Rwanda: Cartographie des crimes
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KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
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Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Le Pacte de Défense du Peuple (PDP) salue la tournée en cours de la Secrétaire d’Etat américaine Mme Hillary Clinton en Afrique quelques semaines seulement après la brève visite effectuée à Accra au Ghana par le Président américain Barack Obama qui y a prononcé un important discours axé sur la politique africaine de son Administration.
Le PDP se félicite en particulier de voir la Secrétaire d’Etat américaine visiter la République démocratique du Congo et être ainsi au contact direct avec la grave crise humanitaire engendrée par des conflits récurrents qui ravagent cet immense pays depuis tant d’années.
Le PDP souhaite néanmoins qu’à cette occasion, la Chef de la diplomatie américaine et ses hôtes puissent aller au-delà de cette crise qui n’est que la conséquence logique d’une problématique politique régionale très complexe qu’on a laissé pourrir depuis la guerre et le génocide qui ravagèrent le Rwanda en 1994.
Le PDP se joint ainsi aux voix de plus en plus nombreuses à travers le monde, qui pressent la Communauté internationale de rouvrir le dossier Rwanda afin d’optimaliser les chances de la paix et de la stabilité en Afrique des Grands Lacs, une partie du monde ou les êtres humains semblent compter pour si peu.
Tout en reconnaissant l’urgente nécessité d’une solidarité régionale et internationale face à la tragédie qui décime le Nord-Kivu et le Sud-Kivu dans l’Est de la RDC, le PDP demande à la nouvelle Administration américaine de prendre en compte le rôle déstabilisateur joué par le régime du Général Paul Kagame dans cette guerre particulièrement meurtrière et de ramener le dictateur à la raison.
En effet, la survie du régime Kagame dépend, au moins en partie, de la persistance de l’instabilité dans l’Est de la RDC. D’où l’entretien des conflits en cours dans ce pays par la junte militaire qui terrorise le peuple rwandais depuis 15 ans.
C’est dans cette optique que Kigali entend imposer au monde entier sa vision superficielle et manipulée de la crise des Grands Lacs d’Afrique en insistant sur les conséquences de celle-ci plutôt que sur ses causes. Ainsi s’est installé dans l’opinion l’idée que les rebelles Hutu Rwandais des FDLR constitueraient « la principale source d’instabilité » dans la région.
Le PDP demande aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, principaux soutiens au régime Kagame, de prendre acte du fait que le drame qui ravage l’Est de la RDC est un embrasement criminel dont personne au monde ne saurait éteindre le foyer qui se trouve au Rwanda par la seule force militaire.
Nous lançons un appel pressant à ces deux puissances pour qu’elles se prononcent rapidement et sans détour en faveur d’un Dialogue inter rwandais hautement inclusif (DIRHI), seule instance, à notre avis, en mesure de mettre un terme aux rébellions rwandaises.
Les alliés et les protecteurs de la dictature qui sévit au Rwanda ne sauraient ignorer le fait patent que la politique de la revanche permanente, conduite au Rwanda par Paul Kagame et son clan, hypothèque lourdement l’avenir du pays des mille collines.
Certains, pour apaiser leur conscience apparemment encore troublée par leur attitude face au drame de 1994, sont surpris en flagrant délit de soutien et d’encouragement à une politique d’apartheid de plus en plus développée dans notre pays.
Il s’avère en effet que le Général Kagame et ses lieutenants qui tentent aujourd’hui de se faire passer pour des prédicateurs de l’unité et de la réconciliation nationales ont, depuis bien longtemps, succombé à la tentation de l’apartheid.
Leur politique d’étouffement de toute liberté de pensée à l’intérieur du Rwanda, d’humiliations quotidiennes infligées volontairement à une composante entière de notre peuple ainsi que leurs choix stratégiques en matière de politique internationale notamment dans la région de l’Afrique des Grands Lacs, se révèlent à court terme catastrophiques, à moyen terme explosifs et à long terme suicidaires.
L’Administration américaine sait sans doute qu’il va falloir un jour remettre le dossier Rwanda sur la table. Il vaudrait mieux que cela soit fait avant qu’il ne soit trop tard.
