Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Sunday, August 29, 2010
Written by: keith harmon snow
“If you do not realize that Paul Kagame is ONE of the masterminds of the RWANDAN and CONGOLESE genocides, then simply get out !”
ASIF
Répression permanente, Crimes de guerre et Implication des Etats-Unis
Traduction du Texte de Keith Harmon Snow, journaliste américain "Apocalypse in Central Africa"
*
"Nous sommes très heureux de travailler avec les forces de défense rwandaises comme partenaire clé alors qu'elles cherchent à améliorer leur capacité à effectuer diverses missions de maintien de la paix et à contribuer par d'autres moyens à apporter la paix dans cette région. Et dans le cadre de cette visite, nous démontrons à nos amis rwandais que nous sommes un partenaire déterminé.. et qu'ainsi, la stabilité se fait sentir dans le monde entier...."
Général William E. Ward, ( commandement américain pour l'Afrique) (AFRICOM)
Conférence de presse, Kigali, Rwanda, 22 avril 2010
La "guerre contre le terrorisme" menée par les États-Unis déstabilise les gouvernement populaires, les communautés et les sociétés indigènes à travers le monde . Cela est vrai plus qu'ailleurs dans la région des Grands Lacs africains où les populations font face à un terrorisme absolu et à des atrocités inouïes ainsi qu'à la destruction complète de tout ce qu'ils connaissent, ce que l'on appelle un génocide.
Mais le génocide au Congo n'est pas à l'ordre du jour, conformément aux prérogatives des intérêts privés, des grosses entreprises occidentales, de la suprématie blanche et des politique génocidaires.[0]
Les Etats-Unis sont intervenus pendant des années dans la région - la multinationale américaine Union Carbide par exemple contrôlait les mines SOMIKIVU dans la province du Kivu au Congo au début des années soixante, mais par le biais d'un partenariat militaire croissant avec les agents clés en Afrique centrale depuis 1980, les interventions américaines ont provoqué des pertes humaines sans précédent, favorisées par les politiques gouvernementales directes des Etats-Unis, les opérations clandestines militaires et de guérilla menées sous couvert de "maintien de la paix", de politique "humanitaire" et de "développement".
Maintenant le Rwanda et l'Ouganda (l'Éthiopie venant juste derrière) sont devenus les principales bases d'opération du Pentagone en Afrique, depuis lesquelles des millions de dollars de matériel militaire et des forces africaines de substitution (mercenaires) formées par le Pentagone sont dirigées jusqu'au Congo et au Burundi mais aussi, bien au-delà, jusqu'aux théâtres d'opération du Pentagone au Soudan, en Éthiopie, au Kenya, en Somalie et même en Afghanistan, en Irak et à Haïti.
UN SILENCE MASSIF SANS PRECEDENT
Les Etats-Unis ont une longue histoire de soutien à des régimes brutaux. Les médias de masse occidentaux fournissent des fictions et cachent la vérité grâce à des campagnes de propagande, un secteur que l'on appelle officiellement le "contrôle de l'opinion"
conçu par des think tank, comme le Center for American Progress, l'Atlantic Council et le Council on Foreign Relations.
Le général Augusto Pinochet est arrivé au pouvoir par un coup d’état, l'autre 11 septembre, en 1973. Les États-Unis ont soutenu le régime de terreur de Pinochet au Chili et d'autres dirigeants responsables d'atrocités de masse au Guatemala, au Nicaragua, au Perou, au Honduras, en Bolivie et au Salvador. Dans les années quatre-vingt, les images des photographes occidentaux en vogue représentant des corps décapités et mutilés étalés dans des paysages verdoyants ont rarement été publiées par la presse officielle. La "disparition" comme tactique de terrorisme est devenue la routine, un produit de la "formation" militaire occidentale de la School of the Americas. Les populations sur place ont résisté, même lorsque des familles et des communautés entières ont été supprimées. Les responsables étaient connus mais rarement obligés de rendre des comptes; le général Augusto Pinochet est mort en 2006, après que 300 accusations chiliennes et plusieurs accusations internationales de crimes de guerre ont été portées contre lui.
La même histoire s'est déroulée en Ouganda, au Rwanda, au Burundi et en République démocratique du Congo, mais les méthodes de contrôle de l'opinion ont été redéfinies de manière plus fine. Les populations du Canada, d'Europe et des Etats-Unis sont si désinformées qu'elles participent aux campagnes caritatives trompeuses lancées par les grandes entreprises liées au gouvernement qui se présentent comme des entreprises caritatives, telles que Save the Children et CARE International ou d'autres organisations soi disant à but non lucratif dont le principal objectif est en fait la propagande comme le ENOUGH Project– financé par le Center for American Progress. Mais les dollars des contribuables servent à soutenir des régimes brutaux qui commettent les atrocités et provoquent les souffrances pour l'éradication desquelles les populations font des dons.
De belles brochures et des dépliants publicitaires — financés par le Center for American Progress– sont diffusés par ENOUGH lors d'actions financées par le CAP et dans des organisations universitaires financées par le CAP.
Les médias ne rendent pas compte des massacres, décapitations, mutilations, et disparitions de routine au Congo, et s'ils le font, la violence est attribuée à la sauvagerie africaine plutôt qu'au terrorisme en tant que méthode militaire (lutte anti-insurrectionnelle, opérations tactiques, invasions et opérations psychologiques) enseignée à la School of the Americas de Fort Bragg (GA) ou de Fort Leavenworth (KA). Le consommateur occidental d'informations a été sensibilisé aux viols de masse perpétrés à l'est du Congo, une cause qui est à l'origine de levées de fonds particulièrement fructueuses, comme la campagne V-Day de Eve Ensler soutenue par les Nations unies ou l'initiative caritative "humanitaire" de Ben Affleck à l'est du Congo, mais les récits et le discours sur le viol font porter la responsabilité sur les victimes et protègent ou récompensent les vrais responsables. L'esprit occidental est rempli de clichés racistes sur la sauvagerie, les épidémies, la pauvreté totale et l'absence d'espoir de l'Afrique, comme si vous et moi, nous n'avions rien à voir du tout avec la pauvreté, la famine, les atrocités sexuelles ou le génocide. Le public n'entend pas parler des intérêts occidentaux impliqués, des compagnies minières qui se cachent derrière les viols systématiques ou des liens d'affaires qu'entretient Ben Affleck avec le régime militaire qui occupe et terrorise les zones du Congo où le projet "humanitaire" de Affleck opère.
Le régime de terreur de Pinochet au Chili fait pâle figure, par son importance et sa nature, à côté des atrocités perpétrés par les agents au service de l'Occident opérant aujourd'hui en Afrique centrale. Au premier rang des agents de répression du Pentagone figurent le président de l' Ouganda, Yoweri Museveni, et son beau-frère, le général Salim Saleh; le président du Rwanda Paul Kagame et les généraux James Kabarebe et Karake Karenzi; et le président du Congo Hypolite Kanambe (alias Joseph Kabila) et le général John Numbi.
L'actuelle apocalypse que connaît l'Afrique centrale a commencé avec la guérilla conduite par Yoweri Museveni entre 1980 et 1985, durant laquelle Paul Kagame dirigeait le renseignement militaire; Kagame est connu pour avoir commis des massacres et pratiqué la torture dans les "safe houses" du renseignement en Ouganda. Du fait de Kagame et de Museveni, le peuple Acholi d'Ouganda a subi un lent génocide, à l'abri des regards, dans le nord de l'Ouganda. La guérilla conduite par Kagame et Museveni en Ouganda (1980-1985) a fixé une orientation politique qui a déterminé le sort de millions d'innocents en Afrique centrale où le bilan des pertes humaines ne cesse de s'alourdir.
