Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Wednesday, September 2, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Mission d’information sur le Rwanda
Rwanda:
Crimes du FPR en RDC
un ex-soldat exilé témoigne
« Je vais vous livrer mon témoignage sur ce qui s’est passé au Congo, où j’étais soldat de l’APR (devenu RDF Rwandese Defense Force) avant d’être affecté à la DMI (Directorate of Military Intelligence). On nous a envoyés à Kisangani tuer les réfugiés sur le commandement du capitaine Shema de la DMI et le sous-lieutenant Franck Bashimake. Jusqu’à Kisangani les réfugiés dans leur fuite marchaient sur les routes, arrivés à Kigangani, ils ont été bloqués par le fleuve, c’est là qu’ils ont péris. C’est ce qui s’y est passé que je vais vous raconter amis Rwandais ». Déclare l’ex-DMI qui se reconnait lui-même être un ex tueur du FPR, aujourd’hui réfugié en Europe, et qui n’a pas voulu dévoiler son nom ni son adresse pour sa sécurité et celle de sa famille. Il a livré son récit en Kinyarwanda à la radio Itahuka le samedi 09 février 2013. Radio Itahuka est une webradio fondée par la plateforme du « RNC », une plateforme initiée et dirigée par d’anciennes personnalités du FPR, autrefois proches de Paul Kagame.
Un réfugié transformé en tueur
Né à Rutshuru à l’Est du Congo, cet ex-DMI est un descendant des anciens réfugiés tutsis chassés du Rwanda en 1959. Il a intégré la rébellion du FPR en 1993, un an avant la victoire de ce mouvement sur le régime de Habyarimana. Peu après, il a été affecté à la fameuse DMI (Directorate of Military Intelligence), le service de renseignement militaire rwandais mis en cause pour son rôle dans l’exécution de plusieurs milliers de Rwandais et étrangers.
« Je veux donner globalement mon témoignage sur les dirigeants rwandais et ce qu’ils ont fait depuis que le FPR a déclenché la guerre de libération ; je vais vous le dire parce que ça me fait très mal au cœur et c’est cela qui m’a poussé à s’exiler encore » déclare-t-il.
Un objectif : liquider tout Hutu sur le sol congolais
« On attaquait les Rwandais et les massacrait sauvagement et de façon inimaginable, celui qui nous commandait et qui était à son tour sous les ordres des généraux Paul Kagame et Jacques Nziza, nous demandait à ce que tout réfugié hutu sur le sol congolais soit assassiné, et ils ont annoncé que celui qui refusera de le faire sera exécuté sur le champ. (…) parmi mes collègues il y en a qui furent exécutés par ce qu’ils refusaient d’obéir aux ordres » ; « On embarquait les réfugiés qui s’enfuyaient de Tingi-Tingi (camp de réfugiés NDRL) dans les camions et les acheminait dans plusieurs endroits : il y en a qu’on a conduit sur l’autre côté du fleuve, un endroit qu’on appelait « rive gauche ». C’est des milliers et des milliers qu’on y a massacrés. Un autre lieu c’est Devansende à 59 kilomètres de la ville de Kisangani : à ce lieu on y a massacré plusieurs milliers de personnes. On avait creusé des trous où on jetait des corps, on ne faisait pas distinction : enfants, femmes et personnes âges, tout le monde y passait parce que les ordres étaient de tuer tout ce qui est Hutu sur le sol congolais. On employait tous les moyens à notre disposition : balles, agafuni (petite houe), sac plastique sur la tête, attacher les mains par derrière, etc.… », continue-t-il.
« On a tué jusqu’à s’épuiser. Certains réfugiés mourant même de faim. Le capitaine Shema nous disait que nous nous fatiguons en se donnant pour notre pays. « Ils sont nombreux si on ne les éradique pas ils vont revenir nous chasser dans le pays » aimait-il répéter (42 :05).
Ce témoin revient également sur les massacres perpétrés à Mbandaka, dans la région d’équateur : « Sur la rive gauche de Mbandaka, on y a massacré également beaucoup de gens, car les réfugiés y étaient coincés, ils ne pouvaient plus avancer, les religieux qui ont tenté de s’interposer ont subi à leur tour le même sort. Après leur mort on a pillé leurs véhicules qu’on a utilisé par après pour transporter et brûler les corps ».
« Les gens qu’on massacrait étaient tous des civils, par exemple à Rafasenti, on a fait croire aux réfugiés qu’on allait les ramener au Rwanda, on les a fait monter dans plusieurs camions, on a chargé surtout les hommes, plus de 4000 en tout. Ils ont été tous tués le même jour »
« Ceux qui ont échappé à la mort, c’est ceux que le HCR ramassait un peu partout dans les forêts, ce sont les seuls qui ont pu nous échapper. (…) Nos activités criminelles se sont déroulées de 1997 jusqu’à 1998 quand Laurent Kabila nous a prié de partir » précise l’ex agent de la DMI.
Ne pas laisser de traces
D’après le témoin, tout était fait pour ne pas laisser des traces de ces massacres, car déjà la communauté internationale suivait de prés la situation de ces réfugiés. « On avait creusé les fosses dans les alentours de la ville de Kisangani ; tout était bien planifié et piloté de haut par le Général Paul Kagame. On empilait les corps dans ces fosses comme les stères de bois de chauffage. En haut, on couvrait avec des bâches, cela nous permettait d’ouvrir facilement et mettre d’autres corps puis bruler une fois les trous remplis. Chaque nuit on utilisait un bateau de moteur pour transporter les cendres et les jeter dans le fleuve zaïre. Dans tout ce qu’on faisait, on nous ordonnait de ne pas nous reposer, on était obligé d’exécuter les ordres pour ne pas à notre tour y laisser nos vies. On était des petits soldats aux ordres du Général Paul Kagame, du Général Nziza, et du Général Kabarebe qui était notre chef direct sur le terrain, le capitaine Shema commandait quant à lui notre section » rapporte le témoin.
