Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Monday, June 11, 2018
Par Arsène Laurel
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
DISCRIMINATION ETHNIQUE CONTRE LA COMMUNAUTÉ HUTU
Exclusion de la gouvernance, de la prise de décision et des organes de sécurité
Le Rwanda est étroitement contrôlé par une clique ethnocentrique, issue de la communauté minoritaire tutsie. Cette clique calleuse constitue un cartel informel qui possède un réel pouvoir. Ensuite, peu de figures de proue de la communauté Hutu sont recrutées pour former le gouvernement formel fictif qui n’a aucun pouvoir réel pour attirer la communauté internationale. Il est très fréquent de voir ou d’entendre des membres de cette clique condescendants aux Hutus et aux Hutus humiliants en les appelant «Hutus». Cette clique condescendante recrute des Hutus sur la base d’une loyauté inconditionnelle et aveugle, plutôt que sur la base du mérite et de la compétence.
Le FPR, sous les ordres du général Paul Kagame, n’a pas réussi à élargir sa base populaire. La communauté Hutu est marginalisée d’une part significative du pouvoir. Les Hutus qui servent au gouvernement ne sont que des substituts du FPR qui manquent de légitimité dans leur communauté. Ils sont maintenus en fonction, souvent pour de très courtes périodes, dans le seul but de donner au gouvernement une apparence de pluralisme politique. La communauté Hutu perçoit le FPR comme un instrument de domination politique par la minorité. Le gouvernement n’est pas considéré comme légitime.
La répartition ethnique de l’actuel gouvernement rwandais montre que les Tutsis détiennent un pourcentage prépondérant de postes supérieurs. Les Hutus occupant des postes très élevés détiennent souvent relativement peu d’autorité et sont jumelés avec des Tutsis supérieurs qui exercent un véritable pouvoir. Les agences militaires et de sécurité sont entièrement contrôlées par les Tutsis. Ces forces armées sont mal utilisées pour opprimer et tuer les Rwandais.
Le régime du FPR dispose de nombreux outils pour persuader les Hutus de ne pas vouloir occuper de hautes fonctions de peur d’être, un jour, abaissé, démis de ses fonctions et jeté dans des cachots. Parmi ces outils, il y a les Juridictions Gacaca et la Loi sur l’Idéologie du Génocide. Ce dernier, par définition, n’est manifesté que par les Hutus. Ces outils discriminatoires sont également utilisés pour étouffer les partis d’opposition dirigés par les Hutus ou les Tutsis modérés. Une fois de plus, l’identité hutue et son association avec le génocide sont utilisées comme un outil de répression politique continue et d’imposition de punitions collectives. Nonobstant la rhétorique d’aller au-delà de l’ethnicité, il est clair que les identités ethniques continuent d’être manipulées: «les problèmes tribaux sont même beaucoup plus forts qu’auparavant, et le régime du FPR l’encourage.
La vengeance de Kagame pour la présidence et l’identité ethnocentrique du FPR ont condamné les tentatives fictives du FPR d’élargir sa base et de constituer une circonscription dans la communauté Hutu et ont condamné le FPR au statut de parti représentant les intérêts d’un groupe ethnique minoritaire ne rester au pouvoir que par la discrimination, la coercition brutale et la violence. Ceci est aussi incarné par les massacres, reflétant le génocide et le nettoyage ethnique contre la communauté Hutu, perpétrés par le FPR et le harcèlement systématique des dirigeants hutu, qui faisaient partie du gouvernement de transition post-génocide et / ou des jours fondateurs du FPR 1980, la plupart d’entre eux fuient vers l’exil. Les malchanceux ont été assassinés et quelques-uns sont marginalisés et bannis dans l’obscurité au Rwanda.
Si le régime du FPR doit un jour surmonter les défis et les divisions de la société rwandaise, il doit mettre un terme à tous les mauvais traitements déshumanisants contre les Hutus et commencer à partager réellement l’autorité avec les Hutus à un degré beaucoup plus élevé qu’aujourd’hui. Ce programme d’abaissement et d’intimidation des Hutus, qui détiennent des postes supérieurs ostensibles sans autorité, les empêche également de s’exprimer sur les exactions commises par les officiers politico-militaires du FPR contre les Hutus qui sont réduits à des citoyens de deuxième classe en général.
Génocide contre les Hutus et assassinats sélectifs
Depuis octobre 1990, le FPR perpétrait à la fois des massacres et des assassinats sélectifs contre les Hutus. Les Tutsis modérés ne sont assassinés que dans le contexte d’assassinats sélectifs.
Pour les massacres, la liste est longue. Les massacres perpétrés par les soldats et les cadres du FPR contre la population hutu dans l’ancienne commune de Muvumba en octobre 1994 illustrent le programme de nettoyage ethnique du FPR contre la communauté hutu dans le but d’inverser la composition numérique de la population rwandaise. Ces massacres ont continué à être perpétrés dans les communes de Bwisige, Cyumba, Kivuye, Kigombe, Mukarange, Ngarama, Butaro, Cyeru, Mutura, Kirambo, etc. C’est pourquoi le FPR a mis des obstacles insurmontables à la conduite des l’équipe des droits de l’homme à travers la zone contrôlée par le FPR en 1993 et contre la publication du rapport élaboré par la Mission des Nations Unies au Rwanda au cours des premiers mois de 1994.
En 1994, alors que les extrémistes hutus massacraient des Tutsis et des Hutus modérés, le FPR massacrait sans discrimination des civils hutus innocents dans les régions d’Umutara, Byumba, Ruhengeri, Bugesera, Gitarama, Kigali, etc.
Ces massacres ont continué après la prise du pouvoir par le FPR. Cette organisation politico-militaire belliqueuse et ethnocentriste continue de massacrer les Hutus en masse dans tout le pays. Ces massacres ont été perpétrés lors de réunions convoquées par le FPR, lors de perquisitions de maisons, lors d’attaques contre des villages, lors d’embuscades contre des rapatriés, lors de raids contre des personnes déplacées, pendant des massacres et lors d’exécutions extrajudiciaires dans des centres de détention.
En 1995, le FPR a massacré un nombre estimé de 8 000 personnes déplacées hutues à Kibeho. Puis en 1996, comme il ne suffisait pas que le FPR ne massacre que des Hutus internes, les troupes du FPR ont franchi les frontières de la République démocratique du Congo (RDC) pour décimer génocidement au moins 200 000 réfugiés hutus.
Tout en perpétrant des crimes de génocide en RDC, le FPR a simultanément commis des massacres de masse contre les Hutus au Rwanda; en particulier dans les régions de Ruhengeri, Gisenyi, Cyangugu, Kibuye et Gitarama.
Etant donné la campagne haineuse du FPR pour semer l’animosité ethnique, la haine et les soupçons entre les communautés Hutu et Tutsi, compte tenu de la brutalité et de la bellicisme du FPR pour maintenir le pouvoir, compte tenu des opérations secrètes actuelles visant à donné la contrainte du FPR et de l’IBUKA aux Tutsis pour espionner et enrôler tous les Hutus; Il existe des preuves concluantes que le régime du FPR commettra d’autres massacres génocidaires à l’avenir.
