Rwanda: Cartographie des crimes
Let us remember Our People
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Everybody Hurts
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Coup de poing
Ce n'est pas nouveau, même si vos sources sont généralement choisies ou inventées par votre esprit tordu pour faire passer votre message du "génocidaire hutu" et la "victime tutsi" qui s'est avéré le plus grand mensonge sur l'Afrique Central des dernières décennies.(voir les différentes publications de votre collègue Charles ONANA et en particulier le dernier avec le titre ronflant -Ces tueurs Tutsi- mettant la photo de NKUNDA, KAGAME et KABAREBE sur la couverture).
Ce qui est nouveau, c'est que vous m'accusez dorénavant nommément comme le nouveau "guerrier hutu power" qui va se promener dans les Kivu pour organiser la "dernière offensive" contre le Rwanda (des tutsi ?).
Cette affirmation, qui est un mensonge pur et simple, ne peut être de "certaines sources", comme vous le prétendez faussement, pour la simple raison que je n'ai plus jamais mis un pied ni au Nord-, ni au Sud-Kivu depuis avril 2007, date à laquelle j'ai accompagné feu le colonel Laurent NUBAHA pour venir témoigner au procès de NTUYAHAGA, un témoin capital dans l'assassinat des 10 Casques bleus, et que le Juge d'instruction VANDERMEERSCH n'avait jamais voulu interroger parce que la RD CONGO était, selon lui, un pays "qui ne pouvait assurer sa sécurité".
20 jours après son arrivé à Bruxelles (et avant son témoignage-demandez à DE GUCHT ce qu'il n'a pas fait pour éviter la venue de ce témoin en Belgique mais sans succès) ce témoin est malheureusement décédé à l'hôpital Saint-Pierre, ce qui a permis toute spéculation- même l'empoisonnement par la justice belge,- ce que j'ai toujours refusé.
Votre "torchon" a donc comme seul but de nuire à ma personne et de mettre une nouvelle fois ma vie en danger. Y associer Séraphin Rwabukumba est encore d'un plus mauvais goût, car vous auriez pu facilement vérifier que celui-ci ne possède aucun document de voyage, ni les moyens et encore moins envie de se perdre dans la "guerre" au Kivu. En plus vous connaissez son n° de téléphone pour constater qu'il est toujours à Bruxelles.
Je constate d'ailleurs qu'il y a eu une réaction de sa part sur le net. Il vous demande si vous seriez finalement amoureuse de lui…Comme je le prétends depuis 15 ans, vous êtes une "romancière" (du mauvais genre) et certainement pas une "journaliste" mais une "paparazzi maçonnique de mauvais goût" qui invente « du n'importe quoi » pour "rester dans l'actualité" dans le coin, même si vos mensonges délibérés commencent à se découvrir à grands pas.
Je considère votre "torchon" ni plus ni moins comme un appel à mon assassinat par des personnes qui doivent "couvrir" leurs massacres dans la région des Grands Lacs, et comme vous le savez, la justice française (Bruguière) et la justice espagnole (Merelles) les ont "individualisé " dans 2 actes d'accusation qui ne laissent aucun doute sur leurs responsabilité s dans le drame de la région.
Jusque là, ma réaction sur votre "torchon", dont vous n'aurez pas le courage de le publier sur votre blog. Je transmets ce document et votre "torchon" à Bruno Bulthé, Procureur du Roi à Bruxelles,(à l'époque doyen des juges d'instruction) que j'ai tenu au courant des "dérives" de la justice Belge dans le dossier Rwanda et en particulier du Juge d'Instruction Belge Damien VANDERMEERSCH depuis sa désignation en 1995. (aujourd'hui il ne pourra plus dire que c'est impossible).
Je lui laisse le soin de qualifier votre délit selon le code Pénal Belge (il y a au moins 4 articles qu'il peut invoquer pour vous déférer devant le Tribunal Correctionnel) et l'opportunité de vous poursuivre.
Si aucune initiative n'est prise à votre égard par le parquet de Bruxelles, je lancerai une citation au civil pour demander des dommages-inté rêts que je fixerai à 250.000 €, un montant qui doit vous dire quelque chose.
Me Luc DE TEMMERMAN
Le Professeur Filip REYNTJENS, le Sénateur Willy KUYPERS, et l'avocat Johan SCHEERS ont individualisé , lors d'une conférence de presse "internationale" , tenue au Senat belge début octobre 1992, et donc longtemps avant l'assassinat du Président HABYARIMANA. et la prise du pouvoir par KAGAME, les présumés responsables des massacres au Rwanda, qui faisaient selon eux partie de l'entourage de Habyarimana et s'étaient organisés dans deux groupes : le Réseau Zéro et Les Escadrons de la Mort. Ils ne voulaient pas entendre du partage du pouvoir……
Il faut savoir que REYNTJENS et Johan SCHEERS sont intervenus comme avocat pour des Rwandais qui ont fait l'objet d'une arrestation après l'invasion du FPR le 1 octobre 1990 pour complicité avec l'ennemi. Pour être complet, un autre avocat belge est également intervenu dans les procès : Eric GILLET, le futur Président de la Fédération Internationale de la ligue des Droits de l'Homme.
J'ai connu le Rwanda à la même époque, mais en tant qu'avocat d'une société privée, la SA UTEXRWA, une usine de textile qui employait 1.500 ouvriers, (17 % de tutsi), et dont la direction est entre les mains d'ex-patriés indiens. Mon correspondant local était un avocat tutsi, qui avait fait également quelques mois de prison fin 1990, et qui m'a expliqué en long et en large le contexte.
L'usine a connu un incendie dans la nuit du 3 au 4 octobre 1990, qui a détruit la moitié de ses installations. .Après la fixation du dommage, deux dévaluations sont intervenues au Rwanda, suite à la guerre imposée par le FPR , mais comme le dommage était fixé en Fr Rwandais les réassureurs refusaient d'indemniser sur base du taux du Fr rwandais au moment du sinistre, soit le 4 octobre 1990.
J'ai été désigné par cette société (un actionnaire était mon client depuis longtemps) pour les représenter dans une procédure d'arbitrage qui a eu lieu en Belgique. Le Collège Arbitral a décidé que l'assureur devait indemniser le sinistre sur base du taux du Fr Rwandais au moment du sinistre mais avec un maximum de 1.000.000.000 Fr Rwandais, montant assuré au moment du sinistre.
La décision positive était intervenue quelques mois avant l'attentat du 6 avril 1994 et les réassureurs européens (principalement SCOR) ont refusé de respecter volontairement cette décision, menaçant la SONARWA (société d'assurance étatique du Rwanda) de ne plus accepter aucune réassurance s'ils acceptaient d'indemniser UTEXRWA.
C'est donc pour résoudre ce problème juridique que je m'étais rendu à Kigali le 2 avril 1994, les vacances de Pâques, accompagné de ma famille, et que j'ai donc vécu "en direct" l'attentat du 6 avril 1994, orchestré par KAGAME et C°, comme confirmé aujourd'hui par les enquêteurs de la justice Française et Espagnole.
Comme cette procédure d'assurances faisait beaucoup de bruit au Rwanda (les réassureurs belges (entr'autres Royale Belge) et européens (SCOR et MUNICH RE) refusaient d'exécuter volontairement un contrat de réassurance, voir même une décision arbitrale prononcé par un Collège de Professeurs et spécialistes en droit d'assurances) mon nom était connu comme un avocat Belge compétent.
Quand l'entourage du Président Habyarimana s'est fait accuser dans la presse belge dans un premier temps en octobre 1992 comme des assassins et génocidaires, ils ont donc consulté mon cabinet.
C'est précisément Colette BRAECKMAN avec LE SOIR, suivi par Marie France CROS et LA LIBRE BELGIQUE qui ont mondialisé le mensonge du "réseau Zéro" et "Escadrons de la Mort" du Professeur REYNTJENS et le Sénateur W. KUYPERS (l'avocat SCHEERS m'a fait tout de suite savoir qu'il n'avait aucune connaissance des faits qui formaient la base des accusations de F. REYNTJENS) et W. KUYPERS savait qu'il couvrait des mensonges, mais cela l'arrangeait probablement politiquement pour pouvoir mettre en difficulté feu le Roi Baudouin, grand ami de HABYARIMANA, et pour ne rien cacher ,deux catholiques.