Dans une certaine mesure, le Rwanda et la région de l’Afrique des Grands Lacs se profilent à l’horizon comme un véritable test de sincérité et de cohérence de la nouvelle politique africaine des Etats-Unis d’Amérique telle que définie dans le discours d’Accra.
Fait à Kinihira, le 09 Août 2009
Déogratias Mushayidi
Président du PDP
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Rwanda/RDC:Les FDLR condamnent sans réserve les propos propagandistes, diffamatoires et mensongers tenus par M. Alan DOSS à Kigali le 2 août 2009 à l’endroit des FDLR./.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made by Mr Alan DOSS in Kigali on 2 August 2009 against the FDLR
Les FDLR condamnent sans réserve les propos propagandistes, diffamatoires et mensongers tenus à Kigali le 2 Août 2009 par M. Alan DOSS, Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC et publiés par le journal du régime de Kigali « The New Times » selon lesquels les FDLR seraient responsables de la violence qui sévit actuellement à l’Est de la RDC et que les responsables des FDLR devraient être traduits en justice.
Les FDLR condamnent une fois de plus la guerre que la tripartite composée des armées du dictateur Kagame, de Kabila et de la MONUC ont imposée aux peuples épris de paix de la Région des Grands Lacs de l’Afrique ainsi que tous les divers crimes graves contre l’humanité dont sont victimes le peuple congolais ainsi que les réfugiés Hutu rwandais se trouvant à l’Est de la RDC. Les FDLR demandent encore une fois que des enquêtes neutres et impartiales soient diligentées pour traduire les responsables de tous ces crimes devant la justice.
Les FDLR rappellent que la crise humanitaire en cours à l’Est de la RDC ainsi que tous les divers crimes qui l’accompagnent sont le résultat direct de cette guerre que des ennemis de la paix et leurs sponsors ont imposée aux peuples rwandais et congolais pour les assujettir et s’emparer des énormes richesses dont regorge la Région des Grands Lacs d’Afrique.
Les FDLR restent convaincues que ces va-t-en-guerre qui occupent actuellement des postes-clés qui les protégent aussi bien dans les gouvernements rwandais et congolais que dans des organismes internationaux devront tôt ou tard répondre de leurs actes devant la justice.
Les FDLR demandent aux peuples de la Région des Grands Lacs d’Afrique, aux médias et à la Communauté Internationale d’être vigilants et de ne pas se laisser manipuler par des propos de M. Alan DOSS dont le soutien aveugle et sans limite au régime criminel et sanguinaire de Kigali n’est plus à démontrer.
Les FDLR restent convaincues que ni la guerre, ni les sanctions injustes et inutiles ne pourront les faire dévier ou reculer de leur noble objectif principal qui est et reste la libération du peuple rwandais.
Les FDLR invitent toutes les femmes et tous les hommes épris de paix d’œuvrer pour la tenue de négociations directes entre les FDLR et le régime criminel de Kigali afin de mettre en place des institutions véritablement républicaines et démocratiques au Rwanda et de mettre fin par des voies pacifiques au régime hégémonique, sanguinaire et dictatorial qui s’y est installé.
Fait à Paris, le 6 Août 2009
Callixte Mbarushimana
Secrétaire Exécutif des FDLR
(Sé)
FDLR PRESS RELEASE NR 01/SE/CD/AUGUST/2009.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made by Mr Alan DOSS in Kigali on 2 August 2009 against the FDLR.
The FDLR condemn unreservedly propagandist, defamatory and misleading statements made in Kigali on 2 August 2009 by Mr. Alan DOSS, Special Representative of the UN Secretary-General in the DRC and published by the Kigali regime journal "The New Times” according to which the FDLR would be responsible for the ongoing violence in eastern DRC and that the leaders of the FDLR should be brought to justice.
The FDLR condemn once again the war that the tripartite armies of the dictator Kagame, Kabila and MONUC have imposed on peace-loving peoples of the Great Lakes Region of Africa and condemn all various crimes against humanity committed against the people of Congo and against Rwandan Hutu refugees located in eastern DRC. The FDLR call once again for neutral and impartial investigations to be conducted in order to bring the perpetrators of these heinous crimes to justice.
The FDLR remind the public that the ongoing humanitarian crisis in eastern DRC and all various crimes that accompany it are a direct result of this war that enemies of peace and their sponsors have imposed on the peoples of Rwanda and Congo in order to enslave them and plunder the enormous wealth of the Great Lakes Region of Africa.
