Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Monday, May 25, 2009
Objet : Dénonciation des dérives et propos discriminatoires des autorités rwandaises.
Excellence Monsieur le Président de la République,
Les Détenus du TPIR, signataires de la présente, avons estimé nécessaire de réagir aux propos racistes et discriminatoires prononcés par plusieurs personnalités rwandaises, à l’occasion du 15ème anniversaire du «génocide» rwandais, célébré sur le mont Nyanza, à Kigali le 11 avril 2009. Le Gouvernement rwandais affirme que cinq mille personnes enlevées de l’École Technique Officielle (ETO) de Kicukiro, le 11 avril 1994, y auraient été massacrées.
Y ont pris la parole le Ministre Charles Muligande, M. Simburudari, président de l’Association Ibuka regroupant les rescapés du génocide, l’Adjointe du Maire de la ville de Kigali et Dr. Augustin Iyamuremye, sénateur et ancien Directeur du service des renseignements à la Primature en 1994.
Nous pensons que les propos tenus par ces diverses autorités ne tiennent nullement compte de la vérité ni de la réalité historique de notre pays, mais qu’ils ont pour but de terroriser, d’intimider, d’inférioriser et/ou d’humilier au moins une partie de la population rwandaise, les Hutus, globalement accusés d’avoir planifié et commis un « génocide » contre les Tutsis.
Notre réaction est motivée par le fait que le régime FPR veut effacer de l’histoire du Rwanda, la période révolutionnaire qui a libéré le peuple rwandais du joug féodo-monarchique et la période de construction nationale après l’accession du pays à l’indépendance. Le but ultime du FPR est clairement de gommer de l’histoire du Rwanda, les bienfaits de la période républicaine pour mieux affermir les thèses mensongères selon lesquelles les Hutus n’auraient marqué autrement l’histoire du pays que par la barbarie et le «génocide» des Tutsis. Il s’agit là d’une vision divisionniste que, pensons-nous, vous devriez abandonner dans l’intérêt du peuple rwandais.
1. Le Rwanda pré colonial et colonial ne peut pas être un modèle à suivre
L’Adjointe du Maire de la ville de Kigali a déclaré : « Nous voulons changer l’histoire pour présenter un autre Rwanda qui n’est pas celui d’entre 1959 et 1994, un Rwanda comme il était avant ; celui que nous avons hérité de nos ancêtres ; le Rwanda des enfants de Rwandais qui vivent sans divisions, sans haines, sans discrimination». Ainsi, le régime FPR prétend que dans le Rwanda précolonial et colonial, les ethnies qui composent la nation rwandaise, vivaient harmonieusement dans la paix, la bonne entente et la solidarité. Il s’agit là d’une contre-vérité historique.
Le régime féodo-monarchique rwandais n’est pas un modèle de société à proposer aux Rwandais d’aujourd’hui à cause des inégalités sociales, politiques, économiques et culturelles qui l’ont caractérisé et qui ont conduit à la Révolution sociale de 1959. Beaucoup d’auteurs dont des Tutsi éminents participant dans les hautes instances du pouvoir en ont rendu compte.
Nous pensons que dans le cadre de la recherche des solutions durables pour notre pays, le FPR doit cesser les manipulations et la falsification de l’histoire du Rwanda. Nous croyons que le remède doit être recherché dans des compromis politiques démocratiques, dans le cadre du dialogue sincère entre le pouvoir et ses opposants.
Une telle démarche ne peut pas s’accommoder de cet obscurantisme du passé. Nous condamnons sans réserve toute tentative de réécrire l’histoire du Rwanda à des fins de propagande idéologique visant la monopolisation du pouvoir par le groupe ethnique tutsi à l’exclusion des autres composantes de la société rwandaise.
2. La planification de la guerre criminelle du FPR est la cause essentielle de la tragédie rwandaise.
Le Ministre Muligande a affirmé que le « génocide » des Tutsis a été planifié par le gouvernement déchu en juillet 1994, sans fournir la moindre preuve de cette planification.
Tout simplement, il a déclaré que ce «génocide» a été enseigné pendant longtemps par le MDR/PARMEHUTU et plus tard, par le MRND. Pareille déclaration relève plutôt de la propagande spéculative. Les partis MDR et MRND n’ont jamais pratiqué le racisme ou la discrimination contre les Tutsi. Il est de notoriété publique que sous le régime Habyarimana, depuis le 5 juillet 1973 à la guerre d’octobre 1990, les Hutu et les Tutsi vivaient en symbiose. Les divisions ethniques en 1990-1994 furent la conséquence de la stratégie déstabilisante du FPR pour rallier les Tutsi de l’intérieur à sa cause et s’attirer la sympathie de l’opinion internationale.
Suite à la Révolution sociale de 1959, de nombreux dignitaires Tutsi qui n’acceptaient pas les changements démocratiques proclamés par le peuple, ont fui le pays et, pendant de longues années, ont systématiquement rejeté toutes les offres leur faites par le gouvernement de rentrer pacifiquement et participer à la construction de leur pays, au même titre que les autres Rwandais.
Ils ont pris en otage les réfugiés Tutsi et les ont empêchés de rentrer aussi longtemps qu’ils n’étaient pas assurés de reprendre le pouvoir et l’exercer à leur profit. La diaspora tutsie dominée par ces extrémistes préféra s’organiser en un mouvement de « libération » dénommé « INYENZI » pour mener plusieurs attaques infructueuses contre le Rwanda dans les années 1960, afin de reprendre le pouvoir par les armes. C’est ainsi que tous les appels faits aux réfugiés pour leur retour pacifique dans le pays ont été vains.
Le parti MRND a pratiqué une politique de paix, d’unité nationale et de progrès qui a énormément profité aux Tutsis du pays . Il est faux et injuste d’accuser le MRND d’avoir persécuté les Tutsi de l’intérieur du pays ou d’avoir refusé aux réfugiés tutsis qui le souhaitaient de rentrer au Rwanda.
Tout le monde sait aujourd’hui que c’est le FPR qui a torpillé l’Accord signé entre le Rwanda et l’Ouganda sous la houlette du HCR, le 31 juillet 1990. Plutôt que de laisser la délégation des réfugiés attendue fin septembre 1990 à Kigali, dans le cadre de la mise en œuvre de cet accord du 31 juillet 1990, le FPR a lancé son agression contre le Rwanda, le 01 octobre 1990.
Vous devriez avoir le courage de reconnaître que c’est cette guerre, lancée au moment où une solution politique au problème des réfugiés venait d’être trouvée, qui est à l’origine de la tragédie rwandaise. Le FPR a semé la désolation et a entretenu des divisions, un climat de terreur et de méfiance au sein de la population et des violences dans le pays.
Par ses attentats terroristes et sa subversion, a provoqué la déstabilisation totale du Rwanda. Le FPR a planifié et exécuté l’attentat du 6 avril 1994 qui a coûté la vie aux Présidents Juvénal Habyarimana du Rwanda et Cyprien Ntaryamira du Burundi ainsi que leurs suites respectives et les membres de l’équipage français sachant très bien que cet attentat allait provoquer des violences dans le pays.
Directement après cet attentat, il a repris la guerre sur tous les fronts, précipitant ainsi le pays dans le chaos total. En définitive, c’est le FPR qui a planifié les malheurs du Rwanda. Ceci est attesté par l’incapacité du Procureur du TPIR à prouver le plan de génocide devant cette juridiction internationale.
En effet, toutes les lourdes condamnations pour génocide prononcées contre les accusés Hutu devant le TPIR sont fondées sur le constat judiciaire du 16 juin 2006 établi par Chambre d’Appel. Au Rwanda, les tribunaux continuent à condamner en masse les Hutus pour avoir planifié le génocide sans la moindre preuve, tout en refusant le débat sur cette question.
Malgré le constat judiciaire du génocide imposé par la Chambre d’appel du TPIR le 16 juin 2006, pour des raisons politiques afin de justifier les lourdes condamnations des accusés de ce Tribunal, le la controverse sur cette question se poursuit. Conscient de ses énormes responsabilités dans la tragédie rwandaise, le FPR ne rate aucune occasion pour clamer le « génocide des Tutsis ».
Ce n’est donc pas sans arrière pensée que le Ministre Muligande a déclaré, le 11 avril 1994, au mémorial de Nyanza à Kigali : « Nous avons eu la chance de gagner la guerre qui nous a permis de faire reconnaître le génocide. Sinon, nous serions comme des Arméniens dont le génocide est toujours contesté parce qu’ils ont perdu la guerre ».
M. Muligande est bien conscient des responsabilités qui pèsent sur le FPR, même s’il n’a pas le courage de l’avouer. Le FPR abuse de sa position actuelle pour imposer le « génocide » des Tutsis, en pratiquant notamment la justice du vainqueur sur le vaincu . Les dirigeants du FPR devraient cesser de falsifier l’histoire par la propagande idéologique et avoir le courage de reconnaître leurs lourdes responsabilités dans le drame rwandais.
3. La réalité des chiffres de morts dans la tragédie rwandaise.
La perte d’une vie humaine est toujours un malheur regrettable. Mais la réalité des chiffres de morts du «génocide rwandais» demeure toujours un grand mystère 15 ans après la tragédie rwandaise.
Même si l’opinion publique s’accorde sur le chiffre de 800.000 à un million de victimes de la tragédie rwandaise, beaucoup d’autres chiffres sont avancés, allant de 500.000 à 2.000.000, par les experts, l’ONU, les ONGs et les officiels du FPR, à telle enseigne que la confusion est totale. Gérard Prunier reconnaît qu’il n’y a pas eu de décompte systématique, d’une manière ou d’une autre et que tous les chiffres traduisent des opinions plutôt que des faits. Le gouvernement FPR préfère entretenir cette confusion qui lui est favorable.
Voilà pourquoi il n’a pas voulu révéler les effectifs de survivants du « génocide » à partir desquels il est facile d’évaluer le nombre de morts Tutsi et Hutu. Il entretient le flou pour que le monde ne sache pas l’ampleur des massacres commis contre les Hutu par le FPR et pour grossir démesurément le nombre de victimes Tutsi. Il faut noter que le Recensement général de la Population et de l’Habitat, organisé avec la supervision des agences de l’ONU (PNUD, FNUAP, CEA) et avec l’aide de nombreux pays (USA, Canada), arrêté au 15 août 1991, fixe le dénombrement total des Tutsis dans le pays à 8,4% sur une population totale de 7.099.844.
Dès lors, les chiffres qui suggèrent que toute la population Tutsi aurait été massacrée entre avril et juillet 1994 sont tout simplement fantaisistes. Il n’est un secret pour personne que beaucoup de Tutsis ont survécu même si le gouvernement de Kigali ne veut pas publier leur nombre. Nous contestons donc ces chiffres qui entretiennent la confusion que le régime FPR exploite pour manipuler l’opinion nationale et internationale, à des fins idéologiques.
S’agissant des morts enterrés au mont Nyanza à Kigali, le capitaine Lemaire qui commandait le détachement belge basé à l’ETO de Kicukiro, en avril 1994, a déclaré devant le TPIR que les réfugiés venus là-bas pouvaient être estimés entre 1.000 et 2.000 personnes , ce qui est en deçà des cinq mille prétendument conduites de l’ETO au mont Nyanza pour y être tuées, dans la soirée du 11 avril 1994.
Dans les circonstances qui prévalaient, l’extermination de 5.000 personnes en quelques minutes, sur un terrain ouvert, est tout simplement une opération impossible. Par contre, des témoignages dignes de foi affirment que la plupart des morts enterrés au mont Nyanza sont des milliers de fugitifs massacrés par les troupes FPR, les 22 et 23 mai 1994, pendant qu’ils tentaient de fuir le FPR après la capture de la garnison de Kanombe.
L’Adjointe du Maire de la Ville de Kigali a présenté le mémorial de Gisozi comme haut lieu de pèlerinage et de souvenirs douloureux du « génocide ». Ce lieu abrite, selon les déclarations des officiels du gouvernement, 250.000 crânes humains. Ils ne peuvent pas être originaires de la seule ancienne Préfecture de la Ville de Kigali (PVK). En effet, la population totale de la PVK était, selon le Recensement du 15 août 1991, de 221.806 personnes, dont 81,4% de Hutu et 17,9% de Tutsi. En faisant une extrapolation avec un taux d’accroissement moyen de 3, 2% par an, la population totale de la PVK oscillait autour de 240.000 habitants en 1994 dans l’hypothèse la plus maximaliste.
La population tutsi étant estimée à 50.000 personnes au grand maximum. Ce chiffre n’a donc aucun rapport avec celui des 250.000 crânes exposés au mémorial de Gisozi sans oublier que beaucoup de Tutsis de la PVK ont survécu. Cela devient encore plus incompréhensible lorsque l’on admet que la PVK abrite d’autres mémoriaux, notamment celui de Nyanza et de Rebero où des milliers de restes humains sont exposés. Cet exemple montre combien la manipulation des chiffres est importante à l’échelle de tout le pays.
Plusieurs témoins ont déclaré devant le TPIR que Gisozi a été occupé par les troupes APR à partir du 8 avril 1994. C’est donc le FPR qui a nettoyé les zones de Gisozi-Kagugu et Kabuye en commune de Rutongo, dans la préfecture de Kigali, de toutes les personnes indésirables y compris les déplacés de guerre venus des camps de Nyacyonga et de Rusine, en fuite en direction de la Ville de Kigali.
Plusieurs anciens membres du FPR ont dénoncé les massacres de milliers de personnes commis par le FPR dans cette région. Ces personnes ont été sommairement exécutées par des agents de la DMI dans le camp militaire de Kami investi par le FPR depuis mi-avril 1994. Ces massacres faisaient aussi partie du plan du FPR d’éliminer le plus grand nombre possible de cadres et intellectuels hutus.
Aujourd’hui, c’est la même logique d’anéantissement de l’élite Hutu que poursuit le FPR dans la confection et l’institutionnalisation de listes sauvages de «prétendus Hutu génocidaires», y compris des personnes déjà jugées et acquittées. C’est la même logique poursuivie à travers la fameuse loi sur les aveux de culpabilité qui favorise la délation et les faux témoignages contre des innocents. Les procédures « gacaca » sont quasiment un système extra-judiciaire au dessus de toutes les juridictions.
Elles sont utilisées par le régime pour anéantir tous les indésirables. Nous voulons insister et vous rappeler que c’est Vous-même, Monsieur le Président, qui avez été le premier à suggérer cette stratégie lorsqu’en 1996, à Nyamirambo, dans un grand meeting organisé par votre parti, vous avez averti qu’il suffisait d’avoir la patience nécessaire pour «vider un tonneau plein d’eau avec une cuillère à café» . Les dégâts de votre politique génocidaire ont dépassé les bornes et nous vous demandons instamment d’y mettre fin.
4. Les responsabilités de la communauté internationale dans le drame rwandais.
Dans leurs propos, les plus hautes autorités rwandaises ont critiqué le rôle de la Communauté internationale pendant le «génocide». Ainsi, dans votre discours du 7 avril 2009, vous avez fustigé l’attitude de l’ONU, qualifiée de « lâcheté » en disant : « Nous ne sommes pas de ceux qui ont abandonné les personnes qu’ils étaient venues protéger ; ils les ont laissés se faire tuer ; ne sont-ils pas coupables ? Je pense aussi que c’est de la lâcheté ; ils sont partis avant qu’un seul coup de feu ne soit tiré !»