"La justice constitue une demande centrale de la population congolaise" dit Maurice Carney, directeur des Amis du Congo. "Des crimes inouïs ont été commis, attisés par le pillage des richesses du Congo par une foule de multinationales et par les alliés des États-Unis et de la Grande-Bretagne que sont le Rwanda et l'Ouganda. Malheureusement, la plupart des organisations humanitaires et des lobbys à Washington n'ont pas demandé aux États-Unis d'obliger leurs alliés et les entreprises à rendre des comptes, malgré la législation américaine en vigueur qui va dans ce sens.
FAIRE PORTER LA RESPONSABILITE SUR LES VICTIMES, RECOMPENSER LES TUEURS
En octobre 1990, l'armée ougandaise et le front/l'armée patriotique du Rwanda (RPF) dirigé par le major-général Paul Kagame ont envahi le Rwanda. Les guérillas qui ont violé les lois internationales et commis des crimes de guerre en masse étaient soutenues par l'Angleterre, la Belgique, les États-Unis et Israël. Elles étaient ougandaises. Ce n'étaient pas des victimes et il ne s'agissait pas, comme les a décrit Philip Gourevitch dans le New Yorker, d' "un peuple sans Etat" et " des juifs de l'Afrique": c'étaient les élites Tutsi, des extrémistes désireux de récupérer le pouvoir et la domination, qui avaient attaqué le Rwanda à maintes reprises pendant des décennies depuis qu'ils avaient été renversés en 1959. En juillet 1994, le RPF avait achevé son coup d'état et renforcé son pouvoir au Rwanda. Le gouvernement de Paul Kagame a depuis lors maintenu son pouvoir politique et manipulé la sympathie publique en promouvant une idéologie hautement politisé de génocide.
La propagande du New York Times au sujet du "génocide en Rwanda" présentée comme "l'affreuse réalité au Rwanda", le 9 mai 1994 par James C McKinley Jr. , oblitérant la réalité au moyen de publicité à connotations subliminales sexuelles, cachait la réalité et préparait la scène pour l'opération psychologique de masse qui aveugle aujourd'hui les occidentaux sur la réalité de l'implication du Pentagone en Afrique centrale.
Après plus de dix-huit ans de désinformation systématique sur le Rwanda, il existe une ignorance collective sur ce qui s'est réellement passé et qui est responsable. Le "génocide du Rwanda" est l'un des évènements les plus mal compris de l'histoire contemporaine et ce non à cause d'une absence de preuves ou parce que la vérité a été cachée par le massacre, mais parce qu'il s'agissait d'une opération psychologique ou PSYOP destinée à cacher la réalité du génocide soutenu par les entreprises et les militaires occidentaux. [1]
Selon l'histoire officielle, les extrémistes Hutu au gouvernement et dans l'appareil militaire ont commis un génocide orchestré et planifié à l'avance contre la minorité Tutsi entre le 6 avril et environ le 16 juillet 1994. Dans cette mythologie, de 800 000 à 1,2 million de Tutsi ont été massacrés durant les maintenant célèbres "cent jours de génocides" à coup de pioches, de haches et de machettes.
Quiconque conteste l'histoire officielle est traité de "négationniste de génocide" ou de "révisionniste de génocide" par le régime de Kagame et est fustigé comme "assassins de la mémoire". [2] Le Rwanda a adopté une loi sur "l'idéologie génocidaire" qui interdit à quiconque de remettre en cause la version officielle de l'histoire et criminalise toute idée qui pourrait provoquer une division ethnique. En vertu de cette loi, les enfants de mois de douze ans seront envoyés dans des centres de réhabilitation s'ils sont déclarés coupables, mais le Rwanda a envoyé des centaines de milliers de personnes dans des "camps de rééducation"; il y en a un sur l'île reculée et désertique de Iwawa sur le lac Kivu; les détenus sont gardés par des soldats.[3]
En réalité, les RPF étaient les principaux tueurs, la plupart des victimes étaient Hutu et le nombre de morts durant ces cent jours a été bien moindre. Affirmer la contrevérité que les RPF "ont stoppé le génocide en gagnant la guerre"constitue l'ultime affront contre la vérité. Ainsi, les RPF ont de manière typique tué tous ceux qui se trouvaient sur leur chemin: Kagame n'a fait confiance à aucun des Tutsi qui étaient restés après les pogroms qui ont entraîné l'exil de la communauté Tutsi avant l'arrivée du gouvernement Habyarimana (1973-1994) et ainsi des Tutsis ont également été visés par les RPF. Sous la nouvelle structure de pouvoir, de fortes motivations ont poussé à accuser les Hutu stigmatisés de crimes qu'ils n'avaient jamais commis: l'accès à la terre et son contrôle. Il en va de même en Ouganda et au Congo.
Le 6 avril 1994, les gouvernements du Rwanda et du Burundi ont été décapités lorsque l'avion qui transportait les deux présidents et des hauts gradés de l'appareil militaire a été abattu au-dessus de Kigali, la capitale du Rwanda. Les assassinats bien planifiés de Juvénal Habyarimana et Cyprien Ntaryamira ont provoqué une escalade massive de la guerre qui est faussement présentée comme le résultat de sauvagerie tribale sans importance. Ces assassinats étaient des crimes de guerre graves et les RPF et l'UPDF en étaient responsables mais toute tentative d'enquêter honnêtement sur le double assassinat présidentiel a été bloquée par les États-Unis et leurs alliés.
Le 17 novembre 2006, le juge français anti-terroriste Jean-Louis Bruguière a délivré des actes d'accusation internationaux de crimes de guerre après avoir conclu que les RPF, sous les ordres directs de Paul Kagame, avaient effectué des attaques de missiles sol-air contre l'avion transportant les deux présidents.[4]
Le 6 février 2008, un tribunal espagnol a émis des mandats d'arrêt internationaux contre quarante des principaux officiels militaires du régime rwandais. Le président Paul Kagame n'a pas été mis en examen seulement parce que les chefs d'Etat jouissent de l'immunité. Les officiels du RPF sont accusés de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide commis au Rwanda et en République démocratique du Congo entre 1990 et 2002 .[5]
Bien sûr, les propagandistes au service de Kagame ont produit une documentation exhaustive qui falsifie la vérité sur les meurtres de Habyarimana et Ntaryamira et la violence des RPF; Philip Gourevitch et le New Yorker ont loué la tentative d'étouffer l'affaire en faveur de Kagame avant même que l'encre n'ait eu le temps de sécher (see: Philip Gourevitch, "The Mutsinzi Report on the Rwandan Génocide," The New Yorker, 8 janvier 2010). Les sites de l'establishment et des agences de renseignement qui prétendent fournir une information équilibrée, indépendante et honnête, comme AllAfrica.com, ont soutenu ces caricatures d'information en publiant mot pour mot les productions de relations publiques du régime de Kagame et en censurant les réfutations les plus perspicaces. [6]
Le général rwandais General Karake Karenzi, accusé par le tribunal espagnol, a néanmoins été engagé comme commandant adjoint des forces pour la mission de l'Union africaine et des Nations unies au Darfour, un autre "maintien de la paix" euphémistique pour la guerre par procuration menée par le Pentagone et l'OTAN contre le gouvernement islamique de Omar al Bashir au Soudan. Les Nations unies ont exhorté le gouvernement rwandais à remplacer Karenzi après les mises en accusation espagnoles, mais ont d'elles-même fait volte-face après que Kagame a menacé de retirer du Darfour les trois mille troupes des forces de défense rwandaises (RPA= ancien RPF).