Comme les personnages ne pouvaient pas expliquer leurs sources ou les faits concrets qu'ils avaient constatés, j'ai donc lancé une citation contre ce beau monde, y compris Collette BRAECKMAN pour des dommages-inté rêts à concurrence de 250.000 € (10.000.000 FB) par individu qu'ils avaient mentionné dans leur conférence de presse et leur divulgation dans la presse, sans avoir donné l'occasion aux personnes concernées de faire connaître leur point de vue.
Au mois de mars 1994 nous étions en train de fixer un calendrier de procédure (REYNTJENS et KUYPERS avaient pris le même avocat- Carl BEVERNAGE) et il n'y avait effectivement aucune pièce probante. Mes clients ne pouvaient donc qu'obtenir gain de cause et Collette BRAECKMAN et M.F CROS ne pouvaient que se faire éjecter de leurs journaux respectifs.
Le 6 avril 1994, KAGAME et son FPR ont abattu l'avion du Président Habyarimana et 11 autres personnes, dont Elie SAGATWA, qui était une des personnes accusées par notre « Professeur-acteur ».
Comme les "assignés" ont immédiatement commencé à accuser BAGOSORA, RWABUKUMBA, NSENGYUMVA et autres comme les "génocidaires des tutsi et hutu modérés" et même les organisateurs de l'attentat (Sagatwa se serait donc suicidé pour garder le pouvoir au Rwanda !) le dossier a été renvoyé au rôle selon l'adage "le pénal tient le civil en état".
Nous sommes toujours dans ce stade juridique en attendant une décision d'appel pour Théoneste BAGOSORA, Anatole NSENGYUMVA et Protais Z.IGIRINYIRAZO à Arusha. Rwabukumba vit librement à Bruxelles.
En première instance le Tribunal Pénal International pour le Rwanda a déjà décidé que "le Réseau Zéro" et "Les Escadrons de la Mort" sont sortis de l'imagination de MFIZI, ancien membre du MRND pour rentrer au MDR, parti de l'opposition (lettre ouverte du 15 août 1992) et qu'il n'y a aucune preuve de l'appartenance des personnes accusées à ces groupes.
L'avenir se présente donc très mal sur le plan juridique pour les Messieurs REYNTJENS, KUYPERS et les "Mademoiselles" BRAECKMAN et CROS et leurs journaux respectifs qui ont repris les fausses accusations de ce "juriste-politicien " (il se défend aujourd'hui comme « chercheur -acteur » qui a pu se tromper sur quelques détails…)
Le Professeur REYNTJENS ne pouvait ne pas savoir suite à ses multiples passages à Kigali, et il a donc fait de la « politique » Il logeait dans l'appartement de KARAMIRA, vice-Président du MDR, (exécuté par KAGAME et son FPR pour avoir lancé le slogan HUTU-POWER)) où j'ai d'ailleurs fait sa connaissance, suite à une invitation de mon correspondant- tutsi) Il avait donc connaissance de ce jeu politique. Les journalistes par contre avaient le devoir de s'informer auprès des personnes concernées avant de les accuser faussement comme des assassins et génocidaires qui massacraient à gogo, et dont il n'était pas difficile d'obtenir le n° de téléphone.
Eric GILLET a expérimenté dans le même registre comme Président de la FIDH, où il s'est retrouvé avec feu Alison DES FORGES. Tous ses experts se sont cachés derrière les affirmations des opposants au régime HABYARIMANA, qui , par la suite, ont été tous tués ou mis à la porte par KAGAME et son FPR, après que celui-ci a éliminé Habyarimana et repris la guerre, nonobstant la signature des Accords d'Arusha. Ils ne pouvaient donc ne pas savoir et ont tous fait de la « politique ».
Maintenant que le Tribunal Pénal International pour le Rwanda, a déjà statué à plusieurs reprises qu'il n'y a aucune preuve d'une planification d'un "génocide des tutsi" avant le 6 avril 1994, l'ensemble de ses "experts" peuvent être considérés comme des complices avec un régime sanguinaire qu'est incontestablement KAGAME et le FPR.
2. Le fameux « Jean-Pierre ».
Depuis janvier 1994 un autre « montage » grotesque a été mis en route pour accuser le pouvoir en place comme « génocidaires ». (le dada de VERHOFSTADT)
Ici c'est Faustin TWAGIRAMUNGU, Premier Ministre désigné dans les Accords d'Arusha qui est à l'origine d'une « mise en scène » pour accuser le MRND et ses « interahamwe » de « torpiller » les dits accords. Ils ont bénéficié de la complicité de la MINUAR (DALLAIRE, MARCHAL, CLAEYS et Mamadou Die) et à nouveau les mêmes experts et journalistes ont « mondialisé » les mensonges sans faire le moindre effort de vérifier ce qui se passait sur le terrain.
Aujourd'hui, à nouveau grâce au procès à Arusha, nous savons que ce « Jean Pierre » était un agent du FPR, qui avait comme « mission » de discréditer le pouvoir en place et de favoriser le FPR, qui voulait prendre le pouvoir par la force. Luc MARCHAL a eu besoin 10 ans pour cracher le morceau et Faustin Twagiramungu, l'opportuniste hutu de service, a prétendu, après avoir été « viré » par KAGAME, qu'il s'agissait d'un « témoin » non crédible.
Dois-je vous rappeler que ce « témoin capital pour prouver la planification du génocide » était le seul élément que notre « maçon » VERHOFSTADT et sa commission ont trouvé pour détruire le peuple hutu et de prendre partie pour le FPR et les hutu modérés (qui en réalité n'étaient que leurs complices).
On peut se poser la question ce que l'Ambassadeur SWINNEN a fait au Rwanda le premier trimestre 1994. Aujourd'hui il témoigne à Arusha qu'il n'est pas impossible qu'il s'est fait « manipuler ».
Après il a du fuir le Rwanda mais a reçu comme récompense un poste d'Ambassadeur à Kinshasa, où il a tout fait ce qui est possible, avec Louis Michel, pour garantir un « pouvoir réel » au RCD et Ruberwa,(les tutsi du Congo) nonobstant leur absence de représentativité dans le pays . (il y a 400 ethnies en RDC).
Johan Swinnen, Louis Michel et Guy Verhofstadt sont le principaux politiciens belges qui ont permis à KAGAME et C° de massacrer plus de 6.000/000 de personnes en RDC, sans réaction de la communauté Internationale, après leur premier « essai » au Rwanda avec 1.000.000 de morts en moins de 3 mois et la fuite de 75 % de la population pour les « libérateurs ».
Verhofstadt a même eu le « culot » de demander pardon au nom des belges au plus grand criminel de l'Afrique Centrale depuis plus d'un siècle, alors que c'est celui-ci qui a chassé les militaires belges du Rwanda après l'attentat du 6 avril 1994, pour commettre son forfait, comme déclaré solennellement (récemment) par Jean-Luc DE HAENE et Willy CLAES, respectivement Premier Ministre et Ministre des Affaires Etrangères au moment des faits.
3. La justice Belge.
Pendant les premières années après le « génocide rwandais » (massacre de hutu, tutsi et twa) un Juge d'Instruction belge (D. VANDERMEERSCH) avait tous les pouvoirs juridiques(compé tence universelle) et toutes les informations utiles pour faire une enquête impartiale sur les évènements qui se sont déroulés au Rwanda, et comme l'Auditeur Militaire VAN WINSEN l'avait commencé.(jusqu'à sa mise en retraite en janvier 1995).
Il s'est « spécialisé » de mettre uniquement en accusation les prétendus « extrémistes hutu, autour de HABYARIMANA qui avait déjà été « individualisé s » par nos « spécialistes » belges REYNTJENS, BRAECKMAN et CROS en 1992.
Il suivait ainsi l'opinion « mondiale » qui voyaient les mauvais « HABYARIMANISTES » et les bons « KAGAMISTES ». L'importance des lobbies fera l'objet d'un livre ultérieurement.
J'imagine que tout le monde se rappelle que le troisième Procureur du Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) a fait savoir à la fin de son mandat qu'elle avait interdiction de mettre en cause les « KAGAMISTES » et qu'on lui a enlevé le pouvoir de le faire. Les dossiers étaient glissés dans des tiroirs introuvables.
