Rwanda: Cartographie des crimes
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KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
http://www.dailymotion.com/video/x9et0i_ces-tueurs-tutsi-au-coeur-de-la-tra_news
Un si grand pays à la dimension de toute l’Europe Occidentale réunie, la RDCongo, subjugué et mis à genou par un tout petit lopin de terrain de la taille d’une aiguille.
Pire, avec ses trois millions d’habitants Tutsis, le Rwanda a pris le control du colosse africain qu’est le pays de Patrice Lumumba jusqu’à placer un de ses fils, Hyppolite Kanambe, comme chef de l’Etat congolais.
A la perception de cette réalité digne d’un roman de science fiction, une sueur glaciale avait traversé l’échine du Président français, Nicolas Sarkozy, qu’il ne pouvait s’empêcher de lâcher, au mépris de toute délicatesse diplomatique : ‘’les rwandais (tutsis) sont un peuple dynamique’’.
Le cas des Tutsis n’est pas isolé en soi. Les juifs et l’Etat d’Israël n’avaient-il pas émerveillé et attiré des sympathies à leur endroit avec les prodiges de soumettre l’ensemble du monde arabe ?
Le cas du Congo présente des spécificités singulières, car à la prise de pouvoir par les tutsis, ce pays avait déjà connu deux administrations depuis son indépendance le 30 juin 1960. C’est à peine imaginable qu’un régime aussi arrogant que celui de Mobutu soit balayé dans un laps de temps, après un long règne de 32 ans ! A quoi donc, mon Dieu, le régime Mobutu s’affairait-il tout au long de son terrible règne ?
L’homme, de par sa nature, est émerveillé par l’impensable, par l’inédit.
Le cas du Congo suscite un curieux mélange de sympathie, de révolte, de colère et de mépris. Comment ne pas mépriser un être, quand il s’efforce et se plait à s’enfoncer sciemment dans un gouffre tout en gardant naturellement bonne mine !!!
C’est là le vrai problème, car la déconfiture du Congo relève, comme qui dirait, de la pure magie.
Alors, comment ces Tutsis opèrent-ils ?
Une observation objective du mode fonctionnel de ce peuple fait ressortir une constance indéniable. Depuis les temps antiques, ce peuple a cultivé un sens profond de camouflage et d’organisation.
Les tutsis s’infiltrent malignement dans une société usant des astuces et le mensonge; ils ne s’y intègrent pas, et de prime abord se mettent à concocter des plans pour subjuguer leurs hôtes. Ils répugnent se mettre sous la direction des autres peuples, surtout ceux-là à la peau noire. En ce sens, les bantus sont leurs plus farouches ennemis et cibles. Les tutsis sont prêts à tout pour assoire leur suprématie sur les autres peuples ; pour ce faire ils sont très patients, méticuleux et fins organisateurs.
I) La judaïsation des Tutsis : Stratégie de conquête.
Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les tutsi du Rwanda, du Burundi et de l'Ouganda.
La réclamation d'une l'identité juive, les tutsi hébreux' (Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint etc.) fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïnciderait avec les causes et les engins des guerres qui bouleversent la région de Grands-Lacs africains. Au regard simpliste, cette idée renvoie à la méfiance.
I) Ces tueurs tutsis, un peuple étrange!
A l'observation minutieuse, elle suscite une série de questions fondamentales aux malheurs de l'Afrique centrale. A la lumière des révélations récentes du journal canadien 'National Post', sur les vrais déclencheurs du génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts pendant plus de deux ans par l'ONU, la conspiration internationale de Kagame dans la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Pour les présidents Rwandais, Burundais et Ougandais, tous les moyens sont bons pour conquérir le cœur de l'Afrique. Le processus de la judaïsation des tutsis par rapport aux guerres qui secouent la région des Grands-Lacs africains en est une.
Presque deux ans après le renversement de la dictature de Mobutu au Congo, quatre ans après l'assassinat de Melchior Ndadaye au Burundi, quatre ans après l'assassinat du président Juvénal HABYARIMANA, comme au hasard, "Jérusalem Post" dans son édition du 23 novembre 1998 déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps: " Nous lançons un appel à Israël et à la Communauté Internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israélite perpétrée par les non - israéliens à travers l'Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi- Hébreux Israéliens au Rwanda".
Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue l'Afrique centrale et en particulier le Congo.
Mardi 11 mai 1999, le journal canadien National Post publiait à la page 17, un grand article sur les Lemba, un autre peuple noir, qui allègue certifier après analyses que selon les gênes sanguins qui déterminent l'hérédité, les Lemba seraient des juifs noirs descendants de Aaron.
L'article cite David B. Goldstein, un juif, généticien à Oxford (Angleterre) :
'Le problème est qu'il y a eu des mixages avec les populations hôtes, ce qui a obscurci leur ascendance'. Cette façon de définir les termes 'mixage' et population hôte' a une connotation raciste. Car pour lui, certains ancêtres sont des vrais ancêtres et d'autres ne le sont pas.
II) Une conférence dans la confidentialité
Dimanche 10 octobre 1999, une réunion est annoncée à Bruxelles dans la plus grande discrétion: c'est la conférence de Havila. Le lieu aménagé pour la conférence est le prestigieux Centre de Séminaires de l'Hôtel «Mercure» situé en 'bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon belge'.
Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons que 'Havila' est le mot attribué à la région des Grands lacs par ce mouvement de la judaïsation des tutsis.
La conférence 'inaugurale des activités académiques de l'Institut de Havila' s'annonce par la judaïsation de tous les tutsi: 'Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila: l'Etoile de David, caractéristique des États modernes d'Israël et du Burundi; les Tambours de Salomon dont les
Souverains shebatiques de Havila sont les gardiens, autour des Sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil); un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix commandements de Moise) qui sont la marque de l'Alliance mosaïque et la figuration de la «mémoire perdue» des peuples hébraïques de Havila'
III) L'institut d’Havila
Un 'Institut des GRANDS-LACS' existe depuis un certain temps et regroupe dans la plus grande discrétion les grands intellectuels tutsis à travers le monde. Dans les milieux tutsis, il s'appelle 'Institut de Havila' et 'rassemble pas moins de sept centres de Recherche, d'Intervention et de Rayonnement, implantés sur presque tous les continents'.
Ces centres ont l'objectif commun de restituer et de faire revivre la «mémoire perdue» des douze codes hébraïques qui ont caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) et gardiens des Mines du Roi Salomon'.
Chacun de sept centres de l'institut de Havila a sa mission. Selon l'importance de sept centres de l'institut de Havila, mentionnons:1) Le Centre «GEDEON»: 'observatoire de la situation sécuritaire et stratégique des peuples shébatiques de Havila. Il fait régulièrement rapport à l'Institut afin que les membres de Havila s'habituent à avoir les pieds sur terre et d'avoir l'œil rivé sur les contradictions de l'histoire présente, faites de crises transitionnelles, d'affrontements armés.2) «Le Centre «ROI SALOMON», s'occupe de l'Analyse économique et financière dans Havila. 'Comme par hasard, devons-nous rappeler des expressions véhiculées par les promoteurs de cette conquête en Afrique centrale: "Mines du roi Salomon" (le Kivu), les 'Pipelines du Roi Salomon' (projet en cours avec le gouvernement Kabila pour offrir l'eau du Fleuve Congo à Israël).
En essence, comme pour le cas du nom "Mulenge" dans la guerre actuelle qui a commencé au Kivu, la mission que se donne 'le Centre Roi Salomon' de l'Institut Havila, soulève la curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en tant que peuple.
3) Centre «HAKIM» rassemble des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Écologie, chargés d'étudier les conditions Eco systémiques dans lesquelles ont émergé les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d'alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait dans le temps des peuples de centenaires, comme les caucasiens.
4) Le Centre «MULENGE» a la mission de maîtriser ce qu'on appelle les Nouvelles Technologies de Communication; il doit rassembler la documentation, les pièces d'archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l'Institut.
Le Centre d'«ISHMGO», qui appuie
5) Le Centre «TECHOUVHAH» s'occupe de la connexion mémorielle des peuples shébatiques du Nil Blanc : Havila (GRANDS-LACS) et du Nil Bleu : Guihon (Éthiopie, Somalie, Érythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria), etc.
6) Le Centre «SACEGA»: Souvenir de l'institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton "Intahe" rappelle "la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l'antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coulés dans des traditions multimillénaires, jusqu'ici épargnées de toute tentative de décodage systématique".
7) Le Centre «BILKIS-REINE DE SABA» qui avait organisé cette conférence, est chargé de l'Analyse et de l'Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila;Pour les tutsis, la prophétie a ses caractéristiques: pas le retour historique vers Israël 'mais le retour vers l' Israël prophétique que figure la «Techouvha», l'espérance de la réunification des "Tribus perdues d'Israël " qui est l'espérance mystique centrale du peuple d'Israël, dispersé aux quatre coins de la terre, depuis la destruction du premier Temple et la déportation a Babylone (-586) qui marque la dispersion dans les Nations'.
Les sources de GRANDS-LACS Confidentiel indiquent que les grands intellectuels tutsis ont célébré le 'troisième millénaire', par 'la réunification physique des tribus perdues de Havila, de Guihon et du Fouta Djalon' . Un 'gigantesque festival' était tenu pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2 novembre 1999) à AGULERI dans l'Igboland (au Nigeria). Période conforme à la fête juive de la sortie de l'esclavage d'Égypte.
IV) Les organisateurs
Retenons quelques noms: l'-African Hebrew Organisation’, la 'King Solomon Sephardic Federation (KSSF) ' et la diaspora juive rassemblée dans le 'Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY'
V) La Bible, les Mythes et les fausses prophéties.
Vendredi le 18 septembre 1998 dans un article 'L'or du Kivu, engin caché du conflit en RDC', Agence France Presse écrivait: 'Une légende vivace dans l'Est congolais situe les mines d'or du roi Salomon dans cette zone' (Kivu), territoire qui alors était et qui reste encore sous le contrôle jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de facto. Aujourd'hui comme alors, le pillage de l'or du Kivu battait son plein.
Une autre version veut que ceux qui appuient les tutsis dans la guerre de conquête au Congo expliquent l'invasion actuelle au Congo par la bible. A la conférence de Havila, quelques versets bibliques sont lus: le livre d'Exode 4, 17; 17, 5; 3,10; 3, 16-20 et 17, 5-7.
Selon eux, 'la guerre actuelle de conquête tutsie dans la région de Grands-lacs, 'HAVILA', et surtout au Congo est 'un fait prophétique, une volonté de Dieu d'Israël '. Et pour preuve disent-ils le livre biblique d'Esaie, chapitre 18, verset 1-2 est leur appui.
Ici on parle des 'peuples de grande tailles' (les tutsis) qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l'Éthiopie (le Congo). Cette région serait donc l'actuelle région des Grands-lacs africains ou simplement en termes tutsis- hébreux: 'la terre sacrée de Havila', 'la mémoire perdue de douze codes hébraïques des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.)'
VI) Un nom nouveau : l’Empire Hima-Tutsi
Ces tueurs tutsis, de véritables vampires qui se croient invincibles!
Hyppolite Kanambe et Laurent Nkunda James Babarebe qui, ensemble avec Kanambe,
avaient massacré des hutus et congolais en 1996-7 au Congo Ruberwa Bizima Nyarugabo Moseka Mushika Le tueur Bugeira sauvagement assassinée par ces vampires tutsis.
Selon un document confidentiel parvenue à GRANDS-LACS Confidentiel (Glac), les ambitions d'un empire Hima sont plus réelles que nos lecteurs ne peuvent s'imaginer. La région de Grands-lacs a une nouvelle appellation: 'HAVILA', 'la terre sacrée de Havila' ou 'la mémoire perdue de douze codes hébraïques des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.). Géographiquement, partant de cette dernière citation, la terre sacrée de Havila se dessine comme suit; - Rwanda: l'actuel Rwanda, pays de mille collines avec capitale Kigali, - Burundi: capitale Bujumbura, - Buha: du nom Baha ou Muha (au singulier); peuple de la Tanzanie occidentale.