Les tueurs étaient minutieusement choisis
D’après le témoin, les tueurs étaient minutieusement choisis, ils étaient sélectionnés parmi les Tutsi venus du Congo, car selon lui, le commandement de l’APR ne fait pas confiance aux Tutsi venus d’Ouganda, du Burundi et de la Tanzanie pour exécuter cette mission, qui se devait être rapide, bien faite et surtout discrète. Le choix se portait en grande partie sur les Tutsi originaires du Congo. Le témoin affirme même que les gardes rapprochés de Paul Kagame, ceux qui veillent à sa sécurité et ses biens, sont ceux qui viennent du Congo, car l’homme fort du Rwanda ne ferait pas confiance à ses compatriotes venus d’Ouganda, de Tanzanie et du Burundi.
« Avant les massacres, une réunion s’est tenue un soir dans la ville de Kisangani, dirigée par le capitaine Shema aujourd’hui Major, et son adjoint le lieutenant Bashimake qui est aujourd’hui capitaine et chef de la brigade 408 de police à Ruhengeri. Au cours de cette réunion, une question nous a été posée : « selon vous pourquoi ici vous n’êtes que d’une seule ethnie ? » nous avons répondu, « nous n’en savons rien ». C’est ainsi qu’ils nous ont expliqué que si nous ne sommes que des Tutsi, c’est que nous avons un travail à faire sans préciser de quoi il s’agissait « . ; « On se connaissait pas car on venait de bataillons différents, (…). Capitaine Shema nous expliquait que c’était l’état major qui nous avait choisi pour ce travail ; c’est pourquoi il ne fallait pas dire « je refuse de le faire ou je suis malade ». A Kigali pour nous sélectionner, on regardait où l’on est né, la famille et notre pays d’origine » affirme le témoin.
Tenir éloigner les témoins gênants
Le témoin livre également son récit sur tout ce que son escadron faisait pour tenir loin les témoins, surtout les ONG qui étaient nombreuses à entreprendre les démarches afin de connaitre le sol des réfugiés. « On nous ordonnait de retenir les humanitaires dans la ville de Kisangani, si nécessaire de leur tirer dessus pour les faire croire que certains endroits étaient dangereux. Je vous donne l’exemple de la Croix rouge, on a tué certains de ses membres. Parce qu’ils étaient obstinés à connaitre la vérité » dit-il.
D’après lui les humanitaires ont été empêchés de se rendre sur les lieux de massacres, avant que les bourreaux n’aient fini leur travail. « On a contenu les humanitaires à Kisangani jusqu’à ce qu’on transfère les corps à 150km à l’intérieur de la forêt pour ne pas laisser de preuves aux enquêteurs. (…) Capitaine Shema et Lieutenant Frank Bashimake nous ordonnaient de travailler 24heures sur 24 sans se reposer ». affirme-il avant d’ajouter qu’ils ont même tiré avec des armes lourdes sur les avions des Nations Unies qui survolaient la zone des tueries pour tenter de comprendre ce qui se passait. « Quand on tirait sur un avion, il ne repassait plus au-dessus de la même zone » dit-il.
« Quand les Nations Unies ont commencé à soulever des soupçons sur nos atrocités à Kisangani, la presse interrogeait Paul Kagame sur les massacres qui se commettaient sur le terrain. Ce dernier ne faisait que nier, Kabarebe qui dirigeait les soldats rwandais au Congo répondait la même chose, Kabila (père NDRL) niait aussi les faits. Ces derniers disaient tous qu’aucun réfugié hutu n’est tué sur le sol congolais. Nous qui étions sur place, on était étonné d’entendre cela, on suivait tout le temps la BBC ».
L’ancien soldat donne même les exemples de certains officiels qui ont été éliminés, car ayant supervisé les massacres, « le régime voulait s’assurer de leur silence éternel ». C’est le cas de major Ruzindana et Birasa, qui ont été éliminés par la DMI. Bagire qui est mort empoissonné. « Ce dont je suis certain est que toute personne utilisée dans les massacres soit, il part en exil soit il est tué. Moi aussi quand j’ai quitté le pays en mars 2006, on voulait m’assassiner. – Major Birasa, adjudant chef Abbas qui supervisait les massacres dans le camp Kami, lieutenant Rushoke qui était connu comme le plus cruel de tous, ils sont tous été assassinés dans le camp Kami et puis transportés vers Nyungwe – » affirme le témoin.
Les massacres au Rwanda
Le témoin a livré également à la radio Itahuka certains cas de massacres au Rwanda auxquels il a assisté directement ou indirectement. Il revient sur les massacres qui se commettaient au stade régional de Ruhengeri (dans le Nord du Rwanda) en 1998, sur les ordres de Gasheja qui dirigeait le bataillon 408 Ruhengeri, et Gasana qui dirigeait la brigade 408 de Ruhengeri. D’après lui, ces officiers ramassaient les gens à Nyakinama, Kinigi, Nyamutera et Giciye, et les rassemblaient dans le stade de Ruhengeri. Les personnes arrivaient au stade ligotées dans les camions à conteneur, puis elles étaient peu à peu conduites vers le camp Mukamira pour y être achevées. Selon le témoin, les corps étaient transportés dans les mêmes camions vers la forêt de Nyungwe dans un lieu qu’ils appelaient « Icyokezo », pour y être brulés.
