Rwanda: Cartographie des crimes
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Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
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Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Sa soi-disant rétraction commence à lui faire peur à en déduire après une série de questions-clé lui posées par le Journaliste-enquêteur Pierre Pean juste après la mise en libérté de la terroriste rwandaise et criminelle Rose Kabuye. C'est sur base de la rétraction de Ruzibiza, sur conseil de Kouchner qui veur voir les relations franco-rwandaises se normaliser tant pis pour les victimes françaises que le procureur a remis cette officier militaire rwandais Rose Kabuye en Liberté.
Quelle cynisme! Quelle humiliation! Les femmes des pilotes français se retrouvent privés des droits à la citoyenneté française. Qui a décidé de leur sort? Kouchner devra un jour payer pour les actes criminels commis contre la France et le peuple français.
Rwanda: Rose Kabuye remise mercredi aux autorrités françaises
17.11.2008 18:03
La responsable du protocole du président rwandais, Rose Kabuye, arrêtée le 9 novembre dernier en Allemagne en vertu d'un mandat d'arrêt international émis par la justice française, sera transférée en France mercredi, a indiqué le parquet général de Francfort lundi.
Des policiers français vont aller chercher Rose Kabuye, actuellement détenue dans une maison d'arrêt pour femmes allemande, à Francfort, a-t-on précisé de même source.
Le jugement de cet assassin peut décourager les bouchers du FPR de continuer les massacres
L'arrestation de Rose Kabuye, à son arrivée en Allemagne pour préparer une visite privée du président rwandais Paul Kagame, a mis à mal les relations diplomatiques entre les deux pays qui ont expulsé leurs ambassadeurs respectifs.
Rose Kabuye "est sous écrou extraditionnel. En règle générale quand l'intéressé est d'accord pour être extradé, l'extradition peut avoir lieu sous 10 à 14 jours", a déclaré à l'AFP la procureure Hildegard Becker-Toussaint, chef du parquet de la Cour d'appel de Francfort (ouest), compétente pour les affaires d'extradition.
Elle a également accentué la mésentente existante entre la France et le Rwanda depuis le lancement des mandats d'arrêts internationaux contre neuf proches du président Kagame par le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière dans l'enquête sur l'attentat contre l'avion de l'ancien président rwandais Juvénal Habyarimana en avril 1994, considéré comme le point de départ du génocide au Rwanda.
La responsable rwandaise du protocole d'Etat, âgée de 47 ans, est recherchée par la justice française dans le cadre de cette enquête désormais menée par le juge Marc Trévidic. Mme Kabuye a combattu dans les rangs de la rébellion du FPR (Front patriotique rwandais) de Paul Kagame, qui a pris le pouvoir à Kigali en 1994. Plus de 3 miilions de Rwandais, 500.000 tutsis selon l'ONU sont morts et 3.500.000 Hutussont morts en 1990, 1992. 1993,1994, 1995 massacres de Kibeho sous l'égide de l'ONU plus les mega massacres du FPR contre les réfugié Hutus. Tous les Hutus sont souvent assimilés aux miliciens interahamwe, ce qui explique les massacres odieux de 1996, 1997 et en 1998 en présence de l'ONU
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Pourquoi se constituer partie civile dans le procès Kagame par l'entremise de Rose Kabuye son amant?
Vous devez vous constituer partie civile pour demander à figurer comme partie à ce procès pénal où vous avez été victime pour plusieurs raisons. Cela vous permettra d'obtenir réparation du préjudice subi ou la restitution d'objets perdus suite aux crimes occasionnés par la planification du génocide rwandais. Vous êtes associé à l'information: déroulement de l'instruction, progression de l'information du juge, exercice des possibilités de recours.
Vous devez le faire au plus tard avant que le procureur ne prenne la parole pour faire connaître son point de vue.
Pour toute information, adressez-vous: - au service d'accueil et de renseignement d'un tribunal, - au service de consultation gratuite des avocats (renseignez-vous auprès de la mairie, du tribunal d'instance ou de grande instance), - à un avocat.
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Adresse
Mesdames,
Messieurs,
Plus d'un se pose la question ou les raisons qui poussent cette femme officer de l'armée patriotique rwandaise pourtant connue pour ses actes criminels, à se rendre le plus vite possible à Paris pour répondre ou prover son innocence devant la justice française.