Nous sommes convaincus que de tels discours de chantage vis-à-vis de la communauté internationale ne pourront pas indéfiniment passer inaperçus. Cependant, nous invitons cette même communauté internationale à réagir vite, elle qui a encouragé et soutenu votre projet criminel de prendre le pouvoir par la force, à travers l’action funeste du Général Roméo Dallaire à la tête de la MINUAR, à qui vous avez annoncé l’imminence d’un cataclysme le 2 avril 1994 et qui n’a rien fait pour l’arrêter et, celle non moins criminelle des Procureurs successifs du TPIR d’Arusha, que vous avez réussi à soumettre sous votre loi de la terreur.
Nous regrettons que l’ONU n’ait pas aidé les Rwandais à résoudre pacifiquement leur conflit en 1990-1994, notamment en faisant des pressions suffisantes sur l’Ouganda et le FPR, et en condamnant la guerre d’agression dont le Rwanda était victime. L’ONU n’a pas non plus condamné les différentes violations de cessez-le-feu par le FPR et de l’accord de paix qu’il a signés.
La communauté internationale a obtempéré à votre ultimatum lancé le 12 avril 1994 aux forces étrangères de quitter le pays en 12 heures, ce qui a accéléré le retrait de la MINUAR du Rwanda au moment où il en avait le plus grand besoin. En votant la Résolution lourde de conséquences de réduire les forces de la MINUAR, le 21 avril 1994, l’ONU a conforté votre Organisation dans ses plans machiavéliques de prendre le pouvoir à Kigali le plus vite possible.
L’ONU a trahi le gouvernement rwandais qui lançait des appels angoissés, afin de stabiliser la situation sécuritaire dans le pays. L’ONU a été paralysée par l’attitude des USA et du Royaume Uni ; elle n’a pas pu intervenir à temps et envoyer les 5.500 hommes de la MINUAR II, comme l’avait décidé le Conseil de Sécurité de l’ONU. Ces forces sont arrivées au Rwanda après votre installation au pouvoir. Elles ont assisté sans réagir à vos massacres contre des innocents dont celui des quatre mille réfugiés de Kibeho en avril 1995.
Non seulement nous accusons le FPR d’avoir chassé du Rwanda les forces internationales au moment où il en avait le plus grand besoin mais aussi nous considérons que les décisions de l’ONU ont été très préjudiciables au peuple et au gouvernement rwandais, en permettant la victoire militaire du FPR acquise dans d’un véritable bain de sang. Ces mêmes décisions ont donné au FPR la légitimité pour continuer de massacrer des Rwandais et le droit de s’attribuer le rôle d’avoir mis fin au «génocide» et celui de juger ses propres victimes.
Nous constatons avec beaucoup de déception que la présence de la MINUAR II ne vous a pas empêché de poursuivre le massacre contre les populations Hutu, sans défense, sur la quasi-totalité du territoire rwandais en 1994-1995, sans oublier le silence de l’ONU sur les atrocités innommables commises par vos troupes, lors de la destruction des camp de réfugiés à l’Est de la RDC et tout au long de leur calvaire dans les forêts congolaises.
Nous voulons vous rappeler les 200.000 réfugiés hutus qui furent atrocement massacrés par vos troupes en 1996-1997. Nous pensons que la complaisance persistante de la communauté internationale à votre égard ne vous exonère guère de vos responsabilités dans le drame rwandais. Nous réclamons justice pour tous les Rwandais, Tutsi, Hutu et Twa morts ou aujourd’hui traumatisés par votre politique criminelle.
5. La thèse de double génocide
Le Ministre Muligande a vilipendé « ceux qui tentent d’amoindrir le génocide, de le nier, en inventant la thèse de « double génocide », arguant qu’il y a eu des morts hutus pendant le génocide. Il a explicité sa pensée en se référant à la deuxième guerre mondiale où « il y eut le génocide des Juifs, mais également 20 millions de Russes. Cependant le génocide reconnu a été commis contre des Juifs. Ce fut la même chose concernant le nombre élevé de morts parmi les soldats allemands qui dépassent de loin le chiffre des Juifs tués, arguant que les Allemands ont été tués pour mettre fin au génocide ».
Ces propos de votre conseiller très écouté montrent que les dirigeants du FPR reconnaissent avoir massacré des centaines de milliers de Hutus innocents. Cependant, nous estimons que comparaison n’est pas raison et qu’en l’occurrence, les événements tragiques au Rwanda, entre 1990 et 1994, ne sont pas comparables à l’histoire de la deuxième guerre mondiale. Le déclenchement de la deuxième guerre mondiale en 1939 relève de la responsabilité du Gouvernement allemand, tout comme l’invasion du Rwanda en octobre 1990, à partir de l’Ouganda, relève de la responsabilité de l’État ougandais et du FPR.
Hitler a déclenché son offensive pour conquérir des pays et, tout au long de cette conquête, des Juifs ont été dénoncés, arrêtés, tués ou déportés vers les camps de concentration, principalement en Allemagne. Les Juifs n’ont pas pris les armes contre l’Allemagne. S’il faut prendre la référence sur les termes de la comparaison, c’est plutôt le FPR et ses alliés qui ont agressé le Rwanda et qui, dans leur folle guerre de conquête du pouvoir, ont massacré des centaines de milliers de Rwandais.
Vos troupes, Monsieur le Président, ont mené une guerre exterminatrice ; elles ont violé les accords de cessez-le-feu conclus et l’accord de paix d’Arusha pour prendre le pouvoir par la force sans se soucier de la sécurité de la population. Pouvez-vous expliquer aux Rwandais pourquoi le FPR a obstinément refusé toutes les offres de cessez-le-feu en avril-juillet 1994, s’il était vraiment soucieux de la protection des populations civiles ?
Et pourquoi a-t-il littéralement vidé de leurs populations toutes les régions conquises ? Que dire alors des 4.000 réfugiés Hutu massacrés par vos troupes à Kibeho en avril 1995 ? Ce sont là de tristes réalités que le régime FPR veut dissimuler par l’usage abusif du « négationnisme » pour empêcher spécialement les parents des victimes d’exprimer leur souffrance et dénoncer les injustices dont ils sont l’objet.
6. Le pardon et la réconciliation
Il se dégage du présent exposé que les membres du FPR ont commis des crimes et massacré des populations civiles sans défense pour le seul motif que c’étaient des Hutus. C’est cette triste réalité que le Ministre Charles Muligande a voulu couvrir, en affirmant que les Hutus devaient mourir, parce que le FPR les combattait pour stopper le génocide. La coalition NRA/FPR/APR n’a pas agressé le Rwanda en octobre 1990 pour stopper le génocide.
La chasse à l’homme menée par le FPR contre des paysans rwandais, tout au long de sa guerre, n’était pas destinée à stopper le «génocide» des Tutsis. Il est illusoire de chercher à nier la responsabilité du FPR dans la mort des centaines de milliers de victimes au Rwanda et en RDC ou à l’atténuer, en vous arrogeant le droit d’inquisition, du seul fait de votre victoire militaire. Nous pensons qu’avec une telle logique, la réconciliation nationale est impossible.
Car, vous voulez occulter la vérité sur les événements tragiques qui ont endeuillé le Rwanda et qui impliquent vos proches collaborateurs, civils et militaires. Aussi, nous estimons que le moment est venu pour votre régime de regarder la réalité en face, au lieu de poursuivre votre propagande idéologique indécente, dès lors qu’elle exploite honteusement les malheurs que vous avez infligés au peuple rwandais.
La dérive de votre régime a irrémédiablement éloigné le peuple rwandais de l’objectif de réconciliation nationale, en dehors des artifices que vous vous plaisez à servir aux différents visiteurs du Rwanda mais qui ne peuvent pas, malheureusement, guérir le mal qui est beaucoup plus profond.
L’instrumentalisation de la persécution contre les Hutu accusés « d’idéologie génocidaire » constitue une voie trouvée pour criminaliser tous les Hutu à jamais ; non pas seulement ceux qui étaient en vie en 1994, mais aussi tous ceux qui naîtront dans l’avenir. Il suffira de les accuser d’idéologie génocidaire pour opprimer les Hutu et justifier cette oppression devant le monde.
Cette politique qui a déjà fait de l’immense majorité des Rwandais des parias de la société rwandaise, est inacceptable, parce qu’elle est devenue un facteur d’exclusion et de marginalisation des Hutu, à des fins de conservation de la domination Tutsi.
Le dialogue entre le pouvoir et ses opposants est la seule voie pour sortir de l’impasse actuelle. Mais après avoir décrété que seuls les réfugiés venus là-bas pouvaient être estimés entre 1.000 et 2.000 personnes , ce qui est en deçà des cinq mille prétendument conduites de l’ETO au mont Nyanza pour y être tuées, dans la soirée du 11 avril 1994.
Dans les circonstances qui prévalaient, l’extermination de 5.000 personnes en quelques minutes, sur un terrain ouvert, est tout simplement une opération impossible. Par contre, des témoignages dignes de foi affirment que la plupart des morts enterrés au mont Nyanza sont des milliers de fugitifs massacrés par les troupes FPR, les 22 et 23 mai 1994, pendant qu’ils tentaient de fuir le FPR après la capture de la garnison de Kanombe.
L’Adjointe du Maire de la Ville de Kigali a présenté le mémorial de Gisozi comme haut lieu de pèlerinage et de souvenirs douloureux du « génocide ». Ce lieu abrite, selon les déclarations des officiels du gouvernement, 250.000 crânes humains. Ils ne peuvent pas être originaires de la seule ancienne Préfecture de la Ville de Kigali (PVK). En effet, la population totale de la PVK était, selon le Recensement du 15 août 1991, de 221.806 personnes, dont 81,4% de Hutu et 17,9% de Tutsi. En faisant une extrapolation avec un taux d’accroissement moyen de 3, 2% par an, la population totale de la PVK oscillait autour de 240.000 habitants en 1994 dans l’hypothèse la plus maximaliste. La population tutsi étant estimée à 50.000 personnes au grand maximum. Ce chiffre n’a donc aucun rapport avec celui des 250.000 crânes exposés au mémorial de Gisozi sans oublier que beaucoup de Tutsis de la PVK ont survécu. Cela devient encore plus incompréhensible lorsque l’on admet que la PVK abrite d’autres mémoriaux, notamment celui de Nyanza et de Rebero où des milliers de restes humains sont exposés. Cet exemple montre combien la manipulation des chiffres est importante à l’échelle de tout le pays.
Plusieurs témoins ont déclaré devant le TPIR que Gisozi a été occupé par les troupes APR à partir du 8 avril 1994. C’est donc le FPR qui a nettoyé les zones de Gisozi-Kagugu et Kabuye en commune de Rutongo, dans la préfecture de Kigali, de toutes les personnes indésirables y compris les déplacés de guerre venus des camps de Nyacyonga et de Rusine, en fuite en direction de la Ville de Kigali. Plusieurs anciens membres du FPR ont dénoncé les massacres de milliers de personnes commis par le FPR dans cette région. Ces personnes ont été sommairement exécutées par des agents de la DMI dans le camp militaire de Kami investi par le FPR depuis mi-avril 1994.
Ces massacres faisaient aussi partie du plan du FPR d’éliminer le plus grand nombre possible de cadres et intellectuels hutus. Aujourd’hui, c’est la même logique d’anéantissement de l’élite Hutu que poursuit le FPR dans la confection et l’institutionnalisation de listes sauvages de «prétendus Hutu génocidaires», y compris des personnes déjà jugées et acquittées. C’est la même logique poursuivie à travers la fameuse loi sur les aveux de culpabilité qui favorise la délation et les faux témoignages contre des innocents.
Les procédures « gacaca » sont quasiment un système extra-judiciaire au dessus de toutes les juridictions. Elles sont utilisées par le régime pour anéantir tous les indésirables. Nous voulons insister et vous rappeler que c’est Vous-même, Monsieur le Président, qui avez été le premier à suggérer cette stratégie lorsqu’en 1996, à Nyamirambo, dans un grand meeting organisé par votre parti, vous avez averti qu’il suffisait d’avoir la patience nécessaire pour «vider un tonneau plein d’eau avec une cuillère à café» . Les dégâts de votre politique génocidaire ont dépassé les bornes et nous vous demandons instamment d’y mettre fin.
4. Les responsabilités de la communauté internationale dans le drame rwandais
Dans leurs propos, les plus hautes autorités rwandaises ont critiqué le rôle de la Communauté internationale pendant le «génocide». Ainsi, dans votre discours du 7 avril 2009, vous avez fustigé l’attitude de l’ONU, qualifiée de « lâcheté » en disant : « Nous ne sommes pas de ceux qui ont abandonné les personnes qu’ils étaient venues protéger ; ils les ont laissés se faire tuer ; ne sont-ils pas coupables ? Je pense aussi que c’est de la lâcheté ; ils sont partis avant qu’un seul coup de feu ne soit tiré !»
Nous sommes convaincus que de tels discours de chantage vis-à-vis de la communauté internationale ne pourront pas indéfiniment passer inaperçus. Cependant, nous invitons cette même communauté internationale à réagir vite, elle qui a encouragé et soutenu votre projet criminel de prendre le pouvoir par la force, à travers l’action funeste du Général Roméo Dallaire à la tête de la MINUAR, à qui vous avez annoncé l’imminence d’un cataclysme le 2 avril 1994 et qui n’a rien fait pour l’arrêter et, celle non moins criminelle des Procureurs successifs du TPIR d’Arusha, que vous avez réussi à soumettre sous votre loi de la terreur.
Nous regrettons que l’ONU n’ait pas aidé les Rwandais à résoudre pacifiquement leur conflit en 1990-1994, notamment en faisant des pressions suffisantes sur l’Ouganda et le FPR, et en condamnant la guerre d’agression dont le Rwanda était victime. L’ONU n’a pas non plus condamné les différentes violations de cessez-le-feu par le FPR et de l’accord de paix qu’il a signés. La communauté internationale a obtempéré à votre ultimatum lancé le 12 avril 1994 aux forces étrangères de quitter le pays en 12 heures, ce qui a accéléré le retrait de la MINUAR du Rwanda au moment où il en avait le plus grand besoin.
En votant la Résolution lourde de conséquences de réduire les forces de la MINUAR, le 21 avril 1994, l’ONU a conforté votre Organisation dans ses plans machiavéliques de prendre le pouvoir à Kigali le plus vite possible. L’ONU a trahi le gouvernement rwandais qui lançait des appels angoissés, afin de stabiliser la situation sécuritaire dans le pays. L’ONU a été paralysée par l’attitude des USA et du Royaume Uni ; elle n’a pas pu intervenir à temps et envoyer les 5.500 hommes de la MINUAR II, comme l’avait décidé le Conseil de Sécurité de l’ONU. Ces forces sont arrivées au Rwanda après votre installation au pouvoir. Elles ont assisté sans réagir à vos massacres contre des innocents dont celui des quatre mille réfugiés de Kibeho en avril 1995.
Non seulement nous accusons le FPR d’avoir chassé du Rwanda les forces internationales au moment où il en avait le plus grand besoin mais aussi nous considérons que les décisions de l’ONU ont été très préjudiciables au peuple et au gouvernement rwandais, en permettant la victoire militaire du FPR acquise dans d’un véritable bain de sang. Ces mêmes décisions ont donné au FPR la légitimité pour continuer de massacrer des Rwandais et le droit de s’attribuer le rôle d’avoir mis fin au «génocide» et celui de juger ses propres victimes.
Nous constatons avec beaucoup de déception que la présence de la MINUAR II ne vous a pas empêché de poursuivre le massacre contre les populations Hutu, sans défense, sur la quasi-totalité du territoire rwandais en 1994-1995, sans oublier le silence de l’ONU sur les atrocités innommables commises par vos troupes, lors de la destruction des camp de réfugiés à l’Est de la RDC et tout au long de leur calvaire dans les forêts congolaises.