The FDLR remain convinced that the warmongers that occupy key positions which protect them both in the Rwandan and Congolese governments as well as in international institutions, will sooner or later answer for their acts before justice.
The FDLR urge the peoples of the Great Lakes Region of Africa, the media and the International Community to be vigilant and not allow themselves be manipulated by statements of Mr Alan DOSS whose blind and boundless support to the criminal and bloody Kigali regime is evident.
The FDLR remain convinced that neither war nor unjust and useless sanctions can deflect them or back them away from their noble and main objective which is and remains the liberation of the people of Rwanda .
The FDLR urge all peace-loving women and men to work for direct negotiations between the FDLR and the criminal regime of Kigali in order to develop truly republican and democratic institutions in Rwanda and to put an end by peaceful means to the hegemonic, bloody and dictatorial regime installed there.
Done in Paris, on 6 August 2009
Callixte Mbarushimana
Executive Secretary of the FDLR (Sé)
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Au Saint Père le Pape Benoît XVI ;
À la Conférence Nationale Épiscopale de la RDC
À Sa Majesté la Reine Élisabeth II du Royaume-Uni ;
Au Roi Albert II de Belgique ;
Au Président Nicolas Sarkozy de France ;
Au Président Shimon Perez d'Israël ;
Au Premier Ministre du Canada, le Très Honorable, Stephen Harper ;
À Développement et Paix, Canada ;
Aux Professeurs des Sciences Politiques, Éthiques et Sociales des UNIVERSITÉS :
HOWARD et HARVARD, (USA) SORBONNE (Fr), CAMBRIDGE (UK),
LOUVAIN (Be) et KINSHASA (RDC) ;
AUX ACTEURS D'HOLLYWOOD
I. PRÉAMBULE
Un pays comme les États-Unis d'Amérique ne peut pas se permettre l'indifférence de voir mourir les FEMMES, les HOMMES et les ENFANTS comme des mouches soumis aux émanations de l'insecticide.
Le Congo a tout donné à l'Amérique pendant plus de cent ans, c'est-à-dire du Congo-Belge à Joseph Kasa-Vubu et de Joseph-Désiré Mobutu à Laurent-Désiré Kabila. Maintenant, c'est son pseudo fils, Joseph Kabila, qui sert l'Amérique avec les mêmes facilités élargies sans que Washington ne puisse humaniser ses rapports de collaboration et de coordiantion avec cette Nation souveraine et indépendante de l'Afrique noire.
Pourtant, c'est par le Congo que les États-Unis s'approvisionnent scandaleusement, étant donné le fait que c'est cette République qui sert de réservoir des ressources à l'enrichissement égoïste de cette super-puissance. Or, celle-ci, bénéficiaire à sens unique des richesses du Congo, ne cesse de fomenter des guerres pour changer dans le paysage de la RDC des régimes à sa guise. Il faut avoir une âme insensible pour ne pas comprendre ce que les Congolais demandent en silence aux USA : la Paix. Source : Djamba Yohé
II. EXPOSÉ D'INTENTION
Poursuivant mon interpellation contre le Gouvernement américain sur son implication dans l'extermination des masses inaugurée au Congo-Zaïre à l'initiative de l'Administration Clinton, génératrice des rébellions confiées aux cruels Présidents, Paul Kagamé du Rwanda et Yoweri Museveni de l'Ouganda, moi, Djamba Yohé, connu sous le nom éditorial de "Congolais de l'Atlantique Nord" et consécutivement aux incitations patriotiques de mes concitoyens qui veulent me voir obtenir de Washington, de l'ONU, de l'Union Européenne, de l'OCDE, sinon du monde entier des explications sur la Shoa des Congolais, négligés et méprisés par la Communauté Internationale, à commencer par les puissances occidentales, nations chrétiennes par leur orientation historique et par leur ascension de continuité vers l'adresse téléologique du devenir humain, je relate sans faux-fuyant l'indignation de mon peuple vis-à-vis de la Communauté Internationale face aux multiples agressions et violations de l'intégrité territoriale de la RDC, dont les manifestations visibles et directes des conséquences se caractérisent par :
Les massacres des masses et les crimes imondes contre l'humanité accompagnés de pillages ;
Les viols et la profanation de la femme congolaise sur l'échelle de tous ses âges de la féminité, c'est-à-dire celle allant de l'âge du nourrisson à l'âge de la grand'maman que réclame l'éternité à l'estuaire de son existence essoufflée ;
