Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Wednesday, March 4, 2015
L’auteur est avocat et fonctionnaire de l’ONU, André Sirois a notamment contribué à mettre sur pied le Tribunal international pour le Rwanda de 1995 à 1997.
L’anniversaire des massacres du Rwanda devrait être enfin l’occasion de revoir la version des faits partisane et mensongère que, bien souvent pour des raisons inavouables, l’on tente de nous imposer depuis 20 ans. J’ai participé à la mise sur pied du Tribunal international pour le Rwanda de 1995 à 1997 et depuis, je suis étonné de voir la facilité avec laquelle est acceptée une version qui devrait être critiquée très sévèrement.
Il est impossible d’entreprendre de corriger ou de questionner ici toute la masse d’informations fausses que l’on nous assène ainsi. Je voudrais cependant indiquer quelques questions de fond que l’on devrait se poser à la lecture d’un texte au sujet des massacres du Rwanda.
Combien y a-t-il eu véritablement de victimes? 800 000 ou un million? Si l’auteur utilise un de ces chiffres, il faut s’inquiéter tout de suite : cela veut dire qu’il n’a fait que reprendre n’importe quoi sans rien vérifier ni critiquer. On ne connaît pas le nombre de victimes; personne n’a jamais pu l’établir. Depuis 20 ans, à tous ceux qui me mentionnent un chiffre à ce sujet, je demande méthodiquement d’où ils le tiennent. Il est impossible d’avoir une réponse.
La seule explication qui semble assez près de la réalité, c’est que, pendant les massacres, un employé de la Croix-Rouge internationale a fait un calcul approximatif des personnes disparues de son agglomération, Hutus et Tutsis confondus, puis il a fait une extrapolation pour l’ensemble du pays qui l’a amené à dire qu’il pourrait y avoir eu à ce moment-là environ 200 000 morts au Rwanda.
Quelques jours plus tard, le ministre des Affaires étrangères d’Allemagne affirmait qu’il y en avait 500 000. Personne n’a jamais pu savoir d’où il tenait ce chiffre. Puis, des ONG américaines –pour amener le gouvernement américain à parler de génocide, ce qui, en droit américain, l’aurait obligé à intervenir– ont commencé à affirmer qu’il y avait un million, non pas de disparus de toutes origines, mais un million de victimes tutsies.
En arrivant à Kigali un peu plus tard, je me suis mis à demander d’où venait ce chiffre; personne n’a jamais pu me répondre et beaucoup voyaient dans ma question un manque de respect pour les victimes et une expression de sympathie envers les génocidaires.
Je considérais, et je considère encore, que dans cette affaire, la vérité est déjà assez monstrueuse et terrible –une seule innocente victime est une victime de trop– et je craignais qu’en répétant n’importe quoi le Tribunal mette en jeu sa crédibilité.
On a fini par démontrer qu’il était absolument impossible qu’il y ait eu un million de victimes tutsies et on s’est alors rabattu sur le chiffre tout aussi fictif de 800 000. Rappelons que les experts estiment que la population du Rwanda était de 6 à 7,5 millions de personnes; les Tutsis constituaient de 10 à 15% de ce nombre, c’est-à-dire qu’ils étaient de 600 000 à 1 125 000 personnes.
C’est clair qu’il ne peut y avoir eu un million de victimes et probablement pas 800 000 non plus si on tient compte des survivants au Rwanda et à l’étranger ainsi que des morts naturelles et accidentelles. Donc, prudence si votre interlocuteur utilise ce chiffre fictif, voire fantaisiste.
Autre question : pourquoi le Tribunal international pour le Rwanda n’a-t-il jamais enquêté sur l’attentat commis contre l’avion présidentiel qui a déclenché les massacres que l’on connaît? C’était bien à l’intérieur de son mandat pourtant. Pourquoi ne l’a-t-il pas fait?
Ou plus exactement, pourquoi, après avoir finalement demandé à l’enquêteur Michael Hourigan de faire cette enquête, la Procureure du Tribunal, Louise Arbour, a-t-elle enterré son rapport et a-t-elle mis fin à l’enquête? Pourquoi enquêter sur tous les massacres du Rwanda et refuser des rechercher les responsables de l’attentat qui en est la cause? C’est tout à l’honneur de la France d’avoir tenté de le faire.
Pourquoi le Tribunal n’a-t-il jamais fait de véritable enquête sur les atrocités commises par les Tutsis ougandais, le Front patriotique rwandais (FPR)? Poser la question, c’est y répondre.
Dès mon arrivée au Rwanda, voyant l’ingérence ouverte du FPR et de certaines ONG américaines dans le travail d’enquête et de mise en accusation du Tribunal, j’en suis venu à la conclusion –et je l’ai annoncée–que dès que nous commencerions à enquêter sur les atrocités du FPR, nous serions chanceux si on nous permettait de nous rendre à l’aéroport pour quitter le pays.
Or quand Carla del Ponte a voulu entreprendre ce type d’enquêtes, elle a été contrainte de venir à Kigali présenter des excuses à Kagamé, et elle a finalement perdu son poste de Procureure du Tribunal.
S’agissant des deux questions qui précèdent, il faut bien garder à l’esprit que le gouvernement rwandais s’est opposé vivement et très officiellement à la création du Tribunal par les Nations Unies. Qu’avait-il à craindre de la création d’un tel tribunal? N’était-ce pas ce que la communauté internationale pouvait faire de mieux pour les victimes et les familles de victimes? De même, et il s’est toujours opposé aussi à toute enquête sur l’écrasement de l’avion présidentiel.