Par extension, Buha désigne la Tanzanie. - Ankole: région de l'Ouganda occidental habité majoritairement par les Banyankole, tribu à laquelle le Président Museveni s'identifie par richement. - Buhavu: Région habitée par les Bahavu c'est-à-dire l'actuelle région du Kivu de la République démocratique du Congo.
Le nom du chef-lieu du Sud-Kivu, 'Bukavu' serait une déformation du mot Buhavu.L'Empire des 'tutsis-hebreux' , 'la terre sacrée de Havila' (la région des Grands-Lacs africains) englobera donc les pays suivants: Rwanda, Burundi, Buha (Tanzanie), Ankole (Uganda), Buhavu (Kivu, province orientale du Congo), etc.
VII) Les ténors de la conférence
Figure 3 : Ces tutsis rwandais qui tuent les bantus congolais.
Que le lecteur se démystifie de la légèreté de cet empire hima-tutsi. Pour fait, les maîtres à penser de cet empire sont des personnes hautement instruites qui ont tissé des relations avec certains groupes juifs et plusieurs partenaires occidentaux qui leur permettront de réaliser leur projet au prix des richesses abondantes dont regorgent ces États.A titre d'exemple, nos sources indiquent que depuis la prise de Kindu en RD Congo, en octobre 1999, Paul Kagame a exporté au Rwanda "950 tonnes de cassitérite traitée en laboratoires, 280 tonnes de colombo-tantalite (pillées à la SOMINKI), 11000 tonnes de mais, 4500 fûts d'huile de palme; de quoi se nourrir suffisamment, consolider les alliances et acheter des nouvelles armes pour massacrer les Congolais".
Parmi les grands ténors de l'Institut de Havila citons entre autre:
1. Jean BWEJERI: " Professeur, universitaire de haut vol, connu dans le monde de l'enseignement et de la recherche depuis une • quinzaine d'années. Formé à l'École de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les formes de la Pragmatique linguistique, de l'Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum de son temps et de ses compétences à la recherche post-universitaire orientée vers la trans-disciplinarité en sciences humaines, ratissant d'une traite les champs de la critique littéraire et textuelle, de la Nouvelle Linguistique, de l'Analyse du Discours, de l'Histoire ancienne et moderne, de l'Anthropologie africaine, de l'Analyse sociologique et politique, de l'épistémologie contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine.
2. Maître Matthias NIYONZIMA: " Avocat au Barreau de Bruxelles. Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye, ce brillant avocat enseigne actuellement à l'Université de Nantes. Il est spécialiste des questions relatives au Droit Africain Compare, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce International.
3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux : Coordonnateur du Centre GÉDÉON pour la Stratégie et la Défense dans Havila. " Ce jeune officier est spécialiste en Criminologie et en Études de stratégie militaire. Il a obtenu ses diplômes universitaires et militaires à l'École Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de mettre ses capacités d'analyse et d'engagement à la disposition de l'Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre et de faire comprendre au monde International ce qui se passe sur le terrain, en termes de stratégies géopolitiques et d'opérations militaires.
4. Monsieur Gaspard KIROMBO : Coordonnateur du
Bizima Kaharamuheto et Deogratias Bugera
Deux implacables tueurs tutsis : Plus de 10 millions des bantus congolais sur la conscience !
VIII) Les faits de la guerre
Le prestigieux journal tanzanien 'Daily Mail', dans son édition du 14 janvier 1999 sous le titre de 'George Bush, Museveni own shares in Congo mines' publiait un article dans lequel il pointait du doigt un ancien général de l'armée israélienne David Agmon comme l'un des hommes qui pillent les minerais congolais dans le territoire congolais occupé par le Rwanda.
Les sources fiables ont indiqué à GRANDS-LACS Confidentiel que les armes qui ruinent le Congo viennent de la Roumanie, des États-Unis et d' Israël. Elles sont envoyées au Rwanda et à l'Ouganda sous prétexte de coopération bilatérale militaire' avant d'être acheminées au Congo par le Rwanda ou l'Ouganda. Les mêmes sources indiquent que certains dignitaires du gouvernement israélien fournissent à Museveni et Kagame.
Panafrican News Agency (PANA) dans un article daté du 27 janvier 2000 venait encore renforcer ce qui était alors repris comme légende par AFP. Annonçant un projet consistant à drainer l'eau du fleuve Congo pour l'offrir gratuitement aux Israéliens, PANA révèle que le projet prendrait le même nom juif qui véhiculait les mythes des minerais au Kivu. Le projet de l'eau du fleuve Congo s'appellerai : 'les pipelines de Salomon'.
Ce projet ambitieux mettant ensemble certains congolais de la diaspora et des hommes d'affaires américains est une affaire qui ne convainc que les initiateurs.
A la lumière des origines de la guerre actuelle au Congo et les conséquences sur sa population, est-il inapproprié que quelques ministres du gouvernement en guerre, décident sans consulter la population, d'une question aussi capitale et importante que l'eau du fleuve Congo, question qui implique toute la vie d'une nation pendant plusieurs générations à venirEn toute bonne foi, le Congo n'a pas vraiment de spécialistes environnementaux.
Et hydrologues qui peuvent démontrer hors de tout doute que le projet 'Solomon Pipeline' n'aura pas d'impact sur le Congo dans les générations futures. Par contre, ceux qui en profiteront n'auront pas de peine à faire avaler aux Congolais qu'il n'y aura aucun danger ou impact environnemental. Dans les pays organisés, une question comme celle de 'Salomon Pipeline' aurait nécessite un referendum pour recueillir l'opinion populaire.
Au bureau de Westrac (la compagnie du projet 'Salomon Pipeline'), on se contente d'expliquer cela avec une extrême légèreté simplifiante: 'C'est !'eau qui va ramener la paix' au Congo (car Salomon signifierait paix).
C'est un projet qui va transformer le Congo, moins que ne l'ont fait ses fils et filles pendant 40 ans passés; avec la construction des 'églises, mosquées, hôpitaux, stationnements, parcs, logement, centres commerciaux et des écoles'.
IX) Connexions aux médias belges
Au lendemain de la conférence de Havila, les connections tutsies belges font diffuser par 'coïncidence historique' à la chaîne culturelle francophone «Club RTL» le célèbre long métrage d'Andrew COMPTON et Bennett MARTON consacré aux Batutsi de Havila, sous le titre évocateur : « Les Mines du Roi Salomon ».
Avec Havila 'tout n'est pas fini', ' quelque chose de nouveau commence', un réseau qui tisse des connivences avec les Américains, les Juifs, les Belges etc. pour disloquer le Congo et mieux dominer la région de Grands-lacs africains.
Le président Laurent Kabila avait tout compris quand il avertissait d'avance les Congolais que ‘la guerre va être longue et populaire'.
II. Où en sommes-nous depuis lors?
Non seulement les Tutsis ont conquis le Kivu mais tout le Congo, l’appétit vient en mangeant, dit-on. Face à la nullité des forces de résistance congolaise, plus en enclines à danser et à se trahir les unes et les autres, les conquérants tutsis, surpris eux-mêmes par cet état de fait, n’ont fait que cueillir le Congo comme un fruit mûr.
( http://www.dcuk-combattants.com/article.php?id_art=9 )
La conquête totale du Congo, était-ce un jeu du hasard ?
Les plans pour la conquête du Congo datent du temps de feu Maréchal Mobutu. Hormis le fait ‘’Binsengimana’’, le pouvoir mobutiste avait eu vent de la planification de ses protégés tutsis, mieux, il était pleinement informé, documents probants à l’appui.
En effet les services de Sécurité et de la Sûreté de l’Etat Zairois étaient bien en possession du dossier complet de cette planification tutsie, reprenant en détails toutes les étapes pour un total control du Congo-Zaire :
-Infiltration discrète, installation effective sur le territoire et dans les institutions étatiques et enfin l’assaut final pour une victoire rapide sur les bantus congolais.
Tous les moyens et pas de moindres, devaient être utilisés.
Un constat
Tueurs sans état d’âme, les tutsis ont sur leur conscience plus de dix millions d’âmes congolaises. Tout comme les congolais sont friands de la danse et des futilités, les tutsis se délectent à volonté du sang des congolais. Ils feront ainsi planer l’esprit de la mort partout où ils se retrouvent. Méticuleux, ils planifient leurs actions.
Aidés dans leur sale besogne par la soi-disante classe intellectuelle congolaise, ils semblent mener la danse selon leurs désirs ( http://www.congo-libre.com/ )
Extermination de la classe susceptible d’organiser quelque résistance
1. A la chute de Mobutu, James Kabarebe oblige Laurent Kabila à lancer ce qu’ils appelleront ‘rééducation et reformation des militaires mobutistes’’.
Ainsi donc, dans ce ‘but’ déclaré plus de six mille officiers et sous-officiers des Faz sont transférés à Kitona, ayant comme instructeurs des officiers rwandais.
En guise de réformation, ces malheureux fils du Congo sont éliminés, qui par poison, qui par maltraitance, qui par fusillade, sous les regards indifférents, si pas complice de l’opinion congolaise.
Les Bantu congolais: Peuple hagard et, sans souci du lendemain !
Quelle honte !
2. Au niveau des sommités intellectuelles Congolaises une vague de mort par empoisonnement déferle tous les milieux. C’est la période connue comme ‘’ère d’empoisonnement à la rwandaise’’. Ce phénomène que l’Adjudant Mbano qualifie de Nkefe est toujours en cours.
Etapes de la progression des tueurs tutsis
1. Massacres des hutus
Organisateurs méticuleux, ils montent une machine, l’Afdl, que Laurent Kabila qualifiera plus tard de conglomérat d’aventuriers.
Les troupes de l’Afdl, dotées d’équipement supérieures et sophistiqués, fortes du soutien des puissances extérieures poursuivent les hutus ayant survécu les massacres des camps des réfugiés à l’Est du Congo dans la retraite du pays Kongo, notamment dans la province de l’Equateur.
2. Les prouesses de l’homme connu comme le taximan de Tanzanie (a*)
C’est dans cette sale besogne que vont s’illustrer le commandant Hyppo, fils adoptif de Laurent Désiré Kabila et son parent James Kabarabe (Chef d’Etat major des Fardc de M. Laurent Kabila) qui bénéficient de la direction stratégique du maître penseur Paul Kagame.
Ces deux compères vont s’ingénier habilement à éliminer les fuyards hutus et faire disparaître toute trace de ce génocide sans précédent car bon nombre de congolais y passeront aussi. L’Onu parlait de plus de 200.000 Hutus disparus, sans même mentionner les congolais!
D’après les témoignages du Lt.Col. Dieudonné Tshibangu*, Hyppolite Kanambe Kabange, connu comme commandant Hyppo, était personnellement aux commandes de cette opération d’élimination des hutus. Chaque jour, dira-t-il, Kanambe dirigeait personnellement les opérations de nettoyage des Hutus. Lui et son oncle James Kabarabe en ont tellement tués et engloutis dans le fleuve Congo que les enquêteurs de l’Onu n’y ont vu que du feu et on s’en doute, l’enquête sur ces massacres ne pouvait que se solder par un échec.
Tous les coins et recoins de la province de l’Equateur ont été passés au peigne fin.
Les deux tueurs, profitant des privilèges de leurs positions, Hyppolite ‘’fils du Président’’ et Kabarebe ‘’Chef d’Etat Major par intérim’’, n’avaient pas de mal à se faire obéir sans broncher par les officiers et sous-officiers congolais. Sillonnant nuitamment les endroits supposés abriter les fuyards hutus, ils n’ont pas fait de quartier.
(a*)Note : L’homme qui trône aujourd’hui au sommet de l’Etat congolais est généralement connu comme Joseph Kabila. La toute première fois que le peuple congolais a connu ce monsieur, fut quand il fit son apparition dans la ville de Kinsangani en 1997 qui venait de tomber sous la coupe des conquérants AFdl. Connu en ce moment-là comme le Commandant Hyppo (lisez Hyppolite), c’est dans cette ville que son oncle Kabarebe le débaptisera de son vrai nom Hyppolite Kanambe Ntware et lui collera le nom d’emprunt ‘’Joseph Kabila’’.