La propagande de "Save Darfur" produite par les think tank nationalistes américains et les média occidentaux masque l'implication du Pentagone, de l'Angleterre, de la Belgique, du Canada et d'Israël et d'agents de renseignement comme Roger Winter et David Kimche, et le discours sur le "génocide du Darfour" reflète les opérations psychologiques utilisées pour créer le récit fictionnel sur le génocide au Rwanda à l'intention du public occidental consommateur d'informations.
En usant d'instruments juridiques internationaux comme le tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR) et maintenant la Cour pénale internationale, les gouvernements occidentaux, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique, le Canada et Israël en particulier, aident activement le régime de Kagame à pourchasser les réfugiés et les critiques parce que ces gouvernements ont soutenu la guérilla du Front populaire rwandais de 1990 à 1994 et les années de terreur qui ont suivi de 1994 à 2010.
Le rapport des droits de l'homme par pays du département d'Etat américain sur le Rwanda et l'Ouganda est toujours une fiction totale, cependant ces rapports sont présentés comme une vérité incontestable lors des auditions pour asile des réfugiés rwandais aux Etats-Unis.
Les provinces du nord- et du sud-Kivu à l'est du Congo sont occupées et contrôlées par des réseaux criminels originaires du Rwanda et de l'Ouganda.[7] En RDC, des atrocités sans nombre ont été commises par l'armée/le front patriotique rwandais (RPF) et les forces de défense du peuple ougandais (RDC) lorsqu'elles ont traversé le Zaïre, se rebaptisant Alliance des forces démocratiques pour la libération du Zaïre/Congo (AFDL), et massacré peut-être jusqu'à 600 000 réfugiés sans armes en 1996/1997, pour la plupart des femmes et des enfants de moins de quinze ans.[8]
"Il y a un groupe d'"experts" militaires africains aux Etats-Unis, au Pentagone et au Département d'Etat", selon le spécialiste du renseignement Wayne Madsen, "et au sevice des think tank pro-Hillary Clinton comme le Center for American Progress (CAP). Ironie du sort, ces "experts" sont essentiellement des femmes et on compte parmi elles l'actuel assistante de la secrétaire d'Etat pour les affaires africaines Jendayi Frazer, l'assistante adjointe du secrétaire à la défense pour les affaires africaines Theresa Whalen, et la secrétaire d'État adjointe aux affaires africaines de Bill Clinton, Susan Rice, qui est actuellement au CAP.
"Le commandant AFRICOM, le général d'armée des Etats-Unis William E. "Kip" Ward, sera assisté par les adjoints de l'armée et du département d'Etat. Comme pour les experts militaires de haut niveau en politique étrangère de l'administration Bush, Frazer, un afro-américain, retenu par Ward, également un afro-américain, représente une tentative éhontée de l'administration Bush pour cacher la véritable intention de l'AFRICOM à la population joire d'Afrique."
LA LISTE DES PERSONNES A ABATTRE PAR RWANDA
Le 24 février 2010, un communiqué, rédigé en Kinyarwanda, a circulé sur Internet: prétendument il indiquait les directives de la retraite annuelle des ambassadeurs et des hauts commissaires rwandais organisée par le ministère rwandais des affaires étrangères et des communications (MINAFFET) au Rwanda, les 17 et 18 février 2010. Le document semblait coïncider avec la défection et la fuite des ambassadeurs du Rwanda aux Pays-Bas et en Inde. Ce document rendu public illustre le mode opératoire du régime en matière de relations publiques et internationales et appelait à la neutralisation des ennemis du Rwanda dans le pays et à l'étranger (y compris de l'auteur de ces lignes).
Ils ont entendu un rapport des services du renseignement révélant l'identité des ennemis du pays qui devraient être combattus par tous les moyens possibles et si nécessaire, assassinés. Suivent les noms d'étrangers et d'organisations qui doivent être combattus de toute urgence.
Etrangers ciblés: Robin Philpot [9]; C. Peter Erlinder [10]; Keith Harmon Snow; Jordi Palou-Loverdos [11]; Peter Verlinden; Pierre Péan [12]; Charles Onana [13]; Filip Reyntjens [14]; Luc de Temmerman [15].
Egalement visés des réfugiés rwandais représentant les FDLR (Forces pour la libération démocratique du Congo) en Afrique; Europe; Amérique; et ailleurs.[16]
Alors que nous sommes amenés à croire que les responsables des violences perpétrés au Rwanda et au Congo sont ces génocidaires fous, les extrémistes Hutu, leurs milices Interahamwe, les Forces pour la libération démocratique du Rwanda (FDLR) au Congo, et autres indésirables, les principaux responsables sont toujours protégés parce que ce sont les agents des puissances occidentales.
Toute personne qui a demandé asile ou dérangé de quelque manière le gouvernement rwandais sera aujourd'hui persécutée. Les rwandais au Rwanda et à l'étranger sont accusés de "génocide" ou de "complicité de génocide" au moyen de preuves fabriquées, de témoignages obtenus par la force, de corruption et de jalousies mesquines. Aucune procédure de jugement équitable n'est possible au Rwanda de même qu'il n'est pas possible d'enquêter librement sur les faits ou d'identifier des témoins et d'assurer leur sécurité.
Le reportage du New York Times, "Rwanda’s Huge Stake in Congo’s War" (Ian Fisher, 27 décembre 1998) n'était rien d'autre qu'un contrôle des dégâts qui révélait en définitive ce que tout le monde savait depuis septembre 1996: le Rwanda (RPF) et l'Ouganda (UPDF) faisaient la guerre au Zaïre (Congo). Cependant, manquait l'ensemble du contexte de l'implication militaire américaine dans la planification, la logistique et les opérations de l'invasion du Zaïre (Congo) par les RPF/UPDF entre 1996 et 1998 et, comme d'habitude, il n'était pas fait mention des intérêts des entreprises multinationales occidentales. (au fond, partie de la campagne insidieuse de propagande sur le VIH/SIDA en Afrique).
Le régime à parti unique contrôlé par Paul Kagame projette un vernis brillant de tourisme, de développement et d' "entrepreneuriat", mais à peine enterré sous ce vernis on trouve un climat de terreur absolu et de profondes divisions ethniques conduisant à la guerre. On a vu la même situation au Chili sous Pinochet. Nous commençons à la voir plus ouvertement à l'approche des élections de 2010.[17]
Le Rwanda et l'Ouganda sont menés par des organisations militaires criminelles [18] parallèlement aux structures gouvernementales officielles, responsables du meurtre systématique et intentionnel de bien plus de 10 millions de personnes depuis 1980, en comptant seulement en Ouganda, au Rwanda, au Burundi et au Congo, jusqu'à aujourd'hui.[19]
L'étiquette "Interahamwe" en est venu à désigner "les milices Hutu meurtrières extrémistes" et est habituellement traduite du Kinyarwanda pour signifier "ceux qui attaquent ensemble." Cependant le président Paul Kagame et l'appareil de renseignement militaire des RPF utilisent cette terminologie pour désigner "quiconque est opposé au mouvement de l'armée/du front patrotique rwandais, son gouvernement ou ses réseaux clandestins d'élite et, dans le cas de Paul Kagame, même "tous ceux que je n'aime pas." les étiquettes "Interahamwe" et génocidaires sont utilisées pour déshumaniser tous les Hutu partout (tous comme les juifs ont été déshumanisés en Allemagne avant et pendant la seconde guerre mondiale).[20] Cela a créé les conditions politiques, sociales et économiques nécessaires à la perpétration du génocide par le gouvernement des RPF et et ses collaborateurs et cette déshumanisation s'est perpétuée à travers les mass média internationaux, les institutions des droits de l'homme, les think tanks, les organisations non gouvernementales, les organisations pour la "paix" et les gouvernements étrangers partout.