Pourquoi effectivement, notre dame, héro aux yeux des 40 criminels aussi recherchés par la justice espagnole et française, si elle n'est pas dépêché par son amant Paul Kagame, en hâte pour aller à Paris? Pourquoi force-t-elle l'extradition vers Paris? Pour comprendre, il faut voir et comprendre le scénario suivant:
Une recherchée par un mandat d'arrêt internationale offre ses bons offices pour se faire arrêté malgré les avertissements des agents et de l'interpole allemands.
Paul Kagame invite les journalistes pour en faire écho et injurier les services de l'interpole allemand. Il n'hésite pas à humilier l'administration allemande les traitant d'idiots, de gens qui font ce qu'ils ne savent pas.
Paul Kagame téléphone à ses lieutenants qui dirigent la branche du FPR IBUKA dont les membres sont du FPR, milices, polices, RDF, à obliger les Rwandais Hutus à manifester (sachant bien que les leurs ont été massacrés par les mêmes recherchés par Paris) contre l'arrestation de Rose Kabuye, une criminelle de guerre et une menteuse invétérée.
Ce n'est pas tout: l'arrogant Paul Kagame, sachant bien qu'il n'a rien à perdre, parce que Tony Blair reste à ses côtés, et d'autres que je veux pas citer les noms pour des raisons d'enquête, ordonne la fermeture de l'ambassade allemand à Kigali, sachant pertinemment bien que l'Allemagne se place au premier plan pour l'aide au Rwanda. L'ambassadeur allemand aura reçu 48 heures pour avoir quitté le Rwanda.
Des avocats de notre chère criminelle, déclarent qu'elle veut le plus vite possible aller à Paris pour répondre de ses accusations.
Dans l'entretemps, BBC, Colette Brachmann et d'autres média au service de Paul Kagame commencent font leur travail de plus bel: Faire écho du désistement ou de la rétractation de Ruzibiza qui aujourd'hui est devenu malgré lui, le vrai perroquet pour avoir mémorisé ce qu'il doit dire aux journalistes qui savent ce qu'ils doivent faire, publier, choisir ce qu'il faut que les gens, le public entende!
It doesn't depend on you whether or not I exist. If you don't like me, don't accept my invitation and don't invite me to come and see you. Whether you like it or not, history is on my side, I will bury you.
Jean-Christophe, Utrecht, April 3rd, 2004.
Nothing but Human rights. We Will Win !
Celui qui ne se rend pas à la manifestation est condamné à une amande de 100000 Frws"Mon correspondant a ajouté "il n'y a pas de justice et de liberté d'expression parce que quand quelqu'un parle, il se retrouve en prison"
My correspondent added: "there is no justice and no freedom op speech, those who speak will be imprisoned.)
(FK)
La supervision de la finance mondiale est une question délicate. Si tout le monde s'accorde sur la nécessité de mettre en place des barrières de sécurité, la question de l'instance qui en aura la charge ne semble pas encore totalement tranchée, chacun faisant valoir ses positions. Vraisemblablement, plusieurs niveaux de sécurité seront mis en place.
Selon des "sources diplomatiques", citées par le Washington Post, la création d'une structure pour superviser les 30 plus grandes banques du monde devrait être décidée lors de la réunion du G20 qui rassemble vendredi et samedi les dirigeants de 20 grands pays industrialisés et émergents. Le nouvel organisme, appelé "collège des superviseurs", rassemblerait "les régulateurs internationaux pour coordonner la surveillance" de ces banques, affirme ce vendredi le journal.
Cet organisme serait conçu "pour ajouter un niveau supplémentaire de surveillance au contrôle des banques et pour repérer toute prise de risque excessive", comme celles qui ont alimenté la crise actuelle. La Maison Blanche a confirmé son soutien à une telle idée, même si elle a recommandé d'attendre la fin du sommet du G20 avant de tirer des conclusions sur son issue.
Prévention précoce
Selon le Washington Post, "les Etats-Unis, les pays européens, le Japon et les plus grandes nations en développement sont également proches d'un accord pour créer un système de prévention précoce pour détecter des faiblesses dans le système mondial" de la finance, avant qu'elles ne prennent une dimension dangereuse.