L’ancien DMI affirme que la forêt de Nyungwe a servi, en 1997 et 1998, de lieu où l’on brûlait les corps des personnes tuées un peu partout au Rwanda. Selon lui, Kugiti Kinyoni (tout prés de Kigali) il y avait des barrières redoutées, les gens venant de Ruhengeri, Kibuye, Gitarama et Butare y étaient arrêtés, on regardait l’origine de la personne et son faciès. « On choisissait surtout les personnes qui ont encore la force de se battre, on appelait cela « guca imbaraga abahutu » (décourager les Hutu) ». Il affirme que ce climat de terreur avait fini par persuader les gens de prendre des taxis car une fois monté dedans, on n’était pas sûr de rentrer, surtout ceux qui venant de Gisenyi et Ruhengeri ne franchissaient aucune barrière. Ces derniers étaient arrêtés puis conduits au camp Kami, un camp selon lui abritant en 1998, dans sa cave, une prison où les gens étaient gardés avant d’être tués. « Tous ces massacres étaient coordonnés et supervisés par Jacques Nziza » dit-il. Pour transporter les corps de camp Kami vers la forêt Nyungwe, le témoin affirme qu’ils utilisaient un camion bleu pillé au Congo de marque Benz.
Usage massif de poison
Le témoin évoque aussi les cas d’assassinat par le poison. « Il y avait aussi les gens qui ont été assassinés empoissonnés, le marché de poison était dans les mains des Indiens, ce sont eux qui l’importaient au Rwanda pour le vendre à la DMI. Ce poison était injecté souvent par seringue. Le poison était le plus souvent utilisé pour assassiner les gens connus dont il était impossible d’éliminer dans la masse sans attirer l’attention, c’est pourquoi ce sont les hauts gradés comme le capitaine Mutiganda et le capitaine Burabyo qui s’occupaient personnellement d’utiliser cette méthode. La personne à éliminer était soit invitée à une réunion ou approchée dans une fête ; « on attendait qu’elle soit distraite pour mettre le poison dans son verre » affirme le témoin qui dit que lui-même avoir été chargé un jour d’une mission d’éliminer un collègue :
« On m’a donné un jour le poison à mettre dans le lait de Sankara qui était en prison à ce moment. Je ne l’ai pas fait car ce dernier était un homme intègre, dans ses chansons, il défendait les droits des soldats. Ils n’ont pas su que je n’avais pas empoisonné le lait de Sankara, et disaient à ce dernier, « tu as vraiment de la chance, tu ingère le poison et tu es toujours en vie » ».
Les massacres des réfugiés tutsis de Mudende
L’ex agent de la DMI, revient également sur les massacres des réfugiés tutsis de 1959 qui sont revenus au Rwanda en 1995 après 30ans d’exil au Congo. Le témoin se dit choqué que Paul Kagame et Nziza aient décidé de les éliminer pour attribuer leur mort aux rebelles hutus (abacengezi) venus du Congo, alors qu’à cette période tout l’Est du Congo et la frontière étaient sous le contrôle du nouveau gouvernement rwandais.
En effet, ces réfugiés à leur rentrée au Rwanda, ont été installés à Mudende, non loin de l’université qui porte le même nom, et à Nkamira. « Les massacres se sont déroulés la nuit, le matin tous les militaires qui gardaient le camp avaient été rappelés ». Le général Munyakazi qui dirigeait la brigade 211 de Gisenyi, et à qui les victimes ont fait appel durant les événements, voulait se rendre sur les lieux des massacres pour intervenir mais il en a été empêché parce que ceux qui commettaient ces assassinats étaient les hommes de Kagame venus de Kigali. Pourtant la garde rapprochée de Paul Kagame est en majorité composée des fils de ces personnes assassinées. « Ces gardes ne le savent pas, c’est pourquoi je livre ce témoignage » déclare l’ancien agent de la DMI. « A ce moment, plusieurs militaires dont les parents des personnes assassinées ce soir-là, voulaient manifester, mais ils ont du se résigner et regagner leurs camps après que le général Kagame les ait menacés de tous les liquider ».
Le 1er octobre 2010, les massacres des réfugiés hutus en République démocratique du Congo entre 1996 et 2002 ont donné lieu à un rapport d’enquête du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme connu sous le nom de Mapping Report. Selon ce rapport, ces massacres pourraient, si prouvés devant un tribunal compétent, être qualifiés de génocide.
Jean Mitari
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Saturday, August 15, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
President Ndadaye Killed by Buyoya and Bikomagu Both Tutsi extremists |
- Le vendredi 23 février 1996, le Burundi, sous la Présidence de M. Ntibantunganya Sylvestre, alors que la Commission des Nations Unis enquête (2) sur la mort de Feu Ndadaye, ouvre à Bujumbura le premier procès sur coup d’Etat du jeudi 21 octobre 1993. Les choses s’accélèrent au niveau politique car dès le mercredi 5 juin 1996, où la Commission d’enquête de l’ONU sur l’assassinat du président Feu Melchior Ndadaye quitta le Burundi pour déposer son rapport – conclusion aux Nations Unies et sa publication, le jeudi 25 juillet 1996, vers 17 h, le Major Pierre Buyoya avait déjà réalisé son Coup d’Etat militaire qui le propulsa à la tête du pays pour la 2ème fois … Désormais, il faudra attendre septembre 1997 pour que le procès puisse poursuivre.