Il s'agit de l'un des plus importants crimes de guerre mondialisés de l'histoire de l'humanité.
Même des Tutsi, présentés comme les seules victimes et les seuls survivants du génocide, ont été persécutés par le régime Tutsi victorieux des RPF au Rwanda. On ne peut nier que des centaines de milliers de Tutsi aient été tués au Rwanda, en particulier si l'on limite notre examen aux cent jours du génocide entre le 6 avril et juillet 1994. Cependant, le régime RPF a aussi tué beaucoup de Tutsi, parce que cette force rebelle de l'élite Tutsi n'a pas fait confiance aux Tutsi qui étaient restés au Rwanda après le coup d'état du président Juvenal Habyarimana en 1973.
Le régime actuel est responsable du bain de sang massif dont ont été victimes tous les groupes ethniques au Rwanda et la "façade" bénéficie du soutien international en raison des intérêts économiques, politiques et militaires en jeu.[21] Le Tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR) a aussi soutenu la façade, comme l'a confirmé Carla Del Ponte, l'ancienne procureure générale du TPIR dans ses mémoires.[22]
Les personnes accusées de "génocide" au Rwanda ont été traduites à maintes reprises devant les juridictions "communautaires" Gacaca , contraintes par le régime rwandais à réexaminer leur cas jusqu'à ce qu'un verdict de culpabilité ait été établi; de nombreux civils innocents ont été jugés et rejugés jusqu'à ce qu'ils étaient déclarés coupables.[23]
En décembre 2008, la chambre de première instance-1 du TPIR a acquitté les quatre hauts officiers militaires les plus gradés de l'ancienne armée gouvernementale, les Forces Armées Rwandaises (ex-FAR), les cerveaux présumés de la conspiration pour perpétrer le génocide.[24] Davantage d'acquittements ont été prononcés en novembre 2009, après sept ans de procès au TPIR, dans le cadre duquel le tribunal a conclu que les preuves présentées par le procureur s'expliquaient par la planification militaire normale au cours des quatre années de guerre civile au Rwanda (1990-1994).
Aujourd'hui, quiconque s'écarte un tant soit peu du droit chemin au Rwanda sera immédiatement visé, accusé de révisionnisme de génocide, de négationnisme ou de participation au "génocide" lui-même. Le réseau terroriste d'élite de Kagame étouffe également ses crimes grâce à son affiliation avec le Dr. Paul Farmer et son association caritative financée par Clinton, Partners in Health, également impliquée en Haïti (l'élément moteur pour l'envoi de forces paramilitaires rwandaises en Haïti après le tremblement de terre).
Parmi les victimes en vue les plus récentes du régime criminel de Kagame figure Victoire Ingabire, une femme Hutu qui est retournée au Rwanda depuis son exil en Belgique en janvier pour contester les élections présidentielles à venir. Ingabire a fait un discours en public à son arrivée consacré au débat volé sur le génocide au Rwanda et les massacres de masse des Hutu. Elle a été immédiatement arrêtée et continue à être persécutée par le régime et accusée de crimes de pensées et de paroles assimilés à "l'idéologie génocidaire".
Egalement visé, le professeur Peter Erlinder, un avocat des droits de l'homme et des droits civils au niveau international, professeur de droit au William Mitchell College of Law à St. Paul, Minnesota et ancien conseiller principal de la défense au TPIR. Erlinder est allé à Kigali, la capitale du Rwanda, le 23 mai, pour rejoindre l'équipe de défense du candidat à la présidence rwandaise, Victoire Ingabire Umuhoza, et a été arrêté pour "déni de génocide". On a d'abord refusé de le libérer sous caution, mais des pressions intenses de la part des avocats et des citoyens ont conduit à sa libération sous caution aux motifs de "compassion médicale". Peter Erlinder encourt jusqu'à vingt-cinq ans de prison ou doit payer une amende de $1,700!, et le régime rwandais a l'intention de le poursuivre en justice. Le gouvernement américain a pris une scandaleuse position d'inaction durant l'emprisonnement de Erlinger, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton se trouvant dans la position embarrassante (sic) d'avoir à répondre à des questions sur le cas Erlinder tout en défendant le régime meurtrier que les Clinton ont soutenu sans coup férir.
LORSQUE LES VICTIMES DEVIENNENT DES TUEURS
A la mi-novembre 2009, le président de la République démocratique du Congo (RDC) Hypolite Kanambe a secrètement envoyé par avion un bataillon des forces de défense rwandaises (RDF)[25] à travers le Congo pour renverser une nouvelle rébellion dans la province Equateur à l'ouest du Congo; l'opération a été soutenue par la MONUC et l'AFRICOM. Les forces des RDF portaient l'uniforme des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Avec les troupes régulières des RDF, les troupes de la MONUC de la mission internationale de "maintien de la paix" ont combattu aux côtés des soldats rwandais Tutsi infiltrés par le Rwanda, avec le soutien gouvernemental de Hypolite Kanambe (RDC), au sein de l'armée nationale du Congo, les FARDC.
Les forces Tutsi au sein des FARDC comprenaient des forces de défense rwandaises (FDR, ancien front/armée patriotique rwandais) et d' "ex-" forces du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), les milices terroristes extrémistes qui ont surgi des provinces du Kivu, initialement menées par le criminel de guerre rwandais, le général Laurent Nkunda. Le CNDP est soutenu par le Rwanda et infiltré par des milliers d'extrémistes Tutsi. La MONUC, la Belgique et l'AFRICOM ont collaboré avec le Rwanda et les forces du CNDP pour commettre des crimes de guerre de masses dans les "crises de Dongo" à l'ouest du Congo.[26]
Les civils congolais déplacés par les opérations militaires rwandaises et ougandaises ont subi des atrocités extrêmes et sont effectivement condamnés à mort par les politiques de la "communauté internationale", de connivence avec Paul Kagame, Yoweri Museveni et Hypolite Kanambe (alias Joseph Kabila) ainsi qu'avec la mission des Nations unies au Congo(MONUC).
Des milliers de forces des milices du CNDP ont été intégrées dans les FARDC en 2009 dans une manoeuvre stratégique défendue par le général rwandais James Kabarebe, Paul Kagame et leurs soutiens occidentaux. Le CNDP est l'une des causes essentielles de la déstabilisation de l'est du Congo.
Le CNDP a aligné des forces et des troupes rwandaises qui ont lancé une nouvelle "rébellion" appelée "reformée par le CNDP" et mènent actuellement une tactique de la terre brûlée à travers l'est du Congo. [27].
