Rwanda et l’Ouganda.
2) Dresser une liste des entreprises qui pillent la richesse du Congo en faisant souffrir la population congolaise et porter plainte contre eux au nom du peuple congolais.
3) Etablir la responsabilité de ceux qui sont derrière le CNDP et le Rwanda en générale en vue de sanctionner leur implication dans la guerre infligée au Congo.
4) Traduire en justice internationale tous les chefs de guerre et tous les criminels impliqués dans la déstabilisation du Congo .
5) Prendre des mesures appropriées à l’égard des différentes groupes politico-militaires impliquées dans la déstabilisation du Congo .
6) Demander une aide militaire .pour aider le gouvernement congolais à constituer une force efficace capable de protéger sa population et l'intégrité territoriale de leur pays contre les agresseurs
7) Demander à l'ONU de prendre les mesures efficaces qui encourageraient le retour des réfugiés rwandais dans leur pays d’origine en garantissant leur protection et le respect de leurs droits
8) Accroitre l’aide humanitaire et son accès à la population par toutes les mesures adéquates..
La MONUC et des grandes puissances
Une cruauté d’une exceptionnelle virulence ne peut être imposée à un peuple que par un étranger. Ce qui l'explique dans des invasions dirigées par des étrangers dont Nkunda , Ruberwa, Bizima et autres soutenus par les tutsi des grands lacs. Ces agressions d'un pays où la population ne demande qu'à vivre en paix sont intolérables.
La population de l’Est du Congo constate que la MONUC est du côté des agresseurs, d’où son inaction (voir la manifestation de la population civile contre la MONUC à l’Est du Congo).
La MONUC créée en 1999 est-elle réellement au Congo pour la paix ou elle est la MINUAR (Mission des Nations Unies au Rwanda jusqu’ en 1994) déménagée au Congo pour mettre au pouvoir une minorité tutsi au détriment des autochtones congolais ?
En effet, la population rwandaise avait fait le même constant quant à la partialité de cette mission avant 1994 et s’en plaignait. Les résultats de la MINUAR et leurs conséquences on les connait, on les voit aujourd’hui au Rwanda aussi.
La MONUC composée de 17.000 hommes ne parvient pas à neutraliser des rebelles de CNDP composés 3 500 hommes. Aucun africain ne croira jamais le prétexte de cette impuissance de la MONUC et des grandes puissances face au conflit au Congo. Toute la population pose la même question "pourquoi cette mission"? Ce conflit a donc révélé progressivement la complicité et les enjeux géopolitiques et économiques de ceux qui font souffrir le peuple congolais et les autres peuples d'Afrique.
Il est temps que les Responsables politiques africains s’interrogent si réellement certaines grandes puissances occidentales veulent aider le continent africain à démarrer son développement durable. Surement pas celles qui coopèrent avec des groupes rebelles pour piller les richesses du continent en déstabilisant les régimes élus démocratiquement.
Il est évident que les ressources minières de la RDC alimentent la convoitise de certaines puissances étrangères qui restent indifférentes à la souffrance du peuple congolais. Ces richesses naturelles qui devraient aider ce peuple à se développer deviennent la source de leur malheur.
Il est temps que ceux qui sont impliqués au conflit prennent leur responsabilité pour trouver la solution à cette guerre qui s’éternise et qui fait sombrer la population dans la tragédie.
Le gouvernement congolais doit être le premier à donner des directives à suivre et qui expriment d’abord le désir du peuple congolais et qui garantissent ensuite la paix et l’unité territoriale, et la cohabitation harmonieuse avec ses voisins.
Le Comité pour le soutien
des intérêts de la société civile
dans la région des grands lacs
Bruxelles, le 24 novembre 2008.
Breaking News
Mesdames,
Messieurs,
Le problème ne fait que s'aggraver ou plutôt commencer. Je viens d'apprendre que :
- M. Joshua Ruzibiza devra être poursuivi par la Norvège, son pays d'accueil pour mensonge sur sa demande d'asile.
- M. Joshua Ruzibiza doit être poursuivi par le TPIR pour déposition mensongère et
- pour avoir fait parti du célèbre commando criminel du FPR et devra donc être poursuivi pour avoir commis pendant la période du 1 Janvier et le 31 Décembre 1994 des crimes de guerre, de terrorisme, crimes contre l'humanité et crimes de génocide...
- Enfin, Le cas de Rose Kabuye devra être analysé par les instances habilitées et s'il tombe dans les crimes qui ont été commis pendant la période du 1 Janvier et le 31 Décembre 1994, alors Mme Rose Kabuye devra être remise au TPIR pour être poursuivie des crimes de guerre, crimes contre l'humanité et crimes de génocide. Les avocats de la défense et ou le procureur près le TPIR ont le droit de demander son extradition pour Arusha en Tanzanie.
La Vérité, Toujours Tétue
Jean-Christophe, Libre Penseur
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sa soi-disant rétraction commence à lui faire peur à en déduire après une série de questions-clé lui posées par le Journaliste-enquêteur Pierre Pean juste après la mise en libérté de la terroriste rwandaise et criminelle Rose Kabuye. C'est sur base de la rétraction de Ruzibiza, sur conseil de Kouchner qui veur voir les relations franco-rwandaises se normaliser tant pis pour les victimes françaises que le procureur a remis cette officier militaire rwandais Rose Kabuye en Liberté.
Quelle cynisme! Quelle humiliation! Les femmes des pilotes français se retrouvent privés des droits à la citoyenneté française. Qui a décidé de leur sort? Kouchner devra un jour payer pour les actes criminels commis contre la France et le peuple français.