Nonobstant qu'il est aujourd'hui juridiquement admis que le « génocide » a débuté APRES l'attentat du 6 avril 1994, les magistrats-procureu rs du TPIR (GOLDSTONE, ARBOUR et DEL PONTE) et le juge d'instruction belge VANDERMEERSCH ont estimé que cet attentat était donc un « fait divers » qui n'avait rien à voir avec les évènements au Rwanda et que l'avion était donc « tombé » du ciel sans auteur ou responsable présumé, pourtant incontestablement connu, suite à la communication des numéros de missiles utilisés pour l'attentat par mes soins à ses diverses institutions judiciaires.
Je rappelle à tous que ces missiles appartenaient à l'armée ougandaise et ont été mis à la disposition du FPR de KAGAME, un officier OUGANDAIS, mis en place par le Président de l'Ouganda, MUSEVENI en octobre 1990 pour permettre au tutsi de (re)prendre le pouvoir au Rwanda.
Je vous rappelle également que sans cet attentat, jamais 10 casques bleus belges auraient été tués sauvagement et personne n'aurait pu les désigner comme les auteurs de l'attentat et les complices du FPR. (la question reste ouverte sur la complicité de certains militaires belges avec le FPR)
Le Juge d'instruction belge D. VANDERMEERSCH a donc délibérément manqué à son devoir d'instruction objective des faits et responsables des massacres au Rwanda, y compris de l'assassinat des soldats belges- il a refusé d'aller interroger le responsable du Camp de Kigali en RDC. (Il a été promu à la Cour de Cassation comme remerciement).
La justice française et espagnole ont examiné l'attentat et les massacres au Rwanda et en RDC 10 ans après les faits et ont mis en cause directement KAMAGE et son FPR (et donc désavoué l'enquête du juge d'instruction belge D. VANDERMEERSCH qui a refusé d'instruire ce volet) mais ils devront attendre le renversement ou la destitution de KAGAME avant de voir avancer leur dossier.
Ce qui est beaucoup plus grave, une mise en accusation de KAGAME et son FPR fin 1995 par ce magistrat belge, quand tous les éléments sur l'attentat étaient connus, aurait évité que cette bande de tueurs détruisaient les camps de réfugiés Rwandais en ex-Zaïre et tueraient encore plus de 5.000.000, pour la majorité Congolais, par leur soif d'imposer le pouvoir tutsi en République Démocratique du Congo. N'ont-ils pas imposés 2 guerres en RDC ?
Malheureusement, la paix définitive dans l'Est du Congo ne reviendra qu'avec l'éloignement de KAGAME du pouvoir au Rwanda. Entretemps il faut néanmoins continuer à vivre, et ce n'est que la pression des décideurs de cette planète sur un des derniers dictateurs sanguinaires en fonction qui pourra diminuer le malheur des peuples dans la région. Que KAGAME vient se montrer à GOMA pour discuter avec le Président de la RDC, sollicité lui-même par Hillary CLINTON est donc une bonne chose, le Président Congolais n'ayant aucun droit d'assassiner KAGAME ou d'agresser le Rwanda.
CONCLUSION
Notre Collette BRAECKMAN, fabulatrice et mauvaise paparazzi voit donc l'ensemble de ses « constatations » partir en fumée. Il reste les morts et surtout le nombre (supérieur au victimes du Shoah) et la constatation que cela perdure à cause du même personnage : KAGAME ou celui qui aurait stoppé le génocide rwandais …. selon notre fabulatrice mais qui se voit accuser par la justice française et espagnole comme l'instigateur principal des massacres dans la région, y compris pour l'attentat qui les a déclenché . (on attend le jour qu'il n'est plus Président pour l'arrêter).
Elle devra bientôt s'expliquer plus amplement sur ses « inventions », également en France.
Probablement elle a « peur » de ceux qui l'ont déjà démasqué AVANT LE 6 AVRIL 1994 et qui sont encore en vie ou ne pas en prison.
Pour rester dans l'actualité, dans ce dossier c'est la « politique belge» qui a influencé la « justice belge »...
Luc DE TEMMERMAN
lucdetemmerman@hotmail.com
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Rape has been used as weapon by General Paul Kagame Soldiers. Did you know that? Kagame should be brought to justice for using soldiers known to be HIV-positive to spread the disease among Hutu civilians.
- General Kagame is accused of using RPF/A/RDF soldiers known to be HIV-positive to spread the disease among Hutu civilians. CNN producers have been called on to drop the RPF propaganda, saying that Aids come from Hutus who were living in Congo refugee camps.
- Kagame Kagame has assassinated Rwandan political leaders (Gatabazi, Bucyana, Gapyisi, Rwambuka, Katumba, etc to test the Rwanda genocide.
- Rwanda is forcibly sterilise - officially - people who are mentally disabled. In reality,
Eugenic sterilization is another indispensable measure that RPF programs use to numerously REDUCE the number of the hated Hutu Rwandans.
The release of the 20th Activity Report of the African Commission on Human and Peoples' Rights on July 11, 2006, provided further assertions of HIV infection as a weapon of war.
In a communication submitted to the Commission in 1999, the Democratic Republic of the Congo (DR Congo) transitional government alleged grave and massive violations of human rights committed by the armed forces of Burundi, Rwanda, and Uganda. Among the allegations were mass murder, forced displacement Hutu ethnic members inside Rwanda, mass detention in Rwanda, mass detention and rape of Rwandan refugees and DR Congo nationals.
The Commission permitted the communication and after consideration of admissibility and evidence, requested the stated countries to submit responses to the allegations. The Commission found the conduct of the respondent states to be in violation of international law including the African Charter on Human and People's Rights, among others.
The respondent states did not refute the allegations and were thus found to admit the allegations and recommended to provide reparations. The Commission found the countries in violation of the first Protocol Additional to the Geneva Conventions of 1949, which proclaims “women shall be the object of special respect and shall be protected in particular against rape, forced prostitution, and any form of indecent assault”.
The actions further violated the African Charter and the Protocol on the Rights of Women in Africa.The Commission did not, however, provide evidence beyond the DR Congo allegations.
The African Commission's findings present a landmark decision on the use of infectious diseases as weapons of war, yet show the challenges of documenting the links between conflicts and infectious diseases. The foreign ministries of Uganda and Rwanda have flatly denied the allegations through media sources, but have not addressed the Commission's findings directly.
The African Commission's recommendations are not legally binding on African Union countries, despite ratification of the African Charter for the Commission.
We hope that the development of the new African Court on Human and People's Rights, a legally binding body, will have greater abilities to conduct research and provide conclusive evidence.
Most of Rwandan Hutus affected by RPF violence are made vulnerable not only by immediate violent trauma, but also the long-term effects of violence on their physical and mental health.
NB: Our Association is very concerned about this for Rwandan survivors big issue. THE WITNESS As a witness to these crimes is asked to help. Your cooperation is essential to make the International criminal justice system work... If you tell the truth and tell it accuratelyto our organization, nobody can cross you up..... If you do not understand a question, ask that it be explained. Justice must be in favour of Victims and Not of criminals.
Just tell the truth and be yourself. Everything else will take care of itself.
© SurViVors Editions
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
RUD-Urunana Urunana rw'Abaharanira Ubumwe na Demokarasi Ralliement pour l'Unité et la Démocratie Rally for Unity and Democracy Tel: 001-201-794- 6542 /001-506-461- 3919 Email: urunana@optonline. net url: www.rud-urunana. org
Secretary of State Hillary R. Clinton Should Remind her Hosts of the Universality of American values: Pursuit of Happiness, Freedom, and Justice for all Citizens.
In a speech before the Council on Foreign Relations and more recently atone of her african stops, Secretary Clinton reiterated that ruling democratically is not limited to holding elections. But she emphasized that a democratic system "also requires strong institutions like an independent judiciary, an independent and free press, the protection of minority rights …"Based on these self-evident principles, the current rwandan regime isfar from meeting any of these requirements.
Although, above the surface,the rwandan government trumpets its achievements, a great majority ofrwandans live in abject poverty and endemic famine. More importantly,they have been denied their basic fundamental human rights. Hundreds ofthousands of rwandan citizens have been languishing without charges insqualid prisons for more than a decade while being denied due process.
The justice system is rigged with incompetent and corrupt judiciary. By administering unfair and inequitable trials, the so-called Gacaca courtshave become more an instrument of repression, intimidation, and coercion than a tool to heal the rwandan society.
The right of lawful dissent has been systematically denied to rwandans;hence, anyone who dares to criticize Paul Kagame's regime is quickly labeled as "genocidaire, negationist, and/or revisionist" .
More recently, the regime has come up with an ingenious scheme to silence any person perceived as a threat: what it takes is to label the individual as "harboring a genocidaire ideology". Such labels are enough to have someone killed, disappear without a trace, or thrown in prison withoutany recourse.