Écoutez la célèbre chanson du Colonel Jean BIKOMAGU: "IL EST MORT, ON N'A RIEN DIT"
- Le vendredi 19 septembre 1997, le procès relatif au putsch du jeudi 21 octobre 1993 continua, dirigé désormais de la tête aux pieds par le le Major Pierre BUYOYA -lui-même –. La Cour continua l’audition des prévenus qui s’étaient présentes car il y en a qui étaient en Ouganda et d’autres qui se s’étaient déjà évadés. Parmi les prévenus, il y avait le colonel Jean Bikomagu, ancien chef d’état-major de l’armée, le colonel Charles Ntakije, le colonel Nibizi, porte-parole de l’armée et le député Francois Ngeze. Il y avait également le lieutenant Ngomirakiza et des caporaux et sergents. Le président de la Cour Suprême avait tenu à indiquer que la séance était exclusivement réservée à l’audition des faits et non à la confrontation ou à l’administration des preuves. Cela n’avait cependant pas été compris par Me Fabien Segatwa, avocat du Frodebu, des ayant- droits de feu Ndadaye, de la veuve Karibwami et de la veuve Bimazubute, qui ne comprenait pas la démarche prise par le ministère public dans l’instruction de ce dossier. La préoccupation de Me Fabien Segatwa demeura de savoir quand le putsch a eu lieu. Pour lui, un putsch avait lieu quand on le déclarait au public et que jusqu’ici, rien n’était fait pour poursuivre ceux qui avaient fait le putsch. Le président de la Cour Suprême précisa qu’il jugeait les dossiers lui soumis avec des infractions précises et individuellement. Le prévenu lieutenant Ngomirakiza se plaignit au ministre de la justice dans une lettre largement diffusée avec objet « j’accuse » ou il remettait en question le procès en cours. Il trouvait anormal qu’il était le seul officier le plus gradé emprisonné avec des charges importantes pour une affaire aussi sérieuse que le putsch où les hauts gradés avaient les charges moins importantes.
- Le lundi 20 octobre 1997, poursuite du procès relatif au putsch du 21 octobre 1993, l’audience à la Cour Suprême était consacrée à l’administration des preuves. La défense des prévenus avait remis en question les procès-verbaux de l’auditorat militaire ainsi que les rapports sur le déroulement des faits dans les camps avant et pendant le putsch établis par les commandants des camps. Elle avait également soulevé la question de la responsabilité dans le putsch. Me Segatwa en avait profité pour demander que celui qui avait lu le communiqué sanctionnant le putsch soit entendu. Me Segatwa intervenait en effet pendant la plaidoirie du lieutenant Ngomirakiza Jean, accusé d’avoir joué un rôle important auprès du lieutenant Kamana, réfugié en Ouganda, dans le renversement du régime constitutionnel. Pour Me Segatwa, avocat de la partie civile, le famille de feu Ndadaye notamment, il n’était pas normal que dans une armée de « Colonels », il n’y avait qu’un officier lieutenant qui soit accusé de tentative de putsch. Cependant, Me Segatwa n’avait pas accepté la proposition de l’avocat du lieutenant Ngomirakiza, Me Déo Ndikumana qui demandait à la cour d’acter que Me Segatwa reconnaissait l’innocence de son client puisqu’il plaçait la responsabilité du putsch au niveau de la hiérarchie supérieure. D’autres prévenus étaient déjà entendus aux environs de 13h 30 notamment le sergent Major Bamporiki, accusé d’avoir mobilisé d’autres militaires pour tirer sur le palais présidentiel. Celui-ci réfuta cette accusation. Il y avait aussi le cas du caporal NDUWUMUKAMA Philibert, surnomme KIWI, accusé d’avoir tué le président Ndadaye au bataillon para. Celui-ci avait un témoin à charge, codétenu, 1ère classe Kamangaza, qui avait eu l’ordre du lieutenant Kamana, de garder Ndadaye dans un bureau du bataillon para le 21 octobre 1993. Kamangaza témoigne que KIWI était parmi les quatre personnes qui sont entrés par force dans le bureau où se trouvait Feu Ndadaye et que quand ils sont sortis, Feu Ndadaye était mort. Me Deo Ndikumana exigea qu’il y ait d’autres témoins à charge tout en se demandant si Ndadaye était encore vivant ou mort au moment où Kamangaza gardait le bureau sur ordre de Kamana. Ni le colonel Bikomagu présent, ni le colonel Nibizi, personne ne reconnaît, devant la cour qui leur demandait de témoigner, avoir vu Feu Ndadaye dans ce bureau du fait qu’ils n’y avaient pas été.
- Le lundi 17 novembre 1997, le lieutenant Kamana révéla à l’opinion que c’est le dictateur Buyoya qui avait été le cerveau du coup d’Etat de 1993 dont il avait été acteur … Avec des détails, le lieutenant Kinama expliqua le complot, orchestré au sein de l’armée burundaise par le Dictateur Major Buyoya, qui avait conduit à la mort de Feu Ndadaye …
- Le lundi 19 janvier 1998, au palais de la Justice de Bujumbura, les juges de la Cour Suprême demandent à auditionner les putschistes de 1993, s’appuyant sur un rapport fourni, par le Ministère Public, produit par le commandant du bataillon para en 1993. C’est cela qui rendit dès le départ cette affaire judiciaire RPS38 caduque. L’auteur du livre cité in-supra M. Jean-Marie SINDAYIGAYA parle lui d’une insulte au Droit et d’un simulacre de procès manipulé par le Major Buyoya, président de la République à cette période (1998) suite à un putsch militaire. A ce procès, beaucoup de militaires à Majorité des caporaux et des sous-officiers, les Colonels Bikomagu Jean, Ntakije Charles, Isaie Nibizi et M. Ngeze Francois devaient être écoutés. Tous ne l’avaient pas été. Seul les petits couteaux parmi les militaires déjà détenus en prison dont le sergent Nibaruta, les caporaux Niyonkuru Didace, Nahigombeye, … furent entendus. Ces derniers plaidèrent non coupables car ils affirmaient avoir obéi aux ordres de leurs supérieurs, dont le lieutenant Kamana. Pour ces derniers, le coup d’Etat et la mort du Président NDADAYE Melchior avaient été préparé au plus haut niveau du commandement de l’armée. Lors de ce procès, le caporal Ndayizeye fut accusé d’avoir participer directement à l’assassinat de Ndadaye mais il réfuta cette accusation arguant qu’il assurait la garde à l’extérieur du camp. Le sergent Nibaruta reconnut avoir exécuté les ordres du Lieutenant Kamana en allant libérer Lieutenant-colonel Ningaba qui était en prison à Rumonge. Le lieutenant Ngomirakiza lui plaida non coupable prenant pour argument qu’il avait été contraint par des militaires insurgés à monter dans un véhicule alors qu’il était avec d’autres officiers au quartier Kigwati. Interrogé à propos des réunions qui se seraient tenues à l’Etat-Major et les responsables qui les présidaient, M. Ngeze François ( Patron de l’UPRONA et Président du Comité de Salut Public qui a revendiqué le Coup d’Etat en 1993 ) affirma qu’il ne connaissait personne. Il aurait été contraint de s’y rendre et il y aurait vu des gens de l’Etat Major mais qu’il ne savait pas pourquoi ils étaient là. Interrogé à ce sujet, le colonel Bikomagu ( chef d’Etat-Major de l’Armée en 1993 et bras droit du Major Pierre Buyoya) affirma qu’il n’y avait pas eu de réunions à l’Etat Major mais qu’il voyait des gens aller et venir. Le colonel Ntakije (Ministre de la Défense en 1993) ne plaida pas, le témoin n’étant pas venu. Une autre audience fut fixé le vendredi 20 mars 1998.