Pas de justice pour les Hutus
Le régime en place met en place toutes les barrières possibles pour empêcher les Hutus d’accéder à une justice égale.
Tout Hutu qui conteste le régime au pouvoir pour la mise en œuvre de la justice en faveur des Hutus massacrés génocidiquement par le FPR est qualifié de «négationniste du génocide» ou «révisionniste du génocide» par le régime de Kagame et fustigé comme «assassin du souvenir».
L’un des échecs les plus graves de la justice est son incapacité à assurer une justice équitable à toutes les victimes de crimes graves commis depuis octobre 1990 à ce jour. Les officiers politico-militaires du FPR ont tué des centaines de milliers de personnes depuis octobre 1990. Ils ont également perpétré d’autres horribles massacres, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, après que le FPR ait pris le contrôle total du pays. Les tribunaux conventionnels, y compris les Juridictions Gacaca, n’ont pas poursuivi les crimes du FPR.
Initialement, en 2001, les juridictions gacaca étaient compétentes en matière de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, en plus des crimes de génocide. Mais l’année suivante, alors que les juridictions Gacaca commençaient leurs travaux, le général Kagame intervint contre les crimes commis par les officiers politico-militaires du FPR et expliqua que les crimes du FPR n’étaient que des vengeances isolées, malgré la preuve contraire qui continue à être justifiée par les persécutions discriminatoires et oppressives en cours commises par le FPR. Les amendements aux lois Gacaca de 2004 ont protégé les auteurs attachés au FPR de la compétence des tribunaux et une campagne nationale du FPR a suivi pour s’assurer que ces crimes n’étaient pas discutés dans les juridictions Gacaca. 17 ans après le génocide de 1994, les Rwandais qui ont souffert ou perdu des proches du FPR attendent toujours la justice.
Initialement, en 2001, les juridictions gacaca étaient compétentes en matière de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, en plus des crimes de génocide. Mais l’année suivante, alors que les juridictions Gacaca commençaient leurs travaux, le général Kagame intervint contre les crimes commis par les officiers politico-militaires du FPR et expliqua que les crimes du FPR n’étaient que des vengeances isolées, malgré la preuve contraire qui continue à être justifiée par les persécutions discriminatoires et oppressives en cours commises par le FPR. Les amendements aux lois Gacaca de 2004 ont protégé les auteurs attachés au FPR de la compétence des tribunaux et une campagne nationale du FPR a suivi pour s’assurer que ces crimes n’étaient pas discutés dans les juridictions Gacaca. 17 ans après le génocide de 1994, les Rwandais qui ont souffert ou perdu des proches du FPR attendent toujours la justice.
Ce régime utilise uniquement le système judiciaire comme un instrument de blanchiment politique sur les crimes graves contre l’humanité, sur les crimes de guerre et sur les crimes de génocide perpétrés par le FPR contre les Hutus. Le système est de plus en plus vulnérable à la manipulation par ceux qui sont au pouvoir. Avec des obstacles procéduraux inadéquats et des tribunaux trop politisés, les gens vivent sous la menace constante d’être faussement accusés.
Le pouvoir judiciaire continue d’être géré et contrôlé par des personnes qui sont donc responsables de plusieurs crimes. De plus, en raison de cette culture d’impunité, l’armée et la police se perpétuent pour commettre des exécutions extrajudiciaires et sont couvertes par le régime au pouvoir qui s’ingère dans les activités judiciaires.
Ce système judiciaire partiel non indépendant n’a pas pour but de combattre l’impunité indépendamment de l’affiliation ethnique. Au lieu de cela, il a pour but d’abuser des dispositions de la loi et d’abuser du pouvoir des opposants dragons du régime de Kagame en particulier, et du groupe ethnique hutu en général. Sans aucun doute, nos raisons de fuite sont toujours justifiables, car il n’y a certainement aucune chance de rétablir la confiance et la justice à moins que les forces de l’ordre et l’autorité ne soient en mains neutres démocratiques.
Il n’y a pas d’arbitre indépendant largement crédible pour déterminer et mettre en œuvre la neutralité dans les procès motivés par des considérations ethniques. Il n’y a ni transparence ni honnêteté dans l’environnement dans lequel le pouvoir judiciaire fonctionne.
La surveillance des Gacaca par le FPR, à travers IBUKA, a affaibli le système. Le Gacaca n’est plus un mécanisme de résolution des conflits basé sur la communauté, mais fait partie d’une machine d’Etat centralisée, qui met le pouvoir d’investigation de l’Etat au service de la poursuite tout en interdisant l’assistance juridique à l’accusé. Il est interdit à l’accusé de se défendre ouvertement et librement, car tout commentaire visant à prouver que la vérité est qualifiée par les juges manipulés d’attiser les divisions ou d’épouser l’idéologie du génocide ou le révisionnisme. Les procès sont sérieusement entachés d’irrégularités, les particuliers et les autorités du régime du FPR manipulent le cours de la justice: les juridictions Gacaca se sont politisées au fil des ans. De véritables erreurs judiciaires, de la corruption et des irrégularités procédurales, justifiées par la manipulation des Gacaca pour régler les comptes personnels et politiques, aggravent les animosités ethniques. En outre, il n’y a pas de place pour l’appel et les tribunaux sont simplement gouvernés par la haine personnelle et l’envie du FPR d’anéantir les Hutus.
Le processus Gacaca renforce la notion d’assomption collective de culpabilité, de citoyen de deuxième classe et de justice inéquitable sur les Hutus. Les accusés (tous Hutus) ne bénéficient pas d’une protection juridique adéquate. Les juges manipulés non formés ne sont ni entièrement impartiaux ni libres de toute influence politique;
Incarcération de masse
L’internement est l’une des machinations du FPR pour accélérer la décimation de la communauté Hutu. Ce régime du FPR recourt toujours à la concoction de crimes liés au génocide afin de garder le plus grand nombre possible de personnes de cette communauté derrière les barreaux.
Pour culminer ce symbolisme trouble en prétendant que c’est pour la mise en œuvre de la justice, les Juridictions Gacaca sont utilisées à mauvais escient comme un raccourci pour écraser les Hutus dans des maisons de détention surpeuplées. Beaucoup de victimes sont soumises à une détention provisoire de 17 ans. Dans beaucoup de donjons, les gens sont obligés de rester debout tout le temps au point de mutiler leurs membres inférieurs. C’est au cours de ces détentions qu’ils sont nourris avec de la nourriture mélangée avec des débris de verre ou avec des résidus de plomb pour provoquer leur mort à une date ultérieure. À la fin de la journée, les gens perdent la vie ou disparaissent tout simplement lorsqu’ils sont incarcérés en prison. C’est après s’être assuré que les victimes sont au seuil de la mort que les amnisties présidentielles sont déclarées ou que les juridictions Gacaca les acquittent.