L'AFRICOM et la MONUC soutiennent fermement les activités criminelles du CNDP et des RDF, la saisie des terres et le génocide perpétré contre les congolais, tout comme le Pentagone et les Nations unies ont soutenu le génocide au Rwanda, quels que soient ceux que vous accusez d'être les tueurs et ceux que vous considérez comme les victimes. Il en va de même pour les forces de défense du peuple ougandais, partenaires de l'AFRICOM sous la nouvelle loi de désarmement de l'Armée de résistance du Seigneur, qui sont responsables d'atrocités massives dans le nord de l'Ouganda, le sud du Soudan et le nord-est du Congo.
Des rapports récents de groupes de défense des droits de l'homme dans le sud Kivu ont démontré les liens qui existent entre la compagnie minière canadienne BANRO Gold et le terrorisme local, cependant aucune source d'information générale occidentale n'a relaté ou même mentionné l'implication des principaux intérêts miniers occidentaux, y compris BANRO, Moto Gold, Mwana Africa, Heritage Oil & Gas, dans la guerre et le pillage de l'est du Congo exsangue. Le directeur de Moto Gold Walter Kansteiner siégeait au Conseil de sécurité nationale sous la présidence de William Jefferson Clinton.
Des criminels de guerre rwandais comme le général Laurent Nkunda et le général Bosco Ntaganda sont responsables d'importants crimes de guerre, commis avec la bénédiction de Hypolite Kanambe et Paul Kagame, dans le cadre du programme occidental de balkanisation du Congo et de création d'une République des Volcans, comme l'a à maintes reprises appelé de ses voeux Herman Cohen, haut fonctionnaire au sein de l'administration Clinton-Bush, depuis les invasions soutenues par les Etats-Unis des années quatre-vingt-dix.
Herman Cohen était ancien ambassadeur au Zaïre et haut fonctionnaire sous G. H. W. Bush, et la société de conseil de Cohen, Cohen & Woods, compte parmi ses meilleurs clients une société nommée Contour Global Corporation (NY), maintenant partenaire du régime de Kagame pour exploiter le méthane léthal dans les fonds du lac Kivu à la frontière entre le Congo et le Rwanda (une autre catastrophe de l'industrie pétrolière à l'horizon).
Le peuple congolais a subi des injustices terribles commises par la mission des observateurs des Nations unies au Congo (MONUC). De même, la mission d'assistance des Nations unies au Rwanda (UNAMIR I & II) a soutenu les intérêts occidentaux et aidé à assurer les conquêtes militaires du front patriotique rwandais (RPF).
ASSASSINATS ET VIOLS
Le nombre actuel de morts dans les seules provinces occidentales du Congo est d'environ 1500 personnes par jour, au moins dix millions de personnes étant mortes au Congo depuis l'invasion américaine de 1996, des millions étant réfugiées dans les Etats membres de la région des Grands lacs. Les forces alliées rwandaises en RDC perpètrent un génocide à présent dans les provinces Kivu, en particulier dans les zones minières lucratives et les média occidentaux et les agences "humanitaires" se taisent.
John Numbi, ancien dirigeant des forces aériennes des FARDC et maintenant inspecteur général de la Police Nationale Congolaise (CNP), serait le principal lien existant entre Hypolite Kanambe (alias Kabila) et les hauts gradés rwandais Paul Kagame et James Kabarebe. Numbi se rend souvent à Kigali et est décrit comme l'"un des hommes les plus dangereux du Congo". Numbi est responsable des fosses communes de l'est du Congo sur lesquelles les Nations unies refusent d'enquêter.[28]
Le plus récent rapport du groupe d'experts des Nations unies a aussi mentionné l'implication directe de la police nationale congolaise (sous Numbi) dans les activités de contrebande auxquelles participent aussi les forces de défense rwandaises dans l'est du Congo.[29] John Numbi a aussi coordonné des opérations militaires en janvier 2009 qui ont entraîné des crimes de guerre et contre l'humanité massifs contre la population congolaise des Kivu.[30]
Le 2 juin 2010, Floribert Chebeya Bahizire, le principal défenseur des droits de l'homme au Congo, a été assassiné, après avoir été convoqué pour rencontrer John Numbi. Bahizire, fondateur de l'organisation congolaise de défense des droits de l'homme Voix des Sans Voix, critiquait les violations des droits de l'homme commises par les régimes des présidents Mobutu Sese Seko, Laurent Désirée Kabila, et Hypolite Kanambe (alias Joseph Kabila).[31] Les forces de sécurité ont arrêté, emprisonné et menacé Bahizire à maintes reprises durant les vingt dernières années. En mars, Bahizire a donné un interview à un journal dans lequel il se plaignait du fait que la "communauté internationale" tourne le dos aux associations congolaises des droits de l'homme. En mai 2010, il a été forcé par la police à se mettre à genoux sous la menace d'une arme pointée sur lui.
Bahizire a été assassiné pour avoir intenté une action de Voix des sans Voix devant un tribunal belge contre John Numbi et le gouvernement Kanambe (RDC) pour le massacre d'un groupe politique et religieux nommé Bundu dia Kongo commis plus tôt cette année dans la province du Bas Congo. Selon les spécialistes du renseignement de Kinshasa, l'opération visant à éliminer Bahizire a été menée par la branche de la sûreté intérieure de l'ANR - Agence nationale de renseignement (l'équivalent de la CIA américaine), dirigée par Kalev Mutond, "un véritable tueur" et "l'homme qui fait le sale boulot pour Joseph Kabila [Hypolite Kanambe]," mais John Numbi était aussi impliqué.
Les concessions d'exploitation accordées par le régime de Hypolite Kanambe (alias Joseph Kabila) à Kinshasa, en République démocratique du Congo appartiennent à des sociétés américaines, européennes et canadiennes. Cette carte montre les concessions dans la zone de Kisangani, où l'AFRICOM construit sa base, détenue par les occidentaux, notamment celles détenues par l'entrepreneur qui coopère avec l'AFRICOM à la construction d'une base militaire américaine près de Kisangani.
L'un des plus récents justiciers chasseurs de réfugiés pro-RPF sur la piste "génocidaire" rwandaise est Jason Stearns, un ancien "analyste" des Nations unies (MONUC) et d' l'International Crisis Group. Stearns a également travaillé dans plusieurs groupes d'experts des Nations unies sur l'exploitation illégale en RDC, y compris le rapport d'experts des Nations unies de novembre 2009, qui a lancé une campagne de dénigrement contre Fundacio S’Olivar et Inshuti, des associations caritatives espagnoles affiliées à Juan Carrero Seralegui et Jordi Palou-Loverdos (nommés sur la liste de personnes à abattre susmentionnée) en les accusant de soutenir les terroristes au Congo. Il s'agit de la tentative avortée des Nations unies pour discréditer les accusations espagnoles contre les RPF. [32],[33]
Depuis des années maintenant plusieurs organisations occidentales de renseignement ayant pignon sur rue, notamment les groupes ENOUGH, STAND, Genocide Intervention Network, ert le RAISE HOPE FOR CONGO, et leurs riches soutiens, l'International Crisis Group et le Center for American Progress, ont poussé les étudiants et les gouvernements occidentaux à agir, en faisant pression en faveur d'une législation, y compris la nouvelle loi sur les "minérais du conflit", et sont autorisés par les principaux mass média à s'exprimer comme les seuls experts de bonne foi sur le Congo, le Rwanda, le Soudan et l'Ouganda. Parmi la législation récente ou en cours d'élaboration soutenue par ces agences de renseignement, on trouve "la loi sur le désarmement de l'armée du seigneur", la loi sur "minerais de sang" et "la loi sur la violence contre les femmes" (Résolution 1888). L'armée de résistance du seigneur est rendue responsable de tous les actes de terreur dans la région du nord de l'Ouganda (qui baigne dans le pétrole et l'or), protégeant ainsi les crimes de guerre organisés du président ougandais Museveni et de ses alliés occidentaux, tout comme le FDLR est unanimement visé pour protéger les réseaux terroristes de Kagame.