Le recrutement des enfants soldats pour renforcer la criminalité parraînée par les Multinationales des États-Unis, d'Europe, de Russie, de Chine et du Tiers-Monde ;
Le laxisme de la Mission des Nations-Unies pour l'Observation au Congo qui assiste, amorphe, avec ses Troupes, aux plus cruels drames d'un peuple, sans lui apporter l'assistance depuis bientôt dix ans ;
La déliquescence du sens du droit de la justice et des libertés fondamentales, en somme le Droit de l'Homme dans toute la quintescence du mot ;
L'appui tacite et ouvert des Grandes Puissances et leurs Multinationales, dont jouissent les crimes organisés en République Démocratique du Congo et qui tiennent tout un peuple dans l'esclavage, les privations et la nudité des dignités humaines ;
Le clientélisme et l'inconscience des dirigeants politiques confrontés à une épidémie endémique de la corruption, de la concusion, de la gabegie et de la subversion,
Ma constitution en partie civile est tout un Collectif rogatoire des Congolais qui portent des griefs non exhaustifs tels que ceux ci-dessus, à votre distinguée personnalité, Madame la Secrétaire d'État des Affaires Étrangères des États-Unis. Je vous remets dans ce scellé déballé et non secret les recommandations adressées à la Maison Blanche, à Son Excellence le Président de la République des États-Unis, Monsieur Barack Obama, afin qu'il s'implique à freiner les crimes que commettent les Présidents Paul Kagamé et Yoweri Museveni par la main de leurs bandits étrangers et locaux.
Ce document résume la volution congolaise de quête de bonne disposition des États-Unis d'Amérique afin que ceux-ci entretiennent des relations diplomatiques sincères et profondes avec la RDC sur les bases inamovibles des principes d'égalité et d'équité, ferments fondamentaux de votre Constitution deux fois centenaire, nous avons cité la Constitution des États-Unis honorée par la Déclaration de l'Indépendence de 1776.
"Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés.
Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l'organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur.
La prudence enseigne, à la vérité, que les gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des causes légères et passagères, et l'expérience de tous les temps a montré, en effet, que les hommes sont plus disposés à tolérer des maux supportables qu'à se faire justice à eux-mêmes en abolissant les formes auxquelles ils sont accoutumés. Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit et de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future." Source : Déclaration de l'Indépendence de 1776.
En effet, nous n'aurons pas d'excuses de faire le point de nos griefs à Washington et à la Communauté Internationale si nous ne soulignions pas la douleur qui terrasse notre for intérieur et notre âme à la suite de la perte de plus de 6.000.000 de Congolais et de plus de 14.000.000 de victimes au total général dans toute la Région des Grands-Lacs.
Il faut comprendre qu'il s'agit là de la mort gratuitement donnée par le Front Patriotique Rwandais aux Congolais sur leur propre territoire, aux Réfugiés Hutus-Rwandais dans les Camps des Nations-Unies basés en RDC et aux Tutsis par les extrémistes du FPR en vue d'amplifier l'étendue des massacres pour se servir de l'argument du génocide de 1994. Derrière toutes les accusations faites par le Régime de Kigali et de Kampala, à travers les Présidents, Paul Kagamé et Yoweri Museveni, le but poursuivi par ces bourreaux d'un hitlérisme renaissant, ne fut pas tant les raisons évoquées, sinon qu'une intrigue de malveillance mise au point par ces dirigeants en vue de continuer impunément leurs activités de banditisme sur le sol congolais.
L'ultime objectif à la base de toutes les rhétoriques récriminatoires de ces agresseurs incarnés faussement dans la peau des victimes était un argumentaire devant servir de paravent pour plaider de la nécessité de s'investir au Congo aux motifs des droits de poursuite contre les génocidaires de la guerre civile et fraticide rwando-rwandaise, de 1994. Hélas, le pot-aux-roses est en vérité la volonté fanatique et malhonnête de voler les richesses du sous-sol de la RDC, c'est aussi un besoin libidineux d'une engeance de désaxés qui tenaient et tiennent encore à s'offrir les femmes comme esclaves sexuelles et enfin une astuce d'un stratagème concocté pour modifier les frontières en guise de butin de guerre.