Pourquoi, s’il n’a rien à se reprocher, et si, comme il le dit, les responsables sont des hutus? L’écrasement de l’avion présidentiel et les atrocités du FPR constituent deux sujets d’enquête légitimes, intéressants, essentiels même pour établir l’entière vérité sur ce qui s’est passé alors.
Le gouvernement rwandais de Kagamé a préféré entreprendre une campagne de culpabilisation de la communauté internationale, qui lui est beaucoup plus profitable financièrement : qui peut expliquer en quoi juridiquement la communauté internationale aurait le devoir de payer pour des crimes commis par des Rwandais – et des Tutsis ougandais – contre des Rwandais?
Il faut bien voir que dans ces décisions diplomatiques et dans ces procès médiatisés, les victimes et les familles de victimes comptent très peu ou pas du tout. Je l’ai dit à des familles de victimes avant de quitter le Rwanda (j’étais l’un des seuls employés du Tribunal à avoir des contacts directs et soutenus avec les familles de victimes): comme personne ne peut ressusciter les victimes, ni établir la vérité ou punir les vrais coupables, les familles des victimes auraient dû demander l’abolition du Tribunal qui n’était qu’un tremplin pour carriéristes et qu’un écran de fumée masquant d’inavouables intrigues de politique internationale.
Même les accusés comptaient très peu dans ce spectacle. On en a eu une belle preuve avec le bourgmestre de Taba Jean-Paul Akayesu. Il a eu la malchance d’être le premier accusé à passer devant le Tribunal, alors que depuis déjà trop longtemps, les États membres de l’ONU, après y avoir englouti plus de 350 millions de dollars selon certains, demandaient des résultats. Or pour un Tribunal, des résultats, c’est des procès et, de préférence, au moins une condamnation.
Plus on avançait dans le temps, plus on investissait, moins la présomption d’innocence avait d’importance. Le malheureux Akayesu a été condamné à l’emprisonnement à vie sur la foi de déclarations de témoins « instantanés » qui sont apparus trois ans et demi après les faits, et ce, après que l’enquête à Taba – à laquelle j’ai participé – eut permis de voir que les témoins présentés comme témoins à charge se contredisaient, n’avaient rien à dire ou même le défendaient.
J’ajouterai que lorsque j’étais au Tribunal, nous savions que pour 25 $, n’importe qui pouvait s’offrir une brigade de six faux témoins qui viendraient raconter n’importe quoi aux enquêteurs et peut-être même aux juges. Très utile pour qui veut se débarrasser d’un rival ou d’un concurrent.
À qui profite le crime? Dans cette affaire, il profite à des Tutsis de l’Ouganda qui, trois ou quatre générations plus tard, « reviennent » au Rwanda en libérateurs, en envahisseurs ou en occupants. Cela pose de graves questions de droit international.
C’est comme si, en 1945, au moment de la Libération, les soldats canadiens-français, se prévalant de leurs origines et du fait qu’ils libéraient la France, avaient proclamé qu’ils « revenaient » dans ce pays et y avaient imposé leur administration.
La question se pose alors pour les Rwandais comme pour nous tous de savoir quels sont les droits d’une armée d’étrangers qui vient « libérer » un pays, ou sauver une minorité à l’intérieur d’un pays, et qu’elle en prend le contrôle? Cette armée a-t-elle le droit de prendre le pouvoir et de s’y installer indéfiniment? Sinon, pendant combien de temps?
Quelques exemples viennent à l’esprit: la question s’est posée aux Américains et aux Alliés lors de la libération de la France, comme le confirment des documents rendus publics récemment. Étaient-ils une armée de conquérants ou une armée de libérateurs? Ils ont choisi d’être des libérateurs puis sont rentrés chez eux.
Le même problème s’est posé aux Vietnamiens lorsqu’ils sont allés délivrer les Cambodgiens des Khmers rouges. Ils sont ensuite retournés dans leur pays.
À Kigali, après 20 ans d’occupation, les « libérateurs » ougandais eux ne parlent pas de rentrer dans leur pays et personne ne se risque à leur poser la question. Outre les victimes des massacres de 1994, il y a aussi les victimes actuelles : les Tutsis et les Hutus du Rwanda qui n’ont plus un mot à dire chez eux parce que s’ils parlent, on les accusera d’avoir survécu par complicité avec les génocidaires.
L’autre victime, c’est aussi la démocratie, la vraie. Comme les Hutus représentent 85 % de la population du Rwanda, ils pourraient facilement s’élire un gouvernement, ce que les politiques tutsis ougandais ne sauraient tolérer.
Rappelons qu’un ancien président du Burundi, qui avait à peu près la même composition démographique que le Rwanda, n’hésitait pas à dire peu avant les massacres du Rwanda que le Burundi devait se débarrasser de « l’excédent de Hutus » (soit 70% de la population du Burundi).
Une autre question et pas la moindre : pourquoi continue-t-on de répéter avec insistance la thèse du génocide « programmé » et « planifié » par des « extrémistes » hutus qui fonde la soi-disant légitimité du régime du général Kagamé alors que tous les jugements du Tribunal international, sauf un, en première instance comme en appel, ont établi que cette thèse n’avait aucun fondement?