Les accusations d’être en relation avec des mouvements rebelles sont également fabriquées pour finalement emprisonner des personnes qui étaient trop jeunes en 1994 pour avoir participé au génocide rwandais. Un autre signe symbolique de garder les Hutus en prison est la fameuse “idéologie du génocide” où la victime est jetée derrière les barreaux pour une période d’au moins 10 ans.Le génocide et le tourbillon de la culpabilité, les coups de cœur et les récriminations qui l’ont entouré ont fourni un contexte favorable à la marginalisation des Hutus.
Intrinsèquement, l’essence du massacre du FPR contre les Hutus n’est pas seulement la vengeance, mais aussi principalement le but du FPR de réduire les Hutu à la communauté minoritaire comme l’a entendu la bouche du Général Kagame dans un discours écrit au début du Chapitre II. 1. C’est pourquoi le FPR a commencé des massacres de masse contre les Hutus dès 1990. Cette nouvelle forme de génocide est différente de celle de 1994. Celui-ci consiste à tuer silencieusement en silence comme l’a dit une femme: “un génocide comme celui qui s’est passé en 1994 mais il y en a un autre qui se passe. C’est celui de l’emprisonnement des gens et ensuite ils disparaissent, et ils emploient des gens et ne les paient pas, ce qui est une forme d’esclavage. Comme Gacaca, ils vous condamnent pour 30 ans, ce qui signifie que vous n’avez plus de droits; et Hutu est la seule cible. ”
Les accusations d’être en relation avec des mouvements rebelles sont également fabriquées pour finalement emprisonner des personnes qui étaient trop jeunes en 1994 pour avoir participé au génocide rwandais. Un autre signe symbolique de garder les Hutus en prison est la fameuse “idéologie du génocide” où la victime est jetée derrière les barreaux pour une période d’au moins 10 ans.Le génocide et le tourbillon de la culpabilité, les coups de cœur et les récriminations qui l’ont entouré ont fourni un contexte favorable à la marginalisation des Hutus.
Intrinsèquement, l’essence du massacre du FPR contre les Hutus n’est pas seulement la vengeance, mais aussi principalement le but du FPR de réduire les Hutu à la communauté minoritaire comme l’a entendu la bouche du Général Kagame dans un discours écrit au début du Chapitre II. 1. C’est pourquoi le FPR a commencé des massacres de masse contre les Hutus dès 1990. Cette nouvelle forme de génocide est différente de celle de 1994. Celui-ci consiste à tuer silencieusement en silence comme l’a dit une femme: “un génocide comme celui qui s’est passé en 1994 mais il y en a un autre qui se passe. C’est celui de l’emprisonnement des gens et ensuite ils disparaissent, et ils emploient des gens et ne les paient pas, ce qui est une forme d’esclavage. Comme Gacaca, ils vous condamnent pour 30 ans, ce qui signifie que vous n’avez plus de droits; et Hutu est la seule cible. ”
Esclavage institutionnalisé
Une des stratégies du FPR pour anéantir les Hutus consiste à les forcer à être enrôlés dans le service militaire. Après avoir reçu une formation minimale, ils sont envoyés au front dans les guerres internationales du FPR où ils sont utilisés comme boucliers humains. Les Hutus, qui survivent, sont mal payés et les familles des défunts ne reçoivent aucune compensation.Un autre groupe de Hutus physiquement aptes sont soumis au travail forcé dans les mines congolaises où le camp de transit vers cet enfer est l’île d’Iwawa.Le dernier groupe est soumis à l’esclavage à l’intérieur du pays dans des œuvres physiques épuisantes appelées œuvres d’intérêt public: une sorte d’esclavage institutionnalisé où les victimes doivent travailler soit pour l’Etat, soit pour les familles tutsies.
Après avoir été condamnée dans le cadre d’un procès inique empreint d’intimidation, la victime est contrainte de concéder et de demander pardon. Même ceux qui ont accompli leur travail forcé de façon satisfaisante sont maintenus dans des camps de travaux forcés pendant plus longtemps, continuant à travailler comme esclaves. Plusieurs victimes de cet esclavage institutionnalisé ont déclaré à Human Rights Watch qu’ils considéraient le soi-disant programme de service communautaire comme une forme de travail forcé et qu’ils se sentaient exploités par le régime du FPR. D’autres se sont plaints des conditions dans les camps et, en particulier, ils ne reçoivent pas assez de nourriture pour les soutenir dans les longues heures d’épuisement des travaux manuels. Au cours d’une entrevue dans un camp, une personne interrogée a révélé qu’elle avait purgé sa soi-disant phrase de service communautaire, mais qu’elle n’avait pas encore été libérée. Alors que Human Rights Watch essayait de faire un suivi auprès de la personne interrogée, un haut fonctionnaire du gouvernement qui avait entendu les remarques a promptement escorté les chercheurs de Human Rights Watch à l’écart du camp.
Appauvrissement
Ce stratagème est utilisé sous différentes formes pour interdire aux Hutus d’accéder à l’autosuffisance. Le nombre écrasant de Hutus est discriminé dans le secteur de l’emploi. Il est impossible pour un Hutu d’être employé dans un secteur public ou privé pour un poste bien rémunéré sans être, à une date ultérieure, humilié et expulsé en raison d’un procès inéquitable consistant en des accusations concoctées.La majorité écrasante de la majorité des Hutus est sans emploi en raison de la discrimination dont ils font l’objet dans le secteur de l’emploi. Il est extrêmement difficile et même absolument impossible pour un Hutu d’obtenir un travail bien rémunéré. Les Hutus dirigent des commerces mesquins et informels, qui sont donc entravés par de nombreuses taxes lourdes imposées par le FPR. Les emplois dans les services publics et les bourses d’études sont attribués en fonction de l’appartenance ethnique plutôt que de la compétence et du mériteUne autre catégorie de Hutus sont les agriculteurs qui sont poussés à vendre leurs produits par le biais de coopératives contrôlées par le FPR et dirigées par des Tutsis. Ces coopératives ont établi des prélèvements sans permettre aux agriculteurs Hutu de négocier. Après avoir vendu des produits, ces agriculteurs sont également contraints de contribuer financièrement au profit du FPR. Dans de nombreux cas, les pondérations des produits sont abaissées par la direction de la coopérative le jour du paiement. Les victimes ont le dos au mur parce qu’elles n’ont nulle part d’autre à vendre leurs produits en raison de la politique symbolique de la monoculture. Beaucoup de Hutus ont vu les terres réquisitionnées parce qu’ils ont refusé de payer la contribution incitée.En adoptant la politique d’abandon des bourses d’études, la communauté fortement touchée est celle des Hutus tant qu’ils sont appauvris. Les besoins scolaires des étudiants tutsis sont payés soit par le gouvernement, soit par leurs propres familles financièrement stables.Toujours dans cette lignée de Hutus appauvris, le FPR veille à ce que de nombreux Hutus soient internés pour une période d’au moins 5 ans sans procès. Il s’agit d’une camisole de force subtile visant à empêcher les victimes de travailler pour leurs besoins financiers et d’induire leurs familles à l’extrême pauvreté puisque les membres de la famille sont obligés de passer beaucoup de temps dans les affaires liées à la détention arbitraire sans travail.