Le Rwanda et l'Ouganda, puisqu'il s'agit de ces pays par l'entremise de leurs dirigeants ont bénéficié du plus grand soutien de Washington, de Londres et dans une moindre mesure de Paris, sinon de l'Union Européenne qui a toujours oeuvré de protéger les agresseurs du Congo plustôt que celui de venir en aide au peuple meurtri, qui a sauvé le monde occidental à trois reprises durant les deux grandes Guerres Mondiales et pendant toute l'épaisseur du temps qu'aura duré la Guerre Froide. Forts de cette mémoire, et capables de faire la rétrospective préambulaire de la guerre en RDC, nous tenons, par notre Collectif, à faire valoir les précédents ci-dessous :
III. RESPECT DE LA VIE DES CONGOLAIS ET DE LA SOUVERAINETÉ
NATIONALE DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
Il n'est nul doute pour personne que la guerre qui sévit en République Démocratique du Congo est un acte délibéré et voulu par la Maison Blanche sous la banière de l'Administration Clinton. En effet, il a plu au Président, dont le nom qualifie l'Administration précitée de déployer toute la puissance publique des États-Unis en vue de chasser le Président zaïrois, Mobutu Sese Seko, du pouvoir. Mais, en s'obligeant d'accomplir cette tâche à la place des Congolais eux-mêmes, Monsieur Clinton n'a pas tenu compte du processus de transition en cours que supervisait à cette époque là "La Conférence Nationale Souveraine". Au cours de l'une de ses interviews, le Président Clinton a dit :
"Quand j'étais étudiant, Mobutu était Président; quand j'étais Gouverneur de l'Arkansas, Mobutu était toujours Président et lorsque je suis devenu le Président des États-Unis, Mobutu est encore le Président de ce même pays, le Zaïre". Source : attribué à Bill Clinton.
D'aucuns devinent la suite qui a été réservée à cette exclamation du Président américain, nous avons cité Bill Clinton. Mû par cette longévité qui dépasse l'entendement de son regard politique face au pouvoir, le Président américain et son Administration sont passés du mode de constat à la praxisme. Dès lors, il eut des ambassades dépêchées à Kinshasa pour obliger le Maréchal Président Mobutu Sese Seko à quitter le pouvoir.
Malheureusement, le refus de Mobutu d'obtempérer aux ordres d'un collègue étranger qu'est le Président américain, Monsieur Clinton a mis au point des mécanismes pour la déstabilisation du Zaïre au mépris de sa sécurité nationale et de la vie de sa population. Avec des membres de son Cabinet, à savoir Madeleine Albright, Bill Richardson, le Chef de l'État américain a mis du feu sur la poudre de l'arsenal congolais.
Aujourd'hui, comme cela vient d'être souligné, la Nation congolaise est en deuil de plus de 6.000.000 de morts. En d'autres mots, il s'agit là d'un acte criminel et répréhensible qu'un Chef d'un État étranger ne devrait jamais faire contre un État souverain, au nom d'un souci de démocratie et de droits de l'homme.
Le paradoxe de la décision de l'Administration Clinton d'embraser le Congo est questionnable quant aux raisons véritables de son acharnement sur un peuple ami et un État allié qu'aucun fichier de la Maison Blanche, de la CIA, du Pentagone et du FBI n'a jamais mis en examen ni qualifié de pays de l'Axe du mal.
Or, en déclenchant les opérations qui aboutissent à un acte de guerre non déclaré à la RDC, la Maison Blanche s'est servi de criminels de droit commun et surtout d'une Armée arrivée au pouvoir avec un registre des justifications louables, celles faisant du Front Patriotique Rwandais une Armée populaire qui a combattu les injustices du Régime de Juvénal Habyarimana. Dans ces conditions là, par quels artifices une Armée dite de libération nationale d'un pays qui a vécu un génocide en son sein devrait devenir une Armée d'extermination des masses en République Démocratique du Congo ?