Sans parler des questions concernant l’assassinat de plusieurs critiques et adversaires de Kagamé et concernant toute l’administration du système de justice expéditive des gacacas qui, dans bien des cas, n’ont de justice que le nom.
Il s’agit là de quelques questions fondamentales qui sont ignorées, voire escamotées, par la légende officielle et qui demeurent sans réponse.
Il y a eu au Rwanda de terribles massacres et il y a eu un très grand nombre de victimes d’horreurs indescriptibles. Et justement le simple respect dû à ces victimes nous impose le devoir de chercher la vérité, toute la vérité, de trouver les responsables et de ne pas dire n’importe quoi ni permettre que ces victimes soient instrumentalisées au profit de quelques-uns.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Thursday, February 26, 2015
BLOCKREPORTRADIO.COM
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Activist
Claude Gatebuke of the African great lakes action network talks about what is
going on currently in Congolese and Rwandan politics; like Kabila and Kagame
trying to extend their presidential terms. You could go to www.blockreportradio.com to hear more on the topic and on other pan African
topics.
Human Rights Concerns
Rwandan engagements in the East Congo continue to perpetuate violence in the region. In January General Laurent Nkunda, the leader of the Congolese Tutsi militia (CNDP) was arrested and held in Rwanda. Meanwhile, the Rwandan government came to an agreement with the Congolese government to collaborate in attacking the Rwandan Hutu militia (FDLR). Roughly 7,000 Rwandan troops entered the Democratic Republic of Congo in late January 2009 to begin military operations. Amnesty International was concerned that the increase in military activity endangered the civilian population, especially after the end of the operation.
It is feared that Rwanda’s continuing support of militias is linked to participation in the trade of natural resources that has fueled the arms trade in the region. In Rwanda itself, the Kagame government, which had squelched the political process in its elections, continued to impose strict restrictions and to arrest journalists who voiced criticisms of the government. At the same time, a long held prisoner of conscience, the journalist Dominique Makeli, was released. A prisoner of conscience and journalist detained almost 12 years without trial, he was released by a Gacaca tribunal on Oct 16, 2008.
The restrictions on human rights NGOs eased somewhat, but still continued to prevent them from operating freely. Gacaca trials continued, with reports of witnesses being intimidated, and thousands arrested after their initial releases, increasing the prison population to more than 60,000 — the majority of whom remain incarcerated on charges of participating in the genocide. Many are held without any charges. The Rwandan government continues relatively frequently to charge individuals with participation in the genocide, resulting in the long-term imprisonment of opposition political candidates and the repression of the press and human rights organizations.
Prisoner of Conscience Francois-Xavier Byumba
The case of prisoner of conscience Francois-Xavier Byumba, a long-standing human rights defender and activist for an NGO dealing with children’s rights, involves a judgment of guilty in a trial Amnesty International considers unfair. Byumba, was sentenced to 19 years' imprisonment on May 27, 2007, after an unfair trial by the gacaca community court in the Bilyogo sector of Kigali.Turengere Abana, the organisation François-Xavier Byuma chairs, had looked into allegations that the judge presiding over the trial had raped a young girl. The judge therefore had a clear conflict of interest in the trial. The Appeals court decided on August 18, 2007 that the first instance verdict should stand, and the sentence of 19 years' imprisonment would remain. The court did not motivate its verdict, and gave no explanation on whether it had considered the question of impartiality of the judge in first instance. This failure by the court amounts to a gross miscarriage of justice. Amnesty International has called for a review of this case in line with international standards of fair trial.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sunday, February 22, 2015
By Bosco Mutarambirwa
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
“According to Paul Kagame, FDLR is an “organization of genocidaires”. This is a slogan that the UN and Feingold have picked up fast, because they think it works. Perhaps Kagame should sue them for stealing his line of deception.”
The United Nations is a political organization whose operations are largely financed by governments of the world’s richest countries. These governments work to protect the interests of their business enterprises. These business enterprises have one single important objective, that is, to maximize profits for their shareholders. These shareholders and their business enterprises are the main source of tax revenues for their respective governments. The higher the profits the higher the taxes. Governments use these taxes to pay their membership dues to the UN which in turn uses it to pay for flashy cars and exotic trips for its staff around the world. It is a lifestyle many of these UN employees cannot afford anywhere outside the UN system.
Here’s the good news: they have killed the body, but they have not killed the soul, and – most importantly – they have not killed Gaddafi’s and Sankara’s grand ideas.
To maximize profits, multinational business organizations can either take advantage of cheap labor in China and India (while it lasts) and/or exploit the poor uneducated people of Africa. The last option was applied in South and Central America for a long time, but things there have gotten tougher since the rise of the likes of Fidel Castro, Hugo Chavez and Evo Morales who have figured out a way to free their people from exploitation by the first world countries.Africa needs more people with the mindset (not the age) of Robert Mugabe if Africans are ever to get on a similar freedom path as many south American countries have embarked on. Gaddafi is another great mind that Africa has lost to the same tyrants who – through the UN – pretend to save Africa from itself. Here’s the good news: they have killed the body, but they have not killed the soul, and – most importantly – they have not killed Gaddafi’s and Sankara’s grand ideas.