There is no viable internal political opposition since anychallenge to Rwandan Patriotic Front (RPF) and Paul Kagame's rule hasbeen met with fierce repression. If not killed or thrown into prison, the only other option opposition leaders or ordinary citizens irrespective of their ethnicity have, consist of accepting the RPF hegemony or going into exile.
There is no viable free press, since any journalist who challenges theofficial doctrine or unearths corruption practices of the regime cronies is thrown in prison or elects to go into exile. Recent accounts of Rwandans who fled their homeland are very revealing.
The entire economyis in hands of occult operators that are linked one way or another tothe RPF or to the Akazu of Kagame's cronies who control, manage, and allocate the meager country resources while pillaging resources of the Democratic Republic of Congo (DRC).
No one should be above the law. From its inception, our organization has consistently advocated that all Hutus, Tutsis, and Twas criminals,irrespective of their ethnic background and/or political affiliation should be persecuted for their deeds. However, it is apparent that to-date, the current justice system has been mainly set up to settle scores with the Hutu population.
Our organization would like to remind that nolater than February 6, 2008, Fernando Andeu, a Spanish judge, has indicted forty (40) rwandan army officers on several counts of genocide,human rights violations, and terrorism.
The judge decision was based ondetailed accounts of eyewitnesses and was carefully made after severalyears of painstaking investigation that resulted in unearthing damning evidence that incriminated Paul Kagame, President of Rwanda, and his senior Rwandan military leadership.
These indictments indicate clearlythat Paul Kagame and his cronies were engaged willfully and knowingly incommitting horrible crimes against Rwandans, Congolese, as well asforeign nationals.The Spanish case recalls the indictments of Jean-Louis Bruguière, Frenchanti-terrorist judge, whose investigation concluded on the active roleplayed by Paul Kagame and his closest advisors in shooting down the Rwandan presidential jet on April 6, 1994.
According to the French judge conclusions, such terrorist act was planned and conducted by operatives who received direct supervision and orders from Paul Kagame and his co-accused. That deliberate terrorist act resulted into the death of both Presidents of Rwanda Juvénal Habyarimana and of Burundi Cyprien Ntaryamira, their aides, and the French jet crew sparking one the mosthorrible tragedies the world has ever known.
The situation in Eastern Congo is dire for both the congolese populationas well as rwandan refugees who have found protection in DRC while mostof the International Community looked away. To find lasting solutions tothe overall problem of the rwandan refugees in the region, it is important that the root causes of the political instability beaddressed.
As our organization has always pointed out, the Rwandan problem is political in nature and requires political solutions.It is our firm conviction that as long as the underlying causes of therwandan political problem would not genuinely be addressed, the populations of the region will neither enjoy lasting peace norsustainable development and prosperity.
That is why our organization strongly calls and will continue to call for an Inter-Rwandan Dialogueto be held under the auspices of the International Community.
We remain convinced that only this Dialogue would lead to the establishment of new political and security institutions that would be the reflection of the legitimate aspirations of all the constitutive groups of the Rwandansociety.
It is only after such process that rwandans and their neighbors will utterly engage in forging common goals that would guarantee stability, peace, and development to all.
9 August 2009
Augustin Dukuze, Ph.D.
Spokesperson
***
Each single day, they are threaten them with death and deportation. We are so sad to hear on BBC reports that Hutu refugees are forcibly sent back to Rwanda while others are taken for criminals.
Many Western countries have so much space and opportunities that they would do whatsoever they can to welcome Rwandan refugees coming from the DRC instead of according resettlement to Paul Kagame death squad members flying from Ethiopia.
Indeed, we have gathered enough information telling us that the current Tutsi-led government, under the RPF criminal organization, is dropping and dispatching RPF spies, DMI agents and presidential guard criminals from Ethiopia where they are granted resettlement by international organizations as Abanyamurenge , (Tutsis from the South-eastern region of the DRC) in different countries of the North america and of the European Union.
The world looks and watches in silence, while the closure of Nyacyonga internal displaced Rwandans and Kibeho IDPs got massacred by RPF soldiers, massacres ordered by the Chairman Paul Kagame, the RPF high commander.
With serious political and humanitarian impacts on their lives, they even lost their faith on the UNHCR, the institution that was supposed to protect them. Assassinations of Rwandan Refugees is intensifying with hunger and malnutrition reaching alarming levels. As we write these lines, Hutu refugees are deported to Rwanda with conspiracy of the UNHCR, MONUC and the international non governmental organizations operating in the Eastern region of the Congo.
Please hear of the testimony of the Burundian Police Spokesperson Pierre C. Ntarabaganyi on the BBC broadcast.
It’s hard to imagine that in the 2lst century a complete ethnic group can be exterminated under the eyes and silence of a modern world;
It is hard to imagine that in the 21st century Hutu refugees spend their night hungry, and children spend their nights crying without any idea about why they have to suffer so much.
It is even worse to imagine that in the peak of the world modernization, a whole nation is sent to the death by killings and massacres, rapes.
The world community under the supervision of the UN Security council watch and supervises killings under the MONUC peacekeeping forces. Crimes are committed by the Rwandan army under the umbrella of the FARDC on the Congolese soil. There are many denunciations about those crimes but we see no mention about these crimes.
In silence, the World is praising the criminal Paul Kagame end the unfinished job with his efforts to exterminate Hutus.
To give you an idea about these crimes, you have and other unimaginable various crimes and the denied freedom of being refugees.
The current violence that has gripped south and Northeast Democratic Republic of The Congo and the subsequent military Umoja II including RPF soldiers has obliged over a hundred of thousands of Rwandan refugees. Nearly 100,000 refugee plastic houses in southern Kivu have been reduced to rubble.
Whole families have been left with no option but to flee to the neighboring country Burundi, a country that has no respect for Human Rights for Rwandan Refugees. The majority of the victims of this ongoing violence are those Hutu children and women whose prospects for the immediate future are far from bright. They are condemned to get killed only because they happened to be born Hutus.
A myriad of problems including the ignorance for them the human rights respect for those refugees since October 1, 1990 are making living conditions increasingly challenging and making the people extremely susceptible to massive rape, assassinations, arbitrary arrests and torture...
We urge you all to do something to save those refugee survivors, those children and women, and treat them as human beings who have the right to have a decent life.
We are expecting to rol up our sleeves for we are now mobilizing a lot of people of influence so that they send an investigation team in Burundi and to the Democratic Republic of the Congo to shed some light upon the way Hutu Refugees are being used, abused, assassinated, raped and deported to Rwanda where they must wear the famous Burqa (0 human and civil rights).
Please, accept our highest consideration and respect.
Jean-Christophe Nizeyimana
Executive Secretary of The Refugee SurViVors Association
A.R.G.R. - INTABAZA
N.B.: We beg all the readers who will receive this sad message to make sure they forward it to people of influence around the world. That way we shall fight, advocate and save some lives of our fellow Rwandan refugees.
Elle s’appelle UWAMUTARA Claire. Elle est Tutsie. Elle était mariée au Colonel Danny NDAHIRO de l’armée du FPR. Elle a fui le pays après l’assassinat de son mari et de son fils de 9 ans Magnifique NDAHIRO le 01 juillet 2009.
En avril 1994, UWAMUTARA Claire s’est réfugiée dans les bâtiments de la paroisse Saint Paul à Kigali. Elle fut évacuée par les militaires du FPR et ramenée au Mont Rebero.
Elle servit comme infirmière en soignant notamment les soldats blessés. Elle fit connaissance avec Danny NDAHIRO qui était alors Lieutenant et commandait l’unité Bravo. Ils se sont mariés en décembre 1996.
L’histoire de l’assassinat de son mari et des autres crimes des militaires du FPR font frémir.
Le 01 juillet 2009 à 4h00 du matin, un véhicule de police immatriculé A980R atterrit chez le couple. Parmi les personnes à bord se trouvait entre autres un officier du nom de SHAMAMBA Faustin. Prise de peur, la femme se sauve par la porte de derrière et se cache chez les voisins avec ses trois enfants, laissant son mari infirme et son fils dans la maison.
Quelques minutes après, la femme entendit son fils criant d’agonie. Faustin SHAMAMBA est un tueur à gage qui ne digérait pas Danny NDAHIRO parce qu’il s’opposait au plan d’élimination de Hutu.