Stratagème qui fait perdurer la malédiction du Congo, vu que certains congolais mal avertis croient dur comme le fer que ce monsieur est fils biologique de feu Laurent Désiré Kabila. Ces congolais devraient se poser la question suivante : Laurent Kabila tué, quelle attitude et comportement son soi-disant fils affiche-t-il en relation avec cette tragédie ? Tous les enfants biologiques de Laurent Kabila sont inquiétés dont certains en exil même en Angleterre. Aimée Kabila n’a [as eu cette chance !
Au tour de Laurent Désiré Kabila
L’opération ‘’Hutus’’ étant achevé, il fallait passer à l’étape suivante :
Laurent Désiré Kabila devait, à son tour disparaître. Il faut noter que l’extermination sur le sol congolais des réfugiés Hutus, avait renforcé la position de Kanambe qui s’était fait beaucoup d’amis et fidèles dans les rangs des corruptibles congolais.
*Le Lt.. Col. Tshibangu, ancien officier des Faz affecté à l’Etat Major, Direction G1. Il se mettra au service de l’Afdl de 1996 à 2001 et travaillera à la Demiap pour traquer les patriotes Anti Tutsis.
Il sera enfin affecté à Mbandaka en tant que chargé des renseignements militaires, 22me Brigade. Ayant naïvement servi le régime d’occupation, il se verra jeté à la poubelle par Kanambe qui attentera même à sa vie, ce qui forcera. M. Tshibangu à l’exil en Allemagne en 2001.
Comme son prédécesseur, le sinistre Mobutu, Kabila se montrait très méfiant vis-à-vis de ses frères de race et compatriotes. Ils les muselle un à un, et Tshisekedi est déporté dans son village pour y ‘’cultiver le maïs’’. Bêtement et inconsciemment il sciait la branche sur laquelle il pouvait assoire son pouvoir, autrement dit, LDK se privait des conseils et de la protection, combien vitale du peuple congolais, son propre peuple ! Le chemin vers sa tombe est désormais pavé ; il sera tué le 15 janvier 2001 vers 15h30’ de Kinshasa.
Kampala et Bruxelles annoncent la nouvelle au monde, pointant ainsi leur implication dans le forfait, alors que la jubilation était à son comble à Kigali,
Piteusement assassiné à cause de son inconscience et légèreté.
Kinshasa, l’an 2006.
Les élections truquées par la Communauté Internationale portent sans surprise, le tueur tutsi Hyppolite Kanambe à la tête du Congo.
Un traître de grande envergure émerge du lot de la pourrie classe politique congolaise, il s’agit d’Antoine Gizenga. Ce monsieur qui, tout au long de la lutte du peuple congolais a habilement joué au caméléon, décide de faire alliance avec les autres Kanambwacos. Il opte de jouer au pantin, jetant par ce geste de la poudre aux yeux d’une partie du peuple congolais qui croit dur comme le fer que le pouvoir aurait visité la province du Bandundu.
Il forme un gouvernement qui se voue au service de Kanambe et Kagame. Une autre taupe, pas de moindre car il s’agit Nzanga Mobutu rejoint la horde des traîtres-collabos dans le but de continuer l’œuvre amorcée par son père, le folklorique Joseph Désiré Mobutu.
Le control total du Congo par les tutsis rwandais
D’aucun se posent la question suivante : comment un petit pays de la taille du Rwanda avec ses 7 millions d’habitants peut-il aussi aisément subjuguer le grand Congo et mettre sous son control plus de 60.000.000 d’humains ? (Ref : Déclaration de M. Sarkozy, Président de la France)
Les Kanambwacos à l’oeuvre
Les institutions mises sur pied en cette année 2006 dont le gouvernement Gizenga, se définissent comme une version moderne de la fameuse ‘’Force Publique’’ des colonialistes belges, mais cette fois-ci, entièrement au service du Rwanda.
La classe des corrompus congolais se bouscule pour animer les nouvelles structures de la république du ‘’RwanCongo’’.
Traîtres à la nation, traîtres à leurs ancêtres, traîtres aux générations futures, ces Kanambwacos rivalisent à qui servirait mieux les intérêts de la nouvelle Métropole, Kigali, et du maître Hyppolite Kanambe qu’ils surnomment respectueusement ‘’le Rais’’. Ils savent tous que leur Rais est non seulement illettré, mais un tutsi rwandais au service de son pays. Tous savent que Hyppo reçoit ordres et instructions de Kagame. Ils savent que toutes les richesses du pays sont sous le control de Kigali.
Ils savent que Hyppo est en train de moderniser la terre de ses parents, le Rwanda, aux dépens de la RDCongo. Ils savent et sont convaincus que Hyppo ferait tout en son pouvoir pour servir son peuple Tutsi. Ils savent qu’après s’être servi d’eux, les rwandais les jetteront à la poubelle sans autre forme de procès. C’est la procédure !
Antoine Gizenga et son neveu Adolphe Muzito. Nzanga Mobutu, Tchomba Colette
Figures de proue de la ‘’Force Publique Kanambique’’ qui détruit le peuple congolais au bénéfice des tutsis rwandais
Politique du Gouvernement familial Gizenga alias Palu
Le Congo et son peuple n’ont jamais été aussi malmenés que par le gouvernement actuel, qui se veut la branche la plus active de la Force Publique Kanambique.
Les troupes rwandaises sont en pleine ville de Mbandaka et continuent leur avancée sur le reste du pays (Toute la partie Est du Congo est sous leur occupation). Et ils sont désormais visibles en pleine ville de Kinshasa. L’étau meurtrier est renforcé au jour le jour sur notre peuple.
Asphyxiées et sans assistance, nos populations sont programmées par le gouvernement en place à une mort à diverses facettes. On assiste désormais à des morts subites en pleines rues de Kinshasa.
La ville de Kinshasa, jadis fierté nationale, est transformée en pourriture puante, polluant l’air et générant des maladies infectieuses décimant nos frères et sœurs. Toutes les infrastructures (sanitaires, urbaines, hygiéniques, éducationnelles) sont détruites par la volonté des Kanambwacos du Palu &Co, bref tout ce qui devait constituer la préoccupation d’un quelconque gouvernement vis-à-vis du peuple.
Le programme d’extermination va son train comme Léopold II en son temps, la jeunesse congolaise est la cible privilégiée des exterminateurs Tutsis et leurs valets les Kanambwaco.
Ces derniers, en bons garçons de course, sans autre forme d’injonction de la Métropole Kigali, ont programmé la destruction systématique de cette jeunesse.
Les jeunes se droguent à Kinshasa sans aucune restriction et les autorités les y encouragent en facilitant la production de nouvelles formes des produits dopants tels les pastiches. La délinquance juvénile est institutionnalisée, la pédophilie et la prostitution juvénile vulgarisées.
Dans dix ans, le Congo perdra toute sa force active et le pays deviendra un vaste champ démuni que les tutsis viendront peupler sans se faire prier. Ainsi l’empire Hima-Tutsi, avec Kigali comme Capitale sera une réalité.
III. Avenir à court terme
La dynamique tutsie au Congo semble instoppable. Les trois pôles de l’action des tutsis tournent à plein régime.
1. A Kigali, la Métropole, Kagame règne en maître absolu, ayant muselé et réduit les Hutus de son pays au rang de sous-hommes. Il crée des infrastructures de développement qui n’ont rien à envier aux pays occidentaux.
2. A Kinshasa, second pôle de l’action tutsie, la bande Ruberwa-Kanambe-Bizima-Moise Nyarugabo maîtrise la situation et veille au bon fonctionnement de la machine à extermination du congolais, aux commandes de laquelle trônent les Kanambwacos du Palu. Ils s’en rendront peut-être compte, hélas trop tard, quand ces tueurs tutsis les éjecteront, les ayant pressés à plat comme qui ferait avec une orange ou un citron !
Une pilule amère dont le congolais est friand. Si le sinistre Mobutu a pu tenir 32 ans durant c’est parce qu’il a su manier mensonge, persécution et fausses promesses de bonheur.
Les Kanambwacos qui comptent dans leur rang des proéminents mobutistes, appliquent avec brio cette recette, domaine de leur haute maîtrise.
Depuis 2006 le pouvoir Kanambiste a parlé de 5 chantiers, maintenant il est question des échéances électorales de 2011. Le peuple congolais semble croire à tous ces mensonges leucorrhées. Qu’auront-ils changé en 2011 pour prétendre remettre le pouvoir au souverain primaire qu’ils ont dupé en 2006 ???
Les conditions de 2011 seront pires, comparées à celles de 2006 !!!! Le plan des tutsis marche à merveille !
Moseka Mushika, notre bien aimée sœur, victime des vampires tutsis. Et dire que c’est avec des vampires capables de tels actes que, certains bantus congolais s’apprêtent à affronter dans une autre mascarade dite ‘’Elections 2011’’
Les bantus congolais : lèche pieds de quiconque pourvoie !
Bateka dignité na mbua ! Tout comme L.D.Kabila pour d’invasion de 1996, ces tètes se prêtent au jeu de paravent et couverture efficaces à la colonisation du Congo par les tutsis. Tous les secteurs de la vie au Congo sont désormais contrôlés par les tutsis qui tirent les ficelles dans l’ombre !
Quel désastre, ces Kanambwacos !
Ainsi le temps passe, et ces tutsis renforcent leur présence militaire sur le territoire congolais et complètent la prise de control totale du Congo. Leur jeunesse atteint le majorité, leurs femmes sont de plus en plus fécondes et le tour est joué, car comme précisé plus haut l’extermination des bantus congolais va son train
3. Le troisième pôle, qui reste à parachever, se situe dans l’Est du Congo.
Après le travail (d’extermination et d’épuration ethnique) de Nkunda Batware, jugé excellent par le maître Kagame, il faudra désormais passer à la phase finale : celle du repeuplement du territoire dégarni.
La fibre ethnique est très forte chez les tutsis. Des contacts se font actuellement auprès de tous les tutsis vivant en diaspora, principalement dans les pays voisins du Rwanda : Tannzanie, Kenya et autres contrées lointaines telles le Zimbabwe.
L’effort est de ramener tous ces tutsis et les planter dans l’Est du Congo pour prétendre que les réfugiés congolais ayant fui la guerre de Nkunda, reviennent au bercail.
C’était cela le mobile derrière de la visite ‘’surprise’’ de James Kabare à Kinshasa où il confère avec son neveu Hyppolite Kanambe avant de déployer 18.000 hommes de troupes tutsis sur tout le territoire congolais et principalement dans les Masisi, Rutshuru et autres. Ces troupes y sont et sont destinées à y demeurer.
L’Empire Hima-Tutsi est bel et bien une réalité !
Militaires rwandais : Plus de 18.000 sont déployés sur le sol congolais sur ordre de Kanambe et James Kabarebe.
La contre partie congolaise
Depuis les temps de Mobutu, le congolais se définit dans le fond comme un peuple bantu, sédentaire, paresseux et peu soucieux de son avenir.
Les tutsis ou quelque autre aventurier qui se risquent au Congo se réfèrent à ce tableau quant aux valeurs morales du congolais et, souvent, ils ne sont pas contredits par les faits:
Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Zabanga : ‘’Le Président fondateur n’est pas un magicien !’’ Alors qu’il est le seul, lui, sa famille et ses amis, à gérer la destinée du Congo. ‘’Heureux le peuple qui chante et qui danse’’. ‘’Ba ndeko ebongi toyibaka moke moke’’. ‘’Chez nous, on marie toute la famille : belle-mère, belle-fille, leurs filles, cousines et petites-filles incluses.
Le régime Mobutu, les services politiques de sécurité en particulier, était passé maitre dans la manipulation des consciences. Il a sciemment détruit la conscience nationale du congolais et la cohésion entre les tribus, dénigrant malignement celles dont certains opposants provenaient. Injectant le venin de la haine tribale au sein de la population (tâche allouée aux agents des services politiques de sécurité qui disposaient d’une caisse noire où ils puisaient à volonté chaque vendredi pour sillonner les ngandas de la Capitale et autres lieux de réjouissances)
Pourquoi le régime de Mobutu s’était-il débarrassé des officiers hautement qualifiés et consciencieux, pour seule raison de provenir de certaines provinces du Zaire ?