Africa still has many freedom fighters including those in Nigeria, who are trying to stop and prevent further exploitation of their oil resources in Niger Delta. Therefore, whenever you hear about all the gruesome gloom and doom of Boko Haram in Nigeria, take it with a grain of salt, especially when it is being reported by the first world’s propaganda media.
Today, Africa has several Tippu Tips, the most notorious being Paul Kagame of Rwanda, Yoweli Museveni of Uganda, and Joseph Kabila of DRC. These are Africans whose job is to sell Africa to the highest bidders.
When it comes to exploiting Africa’s resources, the story is no different from that of the slavery era. Tippu Tip was a rich African man who lived in Zanzibar and who had made his fortune selling fellow Africans to western slave traders. An African selling other Africans into slavery? You bet. At the time the African terrain was very rough, with no roads and with lots of malaria mosquitos that the people from the first world did not know how to treat. So they wouldn’t take chances. The only way for them to travel to Africa was by boat, and wait for Tippu Tip and his workers to deliver slaves on the coast where they would be loaded on giant vessels on a one way trip to be exploited like wild animals. Fort Jesus in Mombasa – like many other ports along the coast of Africa – was a point of no return for many of our brave brothers and sisters.
Freedom comes at an expensive price. First things first, Africa needs to get rid of its Tippu Tips because they are a cancer, always hard at work recruiting other corrupt minds to help exploit Africa.
Today, Africa has several Tippu Tips, the most notorious being Paul Kagame of Rwanda, Yoweli Museveni of Uganda, and Joseph Kabila of DRC. These are Africans whose job is to sell Africa to the highest bidders. Meles Zenawi was another one. Regardless of the circumstances of Zenawi’s death, I believe Ethiopia has finally gotten a chance to have a leader who loves his country and its people. You can tell the progress from all sides, from the Renaissance mega-dam construction project which is on schedule, to the new railroad being launched by the end of first quarter 2015, and many more. Africa does have people who are educated. But they don’t spend their time laboring like Indians do to develop their homeland. They chose to serve masters from overseas, Tippu Tip-style, or they migrate through brain drain. In the Arab world, the exploitation is also hard at work, but there’s a lot of resistance and educated true patriots are almost as strong as bankrupt minds who chose to serve foreign interests. Hence the rise of “terrorism” or “Islamic extremism” as it’s often called in the first world media. These are regular people trying to resist foreign occupation and exploitation. Things may go overboard at times, but the underlying idea – and this is important – is fighting for freedom. It may take time, but Arabs will soon embark on their path to freedom like south America did.
Africa will also have to go through a phase of serious suffering before Africans can reach anywhere. That is the sacrifice you make to get freedom. Freedom comes at an expensive price. First things first, Africa needs to get rid of its Tippu Tips because they are a cancer, always hard at work recruiting other corrupt minds to help exploit Africa. Once exploiters no longer have African intermediaries, they will lay low. They will leave Africa to Africans. They will respect Africans. They will trade and deal with Africans as equal partners.
Never-ending war conflicts in DRC are a good way to allow the UN to stay there on the ground and protect the looters.
The crisis in DRC is all about exploitation of Congo’s mineral resources. The UN “blue helmets” contingent – the so called peacekeepers – is the largest in the entire world. But after about 2 decades of MONUSCO’s presence in DRC, how does the UN dare claim that it has failed to resolve DRC conflicts? It remains clear, to this day, that the UN’s goal is not to help solve DRC problems. The goal is to perpetuate DRC problems because chaos creates a good opportunity for looters of mineral resources whom MONUSCO is in DRC to protect. Remember when Katrina hurricane hit in New Orleans? The bad guys were looting while the good people were fleeing for their lives, unable to protect their properties from looters. This was the same situation in Haiti during the earthquake. Same thing in Ivory Coast during the war. There are many more examples where bad people taking advantage of chaos around the world.
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Never-ending war conflicts in DRC are a good way to allow the UN to stay there on the ground and protect the looters. Without bogeymen like FDLR, the UN would have a hard time justifying its presence in DRC. The only reason the UN fought M23, is because M23 was a competitor of the UN’s protegés. M23 was another looting organization.
Never-ending war conflicts in DRC are a good way to allow the UN to stay there on the ground and protect the looters. Without bogeymen like FDLR, the UN would have a hard time justifying its presence in DRC. The only reason the UN fought M23, is because M23 was a competitor of the UN’s protegés. M23 was another looting organization.
The UN can squash any real competition but they can’t destroy FDLR. Why not? Because FDLR is made up of humble people. FDLR is a neighborhood watch police that simply protects those poor hutu refugees hunted down by death squads belonging to blood thirsty Paul Kagame. But FDLR is also a great card for the UN to play in the eyes on clueless onlookers. It is a good tool for UN’s effective public relations campaign. FDLR is a good excuse for the UN to remain in DRC.
The UN will make FDLR suffer so the UN can capture chaos on camera and use it as a propaganda tool to justify their presence in DRC. The UN will kill hutu refugees very slowly until you and I act to save them.
So, when you hear Ban Ki Moon or Russ Feingold announce this week that they have failed to solve war issues in DRC, what they are really saying is: we are happy to announce that our dear friends of FDLR have been kind enough to let us stay in DRC and loot as much as we want. It is a bunch of bullshit.