Le sherpa de George W. Bush pour le sommet, Dan Price, avait indiqué mercredi que les Etats-Unis avaient été "à l'avant-garde de réformes qui n'ont pas suscité une grande attention politique". Il avait cité le rôle que pouvaient jouer, dans la supervision financière, des instances comme le Forum de stabilité financière, la Banque des règlements internationaux (BRI) et l'OICV, organisme regroupant 191 régulateurs de marchés du monde entier.
A ce propos, le porte-parole de la Maison Blanche a évoqué la mission qui pourrait être confiée par le sommet du G20 au Fonds monétaire international. "Nous pensons que le FMI a un rôle important à jouer en soulignant les risques qu'il perçoit pour l'économie mondiale et ils font déjà en partie cela actuellement", a-t-il indiqué, ajoutant: "cela fait longtemps que nous pensons que le FMI devrait examiner l'économie mondiale et dire où il voit des aspects vulnérables".
Justement, le Fonds monétaire international (FMI), candidat à cette tâche, et le Forum de stabilité financière (FSF) ont publié vendredi une lettre aux gouvernements et banques centrales du G20 indiquant qu'ils allaient coopérer pour pouvoir sonner l'alarme en amont des crises financières.
KIGALI (AFP) – Rwanda expelled Germany's ambassador to Kigali on Tuesday and recalled its own ambassador from Berlin in anger at the arrest of a top Rwandan official in Frankfurt.
"Rwanda's ambassador to Germany was recalled today for consultations," Rwandan Information Minister Louise Mushikiwabo told AFP.
"The Rwandan government told the German ambassador to leave within 48 hours until the arrest of Kabuye is resolved.
"The ambassador should leave the country by Thursday," added Mushikiwabo, who is also the government's chief spokeswoman.
Rose Kabuye, Rwandan President Paul Kagame's chief of protocol, was arrested on Sunday by police in Germany -- acting on a French warrant -- on suspicion of involvement in the killing of Rwanda's former president Juvenal Habyarimana.
Habyarimana's killing is widely seen as having triggered the 1994 genocide.
Kabuye's arrest has sparked outrage among Tutsi extremists in the tiny central African government dopminated by the Tutsi extremists who reacted by issuing indictments and arrest warrants against 23 French military and political officials over their suspected role in the genocide.
On Monday, several thousands demonstrators most of them are believed to be Ibuka members, the RPF organization, marched to the German embassy in the capital Kigali and the offices of the Deutsche Welle, Germany's national broadcaster. Hutus were forced to join the demonstrations and those who refused to take part in the big show of force were reportedly imprisoned while others were arbitrary arrested and shot to death.
On Tuesday, around a thousand youths demonstrated in front of the French cultural centre in Kigali, which has been closed since Rwanda broke diplomatic ties with France in November 2006.
Officials have said that a demonstration of women could also take place on Wednesday.
Kabuye is the first Rwandan to be arrested out of nine warrants issued by issued by French anti-terrorism judge Jean-Louis Bruguiere in 2006 against close Kagame aides whom the judge suspects of being behind Habyarimana's death.
reports that hundreds of bodies were found by UN peacekeepers and journalists in the village of Kiwanja, the day after Congolese Tutsi rebels, led by Gen. Laurent Nkunda, attacked the town, which the rebels said contained members of the pro-government Mai-Mai militia.
Kiwanja residents said Mr. Nkunda's National Congress for the Defence of the People (CNDP) rebels had carried out the killings after taking control of the village.
They knocked on the doors, when the people opened, they killed them with their guns," said Simo Bramporiki, aged around 60, who said his wife and child were killed last night.
Nkunda denied his men had killed civilians.
But the BBC reports that a spokesman for the Democratic Republic of Congo faulted UN peacekeepers, who have a base near Kiwanja, for failing to stop the attack on the village.
"People are being slaughtered and [UN peacekeepers] did nothing," a spokesman for President Joseph Kabila said....
Neighbouring Rwanda is also culpable. Its government has repeatedly endorsed various demands of the general, who refuses to register his group as a political movement in Congo, eschewing the UN-sponsored elections there two years ago.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
Former rebels put Rwanda under spotlight
Ce soi-disant Général est porteur d'un bâton de Maréchal ou d'un umuhunda d'un Roi de l'ancien Rwanda!
