Rwanda: Cartographie des crimes
Let us remember Our People
You can't stop thinking
Welcome to Home Truths
Everybody Hurts
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
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http://www.dailymotion.com/video/x55yvb_massacres-a-kibeho-22041995_news
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RV au métro Montgomery à partir de 17h15. Le Mémorial du génocide érigé au croisement de trois routes à savoir l’avenue R. Vandendriessche, l’avenue Jules César et la rue Père E. Devroye dans la Commune de Woluwe Saint Pierre (WSP).
Vous tous qui ont survécu et/ou qui ont perdu les vôtres dans les massacres de KIBEHO et/ou en République Démocratique du Congo (RDC), nous vous invitons au Mémorial ce mercredi 22/04/2009 entre 17h30 et 18h30 pour commémorer plus de 8000 déplacés de guerre massacrés par l’APR le 22/04/1995 à KIBEHO (Gikongoro, au Sud du Rwanda) et plus de 30.000 réfugiés rwandais massacrés par l’APR le 22/04/1997 sur le chemin de fer de KASESE en République Démocratique du Congo (RDC) ainsi que tous les réfugiés massacrés depuis Bukavu et Goma jusqu’à Mbandaka de 1996 à 1998.
Pour ceux qui auraient perdu le souvenir de ces crimes de génocide, voici les témoignages sur ces massacres de Kibeho et de KASESE en RDC, les victimes qui ont été massacrées dans les seules journées du 22/04/1995 (à Kibeho) et du 22/04/1997 (en RDC) l’ont été comme suit :
1) Le début de l’holocauste sur le chemin de fer de KASESE (22/04/1997 vers 14h) :
Voici un témoignage du rescapé Niwese Maurice dans son livre : « Le peuple rwandais, un pied dans la tombe, récit d’un réfugié étudiant » et édité dans la Collection « Mémoires Africaines » chez l’Harmattan en 2001 ; pages 159 à 162.
« Devant nous s’installèrent ces militaires qui nous conduisaient avec leurs mitrailleuses et les caisses d’obus. Ils tournèrent les canons sur nous. Ils étaient tellement nombreux qu’il y en avait partout. Sans pitié, ils ouvrirent le feu.
Les gens moururent par centaines. Le sang coula partout, se mêla au repas qu’on préparait et tout devint rouge. Je restais cloué par terre et attendais de recevoir une balle dans la tête. A côté de moi, parent, ami, voisin tombait. D’un coup, les gens blessés ou non, commencèrent à fuir vers l’intérieur de la forêt. Je suivis le mouvement et me lançait dans la forêt. Pas de chance là-bas non plus. Ayant tout prévu, les militaires y étaient. On échappait par hasard, sinon la mort était partout.
Les militaires mettaient les canons des fusils dans leurs sexes pour déclencher le feu. Ce témoignage fut confirmé par les cadavres des femmes que nous avons découverts par la suite. Après le troisième jour, des camions commencèrent à transporter des citernes de carburant. On brûla les corps étendus le long du chemin de fer. Cette opération a précédé l’arrivée des humanitaires”.
2) Pour les massacres de KIBEHO, laissons la parole à Mme Claudine VIDAL (sociologue française qui a revisiter archives et rapports de Médecins Sans Frontières (MSF) à Paris :
« Au Rwanda, dans le camp de Kibeho, le 22 avril 1995, des soldats de l'Armée patriotique rwandaise (Apr) encerclent quelques 100 000 personnes, regroupées dans un espace restreint. Utilisant armes automatiques, lance-roquettes et grenades, les militaires tirent longuement à plusieurs reprises sur la foule.
Ce massacre, qui fit sans doute autant de morts que les attentats d'Al-Qaida du 11 septembre 2001, eut sur le coup un grand retentissement dans la presse internationale. Cependant, perpétré moins d'une année après le génocide des Rwandais tutsis abandonnés à leur sort par le Conseil de Sécurité de l'Onu, il ne suscita pas de réaction significative de la communauté internationale. Massacre parmi d'autres, dans cette région qui connut et allait encore connaître de nombreux bains de sang, il s'oublia ». (…).
Samedi 22 avril (1995)
Le matin, l'équipe Msf, renforcée par d'autres volontaires de cette organisation travaillant au Rwanda, est prévenue par radio, depuis l'hôpital de Kibeho, qu'il y a eu des tirs de l'Apr (Armée Patriotique Rwandaise) toute la nuit. Leur convoi se rend au camp, est longuement retardé par des barrages, puis, sur la fin de la matinée, atteint l'hôpital, escorté par des Casques bleus.
Plusieurs heures durant, les témoins de Msf seront sur le site de Kibeho qu'ils évacueront avant la nuit (entre 17/18 heures). Impuissants, ils assisteront aux tueries depuis trois endroits : l'hôpital, le camp I (caserne des Zambiens) et le camp II (caserne des Australiens) de la Minuar. Voici un bref résumé de leurs témoignages.
Une pluie diluvienne se met à tomber. Ils commencent à donner des soins aux blessés lorsque, vers 12 heures15, ils entendent des tirs, de plus en plus intenses dans la cour de l'hôpital. Ce sont des soldats de l'Apr qui tirent depuis l'hôpital sur les déplacés. Les volontaires restent bloqués là, à plat ventre, près d'une heure jusqu'à ce que des Casques bleus les évacuent dans la caserne du bataillon zambien de la Minuar. Une partie de l'équipe tente de soigner les blessés transportés par les Casques bleus dans cette caserne. Une autre partie décide de se rendre dans la deuxième caserne de la Minuar, celle des Australiens.
Obligés de finir le trajet à pied, car la route est recouverte de corps empilés sur toute sa largeur, ils marchent sur les cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants. Durant le temps qu'ils vont passer dans cet endroit, ils entendent successivement des tirs sporadiques, des rafales courtes, enfin une fusillade intense et continue.
Selon les témoignages de ceux qui sont restés dans la première caserne, les tirs reprennent vers 14 heures 30 et continuent plusieurs heures. Des soldats rwandais, montés sur le mur de ce bâtiment, tirent de là sur la foule, indifférents à la présence des Casques bleus et des gens de Msf. Les Casques bleus (qui ont reçu de leur commandement à Kigali l'ordre de ne pas utiliser leurs armes) disent que l'Apr utilise des mini lance-roquettes (RPG), des grenades et des kalachnikovs.
Les secouristes Msf essaient à plusieurs reprises de sortir avec une escorte de militaires zambiens mais, à chaque fois, ils doivent rebrousser chemin à cause des tirs. " Avant cette longue série de tirs, il y avait encore des centaines de personnes qui étaient rassemblées sur la route de Butare, prêtes à partir.
Quand les tirs ont cessé et qu'on a pu sortir, il n'y avait plus personne debout, tous fauchés. " En fin d'après-midi, les Australiens évacuent les volontaires de leur caserne et récupèrent ceux qui étaient restés bloqués dans la caserne zambienne. Autour du camp de la Minuar, le sol est recouvert de morts et de blessés, de nombreux cadavres sont visibles plus loin sur la colline » (…).
3) Pour le massacre des élèves du Groupe Scolaire de MURAMBA dans la nuit du 27 au 28/04/1997, j’ai annexé le communiqué n°12/1997 daté du 20/05/1997 du CLIIR dans les documents décrivant les massacres que nous allons commémorer au Mémorial le mercredi 22/04/2009.
Voici comment les faits se seraient déroulés d’après certaines autorités rwandaises:
Une bande de personnes armées de fusils s’est introduite dans l’Ecole secondaire d’Economie et de Commerce sise à TETERO après avoir fait une brèche dans la clôture près des dortoirs des élèves. Cette bande se serait divisée en trois (3) groupes:
Le premier groupe aurait attaqué la position militaire tenu par un détachement de l’APR chargé de la sécurité de l’Ecole. Le second groupe a attaqué et tué directement les élèves au dortoir de l’Ecole Normale Primaire sise à RABA (la colline de Raba est située à 800 mètres environ en face de l’Ecole des filles de Tetero).
Le troisième groupe a pris et obligé la Soeur Directrice de l’Ecole de TETERO d’aller leur montrer où logeait Mlle Griet BOSMANS, Directrice de l’Ecole voisine (Ecole Normale Primaire de RABA). Cette dernière a été tuée après avoir donné aux tueurs tout l’argent qu’elle avait, tandis que l’autre Directrice a été relâchée et fut retrouvée le lendemain. Jusqu’au 29 avril 1997, cette Directrice qui s’appelle Soeur Marie de l’Annonciation (de la congrégation des soeurs Benebikira) était encore incapable de raconter ce qui s’était passé.