According to Paul Kagame, FDLR is an “organization of genocidaires”. This is a slogan that the UN and Feingold have picked up fast, because they think it works. Perhaps Kagame should sue them for stealing his line of deception. As Feingold recently mentioned, FDLR must be dealt with not because of their immense military force, but because of what they stand for. Do I hear dropping bombs against ideology? How does one do that and how does one measure their victory? Yet, even the strongest supporters of FDLR eradication – such as Jason Stearns – will tell you that over 90% of FDLR members are not known criminals.
Just picture the genocide in 1994: Kids under 10 years of age did not commit genocide, did they? No, they survived it, thank god. Today they are young adults, 35 years old. These and their younger brothers and sisters are the ones who are in uniform today fighting in the ranks of FDLR.
And the larger problem is that once you embrace Kagame’s lie that FDLR are genocidaires, you also tend to embrace Kagame’s notion that all hutus, by extension, are genocidaires. This is not true. In fact, Hutus have not harmed Rwanda’s neighbors of DRC. Never. In fact, the UN Mapping Exercise report was about Paul Kagame’s crimes of genocide against the people of DRC. Why is Kagame not being held accountable for the genocide he committed in DRC? Why is Kagame not being dealt with the same way Charles Taylor was dealt with when he committed murder in neighboring Sierra Leone? Why was ICTR setup to put ONLY hutus on trial? This injustice is what we ought to be fighting. It is this injustice that is making the world a worse place. Not all Hutus are genocidaires, not all muslims are terrorists. This nonsense has got to stop.
Sadly, the UN will not help the good people of FDLR to negotiate a power-sharing deal in their homeland, unless you and I work harder toward achieving this goal. The UN will not destroy FDLR either because, as explain above, FDLR is the UN’s goldmine. The UN will not help FDLR, neither will the UN eradicate FDLR. The UN will make FDLR suffer so the UN can capture chaos on camera and use it as a propaganda tool to justify their presence in DRC. The UN will kill hutu refugees very slowly until you and I act to save them.
Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Wednesday, February 18, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Le Gouvernement du Burundi est toujours préoccupé par la recherche de la vérité sur l’affaire des cadavres qui ont été découverts en date du 18 août 2014 à l’embouchure de la rivière Akagera et du lac Rweru. Les enquêtes menées par le Parquet Général de la République ont conclu que les corps retrouvés sur le lac Rweru aux mois d’août provenaient du Rwanda mais que faute de technologie appropriée, le ministère public a recommandé une expertise technique et scientifique étrangère.
Le Gouvernement du Burundi a, depuis le 16 décembre 2014, accepté l’offre d’une expertise et d’une assistance médico-légale qui lui a été proposée par les Gouvernements des Etats Unis d’Amérique, du Royaume des Pays-Bas et de la Confédération Helvétique aux fins d’enquête pour déterminer l’identité des victimes et l’établissement des causes de leur décès. Une demande a été par ailleurs adressée à l’Union Africaine afin d’accélérer la mise en œuvre de l’enquête en étroite collaboration avec un organisme international basé à Genève qui a été proposé par les Gouvernements des Etats Unis d’Amérique, du Royaume des Pays-Bas et de la Confédération Helvétique.
Pour le Burundi, l’origine rwandaise des corps ne souffre d’aucun doute. A cet effet, en date du 8 décembre 2014, en présence d’un représentant des Etats Unis d’Amérique, d’un Représentant de la Coopération Suisse au Burundi, deux fugitifs rwandais ont été remis à la représentation du Haut Commissariat des Nations Unies au Burundi pour qu’il assure leur protection.
Les deux Rwandais, à savoir Monsieur Zabulon HARERIMANA et Monsieur Jean Bosco MUGABO, ont déclaré être arrivés sur le territoire burundais en échappant aux exécutions sommaires au Rwanda. Le premier a été récupéré par une famille burundaise non loin de la rivière Ruhwa du côté de Cibitoke et le second a été retrouvé en très mauvais état du côté de Kayanza (a survécu à la mort du côté du lac Rweru).
Le Gouvernement du Burundi a accordé un droit d’asile temporaire aux deux fugitifs tout en insistant auprès du Haut Commissariat des Nations Unies aux Réfugiés afin qu’il prenne toutes les mesures qui s’imposent pour ces cas spéciaux et pour protéger ces témoins qui pourraient se révéler d’une grande utilité lors des enquêtes avec l’expertise internationale toujours très attendue.
Bruxelles, 17/02/2015
Innocent TWAGIRAMUNGU,
via une source diplomatique anonyme pour raisons de sécurité
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Saturday, February 14, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
La CPC prend position sur le rapport du Groupe d’experts de l’ONU sur la RDC et réaffirme sa détermination à oeuvrer en faveur du changement politique au Rwanda
1.La Coalition des Partis politiques rwandais pour le Changement a pris connaissance, avec beaucoup d’intérêt, du rapport final du Groupe d’experts des Nations Unies sur la République Démocratique du Congo (RDC), rendu public en date du 12 janvier 2015. Elle apprécie sans réserve tous les efforts consentis par l’ONU en vue de résoudre, par des voies pacifiques, la question des réfugiés rwandais se trouvant sur le territoire de la RDC.
2.Consciente de ses responsabilités, la CPC voudrait apporter sa contribution à double titre : d’une part, en veillant à ce que cette problématique des réfugiés soit mieux comprise par la Communauté internationale et, d’autre part, en s’assurant que l’approche de résolution retenue soit celle d’une solution globale et définitive, touchant l’ensemble des réfugiés rwandais, où qu’ils se trouvent. En effet, la CPC reste convaincue de l’impérieuse nécessité de situer d’abord le problème dans le vrai contexte qui en est la source, à savoir : un pouvoir dictatorial en place au Rwanda depuis plus de 20 ans, sous l’égide du Président Paul Kagame et de son parti, le Front Patriotique Rwandais (FPR).