Le régime refuse continuellement d’indemniser les victimes comme le recommande l’article 9 (5) de la Convention internationale sur les droits civils et politiques (PIDCP) et l’article 5 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP)Les Hutus n’ont pas de droits sur leurs propriétés.
Ils sont particulièrement victimes de la politique actuelle d’expulsion de la ville de Kigali. Après avoir démoli leurs maisons, ils sont expulsés avant d’être mal indemnisés. C’est ce qui s’est produit à partir de 1994, en particulier dans la région orientale du Rwanda où les Hutus ont été dépouillés de leurs terres et ensuite assassinés une fois qu’ils ont essayé de se plaindre pour leurs propriétés. Ce programme est actuellement mis en œuvre dans tout le pays. Les terres arables sont saisies par les Tutsis et il y a des confiscations extralégales de ces terres par les responsables du FPR ou leurs partisans. C’est le cas des agriculteurs hutus de Gikongoro.Le régime refuse continuellement d’indemniser les victimes comme le recommande l’article 9 (5) de la Convention internationale sur les droits civils et politiques (PIDCP) et l’article 5 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP)Les Hutus n’ont pas de droits sur leurs propriétés.
Ils ont été expulsés de leurs terres et leurs terres ont été confisquées avec force par le FPR et allouées à un magnat tutsi pour la plantation de thé. Les agriculteurs n’ont jamais reçu de compensation. Toujours dans la vallée de Bugarama, les fermiers hutu de riz ont vu leurs champs confisqués par le général Wilson Gumisiriza depuis juillet 2011. Les fermiers qui osent se plaindre sont actuellement enlevés et portés disparus.Le secteur agricole qui emploie 90% de la population hutu (80% de la population nationale) ne dispose que de 3% du budget national. Les fermiers hutu qui survivent à l’agriculture, leurs efforts sont entravés par les taxes furtives qui leur sont imposées.Le cercle intérieur du FPR veille à ce que les Hutus soient exclus du portefeuille lucratif et étendu. Il y a des greffes dans l’utilisation de l’aide au développement, et il n’y a pas de transparence pour réglementer ou rendre publics les vastes revenus du FPR. L’ethnicité, le favoritisme et le mélange des flux de financement publics et privés sont les facteurs qui font que la base économique du Rwanda est minuscule parce que l’écrasante majorité est appauvrie et ne bénéficie pas de ces économies vaudou. Ce type d’appauvrissement discriminatoire et les avantages économiques qui sont biaisés en faveur d’un segment ethnique attisent le ressentiment, alimentent les tensions locales, accroissent la vulnérabilité économique, polarisent la suspicion mutuelle et alimentent la peur selon des critères ethniques.Ce programme du FPR consistant à appauvrir délibérément les Hutus fait partie de la politique du FPR visant à les réduire dans la pauvreté permanente afin qu’il soit facile pour le FPR de les manipuler malicieusement et facilement pour son caractère purement politique.En substance, à l’attention du HCR; “Lorsqu’une personne est systématiquement et absolument empêchée de subvenir à ses besoins économiques de base en raison de sa race, de son opinion politique ou de son désir de liberté d’expression; cette personne devrait être considérée comme ayant besoin d’une protection internationale
Incrimination
Une autre pomme de discorde dans l’agenda du FPR est de faire vivre les Hutus dans une conscience de culpabilité permanente. C’est pourquoi le «génocide rwandais» a été rebaptisé «génocide tutsi» au Rwanda pour que tous les Hutus se sentent coupables.Toujours dans ce but d’étouffer les Hutus, des crimes liés au génocide sont quotidiennement inventés pour hanter les Hutus. En plus de «l’idéologie du génocide», il y a aussi des crimes de révisionnisme et de divisionnisme dont les définitions soulignent que les crimes de haine des Hutus sont cités dans un journal pro-FPR lorsqu’ils écrivent: «Par les tribaux soyons clairs. – Nous voulons dire les tribaux hutu à l’intérieur et à l’extérieur du Rwanda. Et bien sûr, nous ne voulons pas dire que chaque Hutu est un tribaliste, tout comme nous le savons, il y a aussi des tribaux tutsis; mais pour les besoins de cet éditorial, nous parlons des tribaux hutus. ”
La stigmatisation des Hutus, l’attribution collective de la culpabilité aux Hutus, la marginalisation des Hutus et la recherche du cœur contre les Hutus sont des symptômes de la fragilité exacerbante de l’unité nationale. L’ethnicité est utilisée comme base pour la répression. Les idéologies du génocide, l’héritage de la culpabilité, la collaboration avec les mouvements rebelles, les conjectures collectives de culpabilité et de récrimination – l’ethnicité environnante – sont utilisées par le FPR comme écran de fumée pour la discrimination ethnique contre les Hutus, notamment par l’association de Hutu au génocide. la promotion des stéréotypes anti-Hutus.Les Hutus ne sont pas seulement victimes d’une incrimination collective en ce qui concerne les fausses accusations liées au génocide; ils sont également victimes de l’attitude actuelle du FPR accusant faussement tous les Hutus d’être responsables de toute souffrance infligée à un Tutsi. Les châtiments subséquents sont toujours humiliants et visent à démontrer aux Hutus qu’ils sont de moindre strate que les Tutsis.Bien que les preuves rassemblées par des observateurs impartiaux soulèvent des doutes sérieux sur chacune de ces assertions, le point le plus important à souligner est l’objectif des extrémistes tutsis qui gouvernent le pays, de substituer la responsabilité collective à la responsabilité individuelle et d’apposer le label “ Genocidaire « à toute la communauté Hutu.
Les citoyens de la deuxième strate
Il évolue également la question de la citoyenneté. Alors qu’au Rwanda, les Hutus sont marginalisés au point d’être des citoyens de seconde main. Ceci est démontré par l’élimination et l’exclusion du processus politique. Egalement par un système juridique négligent qui ne protège que les intérêts des Tutsis en raison du refus institutionnalisé de traiter les cas de Hutus qui ont été tués et qui ont été massacrés.Tout Hutu qui interroge et défie le régime au pouvoir sur ses méfaits perpétrés par le FPR risque directement d’être accusé de crimes concoctés liés au génocide. Cela tombe aussi dans la politique du FPR de stratification en étouffant tous les jeunes Hutus prometteurs pour qu’il y ait une assurance de gouverner de nombreuses années sans menace.Une sorte de système de caste est définitivement là et ceux qui ont l’habitude d’être au sommet sont prêts à tout, y compris tuer, pour maintenir l’ordre social et politique tel qu’il est.