Voici le témoignage du Lt Abdul RUZIBIZA sur le massacre des élèves de Muramba
et sur l’assassinat de la directrice belge Griet BOSMANS par l’APR :
D’après le témoignage du Lieutenant Abdul RUZIBIZA qui raconte à la page 403 de son livre « Rwanda, l’histoire secrète » (Edit. Panama à Paris octobre 2005), l’assassinat de Mlle Griet BOSMANS par l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) est décrit dans ces termes :
« La nuit du 27 au 28 avril 1997, Mme Griet Bosmans, originaire de la Belgique et alors directrice de l’école secondaire de Muramba dans la commune de Satinsyi, a péri avec 17 de ses élèves et 4 autres personnes sous les balles des militaires du 9è bataillon qui avaient été envoyés par le lieutenant John CASSIUS et étaient dirigés par le sergent Camille ZUBA, en compagnie de 15 soldats du peloton spécial qui était affecté à la sous-préfecture de Ngororero.
Il y avait là deux compagnies du 9è bataillon, l’une était dirigée par le capitaine Eugène Rukundo et l’autre par le capitaine Christopher Rwibogora. Entre les deux compagnies, il y avait une distance de deux minutes à pied. Il y avait également une troisième compagnie non loin de là, celle du capitaine Steven Rukara.
Aucun de ces militaires n’a bougé pour secourir la directrice et le groupe qui l’accompagnait. La DMI soupçonnait Griet Bosmans de livrer des informations sur les atrocités de l’APR au ministre de l’Intérieur, Seth SENDASHONGA. En outre, la DMI croyait qu’elle mettait des mouvements d’action catholique au courant de ce qui se passait au Rwanda. C’est pourquoi elle a été tuée ».
4) Quant à l’assassinat du journaliste Appolo Hakizimana, voir CLIIR, communiqué n° 11/1997 du 21/05/1997 intitulé: « Rwanda: Assassinat du journaliste Hakizimana Appolo dans la soirée du 27/04/1997 par un «escadron de la mort » à Kigali.
En voici un petit extrait : « Dimanche, le 27 avril 1997 vers 21h, HAKIZIMANA Appolo, et sa cousine rentraient chez eux à MUMENA, secteur Nyamirambo, commune Nyarugenge, Préfecture de la Ville de Kigali (PVK). Tout près de leur domicile, dans un petit restaurant tenu par une dame connu sous le surnom de “Maman KEZA” sont sortis deux personnes portant de longs manteaux et des chapeaux, accompagnés par cette dame, propriétaire du Restaurant. Ils se dirigeaient en sens inverse, vers le journaliste HAKIZIMANA Appolo et sa cousine.
Mama KEZA a aussitôt rebroussé chemin, tandis que les deux individus “non encore identifiés” se sont retournés pour suivre Appolo et sa cousine qu’ils venaient de croiser. Ils ont arrêté HAKIZIMANA Appolo. L’un d’eux lui a immobilisé les bras, tandis que le second a obstrué sa bouche par la main avant de lui tirer deux balles au niveau de l’oreille ».
Pour la SOCIRWA (Société Civile Rwandaise),
MATATA Joseph, Coordinateur du CLIIR
Contacts : CLIIR : 0476.701.569,
COSAR :0488477363,
SAVE-Rwanda :0487624768
Centre de Lutte contre l'Impunitéet l'Injustice au Rwanda (CLIIR)
Boulevard Léopold II, n°2271080 BRUXELLES
Tél/Fax: 32.81.60.11.13GSM: 32.476.70.15.69
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Concerning Rwanda :
In a stern warning to the Rwandan dictator Paul Kagame: all options are on the table if he refuses to comply with the Rwandan opposition and international demands to blatantly rig the 2010 elections.
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Watch : Victoire competently answering the questions
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The 2010 polls in Rwanda promise to be different from the 2003 ones. No candidate is officially known but there is little doubt about president Paul Kagame running for another term, as the Constitution allows him to do so.
There is also little doubt about opposition leader Victoire Ingabire’s ambitions. For her, things are yet to go through bureaucratic and administrative procedures that might pose serious problems.
She has first to back to the country she left 15 years ago, and where those she fights politically are the masters of the land. Ingabire seems to have started her European campaign. She is going from one conference to another.
From one lecture to another. International media are dedicating long reports on her, which is rather making her popular at least among the Rwandan diaspora and the Westerners.
But these will not take part in the election! She will have to conquer the Rwandan populations inside Rwanda, a country she describes as a land of anguish and repression.
This video report is about the lecture she held on 15 April 2009 at the University of Leiden in the Netherlands. She was invited by the United Nations Students Association to discuss Rwanda’s history and politics, as well as her presidential ambitions.
L'Elysée n'a fait "aucun commentaire".
Mme Segolène Royal, prête à diriger la France en Grand.
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Tel père, telle fille.
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Ce n'est p as par hasard que Mme Ségolène Royal est prête mais encore elle est déterminée à diriger la France en Grand. Tel père telle fille. Vous souvenez-vous de son père le Général Florian Royal?
"Elle lui a assuré que ces propos n'engageaient ni la France, ni les Français" et l'a aussi assuré de "toute sa considération" pour ses "réformes courageuses" et son comportement éthique "modèle", poursuit le communiqué mis en ligne samedi sur le site.
Il souligne que la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes "estime qu'exercer le mandat de président de la République impose un devoir de maîtrise de son langage et de son comportement afin de ne pas porter atteinte aux intérêts de la France".
Ségolène Royal réagissait aux propos attribués par le quotidien "Libération" à Nicolas Sarkozy à l'occasion d'un déjeuner réunissant des parlementaires de toutes tendances mercredi à l'Elysée. Au cours de ce déjeuner, le président aurait déclaré au sujet de José Luis Zapatero: "Il n'est peut-être pas très intelligent".
Joint par l'Associated Press, l'Elysée a de nouveau démenti samedi ces propos, qualifiés d'"allégations de 'Libération'", et n'a fait "aucun commentaire" sur les excuses présentées par Ségolène Royal.
De son côté, le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre a jugé "scandaleuse" l'attitude de "Libération", qui "en colportant une fausse information, contribue à abîmer l'image de notre pays". Quant à Ségolène Royal, il a estimé qu'elle "a vraiment besoin d'une aide psychologique". "Madame Royal, qui a le pardon facile, serait bien inspirée de s'excuser au nom de 'Libération'", déclare également le porte-parole de l'UMP.
"Mme Royal sombre à la fois dans le ridicule et déshonore notre pays. Cette idée de se flageller toutes les semaines sur la scène internationale pour des fautes imaginaires n'a pas de sens", a affirmé pour sa part sur France-2 le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer Yves Jégo.
"Elle vient d'inventer, après la 'bravitude', la 'ridiculitude'", a également déclaré Yves Jégo sur France-Info.
La candidate socialiste à la dernière présidentielle avait déjà déclenché la polémique, lors d'une visite au Sénégal, en demandant "pardon" aux Africains le 6 avril pour le discours de Nicolas Sarkozy prononcé en juillet 2007 à Dakar, lors duquel le président français avait déclaré que "l'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire".
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Mr. Abramowitz:
What a shame!
How could you support the heavyweight criminal the world has ever hosted? How could you dare write “Paul Kagame is one of the world’s most interesting political leaders"? Do you see any difference between Hitler and Paul Kagame? No big difference at all. The only difference, however, may be that Kagame is a recidivist (How long have we heard "Never again" while the perpetrator Pual Kagame doesn't care about IT (BBC World Hard Talk show)? Be advised most of Rwandan survivors know he's the mastermind of the Rwandan genocide, the brain behind the Rwandan genocide STILL president of Rwanda.
Do you remember when I called you about this issue, and you told me you don't know him, that...you've been told that Kagame is a good man, the African and the Rwandan leader, that ... he stopped the gonocide..(by you prefer to ignore he planed..and organized the then genocide himself)? It's said: “Director of the Committee on CONSCIENCE”!
Your behaviour (are you sef-concience about your relationship with Kagame, the Rwandan criminal wanted by French and Spanish Judges?) directly threatens your image and the US Holocaust Memorial Museum's.
Shame on you.
Quite on the contrary, you praise him! How can Americans praise Bin Laden and Jews the Nazi Fuhrer? We are not only disappointed but also very upset. You should not shame the Holocaust survivors. Think about your misdeeds and resign. YOU SHOULD RESIGN.
Those who support the criminal Kagame should be strongly condemned so that they do not repeat it again. Those who shame you by their attempts to legalize Paul Kagame and the RPF criminals’ crimes should be treated as criminals as well. For this we assume what we are saying. Please go through this webblog and you will understand that what you're doings is to be ended asp.