Mr. Faustin Twagiramungu Membre de l'opposition rwandaise et Ancien Premier Ministre rwandais |
3.Il va de soi que toute solution viable passe par l’avènement d’un changement démocratique au Rwanda, axé sur l’instauration d’un espace politique pluraliste et un véritable État de droit où les libertés et les droits de la personne humaine soient pleinement respectés. Il faut, en effet, que les conditions soient enfin réunies pour le retour au Rwanda, dans la dignité et dans la sécurité, de tous les réfugiés et exilés rwandais, ainsi que pour la coexistence pacifique à l’intérieur du pays, seul fondement d’une véritable réconciliation entre les Rwandais, ainsi que pour le rétablissement des relations de bon voisinage avec les autres peuples de la région.
De l’accablante responsabilité du régime du FPR-Kagame
4.Le FPR-Inkotanyi a pris le pouvoir au Rwanda en juillet 1994 après avoir sapé et anéanti les accords de paix d’Arusha du 4 août 1993 censés mettre fin au conflit de pouvoir entre le régime du Président Habyarimana et ses opposants, aggravé par la guerre déclenchée par le FPR en 1990 depuis l’Ouganda, avec l’appui de ce pays et de certaines puissances occidentales.
5.Les accords de paix d’Arusha prévoyaient notamment le partage du pouvoir politique et militaire entre les principales forces politiques rwandaises. Ils préconisaient en outre l’avènement d’une démocratie pluraliste et l’instauration d’institutions citoyennes permettant à tous les Rwandais de jouir pleinement de leurs droits civils, politiques, économiques et sociaux dans leur indissociabilité.
6.Pour assouvir ses ambitions politiques d’accéder au pouvoir sans partage, le FPR et ses complices ont planifié et exécuté, en date du 6 Avril 1994, l’assassinat du Président Habyarimana Juvénal du Rwanda et de son homologue Burundais Cyprien Ntaryamira. Ce crime impuni jusqu’à date est reconnu par tous les observateurs avertis comme l’élément déclencheur du génocide et des massacres ayant fait au Rwanda plus d’un million de victimes en 1994.
7.Comme cela s’est avéré plus tard, la conquête du pouvoir absolu au Rwanda par le FPR-Inkotanyi s’accompagnait de visées hégémoniques sur la RDC - notamment sur sa région de l’Est qui, depuis 1996, est le théâtre de conflits armés et de crimes écononomiques en tous genres orchestrés par des groupes mafieux décidés à exploiter illégalement les richesses naturelles de la RDC.
De la présence des réfugiés rwandais en RDC
8.Les atrocités de la guerre et l’horreur du génocide consécutif à l’assassinat du Président Habyarimana en 1994 ont provoqué un déplacement massif de réfugiés rwandais d’une ampleur jamais observée dans le monde contemporain. Plus de 4 millions de personnes ont traversé la frontière de la RDC alors que d’autres milliers passaient par la frontière de la Tanzanie et du Burundi. La prise en charge de tous ces réfugiés hutus est devenue très vite trop pesante pour la communauté internationale et principalement pour le HCR, dont le budget s’en trouvait asphyxié.
9.En 1996, profitant de cette situation embarrassante pour le HCR et soutenu par les principaux bailleurs de l’ONU, le gouvernement de Kigali a fait valoir que ces réfugiés devaient rentrer au Rwanda, prétextant que la paix y était revenue et qu’il était plus facile de leur apporter de l’aide dans leur propre pays. La communauté internationale a fait semblant d’ignorer qu’en Avril 1995, le régime du FPR-Kagame avait massacré, au vu et au su de l’opinion publique, plus de 8000 Hutus déplacés de guerre à l’intérieur du pays, après les avoir rassemblés dans le camp de Kibeho. Faut-il rappeler que ces massacres, par ailleurs suffisamment documentés, se sont déroulés en présence des casques bleus de l’ONU qui n’ont rien fait pour empêcher ce carnage?
10.Depuis 1996, le calvaire interminable des réfugiés Hutus a commencé par la destruction, à l’arme lourde, de tous les camps de réfugiés à l’est de la RDC par les troupes du Général Kagame qui se livrèrent ensuite à une chasse à l’homme des plus meurtrières. Les citoyens congolais et les réfugiés Hutus ont été dès lors abandonnés à eux-mêmes par la Communauté internationale, pendant que l’armée congolaise censée les protéger était en débandade. Les survivants de cette terrible tragédie, congolais et rwandais, sont aujourd’hui sous la menace d’être exterminés une fois pour toutes.
Aucun témoin du génocide commis en RDC ne doit survivre ?
11.L’attitude belliciste actuelle de la Communauté internationale envers les réfugiés Hutus et les combattants qui ont volontairement déposé les armes est incompréhensible et injustifiée. Elle semble s’inscrire dans un schéma manichéen inventé par le FPR-Inkontanyi et ses acolytes tendant à diaboliser le peuple Hutu du Rwanda dans son ensemble, à travers un bouc émissaire désigné sous le nom des FDLR. Le but non avoué est d’opposer éternellement les Hutus et les Tutsis du Rwanda, respectivement en tant que bourreaux et victimes dans la tragédie rwandaise, un moyen tout trouvé par le régime du FPR pour camoufler ses crimes abominables, dont certains sont pourtant bien documentés dans le « Mapping report » publié par l’ONU en date du 1 octobre 2010.