Pour les Hutus, il y a un ressentiment du statut social inférieur. Le régime actuel est essentiellement dominé par les Tutsis et toutes les positions de pouvoir réel dans les institutions militaires et administratives sont détenues par les Tutsis qui s’assurent que les avantages favorisent les Tutsis plutôt que les Hutus.
Le régime actuel du FPR place également moins de valeur dans la vie des nombreux Hutus modérés qui sont morts en 1994 du génocide. Le terme «Tutsi» a remplacé le terme «Rwandais» dans la dénomination du génocide de 1994. Cela signifie que les Tutsis sont les seules victimes estimées de la tragédie qui a emporté la vie des Tutsis et des Hutus modérés. Sur cette pomme de discorde, le président de SOS Racisme, M. Dominique SOPO, a été cité en disant qu’appeler le sang des Hutus salit le sang des Tutsis.
Le Fonds des survivants du génocide (FARG) a notamment apporté une aide précieuse à de nombreux rescapés du génocide. Cependant, la définition de «survivant» est étroite. Elle exclut les femmes tutsies qui étaient mariées aux Hutus avant le génocide et les enfants de tels mariages, ainsi que les veuves hutues qui ont perdu leurs maris tutsis pendant le génocide. Les hommes hutus et leurs femmes ou enfants qui ont été blessés ou tués ne sont pas considérés comme des survivants, même s’ils ont été tués en essayant de protéger les Tutsis.
Une veuve tutsie mariée à un Hutu décédé pendant le génocide a déploré le fait qu’elle ne pouvait pas recevoir de soins médicaux même si elle était handicapée à la suite de blessures subies pendant le génocide. Une autre veuve tutsi avec enfants est restée sans abri après avoir été privée de l’assistance du FARG pour la même raison. Les responsables du FARG ont réfuté l’affirmation de Human Rights Watch selon laquelle elle n’a pas aidé les personnes qualifiées. Cependant, Human Rights Watch et les ONG locales travaillant avec ces groupes vulnérables ont documenté un certain nombre de ces cas. Les allégations de corruption et la mauvaise gestion des fonds du FARG ont laissé de nombreux survivants du génocide déçus par les promesses du gouvernement de les aider.
De même, IBUKA, la principale organisation de survivants du génocide, ne fournit aucune aide aux femmes tutsies mariées à des Hutus et ne fournit aucune aide aux Hutu. Une femme tutsie a dit: »IBUKA ne m’aidera pas parce que mes enfants sont hutu. Ils refusent de me donner le certificat d’un survivant parce que j’étais marié à un Hutu. Maintenant, je suis malade du VIH à la suite d’un viol pendant le génocide, et je n’ai pas d’argent pour continuer à recevoir des médicaments. Mes enfants trouvent la situation injuste. Leur père a été tué à cause de leur mère et pourtant ils ne sont pas considérés comme des victimes du génocide. ”
Il est important de noter que ceux qui dénoncent de telles machinations discriminatoires sont également soumis à des accusations concoctées de révisionnisme génocidaire, d’idéologie du génocide ou de minimisation du génocide.
La question des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocide commis par le FPR est exclue de toute procédure judiciaire. Même les Hutus qui sont actuellement tués ne reçoivent aucune forme de justice, une fois qu’on a découvert que l’auteur est un Tutsi. Il n’y a pas d’enterrement dans la dignité pour les Hutus massacrés par le FPR. Leurs os sont aujourd’hui enterrés après avoir été passés pour Tutsi. À plusieurs reprises, les Hutus sont fouettés pour les forcer à boire les eaux usées utilisées pour laver les os mis au jour.
Selon la loi, ceux qui sont faussement condamnés par Gacaca sont également privés de certains droits civiques, y compris le droit de vote, le droit de s’engager dans le service militaire ou public et le droit d’être enseignant ou de travailler dans la profession médicale.
Il est également important de noter que ce ne sont pas seulement les Hutus qui ont été victimes de discrimination. Les Tutsis modérés sont également victimisés, en particulier lorsqu’ils refusent de se joindre au FPR dans son programme visant à anéantir les Hutus comme une communauté entière. Un autre groupe victime est constitué de personnes qui ont franchi les limites établies par le RPF entre deux communautés pour épouser un conjoint d’une communauté différente. Leur progéniture n’est pas non plus tolérée.
Dans la pratique, alors que la communauté hutu constitue la majorité numérique du pays, le FPR a pour objectif de réduire les Hutus à la minorité sociale, économique et politique dans le but d’inverser la composition numérique de la population rwandaise.
Pour résumer, il existe une forme subtile d’apartheid contre les Hutus pour contourner l’attention étrangère.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sunday, May 6, 2018
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
THE DEATH OF RURAL RWANDA AND ITS TEN MILLION INHABITANTS VERSUS THE REGIME’S FALSIFIED STATISTICS
In his 2010 election manifesto, President Kagame pledged to increase funding for the agricultural sector through providing water dams for irrigation, streamlining access to market, reviving cooperative societies, pre-fixing prices for agricultural produce and stabilizing agricultural subsidies. However, at the end of his second seven-year term in the office last year, the economy of Rwanda had worsened considerably. The RPF government failed to concentrate on putting the fundamentals right. Therefore, the economy would not be dominated by services rather than agriculture when more than 83% of Rwandans depend on agriculture and live in rural areas. The regime concentrates on the decoration of Kigali and major cities. This looks like whitewashed tombs because despite the luster you see in Kigali, the people are hungry.
The steady declining contribution of agriculture to national income which has not been matched by the movement of people from agriculture to the other sectors means the people who are involved in this sector, who are the majority, have gotten economically worse off. The RPF government uses a financial forecasting model which is only useful in projecting government revenue trends but can’t stimulate the economy because Kagame dictates upon the national treasury and does not allow alternative policies proposed by the opposition to deal with the country’s problems.
The Kagame regime takes heavy debts from World Bank and other fiscal paradises simply to embezzle the money and fill it in the pockets of government officials. They buy luxury cars, build villas overseas, invest in their own businesses and so on. The regime spends lots of money to pay air tickets, hotel accommodation, pocket money and salaries for its assassins who threaten to kill Rwandan critics abroad.
The high officials of the government (the President, Ministers, Parliamentarians, Governors, Mayors, CEOs, Senior Officers in the army and Police) have the highest salaries on the continent. These leaders do not care about the people but they are motivated by exorbitant cupidity to achieve illicit enrichment. They want to make big fortunes from the public money and the rest is none of their concern.
Investments in agriculture are very insignificant and funded by political rather than productivity objectives. The government has left individual farmers isolated and vulnerable to exploitative middlemen who benefit from the sweat of local farmers by creating politically patronised receiverships known as collectivization warehouses. This means condemning 83% of our population to poverty-related miseries among other human-created calamities.