Nous voulons vous rappeler les 200.000 réfugiés hutus qui furent atrocement massacrés par vos troupes en 1996-1997. Nous pensons que la complaisance persistante de la communauté internationale à votre égard ne vous exonère guère de vos responsabilités dans le drame rwandais. Nous réclamons justice pour tous les Rwandais, Tutsi, Hutu et Twa morts ou aujourd’hui traumatisés par votre politique criminelle.
5. La thèse de double génocide
Le Ministre Muligande a vilipendé « ceux qui tentent d’amoindrir le génocide, de le nier, en inventant la thèse de « double génocide », arguant qu’il y a eu des morts hutus pendant le génocide. Il a explicité sa pensée en se référant à la deuxième guerre mondiale où « il y eut le génocide des Juifs, mais également 20 millions de Russes. Cependant le génocide reconnu a été commis contre des Juifs. Ce fut la même chose concernant le nombre élevé de morts parmi les soldats allemands qui dépassent de loin le chiffre des Juifs tués, arguant que les Allemands ont été tués pour mettre fin au génocide »
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sunday, May 24, 2009
“There’s no place like home.”
This is true everywhere. But when it becomes a question of survival, those who can save themselves have to leave their country. Such is the case with thousands of Rwandan Hutus who were forced to flee their homes in the aftermath of the military victory of the Rwandan Patriotic Front (RPF) in July 1994.
Even though these Hutu refugees are afraid to return to their country because of the
reprisals that surely await them, they have been forcibly repatriated to Rwanda since 1995.
At the time of this writing, a three-party agreement has been signed between Uganda (the host county), Rwanda and the UN High Commissioner for Refugees (HCR). According to this agreement, Rwandan Hutu refugees who find themselves in Uganda must leave by 31 July 2009.
It is very important to recall that some, if not all, these refugees were forced to flee certain death in Rwanda on three separate occasions. Some were repatriated from Tanzania at the end of 1996 when their camps in that country were closed down. Earlier in 1995, Burundi had taken in some of these expelled Rwandans before, then, repatriating all the refugees on its territory. IN addition, there were the repatriations from the camps in North and South Kivu, in the east of the Democratic Republic of Congo (DRC), the former-Zaire.
Not being able to stay in Rwanda because of the enormous dangers of being killed there, those refugees who had managed to escape arrest by the Gacaca courts were able to find refuge in Uganda, though life in the camps there was very hard.
Unfortunately, these refugees continue to be pursued by the same agents that have been hounding them since 1994. In addition, it seems ironic that this repatriation agreement was signed at a time when a significant part of the international community through its Human Rights organizations, as well as certain countries, like Holland, Sweden and Canada, had already suspended financial aid to Rwanda.
In order for this repatriation to succeed, the Humanitarian Organizations, headed by the UNHCR, have decided to suspend all aid to those refugees who do not demonstrate a strong willingness to return to Rwanda. The real pity is the overwhelming silence with which the world has responded to this matter. No one has raised his or her voice to condemn this forced repatriation of Rwandan Hutu refugees.
While at the same time, many international organizations and Western governments have increased their appeals in favor of Sri Lankan civilians caught between the armed forces of the Royalists and the Tamil rebels. Furthermore, these are the same geopolitical players who mobilized their energies to stop the Swine Flu epidemic that broke out in Mexico.
As the Secretary-General may aware, the Ugandan and Rwandan military governments have again making mass forced repatriation and deportation of the Hutu Rwandan refugees from the Ugandan camps of Nakivala to Rwanda, an act that is unacceptable on human rights grounds.
On behalf of the Association of Rwandan Refugee Survivors (ARGR – INTABAZA), we recommend to:
The Ugandan and Rwandan Governments
The Ugandan government should respect the principle of non-refoulement that constitutes the cornerstone of the international system for the protection of refugees and recognize that it is the most fundamental of the refugee rights. Going beyond this law by expulsions and deportations remains unacceptable in any manner whatsoever pretext to Rwanda where they undoubtedly will be persecuted.
The UNHCR, OIM and other humanitarian NGOs
We call on the UN institutions, UN organizations and NGOs to suspend repatriation of Rwandan Hutu refugees who survived massacres of the Tutsi-led government in the Congolese camps and forests from 1997 up to 1998.
Concerning the solution to the problems of Rwandan refugees, there is no denying that the Rwandan Tutsi-led government has several times refused to take the initiatives from dialogue and diplomatic community. It is quite clear now that the Rwandan Tutsi-led government will not respond to the quiet-diplomatic persuasions, political opposition requirements and engage fair negotiations between all involved parties, Association for Rwandan refugee survivors, the Rwandan civil society and the opposition political parties involved in the conflict. Al of them should make it happen in favor of durable solutions to the everlasting peace in Rwanda.
The UN Security Council in particular
We call on the United Nations to take immediate steps that will bring Uganda and Rwanda into conformity with international law as befit member states of the United Nations.
We request that the Secretary-General give U.N. High Commissioner for Refugees a necessary mandate to protect the Hutu refugee survivors from their executioners, the current Rwandan government. In addition, the UNHCR, the Ugandan government should ensure that their treatment of Hutu refugee survivors conforms to the existing international law and Humanitarian principles and practice.
All of those refugee survivors and returnees from 1996-1998 RPF mass-slaughters should benefit from non-derogatory human rights as the right to protection from the arbitrary depravation of life, and against torture or cruel inhuman treatment like deportation or punishment. They should benefit the right not to be subjected to forced repatriation, the right to recognition as refugees before the law based on the provisions of the 1951 refugee convention and its 1967 protocol of the African convention on Human rights.
We finally call upon the U.N. General Assembly to denounce such unlawful act and to request the Ugandan and Rwandan authorities to immediately suspend the Hutu animalization and prejudice for making easier and speeding up their extermination.
Finally, I thank you for your kind attention to Rwanda matters.
Yours respectfully and sincerely,
Jean-Christophe Nizeyimana
Executive Secretary
ARGR - INTABAZA
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
This is true everywhere. But when it becomes a question of survival, those who can save themselves have to leave their country. Such is the case with thousands of Rwandan Hutus who were forced to flee their homes in the aftermath of the military victory of the Rwandan Patriotic Front (RPF) in July 1994.
Even though these Hutu refugees are afraid to return to their country because of the
reprisals that surely await them, they have been forcibly repatriated to Rwanda since 1995.
At the time of this writing, a three-party agreement has been signed between Uganda (the host county), Rwanda and the UN High Commissioner for Refugees (HCR). According to this agreement, Rwandan Hutu refugees who find themselves in Uganda must leave by 31 July 2009.
It is very important to recall that some, if not all, these refugees were forced to flee certain death in Rwanda on three separate occasions. Some were repatriated from Tanzania at the end of 1996 when their camps in that country were closed down. Earlier in 1995, Burundi had taken in some of these expelled Rwandans before, then, repatriating all the refugees on its territory. IN addition, there were the repatriations from the camps in North and South Kivu, in the east of the Democratic Republic of Congo (DRC), the former-Zaire.
Not being able to stay in Rwanda because of the enormous dangers of being killed there, those refugees who had managed to escape arrest by the Gacaca courts were able to find refuge in Uganda, though life in the camps there was very hard.
Unfortunately, these refugees continue to be pursued by the same agents that have been hounding them since 1994. In addition, it seems ironic that this repatriation agreement was signed at a time when a significant part of the international community through its Human Rights organizations, as well as certain countries, like Holland, Sweden and Canada, had already suspended financial aid to Rwanda.
In order for this repatriation to succeed, the Humanitarian Organizations, headed by the UNHCR, have decided to suspend all aid to those refugees who do not demonstrate a strong willingness to return to Rwanda. The real pity is the overwhelming silence with which the world has responded to this matter. No one has raised his or her voice to condemn this forced repatriation of Rwandan Hutu refugees.
While at the same time, many international organizations and Western governments have increased their appeals in favor of Sri Lankan civilians caught between the armed forces of the Royalists and the Tamil rebels. Furthermore, these are the same geopolitical players who mobilized their energies to stop the Swine Flu epidemic that broke out in Mexico.
As the Secretary-General may aware, the Ugandan and Rwandan military governments have again making mass forced repatriation and deportation of the Hutu Rwandan refugees from the Ugandan camps of Nakivala to Rwanda, an act that is unacceptable on human rights grounds.
On behalf of the Association of Rwandan Refugee Survivors (ARGR – INTABAZA), we recommend to:
The Ugandan and Rwandan Governments
The Ugandan government should respect the principle of non-refoulement that constitutes the cornerstone of the international system for the protection of refugees and recognize that it is the most fundamental of the refugee rights. Going beyond this law by expulsions and deportations remains unacceptable in any manner whatsoever pretext to Rwanda where they undoubtedly will be persecuted.
The UNHCR, OIM and other humanitarian NGOs
We call on the UN institutions, UN organizations and NGOs to suspend repatriation of Rwandan Hutu refugees who survived massacres of the Tutsi-led government in the Congolese camps and forests from 1997 up to 1998.
Concerning the solution to the problems of Rwandan refugees, there is no denying that the Rwandan Tutsi-led government has several times refused to take the initiatives from dialogue and diplomatic community. It is quite clear now that the Rwandan Tutsi-led government will not respond to the quiet-diplomatic persuasions, political opposition requirements and engage fair negotiations between all involved parties, Association for Rwandan refugee survivors, the Rwandan civil society and the opposition political parties involved in the conflict. Al of them should make it happen in favor of durable solutions to the everlasting peace in Rwanda.
The UN Security Council in particular
We call on the United Nations to take immediate steps that will bring Uganda and Rwanda into conformity with international law as befit member states of the United Nations.
We request that the Secretary-General give U.N. High Commissioner for Refugees a necessary mandate to protect the Hutu refugee survivors from their executioners, the current Rwandan government. In addition, the UNHCR, the Ugandan government should ensure that their treatment of Hutu refugee survivors conforms to the existing international law and Humanitarian principles and practice.
All of those refugee survivors and returnees from 1996-1998 RPF mass-slaughters should benefit from non-derogatory human rights as the right to protection from the arbitrary depravation of life, and against torture or cruel inhuman treatment like deportation or punishment. They should benefit the right not to be subjected to forced repatriation, the right to recognition as refugees before the law based on the provisions of the 1951 refugee convention and its 1967 protocol of the African convention on Human rights.
We finally call upon the U.N. General Assembly to denounce such unlawful act and to request the Ugandan and Rwandan authorities to immediately suspend the Hutu animalization and prejudice for making easier and speeding up their extermination.
Finally, I thank you for your kind attention to Rwanda matters.
Yours respectfully and sincerely,
Jean-Christophe Nizeyimana
Executive Secretary
ARGR - INTABAZA
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Friday, May 22, 2009
According to Doing Business, Rwanda made improvements in time for imports and exports as well as cost of exports, jumping up 12 places.
It is no longer the worst-ranked country globally in the Trading Across Borders category.
However, despite these improvements, Rwanda still ranks relatively worse than its regional and income group averages. » (World Bank, Business Environment Snapshots, http://rru.worldbank.org/BESnapshots/ Rwanda/default. aspx)
***
My fellow Truth seeker,
I actually won't talk about RPF mega atrocities, RPF mega massacres and assassinations, disappearances and arbitrary executions, arbitrary arrests, and so on..... However, let me tell you some straight from the hip facts about the gap between common perceptions and the RPF government reporting about GNP/GDP, RPF government statistical data from national census adding to the RPF manipulation and fabrications about the Rwandan Genocide.
On the other hand, the most popularly followed inflation-adjusted economic statistic is the GDP, which reflects the growth in euro/dollar economic activity minus the growth in inflation. If inflation in Rwanda is understated, which it is, then the resulting real GDP will certainly be overstated. You've seen and noted that the common sense tells us that more meaningful trends in a country like Rwanda usually are seen in year-to-year change, if nothing is there, overstated and economic manipulated to meet the World Bank requirements, victims will certainly be and always be the Rwandan population. We will be discussing this issue next time.
Anyway, here is the poweful revealation on the RPF manipulation that will give the big picture you need to make your own conclusion about Kagame's bloody regime and how the world, European Union with the complicity of pro-RPF regime and then the manipulation will allow RPF to get favours from the Bretton institutions, the world Bank and IMF. A very simple pattern of some of RPF manipulation techniques until previously had not give you idea about the shocking Suffering of Rwandans mainly Hutus (85%) under the current bloody RPF autocratic regime. The English version will probably be submitted later on this for you lovely blog.
How many people in this world have walked with RPF deceit and manipulation?
Answer: Millions! Including European Union and many of the US and British citizens.
No sentence to mean what it sounds. Many of you still allow Paul Kagame and his pros to manipulate you. So, the darkest secret of General Paul Kagame was manipulating and still manipulates you.
Years we lost before Paul Kagame's manipulation and fluttery. Because of manipulation and lies, he still wins all those battles!
But I know: “No cause is a lost cause, until there is a fool left to fight for it”
Les Principaux sources de revenus du Rwanda depuis 1994.
It is no longer the worst-ranked country globally in the Trading Across Borders category.
However, despite these improvements, Rwanda still ranks relatively worse than its regional and income group averages. » (World Bank, Business Environment Snapshots, http://rru.worldbank.org/BESnapshots/ Rwanda/default. aspx)
***
My fellow Truth seeker,
I actually won't talk about RPF mega atrocities, RPF mega massacres and assassinations, disappearances and arbitrary executions, arbitrary arrests, and so on..... However, let me tell you some straight from the hip facts about the gap between common perceptions and the RPF government reporting about GNP/GDP, RPF government statistical data from national census adding to the RPF manipulation and fabrications about the Rwandan Genocide.
On the other hand, the most popularly followed inflation-adjusted economic statistic is the GDP, which reflects the growth in euro/dollar economic activity minus the growth in inflation. If inflation in Rwanda is understated, which it is, then the resulting real GDP will certainly be overstated. You've seen and noted that the common sense tells us that more meaningful trends in a country like Rwanda usually are seen in year-to-year change, if nothing is there, overstated and economic manipulated to meet the World Bank requirements, victims will certainly be and always be the Rwandan population. We will be discussing this issue next time.
Anyway, here is the poweful revealation on the RPF manipulation that will give the big picture you need to make your own conclusion about Kagame's bloody regime and how the world, European Union with the complicity of pro-RPF regime and then the manipulation will allow RPF to get favours from the Bretton institutions, the world Bank and IMF. A very simple pattern of some of RPF manipulation techniques until previously had not give you idea about the shocking Suffering of Rwandans mainly Hutus (85%) under the current bloody RPF autocratic regime. The English version will probably be submitted later on this for you lovely blog.
How many people in this world have walked with RPF deceit and manipulation?
Answer: Millions! Including European Union and many of the US and British citizens.
No sentence to mean what it sounds. Many of you still allow Paul Kagame and his pros to manipulate you. So, the darkest secret of General Paul Kagame was manipulating and still manipulates you.
Years we lost before Paul Kagame's manipulation and fluttery. Because of manipulation and lies, he still wins all those battles!
But I know: “No cause is a lost cause, until there is a fool left to fight for it”
Les Principaux sources de revenus du Rwanda depuis 1994.
• L'aide étrangère
• La corruption et les paiements illicites par les individus-citoyens rwandais, et les entreprises opérant au Rwanda au parti FPR qui versent des gigantesques montants au Leadership du FPR et aux Officiers Supérieurs de APR/RDF.