By Matthew Green in Goma
Published: November 11 2008 23:26 Last updated: November 11 2008 23:26
Rwanda has sought to portray itself as little more than a bystander to the scenes of advancing rebels forcing refugees to flee that are unfolding again over the border in the eastern Democratic Republic of Congo.
But in interviews with the Financial Times, former rebels and observers on the ground say the uprising – led by Laurent Nkunda, the renegade former Congolese general – relies heavily on recruitment in Rwanda and former or even active Rwandan soldiers.
Nkunda: 25 per cent of his army is said to be Rwandan
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Former rebels point to a close but complex relationship in which Rwanda’s government is able to exert considerable leverage on Mr Nkunda. Diplomats say Paul Kagame, the Rwandan president, personally intervened to dissuade the rebel commander from over-running Goma when he reached the edge of the city late last month .
Yet, publicly, Mr Kagame has sought to distance Rwanda from the Congo crisis and international diplomatic efforts to resolve it. At a press conference in Kigali last week he said: “What have I to do with what is going on in the Congo?”
The answer lies partly in the hillside villages and refugee camps in Rwanda that are a vital recruiting ground for Mr Nkunda’s CNDP movement. Former rebels say that in recent years he has recruited Congolese Tutsi refugees there, as well as Rwandan nationals, many of whom are former soldiers acting as mercenaries. Military experts say Rwandans make up at least a quarter of his 4,000-6,000-strong army.
One Rwandan told the FT he had left his cassava farm in March to join six countrymen in the rebellion. “I was looking for money,” said the former Rwandan army soldier. “There was no payment – that’s why I left.”
The United Nations mission in Congo says 73 Rwandans, mainly combatants, were repatriated after leaving Mr Nkunda’s forces last year. A further 76 followed between January and September 10 this year. Human-rights workers say many more are likely to stay in the rebel ranks. Those that have left say would-be deserters are beaten or executed.
Louise Mushikiwabo, the Rwandan information minister, dismissed the testimonies of former CNDP fighters as not “credible” and told the FT: “There is zero involvement of Rwanda in CNDP.”
Rwanda says any recruitment on its territory is clandestine and without its support. But human-rights activists say it could try harder to stop recruitment. UN officials suspect that the CNDP has a network of financial backers that stretches from Rwanda to South Africa and the US.
According to another rebel who recently deserted, units of Rwandan soldiers have fought next to Mr Nkunda’s forces during the past few years. “There were groups of soldiers from Rwanda who were with us,” he said.
He said his uncle, a Rwandan army officer, continued to receive his salary while fighting with Mr Nkunda, and that Rwandan troops who wanted to visit home were given border passes by the Rwandan government.
Other former fighters have described using razor blades to remove the Rwandan flag from uniforms sent to the rebel forces.
Evidence of more recent Rwandan support surfaced on October 29, when Uruguayan peacekeepers and international journalists reported seeing Rwandan tanks and artillery firing across the border at Congolese troops defending Goma.
Mr Nkunda’s latest offensive secured a chunk of territory that connects the plateau around his headquarters with a strip of land along the border that might ease infiltration of fighters or weapons from Rwanda.
Mr Nkunda and Rwan- da’s government, military and business elite share a history from before the 1994 genocide of Rwanda’s Tutsi minority. Mr Nkunda, a Congolese Tutsi, was an intelligence officer in the guerrilla army that Mr Kagame, a Rwandan Tutsi, used to stop the massacre and seize power.
Mr Kagame launched invasions of Congo in 1996 and 1998 and supported uprisings that Rwandan officials maintain were aimed at neutralising the threat posed by ethnic Hutu fighters who fled following the genocide.
The Congolese government of Joseph Kabila, the president, has periodically adopted the exiled Hutu militias to bolster its weak authority in the east – put-ting it at odds with Kigali.
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Exemple frappant: Major Rose Kabuye visitant les prochaines victimes.
Le manque de sincérité des dirigeants du FPR à commencer par Paul Kagame appartient à une culture du mensonge, à une culture du contre-témoignage. La bourreaucratie du FPR a développé la propension exceptionnelle à masquer, dénaturer la vérité depuis l'agression de l'Uganda par l'entremise du FPR. Pour vous en rendre compte, il vous faudra suivre cette femme, confidente de Paul Kagame et officer du PPR et vous comprendrez pourquoi le mensonge était devenu la base de l’éducation reçue. Sa participation quotidienne au mensonge du FPR lui a valu toute la confiance du Top Nazi rwandais.