Les Congolais ne se font pas d'illusions là-dessus, ils sont convaincus que le génocide au Rwanda aura été planifié à la Maison Blanche pour envahir le Congo avec les arguments des causes locales entretenues par la mauvaise cohabitation Hutus-Tutsis. Certes, il y a eu génocide, on ne peut pas nier cette véracité que toutes les nations de la terre ont vécue en directe à la télévision.
Néanmoins, les Congolais restent pantois et incrédules, car au moment ou la Canada, la Norvège, la Suède et le Danmark ont proposé des Troupes pour aider l'ONU à mettre fin aux massacres qui ont duré trois mois, l'Administration Clinton a usé du droit de véto des États-Unis au Conseil de Sécurité pour bloquer toute possibilité de voir débarquer les Contingents de Nations-Unies et de l'Union Européenne au Rwanda.
Que faut-il comprendre de ce refus d'assistance des peuples en danger et comment interpréter le laxisme des capitales occidentales devant les crimes de masses commis par l'Armée de Paul Kagamé lorsque ses troupes sont venues massacrer les Hutus dans tous les camps de réfugiés de toutes les provinces congolaises d'Est en Ouest ?
Pourquoi au même moment les troupes de Kigali et de Kampala sont venues s'installer pour sept ans en République Démocratique du Congo et si il n'y avait jamais eue d'Administration Bush, ces armées de violeurs, de tueurs et de pilleurs demeureraient encore présentes sur le territoire de la RDC ?
Comment se fait-il que l'Amérique, la Grande Bretagne, la France, l'Allemagne et les autres Puissances occidentales n'ont pas pu d'une seule voix condamner le raid rwando-rwandais du 2 août 1998 au Congo, à deux milles kilomètres de leur territoire. Ce faisant, Kigali et Kampala ont coupé l'électricité de toute la province du Bas-Congo en faisant des milliers et des milliers de morts, sans oublier qu'ils ont privé Kinshasa de la même énergie électrique alors que cette ville a une démographie de 10.000.000 d'habitants. Peut-on réaliser le nombre de morts de tous âges, surtout les bébés qui étaient dans les incubateurs dans les hôpitaux ?
Qu'est-ce qui explique aujourd'hui qu'à l'issue de tous les processus de réconciliation nationale imposée aux Congolais par le parainnage de l'Occident, en particulier les États-Unis, la Belgique, la France, la Grande Bretagne et l'Union Européenne, à svoir les Accords de Lusaka, la Conférence de Sun City, le Référendum de 1995, les Élections de 1996, la Conférence de Goma, toutes les Conférences de Nairobi et enfin les Accords de l'Hôtel Ihussi de Goma, rien ne semble restaurer une paix durable et définitive en RDC ?
Plus personne au Congo ne croit en la bonne volonté de la Communauté Internationale et en particulier à travers ses organes de justice, à savoir le TPI et la CPI, car ceux qui remplissent les prisons de La Haye sont congolais et l'absence des Rwandais comme des Ougandais est criant dans ces géôles de la honte de l'injustice internationale. La Maison Blanche, par ses services de lecture n'aurait-elle pas lu les écrits de Djamba Yohé, les livres de Honoré N'Gbanda et de Charles Onana, dont je m'empêche d'étaler les titres ?
Le décor de la désolation est implanté au Congo pour de longues décennies encore, cela est tellement évident ! Il y a plus de 2.000.000 de déplacés qui vivent dans la forêt sous les pluies équatoriales, sous les tentes et sous les feuillages avec à peine des rations de prisonniers dans un pays riche en végétation, en sous-sol et en valeurs culturelles, alors qu'à côté de cette misère, la MONUC fait des dépenses somptuaires dans une vastitude de pauvreté immonde, celle-ci ne s'empêche pas au passage de se déshonorer par des agressions sexuelles et des orgies sado-masochistes, sans oublier la pédophilie de certains cadres de l'ONU au Congo.
Toutes ces dépenses servant à entretenir la MONUC qui dispose d'un budget d'un millard de dollars US, par an, ne sont-elles pas tirées de la richesse du Congo que la Banque Mondiale, via l'ONU, défalque au compte d'un crédit qui sera imputé dans la rubrique de la dette extérieure de la RDC. C'est scandaleux !