• Le pillage des ressources minières et agricoles du Congo
• Le travail forcé des Hutus massivement transformés en prisonniers
• La commercialisation du génocide rwandais aux clients totalement satisfaits dans le monde entier.
Ces indicateurs devraient ouvrir de novelles perspectives en dehors de la commercialisation du génocide rwandais. L'analyse de de toutes ces données ne mentionne pas ce en quoi consiste ces importations et ces exportations du Rwanda qui l'on fait basculer au 12ème rang selon la Banque Mondiale.
Malgré le gonflement de toutes ces indicateurs macro-économiques, il faut se rendre à l'évidence: l'augmentation du pourcentage des malnutris, adultes et des enfants dans les zones rurales. La pauvreté prend de l'ampleur dans les campagnes et le pays ne trouve d'autre explication qu'une suite fâcheuse de la récession économique des pays fortements industrialisés.
Au contraire, outre les autres sources de revenus mentionnés ci-haut, nous allons nous concentrer au deuxième point relatif au travail forcé au Rwanda qui a vu le jour avec la prise du pouvoir du FPR au Rwanda après juillet 1994.
Ce travail forcé est évidemment lié aux autres sources de revenus évoqués ci-haut mis au point par des instituts de recherche secrets qui rassemblent des idéologues, des media britanniques et américains dans la commercialisation du génocide rwandais.
Ces crimes sont planifiés au gré des périodes de répression à l’ intérieur du Rwanda, au gré de la guerre en RDC et des massacres devenus réguliers suite aux assassinats fomentés ou consommés par le FPR sur des rescapés du génocide rwandais, lesquels assassinats permettent de nombreux arrestations.
Puis suit le gonflement des prisons et les massacres de l’endroit où a eu lieu l’assassinat. C’est un long plan qui suit la célèbre stratégie de Paul Kagame consistant à exterminer les Hutus à petit feu, une strategie connue sous le nom de "Thea spoon strategy"( from the famous Kagame hate speech). Ce qui explique l'holocauste en cours au Rwanda contre les Hutus.
Ainsi Donc, le système de répression au Rwanda devenu une source de revenu suite à l'exploitation du travail forcé des détenus (increasing core product income) qui sortent des camps d'internement destinés aux Hutus, d'une part, et des prisons alimentés par les célèbres Gacaca.
Pour vous donner une idée sur les Gatchatcha (Gacaca) financés par le Gouvernment Néerlandais et d'autres pays de l'Union Européenne: Pendant une dizaine de minutes, un Hutu est jugé puis incarcéré pour une prison de 30 ans ou pour une réclusion à perpétuité.
Le promoteur de ce système, Paul Kagame, lui-même planificateur du génocide rwandais, recherché par des mandats d'arrêt internationaux, est chef de l'État rwandais ! Il a su imaginé et mettre sur pied un département de l'État appelé TIJ et des courts Gacaca qui brassent des centaines de milliers de détenus Hutus à travers le pays.
Tony Blair et d'autres étrangers comme Karnabare sont devenus les principaux conseillers de Paul Kagame en raison de leur expérience en la matière et pour avoir soutenu celui-ci tout au long de la prise du pouvoir par un coup d'État sanglant du 6avril 1994. Un Hutu nommé Evariste Bizimana d secteur de Jenda, ancienne commune de Nkuli, est nommé à la tête de cette ignominieuse institution de l'esclavage des Hutus en vu de renforcer l'apartheid qui ce concentre dans les villes où seuls les Tutsis ont l’ accès facile...
Tout un arsenal législatif de plus en plus répressif autorisera des arrestations massives parmi les Hutus.
Plusieurs Hutus sont soit accusés d'avoir participé au génocide, soit de véhiculer l'idéologie génocidaire. Personne n'échappe à cette répressive législation à la grande satisfaction de Paul Kagame et de son régime.
Devant la hausse du nombre de détenus, l'idée de les employer à des tâches productives apparaît avec la création des Gatchatcha (Gacaca), tandis que le travail forcé est institutionnalisé avec la création du département de l’État, TIG, chargé de brasser ces millions de détenus Hutus qui fournissent au régime Nazi rwandais des revenus juteux.
En effet, sous le régime du FPR, le travail forcé est devenu tellement courant et procure de meilleurs rendements que ces détenus (hommes, femmes et enfants Hutus) sont utilisés dans champs de théiers et de caféiers. Le recours au travail forcé est souvent utilisé dans de nombreuses voies de communications telles que la construction des routes (comme avant les détenus chinois), puis dans construction de Nyarutarama (Pretoria de Kigali) et de ces villas des membres du FPR. Ce chantier est le seul à faire l'objet d'une propagande intense des membres et ou des mégaphones du FPR.
The RDF soldiers were supposed to be in Darfur! But they are assassinating , raping Hutu women and other bantou women who are blamed to be FDLR's wives! "Shame on “Save Darfur”
Nous avons aussi appris que certains ONGs y font également recours pour enfin mettre cet argent du contribuable européen dans leurs poches. Ces détenus se retrouvent également chez les nombreux Tutsis membres du FPR soit à la maison, dans leurs champs, etc. De plus en plus les Hutus deviennent la propriété privée du système Nazi répressive rwandais.
D'où la nécessité Kagame et du FPR de transformer le Régime en un système de terreur massif. Les camps de concentration prennent forme dans les Ingando, un apartheid prend également forme. Les Hutus paupérisés s' habituent à marcher pieds nus. Et s'il faut aller en ville, ils sont obligés de louer les sandales (Kanda mbili) à l'entrée de la ville.
Les détenus sont rétribués avec un minimum de nourriture, suffisant pour ne pas mourir. Ces rations peuvent être revues à la hausse ou la baisse selon l'attitude du prisonnier.
En effet la ration est évaluée selon la quantité de travail fournie par rapport à la norme. La faim devient un moyen de briser les Hutus qui refusent de porter l'uniforme de génocidaire, et un puissant moyen de manipulation.
Suite aux mauvaises conditions dans les milieux carcérales, la violence, les accusations multiples des uns sous l'instigation des gardiens et des policiers et le mouchardage rompent les liens entre les détenus qui ne veulent pas mourir de faim et ceux qui campent sur leurs positions sur leur innocence. Finalement, tous retombent sous le coup du travail forcé. Avec le refus de l'État rwandais face aux familles des détenus désireuses de porter à manger à leurs parents, le gouvernent a trouver le moyen de les exploiter à fond. Ils ont une ration de plus en plus dépendante à leur force de travail.
Ceux qui ne remplissent pas les conditions requises dans les travaux forcés voient leur ration diminuée. Les truands dans les prisons peuvent racketter les autres détenus. Ceci augmente les tensions internes exacerbées par le des conditions intenables dans ces prisons.
Quoi d'étonnant si l'on voit dans les prisons de Lilima les prisonniers clamer avoir pris part au génocide ?
Quoi d'étonnant si des centaines de milliers d'autres Hutus sont recyclés dans ces prisons, entrant ou sortant selon la demande des Gacaca qui alimentent le marché du travail forcé?
Les gardiens disposent à leur gré de la force et de la nourriture. Toute révolte, toute revandication sont réprimés dans un bain de sang, et toute revendication semble donc vouée à l'échec. Certains sont arbitrairement sortis des prisons et ne reviennent plus puisque exécutés en dehors des prisons. D'autres sont sur place exécutés à la Kalachnikov par les policiers et les gardiens des prisons.
Quoique l'information leur est disponible, la passivité des opinions occidentales est de mise. Il faut briser ce mur du silence. Il faut absolument que le monde sache quelle vie les Hutus vivent à l'intérieur du Rwanda. Ils vivotent. Dans leur pamphlet de commercialisation du génocide rwandais, le FPR, ses supporteurs de l'étranger multiplient les manipulations perverses et la fabrication des mensonges destinés à marteler l'image des Hutus, stéréotyper les Hutus, dire qu'ils sont génocidaires, que les enfants Hutus sont porteurs d'idéologie génocidaire pour faciliter leur recyclage au profit du travail forcé ainsi institutionnalisé.
A l'étranger, le survivant Hutu exilé n'est pas à l’abri non plus. Il reste sous le coup des fausses accusations de participation au génocide par le régime Tutsi au Rwanda dans les pays occidentaux où la corruption frappe certains des décideurs en matière d'immigration et ou de demande d'asile.
Paul Kagame et son FPR enfoncent leurs clous et s'enfoncent dans le mensonge et dans la manipulation de l'information sur les événements douloureux de 1994. Des crânes sont alignés dans ce qu'ils appelleront des musés. Des crânes issues des têtes coupées ou séparés de leurs corps à la machette par le FPR. Ces crânes ne sont autres que ceux de nos parents, enfants, frères et sœurs et de nos concitoyens Hutus pendant que les Tutsis ont été enterrés avec les honneurs.
D'autres manipulations s'en suivront avec l'enterrement des Tutsis OFFICIELLEMENT, alors qu'il s'agit en fait des Hutus massacrés par le FPR DANS LES Différents endroits de la VILLE DE KIGALI COMME GISOZI. Est-ce possible que les courageux de ce monde nous aident à reconnaitre l'évidence c.à.d. qu'il s'agit du mensonge et pour y remédier, utiliser la DNA qui nous permettra de reconnaître les nôtres comme cela s'est fait en Bosnie ?
• La corruption et les paiements illicites par les individus-citoyens rwandais, et les entreprises opérant au Rwanda au parti FPR qui versent des gigantesques montants au Leadership du FPR et aux Officiers Supérieurs de APR/RDF.
• Le pillage des ressources minières et agricoles du Congo
• Le travail forcé des Hutus massivement transformés en prisonniers
• La commercialisation du génocide rwandais aux clients totalement satisfaits dans le monde entier.
Ces indicateurs devraient ouvrir de novelles perspectives en dehors de la commercialisation du génocide rwandais. L'analyse de de toutes ces données ne mentionne pas ce en quoi consiste ces importations et ces exportations du Rwanda qui l'on fait basculer au 12ème rang selon la Banque Mondiale.
Malgré le gonflement de toutes ces indicateurs macro-économiques, il faut se rendre à l'évidence: l'augmentation du pourcentage des malnutris, adultes et des enfants dans les zones rurales. La pauvreté prend de l'ampleur dans les campagnes et le pays ne trouve d'autre explication qu'une suite fâcheuse de la récession économique des pays fortements industrialisés.
Au contraire, outre les autres sources de revenus mentionnés ci-haut, nous allons nous concentrer au deuxième point relatif au travail forcé au Rwanda qui a vu le jour avec la prise du pouvoir du FPR au Rwanda après juillet 1994.
Ce travail forcé est évidemment lié aux autres sources de revenus évoqués ci-haut mis au point par des instituts de recherche secrets qui rassemblent des idéologues, des media britanniques et américains dans la commercialisation du génocide rwandais.
Ces crimes sont planifiés au gré des périodes de répression à l’ intérieur du Rwanda, au gré de la guerre en RDC et des massacres devenus réguliers suite aux assassinats fomentés ou consommés par le FPR sur des rescapés du génocide rwandais, lesquels assassinats permettent de nombreux arrestations.
Puis suit le gonflement des prisons et les massacres de l’endroit où a eu lieu l’assassinat. C’est un long plan qui suit la célèbre stratégie de Paul Kagame consistant à exterminer les Hutus à petit feu, une strategie connue sous le nom de "Thea spoon strategy"( from the famous Kagame hate speech). Ce qui explique l'holocauste en cours au Rwanda contre les Hutus.
Ainsi Donc, le système de répression au Rwanda devenu une source de revenu suite à l'exploitation du travail forcé des détenus (increasing core product income) qui sortent des camps d'internement destinés aux Hutus, d'une part, et des prisons alimentés par les célèbres Gacaca.
Pour vous donner une idée sur les Gatchatcha (Gacaca) financés par le Gouvernment Néerlandais et d'autres pays de l'Union Européenne: Pendant une dizaine de minutes, un Hutu est jugé puis incarcéré pour une prison de 30 ans ou pour une réclusion à perpétuité.
Le promoteur de ce système, Paul Kagame, lui-même planificateur du génocide rwandais, recherché par des mandats d'arrêt internationaux, est chef de l'État rwandais ! Il a su imaginé et mettre sur pied un département de l'État appelé TIJ et des courts Gacaca qui brassent des centaines de milliers de détenus Hutus à travers le pays.
Tony Blair et d'autres étrangers comme Karnabare sont devenus les principaux conseillers de Paul Kagame en raison de leur expérience en la matière et pour avoir soutenu celui-ci tout au long de la prise du pouvoir par un coup d'État sanglant du 6avril 1994. Un Hutu nommé Evariste Bizimana d secteur de Jenda, ancienne commune de Nkuli, est nommé à la tête de cette ignominieuse institution de l'esclavage des Hutus en vu de renforcer l'apartheid qui ce concentre dans les villes où seuls les Tutsis ont l’ accès facile...
Tout un arsenal législatif de plus en plus répressif autorisera des arrestations massives parmi les Hutus.
Plusieurs Hutus sont soit accusés d'avoir participé au génocide, soit de véhiculer l'idéologie génocidaire. Personne n'échappe à cette répressive législation à la grande satisfaction de Paul Kagame et de son régime.
Devant la hausse du nombre de détenus, l'idée de les employer à des tâches productives apparaît avec la création des Gatchatcha (Gacaca), tandis que le travail forcé est institutionnalisé avec la création du département de l’État, TIG, chargé de brasser ces millions de détenus Hutus qui fournissent au régime Nazi rwandais des revenus juteux.
En effet, sous le régime du FPR, le travail forcé est devenu tellement courant et procure de meilleurs rendements que ces détenus (hommes, femmes et enfants Hutus) sont utilisés dans champs de théiers et de caféiers. Le recours au travail forcé est souvent utilisé dans de nombreuses voies de communications telles que la construction des routes (comme avant les détenus chinois), puis dans construction de Nyarutarama (Pretoria de Kigali) et de ces villas des membres du FPR. Ce chantier est le seul à faire l'objet d'une propagande intense des membres et ou des mégaphones du FPR.
The RDF soldiers were supposed to be in Darfur! But they are assassinating , raping Hutu women and other bantou women who are blamed to be FDLR's wives! "Shame on “Save Darfur”
Nous avons aussi appris que certains ONGs y font également recours pour enfin mettre cet argent du contribuable européen dans leurs poches. Ces détenus se retrouvent également chez les nombreux Tutsis membres du FPR soit à la maison, dans leurs champs, etc. De plus en plus les Hutus deviennent la propriété privée du système Nazi répressive rwandais.
D'où la nécessité Kagame et du FPR de transformer le Régime en un système de terreur massif. Les camps de concentration prennent forme dans les Ingando, un apartheid prend également forme. Les Hutus paupérisés s' habituent à marcher pieds nus. Et s'il faut aller en ville, ils sont obligés de louer les sandales (Kanda mbili) à l'entrée de la ville.
Les détenus sont rétribués avec un minimum de nourriture, suffisant pour ne pas mourir. Ces rations peuvent être revues à la hausse ou la baisse selon l'attitude du prisonnier.
En effet la ration est évaluée selon la quantité de travail fournie par rapport à la norme. La faim devient un moyen de briser les Hutus qui refusent de porter l'uniforme de génocidaire, et un puissant moyen de manipulation.
Suite aux mauvaises conditions dans les milieux carcérales, la violence, les accusations multiples des uns sous l'instigation des gardiens et des policiers et le mouchardage rompent les liens entre les détenus qui ne veulent pas mourir de faim et ceux qui campent sur leurs positions sur leur innocence. Finalement, tous retombent sous le coup du travail forcé. Avec le refus de l'État rwandais face aux familles des détenus désireuses de porter à manger à leurs parents, le gouvernent a trouver le moyen de les exploiter à fond. Ils ont une ration de plus en plus dépendante à leur force de travail.