D’autre part, la danse, la débauche et la dépravation des mœurs faisaient partie d’un programme bien appliqué de la IIme république. Ces inciviques dont la cervelle est à l’envers
Ces congolais sont-ils aveugles ? Ils vivent au pays et ils sont témoins de toutes les atrocités commises par les tutsis à l’endroit des bantus congolais. Ils continuent à chanter et à danser !
C’est cela la culture mobutiste qui a abreuvé le congolais pendant 32 ans. Elle a totalement dénaturé l’homme congolais. Parler ou se soucier de l’avenir du Congo était un péché mortel aux yeux du MPR. Il était même interdit de citer le nom du Président-fondateur au sein de la cellule familiale congolaise.
Toute entreprise sérieuse (selon les normes classiques) que le régime de Mobutu a essayé d’initier s’est toujours soldé par un échec. ‘’Eloko ya congolais ekendeke mosika te’’
La tête du pays étant pourrie, la nation toute entière en a subi les conséquences.
Ainsi donc le congolais est sorti handicapé de l’ère Mobutu, les anti-valeurs étant le phare conducteur de la pensée.
L’animation politique, mélange de danses, beuveries et culte insensé de personnalité à l’endroit quelque sot en possession de quelque parcelle de pouvoir, a été élevée en institution et a couvert tous les secteurs de la vie du peuple congolais tout au long du règne du mobutisme.
Figure 6 : que comprendre des 32 ans de pouvoir balayées en 7 mois !
Le folklorique Kuku de Banziville el père, tel fils : Nzanga Mobutu
IV. La flamme du combat pour la liberté ne s’est pas encore éteinte !
‘’Je me suis réservé un petit reste, celui-là qui n’a pas fléchi devant les dieux de baal’’, dit Yawhé des armées.
Simon Kimbangu s’est révolté, Patrice Lumumba et Etienne Tshisekedi se sont battus.
Résultat ? L’empire Hima-tutsi est bel et bien une réalité imminente.
2006, Kinshasa : La flamme patriotique est attisée suite au dévoilement de la nature des ennemis du Congolais, désormais évidente à tout œil.
La coalition des bourreaux séculaires du peuple congolais ont été obligés de se mettre à découvert : les tutsis, les médiamensonges, les multinationales, l’Onu, etc
Alors, les patriotes congolais, femmes et hommes, dans un geste symbolique et profond de sens, se débarrassent des lourdeurs des générations passées et, en plein centre-ville, se dénudent et manifestent en tenue d’Adam. Message reçu 5/5.
Quelques temps plus tard, à Londres l’esprit démoniaque qui a plané sur le pays depuis le temps de Léopold II et vulgarisé sous Mobutu, est cloué au pilori un certain 11 octobre 2006 avec la correction de She Okitundu.
Enfin et alors, le peuple pouvait se revêtir d’une nouvelle tenue, celle de combat.
Le 14 octobre de la même année (2006) sur Downing Street à Londres la communauté Internationale découvre un peuple totalement métamorphosé et prêt au combat.
Peut-on perdre la RDCongo?
Le Congo est actuellement à la croisée des chemins. A ce jour le peuple congolais a connu toute sorte de souffrances même au-delà de l’imaginable. Il est temps de se ressaisir et repenser l’itinéraire.
Les combattants de Londres ont brisé les barrières des chaînes qui entravaient la marche du peuple vers sa liberté.
Réunis dans la Diaspora Combattante-UK, ces patriotes ont brisé les mythes et changé les us avilissants acquis des générations du passé dont principalement ceux de l’ère Mobutu. ‘’Eloko ya Congolais ekendeke mosika te’’ est vidé de tout sens dans cet univers des combattants.
Ils ont donné la preuve de leur sérieux et de leur détermination. Ils ont de l’imagination, de la probité morale et surtout, sont imbus d’un patriotisme à déplacer les montagnes.
Leurs réalisations nous renseignent sur leur parcours:
-Unité, détermination et constance : à l’opposé de la toute dernière invention politique de certains Leaders congolais, la fameuse Union pour le Nation (UN), qui du reste n’a duré que l’espace d’un matin, la DC/UK tient allumé le flambeau de la lutte depuis 2006. Les patriotes qui l’animent sont plus unis que jamais.
Il serait honnête de conclure que ‘’Eloko ya congolais ekomi kowumela’’ et c’est inédit, hormis le cas Udps. Et ce kowumela, nous osons aussi croire doit impérativement déboucher sur la victoire contre les tueurs tutsis.
-Ce sont eux qui ont instauré le système connu comme ‘’Mbano’’.
-Ce sont eux qui ont installé l’embargo sur les visites des officiels du gouvernement d’occupation qui opprime le peuple congolais.
-Ce sont eux qui ont frappé d’interdit les aventures des prédicateurs religieux venant du Congo.
-Ce sont eux qui rappellent à l’ordre les musiciens congolais, destructeurs l’âme du peuple congolais.
Il est recommandable que, nous patriotes congolais, nous greffions à ce phénomène afin de marcher résolument sur nos ennemis et les bouter dehors.
A défaut de greffe, il importe de s’inspirer de l’action combien courageuse et originale de ces dignes fils et filles du Congo qui, à n’en pas douter, inaugure une ère nouvelle dans le chapitre de notre lutte pour la liberté.
C’est, à notre sens, un devoir patriotique de tout congolais de se lancer dans le combat pour la survie de notre race.
Comprenons ceci : Extermination signifie Extinction.
Réveillons-nous !
Figure 7 Les patriotes congolais réunis dans la DC/UK. Les fameux Combattants, irréductibles patriotes voués à la cause du Congo. ‘’Notre lutte, martèlent-ils, est juste et noble’’
Très fair play, ils reconnaissent leurs limites et en appellent à l’union de tous les patriotes désireux de s’occuper du Congo dans une optique de confrontation directe avec les tutsis. Insistance faite sur la constitution d’une force financière, la DC/UK continuent à demander aux congolais de contribuer financièrement à la lutte qu’elle mène ( Cliquez ici : http://www.congo-libre.com/nouvelles.php?article=25 )
La vaillante combattante Antoinette Bitota : Symbole du combat de tout le peuple Congolais.
Mama Bitota, ensemble avec les patriotes combattants qui avaient, en 2006 manifesté nus à Kinshasa interpellent ceux des congolais encore dans la torpeur et vautrés dans la naïveté.
V. Mot d’ordre
Comme en 2006, M. Etienne Tshisekedi avait donné ce mot d’ordre au peuple congolais: ne vous enrôlez pas. Nous avions fait la sourde oreille, mais ‘’motu ya mayele bakosaka ye mbala moko. Sikoyo ezali tour na biso ba nkolo mboka.
Tolobi boye :
Un idiot peut être trompé mille fois, mais un homme avisé ne le peut qu’une seule fois. Nous avions été trompés une fois en 2006, mais nous ne sommes pas des idiots.
Cette fois-ci, ne nous laissons pas berner par des promesses des » élections libres, démocratiques et transparentes».
Sous la colonisation rwandaise, jamais les élections ne seront libres, démocratiques ni transparentes. Ne soyons plus naïfs !
Alors, ne nous enrôlons pas pour 2011 ou quelconque subterfuge électoral.
C’est cela le mot d’ordre de la DC/UK et de tous les patriotes-combattants de par le monde.
Par contre préparons-nous au combat final et affûtons nos armes : tout ce que le Congo profond a en réserve comme les jeûnes et prières, les Kansonda, les Mbasu, les karawa, les pierres et surtout notre âme nationaliste, car c’est un devoir patriotique de bouter hors de nos frontières les tueurs tutsis Kanambe, Ruberwa, Bizima, Nyarugabo et leur horde des vampires.
La DC/UK et tous les patriotes congolais de par le monde demandent au peuple congolais de remplir ce devoir patriotique : Se préparer, s‘organiser et combattre !
Tout compatriote devrait suivre l’exemple de la combattante Antoinette Bitota. Préparez-vous à la guerre contre les colonisateurs barbares Tutsis que nous devons bouter dehors.
Visitez l’univers des combattants en cliquant ici : http://www.congo-libre.com/ et http://www.dcuk-combattants.com/ ; http://www.lagdc.com/
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Une mission d'évaluation, composée de trois officiers et d'une fonctionnaire de la MONUC, a été envoyée dans le Nord-Kivu (est) à la suite de la "persistance de rumeurs de mauvaise conduite" de Casques bleus, selon un communiqué de la Monuc.Le commandant de la force de l'ONU en RDC, le général sénégalais Babarar Gaye, "s'est dit particulièrement préoccupé" par la "possibilité de l'existence" de cas d'exploitation et d'abus sexuel commis par "des soldats stationnés dans des endroits reculés", ajoute le communiqué. Selon une source onusienne, des témoignages "imprécis" auraient été recueillis dans le Nord-Kivu concernant des abus commis entre 2005 et 2008 et d'autres "plus récents".
"Il n'y a eu aucune plainte, mais nous prenons chaque cas au sérieux et dès qu'il y a allégation, nous lançons une investigation indépendante" , a indiqué le porte-parole militaire de la MONUC, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dietrich.
"Tout indice qui serait mis en lumière (...) fera l'objet d'une enquête formelle par la branche investigatrice de l'ONU qui opère en dehors de la chaîne de commandement de la Monuc", a assuré le général Gaye, cité dans le communiqué.
Depuis son déploiement en RDC en 2001, la MONUC a été éclaboussée par plusieurs scandales impliquant ses personnels, civils et militaires, dans des affaires d'abus sexuel ou des trafics de minerais. Près de 17.000 Casques bleus sont actuellement déployés en RDC, essentiellement dans l'est et le nord-est, théâtre d'affrontements fréquents entre groupes armés et de violences récurrentes contre les civils. La MONUC est la plus importante mission de maintien de la paix de l'ONU, avec un budget annuel de plus d'un milliard de dollars.
(afp/belga)
24/07/09 19h44
Destinataires:
- A Mr le HAUT COMMISSAIRE DE L’ONU POUR LES REFUGIES (UNHCR), 94, RUE DE MONTBRILLANT à GENEVE (SUISSE) - A S. E. M. Ban Ki-moon - Secrétaire Général de l’ONU United Nations New York, NY 10017 -A S. E. M. Barack Obama, Président des ETATS UNIS D’AMERIQUE - The White House - 1600 Pennsylvania Avenue NW -Washington, DC 20500 -A S. E. M. GORDON BROWN - Premier Ministre du ROYAUME UNI - 10 Downing Street - London SW1A 2AA
Leurs Excellences,
L’Association communautaire des populations de Masisi, Rutshuru et Walikale (Kivu, R.D. Congo) en Europe, nommée Bushenge-Occident, en collaboration avec le Mouvement sociopolitique MSS-Kivu, Mouvement Solidaire pour la Survie du Kivu, ont l’honneur et la grande tristesse de vous adresser une VIGOUREUSE OPPOSITION au récent Plan du HCR (UNHCR) visant l’introduction au Nord-Kivu, de 106.000 Citoyens Rwandais présentés comme Réfugiés congolais.
Il est de notoriété publique nationale et internationale que la plupart des personnes concernées sont des Rwandais refoulés de la Tanzanie et qui n’ont jamais été en République Démocratique du Congo. Tout aussi grave, leur nombre change selon les besoins de la cause. Ainsi, alors que fin 2007, on parlait de 40.000 Réfugiés, l’UNHCR a élevé le nombre à 106.000 sujets (52.000 en provenance du Rwanda, et 54.000 via l’Ouganda).
Le CNDP des criminels Laurent Nkunda et Bosco Ntaganda, appuyé par le Rwanda, quant à lui vient déjà de porter ce chiffre à 500.000 personnes, dont 100.000 depuis le Rwanda, 100.000 depuis l’Ouganda et 300.000 depuis la Tanzanie : cfr Interview de MUNYAPENDA, directeur politique de CNDP)1 .Ainsi le Rwanda et ses agents infiltrés au Congo font de l’UNHCR leur instrument d’occupation du Kivu. Et ce, depuis 1994 jusqu’à ce jour.