Plusieurs des Tutsis aux idées démocratiques seront forcés à l'exil pour avoir refusé de participer personnellement au mensonge, au scénario du mensonge du FPR relatant la tragédie du génocide rwandais pourtant préparé, planifié, orchestré et mis en exécution par Paul Kagame, l'architecte du génocide Rwandais devenu par suite logique le Président du Rwanda. Pour le FPR, leur maintien au pouvoir serait inconcevable sans mensonge. Quelles mensonges du FPR avons nous subi en tant que Rwandais? quelles mensonges du FPR avons nous subi en tant qu' étrangers? Tous, nous en payons actuellement le prix.
Encore une fois, pour vous en rendre compte, regardez ce vidéo montrant le Major Rose Kabuye parlant en Kinyarwanda en utilisant une langue de bois, avec menaces à l'appui qui, les concernés Hutus seront exécutés après le départ des journalistes. Remarquez la différence entre les paroles qu'elles dit en Kinyarwanda et celles qu'elles dit en anglais. Incroyable mais vrai. Ceci n'est qu'un millième de ce que les étrangers arrivent à remarquer s'ils sont vraiment attentifs.
Voilà le vidéo en question : Regardez attentivement ce vidéo inédit et vous comprendrez pourquoi elle est une criminelle invétéree parmi les autres membres du FPR. De l'église Sainte Famille aux massacres des populations paysannes traumatisées mais courageuses d'oser dire tout haut ce qu'ils pensent dans cette banlieue de Kigali. Aux yeux des journlaistes, elle est une ange qui a arrêté le génocide (version officielle et à ce moment-là seule connue du FPR).http://www.youtube.com/watch?v=l9FEpZRRFlM
Cette tactique est encore utilisée par les menteurs Tutsis membres du FPR, qui tuent, massacrent leurs voisins Hutus dont ils veulent le contrôle absolu, devenus des citoyens de seconde zone et plus tard des esclaves produits principalement par TIG et et les tribunaux Gatchatcha. Aujourd'hui, les démonstrations organisées à Kigali ne sont autre qu'un FESTIN DE MENSONGES appelés INTSINZI.
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Le président rwandais Paul Kagame avec Mme Rose Kabuye à Nairobi le 7 novembre 2008
The premiere of the Justice grand Slam.
Vive la Justice.
La chef du protocole du président rwandais arrêtée en Allemagne
BERLIN (AFP) - 09/11/2008 17h41
La responsable du protocole du président rwandais Paul Kagame, Rose Kabuye, visée par un mandat d'arrêt européen émis par la France, a été arrêtée dimanche en Allemagne, a indiqué à l'AFP le ministère allemand des Affaires étrangères.
"Elle a été arrêtée aujourd'hui à son arrivée à l'aéroport de Francfort (ouest). L'Allemagne était tenue de l'arrêter en vertu d'un mandat d'arrêt européen émis par la France", a déclaré un porte-parole du ministère.
Rose Kabuye est recherchée pour sa participation présumée dans l'attentat contre l'avion de l'ancien président rwandais Juvénal Habyarimana, en avril 1994.
En novembre 2006, le juge français Jean-Louis Bruguière avait signé neuf mandats d'arrêt contre des proches du président Kagame qu'il soupçonne d'être impliqués dans le meurtre du président Habyarimana.
Parmi ces personnes visées figure Mme Kabuye, une ancienne députée et ancienne maire de Kigali.
Le Rwanda avait immédiatement rompu ses relations avec la France.
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Investigation into the “Rwandan Genocide’s” catylist - assassination of two presidents
An end to the culture of impunity in the Great Lakes - culprits should be brought to justice
Stop the war in the Congo - culprits should be brought to justice
An end to unjust organizations and “judicial” systems of terror - ICTR and Gacaca in Rwanda who try and prosecute innocent people.