Ceux qui ne remplissent pas les conditions requises dans les travaux forcés voient leur ration diminuée. Les truands dans les prisons peuvent racketter les autres détenus. Ceci augmente les tensions internes exacerbées par le des conditions intenables dans ces prisons.
Quoi d'étonnant si l'on voit dans les prisons de Lilima les prisonniers clamer avoir pris part au génocide ?
Quoi d'étonnant si des centaines de milliers d'autres Hutus sont recyclés dans ces prisons, entrant ou sortant selon la demande des Gacaca qui alimentent le marché du travail forcé?
Les gardiens disposent à leur gré de la force et de la nourriture. Toute révolte, toute revandication sont réprimés dans un bain de sang, et toute revendication semble donc vouée à l'échec. Certains sont arbitrairement sortis des prisons et ne reviennent plus puisque exécutés en dehors des prisons. D'autres sont sur place exécutés à la Kalachnikov par les policiers et les gardiens des prisons.
Quoique l'information leur est disponible, la passivité des opinions occidentales est de mise. Il faut briser ce mur du silence. Il faut absolument que le monde sache quelle vie les Hutus vivent à l'intérieur du Rwanda. Ils vivotent. Dans leur pamphlet de commercialisation du génocide rwandais, le FPR, ses supporteurs de l'étranger multiplient les manipulations perverses et la fabrication des mensonges destinés à marteler l'image des Hutus, stéréotyper les Hutus, dire qu'ils sont génocidaires, que les enfants Hutus sont porteurs d'idéologie génocidaire pour faciliter leur recyclage au profit du travail forcé ainsi institutionnalisé.
A l'étranger, le survivant Hutu exilé n'est pas à l’abri non plus. Il reste sous le coup des fausses accusations de participation au génocide par le régime Tutsi au Rwanda dans les pays occidentaux où la corruption frappe certains des décideurs en matière d'immigration et ou de demande d'asile.
Paul Kagame et son FPR enfoncent leurs clous et s'enfoncent dans le mensonge et dans la manipulation de l'information sur les événements douloureux de 1994. Des crânes sont alignés dans ce qu'ils appelleront des musés. Des crânes issues des têtes coupées ou séparés de leurs corps à la machette par le FPR. Ces crânes ne sont autres que ceux de nos parents, enfants, frères et sœurs et de nos concitoyens Hutus pendant que les Tutsis ont été enterrés avec les honneurs.
D'autres manipulations s'en suivront avec l'enterrement des Tutsis OFFICIELLEMENT, alors qu'il s'agit en fait des Hutus massacrés par le FPR DANS LES Différents endroits de la VILLE DE KIGALI COMME GISOZI. Est-ce possible que les courageux de ce monde nous aident à reconnaitre l'évidence c.à.d. qu'il s'agit du mensonge et pour y remédier, utiliser la DNA qui nous permettra de reconnaître les nôtres comme cela s'est fait en Bosnie ?
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Thursday, May 21, 2009
On her last visit to Rwanda, the visiting Executive Director of the United Nation’s Development Fund for Women (UNIFEM), Ines Alberdi, expressed an illusive satisfaction over women’s prominence and parity in the country’s governance.
Ms Ines Alberdi was treated to the usual RPF lie propagandas as it has always been over two decades. She was told that Rwanda is the first African country that has more women in the National Parliament, which is indeed an undisputable fact. But what they did not want to let her know was how Rwanda really got there.
As a Professor of Political Science at the Rwanda National University and an Economic Consultant for many African NGOs, I want to provide our special guest with the true picture of why we have many women in parliament unlike any other African country.
As it was published in an online newspaper All Africa News, which is one of the many RPF sponsored media for Kagame’s lie propagandas, the UNIFEM leader was told that Rwanda is on the right path to achieve women's parity in all government institutions. But this was not the whole truth. They knowingly forgot to let Ms Ines Alberdi know that it is neither by mercy nor by grace that Kagame has appointed more women in most government institutions in Rwanda.
It is widely known that Rwanda is still a nation in crisis. The RPF regime has therefore enabled special measures some of which happened to turn into a powerful political weapon to attract foreign investors while others have contributed to current sufferings of the Rwandan people.
The untold truth behind current women's prominence and parity in Rwanda's governance is that when the Tutsi led RPF rebels invaded Rwanda in October 1990, they were good at butchering innocent Hutu civilians in Byumba. Their stories have never been reported by any international media because of the USA and UK cover-up. The majority of people who were slaughtered were young people who were either in High Schools, Colleges, or Universities.
Indeed, in the process of liberating Rwanda’s RPF soldiers committed mass murder of innocent civilians not collaterally but deliberately. There is no shortage of witnesses, survivors, and documentations of RPA massacres before, during, and after massive killings of 1994 such as: Compendum of some RPF crimes, Rwanda: Alarming resurgence of killings, and Rwanda: Ending the silence to name just a few.
The RPF leader, Paul Kagame, ordered these killings in various parts of Northern Rwanda i.e. in Byumba, Ruhengeri and Gisenyi. In many cases, the majority of the victims were brilliant young people with a very promising future.
The RPF leadership continued to order selective killing of innocent Hutus believed to be reluctant to quickly embrace RPF ideology. This was mostly due to the fact that the RPF sinister plans were aimed at reversing the ethnic composition of the Rwandan population which has always been composed of Hutu majority and Tutsi and Twa minorities. God willing, such sinister plans fell short: the Rwandan ethnic composition is not expected to change any time soon.
When massive killings of 1994 took place, the majority of the victims i.e. Tutsis minority and moderate Hutus majority were males. This is another key factor that has contributed the current shortage of male elites in Rwanda.
It is important to recall that in July 1994, the RPF took power by force in Kigali. To attain this military coup, the RPF leadership sacrificed many Tutsis inside Rwanda by preventing its soldiers from intervening early on to stop the killings but also by dissuading the international community from dispatching a strong peace keeping force. When it was too late to intervene, RPF leadership with some help from western allies managed to convince the international community that the massive killings that were taking place in Rwanda sinch April 6, 1994 were not a spontaneous fratricide but a well planned genocide.
Surprisingly, even though acts of genocide character took place on both sides i.e. the RPF and the government sides, with regard to the Hutu-led government and military leadership of that time, on December 18, 2008, the International Criminal Tribunal for Rwanda (ICTR) acknowledged that there has been no prior planning nor conspiracy to kill innocent civilians, a judgment that raised a more profound question: if there was no conspiracy and no planning to kill ethnic civilians, can the tragedy that engulfed Rwanda properly be called a genocide at all? Or, was it closer to a case of civilians being caught up in war-time violence, like the Eastern Front in WWII, rather than the planned behind-the-lines killings in Nazi death camps? The ICTR judgment found the former.
In addition, one should always keep in mind that these killings started after the shooting down of Rwanda’s presidential aircraft on April 6, 1994, a terrorist act that killed the Rwandan President Juvenal Habyarimana and his Burundian counterpart, Cyprien Ntaryamira, including their respective delegations and the crew members.
Up to date, the UN did not bother investigating about the culprits of this terrorist act which is believed to have been ordered by Kagame and to have been carried out by a special RPF commando, as this has been revealed by several eye witnesses, including but not limited to, Abdul Ruzibiza, Aloys Ruyenzi, and Jean-Pierre Mugabe.
At that particular moment i.e. the night of April 6, 1994, that is when the RPF leadership sinister plans attained its paroxysm. RPF soldiers tirelessly killed as many Hutus as possible, with special instructions to mostly target educated males. It is widely known that after Kigali’s capture by the RPF soldiers on July 4, 1994, an even greater number of Hutu lost their lives within and outside Rwanda at their hands in what has now come to be absurdly rationalized as their reprisal killings.
Until late 1998, RPF soldiers and Local Defense Militia continued to selectively hunt down any young male Hutu who had the opportunity to go to school. Many other Hutu elites have been indefinitely thrown into jails with no legal assistance so that over time they can get rotten there. Those who escaped RPF atrocities are those who fled to the country DR in 1994.
Unfortunately, those who fled to DRC, their safety did not last for long because in 1996 the RPF soldiers proud of strong support from UK, USA, Uganda, and Burundi attacked and destroyed UN refugees camps in Eastern DRC and continued their mission to exterminate Hutu elites and young male Hutus who were viewed as the future of Rwanda.
With an unspeakable complicity of the international community, RPF soldiers continued to track, kill, or maim Rwandan refugees throughout the equatorial forest in DRC under the umbrella of hunting down Genocidaires.
The International Community continued to watch Hutu refugees being murdered without any sort of help. This grand shameful cover-up has continued until today. Those Hutu refugees who were lucky enough to escape to other countries where RPF soldiers couldn't reach them, they are up to date scrupulously put on black lists as genocidaires or simply as revisionists or negationists all of which are terminologies designed to deny Rwandan Hutu elites freedom and equal opportunities they deserve in Rwanda. Indeed, in Rwanda, since there is little political space for dissents, disagreeing with the RPF regime or making unpopular statements can easily be portrayed as genocide ideology, punishable by sentences of 10 to 25 years.
Ultimately, the current dictatorship in Rwanda is designed to allow Kagame's led war criminals to continue to oppress the Rwandan people. The Hutu elites in Diaspora has no rights to come home in dignity and serve Rwanda because Kagame and his supporters continue to spread lie propagandas that all opponent Hutus are either genocidaires, revisionists, negationists, or simply harbor genocidal ideology, and hence should be kept our of power as long as possible.
All of the above mentioned facts have plunged Rwanda into an unprecedented shortage of male elites in all domains of leadership. Sixty seven percent (67%) of all people who were killed since 1990 up to date were males. This is why the RPF regime has no option but to use females in order to fill up the gap left by innocent male elites’ victims of Kagame’s culture of death and divisionism among Rwandans in order to ascend to power and hold on it.
In conclusion, having more women in the parliament does not mean that Kagame has done something spectacular because he had no choice. He had to do so in order to rule the country without any reliable opposition. Many Rwandan male elites from all ethnic backgrounds have been killed in the 1990s. Many more are still languishing in secret prisons scattered throughout Rwanda. Those males’ elites who survived Kagame's unspeakable brutality are living in Diaspora. These are the main reasons for the current women's prominence and parity in Rwanda's governance.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Ms Ines Alberdi was treated to the usual RPF lie propagandas as it has always been over two decades. She was told that Rwanda is the first African country that has more women in the National Parliament, which is indeed an undisputable fact. But what they did not want to let her know was how Rwanda really got there.
As a Professor of Political Science at the Rwanda National University and an Economic Consultant for many African NGOs, I want to provide our special guest with the true picture of why we have many women in parliament unlike any other African country.
As it was published in an online newspaper All Africa News, which is one of the many RPF sponsored media for Kagame’s lie propagandas, the UNIFEM leader was told that Rwanda is on the right path to achieve women's parity in all government institutions. But this was not the whole truth. They knowingly forgot to let Ms Ines Alberdi know that it is neither by mercy nor by grace that Kagame has appointed more women in most government institutions in Rwanda.
It is widely known that Rwanda is still a nation in crisis. The RPF regime has therefore enabled special measures some of which happened to turn into a powerful political weapon to attract foreign investors while others have contributed to current sufferings of the Rwandan people.
The untold truth behind current women's prominence and parity in Rwanda's governance is that when the Tutsi led RPF rebels invaded Rwanda in October 1990, they were good at butchering innocent Hutu civilians in Byumba. Their stories have never been reported by any international media because of the USA and UK cover-up. The majority of people who were slaughtered were young people who were either in High Schools, Colleges, or Universities.
Indeed, in the process of liberating Rwanda’s RPF soldiers committed mass murder of innocent civilians not collaterally but deliberately. There is no shortage of witnesses, survivors, and documentations of RPA massacres before, during, and after massive killings of 1994 such as: Compendum of some RPF crimes, Rwanda: Alarming resurgence of killings, and Rwanda: Ending the silence to name just a few.
The RPF leader, Paul Kagame, ordered these killings in various parts of Northern Rwanda i.e. in Byumba, Ruhengeri and Gisenyi. In many cases, the majority of the victims were brilliant young people with a very promising future.
The RPF leadership continued to order selective killing of innocent Hutus believed to be reluctant to quickly embrace RPF ideology. This was mostly due to the fact that the RPF sinister plans were aimed at reversing the ethnic composition of the Rwandan population which has always been composed of Hutu majority and Tutsi and Twa minorities. God willing, such sinister plans fell short: the Rwandan ethnic composition is not expected to change any time soon.
When massive killings of 1994 took place, the majority of the victims i.e. Tutsis minority and moderate Hutus majority were males. This is another key factor that has contributed the current shortage of male elites in Rwanda.
It is important to recall that in July 1994, the RPF took power by force in Kigali. To attain this military coup, the RPF leadership sacrificed many Tutsis inside Rwanda by preventing its soldiers from intervening early on to stop the killings but also by dissuading the international community from dispatching a strong peace keeping force. When it was too late to intervene, RPF leadership with some help from western allies managed to convince the international community that the massive killings that were taking place in Rwanda sinch April 6, 1994 were not a spontaneous fratricide but a well planned genocide.
Surprisingly, even though acts of genocide character took place on both sides i.e. the RPF and the government sides, with regard to the Hutu-led government and military leadership of that time, on December 18, 2008, the International Criminal Tribunal for Rwanda (ICTR) acknowledged that there has been no prior planning nor conspiracy to kill innocent civilians, a judgment that raised a more profound question: if there was no conspiracy and no planning to kill ethnic civilians, can the tragedy that engulfed Rwanda properly be called a genocide at all? Or, was it closer to a case of civilians being caught up in war-time violence, like the Eastern Front in WWII, rather than the planned behind-the-lines killings in Nazi death camps? The ICTR judgment found the former.
In addition, one should always keep in mind that these killings started after the shooting down of Rwanda’s presidential aircraft on April 6, 1994, a terrorist act that killed the Rwandan President Juvenal Habyarimana and his Burundian counterpart, Cyprien Ntaryamira, including their respective delegations and the crew members.
Up to date, the UN did not bother investigating about the culprits of this terrorist act which is believed to have been ordered by Kagame and to have been carried out by a special RPF commando, as this has been revealed by several eye witnesses, including but not limited to, Abdul Ruzibiza, Aloys Ruyenzi, and Jean-Pierre Mugabe.
At that particular moment i.e. the night of April 6, 1994, that is when the RPF leadership sinister plans attained its paroxysm. RPF soldiers tirelessly killed as many Hutus as possible, with special instructions to mostly target educated males. It is widely known that after Kigali’s capture by the RPF soldiers on July 4, 1994, an even greater number of Hutu lost their lives within and outside Rwanda at their hands in what has now come to be absurdly rationalized as their reprisal killings.
Until late 1998, RPF soldiers and Local Defense Militia continued to selectively hunt down any young male Hutu who had the opportunity to go to school. Many other Hutu elites have been indefinitely thrown into jails with no legal assistance so that over time they can get rotten there. Those who escaped RPF atrocities are those who fled to the country DR in 1994.
Unfortunately, those who fled to DRC, their safety did not last for long because in 1996 the RPF soldiers proud of strong support from UK, USA, Uganda, and Burundi attacked and destroyed UN refugees camps in Eastern DRC and continued their mission to exterminate Hutu elites and young male Hutus who were viewed as the future of Rwanda.