Dans une totale mauvaise foi et une complaisance envers le Rwanda et certains agitateurs extrémistes Tutsi, l’UNHCR et la Communauté Internationale présentent toujours les hautes régions du Kivu comme peu peuplées et donc utile pour servir du déversoir du trop plein de la population Rwandaise. Il y a lieu de retenir que les zones de Rutshuru, de Masisi et Est-Walikale, choisies par le UNHCR pour y déverser les Rwandais sont précisément aussi surpeuplées que les collines du Rwanda comme le démontrent ces chiffres :
- Masisi : 4734 km2 ; 729.057 habitants en 2007, soit 154 hab./km2. - Rutshuru : 5289 km2 ; 689.462 habitants en 2007 ; soit 130 hab/km2. - L’Est-Walikale avoisine déjà les 100 hab/km2 - Nyiragongo (Territoire) : 163 km2 ; 38.689 habitants en 2004 et 78.886 en 2007, soit une évolution de densité de 237 hab./km2 en 2004 à 484 hab/km2 en 4 ans. - Goma-ville : 75,7 km2 ; 249.862 en 2004, et 633.899 en 2007, soit une densité passant de 3.300 hab/km2 en 2004 à 8.374 hab/km2 en 4 ans2. -a province du Nord-Kivu est après le Bas-Congo, la plus petite province du Congo (59.483 km2), mais avec la plus forte densité : 6.062.700 habitants en 2007, soit 102 hab/km2, loin avant toutes les autres provinces du Congo.
Ceci est confirmé par les Experts qui déjà 35 ans plus tôt, lors du Colloque de Bukavu en 1974, avaient déjà mis nos pays en garde : « Sur les hautes terres de l’Est, les populations sont nombreuses… Le problème essentiel de cette région est d’ordre démographique et écologique à la fois : dans un contexte de peuplement déjà très dense, la croissance rapide des effectifs entraîne la saturation des bonnes terres et leur dégradation, et débouche sur une sous-nutrition aggravée.
Une étude prospective aboutit à de conclusions alarmantes pour l’horizon 2015 et fait souhaiter une émigration planifiée vers l’ouest… Un Article annonce la réalisation d’une carte de densité du Kivu d’altitude et commente l’évolution des zones (Territoires) de Rutshuru et de Masisi où, du fait de l’immigration, la population s’accroît le plus vite ».
Alors que cette situation est déjà difficile pour les Autochtones du Kivu, le Rwanda, s’emploie depuis plusieurs années, à les chasser de leurs villages et de leurs terres, déjà plus de 2.000.000 déplacés, errant sur les routes ou parqués dans des camps d’infortune, et remplacés progressivement par des sujets rwandais. Tout ceci avec la bénédiction de la Communauté Internationale et la complicité de l’actuel gouvernement de Kinshasa.
Comme si cela n’était pas suffisamment injuste et inhumain, voici que l’UNHCR veut y déverser 106.000 autres. L’UNHCR contribue ainsi à la concrétisation du plan rwandais d’invasion et d’annexion du Kivu et de la balkanisation de la RD Congo.
Depuis des années, nous avons crié, informé, dénoncé cette invasion continuelle. Nous avons attiré l’attention de la Communauté Internationale, des Instances de l’ONU et des grandes Puissances sur le caractère hautement criminel de cet acharnement rwandais sur le Kivu. En effet, Kigali possède depuis plusieurs années, UN PLAN D’EXTERMINATION DES AUTOCHTONES DU KIVU. Et, avec la complicité d’organismes comme l’UNHCR, il est occupé à pratiquer systématiquement cette EPURATION ETHNIQUE, c’est-à-dire UN VERITABLE GENOCIDE DES AUTOCHTONES DU KIVU, progressivement et inéluctablement voués à la disparition.
Comme au Rwanda en 1994, l’UNHCR et autres Instances de l’ONU, et les Puissances du Nord, assistent en bons complices à cette chasse à l’homme congolais. Face aux 800.000 victimes du génocide interethnique du Rwanda, le Congo compte déjà 6.000.000 victimes. Ceci accompagné de la tragédie des 7.000 à 8.000 viols de femmes et de fillettes par an, et l’enrôlement des milliers d’enfants-soldats. A cette hécatombe, voici que l’UNHCR va en ajouter une autre. Car, sachez-le, le Rwanda et ses Agents infiltrés dans les Institutions du Congo ne vont pas se reposer avant ‘d’avoir achevé le (sale) travail’ ! à savoir l’annexion du Kivu et l’éclatement de la RD Congo.
Mais cela comporte un risque majeur que l’UNHCR ne pourra pas contrôler : l’absence de garantie de sécurité pour ces Tutsi rwandais qu’on envoie aveuglement au Kivu. Car, outre la haine que cela suscite déjà, ils pourraient être les victimes des conséquences de la réaction d’autodéfense des Congolais.
De plus, le fait que certains autochtones congolais commencent à être tentés de considérer certains hutu rwandais comme un moindre mal, cela devrait interpeller tous les Congolais, la Communauté internationale et surtout le Gouvernement de Kigali quant à la l’avenir de la sécurité des tutsi rwandais qu’on envoie aveuglement au Kivu.
Epargnez-nous donc de ces provocations car nous sommes un peuple pacifique et accueillant. A ce titre, nous acceptons seulement le retour des anciens habitants du Kivu que nous allons reconnaître, identifier et accueillir, les bras ouverts. - Pour cela, il faudra qu’ils présentent des documents d’identité valables autres et antérieurs aux fameuses Cartes d’Electeurs, dont on sait qu’elles furent distribuées à des Citoyens rwandais en vue de gonfler le nombre d’électeurs de certains candidats aujourd’hui au pouvoir. - De même, il faudra un témoignage de l’administration et des chefs coutumiers du Kivu qui les reconnaîtront et connaissent leurs anciens lieux d’habitation. Le témoignage de certains acteurs politiques récents, tels des Rwando-congolais ayant accédé au pouvoir à la faveur des conquêtes militaires, à l’instar de certains membres du CNDP, ne devra pas entrer en ligne de compte. Ceux-là, en effet, ont les pieds au Congo, mais le cœur et la tête au Rwanda. - Tous les autres, y compris ceux qui viennent d’entrer au Kivu à la faveur de l’opération militaire conjointe rwando-congolaise “Umoja wetu”, devront être refusés et/ou refoulés chez eux au Rwanda.
C’est ici l’occasion de condamner vigoureusement les initiatives révoltantes du Président français Nicolas Sarkozy visant à accélérer l’annexion du Kivu et la balkanisation du Congo-Kinshasa. Avec lui, l’Américain Herman Cohen. Avec eux, Tony Blair, qui ancien chef du prestigieux Gouvernement de sa Gracieuse Majesté, s’est ridiculisé en se faisant nommer Conseiller du régime génocidaire et annexionniste de Kigali. Car tout ceci dévoile les véritables causes de la tragédie du Rwanda et maintenant du Congo-Kinshasa. Désormais toute opération “Gestion des Réfugiés rwandais”, devrait remplir au moins les trois conditions ci-après :
1.- Que l’initiative de l’accueil et du choix du lieu d’établissement vienne des Autorités congolaises qui le feront, après consultation avec le HCR ou la Croix Rouge, et moyennant la désignation d’une région non exposée aux crises rwandaises.
2.- Les régions choisies ne devront en aucun cas se situer en deçà de 300 km à vol d’oiseau par rapport à la frontière rwandaise. Soit, environ, à partir des rives du fleuve Lualaba/Congo, et toujours plus à l’ouest.
3.- Le Kivu doit être désormais exclu des zones de nouvelle installation des Réfugiés, vu les dangers et catastrophes démographiques et écologiques exposés plus haut,
4. –N’envoyer aucun arrivant dans la région d’où n’était parti aucun réfugié (cas du territoire de Walikale). Si ces marques de bonnes dispositions ne sont pas prises en considération, alors la preuve est faite une fois de plus, que le HCR, les autres Instances des Nations Unies et les Puissances du Nord, cherchent délibérément à poursuivre le Génocide perpétré par le pouvoir minoritaire de Kigali sur le paisible mais malheureux peuple congolais. Avec le bilan malheureux et partiel de 6.000.000 de morts !
Dans ce cas, le même Peuple congolais n’attendra pas indéfiniment que le Pouvoir faible ou complice de Kinshasa continue à l’exposer à ces massacres et humiliations. Il se prendra désormais en charge, et ce, sans exclusive sur les moyens et la méthode de défense. A cet effet, prenez au sérieux les quatre avertissements ci-après :
1.- Le Mémorandum des Femmes du Nord-Kivu (12 juin 2009) qui après avoir donné le bilan macabre de la récente agression rwandaise, et signalé que le phénomène FDLR est devenu un prétexte pour perpétuer les abus, exigent sans ambages :« Nous femmes de la Province du Nord Kivu, toutes tendances confondues, vous exigeons de reprendre vos responsabilité s et de procéder au rapatriement pacifique des réfugiés rwandais sans distinction dans leur pays d’origine. »
2.- L’Article du Journal belge la Libre Belgique du 23 juin 2009 « Vers une nouvelle débâcle dans les Kivu ? Une nouvelle fois, le Kivu (est du Congo) semble au bord du gouffre, alors que se profile une possible débâcle de l’armée congolaise et un retour à la situation de guerre antérieure (..) Les rapports d’organisations de défense des droits de l’homme se sont multipliés, ces dernières semaines, pour dénoncer l’accroissement des exactions commises par l’armée congolaise et les FDLR. Mais cela pourrait empirer encore.… De facto, on assiste donc à un développement des violences interethniques hutu-tutsi, partiellement sous uniforme congolais. »
3.- Lettre du 01 juin 2009, de 76 éminents Professeurs et défenseurs occidentaux des droits humains exigeant que le TPIR (Tribunal Pénal Interntional pour le Rwanda) arrête les criminels de guerre du FPR.
4.- Lettre ouverte du 06 mai 2009 de Madame Irène KHAN, Secrétaire générale de Amnesty Internationale, au Président Joseph Kabila pour qu’il cesse de cacher et de protéger le criminel Bosco Ntaganda.
Ces démarches montrent clairement qu’il n’y aura ni paix ni sécurité au Congo et dans la région tant qu’on continuera à protéger les Tueurs, ceux-là mêmes qui viennent d’être démasqués par le journaliste investigateur camerounais Charles ONANA dans son dernier livre : ‘Ces Tueurs Tutsi au cœur de la Tragédie congolaise’ (Duboiris, Paris, avril 2009).
Ainsi donc, nous réitérons notre rejet, notre ferme opposition à ce programme d’introduciton des sujets rwandais dans notre région d’où on a déjà préalablement chassé plus de 2.000.000 des nôtres. Pour une paix véritable au Kivu et dans la région des Grands Lacs, il n’y a pas d’alternative à la baisse de la tension interethnique au Rwanda. D’où la nécessité et la priorité absolue d’organiser UN DIALOGUE INTERRWANDAIS, seule voie juste et équitable d’aplanir le long conflit occasionné par l’assassinat des deux présidents du Rwanda et du Burundi.
Fait à Bruxelles, le 8 juillet 2009.