We’ve come to believe that the feeling of being betrayed, being abandoned and shame for it underlies much of the anger and violence among the Rwandan genocide survivors. Either you're doing it because of narcissism; either you've been told to so (as a puppet) accomplishing somebody's wishes.
Shame on you.
We more worried about the Rwandese terrorist and genocidaire sympathizers in Europe and America, and especially when it's about those whose parents and relatives got mass-slaughtered by the German Nazis.
We do think that at one hand praising and worshipping Kagame and his RPF criminal organization and spreading up lies about the 1994 tragic events is now a war crime. We do know RPF criminals helped by Tony Blair and Bill Clinton engage ritual behavior and set-in-stone beliefs as a way to seize “control” of Rwanda.
Did you know Paul Kagame killed more than 8,5 millions of Rwandan and Congolese people? In these circumstances, you are no longer shame based but rather become somebody with healthy, reality based self-esteem and to sum up you happen to be the African Hitler admirer.
Shame on you.
This healing has nothing to do with politics or any actions that any person can take - unless we can offer lots of therapy for the fascist element of those who support the present Rwandan fascism led by the criminal our planet has ever seen.
Instead of pledging extra support to prosecute war criminals and genocidaires you support their impunity.
Shame on you.
Jean-Christophe Nizeyimana
Executive Secretary
ARGR – Intabaza, Refugee survivors Association based in The Netherlands
"Rwanda has a long way to go. Despite the facade of occasional elections, the government essentially runs a one-party state".
Kenneth Roth, executive director
Kenneth Roth
April 11, 2009
During a gruesome three months in 1994, about 800,000 Rwandans were murdered as part of a calculated effort by a group of Hutu extremists to eradicate the country's Tutsi population.
The genocide ended only with the military victory of the Rwandan Patriotic Front, a rebel group founded by Rwandan exiles who ousted the Hutu extremists. The front's austere and savvy commander, Paul Kagame, now serves as Rwanda's president.
In the 15 years since the extremist government was ousted, Rwanda has become an island of stability in a volatile region. The economy is booming, the distinction between Hutu and Tutsi is officially downplayed, and ethnic and political violence has been largely eradicated. Kigali, the capital of a country that likes to portray itself as the Switzerland of Africa, is orderly and manicured.
But Rwanda has a long way to go. *.*Despite the facade of occasional elections, the government essentially runs a one-party state*.* And ironically, it is the genocide that has provided the government with a cover for repression. Under the guise of preventing another genocide, the government displays a marked intolerance of the most basic forms of dissent.
There is no meaningful opposition. The press is cowed. Nongovernmental organizations are under attack. When parliamentary elections held last September produced a whopping 92% victory for Kagame's ruling party, evidence collected by the European Union and Rwandan monitors suggested that the government actually inflated the percentage of opposition votes so as to avoid the appearance of an embarrassing Soviet-style acclamation.
One tool of repression has been the gacaca courts -- informal tribunals run without trained lawyers or judges -- which the government established at the community level to try alleged perpetrators of the genocide. The original impetus was understandable: Rwandan prisons were overpopulated with tens of thousands of alleged genocidaires and no prospect of the country's regular courts trying them within any reasonable time. The gacaca courts provided a quick, if informal, way to resolve these cases. In theory, members of the community would know who had or had not been involved in the genocide, but in reality the lack of involvement by legal professionals has left the proceedings open to manipulation.
Today, 15 years after the genocide, people are still coming forward and accusing their neighbors of complicity in it, suggesting that gacaca has morphed into a forum for settling personal vendettas or silencing dissident voices. The prospect of suddenly being accused of past participation in the genocide, with little legal recourse against concocted charges, is enough to make most people keep their heads down in the political arena.
The government says it will close the gacaca courts in June. But the government has another tool of control -- the crime of "genocide ideology." Formally adopted last year, the law outlawing "genocide ideology" is written so broadly that it can encompass even the most innocuous comments. As many Rwandans have discovered, disagreeing with the government or making unpopular statements can easily be portrayed as genocide ideology, punishable by sentences of 10 to 25 years. That leaves little political space for dissent.
Pressing the government to amend these repressive laws and practices is not easy, as I discovered in recent meetings with senior officials from the prime minister on down. They are understandably sensitive about political invective that can lead to renewed ethnic slaughter, but the public faces the very real danger that any political criticism of the government will be construed as fomenting genocide.
Western governments, guilt-ridden at not having stopped the genocide and impressed by Rwanda's stability and economic growth, have been all too willing to close their eyes to this repressive sleight of hand.
But Kagame's strategy is shortsighted and dangerous. He claims to be building a society in which citizens are only Rwandans, not Tutsi or Hutu, but his repression of civil society means that avenues to forge alternative bonds among people are limited. That makes it more likely that in moments of tension Rwandans will resort to their ethnic identity, as so often happens in repressive societies.
The challenge for world leaders 15 years after Rwanda's genocide is to overcome guilt and look beyond the enforced peace to convince Kagame and his government to build the foundation for more organic, lasting stability.
The best way to prevent another genocide is to insist that Kagame stop manipulating the last one.
Kenneth Roth is executive director of Human Rights Watch.
Volgens Boekestijn heerst er in Rwanda een Tutsi-dictatuur onder leiding van president Paul Kagame. Kagame onderdrukt stelselmatig de Hutu-bevolking.
Na de burgeroorlog in 1994, die bijna een miljoen mensen het leven koste, werd die nieuwe regering geïnstalleerd met behulp van internationale ontwikkelingshulp.
Begrotingssteun
Nederland zette vorig jaar, na aandringen van de Tweede Kamer, de begrotingssteun aan Rwanda stop. Dat gebeurde omdat Rwanda ondanks een embargo, wapens leverde aan buurland Congo, waar een burgeroorlog heerst
De Rwandese president Kagame zei gisteren dat de jaarlijkse begrotingssteun van Nederland van drie miljoen euro, zijn land überhaupt niet had geholpen. 'Mijn boodschap aan de Nederlandse minster is: deze hulp heeft niets geholpen. Niet in Congo, en zeker niet in Rwanda,' aldus Kagame.
Eerste stapBoekestijn vindt het stopzetten van de begrotingssteun aan de Rwandese regering een eerste stap. Hij wil echter dat Nederland de steun die het nog steeds wel geeft, 23 miljoen euro per jaar, niet meer overmaakt aan de regering. 'Daarmee kan Kagame het geld dat hij bespaart inzetten om de Hutu’s te onderdrukken.'
© Door Arne Hankel
10 Avril 2009
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Aujourd'hui, 15 ans après le génocide au Rwanda, la situation pourrait changer de mieux en mieux dans ce pays africain. Est-ce possible que les Rwandais peuvent encore espérer et rêver? 15 ans de dictature, de bains de sang, d'épuration ethnique, de dispartions, de Gacaca, d'assassinats, de contrôle, d'intimidation, de confusion totale, d'impunité et de mauvaise gouvernance de la chose publique, etc.
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“Trop, c'est trop”, nous confiait cette dame de fer, qui nous rappelle Margaret Thatcher.
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Mme Victoire Ingabire Umuhoza et sa famille ont fui dans les années quatre-vingt-dix vers les Pays-Bas et habitent aujourd'hui à Zevenhuizen aux Pays-Bas. De sa maison au mur mitoyen, Mme Victoire Ingabire est sérieusement occupée des préparations pour les élections présidentielles au Rwanda de 2010.
Pour une raison simple d'aider son pays et ses concitoyens à sortir de la situation critique actuelle Mme Victoire Ingabire Umuhoza est déterminée à se présenter aux élections pour devenir la première dame à devenir le 1er président Rwandais élue démocratiquement après les événments tragiques de 1994.
Ceci ne sera pas étonnant d' autant plus qu'un exemple frappant ne nous est pas loin à savoir l'actuel président du Liberia Ellen Johnson-Sirleaf. Espérons aussi que sa prise du pouvoir sera suivie par l'arrestation du plus grand criminel que le monde ait jamais hébergé après Hitler et Paul Pot.
C'est dans ce cadre que les média néerlandais s'interessent à elle et la suivent partout dans ses préparations comme en témoigne EénVandaag dans ses nouvelles Á la Une d'aujourd'hui le 10 avril 2009, Nederland 1.
Après que Mme Victoire Ingabire Umuhoza et son parti le FDU aient pris la décision de secourir les Rwanda tant de l'Intérieur que de l' Extérieur vivant dans une situation de
Cette stratégie consiste souvent à «diviser pour régner » en instrumentalisant l’appartenance ethnique, la capacité de corrompre qui il veut Mme Victoire Ingabire inclue (Voir Umuseso), d' approuver ou de refuser un candidat ou une candidate pour les élections dans toutes les structures du pays.