With an unspeakable complicity of the international community, RPF soldiers continued to track, kill, or maim Rwandan refugees throughout the equatorial forest in DRC under the umbrella of hunting down Genocidaires.
The International Community continued to watch Hutu refugees being murdered without any sort of help. This grand shameful cover-up has continued until today. Those Hutu refugees who were lucky enough to escape to other countries where RPF soldiers couldn't reach them, they are up to date scrupulously put on black lists as genocidaires or simply as revisionists or negationists all of which are terminologies designed to deny Rwandan Hutu elites freedom and equal opportunities they deserve in Rwanda. Indeed, in Rwanda, since there is little political space for dissents, disagreeing with the RPF regime or making unpopular statements can easily be portrayed as genocide ideology, punishable by sentences of 10 to 25 years.
Ultimately, the current dictatorship in Rwanda is designed to allow Kagame's led war criminals to continue to oppress the Rwandan people. The Hutu elites in Diaspora has no rights to come home in dignity and serve Rwanda because Kagame and his supporters continue to spread lie propagandas that all opponent Hutus are either genocidaires, revisionists, negationists, or simply harbor genocidal ideology, and hence should be kept our of power as long as possible.
All of the above mentioned facts have plunged Rwanda into an unprecedented shortage of male elites in all domains of leadership. Sixty seven percent (67%) of all people who were killed since 1990 up to date were males. This is why the RPF regime has no option but to use females in order to fill up the gap left by innocent male elites’ victims of Kagame’s culture of death and divisionism among Rwandans in order to ascend to power and hold on it.
In conclusion, having more women in the parliament does not mean that Kagame has done something spectacular because he had no choice. He had to do so in order to rule the country without any reliable opposition. Many Rwandan male elites from all ethnic backgrounds have been killed in the 1990s. Many more are still languishing in secret prisons scattered throughout Rwanda. Those males’ elites who survived Kagame's unspeakable brutality are living in Diaspora. These are the main reasons for the current women's prominence and parity in Rwanda's governance.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
“CHER PERE, Muraho murakomeye?Nizere ko mumeze neza nkuko mpora mbibifuriza kandi mbibasabira ku Mana.Ubu nanjye ndaho ndakomeye n'amasomo arimo aragenda buretse ko hatabura utubazo mu buzima ariko nkoresha uko nshoboye ngo ndwane nabyo.
Nagize Imana mbona Lettre yanyu ifunguye mwandikiye Perezida Kagame nayisanze kuri iwacu1.com nubwo ntasomye iyambere ariko najyaga nyumva nkabura aho nayikura.
Nukuri ibyo mwanditse byose niko bimeze ahubwo wagira ngo muri mu Rwanda. Nkanjye nk'umuntu wiga kandi ndumva maze gukura kuko ntari umwana ibiba byose ndabibona ndetse nkagerageza gukora analyse yabyo.
Akarengane mu Rwanda karahari ku buryo bugaragara kandi utakabona niko abyirengagiza cyangwa afitemo izindi nyungu.Abo akaba ari ba bandi banga kugira icyo bavuga kugira ngo batiteranya aho kuvuga ukuri bakaguhakishwa. Njyewe rero sinshobora guhisha ukuri nkubona kandi ngira ngo nibyo mwantoje ibindi mbibigiraho.
Nkubu hano ku ishuri ndabibona ku buryo bugaragara ubu hari igihe duhagarikirwa kwiga ngo tujye mu manama ya FPR kandi nzi ko kujya mu ishyaka ari ubushake bwa buri muntu atari itegeko ariko nk'ubu twe tutaba twagiyeyo dufatwa nk'abafite ingengabitekerezo. .
Ibyo kandi biradukurikirana mu buzima bwacu buzaza kuko kugira ngo ubone akazi mu gihe kizaza nta kizere.
Ubu nubwo ndimo niga nta kizere mfite cyo kubona akazi mu minsi iri imbere kuko kugira ngo ubone akazi nibwo ugomba kuba muri FPR kandi kandi uzwi hari n'ikindi cyo kuba waraturutse hanze muri Ouganda babita abasajya niba nta mwene wanyu ufite mu buyobozi nta kizere uba ufite.Niyo mpamvu nkanjye ubu mba ndimo niga ntekereza n'uburyo bwo kwihangira imirimo nta gutegereza akazi.
Ubu nta ruvugiro uvuga ibintu bitajyanye nibyo bifuza bakagushinja ibyaha bitabaho,umutungo w'igihugu ugengwa n'agatsiko k'abantu bamwe birirwa bikwizaho ibintu mu gihe mu giturage ari catastrophique niyo mpamvu muzumva ngo I Kigali hirirwa hazamurwa imiturirwa nyamara iwacu aho duturuka ubkene buranuma. Ni ukuri ni byinshi mfite byo kubabwira ikibazo niko ntizeye ko mubona uko musoma message yanjye sinzi niba mwarahinduye adresse cg ari ukutabona umwanya kuko iyo maze iminsi nta makuru yanyu bimbabaza (…)”
Ainsi m'écrivait récemment un de mes anciens élèves du petit séminaire. L'extrait de son message traduit déjà les inquiétudes de l'actuel étudiant d'université au Rwanda. Dix années plutôt, je vois un petit garçon à l'air jovial, un peu naïf, je dirais et qui s'assayait tranquillement sur son pupitre de classe, puis qui n'aimait pas visiblement poser des questions, mais un garçon bien studieux.
Actuellement le petit garçon est devenu est un homme accompli, qui n'a plus envie de rester indifférent face à la situation qu'il observe au Rwanda. Bientôt notre universitaire va terminer ses études supérieures et il se prépare déjà à affronter la vie, selon les conditions qu'il partage avec ses semblables. Il se prépare à faire face à la situation créée par un état qui ne se soucie pas du bien-être de ses citoyens, tant les injustices sont criantes. Il prétend vouloir entreprendre de manière privée pour se créer un emploi, et il espère peut-être pouvoir un jour s'en sortir, même si toutes les circonstances concourent pour le décourager. La jeunesse rwandaise ressemble actuellement à cet homme qui se prépare à escalader une haute montagne, mais qui ne croit pas fermement dans ses capacités pour pouvoir atteindre les sommets. Évidemment ma réponse à mon ancien protégé sera clair: Va s'y mon fils. Tu vas y arriver. Tu n'es pas seul, nous allons t'encourager. Que les injustices que tu remarques aujourd'hui ne te fassent jamais obstacle. Lève -toi, élève-toi, marche. Tu es sur la meilleure voie, puisque tu prétends ne pas vouloir rester indifférent indéfiniment.
Se lever, s'élever…
Quand nous fêtons l'ascension, nous réfléchissons effectivement à nos capacités de pouvoir vaincre les forces de la nature, même si nous restons aussi en admiration des lois physiques de gravité. Toutefois nous avons même les capacités de surmonter l'attraction universelle et la pesanteur terrestre, afin de pouvoir voler de nos propres ailes.. Pouvoir dire un jour: “Je ne m'en vais pas, je vole!” N'est-il pas dit dans un psaume: “Le juste fleurira comme palmier; il grandira comme un cèdre du Liban. Ceux qui sont plantés dans la maison du Seigneur,…ils fleuriront”?
Il est certain que pour les dirigeants au Rwanda comme partout ailleurs où règnent les dictatures, les lois qui oppriment davantage les citoyens sont les plus privilégiées. Dans les discours, le mot d'ordre qui revient souvent est de faire entendre aux gens qu'il n' y a rien à faire, que leur oppression est comme une loi naturelle. Ils s'efforcent toujours à décourager les dirigés et les contraindre à se soumettre à la fatalité. Ils osent même affirmer que les moyens de coercition sont disponibles même en quantité insoupçonnée pour forcer tout le monde à accepter le statu quo.
Mais ils oublient que le peuple est bien capable de se lever quand il en a assez des forces d'oppression qui lui sont appliquées. L'homme est capable de se lever et braver les lois qui l'opprime. Il est capable de rendre meilleur le monde dans lequel il vit. Aucun parti, si d'origine divine soit-il, n'a de légitimité à opprimer les capacités des citoyens qui éprouvent l'envie d'améliorer les situations est les conditions de vie.
S'elever et partir…
L'histoire et la préhistoire nous ont appris que l'homme est capable de se lever, et trouver la force nécessaire pour pouvoir faire évoluer les choses. De l'homo sapiens qui pouvait fabriquer des ustensiles à partir de la pierre taillée, nous apprenons que personne n'a le droit de contraindre les autres à ne pas chercher tout les moyens d'améliorer les conditions vitales. Un enfant qui naît se caractérise dès son enfance par la volonté de se lever de terre et marcher. Il peut tâtonner et souvent tomber, mais fin des fins il finit par se tenir debout et faire un pas sûr.
La force de changement se cache au plus profond de nous, mais nous ne l'utilisons pas. Pourtent, nul n'est censé vouloir opprimer cette force. La liberté c'est pouvoir se déployer pour sortir des situations fâcheuses. Rester sous l'oppression n'est pas le propre des hommes. Quand ils ont assez de rester sur place, dans cette situation qui leur est imposée par d'autres hommes, c'est que les circonstances appellent au réveil pour recouvrer les libertés bafouées. L'homme libre est celui qui se décide à se lever et se débarrasser des forces qui l'oppriment.
Vivre élevé…
La situation d'oppression au Rwanda impose les gens à vivre rabaissés. Beaucoup de mesures sont prises pour empêcher les personnes de marcher tête haute. Les accusations gratuites et fréquentes, à partir des idéologies inventées, mènent tout toute personne de bonne volonté de se sentir toujours coupable de quelque chose! Seule une catégorie de gens sélectionnés sont censés connaître ce qui convient pour le peuple entier. L'abus du pouvoir est devenu monnaie courante, et la vie tranquille dans son pays n'est pas assurée pour les citoyens. Il règne partout la peur et l'angoisse. C'est comme si tout le monde s'attendait à l'effondrement d'un monde.
Pourtant, au dedans de nous se cachent les forces insoupçonnées de pouvoir vaincre les forces du mal qui nous assaillent de tous cotés. Le peuple rwandais pourra s'en sortir s'il le veut. Quand les gens expriment de partout leur inquiétude, c'est que le vent du changement souffre, et ce changement aura lieu, quoique fasse l'oppresseur. Nous devrons un jour opérer coûte que coûte les changements dans notre pays, puisque nous en sommes capables. Quand le peuple se lèvera comme un seul homme, nous aurons raison de l'oppression. Oui, nous le pouvons. Yes, we can.
Murengerantwali Théophile.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Nagize Imana mbona Lettre yanyu ifunguye mwandikiye Perezida Kagame nayisanze kuri iwacu1.com nubwo ntasomye iyambere ariko najyaga nyumva nkabura aho nayikura.
Nukuri ibyo mwanditse byose niko bimeze ahubwo wagira ngo muri mu Rwanda. Nkanjye nk'umuntu wiga kandi ndumva maze gukura kuko ntari umwana ibiba byose ndabibona ndetse nkagerageza gukora analyse yabyo.
Akarengane mu Rwanda karahari ku buryo bugaragara kandi utakabona niko abyirengagiza cyangwa afitemo izindi nyungu.Abo akaba ari ba bandi banga kugira icyo bavuga kugira ngo batiteranya aho kuvuga ukuri bakaguhakishwa. Njyewe rero sinshobora guhisha ukuri nkubona kandi ngira ngo nibyo mwantoje ibindi mbibigiraho.
Nkubu hano ku ishuri ndabibona ku buryo bugaragara ubu hari igihe duhagarikirwa kwiga ngo tujye mu manama ya FPR kandi nzi ko kujya mu ishyaka ari ubushake bwa buri muntu atari itegeko ariko nk'ubu twe tutaba twagiyeyo dufatwa nk'abafite ingengabitekerezo. .
Ibyo kandi biradukurikirana mu buzima bwacu buzaza kuko kugira ngo ubone akazi mu gihe kizaza nta kizere.
Ubu nubwo ndimo niga nta kizere mfite cyo kubona akazi mu minsi iri imbere kuko kugira ngo ubone akazi nibwo ugomba kuba muri FPR kandi kandi uzwi hari n'ikindi cyo kuba waraturutse hanze muri Ouganda babita abasajya niba nta mwene wanyu ufite mu buyobozi nta kizere uba ufite.Niyo mpamvu nkanjye ubu mba ndimo niga ntekereza n'uburyo bwo kwihangira imirimo nta gutegereza akazi.
Ubu nta ruvugiro uvuga ibintu bitajyanye nibyo bifuza bakagushinja ibyaha bitabaho,umutungo w'igihugu ugengwa n'agatsiko k'abantu bamwe birirwa bikwizaho ibintu mu gihe mu giturage ari catastrophique niyo mpamvu muzumva ngo I Kigali hirirwa hazamurwa imiturirwa nyamara iwacu aho duturuka ubkene buranuma. Ni ukuri ni byinshi mfite byo kubabwira ikibazo niko ntizeye ko mubona uko musoma message yanjye sinzi niba mwarahinduye adresse cg ari ukutabona umwanya kuko iyo maze iminsi nta makuru yanyu bimbabaza (…)”
Ainsi m'écrivait récemment un de mes anciens élèves du petit séminaire. L'extrait de son message traduit déjà les inquiétudes de l'actuel étudiant d'université au Rwanda. Dix années plutôt, je vois un petit garçon à l'air jovial, un peu naïf, je dirais et qui s'assayait tranquillement sur son pupitre de classe, puis qui n'aimait pas visiblement poser des questions, mais un garçon bien studieux.
Actuellement le petit garçon est devenu est un homme accompli, qui n'a plus envie de rester indifférent face à la situation qu'il observe au Rwanda. Bientôt notre universitaire va terminer ses études supérieures et il se prépare déjà à affronter la vie, selon les conditions qu'il partage avec ses semblables. Il se prépare à faire face à la situation créée par un état qui ne se soucie pas du bien-être de ses citoyens, tant les injustices sont criantes. Il prétend vouloir entreprendre de manière privée pour se créer un emploi, et il espère peut-être pouvoir un jour s'en sortir, même si toutes les circonstances concourent pour le décourager. La jeunesse rwandaise ressemble actuellement à cet homme qui se prépare à escalader une haute montagne, mais qui ne croit pas fermement dans ses capacités pour pouvoir atteindre les sommets. Évidemment ma réponse à mon ancien protégé sera clair: Va s'y mon fils. Tu vas y arriver. Tu n'es pas seul, nous allons t'encourager. Que les injustices que tu remarques aujourd'hui ne te fassent jamais obstacle. Lève -toi, élève-toi, marche. Tu es sur la meilleure voie, puisque tu prétends ne pas vouloir rester indifférent indéfiniment.
Se lever, s'élever…
Quand nous fêtons l'ascension, nous réfléchissons effectivement à nos capacités de pouvoir vaincre les forces de la nature, même si nous restons aussi en admiration des lois physiques de gravité. Toutefois nous avons même les capacités de surmonter l'attraction universelle et la pesanteur terrestre, afin de pouvoir voler de nos propres ailes.. Pouvoir dire un jour: “Je ne m'en vais pas, je vole!” N'est-il pas dit dans un psaume: “Le juste fleurira comme palmier; il grandira comme un cèdre du Liban. Ceux qui sont plantés dans la maison du Seigneur,…ils fleuriront”?
Il est certain que pour les dirigeants au Rwanda comme partout ailleurs où règnent les dictatures, les lois qui oppriment davantage les citoyens sont les plus privilégiées. Dans les discours, le mot d'ordre qui revient souvent est de faire entendre aux gens qu'il n' y a rien à faire, que leur oppression est comme une loi naturelle. Ils s'efforcent toujours à décourager les dirigés et les contraindre à se soumettre à la fatalité. Ils osent même affirmer que les moyens de coercition sont disponibles même en quantité insoupçonnée pour forcer tout le monde à accepter le statu quo.