IV. RÉSOLUTIONS
Eu égard de ce qui précède, cette pétition invite les États-Unis, vue la responsabilité de leur implication dans la destruction du Congo et les assassinats commandités par leurs Multinationales qui ont financé les guerres qui exsanguent la RDC et sa population, de faire acte de contrition en acceptant ces recommandations qui ne sont que justes et dignes d'être honorées.
A/ AU PLAN POLITIQUE
Les États-Unis doivent se dissocier des organisations qui prônent la fraude électorale en RDC et de l'imposition des chefs illégaux dans ce pays, la légitimité doit prendre le principe de la démocratie qui constitue la "Proclamation- Force" de la vocation politique du Congo, déroger à cette disposition constitutionnelle est une violence faite à la RDC ;
Les États-Unis doivent encourager les Congolais à faire partir Joseph Kabila, ce Président de la République est illégitme, il n'a pas de Curriculum Vitae et n'est connu d'aucun Congolais, filles et fils de la RDC l'ont vu parachuter au pouvoir par les lobbies américains et de l'Union Européenne, or chaque fois qu'il dirige contre leur volonté, cet acte d'usurpation constitue un crime contre l'humanité, un crime contre la démocratie et un crime contre la souveraineté nationale de la RDC ;
Les États-Unis doivent, puisque c'était à l'initative de l'Administration Clinton que la guerre a éclaté au Congo, participer comme ils l'ont fait en 1945 à faciliter la mise sur pied d'un "Tribunal Pénal Congolais" qui convoque à la barre tous les criminels qui ont versé le sang en RDC, violé les femmes, les enfants et sodomisé les hommes, car sans justice, il n'y aura pas de réparation aux préjudices physiques et moraux. C'est un devoir obligatoire de Washington, par rapport aux actions clandestines de l'Administration Clinton qui endeuillent comme jamais le Congo dans son propre espace public et ses familles ;
Les États-Unis doivent suivre l'exemple de la Belgique désolée, celle-ci a exprimé en termes vrais sa peine pour les torts causés à la RDC et à l'une des familles congolaises au coeur du drame des lendemains de l'indépendance nationale, je cite : "À la lumière des critères appliqués aujourd'hui, certains membres du gouvernement d'alors et certains acteurs belges de l'époque portent une part irréfutable de responsabilité dans les événements qui ont conduit à la mort de Patrice Lumumba.
Le Gouvernement estime dès lors qu'il est indiqué de présenter à la famille de Patrice Lumumba et au peuple congolais ses profonds et sincères regrets et ses excuses pour la douleur qui leur a été infligée de par cette apathie et cette froide neutralité." Source : le gouvernement belge a reconnu en 2002, une responsabilité dans les événements qui avaient conduit à la mort de Lumumba ;
Les États-Unis ont détruit la RDC, ils doivent utiliser leur puissance et leur influence pour l'aider à restaurer son autorité et doivent sévir contre les États voyoux qui assaillent la RDC à ses frontières, etc ;
B/ AU PLAN STRATÉGIQUE
Créer une Conférence Militaire Congolo-américaine pour des discussions bilatérales sur l'actualité des évolutions militaro-straté giques concernant les échanges d'expérience et d'expertise sans se laisser fondre dans le moule de l'autre ;
Reconnaitre que la guerre en RDC menace directement la paix aux États-Unis et la sécurité nationale de cet immense pays qui joue un rôle majeur dans les rapports des forces par son poids politique et militaro stratégique ;
Prendre conscience de la densité du dispositif militaire américain qui constitue à lui seul toute une dissuasion face à la Russie, la Chine et même à la France et à la Grande Bretagne, au sein de l'OTAN sans parler de l'effet de surprise qu'il peut imposer à l'Inde, au Pakistan et à l'Iran au cours d'un engagement éclair dans l'Océan Indien qui mouille les rivages de l'Afrique ;
Avoir à l'esprit l'idée que les État-Unis, pour leur sécurité en Afrique doivent poser les jalons d’une coopération sincère basée sur un système de prévention multilatérale qui n'est pas l'AFRICOM pour oeuvrer contre toutes les dérives de sa puissance contre le Congo et la terre africaine. Cette infrastructure de dialogue stratégique recommande un cadre juridique définissant le mode de fonctionnement de cette approche et qui devrait être dotée d'une "Charte bilatérale de coopération militaire" ;