- Le vendredi 20 mars 1998, – à l’audience, M. Ngeze François se sentant seul accusé dans l’affaire du Coup d’Etat de 1993, pour avoir « Porté atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, en agréant, dans le but de changer la régime constitutionnel, l’offre qui lui avait été faite de devenir Président de la République », décida de demander la comparution de ses proches collaborateurs, parmi lesquels des membres du Comité Exécutif de l’UPRONA et des membres de l’Etat-Major militaire. C’est à dire Alphonse KADEGE, Libère BARARUNYERETSE, Jean-Baptiste MANWANGARI, MUKASI Charles, et 13 hauts officiers du COMITE DE SALUT PUBLIC. M. Ngeze demanda aussi les témoignages de Mgr Bernard BUDUDIRA, Evêque de BURURI ; Mgr Rino PASIGATO, et de l’ancien Premier Ministre Sylvie KINIGI. Selon M. NGEZE, Mme Sylvie KINIGI l’aurait aidé à rédiger le Discours qu’il aurait prononcé en sa qualité de Président du COMITE DU SALUT PUBLIC. Déterminé à ne pas être condamné seul, M. NGEZE reçut l’appui du rapport de sécurité du 18 octobre du Lieutenant – Colonel LAMBERT SIBOMANA qui venait d’être versé au dossier sous la note N°9 (encore un élément qui corromp le procès ). Ce dernier précisait que M. NGEZE allait être Président mais que le Putsch serait conduit par le Bureau Exécutif de l’UPRONA avec citation des noms. Etaients présents : MM. KUBWAYO, BOYI, NDAYIRAGIJE, KABURA, HAKIZIMANA, HATUNGIMANA, CIZA, MASABO, et NYABIROMBO. Suite à cette demande, une autre audience fut fixé le vendredi 10 avril 1998. Entre le vendredi 20 mars 1998 et le vendredi 10 avril 1998, M. NGEZE subit 2 attentats. A Kampala en Ouganda, 2 Burundais meurent et le Lieutenant KAMANA échappent à 1 attentat. M. KAMANA dans The East African accuse le régime putschiste BUYOYA[2] « Un gouvernement de tueurs ». KAMANA demande au « de dire la vérité sur le déroulement de l’assassinat du Président Melchior NDADAYE ». Par la suite, le Lieutenant – Colonel LAMBERT SIBOMANA meurt dans un accident de roulage.
- Le vendredi 10 avril 1998, – à l’audience, surprise générale pour la Cour, la salle était pleine. Un fait rare ! Cela était certainement dû au fait que l’accusateur principal le Lieutenant – Colonel LAMBERT SIBOMANA n’était plus. Étaient présents : Alphonse KADEGE, Libère BARARUNYERETSE, Jean-Baptiste MANWANGARI, MUKASI Charles, Raphaël HORUMPENDE, le Col. Charles NTAKIJE [ancien ministre de la Défense], le Col. BIKOMAGU [ancien chef d’Etat Major], et les autres colonels NDAYISABA, DARADANGWA, NIYOYUNGURUZA, SINARINZI, NIBIZI, BUGEGENE. Ainsi quand la Cour demanda aux complices civils du COMITE EXECUTIF DE L’UPRONA comment le jour de l’assassinat du Président NDADAYE ils avaient fait pour arriver à l’Etat –Major militaire … Ils répondirent tous la même chose … La Cour n’insistera pas … Quant aux témoignages de Mgr Bernard BUDUDIRA, ce dernier déclina pour cause de Vendredi Saint. L’ancien Premier Ministre Sylvie KINIGI, devenu fonctionnaire internationale, n’avait pas pu intervenir. Le Col. Charles NTAKIJE fera porté la patate chaude au subalterne –le Capitaine MUSHWABURE- qui avait conduit Feu NDADAYE au Camp MUHA. Le Col . BUGEGENE révéla que NGEZE avait demandé aux officiers de se mettre ensemble pour calmer la situation. Le Col. Mamert SINARINZI expliqua que le Communiqué qui avait été lu lors du Putsch lui avait été remis par le Col. DARADANGWA. La Cour ne demanda pas à ce dernier qui lui avait rédigé ce document… Le Président de la Cour M. Salvator SEROMBA ( qui avait commencé sa carrière de juriste en 1972 -année du Génocide au Burundi- par un décret présidentiel du Dictateur sanguinaire Michel Micombero ) suspendit la séance, et annonçait la reprise pour le vendredi 24 avril 1998.