De nombreux exemples ne sont pas celles qui nous manquent où le FPR ne cache pas son ultra pouvoir à donner ou à reprendre de qui que ce soit dans ce pays où les Rwandais sont pris en otage et dans le souci de montrer qu'aucun parti politique ne peut fonctionner au Rwanda s'il n'est pas inféodé au FPR de Kagame. Nous pensons que les FDU sont prévenus et vont toujours informer les Rwandais sur la réalité des faits.
Ce camouflage de la dictature de Kagame aujourd'hui devenue un autocrate et pas n'importe lequel (sanguinaire et planificateur du génocide) ne manquera pas de vous étonner dans les jours qui viennent au fur et à mesure que les élections approchent toujours avec de nouvelles révélations, de nouvelles mensonges.
15ème commémoration du génocide rwandais: allocution du Ministre De Gucht
WOLUWE-SAINT-PIERRE, 7 AVRIL 2009
Monsieur le Chargé d'Affaires,
Monsieur le Bourgmestre,
Mesdames et Messieurs,
Tout au long de cette semaine, le monde entier fait bloc derrière les Rwandais pour se souvenir avec eux du génocide de 1994. Sachant à quel point cet horrible événement a marqué les Belges, ma collègue Museminali m'avait convié aux cérémonies qui se tiennent aujourd'hui à Nyanza, au Rwanda. Je ne pouvais malheureusement pas m'y rendre et j'ai donc absolument tenu à me joindre à vous tous aujourd'hui, ici à Woluwe-Saint-Pierre.
Nous sommes ici au cœur de l'Europe mais nos pensées sont à six mille kilomètres d'ici, au cœur de l'Afrique, avec tous les Rwandais et tous ceux, rescapés ou familles de victimes, qui commémorent aujourd'hui le 15ième anniversaire du génocide de 1994. Mes pensées vont aussi aux familles de nos soldats tombés lors de cette tragédie sanglante.
15 ans après les faits, en entendant les propos qui sont parfois tenus ici ou là, certains en arrivent parfois à se poser des questions qui mettent mal à l'aise. « Tout cela a-t-il eu lieu ? » « Est-ce vraiment possible que cela se soit passé comme on nous le dit ? » « La vérité n'est-elle pas tout autre ? »C'est justement parce que de telles questions sont posées qu'il convient de se souvenir. Le débat sur les responsabilités des uns et des autres dans le génocide ne sera sans doute jamais tout à fait clos. De nouveaux faits viendront immanquablement alimenter ce débat. Longtemps encore, les échanges de vue seront vifs sur les réparations apportées ou encore à apporter ; et les discussions sur la justice à rendre ou la manière dont elle est rendue auront cours encore pendant des lustres. Ces échanges sont nécessaires, salutaires dirais-je même.
Mais il importe d'éviter qu'en se focalisant sur l'arbre, ils n'en arrivent à cacher la forêt. Et la forêt dont il est ici question, ce sont ces centaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants fauchés en 1994, assassinés par la folie meurtrière des hommes. C'est cette multitude de victimes innocentes massacrées en raison de leur appartenance ethnique ou en raison de leur refus de faire une différence entre Hutu et Tutsi. C'est ce million d'êtres humains qui étaient et qui depuis 1994 ne sont plus. Oublier ces victimes, ou bien pire encore, nier leur disparition, c'est un outrage fait à leur mémoire.
Je sais que tous les Rwandais, qu'ils soient là-bas ou dispersés à travers le monde, ne se reconnaissent pas nécessairement dans les cérémonies du souvenir organisées par les autorités rwandaises au cours de cette semaine. Les raisons en sont multiples et certaines d'entre elles sont tout à fait compréhensibles. Mais dans mon message adressé aujourd'hui en priorité à tous les Rwandais, je veux simplement dire que l'heure n'est pas à la polémique mais seulement au souvenir de tous les morts ; l'heure n'est pas à la division mais bien au ralliement du « plus jamais ça ! »
En effet, il importe de commémorer le passé douloureux pour éviter qu'il se répète et parce qu'un pays qui oublie son histoire risque de bâtir son avenir sur du sable. Au Rwanda plus qu'ailleurs, c'est particulièrement crucial car victimes et bourreaux sont issus du même pays et l'avenir de ce dernier ne pourra être réussi que si les adversaires d'hier, les anciens bourreaux et leurs victimes, acceptent l'idée même de la réconciliation et du dialogue.Ce n'est certes pas facile car il faut pour cela transcender les haines, les rancœurs et les sentiments d'injustice et d'abandon. Pour mener à bien ce difficile exercice, les Rwandais pourront compter sur toute l'aide que la Belgique pourra leur prodiguer.Mais ils devront surtout compter sur eux-mêmes.
La Belgique continuera à soutenir le Rwanda en étant pleinement consciente que ce soutien n'aura de sens que si les Rwandais eux-mêmes parviennent à cicatriser leurs blessures par des solutions consensuelles, courageuses, réalistes et ambitieuses. C'est là une condition sine qua non pour que leur pays renoue définitivement avec le développement et qu'il se reconstruise. C'est aussi un impératif pour que toute la région des Grands Lacs respire et tourne définitivement la page de la violence.
Je vous remercie de votre attention.
The Times
A Rwandan refugee child in 1994. Tonight the genocide will be remembered.
...Presiding over it all will be Paul Kagame, the Rwandan President, self-styled liberator and darling of Western aid donors who rushed billions to the tiny nation in the guilty aftermath of foreign inaction to stop the killing.
But 15 years on, Mr Kagame finds himself cast more as a perpetrator than victim, with the unveiling of Rwanda's role in the plunder and killing in eastern Congo, a war that has claimed the lives of five times as many people as the genocides in Rwanda and Darfur combined. So why are British taxpayers still supporting him?
Since the genocide, Rwanda has relied on foreign aid for half its national budget. Britain is its single largest donor, committed to a disbursement of at least £46 million a year until 2015. The United States is close behind in direct contributions to Rwanda's budget, a form of aid-giving reserved for what the European Union calls a “privileged” few who have proved their transparency and good governance.
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Nobody’s going to help you. It’s all up to you. Make it happen for yourself.
Sadly, Rwanda, our beloved homeland as we know it is a dead country due to the heavyweight criminal Paul Kagame and RPF his criminal organization. Luckily the few of us and children were not on earth that day of 1994. But now we must fight to survive. Go solo or join our fleet of freedom fighters. Doing so will get you to the top. So these children that have decided to join our fleet do'n't fight for the fun of it, they fight to survive.
Every Rwandan must remember them. In order to love our parents and homeland we must survive; in order to survive, we must fight. And we will until the Evil is taken away."what we need now is the will and confidence to transcend a passive attitude about our deteriorating circumstances.
Already, some can see the vulnerability of the Kagame and RPF machine. Cultural pessimism is only a first, if necessary, withdrawal of faith. the current philosophy, born of disappointment from 1990 up to 1994 and frm 1994 to 1998 onwards, must carry us through from critique to vision to resistance.
These hutu children are looking to you for salvation and guidance. They all need help. You can't ignore them because they are crying, because they are hungry or because they're in rags or haven't had a wash.
Know why they joined the RUD -FDLR *-* Stop animalizing and admonishing them. Paul Kagame is an Evil and not a President.
You've go to look at their hearts, not at the way they look, not because they happened to be born Hutus. Any you've got to remember their dignity. They all have that and you've got to let them keep it.
Know why they are crying, they are all orphans but not professional beggars. They were not told by a maternity doctor as children of your own, RPF killed their beloved moms, fathers and relatives. No dream is ever too small, no dream is ever too big. The winds are changing and the world begins to know how evil Kagame is. Survivors urge everyone within the sound of our typing to keep waging the fight against the Kagame bloody and autocratic regime.
Since 1994, the majority of Rwandan survivors are living with Anger and Hopelessness since RPF seized power in Rwanda in 1994. Because of this anger, we must have to take action. There is no way survivors and the rest of the Rwandan population can go for Evil acceptance. Enough is enough. On the contrary, everybody, every single survivor must go for Courage:
How to maintain hope: In these for us darkest moments of this ongoing genocide in Rwanda we look for hope that we will get by, and that we will survive. It requires courage to maintain hope when our fellow citizens inside Rwanda or around you despair. Joining the fleet of fighters, RUD or FDLR means that you believe in yourself and the gifts that have been bestowed upon you. Adopting this belief system allows survivors, children, men, women, daughters and sons to maintain hope, and the necessary courage to face Rwandan Evil Paul Kagame and the RPF government.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Rwanda Survivors are also hugely pleased with the outcome.
Senior judges ruled that there was "a real risk" they would suffer "a flagrant denial of justice".
All four were wanted in connection with the 1994 Rwandan genocide.
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The men deny involvement in the genocide and say they would not receive a fair trial if they were forced to return to Rwanda.