Selon UWAMUTARA, à son arrivée au Rwanda, Paul KAGAME a créé un groupe de militaires de tueurs professionnels appelé GACURABWENGE et chargé d’éliminer des personnes indésirables en majorité de Hutu. Le groupe est commandé par le Capitaine Fred KATABARWA.
Danny NDAHIRO et le Lieutenant GAHIMA furent pressentis pour faire partie du groupe dont la mission était notamment d’éliminer des intellectuels hutu à l’intérieur du pays et dans les camps de réfugiés à l’extérieur du pays.
Le groupe reçut la mission d’assassiner Faustin TWAGIRAMUNGU et Pasteur BIZIMUNGU mais Danny NDHIRO s’y opposa. Il avait reçu également la mission de se rendre au Kenya assassiner Seth SENDAHONGA et LIZINDE et refusa. Ceux-ci furent assassinés respectivement par KAJOLITE et le Sergent MUNYANEZA Thomas alias LUKAMAYITI qui travaille actuellement au Ministère de la Défense.
L’une des réunions du Groupe GACURABWENGE fut tenue à l’Hôtel Novotel le 04 juin 2004. Y participaient entre autres le Président KAGAME, Tite RUTAREMARA, Rose Kabuye et Toni KURAMBA. UWAMUTARA y avait été invitée en tant qu’infirmière proche du régime car une mission allait lui être donnée.
Affectée à l’hôpital de Kimironko, il lui fut demandé d’injecter des maladies ou du poison à des patients hutu et à leurs enfants ou de les faire mourir par overdose ; couper les jambes ou les bras de tout hutu accidenté même légèrement. Ce qu’elle n’a pas exécuté. Elle fut mutée à la prison de Kigali connue sous le nom de 1930.
Là aussi l’idée était de contribuer à la mise à mort des prisonniers. Elle refusa et fut accusée par sa collègue Tutsi TRIFONIA dans des associations de rescapés. Elle fut mutée au Centre de santé de Kicukiro. Là aussi, le groupe GACURABWENGE lui donna des directives : réduire le nombre de bébés hutu et faire en sorte que sur 100 cas admis à la maternité, au moins 30 mamans et 20 nouveau-nés soient mis à mort.
Le groupe GACURABWENGE avait désigné d’autres cibles dont Pierre Célestin RWIGEMA alors Premier Ministre et un Européen prénommé RICHARD travaillant pour Amnesty International.
Après la réunion de l’hôtel Novotel, Danny NDAHIRO, qui avait posé des questions indélicates, fut arrêté. Durant sa détention, il révéla à sa femme que Paul KAGAME en personne l’a invité pour lui demander pourquoi il s’opposait au plan des tueries du FPR.
Il fut, durant cet entretien, rejoint par le commandant de la Police, Ephrem RURANGIRWA. Une délégation des associations des rescapés du génocide IBUKA et des veuves du génocide AVEGA vinrent convaincre Danny NDAHIRO d’adhérer au plan, sans succès.
Après sa détention, il fut affecté à la Commission de l’Unité et de Réconciliation et sommé de changer de nom pour s’appeler SEBERA Damascène. Il fut remplacé dans le groupe par un tueur de renom du nom de RWAKA Simplice.
Il fut réarrêté en 2007 après que le Colonel Karegeya eut échoué la mission d’assassiner Félicien KABUGA au Kenya car l’on pensait que Danny NDAHIRO l’avait influencé. Patrick KAREGEYA, actuellement en exil, avait pourtant assassiné une multitude de personnes sur demande de Paul Kagame.
Danny NDAHIRO fut détenu jusqu’en mars 2009 dans le « G2-Prison » à Kimironko, une prison secrète et souterraine, dans la parcelle d’une villa appartenant au Dr GAKUBA. Sa femme l’y a rejoint avec des tortures quotidiennes des gouttes de plastiques brûlés.
Elle fut élargie sur intervention du Colonel Charles KAYONGA mais elle avait le bras cassé. Le Dr ALFRED, un Hutu qui l’a opéré, fut à son tour mis en prison. Devenu infirme, et ne pouvant donc pas se sauver, Danny NDAHIRO fut assassiné dans sa maison avec son fils le 01/07/2009.
D’autres personnes ont été tuées parce qu’elles se sont opposées aux massacres de Hutus innocents dont le Major RUSAGARA qui n’a pas avalisé le plan d’élimination de la population de Byumba.
Le groupe de tueurs comprend également Pio MUGABO, Major Rose KABUYE, James KABAREBE, …
Le plan de tueries inclut également Laurent NKUNDA, qui durant une réunion avec Paul KAGAME au Village Urugwiro en 1999-2000, il fut décidé d’éliminer des Hutu de la RD Congo. En ce moment, Danny NDAHIRO refusa des armes pour aller au Congo et eut des démêlés avec l’adjudant MURENZI.
UWAMUTARA Claire a fui le Rwanda car les escadrons de la mort du FPR voulaient l’assassiner et même dans l’exil elle craint encore pour sa vie.
Ce témoignage date du 03/08/2009
Deux bailleurs de fonds, en l’occurrence la Suède et les Pays Bas, maintiennent la suspension de leur aide budgétaire directe au Rwanda en dépit du rapprochement entre Kigali et Kinshasa.
A la suite du rapport du groupe d’experts de l’ONU qui accusait le Rwanda de soutenir les rebelles congolais du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), les Pays-Bas et la Suède avaient décidé à la fin de l’année dernière de suspendre leur appui au budget du gouvernement rwandais.
Ce rapport avait suscité de l’indignation dans plusieurs capitales européennes. Les deux pays européens susdits n’avaient pas cru au démenti opposé par Kigali. Même la Grande-Bretagne, principal pourvoyeur des fonds du Rwanda, avait menacé ce pays de la même mesure s’il ne coupait pas le cordon ombilical avec Laurent Nkunda.
C’est cette menace qui a eu un impact et accélérer le revirement de la situation constaté sur le terrain au Nord Kivu. Aussi, laisse-t-on entendre que l’arrestation de Laurent Nkunda au Rwanda au début de l’opération «Umoja Wetu» avait pour objectif inavoué de convaincre les alliés occidentaux du Rwanda qu’il n’est pas derrière l’irrédentisme du chef historique du CNDP. Plus de sept mois après, la Suède et les Pays Bas refusent de délier la bourse, le temps de suivre l’évolution de la situation sur le terrain.
Cas de la SuèdeLa Suède octroie environ 140 millions de couronnes (soit +/- 18 millions de dollars américains) par an au Rwanda. La moitié de cette somme est destinée à l’appui budgétaire au pays, le reste étant alloué à la promotion des droits humains, la promotion de la démocratie, la coopération pour la recherche et au renforcement de capacités de la police nationale. « L’appui budgétaire, tel qu’il est aujourd’hui, reste suspendu» a déclaré à Grands Lacs Hebdo Richard Bomboma, chef de mission de la Suède pour le Rwanda et le Burundi.
Il a toutefois tenu à préciser que la décision est temporaire et que la Suède a entamé un dialogue constructif avec le Rwanda afin d’œuvrer conjointement pour une solution paisible et durable au conflit de l’Est du Congo.« Nous pouvons reprendre notre appui budgétaire si nous sommes satisfaits par l’évolution de la situation, » a fait savoir Richard Bomboma. Le diplomate suédois insiste sur la contribution du Rwanda pour le retour effectif de la paix dans la partie orientale de la RDC et l’amélioration de ses relations diplomatiques avec son voisin congolais.
Même son de cloche L’année dernière, la Hollande prévoyait en faveur du gouvernement rwandais une aide de 3 millions d’euros (3,99 millions de dollars américains) et une autre aide de 4 millions d’euros (5,32 millions de dollars) pour cette année. Soit plus de sept millions d’euros pour les deux exercices. « La situation a nettement changé. Mais, ça ne signifie pas que nous pouvons reprise immédiatement notre appui budgétaire, » a déclaré pour sa part Frans Makken, ambassadeur des Pays Bas à Kigali contacté par Grands Lacs Hebdo.
«Restaurer la confiance mutuelle est un processus qui peut prendre un peu plus de temps.»Le cas du CanadaAprès la Suède et les Pays Bas, le Canada a décidé en février de suspendre son aide au développement en faveur du Rwanda. Mais cette décision ne s’inscrit pas dans le cadre de mesures prises par certains pays européens à l’endroit du Rwanda. Madame Bev Oda, la ministre canadienne de la Coopération internationale, a déclaré à Ottawa que le Canada fournirait une aide à environ 20 pays au lieu de 25 auparavant. Parmi les pays africains qui ne bénéficieront plus des aides en provenance du Canada figure le Rwanda.