- Le vendredi 24 avril 1998, – La séance n’eut pas lieu. Pour cause, tous les témoins s’étaient rendus saluer le Major putschiste Pierre BUYOYA qui se rendait à l’aéroport pour KIGALI. Puis, en décembre 1998, le Président de la Cour M. Salvator SEROMBA décéda ce qui permit encore plus que jamais d’oublier …
- NDUWUMUKAMA
Philibert, alias KIWI (Un Muhima burundais), arrêté à l’Est de la
République Démocratique du Congo (RDC) en 2012, au moment où il cherchait
à rejoindre le M23. NDUWUMUKAMA Philibert est l’assassin de Feu Président
Melchior NDADAYE en 1993 et est connu comme un proche du Dictateur Pierre
BUYOYA et de l’ancien chef d’état Major sous la dictature Jean BIKOMAGU
(reconnu par un rapport de l’ONU comme un des principaux acteurs de
l’assassinat du Président feu NDADAYE). Cet meurtre a plongé le Burundi
dans une guerre civile qui a duré une décennie.Voilà, grosso-modo,
où en est le procès NDADAYE aujourd’hui en 2014. Depuis avril
1998 on y est plus réellement revenu… En septembre 2012,
NDUWUMUKAMA Philibert, alias KIWI, qui était l’homme qui avait
étranglé le Président Feu Melchior NDADAYE, dans la nuit fatidique du 21
octobre 1993, était arrêté à l’Est de la République Démocratique du Congo
(RDC) au moment où il cherchait à rejoindre la force négative M23.
Pour le confort du procès en cours entre 1996 et 1998, le caporal
NDUWUMUKAMA Philibert et 12 autres petits mains parmi les militaires, qui
avaient assassiné physiquement (de leurs mains) le président NDADAYE,
avaient été arrêtés et incarcérés jusqu’en 2006. C’est dans le cadre
de la mesure prise de libérer les prisonniers politiques que ce dernier
était sorti de prison grâce à l’UPRONA.DAM, NY, AGNEWS, le jeudi 23
octobre 2014[1] « Burundi : Histoire d’un coup d’Etat sanglant -Dix ans
après c’était le 21 Octobre 1993″- Honorable JEAN MARIE
SINDAYIGAYA.
[http://burundi-agnews.org/2.57/index.php/societe/histoire/guerre-civile/1260-burundi-histoire-dun-coup-detat-sanglant-dix-ans-apres-cetait-le-21-octobre-1993 ][2] Burundi: L’assassin de Feu Ndadaye accuse Buyoya [http://burundi-agnews.org/sports-and-games/?p=2920 ][3] Burundi : Ndadaye est mort … [ http://burundi-agnews.org/societe/?p=1015 ][4] Burundi: Ndadaye Melchior, 19 ans déjà [http://burundi-agnews.org/sports-and-games/?p=2874 ]Rating: 10.0/10 (2 votes cast)Burundi: 2014 - Les assassins de Ndadaye Melchior échappent encore à la justice, 10.0 out of 10 based on 2 ratingsThe Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
CANADA - Rwandan intelligence agents have been harassing suspected government opponents living abroad, including in Canada, according to a "secret" Canada Border Services Agency report disclosed in Federal Court.
The report by the CBSA National Security Screening Division described "a well-documented pattern of repression of Rwandan government critics, both inside and outside Rwanda" involving threats, attacks and killings.
The document said Rwanda had attempted to organize "indoctrination training" for youths in Canada but the event was cancelled following a Canadian intelligence investigation into the harassment of Rwandans by spies loyal to President Paul Kagame.
While it said the Rwandan intelligence services were particularly active against Kagame's critics in neighbouring Uganda, the report went on to say that "attacks on opponents and critics have also taken place farther afield."
In South Africa, a prominent government critic escaped an assassination attempt in 2010 while, in the United Kingdom, police warned two exiles in 2011 about "threats to their safety emanating from the Rwandan government," it said.
The allegations of Rwandan intelligence activities are contained in an Inadmissibility Assessment report on Dick Patrick Muhenda, whom the CBSA alleged was involved in the Rwandan spy program. Last month, a judge called that "pure speculation."
An ethnic Tutsi and Rwandan citizen educated in Uganda, Muhenda arrived in Canada in 2000. Weeks after his refugee claim was denied in 2001 he married a Canadian. Her application to sponsor him as a spouse was approved in principle in 2002 and sent for a security assessment. It languished for a decade until the CBSA War Crimes Unit determined there was insufficient evidence he had committed war crimes.
But then in January 2014, the CBSA national security screening division recommended that Muhenda be declared inadmissible to Canada "for membership in an organization known to have engaged in acts of espionage against a democratic government, institution or process."
The assessment was based partly on information provided by the Canadian Security
Intelligence Service, which interviewed Muhenda about his possible ties to the Rwandan government, Rwandan Patriotic Front and Rwandan Intelligence Service.
"We also have received information about the fact that you are working for the government in Rwanda, acting as a spy for denouncing people who don't support Kagame," he was told during a February 2014 immigration interview.
"Not true," he replied. "Never."
His immigration application was denied the following month. He appealed to the Federal Court, which recently ruled the government's decision was unreasonable. The judge wrote that while Muhenda had initially lied to Canadian authorities (he said he was living in Tanzania prior to the 1994 genocide when he was really in Uganda), he had later owned up to his misrepresentations and they were not relevant to his security assessment.
"In addition, the officer's conclusions regarding the likely involvement of the applicant and his family with the RPF (Rwandan Patriotic Front) are based on pure speculation, centred on nothing more than presumptions about Rwandans of Tutsi ethnicity of apparent means that were part of the diaspora in Uganda," wrote Justice Mary Gleason.