The court ordered the men, who have been held in custody since December 2006, be released.
They are: Dr Vincent Bajinya, from north London; Charles Munyaneza, from Bedford; Celestin Ugirashebuja from Essex; and Emmanuel Nteziryayo, of Manchester.
We conclude that if they were extradited to face trial in the High Court of Rwanda, the appellants would suffer a real risk of a flagrant denial of justice Lord Justice Laws and Lord Justice Sullivan.
The men are accused of killing, or conspiring with or aiding and abetting others, to kill members of the Tutsi ethnic group "with the intent to destroy in whole, or in part, that group".
Mr Munyaneza, Mr Ugirashebuja and Mr Nteziryayo were said to be mayors of local communes who allegedly organised killings in their areas while Dr Bajinya was allegedly a militia organiser in Kigali.
At an extradition hearing in 2007, a court heard allegations that Dr Bajinya, who changed his name to Vincent Brown when he became a British citizen, had been part of the "inner circle" of then Rwandan president Juvenal Habyarimana.
After the president died in a plane crash in 1994 Dr Bajinya - a former member of the Rwandan governing MRND party - was claimed to have attended key "genocide meetings" where plans to murder hundreds of thousands of Tutsis were planned.
The court was told Dr Bajinya then went on to become a leader in the Interahamwe militia, which was to spearhead the slaughter.
Appeal refused
But Lord Justice Laws and Lord Justice Sullivan, sitting at London's High Court, allowed the men's appeals against Home Secretary Jacqui Smith's orders that they be extradited because, they said, there was evidence that defence witnesses in Rwanda were afraid to give evidence in the men's favour.
The judges added: "We conclude that if (the four) were extradited to face trial in the High Court of Rwanda, the appellants would suffer a real risk of a flagrant denial of justice by reason of their likely inability to adduce the evidence of supporting witnesses."
The judges also ruled there was a real risk "of executive (government) interference with the judiciary" in Rwanda.
They refused the Rwandan government, represented by the Crown Prosecution Service, permission to appeal to the House of Lords against their ruling.
The judges' decision is thought to be the first time an English court has ever blocked an extradition request from a foreign government on the grounds that it would violate Article 6 of the European Convention on Human Rights, which safeguards the right to a fair trial.
Lord Justice Laws described it as "an important and anxious case". Lord Gifford QC, who had appeared for Mr Munyaneza, said the case had revealed "an emerging international consensus that there is no fair trial in Rwanda".
An estimated 3,500,000 Rwandans were murdered in as in Rwanda and in the Congo as well.
Frank Brazell, a solicitor representing Vincent Brown aka Dr Bajinya, welcomed the judges' ruling, saying: "We are hugely pleased with the result..
"The central issue they have found is that there is clearly no prospect of these men having a fair trial in Rwanda. "The primary reason is the likelihood of political interference affecting the approach taken by the judges of Rwanda to a case of this kind.
"Obviously this is linked to interference with witnesses and the inability to call defence witnesses because of government or judicial interference. "
He said Mr Brown, a British national and qualified doctor who had worked for a charity training nurses, would soon be released from custody.
He has been held since 28 December 2006. Asked if Mr Brown would now seek compensation, Mr Brazell said the issue would be discussed in due course.
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NDLR. POUR COMPRENDRE: Ce témoignage n'est qu'un ajout à tout ce que le monde connaissait. Pour avoir réussi à planiffier le génocide rwandais, Paul Kagame reçoit un cadeau: l'immunité présidentiel - diriger le Rwanda pour ne pas être rattrapé par la justice. Pour leur sécurité, Ses co-auteurs étrangers reçoivent l'immunité du travail aux Nations-Unies tels que, Roméo Dallaire, Kofi Annan, Sadako Ogata, Louise Arbour, etc.
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Les autres criminels sont accueillis à Kigali comme des Héros. Sadako Ogata reçoit une médaille en guise de remerciement pour le génocide en RDC contre les réfugiés hutus. Bill Clinton est un héro à Kigali malgré le discours officiel en contreverse qu'il n'a pas intervenu au Rwanda et a refusé que les Nations Unies interviennent. Roméo Dallaire est un héro et arrive à tourner un film au Rwanda (une mise en scène) apprécié par le le plus grand criminel du monde, Paul Kagame. Et pour mieux embellir le costume et blanchir le Nazi rwandais, Tony Blair devient le confident No 1 du dictateur sanguinaire!
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C´est-à-dire du 7 avril 1994, jour qui avait suivi les assassinats avec une entreprise terroriste du président Juvérnal Habyarhimana et de son homologue burundais Cyprien Ntaryamira, au 18 juillet 1994, officiellement retenu comme le jour de la fin de cette horrible hécatombe.
Même s´il est vrai - c´est le cas de le dire - qu`après cette date, d´innombrables témoignages concordants, venant même du côté des convertis tutsis ayant été co-acteurs de ces massacres soutiennent que, les nouveaux maîtres des lieux du Front patriotique rwandais à dominante tutsie, après avoir chassé du pouvoir le parti unique de l´époque et ses milices Interhamwes qui trouvèrent refuge à l´est du Congo - aujourd´hui transformé eux tous, en zone de non-droit et en immense mouroir -, continuèrent d´en perpétrer d´autres contre les populations civiles hutues - charniers et fosses communes - qu´ils ont par suite mis sur le dos des convaincus.
Quinze ans après l´acte terroriste du FPR et son corollaire, dont les conséquences ont endeuillé des millions des Rwandais, et continuent d´être ressenties dans la région entière des Grands Lacs, en particulier au Congo qui, lui aussi en 13 ans, deplore déjà six millions de ses filles et fils, sans qu´il n´est soit pour autant au bout de ses peines.
Cependant, une question vient à l´esprit par rapport à la journée d´aujourd´hui au Rwanda: doit-on à travers des cérémonies hypocrites qui cachent mal la responsabilité des vrais initiateurs et auteurs de cette tragédie, continuer à entretenir le mensonge et à faire le culte de la haine?
L´Afrique, le monde dit civilisé ou sinon les démocraties occidentales - porteuses de grandes valeurs et de principes - , et la Communauté de nations tout entière, doivent-ils continuer à se laisser délibérément floués par le régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda; sachant bien que celui-ci est à des années lumières d´être saint et exempt de toute responsabilité dans cette affaire? Qui trompe-t-on et de qui se moque-t-on en définitive?
Les Rwandais ont besoin de se réconcilier et de panser leurs plaies, et non pas de continuer indéfiniment d´accabler les uns ou à s´accuser mutuellement.
Il est tout à fait légitime et justifié pour les Rwandais de commémorer la mémoire des victimes de cette tragédie humaine qui s´était abattue sur ce pays voisin, voire frère du Congo; mais toutefois, sans omettre de tenir compte de la sensibilité des discours et propos qui sont tenus par les détenteurs actuels du pouvoir, lesquels discours laisseraient à penser que ceux-ci, seraient encore loin d´être animés d´une véritable volonté d´aider le peuple rwandais à se réconcilier avec lui-même. Et ce, dans le seul dessein d´occulter la vérité de peur que leur responsabilité n´éclate au grand jour; et de conserver ainsi le pouvoir monopolistique au profit d´un régime et d´un syndicat de familles appartenant à la minorité tutsie, selon le vocabulaire politique en usuel là-bas au Rwanda.
En fait, la mort d´un seul être humain quelle soit la manière dont elle survient, c´est-à-dire naturellement, accidentellement ou brutalement causée à dessein ou pas, par les circonstances fâcheuses de la vie, a toujours constitué une perte, un motif de tristesse, d´anxiété et de consternation pour toute la communauté. Et ce, dans toutes les civilisations du monde depuis la nuits des temps.
Ceci dit, imaginons-nous un peu l´ampleur que cela pourrait avoir sur la société, lorsque mort d´homme survient à une échelle industrielle comme ce fut le cas au Rwanda en 1994, et comme c´est encore le cas au Congo en général, et au Nord-Kivu en particulier depuis 1996. La peine et les conséquences désastreuses qui en résultent pour la société sont incommensurables et ne peuvent s´oublier par le fait des bidons accords entre compères, du moins, en ce qui concerne le Congo.