POUR LE MSS – KIVU, Michel MOTO MUHIMA - Secrétaire – Général & Porte Parole POUR LE BUSHENGE – OCCIDENT Franck MULISI-KAEMBE – Président - Cr50735@chello. be AfricaNews 05 juin 2009/Congoindependa nt.com, 07 juin 2009: Le mystère percé du CNDP new look ; Les confidences de Munyapenda, interview à AfricaNews Cf. Recensement de la province du Nord-Kivu en 2007 ; Goma, novembre 2007J.-Cl. Bruneau : Quinze ans de recherches géographiques en langue française au Zaïre, in Centre d’Etudes de géographie tropicale, LE ZAIRE ESPACE ECARTELE, 1993, p.166)
Transmis Copie pour information :
A Monsieur le Président en exercice du Conseil de Sécurité, à New York; A S. E. Monsieur José Manuel BARROSO, Président de la Commission de l’UNION EUROPEENNE, à Bruxelles, A S. E. Monsieur Friedrik Reinfeldt Premier Ministre de la Suède, Président en exercice de l’Union Européenne, à Stockholm A S. E. Monsieur Muammar el-Kadhafi, Guide suprême de la Révolution de La Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste, Président en exercice de l’Union Africaine, à Tripoli, A S. E. M Jean PING, Président de la Commission de l’Union Africaine à Addis Abeba, A S. E. Monsieur le Président NICOLAS SARKOZY, à Paris, A S. E. Monsieur le Président HU JINTAO, à BeijingA S. E. M. le Président de la RD Congo, Chef de l’Etat, à Kinshasa,
A S. E. Madame ANGELA MERKEL, Chancelière de l’Allemagne à Berlin, A S. E. Monsieur le Premier Ministre Vladimir POUTINE, à Moscou, A S. E. Monsieur Herman Van Rompuy, Premier Ministre de Belgique, à Bruxelles, A S. E. Monsieur STEPHEN HARPER, Premier Ministre du Canada à Ottawa, A S. E. Monsieur José Luis ZAPATERO Premier Ministre d’Espagne, à Madrid, A S. E. Monsieur TARO ASO, Premier Ministre du Japon, à Tokyo, A S. E. M. le Procureur Général de la COUR PENALE Internationale à La Haye, A Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, Cité du Vatican, à Rome, - A S. E. Monsieur ALAN DOSS, Chef de la MONUC, à Kinshasa, - A Monsieur le Responsable du HCR en RDC à Kinshasa; - Honorable Président du Sénat en RDC à Kinshasa - Honorable Président de l’Assemblée nationale en RDC à Kinshasa - S. E. M. le Premier Ministre Chef du Gouvernement congolais à Kinshasa - S. E. Madame la Secrétaire Exécutive de la CIRGL - S. E. Madame Hillary Clinton, Secrétaire d’Etat USA, à Washington. - S. E. Madame Patricia O’Brien, Under-Secretary - General, The Legal Counsel, Office of Legal Affairs, UN , New York - M. le Juge Charles Michael Dennis Byron, President, International Criminal Tribunal for Rwanda - Prosecutor Hassan Jallow, Office of the Prosecutor, International Criminal Tribunal for Rwanda - S. E. M. Johnnie Carson, Assistant Secretary of State for Africa - S. E. Madame Dr. Susan Rice, US Ambassador to the United Nations - S. E. M. Clint Williamson, US Ambassador-at- Large for War Crimes Issues - Senator Russell Feingold, Chairman of the Senate Subcommittee on African Affairs - Senator John F. Kerry, Chairman of the Senate Committee on Foreign Relations - Donald M. Payne, Chairman of the House Subcommittee on Africa and Global Health - Rt Hon David Miliband, UK Foreign Secretary, London - Rt Hon Lord Malloch-Brown, Minister for Africa, Asia and the UN, London. - RT Hon Douglas Alexander, Secretary of State for International Development - HE Sir John Sawers, UK Permanent Representative to the United Nations, London.
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The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Selon le Major M. J. du FPC-Lafontaine, qui a requis l’anonymat car recherché par la coalition Fardc-Monuc, « il n’y a plus des Fardc congolais au Nord-Kivu ».
Toute la Province du Nord-Kivu est déjà livrée aux ex-miliciens du CNDP, renforcés par des milliers des mercenaires rwandais, ougandais, et des instructeurs militaires noirs américains entrés massivement au Nord-Kivu lors de l’opération militaire Umoja Wetu.
Ce qu’on appelle aujourd’hui Fardc au Nord-Kivu c’est tout simplement le CNDP de Nkunda. (NDLR : Si cette déclaration est vraie pour les commandants de l’armée, elle n’est pas vraie pour les troupes car on trouve encore des soldats congolais d’origine dans certaines villes du Nord-Kivu).
Tous les Fardc congolais qu’on appelait loyalistes (Ndlr : entendez par là les commandants des loyalistes) auraient déjà tous été mutés sur ordre de Kinshasa à Kananga et à Kamina.
Au plus fort de la guerre contre le CNDP, le Major M.J. a rappelé que Kinshasa avait retiré du front du Nord-Kivu tous les commandants haut-gradés qui donnaient du fil à retordre au CNDP. Le Major a aussi accusé la MONUC d’avoir joué un grand rôle dans l’occupation du Nord-Kivu par le CNDP en abusant de son rôle de médiateur et de suivi des accords de Goma de janvier 2008 ! La Monuc aurait profité de son rôle de médiateur pour faire une forte pression aux résistants congolais pour qu’ils aillent au brassage mais en laissant le CNDP occupé le terrain libéré par les résistants congolais partis au brassage.
A part la Monuc, le Major M.J. accuse Kinshasa de n’accéder qu’aux doléances de Tutsi et cela depuis le dialogue intercongolais. Les groupes armés congolais ont toujours été floués dans toutes les négociations de paix au Nord-Kivu. Le dernier fait qui a fait déborder le vase, est la nomination, après les accords d’Ihussi, de commandants militaires du CNDP à la tête de l’armée partout au Nord-Kivu et en Ituri (cas du Major BONANE de la Ville de BUNIA).
Les Fardc issus des résistants congolais dont le Pareco-Aile Lafontaine, étaient non seulement impayés et mal équipés mais aussi n’avaient reçu aucun poste de commandement au sein de l’armée du Nord-Kivu. Il en est de même des résistants Mai-Mai de Nyaleke et de ceux qui sont à Kisangani qui ont tout simplement été écartés de la province du Nord-Kivu sous prétexte d’aller au brassage.
A plus de cet abandon qui frise un désarmement en douceur, les Fardc issus du CNDP sous la houlette des commandants Tutsi ont été coupables des violations des droits humains dans les territoires d’origine des résistants congolais ! La sommation de tous ces griefs et surtout l’arrogance des Fardc issus du CNDP qui crient victoire sur la résistance congolaise chaque fois qu’ils en ont l’occasion, est, selon le Major M.J., ce qui est à l’origine des désertions actuelles des camps de brassage ainsi que de brigades opérationnelles au Nord-Kivu vers le maquis.
Pour le Major M.J. la R.D.Congo est retourné à la case de départ. Le blocage au processus de paix au Nord-Kivu vient toujours, selon le Major M.J., d’une ethnie qui s’appelle Tutsi dont la seule ambition est l’occupation des terres du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Le Major M.J. reconnait cependant que la situation actuelle est à l’avantage du CNDP renforcé par des milliers des militaires rwandais, ougandais, et noirs américains qui contrôlent la totalité de la Province qu’ils avaient revendiquée à Ihussi, à savoir, une province qui comprendrait les territoires de Rutshuru et de Masisi. Avec l’abandon total du Nord-Kivu par Kinshasa et le concours de la complicité avérée de la Monuc, la ville de Goma ainsi que les trois territoires restants ( Beni, Lubero, Walikale) peuvent tomber comme des fruits mûrs à tout moment ! Pour empêcher que cela ne se produise, le FPC-Lafontaine ainsi que d’autres résistants Mai-Mai se réorganisent cette fois-ci pour combattre trois ennemis, à savoir : le CNDP et ses mercenaires, le régime de Joseph Kabila, et la Monuc.
Le Major M.J. prend la déclaration du Gouverneur Julien Paluku à propos du FPC de Lafontaine comme un signe que le Gouverneur est déjà sous tutelle des rwandais, car dit-il, le Gouverneur Julien Paluku ne peut, en âme et conscience, déclaré « ennemi de la République » celui qui défend son territoire d’origine contre des tueurs et des bandits…
A la question de savoir si le FPC-Lafontaine a des moyens pour combattre les trois ennemis susmentionnés, le Major M.J. a répondu que ce ne sont pas les moyens qui combattent mais la détermination de lutter pour une cause juste. Selon le Major M.J., la lutte qui va commencer ne s’arrêtera pas au Nord-Kivu mais gagnera toute la République Démocratique du Congo qui a déjà tant souffert et pour rien. L’occupation par le CNDP d’une partie du territoire national c’est ce dont les congolais ont besoin pour se soulever contre le régime actuel de Kinshasa et pour accomplir le rêve de Mzee Laurent Désiré Kabila, à savoir, « ramener la guerre d’où elle est venue ».
D’après le Major M.J. la suspension du CNDP du comité de suivi des accords d’Ihussi telle que diffusée ce mardi 21 juillet 2009 par des radios périphériques est une préparation de l’annonce de la sécession des territoires convoités par les Tutsi et déjà occupés militairement par eux, des territoires où la Monuc (NDRL : le UNHCR) complice de l’occupation du Nord-Kivu attend introduire une colonie de peuplement de Tutsi dont le nombre annoncé et que personne ne peut vérifier s’élèverait à 500 000 colons Tutsi en provenance du Rwanda, du Burundi, de la Tanzanie et de l’Ouganda.
A l’heure qu’il est, il n’y a que la résistance congolaise dont le FPC-Lafontaine, le Pareco, les Mai-Mai de Vurondo, etc. qui lutte pour faire échec à ce plan d’occupation du Nord-Kivu par les Tutsi. Ceci expliquerait la chasse à l’homme dont Kakule Lafontaine ainsi que ses associés font l’objet.
A la question de savoir où sont passés les FDLR, le Major M.J. a répondu qu’il y a trois sortes des FDLR, à savoir les FDLR création de Paul Kagame qui sont une partie du CNDP, les FDLR résidus de l’ex-armée de Juvénal Habyarimana et accusés du génocide de 1994 au Rwanda, et les FDLR qui ont grandit au Congo où ils avaient pris refuge en 1994 et qui ne savent rien du Rwanda ni du génocide de 1994 car ils étaient trop jeunes. Ce sont ces derniers qui sont les alliés du FPC-Lafontaine
Selon le Major M.J. toutes les opérations militaires conjointes qui se succèdent au Nord et au Sud-Kivu n’ont fait que repousser les vrais FDLR dans les forêts, laissant intacte leur force militaire. Les Opérations militaires conjointes avaient comme premier but d’occuper le terrain abandonné par les militaires loyalistes de Kinshasa. D’après le Major M.J. ce geste de trahison de Joseph Kabila, lui a valu un rapprochement avec Kigali et Kampala. Les Fardc issus du CNDP occupent aujourd’hui ce territoire abandonné par l’armée congolaise. Pour y préparer l’arrivée des colons Tutsi, la branche « FDLR » du CNDP est celle qui est responsable des massacres des populations, des assassinats, des incendies des maisons, etc.
Les vrais FDLR qui sont dans les forêts à 3 jours de marche à pieds ne peuvent pas incendier des maisons à Kanyabayonga ou à Kirumba, des cités très militarisées par les Fardc issus du CNDP ! Une des raisons du retrait du FPC de Lafontaine des accords de paix de Goma c’est effectivement la découverte de ce grand mensonge contre les FDLR et surtout les attaques des éléments issus des mouvements de résistants congolais qui étaient déployés dans les mêmes cités aux côtés des Fardc issus du CNDP.
Le FPC de Lafontaine a voulu mettre fin au mensonge qui faisait porter la responsabilité des violations massives des droits humains commises par les Tutsi aux FDLR ou aux Fardc congolais, faisant apparaitre aux yeux du monde le génocide congolais comme une question congolo-congolaise, ce qui est inacceptable.
Le Major M.J. fait remarquer que certains rapports actuels de l’ONU sur la situation en R.D. Congo entretiennent cette confusion sur l’identité de ceux qui y commettent aujourd’hui des crimes contre l’humanité. Ainsi par exemple, tous les crimes contre l’humanité commis ces derniers temps par les Fardc issus du CNDP, sont attribués sans aucune nuance aux FDLR ou Fardc ou militaires congolais impayés, indisciplinés, pas bien formés, etc.
Au dernier conseil de securité de l’ONU, une demande a été faite pour renforcer la capacité de la MONUC en R.D.Congo afin de suppléer aux faiblesses des militaires congolais. D’après le Major M.J. toute aide internationale à la MONUC servirait à la matérialisation du plan d’occupation du Nord-Kivu, à la formation de l’armée des colons Tutsi, etc. La guerre finale contre les vrais FDLR et les résistants congolais qui continueront à s’opposer à ce plan d’occupation n’est pas non plus à exclure de l’agenda de la MONUC et des grandes puissances qui financent l’occupation du Nord-Kivu.