L'ancien spécialiste à la sécurité nationale de William Jefferson Clinton, John Prendergast, est le principal partisan de ces groupes, avec l'aide de la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, et de John Podesta, Tom Daschle et Madeleine Albright, en coulisses. John Prendergast était l'expert choisi pour l'émission de CBS 60 Minutes‘ "Blood Minerals", diffusée par la télévision nationale aux Etats-Unis le 29 novembre 2009, qui était un spot publicitaire pour ENOUGH, the International Rescue Committee et les organisations dites "humanitaires". Ces lobby et autres organisations de façade s'emploient à supplanter et neutraliser tous les véritables efforts internationaux de base menés sur le terrain pour aider les populations congolaises à prendre le contrôle de leurs propres ressources et de leur avenir et servent de couverture aux intérêts occidentaux cachés; elles favorisent également les solutions militaires aux dépens des solutions diplomatiques ou d'autres solutions pacifiques.
Les média occidentaux montrent en permanence les souffrances du Congo mais la propagande est une désinformation simpliste et le public consommateur des "informations" occidentales les avale et dénie toute importance au Congo, abandonnant les populations dont l'existence est en partie déterminée par les matières premières qui leur sont volées dans une situation de guerre et de criminalité organisée. Parmi celles-ci figurent les diamants, l'or, le colombite-tantalite (coltane), le cobalt, le cuivre, le pétrole, le germanium, le niobium, l'étain, le tungstène, l'huile de palme, le café et le chocolat (vendu dans les épiceries Whole Foods). Au-delà de la valeur des ressources susmentionnées prises dans leur ensemble, la principale affaire occidentale qui marche au Congo, c'est l' "aide" humanitaire et la "charité" internationale, autrement dit l'industrie de la misère.[34]
Les congolais dans l'ensemble du pays font état de conditions dans l'ensemble du Congo qui sont les pires depuis vingt-ans avec une recrudescence de l'insécurité et de la violence.
A la mi-mars, lors d'une réunion exceptionnelle de l'Institute for Peace des Etats-Unis à Washington, DC, le porte-parole d'AFRICOM Mark Swayne a nié l'implication de l'AFRICOM dans les opérations clandestines menées au Congo. L'USIP a financé les campagnes de désinformation en faveur de Kagame depuis le début des années quatre-vingt-dix, couvrant l'implication des Etats-Unis dans les crimes de guerre et le génocide commis en Afrique centrale. Les campagnes d'informations de l'AFRICOM donnent exclusivement une image de troupes américaines participant uniquement à des opérations humanitaires et de maintien de la paix. Swayne se serait "excusé" de ce que l'AFRICOM ait utilisé des Ougandais pour la nouvelle base de l'AFRICOM en cours de construction à Kisangani, Congo.
Les infrastructures de communications militaires et de renseignement de Kampala, en Ouganda, une des bases principales pour les opérations du Pentagone associent des entreprises américaines et anglaises et les secteurs du renseignement de pays occidentaux.
Les réseaux de criminalité organisée de l'Ouganda et les forces militaires ougandaises sont haïs pour leurs opérations de pillage et de terreur au Congo. Le propre site internet du Pentagone indique que le Commandement des opérations spéciales d'élite des Etats-Unis (SOCOM) "forme" des troupes congolaises à Kisangani, RDC, et Swayne n'a pas révélé que les Ougandais sont des mercenaires probablement affiliés aux sociétés pétrolières occidentales liés aux mercenaires (Heritage Oil & Gas, Hardmann Resources, H Oil Company) opérant dans le bassin de Lake Albert à la frontière entre la RDC et l'Ouganda.
Un expatrié européen qui a été directement témoin de crimes de guerre commis par ls RPF et du massacre de plusieurs milliers de civils Hutu civilians à Kisangani, Zaire (1996-1997),[35] sous le regard de l'USAID, du programme alimentaire mondial, de l'UNHCR et d'autres officiels, [36] "a remporté" un important contrat de construction pour la nouvelle base de l'AFRICOM à Kisangani; la construction associe les forces merceanires ougandaises, rwandaises et tanzaniennes et le personnel militaire et de renseignement américain a envahi un des hôtels du coin.[37] Les spécialistes de la MONUC à Kinshasa confirment que les militaires américains opèrent au sein de la mission de maintien de la paix (sic) de la MONUC dans la division G-2 de la cellule de renseignement militaire au quartier général de la MONUC à Kinshasa. Il existe également une "cellule fusionnée" de renseignement militaire du Pentagone chargée de superviser le pillage des minerais stratégiques (essentiellement pour les stocks militaires américains), qui opère clandestinement au nord-est du Congo et est dirigée par un "ex" marine nommé "Tom", deux autres militaires américains et des troupes rwandaises.
L'entreprise de "maintien de la paix" de la MONUC au Congo est une opération qui coûte un milliard de dollars par ans, implique des contrats avec PAE (Pacific Architect & Engineers, une filiale de Lockheed Martin). L'AFRICOM, l'OTAN et les sociétés militaires privées Dyncorp et PAE ont également formé et transporté des troupes ougandaises et rwandaises dans les guerres américaines-européennes-israéliennes en Somalie et au Soudan (Darfour).
Au moins trois cents Ougandais soutiennent les Etats-Unis en Afghanistan et ils sont plus de 10 000 en Irak, on compte plus de 3000 Rwandais au Darfour et 2000 Ougandais ou plus en Somalie. Un nombre inconnu de soldats rwandais ont également été envoyés en Irak et en Afghanistan, et l'on suppose que les sorties "de maintien de la paix" vers le Darfour, le Soudan, peuvent en fait servir de couverture pour du personnel et du matériel militaire en provenance du Rwanda/ de l'Ouganda destiné aux guerres américaines en Irak et en Afghanistan.
L'on suppose que certaines forces rwandaises qui servent sur les théâtres d'opération extérieurs du Pentagone sont enrôlées de force, sous la menace d'accusations de "génocide", de jugements à répétition et de longues peines de prison dans leurs pays. Les troupes ougandaises on été soumises à des conditions d'esclavage et fait l'objet d'attaques à caractère sexuel en Irak.[38]
Alors que le débat sur le "génocide rwandais" se réchauffe légèrement, presque personne n'accorde la moindre attention au nombre croissant d'assassinats et d'arrestations illégales commises par le régime de Kagame. Fin juin 2010, une femme rwandaise, qui a véritablement survécu au génocide, a été arrêtée au New Hampshire (USA), accusée de violations de génocide, accusations fabriquées par le régime de Kagame et soutenu par le département de la sécurité nationale.[40] Le 14 juillet 2010, Jwani Mwaikusa, un avocat du Tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR) et professeur de droit à l'université de Dar es Salaam (Tanzanie) a été abattu devant chez lui en Tanzanie, clairement un coup du régime de Kagame.[41]
Ce reportage du New York Times sur le Congo "War Claims Fly in Congo, But What’s Their Basis?" du 12 août 1997, est une mystification ironique de Howard W. French, qui connaissait bien les intérêts des entreprises occidentales au Congo à l'époque.[45] Par exemple, French était au courant des intérêts de Maurice Tempelsman pour les diamants et des menaces de Banro Corporation à l'encontre du président Laurent Kabila. (Les diamants Tempelsman sont vendus sous la marque TIFFANY, qui fait l'objet ici d'une publicité à connotation sexuelle subliminale de la part de SAKS.)