Mais ils oublient que le peuple est bien capable de se lever quand il en a assez des forces d'oppression qui lui sont appliquées. L'homme est capable de se lever et braver les lois qui l'opprime. Il est capable de rendre meilleur le monde dans lequel il vit. Aucun parti, si d'origine divine soit-il, n'a de légitimité à opprimer les capacités des citoyens qui éprouvent l'envie d'améliorer les situations est les conditions de vie.
S'elever et partir…
L'histoire et la préhistoire nous ont appris que l'homme est capable de se lever, et trouver la force nécessaire pour pouvoir faire évoluer les choses. De l'homo sapiens qui pouvait fabriquer des ustensiles à partir de la pierre taillée, nous apprenons que personne n'a le droit de contraindre les autres à ne pas chercher tout les moyens d'améliorer les conditions vitales. Un enfant qui naît se caractérise dès son enfance par la volonté de se lever de terre et marcher. Il peut tâtonner et souvent tomber, mais fin des fins il finit par se tenir debout et faire un pas sûr.
La force de changement se cache au plus profond de nous, mais nous ne l'utilisons pas. Pourtent, nul n'est censé vouloir opprimer cette force. La liberté c'est pouvoir se déployer pour sortir des situations fâcheuses. Rester sous l'oppression n'est pas le propre des hommes. Quand ils ont assez de rester sur place, dans cette situation qui leur est imposée par d'autres hommes, c'est que les circonstances appellent au réveil pour recouvrer les libertés bafouées. L'homme libre est celui qui se décide à se lever et se débarrasser des forces qui l'oppriment.
Vivre élevé…
La situation d'oppression au Rwanda impose les gens à vivre rabaissés. Beaucoup de mesures sont prises pour empêcher les personnes de marcher tête haute. Les accusations gratuites et fréquentes, à partir des idéologies inventées, mènent tout toute personne de bonne volonté de se sentir toujours coupable de quelque chose! Seule une catégorie de gens sélectionnés sont censés connaître ce qui convient pour le peuple entier. L'abus du pouvoir est devenu monnaie courante, et la vie tranquille dans son pays n'est pas assurée pour les citoyens. Il règne partout la peur et l'angoisse. C'est comme si tout le monde s'attendait à l'effondrement d'un monde.
Pourtant, au dedans de nous se cachent les forces insoupçonnées de pouvoir vaincre les forces du mal qui nous assaillent de tous cotés. Le peuple rwandais pourra s'en sortir s'il le veut. Quand les gens expriment de partout leur inquiétude, c'est que le vent du changement souffre, et ce changement aura lieu, quoique fasse l'oppresseur. Nous devrons un jour opérer coûte que coûte les changements dans notre pays, puisque nous en sommes capables. Quand le peuple se lèvera comme un seul homme, nous aurons raison de l'oppression. Oui, nous le pouvons. Yes, we can.
Murengerantwali Théophile.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Wednesday, May 20, 2009
Judgments in the Military-I trial completely rejected the Prosecution theory of long-term planning and conspiracy to commit genocide by members of the former Rwandan military leadership.
All four defendants were found “not guilty” of all counts charging conspiracy to commit genocide, based on the Chambers ruling that their actions prior to April 6, 1994 were based on war-time conditions, not planning to kill civilians or to carry out a genocide against Tutsi Rwandans.
I have bolded, italicized, and underlined that which was found, and which has ripped Kagame from his comfy dictatorial throne in Rwanda and thrown him into the war torn Congo scrambling, where he is desperately trying to influence some positive coverage on his behalf as the cushy world he built around himself with pervasive propaganda slowly but progressively falls to dust and pieces on the ground.
Because if no one planned the genocide, or the people originally believed to have planned the genocide are found innocent of such a plan, then where does that leave Kagame? It leaves him in a pickle I would say,
This raises the more profound question: if there was no conspiracy and no planning to kill ethnic civilians, can the tragedy that engulfed Rwanda properly be called “a genocide” at all? Or, was it closer to a case of civilians being caught up in war-time violence, like the Eastern Front in WWII, rather than the planned behind-the-lines killings in Nazi death camps? The ICTR judgment found the former.
The Court specifically found that the actions of Rwandan military leaders, both before any after the April 6, 1994 assassination of Rwandan President Juvenal Habyarima, were consistent with war-time conditions and the massive chaos brought about by the four-year war of invasion from Uganda by Gen. Paul Kagame’s RPF army, which seized power in July 1994.
Although the Chamber did not specifically mention more recent events, it is worth noting that this is the same government that was named in a UN Security Council commissioned report on December 12, 2008 as having invaded the eastern Congo (with Uganda) in 1996 and again in 1998 and have occupied an area 15-times the size of Rwanda since that time. Similar UN Security Council reports in 2001, 2002 and 2003, make clear that Rwanda and Uganda’s economic rape of the eastern Congo, and the resulting 6 million-plus civilian deaths, have long been an “open secret.”
It’s no secret that in recent times Kagame was having trouble with some of his former supporters, such as Human Rights Watch’s Alison Des Forge, as she sought to hold him accountable for the atrocities he was committing in the Congo. Instead of just.stopping., Kagame BANNED Alison Des Forge from Rwanda. Yeah…he did.
Not just for crimes in the Congo, but Human Rights Watch was also demanding that the ICTR start prosecuting the RPF and their involvement in the Rwandan Genocide; an act so radical it took 14 years to accomplish.
So what would happen if the ICTR investigated the RPF and prosecuted them for their involvement in the Genocide? What would the world learn from this? If they saved everyone from Genocide, wouldn’t that mean that they would get minimal prosecution for the supposed “reprisal killings” they carried out? Or is there something more awaiting them?
Well simply put, if Kagame were to be investigated, indicted, and prosecuted, the world would learn that he initiated a major war crime and crime against humanity towards Rwanda; attacking a peaceful country and throwing it into a war. It would also be discovered that during that whole period, Kagame and the RPF committed massacre after massacre, and multiple crimes against humanity. The RPF shot down Rwanda’s President Habyarimana’s plane, an act believed to have sparked the carnage that occurred in 1994.
And remember this carnage was not planned since many were responding to war time conditions and defenses as was found by the ICTR. It would be discovered that Kagame and the RPF chased Rwandan citizens from their country and into the Congo. Kagame and the RPF continued their aggression thereby committing another crime against humanity by attacking the Congo, another peaceful country. It would be discovered that in the RPF’s attempts to exterminate the Refugees, about six million Congolese citizens were caught in the crossfire. (And this list is hardly exhaustive!). Street hutu children. Most of THEM joined the FDLR in Congo. They had no choice but FIGHTING TO SURVIVE .
Because it was found that genocide was not planned from inside Rwanda itself, Kagame and the RPF’s insistence that they are after “planners” of the Rwandan genocide by going into the Congo is problematic. In fact it allows Kagame and the RPF to continue committing massacres and killing millions of people with impunity.
IF these people did not plan a genocide, and the ICTR prosecutions say they did not, and there was a war initiated and carried out by the RPF against them going on, then what grounds does Kagame have to go after them? Either by removing them or by exterminating them?
True, RPF propaganda is pervasive, and major western media outlets support this propaganda. Which is why many people believe that the FDLR is composed of savage killers who terrorize Congolese citizens. But now, the world must question why these people who fled from a war they were defending themselves against, are now believed to be random and senseless killers for no reason.
It does not match. What would lead them to commit massacres against the Congolese people, if they were fleeing from an enemy that ousted them from their homes? They wouldn’t, unless they were blood thirsty murderers who commit murder just to see blood shed. And while Kagame and the RPF would like to you to believe that, it simply is not true.
Kagame can no longer comfortably hold his immunity. Nor can the RPF. It’s becoming increasingly clear that the RPF is responsible for the murders in the Congo, even with the help of western media that insists Kagame is a hero. People still know and see through the painted veils through which he is presented. Kagame’s major lackey, Laurent Nkunda started receiving unprecedented negative media attention, and compounded with everything else that was happening, he needed to be beheaded, figuratively speaking. So, he was arrested. Try as they might, Kagame will have a very difficult time distancing himself from Nkunda.
As his world crumbles, and as the world learns, and increasingly pressure involved parties to hold Kagame and the RPF accountable for their crimes in the Great Lakes Region of Africa, Kagame strikes a very shady deal with Kabila, to once again, oust the FDLR. These are people who are part of the same refugees that Kagame ousted when he invaded Rwanda and killed its president. They desire nothing more than to go back to their own formerly democratic country.
Does it strike anyone in “the international community” as odd that Kagame and the RPF, indicted by two countries, France and Spain, whose top aid was arrest per the said arrest warrants in Germany, is the peace keeping force in the Congo? How does, Rwanda’s 10+, 15+ years occupation in the Congo resulting in more than 8 million deaths, conveniently blamed on the FDLR who are part of refugees from Rwanda, qualify Rwanda to REMOVE that which they have not managed in 10 years? Does it make sense?
Put all the pieces together and you will see, that Kagame and the RPF, war criminals, genocide perpetrators are attempting to distract the world away from their bloodshed, while simultaneously continuing the same dirty, and criminal bloodshed.
This has got to stop!
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
All four defendants were found “not guilty” of all counts charging conspiracy to commit genocide, based on the Chambers ruling that their actions prior to April 6, 1994 were based on war-time conditions, not planning to kill civilians or to carry out a genocide against Tutsi Rwandans.
I have bolded, italicized, and underlined that which was found, and which has ripped Kagame from his comfy dictatorial throne in Rwanda and thrown him into the war torn Congo scrambling, where he is desperately trying to influence some positive coverage on his behalf as the cushy world he built around himself with pervasive propaganda slowly but progressively falls to dust and pieces on the ground.
Because if no one planned the genocide, or the people originally believed to have planned the genocide are found innocent of such a plan, then where does that leave Kagame? It leaves him in a pickle I would say,
This raises the more profound question: if there was no conspiracy and no planning to kill ethnic civilians, can the tragedy that engulfed Rwanda properly be called “a genocide” at all? Or, was it closer to a case of civilians being caught up in war-time violence, like the Eastern Front in WWII, rather than the planned behind-the-lines killings in Nazi death camps? The ICTR judgment found the former.
The Court specifically found that the actions of Rwandan military leaders, both before any after the April 6, 1994 assassination of Rwandan President Juvenal Habyarima, were consistent with war-time conditions and the massive chaos brought about by the four-year war of invasion from Uganda by Gen. Paul Kagame’s RPF army, which seized power in July 1994.
Although the Chamber did not specifically mention more recent events, it is worth noting that this is the same government that was named in a UN Security Council commissioned report on December 12, 2008 as having invaded the eastern Congo (with Uganda) in 1996 and again in 1998 and have occupied an area 15-times the size of Rwanda since that time. Similar UN Security Council reports in 2001, 2002 and 2003, make clear that Rwanda and Uganda’s economic rape of the eastern Congo, and the resulting 6 million-plus civilian deaths, have long been an “open secret.”
It’s no secret that in recent times Kagame was having trouble with some of his former supporters, such as Human Rights Watch’s Alison Des Forge, as she sought to hold him accountable for the atrocities he was committing in the Congo. Instead of just.stopping., Kagame BANNED Alison Des Forge from Rwanda. Yeah…he did.
Not just for crimes in the Congo, but Human Rights Watch was also demanding that the ICTR start prosecuting the RPF and their involvement in the Rwandan Genocide; an act so radical it took 14 years to accomplish.
So what would happen if the ICTR investigated the RPF and prosecuted them for their involvement in the Genocide? What would the world learn from this? If they saved everyone from Genocide, wouldn’t that mean that they would get minimal prosecution for the supposed “reprisal killings” they carried out? Or is there something more awaiting them?
Well simply put, if Kagame were to be investigated, indicted, and prosecuted, the world would learn that he initiated a major war crime and crime against humanity towards Rwanda; attacking a peaceful country and throwing it into a war. It would also be discovered that during that whole period, Kagame and the RPF committed massacre after massacre, and multiple crimes against humanity. The RPF shot down Rwanda’s President Habyarimana’s plane, an act believed to have sparked the carnage that occurred in 1994.
And remember this carnage was not planned since many were responding to war time conditions and defenses as was found by the ICTR. It would be discovered that Kagame and the RPF chased Rwandan citizens from their country and into the Congo. Kagame and the RPF continued their aggression thereby committing another crime against humanity by attacking the Congo, another peaceful country. It would be discovered that in the RPF’s attempts to exterminate the Refugees, about six million Congolese citizens were caught in the crossfire. (And this list is hardly exhaustive!). Street hutu children. Most of THEM joined the FDLR in Congo. They had no choice but FIGHTING TO SURVIVE .
Because it was found that genocide was not planned from inside Rwanda itself, Kagame and the RPF’s insistence that they are after “planners” of the Rwandan genocide by going into the Congo is problematic. In fact it allows Kagame and the RPF to continue committing massacres and killing millions of people with impunity.
IF these people did not plan a genocide, and the ICTR prosecutions say they did not, and there was a war initiated and carried out by the RPF against them going on, then what grounds does Kagame have to go after them? Either by removing them or by exterminating them?
True, RPF propaganda is pervasive, and major western media outlets support this propaganda. Which is why many people believe that the FDLR is composed of savage killers who terrorize Congolese citizens. But now, the world must question why these people who fled from a war they were defending themselves against, are now believed to be random and senseless killers for no reason.
It does not match. What would lead them to commit massacres against the Congolese people, if they were fleeing from an enemy that ousted them from their homes? They wouldn’t, unless they were blood thirsty murderers who commit murder just to see blood shed. And while Kagame and the RPF would like to you to believe that, it simply is not true.
Kagame can no longer comfortably hold his immunity. Nor can the RPF. It’s becoming increasingly clear that the RPF is responsible for the murders in the Congo, even with the help of western media that insists Kagame is a hero. People still know and see through the painted veils through which he is presented. Kagame’s major lackey, Laurent Nkunda started receiving unprecedented negative media attention, and compounded with everything else that was happening, he needed to be beheaded, figuratively speaking. So, he was arrested. Try as they might, Kagame will have a very difficult time distancing himself from Nkunda.
As his world crumbles, and as the world learns, and increasingly pressure involved parties to hold Kagame and the RPF accountable for their crimes in the Great Lakes Region of Africa, Kagame strikes a very shady deal with Kabila, to once again, oust the FDLR. These are people who are part of the same refugees that Kagame ousted when he invaded Rwanda and killed its president. They desire nothing more than to go back to their own formerly democratic country.
Does it strike anyone in “the international community” as odd that Kagame and the RPF, indicted by two countries, France and Spain, whose top aid was arrest per the said arrest warrants in Germany, is the peace keeping force in the Congo? How does, Rwanda’s 10+, 15+ years occupation in the Congo resulting in more than 8 million deaths, conveniently blamed on the FDLR who are part of refugees from Rwanda, qualify Rwanda to REMOVE that which they have not managed in 10 years? Does it make sense?
Put all the pieces together and you will see, that Kagame and the RPF, war criminals, genocide perpetrators are attempting to distract the world away from their bloodshed, while simultaneously continuing the same dirty, and criminal bloodshed.
This has got to stop!
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
***
*.*President Obama's admonishment of those leaders "who cling to power through corruption and deceit and the silencing of dissent" during his inaugural address has been widely interpreted in Africa to mean that, unlike previous US administrations, the Obama administration will go after leaders who oppress their people, violate human rights and prevent the growth of genuine democracy *.*
Dibussi Tande
This is the reason behind the widespread belief that the "new Kennedy" whose entire campaign was based on the need for "change" will change things for the better.