Le FPC-Lafontaine voudrait reveler ce mensonge entretenu sur l’identité de ceux qui commettent actuellement les crimes contre l’humanité contre les populations civiles innocentes. Les coupables des assassinats et des incendies des maisons sont les anciens miliciens du CNDP de Nkunda et non les militaires congolais loyalistes ni les FDLR qui sont à trois jours à pieds de villages victimes.
Le Major M.J. attire aussi l’attention des congolais sur la dernière réunion du CEPGL de Goma pour la réunification des services de securité des pays membres. Selon le Major M.J. cette réunion n’avait d’autre but que d’expliquer l’entrée au Congo des nouveaux contingents militaires rwandais ou burundais sous prétexte de patrouille commune aux frontières mais en réalité pour prêter main forte aux opérations d’installation des colons Tutsi !
A la question de savoir si le FPC de Lafontaine n’est pas pour la paix par la collaboration entre les pays de la CEPGL, le Major M.J a répondu que leur parti politique a toujours été pour la paix et la réconciliation nationales et avec les pays de la région des Grands Lacs. Mais l’expérience de 13 dernières années démontre que les Tutsi ne veulent pas de la réconciliation avec les FDLR ni avec les congolais, mais qu’ils cherchent tout simplement à se tailler un territoire avec l’aide de la Monuc et la complicité du régime de Joseph Kabila. C’est à cause de cette mauvaise foi dans les négociations de paix que notre parti a choisi le langage fort des armes.
Pour finir notre entretien, nous avons demandé au Major M.J. son message aux congolais qu’il veut défendre. Pour répondre à notre question, le Major M.J. a lancé un appel aux députés provinciaux et nationaux originaires de l’Est ainsi qu’aux gouverneurs des provinces concernées de cesser d’être hypocrites mais de prendre leur courage en mains pour tirer au clair l’occupation honteuse de l’Est de la R.D. Congo qui fait des congolais des aveugles qu’on peut mener par la bride et le mors là où l’on veut par des mensonges cousus du fil blanc.
Le Major M.J. demande que l’action des élus ainsi que du peuple congolais ne se limite plus à la dénonciation verbeuse ou la rédaction des memoranda qu’on envoie par la suite aux bourreaux ou ceux qui les soutiennent. La seule instance suprême qui vaille la peine d’être informée aujourd’hui c’est le peuple congolais dont la force sauvera la R.D. Congo.
Le Major M.J. invite tous les congolais à se joindre à l’action des résistants par des actions concrètes contre tous les ennemis de la paix en R.D. Congo, en commençant par le régime actuel de Kinshasa qui affaiblit intentionnellement les institutions de l’Etat pour donner l’avantage aux ennemis du peuple congolais.
Résumé de l’entretien d’Edgar Kahindo avec le Major M.J du FPC
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La responsabilité du FPR dans la planification du génocide Rwandais avec comme dernier épisode et mettre les points sur les « i » l’assassinat du Président Rwandais Habyarimana. Nous savons pertinemment bien que les responsabilités des Hutus ont été établies sur le mensonge avec comme priorité :
- de protéger le grand criminel, assassin du peuple rwandais : le FPR sous le commandement du Major Paul Kagamé aujourd’hui devenu Général (les survivants rwandais et le monde entier savent le pourquoi de sa promotion).
- d'écarter définitivement la majorité rwandaise de la gestion du pays parce que TOUS GENOCIDAIRES.
La grande tâche pour cette équipe sera de révéler absolument et surtout au monde entier le planificateur du génocide Rwandais et les crimes odieux du FPR pour la grande satisfaction des survivants de cet odieux crime qu’est le génocide.
A rappeler que le TPIR n’a pas pu trouver le planificateur de ce génocide parmi les Hutus (PARCE QUE PARTI SUR UNE FAUSSE PISTE) dont plusieurs sont accusés de massacres basés sur de fausses manœuvres du procureur du TPIR. Le temps qui reste au TPIR devrait permettre à celui-ci de réconcilier les Rwandais. Pour cela il faut absolument renvoyer l’actuel procureur du TPIR et le poursuivre pour gabegie, corruption et de crimes contre l’humanité.
La première question qui s'impose est celle de savoir si Paul Kagame acceptera d’être écroué SEUL. Quant aux vrais motifs de cette planification sont connus : La prise du pouvoir au Rwanda et l’exercer de façon absolu par les Tutsis extrémistes Rwandais.
Un triste constant s’impose : les révisionnistes de l’histoire du Rwanda derrière Paul Kagamé ont peur des conséquences de ce montage joliment organisé mais affreux quant au contenu et aux conséquences. C’est pourquoi ajourd'hui le groupe FPR se transforme en falsificateur des événements tragiques rwandais d’avant, pendant et après 1994 en utilisant les armes qui lui a été PAS toujours fidèles : LA CORRUPTION et LE MENSONGE.
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L’homme averti en vaut deux : Klotz ( klootz), un autre menteur
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Dans un Rebond intitulé «Ce que j’ai vu au Rwanda», publié dans le numéro du 14 avril de votre journal, Jean-Christophe Klotz, réalisateur, met gravement en cause mon travail d’enquêteur et prétend ainsi démolir les deux chapitres de mon livre le Monde selon K. («Bernard Kouchner s’intéresse tardivement au Rwanda» et «J’y étais, donc je sais») consacrés à l’action de Bernard Kouchner, qui cherche à renouer les relations diplomatiques de la France avec le Rwanda dirigé par Paul Kagame.
Après avoir écrit que je défendrais la thèse générale du double génocide, ce qui expliquerait «les erreurs, les approximations et les affirmations sans preuve» de mon livre, Jean-Christophe Klotz affirme : «Qui dit double génocide…dit finalement pas de génocide et donc pas de responsabilité s ni poursuites.» Les tenants de la thèse du double génocide nieraient donc le génocide ! Or ceci n’a jamais été ma position, je n’ai jamais nié l’existence du génocide, ce que j’écris d’ailleurs clairement dans mon livre.
Quant à l’expression «les massacres succèdent alors aux massacres» - le terme est, utilisé par le général Dallaire de la Minuar. Contrairement à ce que Jean-Christophe Klotz pense, les tenants d’«une thèse générale» sur le génocide rwandais sont à chercher du côté de ceux qui diffusent une vision des plus simplistes de l’histoire : un déclenchement du génocide déconnecté de l’attentat, un FPR libérateur et sauveur des Tutsis rwandais, une France complice et bras armé des génocidaires…
Mais les faits ne collent pas.Klotz conteste ce que j’écris sur ce qui s’est passé à Kibagabaga, petite localité située au nord-est de Kigali. Si j’ai longuement enquêté sur Kigabagaba, c’est parce que ce lieu est le socle emblématique sur lequel Bernard Kouchner appuie sa politique, or je démontre qu’il n’est que sable mouvant.
Il résulte en effet de mon enquête que les restes humains que Kouchner et Klotz ont vus à la mi-mai 1994 à Kibagabaga sont ceux de personnes massacrées non par des Hutus génocidaires, mais par des rebelles tutsis du FPR. Klotz brandit, l’argumentation- massue du «J’y étais», et me dénie toute connaissance du lieu au prétexte que je n’aurais «pas en tête la topographie du terrain, fait de collines enchevêtrées», que je raisonnerais «en termes de distances "à vol d’oiseau"».
Il n’est pas besoin d’avoir été sur les lieux pour connaître la topographie. Une carte d’état-major fait très bien l’affaire. Et c’est justement pour me rendre bien compte de cette réalité géographique que j’ai fait faire une carte (page 184) replaçant Kigabagaba dans son environnement : j’ai utilisé pour base la carte d’état-major du colonel Marchal qui commandait le bataillon des Casques bleus de Kigali à ce moment-là. Puis Klotz conteste ensuite le choix de mes sources affirmant que je serais «prisonnier de mes réseaux d’information».
Moi, je ne choisis pas une source unique, contrairement à ce que voudrait laisser croire mon détracteur, lequel s’appuie sur les soldats du FPR, confirmés par les tribunaux populaires gacaca. Quels sont ceux qui attestent de la présence du FPR à Kibagaba ?
Le colonel Marchal, qui était jusqu’au 15 avril 1994 le patron du bataillon des Casques bleus basés à Kigali, me semble difficile à récuser. Itou pour le professeur belge Reyntjens que je considère comme un des meilleurs spécialistes du Rwanda ; Antoine Nyetera, Joseph Matata, Eugène Ndahayo, Valens Rurengaganizi, qui sont certes des opposants au régime de Kigali, mais je ne vois pas que Klotz puisse contester leur droit légitime à détenir des parcelles de vérité.
Au contraire. Ils ont tous, à des degrés divers, été en position de connaître ce qui s’est passé à Kibagabaga. Klotz me reproche également de citer Faustin Ntilikina, sous prétexte qu’il était à l’époque des massacres de Kibagabaga secrétaire à l’état-major de l’armée rwandaise, et probablement parce qu’il est hutu. Il faudrait que Klotz explique au nom de quelle déontologie je n’aurais pas le droit de citer un court passage de son livre. C’est en effet un homme libre et respectable qui ne fait l’objet d’aucune inculpation.
Je concède toutefois que Klotz a raison sur un point. Je lui ai attribué par erreur les extraits d’un carnet de notes qui n’est pas le sien, mais celui d’un témoin de la même scène que lui, le même jour. Ces passages proviennent d’un article de Jean-Paul Mari, publié dans Télé Obs, à l’occasion de la diffusion du documentaire de Klotz, Kigali, des images contre un massacre.
Cette erreur factuelle d’attribution ne remet aucunement en cause le fond de mon enquête.Jean- Christophe Klotz termine son acte d’accusation contre moi par un : «Ce n’est pas parce que cela se passe en Afrique qu’on peut écrire et dire n’importe quoi.
Le devoir de vérité et son urgence sont les mêmes qu’ailleurs.» Les lecteurs de Libération ne me tiendront pas rigueur de reprendre à mon compte sa conclusion concise pour qualifier son propre Rebond.
PIERRE PÉAN
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* Rwanda says criticisms have "no basis" ,
By Sophie Tholstrup
KIGALI, July 21 (Reuters) - Rwanda's government said on Tuesday its human rights record should be viewed in the context of the huge strides it has made since the 1994 genocide, after a report said the country should not join the Commonwealth.
The Commonwealth Human Rights Initiative (CHRI) said Rwanda's adherence to international law, its speech and press freedoms and community justice system were not up to global standards and recommended against accepting its bid to join the Commonwealth this year.
Rwanda's Minister of Foreign Affairs, Rosemary Museminali, said many of the accusations had "absolutely no basis".
"There is room to improve, but no country is 100 percent perfect," she said. "Rwanda should be looked at in the context of where it's come from."
The report comes four months before the Commonwealth Heads of Government meeting in Trinidad and Tobago in November, where Rwanda's application for accession is likely to be discussed. Its bid is strongly supported by Britain, Australia and Uganda.
The Commonwealth is a grouping of 53 nations around the world, mainly former British colonies. It aims to promote good governance and develop trade links between member states.
The CHRI, an independent non-governmental organisation that seeks to promote human rights within the Commonwealth, said Rwanda's bid to join in 2009 would be ill-advised if minimum rights standards were not met.
"(It) will devalue the Commonwealth's foundational principles, signalling tolerance for continued poor governance and human rights violations," the group said.
MUTUALLY BENEFICIAL
CHRI said despite relative internal stability since the genocide that killed 800,000 people, Rwanda has illegally invaded neighbouring Democratic Republic of Congo four times.
It also said the Gacaca courts used to try genocide suspects violate international human rights norms. Laws criminalising "genocide ideology" have been used to suppress freedom of speech and to justify arbitrary imprisonment, CHRI said.
"Gacaca ... has its flaws but they don't amount to human rights abuse," Museminali said. "It has done great things, it has helped the country to get back on its feet."