Le 16 juillet 2010, des protestations publiques contre la présence de Paul Kagame en Espagne ont poussé le premier ministre Jose Luis Rodrigez Zapatero à annuler sa rencontre avec le criminel de guerre en visite, Paul Kagame. Pendant ce temps, de plus en plus de réfugiés, de dissidents, d'intellectuels et d'autres rwandais en règle qui ne soutiennent pas l'appareil de terreur favorable à Kagame sont arrêtés à l'étranger, le régime de Kagame ayant renforcé sa pression sur les gouvernements étrangers. Le service de relations publiques et les lobby occidentaux du régime des RPF ont organisé une conférence d'envergure aux Etats-Unis le 20 juillet 2010, sponsorisée par l'Atlantic Council, un think-tank américain nationaliste de droite. L'événement, intitulé "Democracy and Genocide Denial Politics", est destiné à donner aux défenseurs des RPF l'occasion de défendre proactivement le régime et à poursuivre leurs efforts pour criminaliser toute personne qui met en cause la mythologie partiale du RPF sur le génocide, et pour donner à la presse occidentale hypocrite quelques "informations impromptues" actualisées sur le Rwanda à répandre dans le New York Times, le Washington Post, la radio publique nationale et les autres sites de propagande en faveur des entreprises et du gouvernement américain.[42]
Les liens d'Israël avec le carnage et le pillage (ventes d'armes, diamants de sang, mines de cobalt) en Afrique centrale sont profonds mais cachés. L'agent du Mossad israélien David Kimche serait l'un des principaux agents derrière le "génocide au Rwanda", mais parce qu'il est du même bord que Kagame et les RPF, avec l'agent de renseignement américain Roger Winter, nous n'entendons leurs noms que lorsqu'ils reçoivent des distinctions des mains de Kagame: le 5 juillet 2010, Roger Winter a reçu une récompense à Kigali en présence du membre du Congrès américain Donald Payne. Dans le même temps, l'entrepreneur de défense et d'aérospatiale américain Northrup Grumman continue à "former" les forces militaires rwandaises. [43]
Le 14 juillet 2010, le premier vice- président du Parti vert démocratique du Rwanda, Andre Kagwa Rwisereka, a été retrouvé mort, sa tête complètement séparé du reste de son corps, dans les marais de la rivière Makula près de Butare, Rwanda– un autre coup clairement signé du régime de Kagame. [44]
Les massacres se poursuivent en Afrique centrale et dans la corne de l'Afrique, accompagnés des apologies occidentales éhontées de la part d'universitaires, d'autorités médiatiques, de think tank et de personnalités en vue, tous visant à étouffer les bains de sang organisés et commis par les régimes clients des Etats-Unis au Rwanda et en Ouganda, avec le soutien du régime de Kinshasa (RDC) soutenu par les Etats-Unis, et armés, formés et financés par l'AFRICOM, avec des militaires américains sur le terrain dans la région et la complicité des Nations unies.
[0] Voir, par exemple, Edward S. Herman et David Peterson, The Politics of Genocide, Monthly Review Press, 2010.
[1] Voir, par exemple, Davenport et Stam, "What Really Happened in Rwanda?" Miller-McCune, 6 octobre 2009, http://www.miller-mccune.com/culture_society/what-really-happened-in-rwanda-1504.
[2] Voir, par exemple, Keith Harmon Snow, "The Rwanda Genocide Fabrications," Dissident Voice, 13 avril 2009,http://dissidentvoice.org/2009/04/the-rwanda-genocide-fabrications/.
[3] "Iwawa Island: Prison Camp or Paradise Vacation Spot?" NGO News Africa, 1er mai 2010.
[4] Voir, par exemple, Christopher Black, "The Truth About Rwanda,"SaveRwanda.org, 29 décembre 2010, http://www.saverwanda.org/index.php?id=74&tx_ttnews%5Btt_news%5D=1473&cHash=b9e2f8e89e
[5] Voir, par exemple, Espagne, 6 février 2008, actes d'accusation délivrés par le juge Fernando Andreu accusant quarante actuels ou anciens militaires rwandais haut gradés de crimes graves, notamment, de génocide, de crimes contre l'humanité, de crimes de guerre et de terrorisme, perpétrés sur une période de douze ans, entre 1990 et 2002, contre la population civile, et principalement contre les membres du groupe ethnique Hutu.
[6] Editorial, "Rwanda: Mutsinzi Report Finally Puts End to Speculation," AllAfrica.com, 12 janvier 2010.
[7] Voir, par exemple: keith harmon snow: "Three Cheers for Eve Ensler?" ZNet, 24 octobre 2007; "Merchant’s of Death: Exposing Corporate Financed Holocaust in Africa," Dissident Voice, 8 décembre 2008; "Over Five Million Dead in Congo? Fifteen hundred People Daily?" 4 février 2008.
[8] Les crimes de guerre et de génocide perpétrés par l'ADFL (RPF + UPDF + soutien américain, anglais et israélien) contre les réfugiés rwandais et burundais sont bien documentés. En août 1996, on estimait à 1,5 millions le nombre de réfugiés dans l'est du Zaïre et en novembre les quelque 500 000 à 750 000 réfugiés rwandais qui ne sont pas rentrés au Rwanda dans le cadre de la rapatriation illégale forcée sont devenus les cibles d'une chasse à l'homme systématique de la part des forces de l'ADFL. Voir, par exemple, Roberto Garreton, Rapporteur spécial au Zaïre de la Commission des droits de l'homme des Nations unies No. E/CN.4/1996/66, 29 juin 1996; Howard French, A Continent for the Taking: The Tragedy and Hope of Africa, Vintage Books, 2005; et Filip Reyntjens, The Great African War, Cambridge University Press, 2009; Gerard Prunier, Africa’s World War, Oxford University Press, 2009, pp. 120-128; Wayne Madsen,Genocide and Covert Operations in Africa, 1993-1999, Edwin Mellen Press, 1999; et Commission internationale d'enquête non gouvernementale sur les violations massives des droits de l'homme commises en République démocratique du Congo (ancien Zaïre) 1996-1997, Centre international pour les droits de l'homme et le développement démocratique 1998; DRC: What Kabila is Hiding: Civilian Killings and Impunity in Congo, Human Rights Watch, Vol. 9, No. 5(A), October 1997.
[9] Robin Philpot, Ça ne s’est pas passé comme ça à Kigali, (That’s Not What Happened in Kigali), publié en anglais par le rapport (Phil) Taylor Report: Rwanda 1994: Colonialism Dies Hard, 2004, http://www.taylor-report.com/Rwanda_1994/.
[10] avocat américain et ancien principal avocat de la défense dans les procès militaires au TPIR, emprisonné au Rwanda en mai et début juin 2010.
[11] avocat espagnol ayant participé aux mises en accusation devant le tribunal espagnol.
[12] intellectuel français et auteur du livre Noires fureurs, blancs menteurs. Rwanda, 1990-1994 (Black Furies, White Liars. Rwanda, 1990-1994).
[13] journaliste camerounais et auteur du livre, Les secrets du génocide rwandais (THE SECRETS OF THE RWANDA GENOCIDE), pour lequel il a été poursuivi par Kagame devant un tribunal français et a eu gain de cause.