Anyone with the time should read it, and even if you don’t have the time, but you support global justice and peace, you should just sign it. You can contact the petition creator at rwandapetitons at gmail.com
Below is the full text from the letter which is titled, Plea for Justice, Fairness and an End to the Culture of Impunity.
Dear Senator Obama,
As the Democratic presidential nominee, we are excited to have you as a representative. We have heard your message of hope and change, and we believe that it is time in our American History, as well as world history for real change. We look forward to change with meaning and purpose. Hope that will fulfill its promises, and bring the world much closer to justice and peace. We look forward to casting our votes for you this November to show our support and belief in your message.
We hope and urge that you will be committed to ending the culture of impunity for all of those who committed genocide and massacres in Rwanda and in the Democratic Republic of Congo. These genocide and war crimes started with the invasion of Rwanda, a sovereign nation, in 1990 and culminated in the explosion of violence and massacres in 1994. In addition, this conflict resulted in the spread of violence from Rwanda which spilled into the Congo. It is estimated today that between four and five million Congolese lives have been lost. As of today, no successful investigation has been conducted to establish and bring to justice those who committed these war crimes and crimes against humanity. We hope that all culprits will be brought to justice, without exception, including those who may currently be in hiding or may hold government positions.
We hope and urge that through your commitment to searching for truth, the Rwandan and Congolese Communities will recover hope and reassurance of justice. Once this is achieved, these countries can serve as models for what is possible when fear and hopelessness are replaced by hope. Through this process, peace resulting from fairness can be attained. Therefore, we ask that you will put pressure on any institutions that deny those accused their rights to challenge allegations levied against them. Such disregard for individuals’ rights has in many cases resulted in the detention, imprisonment, and execution of innocent people. We hope that you will encourage the adoption of a system that allows both prosecution and defense to look into all circumstances surrounding these war crimes and crimes against humanity.
There are thousands of people who have been imprisoned for over a decade in Rwanda and outside of Rwanda, under the accusation and prosecution of having committed genocide crimes. However, 14 years later, no efforts have been made to establish facts and hold accountable those who triggered the genocide by assassinating the two African Heads of State. We hope that you will commit to investing your time in a successful, unbiased, transparent, truthful, and comprehensive investigation.
Below are the names of people who support these efforts, and who hope that you will do all you can, to show the world real truth, and justice, through Rwanda and Congo as a models.
Thank You.
“Times they are a changing”
Rwandan Genocide / Rewards for Justice War Crimes Program Renews Searchfor
Notre devoir de victoire avec Ségolène Royal: Ceux qui ne digèrent pas la légitimité quoique timide des militants socialistes, doivent assumer et prendre une décision conséquente. Comme Michel Rocard dresse des lauriers au Top Nazi Rwandais Paul Kagame. Surprenant, n'est-ce pas?
«Il va falloir que le vote (des militants sur les motions au congrès) soit respecté», a affirmé ce matin Ségolène Royal, même si elle ne fait pas «acte de candidature» pour l’instant.
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«Il va falloir que le vote (des militants sur les motions au congrès) soit respecté», a affirmé vendredi Ségolène Royal, estimant que son résultat lui «donnait une légitimité» pour diriger le Parti socialiste même si elle ne fait pas «acte de candidature» pour l’instant.
Mme Royal a reconnu sur France Inter que sa majorité était «relative» et a estimé qu’elle devait à présent «mettre en mouvement la cohésion et l’unité des socialistes» pour «rassembler tous les talents qui existent au Parti socialiste».
«C’est vrai que ce n’est pas le scénario le plus simple mais si la politique était simple ça se saurait», a-t-elle répliqué au Premier secrétaire sortant François Hollande qui avait déploré peu avant l’absence de majorité claire, à l’issue du vote des militants.
L’ex-candidate à la présidentielle, qui a obtenu la première place avec 29%, devant Bertrand Delanoë et Martine Aubry, tous deux autour de 25%, et Benoît Hamon, autour de 19%, a indiqué qu’elle téléphonerait dès vendredi matin à ses principaux rivaux, pour entamer des discussions «avec tout le monde, sans exclusive». «Je veux m’atteler à cette tâche de l’unité» des socialistes, a-t-elle dit.
Concernant son éventuelle candidature à la succession de François Hollande à la tête du parti, elle a estimé que son résultat «lui donnait une légitimité», mais a réitéré, comme au cours de sa campagne, qu’elle «n’en fai(sai)t pas un préalable».