12.Il ne fait point de doute que ceux qui, sous le parapluie des Nations Unies, préconisent la guerre contre des réfugiés désarmés, tentent désespérément de légitimer les crimes antérieurement commis à leur encontre en présentant ces réfugiés comme de vulgaires forces nocives à éradiquer.
13.En témoignent, entre autres, les agissements du régime dictatorial de Kigali qui, pendant ces deux dernières années, a remué ciel et terre au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour faire passer des résolutions présentant les réfugiés Hutus comme les fossoyeurs de la paix en RDC. Pourtant, les observateurs avertis n’ignorent pas que les armées régulières de l’Ouganda et du Rwanda se sont affrontées en RDC à deux reprises dans des guerres sanglantes sur fond de partage du butin.C’est donc ironique et même indécent que la Communauté internationale envisage de compter sur ces deux pays pour trouver des solutions de paix durable dans le cadre de la CIRGL, comme si l’on pouvait faire confiance à un pyromane pompier !
14.Devant l’échec de la réconciliation qu’on espérait du TPIR, devant le silence de la Communauté internationale sur les crimes de génocide commis sur les réfugiés Hutus en RDC et les citoyens congolais dans leur propre pays – tels que documentés dans ledit Mapping report du 01.10.2010 – et face à la vérité têtue exposée dans le documentaire de BBC 2 « Rwanda’s untold story », la Communauté internationale se trouve entre l’enclume et le marteau, une situation inconfortable dans laquelle elle a été malicieusement entraînée par les stratèges et les lobbies du FPR.
Les FDLR : la seule force de protection des réfugiés
15.La CPC considère les FDLR comme une organisation armée de protection des réfugiés hutus rwandais disséminés dans les provinces du Sud et du Nord Kivu. Faut-il encore souligner que ces réfugiés ont été abandonnés à eux-mêmes par la Communauté internationale et en particulier par le HCR ? Force est aussi de relever que ces réfugiés sont les rescapés des massacres perpétrés en terre congolaise par l’armée du Général Kagame, depuis 1996 jusqu’à date. Par ailleurs, il est clairement établi que la plupart de ces réfugiés sont nés en exil après 1994 ou qu’ils étaient tout petits quand ils ont fui le Rwanda et que, par conséquent, ils n’ont rien à voir avec les crimes de génocide que le pouvoir de Kigali s’emploie à leur imputer collectivement. Dès lors, il est inacceptable qu’ils soient qualifiés abusivement et cyniquement de « Hutus génocidaires » à livrer comme tels aux autorités rwandaises qui, pourtant, emportent une large responsabilité du drame que vivent ces réfugiés.
16.Cela étant dit, les FDLR ont pris les armes, non pas pour semer le chaos en RDC, non pas pour se rebeller contre l’autorité nationale congolaise, non pas pour constituer des gangs de pillards pour s’emparer des ressources naturelles de la RDC, non pas pour violer les femmes et les filles congolaises, mais tout simplement pour défendre et sauvegarder leur propre vie, ainsi que celle des citoyens congolais qui les ont hébergés jusqu’à ce jour. Au cas où, en tant que rares exceptions, il y aurait parmi les FDLR des suspects de crimes graves, la CPC soutiendrait que la Communauté internationale mette en place un tribunal spécial chargé de juger tous les crimes économiques et les graves violations contre les droits humains commis en RDC depuis 1996, le régime du FPR et ses soutiens étant astreints, eux aussi, de répondre de leur responsabilité devant ce même tribunal.
Le pouvoir de Kigali : un régime on ne peut plus criminel
17.La CPC rappelle à la Communauté Internationale et en particulier aux grandes puissances membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies, et surtout celles qui soutiennent inconditionnellement le régime criminel du Général Kagame, que deux chefs d’État, celui du Rwanda et du Burundi, ont été assassinés dans un attentat contre l’avion qui les transportait le 6 avril 1994, que 8'000 déplacés Hutu ont été massacrés le 21 avril 1995 à Kibeho dans le Sud Ouest du Rwanda, que plus de 300'000 réfugiés Hutus ont été massacrés en RDC par l’armée de ce même régime honni, et que 5 millions de Congolais ont été emportés par des guerres hégémoniques face auxquelles l’indifférence des puissances démocratiques de ce monde laisserait penser à une sorte de complicité ou de complaisance envers le régime rwandais. En outre, la CPC rappelle et dénonce les crimes graves commis par le régime de Paul Kagame sur ses propres citoyens, dont notamment des assassinats et des persécutions graves à caractère politique, des emprisonnements arbitraires de civils et des disparitions forcées. La CPC s’érige aussi contre la parodie de justice illustrée par un ensemble de lois et règlements tendancieux instaurés par le régime du FPR aux seules fins de restreindre les libertés d’expression et d’association, et d’autres droits fondamentaux.