[14] universitaire belge et expert de la région des Grands Lacs.
[15] avocat belge et avocat de la défense au TPIR.
[16] Le communiqué divulgué est résumé ci-dessus, mais disponible sur demande.
[17] Cette double réalité -avancées économiques et régression politique - a été vue auparavant dans des cas, par exemple tels que le Chili du général Augusto Pinochet soutenu par les puissances occidentales.
[18] Bien que les troupes rwandaises et ougandaises aient guerroyé les unes contre les autres à Kisangani, RDC, en 2000, et que l'on dit que leurs dirigeants se haïssent, ces réseaux criminels ont des liens, des intérêts communs et sont également coupables du terrorisme actuel en Afrique centrale, au Soudan et en Somalie.
[19] La question des statistiques de mortalité par catégorie ethnique a été abordée par Filip Reyntjens, Christian Davenport, Alan Stam et d'autres, ce qui a conduit à la conclusion que le nombre de morts Hutu au Rwanda au cours des "100 jours du génocide" de 1994 était plus élevé que le nombre possible de morts Tutsi, une inversion totale des allégations du gouvernement du Rwanda et de ses soutiens et alliés, qui ont toujours soutenu que quelques 800 000 à 1,2 millions Tutsis avaient été tués dans le "génocide au Rwanda".
[20] Il est absurde de comparer les Tutsi aux juifs.
[21] Voir, par exemple, les conclusions du projet Genodynamics des Dr. Christian Davenport et Alan Stam ou les innombrables rapports des droits de l'homme rendant compte des atrocités des RPF, par exemple, Rwanda: Les civils pris au piège dans le conflit armé: "On ne peut plus compter les morts", Amnesty International, 19 décembre 1997.
[22] Carla Del Ponte et Chuck Sudetic, Madame Prosecutor: Confrontations with Humanity’s Worst War Criminals, and the Culture of Impunity, The Other Press (NY), 2009.
[23] Kenneth Roth, "The Power of Horror in Rwanda," Los Angeles Times, April 11, 2009.
[24] Procureur v. Bagosora, 98-41-T, jugement du 18 décembre 2008, publié in extenso le 9 février 2009 (www.ictr.org).
[25] Ancien front/armée patriotique du Rwanda.
[26] Voir: keith harmon snow, "AFRICOM Backs Bloodshed in Central Africa," Dissident Voice, 10 avril 2010; Congo Rebellion Expanding, United Nations and Media Silent," Conscious Being Alliance (.com), 14janvier 2010; et "Belgian Paratroopers to Crush Rising Congo Rebellion?" The African Executive, 9-16 décembre 2009, http://www.africanexecutive.com/modules/magazine/articles.php?article=4851&magazine=259.
[27] Voir, par exemple, Jean-Piere Mbelu, "Entrée massive de l’armée rwandaise sur le territoire congolais," 12 mai 2010, http://fr.allafrica.com/stories/201005120255.html. Voir: aussi Nations unies: Act to End Atrocities in Eastern Congo, Human Rights Watch, 13 décembre 2009.
[28] Entretiens privés, keith harmon snow, Nord et Sud Kivu, 2005-2007; entretien avec le commandant de la force aérienne, John Numbi, Bukavu, 2005.
[29] Nations unies: Lettre du 9 novembre 2009, du groupe d'experts sur la République démocratique du Congo adressée au président du comité du Conseil de sécurité établi en vertu de la résolution 1533 (2004), "divulguée" en novembre 2009.
[30] Nations unies: Lettre du 9 novembre 2009, du groupe d'experts sur la République démocratique du Congo adressée au président du comité du Conseil de sécurité établi en vertu de la résolution 1533 (2004), "divulguée" en novembre 2009.
[31] Voir: Ann Garrison, "Questions About Congolese Human Rights Defenders’ Murder," San Francisco Bay View, June 2010, http://www.sfbayview.com/2010/questions-about-congolese-human-rights-defender’s-murder/.
[32] Voir: "The UN in Congo: Watchdog of the Great Mining Interests," Save Rwanda (.org), 11 novembre 2009.
[33] Le dernier rapport du "Groupe d'experts" sur le Congo a révélé les vrais tendances pro-RPF des Nations unies et discrédité le rapport qui donne quelques informations solides sur certains criminels occidentaux comme, par exemple, Philippe de Moerloose, que cet auteur a précédemment cité pour crimes de guerre.
[34] Onno Ruhl, ancien représentant de la Banque mondiale pour la république fédérale du Congo, l'admet dans le documentaire de Renzo Martens, Episode III: Enjoy Poverty, 2008.
[35] Voir le film documentaire court de Hubert Sauper, Loin du Rwanda (Kisangani Diary), 1998.
[36] Voir: Wayne Madsen, Genocide and Covert Operations in Africa, 1993-1999, Mellen Books, 1999.
[37] communications privées, Kisangani RDC, 2010. Entretien privé, nom caché, homme d'affaires à Kisangani, RDC, dont les bulldozers ont été confisqués par les RPF et l'UPDF pour creuser et recouvrir les fosses communes des Hutus.
[38] Grace Matsiko, "Iraq: Ugandan Guards in Iraq Face Abuse," AllAfrica.com, 10 juin 2006.
[39] Voir, par exemple, Gerald Caplan, "The Politics of Denialism: The Strange Case of Rwanda," 17 juin 2010, Pambazuka News; Edward S. Herman et David Peterson, "Genocide Denial and Genocide Facilitation: Gerald Caplan and the Politics of Genocide," Monthly Review, 7 juillet 2010; Gerald Caplan, "Rwanda: Sources and Testimonies–A Response to Herman and Peterson," AllAfrica.com, 16 juillet 2010; et Adam Jones, "Rwanda: On Genocide Deniers: Challenging Herman and Peterson," AllAfrica.com, 16 juillet 2010, http://allafrica.com/stories/201007161144.html .
[40] Voir: keith harmon snow, "U.S. Woman Falsely Accused of Rwanda Genocide Rape Crimes," Dissident Voice, 29 juin 2010.
[41] Voir: Ann Garrison, "Defense Lawyers Condemn Assassination of ICTR Defense Lawyer Mwaikusa," San Francisco Bay View, 17 juillet 2010.
[42] "Democracy and Genocide Denial Politics in Rwanda," The Atlantic Council, http://www.acus.org/event/democracy-and-genocide-denial-politics-rwanda. Au sein du conseil d'administration du Conseil atlantique figurent certains des principaux soutiens américains de Kagame et les agents des interventions occidentales, notamment Madeleine Albright, Nancy Kassebaum Baker, James Baker, Frank Carlucci, Brent Scowcroft, Condoleeza Rice, Henry Kissinger, Richard Holbrooke, Warren Christopher, Thomas Pickering et Wesley Clark.
[43] "US Firm Wins Contract to Continue Training Rwandan Soldiers," Rwanda News Agency, 6 juillet 2010.
[44] Ann Garrison, "Rwanda Green Party Leader Assassinated," San Francisco Bay View, 14 juillet 2010.
[45] Howard W. French, "War Claims Fly in Congo, but What’s Their Basis?" New York Times, 12 août 1998, http://partners.nytimes.com/library/world/africa/081398congo-rebellion.html.
Written by: keith harmon snow
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part II
The Unstoppable Truth
Daily bread for Rwandans
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part III
The Unstoppable Truth
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Peter Erlinder comments on the BBC documentary "Rwanda's Untold Story
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Rwanda's Untold Story
Rwanda, un génocide en questions
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)
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