There is no much production going on in rural Rwanda. The countryside is gradually dying because of volatile policies under the RPF’s fascist rule. Agriculture which remains Rwanda’s backbone despite the superficiality that the country is industrialising has suffered a terrible blow under President Kagame. By prioritising other sectors and neglecting agriculture, the Kagame regime has put the cart before the horse.
For example, EDPRS I (2008-2013) stemmed from Rwanda’s Vision 2020 and was supposed to guide medium term actions that would lead to the achievement of the Vision’s goals. But at the end of this Economic Development and Poverty Reduction Strategy less than 20% of its program had been achieved.
After EDPRS I came EDPRS II (2013-2018). The main goal of the strategy was to alleviate poverty by boosting the farmers’ production in quality and quantity through agricultural modernization, mechanization and agro-processing. This meant to speed up Rwanda’s progress towards becoming a middle-income status country and creating a better quality of life for all Rwandans through sustained average GDP growth of 11.5% and accelerated poverty reduction to less than 30% of the population.
As outlined under EDPRS II and Vision 2020 targets, agricultural sector was expected to play a pivotal role in poverty alleviation efforts. Rwanda aimed to have at least 100.000ha of land irrigated by 2018. Nonetheless, not even 10.000ha are irrigated because the RPF regime is a lot more concerned with furthering its imperialism in the Great Lakes region than promoting the living standards of the nationals.
As it has recently been published, there is 38% of children aged under five whose growth has stunted due to severe malnutrition. When you study the case, the findings show that not only 38% of children were affected by stunting but also children between the age of six and twelve have suffered malnutrition consequences. The supplied cause of the stunting states that the parents don’t know how to prepare a balanced diet for their children.
The officials from the department of local government argue that Rwanda has attained self-sufficiency in food and in virtue of this the cause of stunting cannot result from parents’ lack of skills within the preparation of meals rich in vitamins and proteins. It is in regard to this masquerade that the regime of the RPF is going to receive big bucks of US dollars to fight against stunting in children. Thus, the World Bank, the Power of Nutrition and the Global Financing Facility invest US$ 55 million to reduce chronic malnutrition of children in Rwanda.
While coping with childhood stunting, it is said that parents will receive formation. Yet, the matter is not less knowledge how to cook food rich in healthy ingredients because this crisis is present almost everywhere even in the country’s exemplary nutrition centers:
Stunting actually results from the following causes:
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Thursday, March 29, 2018
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
GÉNÉRAL DARY: « GUILLAUME ANCEL AURAIT MIEUX FAIT DE SE TAIRE ! »
Quand un ancien officier de l’armée française salit la mémoire de son institution
Le Lieutenant-colonel (LCL) Guillaume Ancel était capitaine en 1994, lors de l’opérationTurquoise à laquelle il a participé dans une unité de la Légion étrangère. Dans son ouvrage intitulé Rwanda, la fin du silence, tout juste édité aux Belles Lettres, Guillaume Ancel se livre à une attaque en règle de l’armée française qu’il accuse de collusion avec le pouvoir en place qui fut responsable du génocide des Tutsis.
En réponse, le général d’armée (2s) Bruno Dary, président de La Saint-Cyrienne, a souhaité réagir en déplorant une mise en cause injuste des militaires ayant servi lors de l’opération Turquoise. Il conteste la version des faits avancée par le LCL Guillaume Ancel et souligne le caractère pour le moins étrange de cette publication, survenant 24 ans après les faits. Avec l’aimable autorisation de la Saint-Cyrienne, nous reproduisons la lettre du général Dary,accessible ici.
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Monday, March 19, 2018
Breaking news: Nicolas Sarkozy placé en garde à vue dans le dossier du financement libyen de sa campagne de 2007
[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule with an iron hand, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus)and mass arrests of Hutus by the RPF criminal organization =>AS International]
Les très volumineuses analyses qui paraissent ces jours-ci dans les media s’interrogent sur ce que la France savait du génocide annoncé puis perpétré au Rwanda en 1994. Ce travail aurait pu être intéressant s’il ne tombait dans le travers d’un manichéisme stupide à moins qu’il soit pervers.
Même si on ne s’interroge pas sur le timing d’une telle série de publications, à l’ampleur inhabituelle pour un sujet vieux de vingt-quatre ans, on ne peut que constater que la pratique systématique de l’investigation asymétrique révèle pour ce quotidien qui fut jadis un grand journal respecté, non pas une réelle volonté d’informer mais bien plutôt le souci d’imposer une vérité plus que contestable.
A l’évidence, le Monde et ceux qui se prêtent à son petit jeu, visent à peser sur une décision judiciaire très attendue. On sait en effet que les magistrats ont déclaré close leur instruction sur l’attentat qui, assassinant deux chefs d’état africain et leur suite, a déclenché le génocide rwandais de 1994. On attend une éventuelle décision de renvoi devant la Cour d’Assises de ceux qui, preuves à l’appui et depuis de longues années sont mis en examen dans cette affaire. Certains rêvent toujours cependant d’un non-lieu qui ne pourrait intervenir, au vu de la réalité du dossier, que sous l’effet d’un diktat politique ridiculisant l’institution judiciaire et avec elle, la France toute entière. On pourrait aussi observer, en passant, si cela n’était pas négligeable aux yeux du Monde, que cet attentat a non seulement dégagé la route du pouvoir pour monsieur Kagame mais lui a aussi offert sur un plateau le Zaïre et surtout le Kivu qu’il pille allégrement depuis plus de vingt ans.
Mrs Ingabire Victoire Umuhoza The Would-Be President of Rwanda |
Et bien entendu, tout
cela : c’est-à-dire les centaines de milliers de morts rwandais, les
millions de morts congolais, les autres morts en plus petit nombre, et qu’il
est d’ailleurs inutile de compter puisque seuls comptent les morts tutsi …c’est
la faute de la France ! Et pour mieux mettre en cause ses décisions et
donc sa responsabilité dans ces crimes atroces, on s’interroge sur ce que la
France savait. Enfin, on fait mine de s’interroger. Et on met en avant
certaines choses pour mieux occulter les autres, vieille technique
d’investigation asymétrique flirtant habilement avec les Fake News et
particulièrement efficace dans le drame rwandais depuis 1990 au moins.
Regardons un instant ce que savait la France juste avant le génocide de 1994. Etant sur le terrain de 1990 à 1993, j’y ai vu, entendu, lu et appris un certain nombre de choses. Et si je savais certaines choses, la France à qui j’ai rendu compte comme cela était mon devoir, ne pouvait les ignorer. Et j’ajouterai que si la France les savait, d’autres les savaient inévitablement, même si, comme aujourd’hui le font certains français, ils ont fait mine de l’ignorer.
Regardons un instant ce que savait la France juste avant le génocide de 1994. Etant sur le terrain de 1990 à 1993, j’y ai vu, entendu, lu et appris un certain nombre de choses. Et si je savais certaines choses, la France à qui j’ai rendu compte comme cela était mon devoir, ne pouvait les ignorer. Et j’ajouterai que si la France les savait, d’autres les savaient inévitablement, même si, comme aujourd’hui le font certains français, ils ont fait mine de l’ignorer.