18.La CPC reconnaît que dans la hiérarchie des valeurs, la vie humaine passe avant toute chose. En conséquence, les réfugiés Hutus abandonnés à leur triste sort ont le droit inaliénable de refuser d’être exterminés et de se défendre par tous les moyens légitimes dès lors qu’aucune protection ne peut leur être assurée par la Communauté internationale. En tout état de cause, rien ne justifie que les réfugiés soient sacrifiés sur l’autel des intérêts non avoués destinés à conforter un régime criminel décidé à se cramponner au pouvoir à Kigali, à exterminer ses opposants politiques, à déstabiliser toute la région de l’Est de la RDC et à piller en toute impunité les ressources naturelles de ce pays, et ce pour assurer aux membres de la clique au pouvoir, une opulence des plus scandaleuses, de surcroît teintée d’une arrogance inimaginable.
Une seule solution pertinente : le dialogue politique
19.La CPC encourage et soutient sans condition les FDLR dans la voie pacifique qu’elles ont librement et volontairement choisie en déposant les armes dès décembre 2013, en vue de pouvoir rentrer dignement dans leur pays d’origine et y exercer librement et démocratiquement leurs droits civils et politiques.
20.La CPC réitère sa haute appréciation au Président de la République Unie de Tanzanie, Son Excellence Jakaya Kikwete, qui est le premier Chef d’État Africain à avoir demandé au Président rwandais, le Général Paul Kagame, lors du Sommet de la Conférence Internationale des Pays de la Région des Grands Lacs, à Addis-Abeba, le 26 mai 2013, de tout faire pour engager un dialogue avec les FDLR, en vue d’une solution négociée visant à mettre un terme définitif aux conflits qui endeuillent la RDC depuis une vingtaine d’années.
21.Faisant suite à cette prise de position éminemment constructive du Président tanzanien, et consciente de ce que les solutions militaires jusqu’ici essayées ont toutes lamentablement échoué, la CPC s’est engagée à examiner, en étroite collaboration avec d’autres partis de l’opposition rwandaise dont les FDLR, les voies et moyens politiques possibles en vue de trouver, non seulement une solution appropriée au retour massif au Rwanda des réfugiés se trouvant dans les provinces du Nord et du Sud Kivu, mais aussi une solution globale pour le retour pacifique dans leur pays d’origine, et dans des conditions de sécurité et de dignité, de tous les réfugiés rwandais.
22.Dans cet ordre d’idées, la CPC a adopté un plan politique porteur d’espoir en rapport avec la question des réfugiés et les conditions de leur rapatriement volontaire. Ce plan vise l’instauration, au Rwanda, d’un espace politique pluraliste apte à garantir à l’individu et au citoyen, le respect des droits fondamentaux, dont la liberté au sens large. Cet espace politique s’avère essentiel et primordial afin de permettre l’émergence des idées constructives nouvelles et l’abolition d’un régime monarchique, dictatorial et criminel qui, aux yeux d’une opinion internationale non avertie, parvient encore à se déguiser en République respectable.
23.La CPC continuera à travailler de concert avec ses partenaires privilégiés, notamment l’Institut pour la Paix et le Réglement des Conflits « Institute of Peace and Conflicts Resolution » de Dar-es- Salaam en Tanzanie, la Communauté Saint Egidio de Rome en Italie, la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC, Southern African Development Community) et l’ensemble de la Communauté Internationale.
24.La CPC ne se laissera jamais intimider par des critiques tendancieuses de ceux qui reprochent à ses dirigeants de tenir des rencontres avec des officiels des FDLR. En effet, de telles concertations ne doivent souffrir d’aucune appréhension, dans la mesure où elles n’ont d’autre but que la recherche d’une solution pacifique à la crise politique rwandaise et à la question des réfugiés. Par ailleurs, la CPC estime que les Rwandais, de surcroît responsables politiques, ont le droit et le devoir de se concerter sur les problèmes de leur pays, indépendamment des apprécitions positives ou négatives dont les uns et les autres seraient l’objet de la part de la Communauté internationale.
25.Enfin, la CPC a pris bonne note de sa mention dans ledit rapport du Groupe des experts, qui stipule que « les FDLR se sont jointes à la Coalition des partis politiques rwandais pour le changement (CPC) afin de faire pression sur le Gouvernement rwandais pour qu’il accepte de négocier ». La CPC saisit cette opportunité pour réaffirmer sa profonde conviction selon laquelle la solution définitive à la question des réfugiés rwandais passe impérativement par un dialogue franc et direct entre le Gouvernement de Kigali et les partis politiques d’opposition, sous les auspices des pays et organismes africains soucieux du devenir politique du Rwanda, et en tenant compte de l’impérieuse nécessité de la stabilité et de la sécurité de la région des Grands Lacs. Plutôt que de multiplier des menaces d’opérations militaires contre des FDLR désarmées ou en voie de l’être et d’autres réfugiés rwandais abandonnés à eux-mêmes dans des forêts congolaises, la Communauté internationale ferait mieux de prendre des dispositions visant à obtenir, sans plus tarder, du Président Kagame et de son gouvernement, un engagement ferme en faveur de ce dialogue. C’est d’autant plus urgent que les négociations directes entre le pouvoir de Kigali et l’opposition rwandaise constituent la seule solution sérieusement envisageable, si l’on veut asseoir durablement la paix et la démocratie au Rwanda et dans l’ensemble de la région des Grands Lacs.
Fait à Bruxelles, le 11 février 2015.
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I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
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Hutus didn't plan Tutsi Genocide
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