Mitchell Goldberg, Muhenda's lawyer, said Thursday his client had three Canadian-born children and drove a bus for a living. He said an immigration officer "threw the kitchen sink" at him but the judge had properly recognized the speculative nature of the allegations. The spying allegation appears to have originated with a former girlfriend, he said.
"As far as I could see, it comes from a bitter ex-girlfriend who was trying to denounce him, hurt him in any way she could. I guess she was trying to take revenge against him, that's all you can see from what is available in the file."
The Rwandan High Commission in Ottawa could not be reached for comment about the CBSA allegations. The judge, who was privy to an unredacted version of the report, wrote that it "comments at length about the subversive actions of the Rwandan Intelligence service taken abroad, including in Canada."
© Copyright (c) The StarPhoenix
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Saturday, August 8, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
“Eén
miljoen dollar. Zoveel kreeg ik aangeboden om twee tegenstanders van de
Rwandese president Paul Kagame in Zuid-Afrika te laten ombrengen.” Op aanraden
van de twee potentiële slachtoffers, in ongenade gevallen bondgenoten van
Kagame, besloot Robert Higiro (43) het spel even mee te spelen met de andere
man aan de lijn, de gevreesde Rwandese kolonel Dan Munyuza, de directeur van de
Rwandese militaire inlichtingendienst.
Higiro woont nu ergens in Vlaanderen en zou graag een baan
vinden. Maar dat valt niet mee, net zo min als het makkelijk is om met hem een
afspraak te maken. Tot drie maal toe geven we elkaar rendez-vous in een
Belgisch station, want hij wil zijn verhaal kwijt. De baseballpet diep over het
hoofd getrokken, schichtige blikken links en rechts, een strategisch gelegen
plek in een triest cafetaria.
In
ongenade
Robert Higiro, die opgroeide in een Ugandees vluchtelingenkamp,
sloot in 1990 aan bij het Rwandees Patriottisch Front waarvan Paul Kagame de
onbetwiste leider was en dat in 1994, na de volkerenmoord in Rwanda, de macht
overnam. Higiro klom op tot majoor in het Rwandese leger, maar “ik viel in
ongenade omdat ik terloops kritiek had geuit op twee Rwandese officieren.” In
2010 kreeg hij zijn ontslag uit het leger en trok eerst naar Uganda en nadien
naar Senegal. “Daar kreeg ik na verloop van tijd te horen dat kolonel Munyuza
een baantje voor me had, namelijk het zoeken van huurmoordenaars om
in Zuid-Afrika kolonel Patrick Karegeya en generaal Faustin Kayuma Nyamawasa om
te brengen - beiden waren in ongenade gevallen.”
Wantoestanden
Higiro vroeg 1,5 miljoen dollar om de klus te
klaren. Munyuza stelde voor om tot 1 miljoen te gaan en
voegde eraan toe: “Als we erin slagen beiden te doden, dan zullen de andere hun
mond wel houden.”
Uiteindelijk ging het plan niet door en Robert Higiro vluchtte
via Kenia naar ons land. Patrick Karegeya werd op 1 januari 2014 gewurgd in
zijn hotel in het Zuid-Afrikaanse Johannesburg aangetroffen Eerder dit jaar
getuigde Higiro voor de Commissie Buitenlandse Zaken van het Amerikaanse
Congres, dat de wantoestanden in Rwanda onderzoekt. Higiro is ongelukkig, niet
alleen omdat hij zijn in Uganda achtergebleven vrouw en kinderen mist: “Waarom
zet België, een van de voornaamste donoren van Rwanda, niet een dergelijk
parlementair onderzoek op? België heeft toch het grootste aantal Rwandese
expats.”
Lange
lijst moorden
Het aantal politieke moorden in Rwanda en in het buitenland
groeit met de dag. De Rwandese president Kagame, die openlijk werkt aan een
derde mandaat, heeft het hierbij vooral gemunt op zijn voormalige
bondgenoten, die een voor eenin ongenade vallen. Alles wijst erop dat
Kagame een paleisrevolutie vreest - een aanslag uit eigen (Tutsi-)kring.
Een beperkte greep uit de steeds langer wordende lijst:
16 mei 1998: voormalig minister van Binnenlandse Zaken Seth
Sendashonga wordt vermoord in het Keniaanse Nairobi.
19 juni 2010: voormalig generaal Faustin Kayumba Nyamwasa, ooit
een van de kopstukken van het RPF, krijgt in Zuid-Afrika
enkele kogels in de buik, maar overleeft de aanslag. Van de zes
verdachten zijn drie Tanzanianen en een Rwandees veroordeeld.
24 juni 2010: Journalist Jean Leonard Rugambage, die lang
geschaduwd werd door de geheime diensten, wordt in zijn
huis inKigali gedood. De moord vindt plaats meteen
na het verschijnen van zijn artikel over de mogelijke Rwandese
betrokkenheid bij de aanslag op Nyamwasa.
12 juli 2010: het onthoofde lijk van Andre Kagwa
Rwisereka, de vicevoorzitter van de Democratische Groene Partij en ex-lid
van het RPF wordt teruggevonden.
30 november 2011: de gevluchte journalist Charles Ingabire
wordt in de Ugandese hoofdstad Kampala afgemaakt. Hij schreef
kritische artikelen over het Rwandese regime.
1 januari 2014: in een hotel in Johannesburg
wordt kolonel Patrick Karegeya gewurgd teruggevonden. Karegeya was hoofd van de
externe inlichtingendienst onder Kagame, maar viel in ongenade.