President Paul Kagame has won praise for running a disciplined government and attracting foreign investment as Rwanda rebuilds its economy after the genocide. But critics say his style is authoritarian.
The British Ambassador to Rwanda, Nicholas Cannon, told Reuters the country's membership would be mutually beneficial. He said it would benefit from international exposure by joining the Commonwealth, as well as from technological cooperation, especially with developing member countries.
"We feel that Rwanda, with its dynamic and activist leadership would play a positive role in the work of the Commonwealth," he said. (Editing by Hereward Holland)
Vous pouvez construire les gens, mais pas le pays.
Les Rwandais qui ont perdu des membres de leur famille, ont besoin de savoir qui a fait quoi, qui a tué qui.Bien que les Rwandais soient prêts à dialoguer pour que leur pays retrouve la paix, ce n'est pas à tout prix que les criminels exigent le pardon comme ils ont exiger la mort des nôtres.
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Tel: 001-201-794-6542 / 001-506-461-3919
Email: urunana@optonline.net
url: http://www.rud-urunana.org/
Rwandan Refugees in Eastern DRC: Political Dialogue is the Only Viable Option in recent weeks, several reports have been issued by numerous organizations with the main goal of proposing solutions to the ongoing problems in the African Great Lakes region in general and in Eastern DRCin particular.
However, it is also an occasion to contribute to solving the problem of the presence of tens of thousands of Rwandan Refugees still in Eastern DRC.RUD-Urunana is not the FDLRWhile reading the ICG report, one may come up with an impression thatthe RUD-Urunana is a subsidiary of the FDLR. We would like to recall the International Community that, due to profound divergences, certain members departed officially and publicly with the FDLR in September2004.
These individuals were subsequently formally expelled from theFDLR. Among those individuals were the entire RUD-Urunana leadership. One cannot thus be expelled from an organization while remaining its member. RUD-Urunana is an independent organization with its own leadership and independent political vision.
Therefore, in spite of what has trickled in recent various reports, ourorganization would like to categorically dement any contacts between thePresident of RUD-Urunana and any element of the FDLR/FOCA. Hence, the allegation included in the Report S/2009/253 of UN Group of Experts is unfounded since Dr. J-M Vianney Higiro has never been and is not incontact with any member of the leadership of the FDLR/FOCA neither in the field nor anywhere else.
All Rwandans Deserve a Fair and Impartial Justice SystemAs Dr. ML King once said: "Justice is indivisible; injustice anywhere is a threat to justice everywhere" and before him, Thomas Jefferson entrenched the principle of the modern democratic systems: "all men are created equal"Most of the recent reports paint a rosy picture of the current rwandan society. Most of them cite economic progress as well as the current stability of the regime.
However, when one scratches slightly under the surface, one uncovers a society ridden with rampant structural inequalities, injustice, nepotism, corruption, and flagrant abuse ofhuman rights.The right of lawful dissent has been systematically denied to rwandans; hence, anyone who dares to criticize Paul Kagame's regime is quicklylabelled as "genocidaire, negationist, and/or revisionist".
More recently, the regime has come up with an ingenious scheme to silence any person perceived as a threat: what it takes is to label the individualas "harbouring a genocidaire ideology". Such labels are enough to have someone killed, disappear, or thrown in prison without any recourse.There is no viable internal political opposition since any challenge to Rwandan Patriotic Front (RPF) and Paul Kagame's rule has been met with fierce repression.
If not killed or thrown in prison, the only otheroptions opposition leaders have consist of accepting the RPF hegemony orgoing into exile. The entire economy is in hands of occult operatorsthat are linked one way or another to the RPF or to the Akazu of Kagame's cronies that control, manage, and allocate the countryresources while pillaging resources of the Democratic Republic of Congo (DRC). Political coercion, intimidation, and blackmail have become a system ofgovernance.
Score of people are forced to join the RPF otherwise they would have to pay a huge price. For example, just before a recentgraduation ceremony held at Mutobo on July 17/2009, several hundreds of"Umoja Wetu" rwandan returnees who completed the so-called"re-education" were asked by a RPF official to join the ruling party.
The few who hesitated realized that their future may be uncertain; theythereafter promptly decided to came back and join. Such cases are not isolated since there have been similar reports throughout the country where the targeted population has been mainly teachers, civil servants,and well off individuals. Who ever dares to refuse, finds him/herself facing the ignominious Gacaca courts that have become the regime repressive instruments.
Officially, such jurisdictions were setup totrial individuals who committed despicable crimes in 1994. However, itis apparent that these courts are more to settle scores with the Hutu population than pursuing the truth and rending justice.
Meanwhile, a lot of the regime supporters make arguments intended to justify the denial of democratic and civil rights in Rwanda by the Kagame's regime based on what happened in our country recent history.
While no one will deny what our brothers and sisters went through since1990 and the abominable crimes committed in 1994 till today, there is nomoral ground to deny basic rights such as presumption of innocence and fair trial to innocent rwandans irrespective of their ethnic groups. Hutu, Tutsi, and Twa criminals shall respond of their deeds before fair,independent, and impartial jurisdictions while innocent fellow rwandans shall be left to enjoy their fundamental inherent rights and freedoms.
This has been the RUD/RPR position and firm conviction since thecoalition inception.No one in the Hutu population is spared. Only high profile cases arewidely publicized such as that of Gen. Seraphin Bizimungu alias "Mahoro"who was sentenced to life in prison while Gen. Paul Rwarakabije's isstill pending. As long they were useful to bolster the regime image toforeign donors, both generals who returned from DRC were hailed and treated as heroes.
Once their usefulness and aura faded, they have thento face the Gacaca courts with almost no chance of clearing their names.This has been the whole mark of the regime, starting from the former President Pasteur Bizimungu to Stanley Safari who recently managed to flee the country. However, this is not limited to Hutus since evenTutsis have been fleeing the regime.
One may wonder what happens to ordinary people living away from the scrutiny of the media.On the other hand, most pro-eminent members of RPF inner circleincluding Paul Kagame have tried to avoid appearing before any courts oflaw despite overwhelming evidence that points to their involvement in the assassination of the late Presidents Juvenal Habyarimana of Rwanda and Cyprien Ntaryamira of Burundi on April 6/1994.
Recent indictments of Fernando Andeu, Spanish Judge and Jean-Louis Bruguière, FrenchMagistrate indicate clearly that the current regime does not have any moral authority of dressing lists of the so called "genocidaires". Overthe years, such lists made by the Kigali's regime have become a way the regime stifles genuine dissent by accusing anyone who dares to challenge the political establishment of being "genocidaire, revisionnist, and/ornegationnist".
The latest of such lists comprised almost 7000 names. Asking the regime to come up with a list is giving the regime cronies alicense to silence anyone who dares to challenge the ill-thought policies and the regime itself. The is credible information stating that there are new lists being dressed in secret all over the country that will be unearthed after the upcoming presidential election. Therefore,such lists should be considered void.
Kasiki, a Beacon of HopeAlthough acknowledged in the ICG report, its significance was minimized and down played. However, it is evident that, during the entire processthat led to the Kisangani Roadmap and the official inauguration of theKasiki Centre on July 31, 2008, Kasiki represented a glimmer of hope forlocal people, rwandan refugees as well as numerous observers.
The hopethat was palpable on the day of the inauguration in spite of a lot oflogistic shortcomings, continued to shine during subsequent high profile visits from local dignitaries, representatives of several churches to ambassadors of western countries. It is important to remind the presence of a rwandan official delegation during the aforementioned ceremony.
Contrary to what was alleged in the aforementioned report, GeneralMusare has never hampered the establishment of that centre. In fact, hewas one of the speakers during the inauguration ceremony in which he delivered a heart felt address that stressed once more why few combatants accepted voluntarily to give up their arms and the desire expressed by rwandan refugees of the region to voluntarily return home if their inherent rights and security would be effectively guaranteed by the International Community.
He explained why such gesture was also a realtestament of the combatants willingness to contribute actively in finding peaceful solutions to the instability that has gripped theregion for more than a decade.On the question of Justice, Gen. Musare stated clearly and forcefully the willingness and commitment of RUD/RPR combatants to cooperate fully with the international jurisdictions as long such courts are fair,impartial, and committed to try anyone who may have committed the crimes in Rwanda and DRC irrespective of his/her ethnic background and/orpolitical allegiance.
Hence, the firm desire to return to their homeland was subsequentlyconfirmed by individual surveys in which rwandan refugees re-stated itto the MONUC personnel. That is when an exploratory visit of the Kasiki resettlers delegation requested to pay a visit to Rwanda in order toassess the conditions of their return. Thereafter, an ad-hoc report was made public after this visit of few days that started on Jan. 23/2009.
However, towards the end, it was apparent that there were underground forces that did not want the Kasiki experience to succeed. Although, onJan. 27/2009 an agreement was signed in Rome between a delegation of theRUD/RPR coalition and the DRC government in presence of independent observers to declare Kasiki and its surroundings as a peace heavenentity, it was not put into effect and then elements of RDF/FADRC/CNDP coalition targeted the site in order to dismantle the centre by allmeans on Feb. 10/2009.
Luckily, the occupants managed to find refuge in nearby communities and surrounding jungle avoiding to be either forcefully repatriated or killed in case of refusal. Unfortunately mostof these refugees are still unaccounted for. It is important to mention that the Kisangani Roadmap and subsequent agreements stated clearly three options for the rwandan refugees: either voluntary return to Rwanda, resettlement in local communities orresettlement in other countries.
Unfortunately, the attack of the Kasiki Centre has administered a huge blow to the entire Kisangani Process.This is reminiscent to what happened in 1996-1997 when hundreds ofthousands of rwandan refugees and Congolese citizens were savagely killed by the Rwandan Patriotic Army (RPA) and its allies. Contrary to what was stated in the ICG a forementioned report, the dismantlement did not start with the attack of the Mugunga -Lac Vert refugee camp in NorthKivu that took place on Nov. 15/1996.
These attacks started by RPAelements investing refugee camps in South Kivu on Oct. 7/1996 andcontinued unabated till all the rwandan refugee camps in Eastern DRC were totally destroyed. Along such destruction, the refugees were hunted down over the entire DRC territory.These massacres were subsequently qualified as acts of genocide, war crimes and crimes against humanity by several independent organizations including the UN report.
It is important to remind the InternationalCommunity that the main perpetrators of such horrendous crimes hold even today positions in the current rwandan military administration and no one has ever been brought to justice.
Road to the Lasting Peace in the Region :
1. The RUD/RPR Coalition remains committed to peace and peaceful solutions as it has already demonstrated during the short-lived Kisangani Process that led to Kasiki settlement Centre.
2. Our organization remain convinced that the principles that were laidin Kisangani Roadmap and subsequently updated in Rome on Jan. 27/2009 may form a foundation in contributing to the lasting solution of therwandan refugees problem in Eastern DRC and the region.
3. As our organization has always pointed out, the Rwandan problem is political in nature and requires political solutions. It is our firm conviction that as long as the Rwandan problem is not resolved theAfrica Great Lakes region will remain unstable.
4. In order to foster a reconciliatory Justice system, the only foundation of genuine Reconciliation, we urgently ask to hold, under the auspices of the International Community, an Inter-Rwandan Dialogue. In addition, our organization calls for the organization of a "Truth, Justice, and Reconciliation" Commission in our homeland that would help heal a traumatized society.
5. We remain convinced that only this Dialogue would lead to lasting peace, stability, and the establishment of new political, judiciary, and security institutions that would be the reflection of the legitimate aspirations of all the constitutive groups of the Rwandan society.
6. Our organization has the firm commitment to constructively and actively contribute to the finding lasting and peaceful solutions to the problems that have plagued our homeland and the Africa Great Lakes region.
July 16, 2009
Dr. Augustin Dukuze
Spokesperson
***
Profile
Genocide masterminded by RPF
Human and Civil Rights
Rwanda: A mapping of crimes
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
Prof. Christian Davenport
The killing Fields - Part 1
The killing Fields - Part II
Daily bread for Rwandans
The killing Fields - Part III
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Sheltering 2,5 million refugees
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