L‘Ambassadeur Frank Maier qui représente l’Allemagne à Kigali a déclaré à Grands Lacs Hebdo que le retard dans le déboursement a été dû aux problèmes bilatéraux qui ont existé entre les deux pays et à la bureaucratie interne. L’arrestation début novembre 2008 à Francfort, en Allemagne, de Rose Kabuye, directrice du protocole de l’Etat et l’une des proches du chef de l’Etat rwandais Paul Kagame, en vertu d’un mandat d’arrêt émis par la France, avait provoqué une crise diplomatique entre Kigali et Berlin.
L’ambassadeur rwandais en Allemagne, Eugène Gasana, avait été rappelé quelques jours plus tard “pour consultations” par Kigali, qui avait également exigé, et obtenu le départ de l’ambassadeur d’Allemagne au Rwanda, Christian Clages. La normalisation des relations bilatérales entre Kigali et Berlin est effective depuis le mois de janvier de cette année. A noter que la moitié du budget du Rwanda est supportée par l’aide au développement. Suspendre cette aide prive le Rwanda d’une bonne partie des ressources financières.
Pour contourner cette difficulté, Kigali est obligé de revoir ses copies et scruter d’autres horizons plus cléments.Cependant, les autorités rwandaises ne sont pas inquiètes outre mesure. Paul Kagame est l’un des rares Chefs d’Etat du continent qui n’exagère pas l’importance des aides extérieures.
Il a déjà réagi à la décision de la Hollande et de la Suède de retirer leur appui budgétaire au gouvernement rwandais à la suite du rapport des experts des Nations Unies qui accuse le Rwanda de soutenir le CNDP. Le Chef de l’Etat rwandais qui a toujours soutenu que «l’aide ne sert qu’à devenir indépendant de l’aide», a appelé ses compatriotes, - et particulièrement le secteur privé-, à travailler d’arrache-pied pour que le pays sorte progressivement de l’engrenage de l’assistance.
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COMMUNIQUE DE PRESSE
A l’approche de l’échéance électorale présidentielle de 2010 au Rwanda le régime politico –militaire FPR au pouvoir depuis 15 ans( juillet 94 - Août 2009) qui confisque et monopolise tous les pouvoirs du peuple rwandais souverain :pouvoir politique, pouvoir judiciaire, pouvoir législatif ,pouvoir militaire, pouvoir économique et financier, vient de prouvé à l’opinion nationale et internationale qu’il détient en plus le pouvoir absolu sur la presse et les libertés d’expression et d’opinion par la décision de suspendre le journal indépendant UMUSESO pour de raison politique.
Cette décision que condamne avec la dernière énergie UDFR –IHAMYE démontre au peuple Rwandais qu’il y a à la tête de notre Cher Pays le Rwanda un petit groupe qui utilise le nom du Peuple Rwandais pour accumuler tous les pouvoirs et toutes les richesses et qui par conséquent constitue une menace pour la liberté d’expression et de communication indispensables pour un pays à la recherche d’un nouvel équilibre pour le vivre ensemble.
UDFR – IHAMYE convaincu que le Fédéralisme est la seule chance pour le Rwanda lance un appel urgent à tous les partis politiques d’opposition extérieure et intérieure au régime FRP parti –Etat à Kigali afin de s’organiser en ALLIANCE POLITIQUE DE L’OPPOSITION RWANDAISE (A .P.O.R) et se mobiliser pour peser sur les décisions et défis futurs concernant l’avenir de notre cher pays le
Rwanda qui fait face à un régime qui à mis à genoux le peuple Rwandais martyrisé sans voix.
Cette Alliance Politique de l’Opposition Rwandaise sera une entente entre les partis politiques d’opposition ayant en commun les mêmes idéaux et la même ligne politique pour renforcer une position commune afin de travailler de concert pour exiger le dialogue, les négociation politiques et les changements du système politique actuel au Rwanda avant l’échéance 2010.Car après 2010 ça sera trop tard et le peuple sera condamné à la dictature, à la répression, à l’injustice sociale, à la pauvreté jusqu’en 2020.
Pour UDFR –IHAMYE les élections 2010 sont sans objet et ne vont pas résoudre les problèmes politiques actuels ,donc ils ne doivent pas être pour les opportunistes et les ennemis du peuple Rwandais une occasion pour le marchandage politique avec seul but d’obtenir des postes ministériels etc.… au détriment des années d’attentes de la population à la vraie démocratie ,à la paix, à la réconciliation, à l’unité, à la justice sociale et équitable, à la réparation équitable des victimes des massacres et génocide, à la stabilité politique aussi bien au Rwanda que dans la sous région pour rendre possible le vivre ensemble avec les diversités par un dialogue inter rwandais et une transition.
UDFR – IHAMYE salue le sommet de Goma ayant permit la rencontre de deux présidents celui du Rwanda et du Congo mais nous attirons l’attention de l’opinion internationale sur le volte face du régime de Kigali qui œuvre non seulement pour la paix durable dans la région mais pour la permanence des situations de guerre dans l’Est par sa stratégie de diabolisation à outrance de la rébellion rwandaise et refus de dialogue et de négociation politique avec l’opposition armée et non armée afin de continuer de bénéficier des aides financières américaines et anglaises !
UDFR –IHAMYE se réjouit de la visite de Madame Hillary Clinton Secrétaire d’Etat américain dans l’Est de la RDC afin de constaté des conditions inhumaines que les conflits politiques du Rwanda ont engendrés aux populations congolaises civiles innocentes, et que le temps est venu pour que les USA et la Grande Bretagne arrêtent le soutien au régime Kagame dont le bilan en processus de démocratisation est lourdement négatif au Rwanda avec ses conséquences dans la sous région.
UDFR –IHAMYE dénonce en même temps les violations des droits des réfugiés rwandais en Ouganda, au Kenya, au Canada victimes des campagnes et menaces de refoulement forcés vers le Rwanda orchestré par le régime FPR qui craint que cette population rwandaise réfugiée ne soit récupérée par l’opposition vue l’échéance électorale présidentielle 2010.Au Rwanda, la sécurité de ces réfugiés ne sont pas garanties et ils risquent d’être accueillis en prison où nombreux disparaîtront.
Nous rappelons que le statut des réfugiés repose sur le droit international des réfugiés notamment la convention de Genève de 1951.Le principe de non- refoulement interdit en particulier le renvoi de réfugiés dans des pays où ils seraient mis en danger de mort leurs vies ou menacés dans leur intégrité physique.
Le HCR veuille sur eux, avec le concours d’organisations internationales, et les aides à revenir au pays ou à rebâtir leur vie dans un pays d’accueil.
Le régime FPR qui fait son bonheur sur les malheurs de la population rwandaise doit savoir que si ces rwandais en majorité des jeunes de 18 et 20 ans traversent les frontières chaque jour et se refugient dans les pays voisins( RDC, Ouganda…) c’est pas par plaisir mais par nécessité , parce qu’ils fuient les injustices et inégalités sociales dans l’enseignement primaire et secondaire par la suppression de la langue française remplacée par l’anglais, et le coût de la scolarité et de la vie pour les couches les plus pauvres.
Et pour de nombreux adultes ils fuient la répression, la prison, le Gacaca où les mensonges et calomnies sont devenus des instruments que se servent des groupes des rescapés politisés et endoctrinés dans le mal pour faire entrer en prison avant l’échéance prochaine des GACACA et des élections 2010 un grand nombre des rwandais influents soupçonnés des contacts avec l’extérieur ou l’opposition et disposant des moyens financiers ou des biens immobiliers qui pourraient être confisqués par IBUKA une des branches du FPR.
Nous voulons rappeler que l’UDFR –IHAMYE croit fermement à la démocratie – fédéraliste et prône la gestion collégiale et consensuelle de tous les pouvoirs au Rwanda pour ramener la réconciliation, la justice sociale équitable, la fin des conflits armés dans l’Est de la RDC, la paix durable au Rwanda et dans la sous région.
Et qu’il y a des préalables que sont : les dialogues Inter –Rwandais pour parler sans tabou de tous les problèmes Rwandais, la mise en place d’un gouvernement de transition et de réconciliation nationale qui s’attèlera aux questions fondamentales pour la mise en place des nouvelles institutions de l’Etat par la réforme de la constitution, et lancera un appel au retour de tous les réfugiés rwandais pour reconstruire ensemble LE RWANDA.