Toutefois, la mort d´un ou des plusieurs individus une fois survenue, quels soient la perte, les peines, les douleurs et les conséquences qu´elle engendre: les morts, il faut bien finir par les enterrer. C´est là même la loi de la nature, pour ne pas parler de celle de Dieu le créateur de la vie et de toute chose. Et à cet effet, Les Écritures Saintes sont formelles et nous disent: << Tu es venu en poussières et tu retourneras en poussières >>. Dans le parler populaire dans certains pays d´Afrique de l´ouest, dont en Côte d´Ivoire pour ne pas le nommer, on va même jusqu´à l´exprimer par un syllogisme selon lequel: <
Voire, des êtres exceptionnels tels ceux que je m´en vais énumérer, n´ont pas été des cas d´exception à cette règle divine. Le grand patriarche et père des croyants Abraham, avait été enterré. Tout comme le Fils de l´Homme, qui s´était fait homme pour sauver l´humanité, à savoir Jésus Christ lui-même, s´était fait inhumer avant de vaincre sur la mort trois jours plus tard. Il en avait été de même pour le grand prophète Moïse, qui avait sorti son peuple de l´esclavage d´Égypte, que Dieu lui-même après lui avoir retiré sa confiance, - mourût sans avoir vu la Terre promise - prit le soin de l´enterrer à un endroit secret que ne connaît personne si ce n´est lui seul, comme nous l´enseigne les Écritures Saintes.
L´inhumation d´un défunt, peu importe les coutumes en usage ou le rite - chrétien, juif, musulman, hindou, bouddhiste ou ancestral - dans le cadre duquel elle a lieu, reste aussi bien symbolique qu´important, car elle marque pour le (a) disparu (e) comme qui dirait, la rupture du cordon ombilical le (la) reliant au monde d´en deçà, c´est-à-dire de notre monde des vivants, à celui d´au-delà, c´est-à-dire celui des morts. Et ceci, pour lui permettre d´effectuer librement et en toute beauté le grand voyage vers l´autre cosmogonie. Car, dans toutes civilisations du monde, on croit à une autre vie après la mort physique d´un être humain sur cette terre des Hommes. C´est pourquoi, d´un côté, on parle de la réincarnation, du purigatoire, du séjour des morts, du paradis ou de l´enfer. Et de l´autre, de l´Égypte ancienne, de la Grèce antique, en passant par l´Empire romain à nos jours, on construisait et on construit encore: pyramides, nécropoles, cimetières où l´on enterrait et enterre - suivant leurs statuts sociaux - les morts pour leur repos éternel. Passage quasi-obligé d´une cosmogonie à l´autre.
C´est ainsi donc que dans certaines coutumes usuelles en Afrique, dont au Congo: on ne déclare pas quelqu´un mort, ni encore moins on ne le pleure, ni on n´organise ses funérailles, avant d´avoir vu son cadavre. Ce n´est qu´après l´avoir vu et organisé son deuil, et son enterrement en bonne et due forme, qu´on le croit définitivement mort et parti dans le monde d´au-delà. Autrement, les croyances populaires très ancrées dans la culture et les mentalités collectives soutiennent le contraire. On considère que le (a) défunt (e) est encore là parmi nous dans le monde d´en deçà, pour les pires et pour les meilleurs, et ce, selon son état d´esprit par rapport aux circonstances juste ou injustes ayant conduit à sa mort.
Ceci, explique le fait qu´il ne soit pas rare de voir lors des enterrements, les vivants prononcer soit des oraisons funèbres pour implorer le pardon d´un défunt, soit des incantations pour conjurer les effets de sa colère ou de sa méchanceté, qui pourraient éventuellement s´abattre sur les vivants. Et même après cela, dans certains cas, on continue à servir le répas complet aux défunts, en déposant soit à leurs tombes, soit à un endroit précis de la maison où ils avaient l´habitude de s´installer de leur vivant. Et dans l´Église catholique, comme vous le savez, on dit ou on chante une messe de requiem pour le repos du défunt. De tous ce qui précède, il n´y a rien de la superstition...
À quoi servent-ils réellement tous ces mémoriaux du génocide disséminés à travers tout le territoire national rwandais? Sans doute pour la mémoire nous dira-t-on. Mais ne constituraient-ils pas pour le régime au pouvoir, des armes politiques et des sanctuaires permanents pour continuer à entretenir la haine ethnique entre Hutus et Tutsis?
Le Rwanda est le seul pays où, en nombre et par tête d´habitants au kilomètre carré, l´on compte le plus des mémoriaux au monde. Car, dans chaque village, dans chaque ville, a été dressé pour <
Toutefois, il conviendrait, au-delà de la sensibilité de cette question et du devoir de mémoire qui sont sans nulle doute importants, de se poser la question de savoir: si ces ouvrages qu´on entretient à coup de millions de francs rwandais - qui auraient pu se servir à autres choses - , ne seraient-ils pas devenus des sanctuaires de la haine et l´antagonisme ethniques ( hutue-tutsie ), qui ont caractérisé l´histoire de ce pays voisin, depuis l´arrivée des premiers colons et missionnaires européens?
Avec ou de quel sentiment, un visiteur rwandais qui ressort d´un de ces mémoriaux, serait-il animé vis-à-vis de son ou de ses compatriotes de l´autre ethnie ( hutue ), si il s´agit le cas échéant d´un Tutsi? Réponse: il pourrait être tenté de reporter ce ressentiment qu´il éprouverait sur tous les Hutus, qui pourraient tous d´emblée être perçus à ses yeux comme des tueurs irréfléchis, ou une véritable incarnation du Mal. Si c´est plutôt d´un Hutu dont il est question, et qui sait ce qui a dû réellement se passer pendant ces cents jours-là, celui-ci aura le sentiment de subir une injustice de l´Histoire. Entre Africains, on se connaît. Car, il n´y a pas mieux qu´Africain, qui connaisse ce qui se passe exactement dans la tête et le raisonnement d´un autre Africain. Le cartésianisme occidental, reste encore dans une très large mesure, l´apanage des Occidentaux eux-mêmes. Qu´en serait-il alors d´un visiteur étranger, sachant bien que c´est aux seuls Hutus - suite aux mensonges de Paul Kagame - que la Communauté internationale, faisant preuve de peu d´impartialité, aurait selon la plus grande vraisemblance, choisi de faire porter toute la responsabilité de cette tragédie du Rwanda?
Ces mémoriaux, ayant le courage de le reconnaître et de dire haut et fort les choses, qui ressembleraient plus à des forteresse de la haine inter-ethnique, ne sont certes pas de nature à favoriser l´indulgence, l´oubli, et la réconciliation et la cohabitation hamonieuse et sincère des Rwandais toutes ethnies confondues, en vue de l´émergence d´une nouvelle société démocratique et républicaine, débarrassée de tous les démons de la haine et des guerres inter-ethniques.
Ainsi, il existe donc le risque aussi bien pour les Rwandais que non- Rwandais, qu´on finisse par se dire et se laisser convaincre par la rpopagande, qu´il faudra enfermer les Hutus - injustement reconnus comme les seuls coupables - dans un sentiment de culpabilité permanente; et qu´il est juste de les frapper indéfiniment de parias pour les faire expier leurs abominables forfaits. Et ainsi donc, laisser libre cours à la clique à Paul Kagame, de monopoliser tous les pouvoir au profit de quelques familles de l´ethnie à laquelle il appartient, et de n´en faire qu´à sa tête. En bloquant bien entendu, toute bonne initiative ou tentative de véritable dialogue et réconciliation nationale, en vue de la vraie sécurité et d´une paix durable, et du développement intégral, qui sont d´un intérêt vital, pour le Rwanda, le Congo et la région des Grands Lacs africains tout entière. Ceci, au nom d´une velléité d´extermination d´une partie de la population rwandaise par les extrémistes, dont il est pourtant au premier degré, l´initiateur et l´un des acteurs principaux responsables.
C´est plutôt par stratégie et escroquerie politiques et non par respect aux morts, que le régime de Kigali répand ça et là des mémoriaux.
Par conséquent, il paraît clair que c´est dans cette logique-là que s´inscrit la stratégie du régime génocido-militariste au pouvoir au Rwanda. Faire porter le chapeau aux uns, pour un drame humain dont la responsabilité est à partager, et accaparer ainsi tous les pouvoir comme pour prendre sa revanche, et diriger enfin le pays par la terreur comme c´est actuellement le cas.
En effet, comment peut-on expliquer que des gens qui tuent à une échelle industrielle aussi facilement qu´on tue des insectes - dont l´exceptionnel maccabre bilan est de près de 7 millions de vies humaines fauchées, au Rwanda, au Congo et dans une moindre mesure au Burundi - , qui n´ont donc aucun respect pour la vie elle-même, puissent en avoir pour les morts des massacres qu´ils ont eux-mêmes occasionnés? Paul Kagame et compagnie au pouvoir à Kigali, sont trop mal placés pour se livrer à de telles cérémonies de receuillement pour qu´on croie en leur sincérité... N´est-ce pas là un choquant paradoxe et escroquerie politique de mauvais goût? Pourquoi donc alors les Justices francaise et espagnole les poursuivraient-elles des gens qui se sont auto-érigés en <<>>, si cela serait vrai? À moins qu´elles soient toutes les deux devenues déraisonnables et folles. Ce qui est loin d´être le cas.