What about Hope for Change for Rwandans in regardless to the American interests? We are not about Bushes or Clintons interests.
With all the foreign policy failures and blunders that undermine his creditability, due to many of fomer Clintons adminstration members, PRESIDENT OBAMA, the President's African heritage should take courage to show he's the ONE WHO DETERMINES THE US foreign policy instead of policy initiatives coming intiatives out of the US State Department.
Plz Sign the Petition/Signez la pétition SVP/Ndakwinginze Sinya iyo petisiyo.
http://www.petition.fm/petitions/survivorsnetworks/
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Dibussi Tande
This is the reason behind the widespread belief that the "new Kennedy" whose entire campaign was based on the need for "change" will change things for the better.
What about Hope for Change for Rwandans in regardless to the American interests? We are not about Bushes or Clintons interests.
With all the foreign policy failures and blunders that undermine his creditability, due to many of fomer Clintons adminstration members, PRESIDENT OBAMA, the President's African heritage should take courage to show he's the ONE WHO DETERMINES THE US foreign policy instead of policy initiatives coming intiatives out of the US State Department.
In the coming months, Obama will be expected to address Africa’s most pressing crises: Among the big issues comes at the first place Rwanda and the institutionalized impunity of Paul Kagame, RPF leadership and around 40 RPF military high ranking officers accused for war crimes, crimes against humanity and genocide;
President Obama's duty: Allow Paul Kagame's prosecution.
Sudan’s six-year conflict in Darfur continues unabated with U.N. forces being woefully understaffed and underfunded, despite former president Bush labelling it as “genocide”;
Somalia has now been without a central government for 18 years and has lost more than one million people to civil conflict and famine; and the Democrat Republic of Congo is struggling to end a five-year conflict with a death toll deemed the world’s highest since World War II.
**Somalia has now been without a central government for 18 years and has lost more than one million people to civil conflict and famine; and the Democrat Republic of Congo is struggling to end a five-year conflict with a death toll deemed the world’s highest since World War II.
Plz Sign the Petition/Signez la pétition SVP/Ndakwinginze Sinya iyo petisiyo.
http://www.petition.fm/petitions/survivorsnetworks/
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Sunday, May 17, 2009
"Les voleurs et les receleurs des matières premières stratégiques du Congo se cachent derrière la lutte contre les Interahamwe ou contre les discriminations visant les «Banyamulenge ».
D’où la protection des extrémistes tutsi dans les pays des receleurs. « J’ai découvert, écrit Charles Onana, que même dans un pays comme l’Allemagne, Laurent Nkunda et son mouvement ont bénéficié d’un soutien majeur. » (p. 154) Cette découverte n’est pas le fruit de l’imagination de Charles Onana.
D’où la protection des extrémistes tutsi dans les pays des receleurs. « J’ai découvert, écrit Charles Onana, que même dans un pays comme l’Allemagne, Laurent Nkunda et son mouvement ont bénéficié d’un soutien majeur. » (p. 154) Cette découverte n’est pas le fruit de l’imagination de Charles Onana.
« C’est à un ancien fonctionnaire allemand au Rwanda, Helmut Strizek, que j’ai demandé d’expliquer ce qu’il a vécu avec les soutiens des extrémistes Tutsi dans son pays », note Charles Onana. Et « voici son témoignage : « L’institut POLE a été créé et installé par des protestants européens pour les encourager à coopérer avec les envahisseurs rwandais. Les différentes églises protestantes allemandes –comme celles de la France- ont soutenu, dès le début le règne de Paul Kagame en 1994 au Rwanda.
L’institut POLE dispose d’un staff de 12 personnes africaines par Aloys Tegera. Ce qui est plus significatif c’est que le comité directeur composé de 21 personnes est piloté par trois ressortissants européens.» (p.154-155) Qui sont ces européens ? « Christiane Kayser, luxembourgeoise travaille dans la région des Grands Lacs comme représentante régionale du EED. Dominic Johnson, originaire de la Grande-Bretagne, est rédacteur pour le Rwanda et la RDC du petit quotidien allemand Tageszeitung (Berlin) proche du parti ‘Bündnis 90/Grünen’ et de l’aile gauche du parti social-démocrate. Ce quotidien est très lu par beaucoup de pasteurs protestants ‘gauchissants’ »
Pour dire les choses simplement, pour disposer du Congo comme simple réservoir des matières premières où les vies humaines sont insignifiantes, il faut gagner les têtes et les esprits en vendant des messages mensongers à l’opinion publique des pays dits de vielle démocratie et faire participer les habitants des pays des Grands Lacs à ce boulot de bas étage. Et cela doit être financé. Et « le Tageszeitung n’étant pas en mesure de s’offrir un rédacteur uniquement pour le Rwanda et le Congo, il fallait trouver un moyen de financer au moins partiellement les activités pro-Kagame de Johnson.
La solution était apparemment l’institut POLE qui fut dès sa création une sorte de succursale rwandaise au Nord-Kivu. » (p. 155) Pour que ce travail porte du fruit, « Christiane Kayser et Dominic Johnson ont toujours relayé dans le monde germanophone le message du ‘danger FDLR et Interahamwe » pour la sécurité du Rwanda et même quand le Rwanda occupait par le biais du RCD une grande partie de l’Est du Congo de 1998-2002.
A partir de 2004 ils ont présenté les rebelles Laurent Nkunda et Jules Mutebusi comme défenseurs des tutsi qui seraient menacés dans les provinces du Kivu. Kayser et Johnson ont attribué presque la totalité des viols commis dans les deux Kivu aux FDLR jusqu’au moment des massacres de Kivanji (Kiwandja) effectués par la soldatesque de Nkunda le 6 novembre. » (p.155)
Donc, il n’y a pas que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et Israël qui soutiennent « les extrémistes tutsi ». Il y a aussi tous ces autres pays et leurs médias. Ils ont poussé leur cynisme si loin qu’ils ont réussi à prendre « les meilleurs d’entre les Congolais » dans leur piège."
Note : Le EED est le service de développement des églises protestantes en Allemagne
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
L’institut POLE dispose d’un staff de 12 personnes africaines par Aloys Tegera. Ce qui est plus significatif c’est que le comité directeur composé de 21 personnes est piloté par trois ressortissants européens.» (p.154-155) Qui sont ces européens ? « Christiane Kayser, luxembourgeoise travaille dans la région des Grands Lacs comme représentante régionale du EED. Dominic Johnson, originaire de la Grande-Bretagne, est rédacteur pour le Rwanda et la RDC du petit quotidien allemand Tageszeitung (Berlin) proche du parti ‘Bündnis 90/Grünen’ et de l’aile gauche du parti social-démocrate. Ce quotidien est très lu par beaucoup de pasteurs protestants ‘gauchissants’ »
Pour dire les choses simplement, pour disposer du Congo comme simple réservoir des matières premières où les vies humaines sont insignifiantes, il faut gagner les têtes et les esprits en vendant des messages mensongers à l’opinion publique des pays dits de vielle démocratie et faire participer les habitants des pays des Grands Lacs à ce boulot de bas étage. Et cela doit être financé. Et « le Tageszeitung n’étant pas en mesure de s’offrir un rédacteur uniquement pour le Rwanda et le Congo, il fallait trouver un moyen de financer au moins partiellement les activités pro-Kagame de Johnson.
La solution était apparemment l’institut POLE qui fut dès sa création une sorte de succursale rwandaise au Nord-Kivu. » (p. 155) Pour que ce travail porte du fruit, « Christiane Kayser et Dominic Johnson ont toujours relayé dans le monde germanophone le message du ‘danger FDLR et Interahamwe » pour la sécurité du Rwanda et même quand le Rwanda occupait par le biais du RCD une grande partie de l’Est du Congo de 1998-2002.
A partir de 2004 ils ont présenté les rebelles Laurent Nkunda et Jules Mutebusi comme défenseurs des tutsi qui seraient menacés dans les provinces du Kivu. Kayser et Johnson ont attribué presque la totalité des viols commis dans les deux Kivu aux FDLR jusqu’au moment des massacres de Kivanji (Kiwandja) effectués par la soldatesque de Nkunda le 6 novembre. » (p.155)
Donc, il n’y a pas que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et Israël qui soutiennent « les extrémistes tutsi ». Il y a aussi tous ces autres pays et leurs médias. Ils ont poussé leur cynisme si loin qu’ils ont réussi à prendre « les meilleurs d’entre les Congolais » dans leur piège."
Note : Le EED est le service de développement des églises protestantes en Allemagne
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Extrait d'un article de J.-P. Mbelu, paru dans LE POTENTIEL du 15 mai 2009
"Les voleurs et les receleurs des matières premières stratégiques du Congo se cachent derrière la lutte contre les Interahamwe ou contre les discriminations visant les «Banyamulenge ». D’où la protection des extrémistes tutsi dans les pays des receleurs. « J’ai découvert, écrit Charles Onana, que même dans un pays comme l’Allemagne, Laurent Nkunda et son mouvement ont bénéficié d’un soutien majeur. » (p. 154) Cette découverte n’est pas le fruit de l’imagination de Charles Onana. « C’est à un ancien fonctionnaire allemand au Rwanda, Helmut Strizek, que j’ai demandé d’expliquer ce qu’il a vécu avec les soutiens des extrémistes Tutsi dans son pays », note Charles Onana. Et « voici son témoignage : « L’institut POLE a été créé et installé par des protestants européens pour les encourager à coopérer avec les envahisseurs rwandais. Les différentes églises protestantes allemandes –comme celles de la France- ont soutenu, dès le début le règne de Paul Kagame en 1994 au Rwanda. L’institut POLE dispose d’un staff de 12 personnes africaines par Aloys Tegera. Ce qui est plus significatif c’est que le comité directeur composé de 21 personnes est piloté par trois ressortissants européens.» (p.154-155) Qui sont ces européens ? « Christiane Kayser, luxembourgeoise travaille dans la région des Grands Lacs comme représentante régionale du EED. Dominic Johnson, originaire de la Grande-Bretagne, est rédacteur pour le Rwanda et la RDC du petit quotidien allemand Tageszeitung (Berlin) proche du parti ‘Bündnis 90/Grünen’ et de l’aile gauche du parti social-démocrate. Ce quotidien est très lu par beaucoup de pasteurs protestants ‘gauchissants’ »
Pour dire les choses simplement, pour disposer du Congo comme simple réservoir des matières premières où les vies humaines sont insignifiantes, il faut gagner les têtes et les esprits en vendant des messages mensongers à l’opinion publique des pays dits de vielle démocratie et faire participer les habitants des pays des Grands Lacs à ce boulot de bas étage. Et cela doit être financé. Et « le Tageszeitung n’étant pas en mesure de s’offrir un rédacteur uniquement pour le Rwanda et le Congo, il fallait trouver un moyen de financer au moins partiellement les activités pro-Kagame de Johnson. La solution était apparemment l’institut POLE qui fut dès sa création une sorte de succursale rwandaise au Nord-Kivu. » (p. 155) Pour que ce travail porte du fruit, « Christiane Kayser et Dominic Johnson ont toujours relayé dans le monde germanophone le message du ‘danger FDLR et Interahamwe » pour la sécurité du Rwanda et même quand le Rwanda occupait par le biais du RCD une grande partie de l’Est du Congo de 1998-2002. A partir de 2004 ils ont présenté les rebelles Laurent Nkunda et Jules Mutebusi comme défenseurs des tutsi qui seraient menacés dans les provinces du Kivu. Kayser et Johnson ont attribué presque la totalité des viols commis dans les deux Kivu aux FDLR jusqu’au moment des massacres de Kivanji (Kiwandja) effectués par la soldatesque de Nkunda le 6 novembre. » (p.155)
Donc, il n’y a pas que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et Israël qui soutiennent « les extrémistes tutsi ». Il y a aussi tous ces autres pays et leurs médias. Ils ont poussé leur cynisme si loin qu’ils ont réussi à prendre « les meilleurs d’entre les Congolais » dans leur piège."
Note : Le EED est le service de développement des églises protestantes en Allemagne
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
"Les voleurs et les receleurs des matières premières stratégiques du Congo se cachent derrière la lutte contre les Interahamwe ou contre les discriminations visant les «Banyamulenge ». D’où la protection des extrémistes tutsi dans les pays des receleurs. « J’ai découvert, écrit Charles Onana, que même dans un pays comme l’Allemagne, Laurent Nkunda et son mouvement ont bénéficié d’un soutien majeur. » (p. 154) Cette découverte n’est pas le fruit de l’imagination de Charles Onana. « C’est à un ancien fonctionnaire allemand au Rwanda, Helmut Strizek, que j’ai demandé d’expliquer ce qu’il a vécu avec les soutiens des extrémistes Tutsi dans son pays », note Charles Onana. Et « voici son témoignage : « L’institut POLE a été créé et installé par des protestants européens pour les encourager à coopérer avec les envahisseurs rwandais. Les différentes églises protestantes allemandes –comme celles de la France- ont soutenu, dès le début le règne de Paul Kagame en 1994 au Rwanda. L’institut POLE dispose d’un staff de 12 personnes africaines par Aloys Tegera. Ce qui est plus significatif c’est que le comité directeur composé de 21 personnes est piloté par trois ressortissants européens.» (p.154-155) Qui sont ces européens ? « Christiane Kayser, luxembourgeoise travaille dans la région des Grands Lacs comme représentante régionale du EED. Dominic Johnson, originaire de la Grande-Bretagne, est rédacteur pour le Rwanda et la RDC du petit quotidien allemand Tageszeitung (Berlin) proche du parti ‘Bündnis 90/Grünen’ et de l’aile gauche du parti social-démocrate. Ce quotidien est très lu par beaucoup de pasteurs protestants ‘gauchissants’ »
Pour dire les choses simplement, pour disposer du Congo comme simple réservoir des matières premières où les vies humaines sont insignifiantes, il faut gagner les têtes et les esprits en vendant des messages mensongers à l’opinion publique des pays dits de vielle démocratie et faire participer les habitants des pays des Grands Lacs à ce boulot de bas étage. Et cela doit être financé. Et « le Tageszeitung n’étant pas en mesure de s’offrir un rédacteur uniquement pour le Rwanda et le Congo, il fallait trouver un moyen de financer au moins partiellement les activités pro-Kagame de Johnson. La solution était apparemment l’institut POLE qui fut dès sa création une sorte de succursale rwandaise au Nord-Kivu. » (p. 155) Pour que ce travail porte du fruit, « Christiane Kayser et Dominic Johnson ont toujours relayé dans le monde germanophone le message du ‘danger FDLR et Interahamwe » pour la sécurité du Rwanda et même quand le Rwanda occupait par le biais du RCD une grande partie de l’Est du Congo de 1998-2002. A partir de 2004 ils ont présenté les rebelles Laurent Nkunda et Jules Mutebusi comme défenseurs des tutsi qui seraient menacés dans les provinces du Kivu. Kayser et Johnson ont attribué presque la totalité des viols commis dans les deux Kivu aux FDLR jusqu’au moment des massacres de Kivanji (Kiwandja) effectués par la soldatesque de Nkunda le 6 novembre. » (p.155)
Donc, il n’y a pas que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et Israël qui soutiennent « les extrémistes tutsi ». Il y a aussi tous ces autres pays et leurs médias. Ils ont poussé leur cynisme si loin qu’ils ont réussi à prendre « les meilleurs d’entre les Congolais » dans leur piège."
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I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
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Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)