«Il y a un temps pour tout», a-t-elle dit, estimant qu’elle devait tout d’abord discuter avec les représentants des autres motions. «Je pense qu’il faut rechercher l’alliance avec tout le monde, il n’y a pas d’exclusive».
Les responsables des autres motions «auront le sens des responsabilités», a-t-elle estimé, appelant à «mettre en place la meilleure équipe possible» pour «proposer une alternative crédible» à la majorité au pouvoir. Elle a proposé une forme de contre-gouvernement «où chaque ministre, membre du gouvernement de Nicolas Sarkozy» trouvera «en face de lui un responsable politique» au PS.
Comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française.
Thierry Meyssan*
Analyste politique, fondateur du Réseau Voltaire. Dernier ouvrage paru : L’Effroyable imposture 2
Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité. Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité. Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays. Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française. Ils ont été stupéfaits par cet « hyper-président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.
Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté. Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.
C’est que l’homme est habile. Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.
Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.
Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière. Très en arrière. Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.
Secrets de famille
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile. Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.
En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétique, décident de susciter un coup d’État militaire en France. L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA —théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.— et par l’OTAN. Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup. Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général De Gaulle sans avoir besoin de recourir la force [1].
Or, Charles De Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler. Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française. Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance. Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, De Gaulle se rend à l’évidence. Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.
Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat [2]. Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique. Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.
Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano. Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri (« l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste [3]. Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de De Gaulle, Achille Peretti —un Corse lui aussi—.
Ainsi défendu, De Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale. Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon. Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ; Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ; il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ; Il expulse l’OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ; Il dénonce la Guerre du Viêt-nam (discours de Phnon Penh, 1966) ; Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ; Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ; etc.
Simultanément, De Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger. Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total) [4], tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’Afrique francophone.
Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, De Gaulle s’allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou. Les deux hommes forment un tandem efficace. L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.
Lorsque De Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un cancer. Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile. Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Edouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.
La fabrication de Nicolas Sarkozy
Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy. Né en 1955, il est le fils d’un noble catholique hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une roturière juive originaire de Thessalonique. Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce. Pal Sarkosy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.
Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti. Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.
Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French connexion » qu’Hollywwod devait porter à l’écran. S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Time cite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard. On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».
En 1977, Pal Sarkozy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important. Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.
À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste. Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.
En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. Son témoin de mariage est Charles Pasqua. En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.
L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.
Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly. Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.
Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro. Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia. Le mari trompé se suicide en absorbant des drogues. La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.
En 1993, la gauche perd les élections législatives. Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Edouard Balladur un tandem comparable à celui de De Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Edouard Balladur. Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. S’il conserve la haute main sur la marijuana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.
À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.
C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur. La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. Tout dérape. Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu. Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviétique.
Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entre-tuer. Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf. À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.
La traversée du désert
Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance. L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.
En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia. Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).
Dernier acte
Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps : d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.
Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.
Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore. La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé. Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.
Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur. Erreur ! À ce poste, il contrôle les préfets et de le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations.
Il s’occupe aussi des affaires corses. Le préfet Claude Érignac a été assassiné. Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République. Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste. Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin. C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île. Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux. Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui. Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait. Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf. Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures d’Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération. Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.
Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination. Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine [5], dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur. Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.
Reste à neutraliser les candidatures d’opposition. Les cotisations d’adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert). Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA [6]). Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste. Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn [7].
Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul le premier représente un danger pour Sarkozy. Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment. Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal. L’opération est possible parce que Strauss-Kahn est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis. Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévot de l’université, Condoleezza Rice [8]. Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.
Premiers jours à l’Élysée
Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne. Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s. La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.
Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.
Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.
Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).
Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes : Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua. François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild. Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush. Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe [9].
Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.
Kouchner a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis [
10]. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.Pour complèter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie. Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. Elle a organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre les l’avionneur français Dassault [11].
Nouvelle escapade durant l’été. Nicolas, Cécilia, leur maîtresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.
La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) [12] directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden) [13]. Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5e noueur de deals dans le monde et gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.
La cote de popularité du président est en chute libre dans les sondages. L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ». L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Edouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale. Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni. Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas. Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.
Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont affaire ?
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet it cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Rwanda: A mapping of crimes
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
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Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
Prof. Christian Davenport
The killing Fields - Part 1
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