Et si d´après le régime rwandais, la France qui, selon lui, aurait été de près ou loin impliquée dans ce drame, et voudrait pour cela lui faire un procès politique, avec les neuf mandats d´arrêts délivrés par le juge Jean-Louis Bruguière à l´encontre de neuf (9) membres de son équipe; et que dira-t-on alors de la Justice espagnole qui est allée quatre fois plus loin, qui, par le juge Baltazar Garzón, en a délivré au total quarante (40) contre les mêmes individus et trente un (31) autres depuis février 2009?
Dans ce cas, l´armée espagnole aurait elle aussi d´après le régime génocido-militariste rwandais participé aux massacres en 1994, et l´espagne voudrait elle aussi lui faire un procès politique?
Les dirigeants rwandais qui ne supportent pas la vérité, doivent comprendre qu´il y a des Congolais, des Rwandais comme le Major Abdul Ruzibiza - pour ne citer que lui, et dont vous aurez l´opportunité de savourer l´interview sur le lien en bas de page -, et bien des gens de bon sens de par le monde, qui ne supportent pas non plus le mensonge, et que la vérité doit tôt ou tard être restituée.
Ceci dit, depuis 2007, des renseignements très précis font état de multiples tranferts des ossement et restes humains sortis de fosses communes au Congo, et ensuite convoyés par camions entiers, des zones jadis contrôlées par des pseudo-rébellions, devenues par la faiblesse et grâce la complicité d´un des leûrs à la tête du semblant d´État congolais, des partis politiques pseudo-congolais que sont le Rasseblement des Congolais Démocrates (RCD) d´Azarias Ruberwa, ensuite par le CNDP de Laurent Nkundabatware; vers le Rwanda, pour aller renforcer et gonfler en restes humains, les mémoriaux existant là-bas sur place, et charger ainsi davantage ceux qu´ils accusent eux, d´en être les seuls responsables; pendant qu´une partie de ces ossements humains étaient déversée, dans des sacs avec des poids à l´intérieur, pour les tracter au fond du Fleuve Congo.
Et ce, pour parer à l´éventualité d´une enquête internationale qu´ils redoutent encore, en faisant d´avance disparaître les preuves de leurs crimes de guerre et crimes contre l´humanité, dans les zones où sevissaient l´armée rwandaise, sous le couvert des alliés Rwando-<
Le Rwanda ne serait-il pas devenu comparable à un immense château hanté? Tant que les victimes du génocide seront pas enterrées dignement...
Comme évoqué plus haut, l´inhumation selon les coutumes en usage, est un acte important dans toutes les civilisations humaines, pour le repos des morts. Dans le respect le plus absolu pour les victimes du génocide rwandais de 1994, pour lesquels le souci de voir leurs âmes reposer en paix nous anime. Il y a cependant lieu de se demander si les autorités rwandaises ne feraient pas mieux: de chercher à les identifier d´abord, et ensuite, à leur donner des sépultures dignes? C´est bien entendu, ce qu´elles ont dû faire du site de Nyanza sur les collines qui surplombent Kigali, où se tiennent les cérémonies d´aujourd hui, a été réhabilité en fosses communes pour toutes victimes. N´empêche-t-on pas aux morts de s´en aller vers l´au-delà, en les enfermant dans des lieux où ils ont été injustement victimes de la barbarie des uns et de l´ambition des autres? En faisant cyniquement d´eux des objets de musée exposés à la curiosité du monde, ne se serve-t-on pas là d´eux comme du matériel durable de propagande à l´échelle internationale et d´armes de récupération politique massive? Au regard du comportement des dirigeants rwandais et de tous ce qui se fait depuis 15 ans, on est tenté d´y répondre par l´affirmative en disant: Oui!
Vu ce qui précède, ne serait-il pas juste de dire que le Rwanda, dont le territoire national est disséminé des mémoriaux serait hanté par l´esprit des morts, à l´image d´un immense château dont toutes les pièces seraient hantées? Étant donné que les détenteurs du pouvoir n´ont jamais permis aux morts d´effectuer comme il se doit, leur dernier voyage vers l´autre cosmogonie. Des corps qui n´ont pas été portés à terre, ou sinon incinérés pour être inhumés ou répandus dans la nature, ne retournent pas en poussières selon la volonté divine. N´est-ce pas! Et ces victimes, soulignons-le, ne sont pas avec le coeur plein d´anthousiasme, eu égard aux conditions injustes et aux méthodes inhumaines que nous connaissons, dans lesquelles la mort atroce leur avait été infligée.
Rappelons, dans même ordre d´idées que, le parc de ces nombreux mémoriaux du génocide rwandais dressés partout dans le pays, absorbent des frais évalués à plusieurs millions de francs rwandais. Des sommes colossales qui auraient pu servir à autre chose, comme par exemple: la lutte contre la pauvreté que le Gouvernement a fait de l´un de ses chévaux de bataille. Dans un pays où les populations ont cruellement besoin de chaque petit franc qui compte pour sa survie, et où ni l´assitance financière généreuse que lui apporte la Communauté internationale, ni le banditisme d´État auquel il se livre sur les ressources minières, économiques et autres de son voisin congolais depuis 13 ans, comme confirmé par nombre de Rapports des Nations Unies, n´ont suffi pour y éradiquer la misère, car plus de 70% de sa population totale vit sous le seuil de pauvreté.
Ainsi, il est impérieux de préciser un fait très déterminant dans la trame et la dynamique du drame rwandais de 1994, dont on a souvent tendance à oublier: l´analphabétisme. Car, les élites des deux bords eux inscrits, savent bien ce qu´ils font, et ce qu´ils font faire aux populations souvent peu ou pas du tout inscrites. Retenons qu´au-delà des efforts qui sont faits par les autorités et de l´aide de l´UNESCO dont bénéficie le pays, dans le cadre des objectifs du Millénium des Nations unies pour l´éducation; le Rwanda detient le triste record de personnes analphabètes, soit 80% de sa population globale, pour 0,25% des diplômés universitaires. Respectivement, le taux plus élevé et le plus faible dans la région de Grands Lacs, mais surtout de toute l´Afrique. Conséquence: population facilement manipulable à dessein par l´élite. De là, on comprend plus facilement pourquoi l´holocauste a pu avoitr lieu.
C´est ainsi donc que les mémoriaux du génocide pour ne <<>>, pourraient bien être troqués contre des écoles et des bibliothèques, où l´on pourra mieux conserver la mémoire sans pour autant rémuer le coûteau dans la plaie comme c´est actuelllemnt le cas. En termes plus clairs pour ne pas avoir à macher les mots: <
1. Le sens de l´égalité de droits et l´appartenance à une seule et même nation; quelles que soient les différences morphologiques ou autres, qui ne peuvent en aucun cas servir d´excuse pour déhumaniser autrui, et l´affubler de tous les noms d´oiseaux.
2. À faire un bon usage de la machette dont on s´en sert uniquement pour défricher le terrain et des travaux champêtres, relatifs à la culture du thé et du café, source principale des revenus dont le pays a cruellement besoinn pour son développement, et non pas pour charcuter son compatriote.
3. Où les Rwandais, s´instruiront sur l´usage pacifiste et défensif de la mitrailleuse ou du pistolet-mitrailleur, dont on ne pourrait se servir que lorsque le pays fait face à une menace extérieure, et non pas pour se massacrer mutuellement entre concitoyens au Rwanda, ou contre des paisibles et pacifiques voisins au Congo. Car un peuple qui a connu la souffrance, doit apprendre à avoir des égards pour les autres. Et non, se transformer soi-même en bourreau des autres (des Congolais).
En définitive: une telle approche serait judicieuse, et ferait mieux l´affaire des Rwandais, plutôt que ces mémoriaux qui ne font pas autre chose qu´entretenir la haine de l´autre.
À quoi ressemblerait donc le monde, si tous les pays du monde décidaient d´emboîter les pas au Rwanda, en dressant partout des mémoriaux <
Figurez-vous un peu l´hypothèse de voir tous les pays du monde, emboîter les pas aux autorités rwandaises en construisant ca et là des mémoriaux, pour les victimes de guerres ou massacres qu´ils ont connus. Vous conviendrez avec moi qu´il y a n´aurait sûrement plus de terrains vides pour autre chose. Ceci dit, imaginez-vous:
- Que la Russie et tous les pays qui autrefois formaient l´ex-Union soviétique, qui ont perdu ensemble près de 20 millions de leûrs lors de la Séconde Guerre mondiale, fassent autant. Rappelons aussi que les Russes auraient ou envisageraient d´ailleurs de déménager le Camarade Vladimir Oulianov Lénine, grand théoricien et père fondateur de l´ex-Union soviétique, de son très célèbre mausolée sur la Place Rouge de Moscou, où il repose embaumé depuis sa disparition en 1924, et le troquer contre une sépulture dans la terre. Moins coûteuse semble-t-il.