En octobre 1990, la France savait que
le Rwanda, qualifié alors de « Suisse africaine », vivait en paix
depuis 1973. Le président Habyarimana y avait la réputation d’être le
protecteur des tutsi. La France savait que le HCR avait engagé avec les
différentes parties afin de résoudre le problème des réfugiés tutsi souhaitant
rentrer au Rwanda après avoir installé Museveni sur le trône de Kampala (où il
est toujours). La France savait qu’une visite du HCR était prévue au Rwanda à
la fin du mois de septembre 1990.
Mais
la France ne sait toujours pas pourquoi n’a pas eu lieu cette visite attendue
par le Gouvernement rwandais quelques jours seulement avant l’attaque du 1
octobre 1990. Il faudrait probablement déclassifier les archives du HCR mais
personne ne le souhaite, apparemment.
L’attaque
du 1 octobre 1990 ayant été déclenchée, la France savait que les troupes ayant
franchi la frontière à Kagitumba étaient en uniforme de l’armée ougandaise et
que chaque homme portait sur lui sa carte d’identité de l’armée ougandaise.
La
France savait aussi, se référant au discours du président Kayibanda de mai 1966
que cette attaque risquait d’entraîner des massacres interethniques et que
« les hutu allaient massacrer les tutsi » comme l’a
écrit l’attaché de défense français en octobre 1990.
La
France a su aussi que les menaces de crimes interethniques évoquées par son
attaché de défense s’étaient concrétisées et que quelques milliers
d’« ennemis de l’intérieur » étaient enfermés dans le stade de
Nyamirambo.
Dès
lors que faire ? Laisser faire, comme beaucoup l’ont décidé ? Dans ce cas
l’attaque se développerait au nord…les massacres au sud...et on regarderait ?
On aurait pu aussi appuyer l’agression comme d’autres ont choisi de le faire
avec l’Ouganda, dans l’idée un brin cynique que plus la conquête du pouvoir
irait vite, moins nombreuses seraient les victimes. Mais le président MOBUTU a
décidé d’intervenir et que, avec l’aide de sa célèbre Division Spéciale
Présidentielle, il a bouté les agresseurs hors du Rwanda.
Dans
le même temps la France savait que l’armée gouvernementale n’avait plus de
munition d’infanterie après la folle nuit du 4 au 5 octobre 1990 et que la
Belgique refusait de livrer celles que le Rwanda avait commandées et payées de
longue date. Dans le même temps aussi, l’armée ougandaise ouvrait ses stocks en
armes, munitions, et en hommes à ceux qui veulent déstabiliser le pays.
Mais
chuttt ! Au Rwanda, contrairement à ce qui s’est passé en Europe lors de
la seconde guerre mondiale, le responsable de tous les crimes n’est pas celui
qui a déclenché la guerre mais celui qui a tenté de se défendre.
La
guerre d‘octobre ayant pris fin et le FPR ayant été renvoyé en Ouganda, la
France aurait pu croire que la crise était passée et le Rwanda a nouveau
stabilisé. L’aide qu’elle avait apporté ayant convaincu le gouvernement en
place qu’il n’était pas seul face à l’adversité avait obtenu, avec l’appui des
diverses chancelleries occidentales, que soient libérés sans casse les milliers
de détenus du stade Nyamirambo. La vie avait repris son cours.
Mais
la France savait qu’au FPR ramené en Ouganda, le débat battait son plein et que
Kagame, rappelé en urgence des Etats Unis par Musevni, avait remplacé Fred
Rwigema. A la stratégie de la conquête éclair, économisant les victimes civiles
et militaires, qu’avait tenté Rwigema succédait la guerre d’usure, cruelle et
couteuse en vies humaines de toute sorte qu’allait conduire sans relâche
Kagame. Le ton en était donné fin janvier 1991 : apprenant que, lors d’un
raid audacieux sur la prison de Ruhengeri, le FPR avait « récupéré »
le colonel LIZINDE[1] pour en faire un
des officiers d’état-major, la France comprenait, compte tenu du passé
sulfureux de cet individu, que la guerre civile que mènerait Kagame serait d’un
cynisme et d’une cruauté infinis.
Il
était encore temps de jouer les Ponce Pilate comme beaucoup le suggéraient. On
pouvait encore se laver les mains du sang de ces centaines de milliers de
justes qui allaient périr. Mais ce ne fut pas le choix de la facilité et/ou de
la lâcheté qui prévalu. Il fut décidé d’empêcher les gouvernementaux de
massacrer les tutsi en contrepartie d’une aide civile et militaire qui
stabilisant l’économie du pays lui permettait de freiner la conquête militaire,
le temps que la Démocratie s’installant et que des négociations de paix
s’engageant, les causes de la guerre aient disparues. Mais ce faisant, et ce
fut-là sans doute l’erreur fondamentale de notre pays , c’était croire que les
motifs avancés - le retour des réfugiés et le poids politique des tutsi-
étaient les motifs réels de cette guerre. On découvrira beaucoup trop tard,
après des fleuves de sang que l’objectif réel de Kagame était le pouvoir sans
partage, loin de la démocratie, et le pillage des ressources minières du pays
voisin.
La
France a suivi de près la montée des périls. Elle s’est interrogée sur les
massacres de Kibilira et des Bagogwe qui auraient fait quelques dizaines de
morts. Elle a constaté le massacre du Bugesera en 1992 qui aurait causé
quelques centaines de morts. Elle a fait en sorte que cela cesse et que les
coupables sont emprisonnés. Mais elle a appris et également constaté les crimes
commis dans le nord du pays par les troupes de Kagame, dans la préfecture de
Byumba en 1992 et dans celle de Ruhengeri en 1993.
A l’été 1993, la France sait- tout au moins ceux des français qui veulent le savoir le savent – que le FPR a vidé le nord du pays de tous ses habitants, désormais réfugiés par million aux portes de Kigali dans le terrible camp de Nyaçonga. Le processus décrit est toujours le même : après l’arrivée des soldats de l’APR, les élites étant séparés de la masse avant d’être éliminés, le gros de la population est conviée à une réunion d’information pour recevoir les directives des nouvelles autorités. Une fois rassemblée, cette population majoritairement hutu est prise sous le feu des armes automatiques et s’enfuit en panique. Piétinant et abandonnant femmes, vieillards et enfants, fuyant vers le sud avant de fuir vers l’ouest, les rescapés parviennent à Nyaçonga où, regroupés par commune, ils crèveront à petit feu de faim, de froid et de maladie.