Notre vision « faire du Rwanda le meilleur exemple de démocratie participative par le fédéralisme consensuel, de paix durable, de vivre ensemble et déclenché un développement socio économique par tous et pour tous en Afrique et dans la sous région. Car tous les malheurs sur le Rwanda hier, aujourd’hui comme demain l’origine c’est la gestion du pouvoir et du passé.
Nous croyons en la politique inclusive qui n’exclut personne et qui voudrait tout simplement dire la participation effective de tous les fils et filles du Rwanda, sans distinction de sexe, d’ethnie, de religion, de langue, de provenance, d’âge…C’est la seule manière qu’au Rwanda nous parviendrons à préservée la paix durable et l’unité nationale, éléments indispensables au développement durable de notre cher pays le Rwanda à Tous.
Enfin, l’élection de Barack OBAMA comme premier président noir des USA nous a permit, nous membres fondateurs de l’UDFR-IHAMYE d’avoir une autre conception de ce que doit être le vivre ensemble dans une diversité et la gestion de pouvoir. Les blancs, les noirs, et les autres minorités tous étaient unis derrière un seul homme sur base de sa vision et son idéal pour les USA. Aujourd’hui Barack OBAMA n’est ni le président des noirs américains, ni le président des démocrates (son parti), ni d’un clan …comme l’AKAZU FPR au Rwanda. Non, BARRACK OBAMA Il est le président de tous les citoyens américains…
Par conséquent, UDFR –IHAMYE fort de cette influence positive américaine et d’autres pays comme le Ghana, la Suisse, le Canada, l’Allemagne, etc.… qui servent d’exemple de modèle de démocratie dans un système fédéral à travers le monde aidera les Rwandais à construire une véritable société d’état de droit , de justice sociale et équitable et de paix durable.
Car comme l’a dit le Président des Etats – Unis Son excellence Monsieur Barack OBAMA dans son discours d’Accra le 11 juillet 2009 je cite « Nous sommes convaincus que le Rwanda, pour s’en sortir n’a pas besoin d’homme fort, mais a plutôt besoin d’institutions fortes et cohérentes »
Vive le Rwanda
Unis, nous vaincrons
Fait à Reims, le 9 Août 2009
Le Président UDFR –IHAMYE
Boniface HITIMANA
Upon touring Rwanda, the following question might surely pups up in one’s mind: why are there so many genocide memorials scattered throughout Rwanda? Without any doubt, most people might proudly respond: for remembrance.
In reality, don’t they constitute a powerful weapon for domestic and foreign policies for Kagame and his authoritarian regime? Don’t they also constitute permanent sanctuaries that continue to fuel ethnic hatred between Hutus and Tutsis in Rwanda?
Rwanda is the only country where there are more memorials in the world, in numbers and per head of population per square kilometer. Indeed, in each village, each city, apparently for the so called “do not forget” slogan, there is a genocide memorial in memory of Tutsi victims of the Rwandan genocide in 1994.For instance, the Gisozi genocide memorial in Kigali City, which comprises more than 250,000 of body remains, is the most visited, and of course, the most expensive one.
Indeed, it is true that the establishment of the exact identity of each victim would not be an easy task. Such an operation would rather be so costly and difficult given the circumstances in which various massacres occurred. During the one hundred days of the Rwandan genocide, the unspeakable animosity of some people against others made it possible for Interahamwe militia and RPF soldiers, to behave as a butcher at work in his butchery.
Unspeakable abomination but true!Beyond the sensitivity of this issue and the duties of remembrance that are of course important without any doubt, wouldn’t be appropriate for all Rwandan citizens and all friends of Rwanda to ask themselves the following question: are these numerous genocide memorials whose maintenance costs millions Rwandan francs -funds that could be spent on many development projects crucially needed– really fostering reconciliation in Rwanda?
Isn’t it true that these memorials have really become sanctuaries of ethnic hatred and antagonism between Hutus and Tutsis rather that an instrument of national unity?Upon coming to power in 1994, the RPF regime claimed that the genocide against the Tutsis and moderate Hutus took place in Rwanda from April to July 1994.
This genocide was stopped when RPF soldiers captured Kigali City on July 4, 1994.In 2003 a new Rwandan constitution has been adopted. In its that Article 14 it is written that “The State shall, within the limits of its capacity, take special measures for the welfare of the survivors of genocide who were rendered destitute by the genocide committed in Rwanda from October 1st, 1990 to December 31st, 1994, the disabled, the indigent and the elderly as well as other vulnerable groups.
Last year, the above article has been amended to include that from now on the constitution will refer to the 1994 genocide as a “genocide committed on Tutsis” not “against Tutsis and moderate Hutus” as previously stated.Such manipulations of the Rwandan constitution may at least in part explain why human rights advocates reject Kagame's view that Rwandans must view themselves only as Rwandans and stop using the words "Hutu" and "Tutsi."
This may also somehow explain why many Rwandans albeit in Rwanda or scattered worldwide do not necessarily recognize themselves in annual ceremonies organized by the RPF regime for the commemoration of the Rwandan genocide.Upon visiting one of these genocide memorials, how does a Rwandan feels about his or her fellow citizen from a different ethnic background?In case of a Tutsi, he or she might be attempted to blame all Hutus, who could therefore all be readily seen as reckless murderers, or simply an incarnation of evil.
In case of a Hutu, a Hutu who knows what the truth about what really happened before, during, and after those one hundred days of genocide, he or she will feel afflicted by an unprecedented history of injustice.Africans recognize each other in their way of thinking.
There is no doubt that only an African can thoroughly understand the reasoning of another African mostly owing to the fact that the cartesianism theory is still to a very large extent limited to Westerners.
What about a foreign visitor, knowing that it is only on Hutus - following numerous lie propagandas perpetrated by Kagame and his acolytes – that the international community in its little impartiality if any, has chosen to put the collective responsibility for this tragedy in Rwanda?
Any world citizen with good will should have the courage to admit and say loud and crystal clear, that Rwanda’s genocide memorials, which look more likely as fortress of the inter-ethnic hatred, are not conducive to the indulgence, forgetting, reconciliation and sincere and harmonious coexistence between Rwandans of all ethnic backgrounds, aimed at promoting the emergence of a genuine republican and democratic society, free of all the demons of hatred and inter-ethnic civil wars.
It is therefore wise to recognize that there is a real risk for both Rwandans and foreigners, that some people will eventually get persuaded by numerous RPF lie propagandas about the root cause of the Rwandan tragedy, that all Hutus- who are wrongly labeled as the only bad guys, hence guilty- should be tracked down or be locked up, in a sense of global and permanent conviction, and that it is a right thing to strike them indefinitely for their heinous crimes.
For these past 15 years, such an attitude gave to Kagame the green light to monopolize all powers to the expenses of the Rwandan people except for a few families close to Kagame, under the umbrella of countering attempts to exterminate part of the Rwandan population by extremists Hutus, although all Rwandans know that Kagame was the mastermind of the Rwandan genocide and one of the key players in the massacres of innocent civilians that ravaged Rwanda and are still going on in DRC.
As a result, such a scenario has led to the current political deadlock in Rwanda, which might be tackled by good political initiatives or attempts to hold a genuine political dialogue highly inclusive of all Rwandans. Such an inter-Rwandan dialogue should aim at bringing about true national reconciliation, real security, development and lasting peace, which are of vital interest, for Rwanda, DRC, and the African Great Lakes region as a whole.
Le Pacte de Défense du Peuple (PDP) salue la tournée en cours de la Secrétaire d’Etat américaine Mme Hillary Clinton en Afrique quelques semaines seulement après la brève visite effectuée à Accra au Ghana par le Président américain Barack Obama qui y a prononcé un important discours axé sur la politique africaine de son Administration.
Le PDP se félicite en particulier de voir la Secrétaire d’Etat américaine visiter la République démocratique du Congo et être ainsi au contact direct avec la grave crise humanitaire engendrée par des conflits récurrents qui ravagent cet immense pays depuis tant d’années.
Le PDP souhaite néanmoins qu’à cette occasion, la Chef de la diplomatie américaine et ses hôtes puissent aller au-delà de cette crise qui n’est que la conséquence logique d’une problématique politique régionale très complexe qu’on a laissé pourrir depuis la guerre et le génocide qui ravagèrent le Rwanda en 1994.