- Que l´État hébreu, c´est-à-dire Israël avec ses 6 millions de victimes de la Shoa, décide enfn d´importer d´Allemagne et d´Europe, les restes encore existants de celles-ci, pour les abriter dans des mémoriaux qu´il fera dresser dans toutes ses villes et villages, dans les limites de la minuscule superficie de son territoire.
- Que la Grande-Bretagne, qui avait vu sa magnifique capitale la ville de Londres, constamment bombardée par la Luft Waffe, l´aviation allemande (plutôt nazie), lors de la Seconde Guerre mondiale, occasionnant ainsi plusieurs milliers de victimes, sans parler de dégâts materiels; ait choisi de les conserver dans des memoriaux.
- Que tous les pays d´Europe: de la Belgique à la France, de la Pologne à la Tchéquie, du Danemark à la Norvège, du Balkan à l´Oural, qui ont souffert de affres de l´occupation nazie, fassent comme le Rwanda.
Conclusion: il n´existait pas aujourd´hui d´amitié et de la concorde entre tous ces pays ci haut cites et l´Allemagne fédérale, ni même l´Union européenne...
Imaginez aussi que le Congo construise partout sur l´étendue de son territoire national, notamment à Kiwanja qui a été récemment au mois de septembre 2008, le théâtre de massacres perpétrés par les troupes rwandaises sous le couvert de Laurent Nkundabatware, des mémoriaux pour ses 6 millions de morts - non décretés par le Congo, mais établis par des sources internationales indépendantes - dûs aux trois (3) guerres d´agréssion et de prédation rwando-ougando-burundaises, lui imposées et soutenues par les pirates de la Globalisation néolibérale tirant les ficelles dans l´ombre. On ne parlerait plus jamais de paix entre le Congo et tous ces pays agresseurs précités.
Eh bien, figurez-vous dans le même ordre d´idées, que le Cambodge fasse de même de ses 2 millions de victimes de la terreur des Khmers rouges: il n´y aurait sûrement pas la paix et la réconciliation nationale qui règnent en moment dans ce pays. Que l´Arménie ait fait autant: le rapprochement en vue d´un dialogue qui s´amorce petit à petit avec la Turquie, s´éloignerait davantage. Si les Kurdes irakiens qui ont aujourd´hui un des leûrs à la tête de l´Irak, avait construit à Allabja des mémoriaux pour <<>> les 6 000 victimes gazées sur ordre de Saddam Hussein, et exécuté par les bons soins d´Ali le Chimique?
Iil n´y aurait certes pas aujourd´hui de paix entre les différents groupes ethniques qui composent ce pays. À quoi ressemblerait aujourd´hui le Liban, si les Chrétiens et les Musulmans de ce pays procédèrent de la même manière? Et que dire de la grande Chine par rapport au Japon? De l´Algérie par rapport à la France? de l´Angola par rapport au Portugal? Que dire des USA, par rapport aux lattaques terroriste du 11 septembre 2001 contre les deux Tours jumelles du centre de New York?
Conclusion: les uns éprouveront indéfiniment de la rancoeur et de la haine pour les autres; ils seront en état de guerre permanent les uns contre les autres; et ne pourront jamais réaliser quelque chose de bon ensemble, et ce, au grand dam de tout le monde.
Enfin, Paul Kagamé et son régime, ont trouvé une formule magique, qu´ils qualifient de: divisionnisme, pour faire taire leurs adversaires et tout son de cloche discordant qui revendiquent l´ouverture, le dialogue et la démocratie au Rwanda. Que sont-ils devenus? Les Bizimungu et consort.....
En effet, il n´y a au Rwanda de Paul Kagamé, aucune place pour l´opposition politique démocratique. La presse libre, il en existe pas, et la presse nationale, totalement inféodée au régime. Aucune forme de constestation n´est permise dans le pays: c´est le comble du totalitarisme pur et dur et de la pensée unique. Au fait, que sont devenus les deux anciens ministres de l´Intérieur et de la Justice? Séjournent-il toujours en prison?
Où serait donc passé l´opposant, et ancien Premier ministre consensuel, Faustin Twagiramungu? Toujours en fuite à l´étranger! Et alors enfin, l´ancien Président de la République de 1994 à 2000, en l´occurence Pasteur Bizimungu, celui qui, pour justifier la guerre d´agression et de prédation décretée son Vice-président et ministre de la Défense contre le Congo, réclamait à cor et à cri la convocation d´une deuxième <
Enfin, pour clore, revenons un peu à l´affaire de la présence des Hutus à l´est du Congo. Ainsi donc, préférant au dialogue l´usage de la force contre ceux-ci; près d´un mois après que l´Armée rwandaise qui était intervenu au Congo pour traquer les rebelles hutus, serait <<>> chez elle au Rwanda; et ce, après des cérémonies grandoises organisées par le Chef d´état-major général rwandais, James Kabarebe - recherché par la Justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l´humanité - , et le général d´opérette congolais, John Numbi à Goma; où par un communiqué conjoint, ils clamaient leur victoire et déclaraient haut et fort avoir neutralisé la résistance hutue. Peut-on donc dans ce cas, nous Congolais, prendre bonne note de cela, et considérer que l´Armée de Kagamé ne reviendra plus chez nous sous ce prétexte-là? Puisque l´affaire est définitivement réglée selon eux. Seul l´avenir nous le dira. Le peuple du Congo a besoin d´un <
À la Communauté internationale de retenir qu´un génocide rwando-rwandais, dont un régime au pouvoir au Rwanda est coresponsable, ne lui procure nullement le droit d'en commettre d´autres contre ses propres populations, et encore moins contre celles du Congo voisin. Cela ne lui donne pas non plus le droit de bâtir une dictature monoethnique et néo-féodale, le placant au-dessus des lois internationales. Le monde a pour cela le devoir d´ouvrir grand les yeux, et d´empêcher à ce que cet homme et son régime dangereux ne continue plus impunément à faire d´autres millions de victimes au Rwanda, au Congo et dans toute la région des Grands Lacs africains.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple.
Pépin Lulendo
Le 7 avril 2009
Les images de Klein sur les méga-massacres de 21 mille intellectuels hutus avec leurs familles. Le rapport Gersony vous en parle en long et en large du matin jusqu'au soir pour vous révéler la cruauté de Paul Kagame et son organisation criminelle du FPR.
Après ces grands massacres, les rescapés d'entre-nous dont plusieurs ont connu le jour le plus long au Rwanda et en République Démocratique du Congo, au Congo Brazzaville, au Gabon, en Zambia, en Tanzania, au Burundi, au Kenya, au Malawi jusqu'en Afrique du Sud , la route vers les camps de concentration tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Rwanda; les déportations, les lieux d’extermination au nord-ouest du Rwanda, à Gitarama, Kibungo, Kibeho dans Gikongoro qui n'existe plus sur la carte du Rwanda (et pour cause) et évidemment dans les camps des réfugiés en RDC.
Je ne vous rappelle pas comment les nôtres ont été enfermés dans des containers, des maisons inoccupées, etc. Je ne parle pas de viols suivis d'exécutions sommaires. je ne parle pas du camp d'Auschuitz Rwandais: Kibeho: ces cadavres de ces enfants, de ces femmes, ces hommes et ces vieillards qui ont eu le malheur d'appartenir à l'ethnie Hutu. Plus tard nous entendrons de la bouche de Kagame qu' il utilisera la stratégie de la cuillère pour arriver à ses fins.
Leurs cadavres ont été portés par les eaux des fleuves, d'autres avaient été brûlés vifs et leurs cadavres jetés dans les lacs Burera et Ruhondo, puis dans les lacs cyohoha, Ihema, etc. Actuellement, nous pensons à toutes ces cadavres de vieilles femmes, d'enfants hutus dont certains furent ensuite jetés vifs dans ces fleuves et rivières pour être noyés.
Le changement de régime au Rwanda est le suel qui pourra permettre aux Rwandais de s'asseoir ensemble, toutes les ethnies confondues, dire la VERITE sur ce qui s'est passé au Rwanda puis demander que justice soit faite. C'est dans cette atmosphère que la réconcilation aura ses assises au Rwanda et dans les pays voisins.
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Human and Civil Rights
Rwanda: A mapping of crimes
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Mass murderers C. Sankara
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Prof. Allan C. Stam
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The killing Fields - Part 1
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The killing Fields - Part III
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
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