A l’été 1993, la France sait- tout au moins ceux des français qui veulent le savoir le savent – que le FPR a vidé le nord du pays de tous ses habitants, désormais réfugiés par million aux portes de Kigali dans le terrible camp de Nyaçonga. Le processus décrit est toujours le même : après l’arrivée des soldats de l’APR, les élites étant séparés de la masse avant d’être éliminés, le gros de la population est conviée à une réunion d’information pour recevoir les directives des nouvelles autorités. Une fois rassemblée, cette population majoritairement hutu est prise sous le feu des armes automatiques et s’enfuit en panique. Piétinant et abandonnant femmes, vieillards et enfants, fuyant vers le sud avant de fuir vers l’ouest, les rescapés parviennent à Nyaçonga où, regroupés par commune, ils crèveront à petit feu de faim, de froid et de maladie.
Kagame before the ICC The Right answer to the Rwandan Genocide |
La
France sait que le FPR massacre les élites des territoires occupés puisque,
entre autres, j’ai relevé les corps de tous les magistrats de la Cour d’Appel
de Ruhengeri , ainsi que ceux de leurs épouses. La France sait que la
population fait l’objet de déportation massive puis qu’ elle est arrivée aux
portes de la capitale. La France sait que ces procédés employés quelques années
plus tôt au Cambodge par les khmers rouges ont constitué le crime de génocide.
On pourrait supposer que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, il en
aille de même au Rwanda. Quoi qu’il en soit, bien que les gouvernementaux
n’aient pas su toujours tout empêcher, ceux qui massacrent massivement au
Rwanda en 1993, ce sont les troupes de Kagame .
La
France sait aussi que les partis politiques, qu’elle a incité à créer pour
cause d’avancée démocratique, ont créé chacun sa milice. Elle n’ignore pas que
les milices du parti présidentiel, les Interhamwe du MRND, ont été créées et
financée les derniers et par un tutsi. Elle n’ignore pas non plus qu’elles sont
infiltrées par des agents de Kagame. Les transfuges du FPR prétendent
aujourd’hui que les éléments FPR infiltrés dans ces milices n’avaient pas d’autre
mission que le renseignement. Mais on sait aussi, depuis que le chanteur
Corneille a écrit son livre, que les troupes du FPR ont massacré – y compris-
des tutsi – sous l’uniforme des gouvernementaux….
Et
puis la France sait aussi – si elle veut le savoir – que les quelques cinquante
attentats, qui ont ensanglantés le pays de la fin 91 à la mi-93, et qui ont
facilité des réflexes ethniques dont les massacres du Bugesera de 1992, sont le
fait du FPR. Si elle a lu les comptes rendus des officiers en place à Kigali –
dont les miens – elle sait que le FPR déstabilise le pays par tous moyens et ne
répugne pas, pour justifier son agression d’un Rwanda vivant en paix en 1990,
de provoquer des troubles interethniques. Pour Kagame, ces tutsi qui ont
accepté le joug des hutu en restant au Rwanda depuis 1962 n’ont qu’à payer le
prix de la reconquête. D’ailleurs les tutsi du Burundi n’ont-ils pas conservé
le pouvoir en 1992 au prix de quelques centaines de milliers de morts
hutu ? Les réfugiés burundais qui hantent les sud du Rwanda sont là pour
le rappeler à tout un chacun qui veut les entendre.
Ms. Rakia Omar/Africa Rights $100,000/paid by RPF for every publication of the list of the Hutu genocidaires Who knows where she is before she got killed by Kagame She knows too much. |
La
France sait en 1993 que Kagame veut un pouvoir sans partage (il y est encore
vingt-cinq ans plus tard et pour longtemps ..) et que peu lui importe le prix
que devra payer le peuple rwandais. Elle sait aussi qu’elle est la seule avec
son armée à pouvoir empêcher le fleuve de sang qui s’annonce. Kagame le sait
aussi , c’est pourquoi il exigera à Arusha le départ des troupes françaises.
Néanmoins,
sachant tout cela, prenant prétexte d’un simulacre d’accord de paix signé à
Arusha en aout 1993, la France a choisi, de faire ce qu’elle n’avait pas fait
en 1990 ni en 1991. Pour se dégager de ce qui est devenu un bourbier, la France
va sauter en 1993 sur le prétexte qui lui est servi sur un plateau par un
Kagame posant le départ des troupes françaises comme un préalable
incontournable à tout accord de paix.
Fin 1993 la France se retire, abandonnant ce peuple à ces démons après l’avoir stabilisé, protégé et conforté pendant trois ans. Je suis personnellement parti quelques semaines plus tôt, en fin de mission de trois années et appelé, comme on le dit à d’autres responsabilités. En montant dans l’avion je mesure les menaces qui se profilent à l’horizon : « Faites attention à vous » dis-je à mes amis qui respectent la tradition en m’accompagnant à l’avion…
Mes
pensées vont alors à Denoix de St Marc, abandonnant ses chrétiens du Tonkin, au
général de Pouilly se demandant devant une Cour d’Assises s’il y a plus grand
crime que d’abandonner un peuple… Je revois les femmes de Ruhengeri en février
1993 qui, apprenant que le convoi français redescendant sur Kigali a ordre de
ne prendre que des expatriés et aucun rwandais, déposent leurs bébés sur les
sièges de ma jeep – et sur mes genoux- en disant « emmenez au moins
les enfants ! ».
Lisant ce faux débat ridiculement manichéen qui s’étale aujourd’hui dans la « grande » presse française, je ne peux , à l’instar du Général de Pouilly que me demander qui a commis le plus grand crime de ceux qui, confortant jusqu’en 1993 le gouvernement rwandais multipartite, ont tout tenté pour empêcher la déstabilisation du Pays de l’Eternel Printemps » ou de ceux qui, appuyant la rébellion du sieur Kagame - ou la laissant faire, ce qui revient au même – ont permis que ce paradis devienne durablement un enfer.
Lisant ce faux débat ridiculement manichéen qui s’étale aujourd’hui dans la « grande » presse française, je ne peux , à l’instar du Général de Pouilly que me demander qui a commis le plus grand crime de ceux qui, confortant jusqu’en 1993 le gouvernement rwandais multipartite, ont tout tenté pour empêcher la déstabilisation du Pays de l’Eternel Printemps » ou de ceux qui, appuyant la rébellion du sieur Kagame - ou la laissant faire, ce qui revient au même – ont permis que ce paradis devienne durablement un enfer.
[1] Grand
pourfendeur de tutsi, comploteur, condamné pour tentative de coup d’état,
LIZINDE sera auprès de Kagame, l’expert en guerre révolutionnaire pilotant
le réseau « network « des combattants du FPR infiltrés à
l’intérieur du Rwanda et jusqu’au cœur des Interhamwe
The Truth
can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it
will, like a seed, break through the surface once again far more potent than
ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time",
yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part II
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Daily bread for Rwandans
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The killing Fields - Part III
The Unstoppable Truth
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Peter Erlinder comments on the BBC documentary "Rwanda's Untold Story
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Rwanda, un génocide en questions
Bernard Lugan présente "Rwanda, un génocide en... par BernardLugan Bernard Lugan présente "Rwanda, un génocide en questions"
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)