Le PDP se joint ainsi aux voix de plus en plus nombreuses à travers le monde, qui pressent la Communauté internationale de rouvrir le dossier Rwanda afin d’optimaliser les chances de la paix et de la stabilité en Afrique des Grands Lacs, une partie du monde ou les êtres humains semblent compter pour si peu.
Tout en reconnaissant l’urgente nécessité d’une solidarité régionale et internationale face à la tragédie qui décime le Nord-Kivu et le Sud-Kivu dans l’Est de la RDC, le PDP demande à la nouvelle Administration américaine de prendre en compte le rôle déstabilisateur joué par le régime du Général Paul Kagame dans cette guerre particulièrement meurtrière et de ramener le dictateur à la raison.
En effet, la survie du régime Kagame dépend, au moins en partie, de la persistance de l’instabilité dans l’Est de la RDC. D’où l’entretien des conflits en cours dans ce pays par la junte militaire qui terrorise le peuple rwandais depuis 15 ans.
C’est dans cette optique que Kigali entend imposer au monde entier sa vision superficielle et manipulée de la crise des Grands Lacs d’Afrique en insistant sur les conséquences de celle-ci plutôt que sur ses causes. Ainsi s’est installé dans l’opinion l’idée que les rebelles Hutu Rwandais des FDLR constitueraient « la principale source d’instabilité » dans la région.
Le PDP demande aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, principaux soutiens au régime Kagame, de prendre acte du fait que le drame qui ravage l’Est de la RDC est un embrasement criminel dont personne au monde ne saurait éteindre le foyer qui se trouve au Rwanda par la seule force militaire.
Nous lançons un appel pressant à ces deux puissances pour qu’elles se prononcent rapidement et sans détour en faveur d’un Dialogue inter rwandais hautement inclusif (DIRHI), seule instance, à notre avis, en mesure de mettre un terme aux rébellions rwandaises.
Les alliés et les protecteurs de la dictature qui sévit au Rwanda ne sauraient ignorer le fait patent que la politique de la revanche permanente, conduite au Rwanda par Paul Kagame et son clan, hypothèque lourdement l’avenir du pays des mille collines.
Certains, pour apaiser leur conscience apparemment encore troublée par leur attitude face au drame de 1994, sont surpris en flagrant délit de soutien et d’encouragement à une politique d’apartheid de plus en plus développée dans notre pays.
Il s’avère en effet que le Général Kagame et ses lieutenants qui tentent aujourd’hui de se faire passer pour des prédicateurs de l’unité et de la réconciliation nationales ont, depuis bien longtemps, succombé à la tentation de l’apartheid.
Leur politique d’étouffement de toute liberté de pensée à l’intérieur du Rwanda, d’humiliations quotidiennes infligées volontairement à une composante entière de notre peuple ainsi que leurs choix stratégiques en matière de politique internationale notamment dans la région de l’Afrique des Grands Lacs, se révèlent à court terme catastrophiques, à moyen terme explosifs et à long terme suicidaires.
L’Administration américaine sait sans doute qu’il va falloir un jour remettre le dossier Rwanda sur la table. Il vaudrait mieux que cela soit fait avant qu’il ne soit trop tard.
Dans une certaine mesure, le Rwanda et la région de l’Afrique des Grands Lacs se profilent à l’horizon comme un véritable test de sincérité et de cohérence de la nouvelle politique africaine des Etats-Unis d’Amérique telle que définie dans le discours d’Accra.
Fait à Kinihira, le 09 Août 2009
Déogratias Mushayidi
Président du PDP
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Rwanda/RDC:Les FDLR condamnent sans réserve les propos propagandistes, diffamatoires et mensongers tenus par M. Alan DOSS à Kigali le 2 août 2009 à l’endroit des FDLR./.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made by Mr Alan DOSS in Kigali on 2 August 2009 against the FDLR
Les FDLR condamnent sans réserve les propos propagandistes, diffamatoires et mensongers tenus à Kigali le 2 Août 2009 par M. Alan DOSS, Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC et publiés par le journal du régime de Kigali « The New Times » selon lesquels les FDLR seraient responsables de la violence qui sévit actuellement à l’Est de la RDC et que les responsables des FDLR devraient être traduits en justice.
Les FDLR condamnent une fois de plus la guerre que la tripartite composée des armées du dictateur Kagame, de Kabila et de la MONUC ont imposée aux peuples épris de paix de la Région des Grands Lacs de l’Afrique ainsi que tous les divers crimes graves contre l’humanité dont sont victimes le peuple congolais ainsi que les réfugiés Hutu rwandais se trouvant à l’Est de la RDC. Les FDLR demandent encore une fois que des enquêtes neutres et impartiales soient diligentées pour traduire les responsables de tous ces crimes devant la justice.
Les FDLR rappellent que la crise humanitaire en cours à l’Est de la RDC ainsi que tous les divers crimes qui l’accompagnent sont le résultat direct de cette guerre que des ennemis de la paix et leurs sponsors ont imposée aux peuples rwandais et congolais pour les assujettir et s’emparer des énormes richesses dont regorge la Région des Grands Lacs d’Afrique.
Les FDLR restent convaincues que ces va-t-en-guerre qui occupent actuellement des postes-clés qui les protégent aussi bien dans les gouvernements rwandais et congolais que dans des organismes internationaux devront tôt ou tard répondre de leurs actes devant la justice.
Les FDLR demandent aux peuples de la Région des Grands Lacs d’Afrique, aux médias et à la Communauté Internationale d’être vigilants et de ne pas se laisser manipuler par des propos de M. Alan DOSS dont le soutien aveugle et sans limite au régime criminel et sanguinaire de Kigali n’est plus à démontrer.
Les FDLR restent convaincues que ni la guerre, ni les sanctions injustes et inutiles ne pourront les faire dévier ou reculer de leur noble objectif principal qui est et reste la libération du peuple rwandais.
Les FDLR invitent toutes les femmes et tous les hommes épris de paix d’œuvrer pour la tenue de négociations directes entre les FDLR et le régime criminel de Kigali afin de mettre en place des institutions véritablement républicaines et démocratiques au Rwanda et de mettre fin par des voies pacifiques au régime hégémonique, sanguinaire et dictatorial qui s’y est installé.
Fait à Paris, le 6 Août 2009
Callixte Mbarushimana
Secrétaire Exécutif des FDLR
(Sé)
FDLR PRESS RELEASE NR 01/SE/CD/AUGUST/2009.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made by Mr Alan DOSS in Kigali on 2 August 2009 against the FDLR.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made in Kigali on 2 August 2009 by Mr. Alan DOSS, Special Representative of the UN Secretary-General in the DRC and published by the Kigali regime journal "The New Times” according to which the FDLR would be responsible for the ongoing violence in eastern DRC and that the leaders of the FDLR should be brought to justice.
The FDLR condemn once again the war that the tripartite armies of the dictator Kagame, Kabila and MONUC have imposed on peace-loving peoples of the Great Lakes Region of Africa and condemn all various crimes against humanity committed against the people of Congo and against Rwandan Hutu refugees located in eastern DRC. The FDLR call once again for neutral and impartial investigations to be conducted in order to bring the perpetrators of these heinous crimes to justice.
The FDLR remind the public that the ongoing humanitarian crisis in eastern DRC and all various crimes that accompany it are a direct result of this war that enemies of peace and their sponsors have imposed on the peoples of Rwanda and Congo in order to enslave them and plunder the enormous wealth of the Great Lakes Region of Africa.
The FDLR remain convinced that the warmongers that occupy key positions which protect them both in the Rwandan and Congolese governments as well as in international institutions, will sooner or later answer for their acts before justice.
The FDLR urge the peoples of the Great Lakes Region of Africa, the media and the International Community to be vigilant and not allow themselves be manipulated by statements of Mr Alan DOSS whose blind and boundless support to the criminal and bloody Kigali regime is evident.
The FDLR remain convinced that neither war nor unjust and useless sanctions can deflect them or back them away from their noble and main objective which is and remains the liberation of the people of Rwanda .
The FDLR urge all peace-loving women and men to work for direct negotiations between the FDLR and the criminal regime of Kigali in order to develop truly republican and democratic institutions in Rwanda and to put an end by peaceful means to the hegemonic, bloody and dictatorial regime installed there.
Done in Paris, on 6 August 2009
Callixte Mbarushimana
Executive Secretary of the FDLR (Sé)
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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