Rwanda: Rose Kabuye remise mercredi aux autorrités françaises
17.11.2008 18:03
La responsable du protocole du président rwandais, Rose Kabuye, arrêtée le 9 novembre dernier en Allemagne en vertu d'un mandat d'arrêt international émis par la justice française, sera transférée en France mercredi, a indiqué le parquet général de Francfort lundi.
Des policiers français vont aller chercher Rose Kabuye, actuellement détenue dans une maison d'arrêt pour femmes allemande, à Francfort, a-t-on précisé de même source.
Le jugement de cet assassin peut décourager les bouchers du FPR de continuer les massacres
L'arrestation de Rose Kabuye, à son arrivée en Allemagne pour préparer une visite privée du président rwandais Paul Kagame, a mis à mal les relations diplomatiques entre les deux pays qui ont expulsé leurs ambassadeurs respectifs.
Rose Kabuye "est sous écrou extraditionnel. En règle générale quand l'intéressé est d'accord pour être extradé, l'extradition peut avoir lieu sous 10 à 14 jours", a déclaré à l'AFP la procureure Hildegard Becker-Toussaint, chef du parquet de la Cour d'appel de Francfort (ouest), compétente pour les affaires d'extradition.
Elle a également accentué la mésentente existante entre la France et le Rwanda depuis le lancement des mandats d'arrêts internationaux contre neuf proches du président Kagame par le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière dans l'enquête sur l'attentat contre l'avion de l'ancien président rwandais Juvénal Habyarimana en avril 1994, considéré comme le point de départ du génocide au Rwanda.
La responsable rwandaise du protocole d'Etat, âgée de 47 ans, est recherchée par la justice française dans le cadre de cette enquête désormais menée par le juge Marc Trévidic. Mme Kabuye a combattu dans les rangs de la rébellion du FPR (Front patriotique rwandais) de Paul Kagame, qui a pris le pouvoir à Kigali en 1994. Plus de 3 miilions de Rwandais, 500.000 tutsis selon l'ONU sont morts et 3.500.000 Hutussont morts en 1990, 1992. 1993,1994, 1995 massacres de Kibeho sous l'égide de l'ONU plus les mega massacres du FPR contre les réfugié Hutus. Tous les Hutus sont souvent assimilés aux miliciens interahamwe, ce qui explique les massacres odieux de 1996, 1997 et en 1998 en présence de l'ONU
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Pourquoi se constituer partie civile dans le procès Kagame par l'entremise de Rose Kabuye son amant?
Vous devez vous constituer partie civile pour demander à figurer comme partie à ce procès pénal où vous avez été victime pour plusieurs raisons. Cela vous permettra d'obtenir réparation du préjudice subi ou la restitution d'objets perdus suite aux crimes occasionnés par la planification du génocide rwandais. Vous êtes associé à l'information: déroulement de l'instruction, progression de l'information du juge, exercice des possibilités de recours.
Vous devez le faire au plus tard avant que le procureur ne prenne la parole pour faire connaître son point de vue.
Pour toute information, adressez-vous: - au service d'accueil et de renseignement d'un tribunal, - au service de consultation gratuite des avocats (renseignez-vous auprès de la mairie, du tribunal d'instance ou de grande instance), - à un avocat.
------------------------------------------------------
Adresse
Mesdames,
Messieurs,
Plus d'un se pose la question ou les raisons qui poussent cette femme officer de l'armée patriotique rwandaise pourtant connue pour ses actes criminels, à se rendre le plus vite possible à Paris pour répondre ou prover son innocence devant la justice française.
Pourquoi effectivement, notre dame, héro aux yeux des 40 criminels aussi recherchés par la justice espagnole et française, si elle n'est pas dépêché par son amant Paul Kagame, en hâte pour aller à Paris? Pourquoi force-t-elle l'extradition vers Paris? Pour comprendre, il faut voir et comprendre le scénario suivant:
Une recherchée par un mandat d'arrêt internationale offre ses bons offices pour se faire arrêté malgré les avertissements des agents et de l'interpole allemands.
Paul Kagame invite les journalistes pour en faire écho et injurier les services de l'interpole allemand. Il n'hésite pas à humilier l'administration allemande les traitant d'idiots, de gens qui font ce qu'ils ne savent pas.
Paul Kagame téléphone à ses lieutenants qui dirigent la branche du FPR IBUKA dont les membres sont du FPR, milices, polices, RDF, à obliger les Rwandais Hutus à manifester (sachant bien que les leurs ont été massacrés par les mêmes recherchés par Paris) contre l'arrestation de Rose Kabuye, une criminelle de guerre et une menteuse invétérée.
Ce n'est pas tout: l'arrogant Paul Kagame, sachant bien qu'il n'a rien à perdre, parce que Tony Blair reste à ses côtés, et d'autres que je veux pas citer les noms pour des raisons d'enquête, ordonne la fermeture de l'ambassade allemand à Kigali, sachant pertinemment bien que l'Allemagne se place au premier plan pour l'aide au Rwanda. L'ambassadeur allemand aura reçu 48 heures pour avoir quitté le Rwanda.
Des avocats de notre chère criminelle, déclarent qu'elle veut le plus vite possible aller à Paris pour répondre de ses accusations.
Dans l'entretemps, BBC, Colette Brachmann et d'autres média au service de Paul Kagame commencent font leur travail de plus bel: Faire écho du désistement ou de la rétractation de Ruzibiza qui aujourd'hui est devenu malgré lui, le vrai perroquet pour avoir mémorisé ce qu'il doit dire aux journalistes qui savent ce qu'ils doivent faire, publier, choisir ce qu'il faut que les gens, le public entende!
It doesn't depend on you whether or not I exist. If you don't like me, don't accept my invitation and don't invite me to come and see you. Whether you like it or not, history is on my side, I will bury you.
Jean-Christophe, Utrecht, April 3rd, 2004.
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