Leedvermaak
De Rwandese president Kagame doet weinig moeite om zijn
leedvermaak bij de moorden te verbergen. Bij de dood van Karegeya zei
hij: “Ik wens dat Rwanda het zou gedaan hebben. Ik wens dat
echt.” Zijn Defensieminister James Kabarehe, verantwoordelijk voor de twee
oorlogen in Congo (1996 en 1998) klonk nog duidelijker: “Als je leeft
als een hond, dan sterf je als een hond.”
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Friday, July 31, 2015
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
- Libye : ils vont déposer plainte contre Sarkozy pour "crimes contre l'humanité"
- Scandale en Belgique : Plus de 300 millions d’euros détournés par le Commissaire européen Louis Michel
Ejo tariki ya 30-07-2015, nibwo abanyapolitiki benshi b’abarundi bari basesekaye Addis Abeba, mu murwa mukuru wa Ethiopiya, aho bari bagiye gukora inama ikomeye cyane yo gushinga umutwe wo kurwanya leta y’Uburundi, bise « CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION ». Amakuru yageze ku IKAZE IWACU, yemeza ko iyi nama itabaye, ahubwo inzego z’umutekano za Ethiopiya zirukanye kitaraganya abo barundi bari bamaze kugera Addis, babwirwa ko iyo nama yabo itemewe n’amategeko
Aya makuru akomeza avuga ko bamwe muri abo banyapolitiki b’ababarundi bangiwe kwinjira muri Ethiopiya, bageze ku kibuga, ejo ku wa kane mu gitondo, abari baturutse mu Bubiligi nabo bahise basabwa kuva ku butaka bwa Ethiopiya. Ariko ngo bigeze ku mugoroba, nibwo abayobozi ba Ethiopiya bafashe icyemezo gikomeye, cyo guhagarika burundu iyo nama yo gushinga Conseil National de Transition.
Abayobozi ba Ethiopiya bamenyesheje abo banyapolitiki b’abarundi bari bacumbitse muri Hotel Hilton ko Ethiopiya ihagaritse inama bari bajemo, kubera ko itemewe n’amategeko, maze babasaba ko baba bavuye ku butaka bwa Ethiopiya bitarenze mu gitondo cyo ku wa gatanu, tariki ya 31-07-2015. Ikindi bababujije ni ukudakora itangazo na rimwe cyangwa ngo bahure n’abanyamakuru, bakiri muri Ethiopiya.
Iki cyemezo ngo cyahise kigezwa vuba no ku buyobozi bwa Hotel Hilton, yari icumbikiye abo banyapolitiki bageraga kuri 20. Mu bari bacumbitse muri Hotel Hilton twavuga nka:
- Ambasaderi Hassan Rukara
- Léonce Ngendakumana
- Domitien Ndayizeye
- Marina Barampama
- William Munyembabazi
- Manasse Nzobonimpa
- Jérémie Ngendakumana
- Gervais Rufyikiri
- Issa Ngendakumana
- Pompon Mudugu
- Julien Nahayo
- Jean Paul Nyirubutama
- Nephtalie Ndikumana
- Pie Ntavyohanyuma
- Frederic Bamvuginyumvira
- Audifax Ndabitoreye
- Pancras Cimpaye
- Felix Ndayisenga
- Jean Minani
- Fred Ngamiye
- Geneviève Kanyange
- Onésime Nduwimana
- Sylvestre Ntibantunganya
Iki cyemezo Ethiopiya yafashe cyo kuburizamo iyi nama cyongeye kwerekana ko aba banyapolitiki b’abarundi barwanya leta iherutse gutorwa n’abaturage nta mpamvu ifatika bafite yo gukora intambara, ahubwo bo n’ibikoresho by’abazungu bashaka gusenya Uburundi no gusahura umutungo kamere wabwo ndetse n’uw’akarere k’ibiyaga bigari. Aha twavuga cyane nka Louis Michel wagiye avuga kumugaragaro ko atazigera yemera leta izava mu matora yo mu Burundi.
Iyi Conseil National de Transition bashaka gushinga kandi inerekana ko aba banyapolitiki bose ntacyo bahuriyeho mu ngengabitekerezo, ahubwo n’imyanya y’ubutegetsi bakeka ko bazahabwa nyuma yo kurangiza ikiraka cya ba mpatsibihugu. Iri burizwamo ry’iyi nama kandi rije mu gihe za nyeshyamba za Gen Niyombare zimaze iminsi zicengera mu Burundi zinyuze mu Bugarama no mu Bweyeye, zahuye n’isanganya zikicwamo nyinshi none ubu abaziyoboye bakaba barazihaye amategeko yo kugaruka mu Rwanda.
Amakuru agera ku IKAZE IWACU avuga ko ubu zuzuye mu Bugarama, aho zimwe ziri kuvurwa ibikomere, izindi zirunze muri Nyungwe hafi yo mu Bweyeye. Iyi ntambara bashaka izabagora cyane.
Amakuru agera ku IKAZE IWACU avuga ko ubu zuzuye mu Bugarama, aho zimwe ziri kuvurwa ibikomere, izindi zirunze muri Nyungwe hafi yo mu Bweyeye. Iyi ntambara bashaka izabagora cyane.
Ibi byabaye kuri bariya banyapolitiki b’abarundi, byari bikwiye kubera isomo abanyapolitiki b’abanyarwanda barwanya leta ya FPR, birengagiza kwegera abanyarwanda, ahubwo bakirirwa bicaye mu byumba bya ba LOUIS MICHEL na BILL CLINTON, basaba ngo bazabahe ubutegetsi. Baribeshya kuko ibihe byarahindutse, ntabwo abo bazungu bagipfa kugera ku byo bashaka byose nka cyera. Icyo abo bazungu bazabafasha gusa ni ukwica benewanyu, noneho nyuma namwe bakazabakanira urubakwiye.
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part II
The Unstoppable Truth
Daily bread for Rwandans
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part III
The Unstoppable Truth
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)