Les États-Unis doivent s'ajuster à la notion stratégique de tous leurs pairs africains sans condescendance, en l'occurrence le ils doivent participer aux efforts du Congo consistant à contrer tout expansionnisme des groupes armés dirigés par ses voisins dans le but de servir Washington par des voies détournées, sinon ils courent involontairment un danger qui fera des États-Unis une cible direct des terroristes qui élisent domicile dans la pègre qui sévit en RDC. Washington qui n'a pas cessé d'être une cible potentielle pour les commandos dormants et secrets terrés au Rwanda ou en Ouganda ;
C/ AU PLAN ÉCONOMIQUE
Les États-Unis doivent effacer toute la dette extérieure de la RDC opar solidarité humaine pour palier aux souffrances de la nation congolaise dont ils sont une partie des causes évidentes des malheursau Congo sont imputables à leurs politiques depuis 1960. Sur ce chapitre, ce geste d'effacement de la dette peut s'étendre à la Belgique, à la France, àa la Grande Bretagne, à l'Allemagne et à l'Union Européenne ;
Les États-Unis doivent débloquer des fonds de contre-partie pour aider les familles victimes de la guerre due à la ruée des multinationales américaines, notamment celles de l'Arkansas, afin qu'elles s'ouvrent une activité lucrative d'auto-financement comme le micro-crédit, ces sommes remboursées le moment venu ;
Les États-Unis, sans servir d'ONG géant, doivent participer à la reconstruction de la RDC en s'impliquant dans la construction des logements sociaux dans les provinces et les régions sinistrées par les calamités de la guerre menée par les rébellions ;
Les États-Unis doivent supporter une partie du fardeau de l'équipement des services institutionnels à l'instar des machines et instruments informatiques qui participent au management et à la gestion des ressources humaines dans les Ministères et les sociétés parastatales ;
Les États-Unis doivent aider à l'allégement des coûts des services publics requis à l'expertise devant entrer en ligne de compte pour les études de faisabilité des projets publics et leurs planifications, etc.
D/ AU PLAN HUMANITAIRE ET DE SÉCURITÉ PUBLIQUE
Les États-Unis devraient, par devoir de mémoire, même collatéral à leur actualité, s'excuser aux Congolais pour les torts graves qui ont endeuillé la RDC depuis cinquanteans, ils seraient juste de leur part de verser des compensations à la veuve de Patrice Émery Lumumba à cause d'eux et qui a, malgré cet état civil, réussi à élever seule les enfants du Premier ministre congolais à l'étranger, en Égypte dans un pays arabe loin des siens sans assistance de l'État congolais ni de l'Occident qui s'est acharné sur son époux ;
Les États-Unis doivent oeuvrer en usant de leur puissante influence sur la RDC, la MONUC, l'Union Européenne et les ONGs pour hâter le retour coordonné des familles déplacées par la rébellion dans leur foyer d'origine ;
Les États-Unis, avec le dispositif de secours et le matériel logistique dont ils disposent dans leurs bases militaires de l'Océan Indien et de l'Océan Pacifique, doivent prendre part au processus de formalisation de retour des familles chez elles.
Ce sont les avions C 130 qu'ils ont à profusion qui peuvent être sollicités pour rendre efficace en un temps très court ces genres d'opérations ;
Les États-Unis, par leur équipements telluriques potentionmétré s, peuvent dans une entente bilatérale avec la RDC s'engager au travail de déminage des campagnes cogolaises truffées des mines laissées par l'armée rwandaise ;
Les États-Unis, par l'autorité qu'ils ont sur le Rwanda et l'Ouganda, doivent obliger les États-Major des Armées rwandaise et ougandaise à livrer les cartes sur lesquelles ils signalent les champ des mines afin de faciliter à leurs spécialistes de déminage à passer sur ces sites pour nettoyer la signature meurtrière de paul Kagamé et yoweri Museveni, etc.
AU PLAN JURIDIQUE ET PÉNAL
Les États-Unis, devraient au niveau de leur Congrès, constituer une large Commission d'enquête pour ausculter les raisons qui ont poussé l'Administration Clinton à provoquer la guerre en République du Zaïre, aujourd'hui République Démocratique du Congo ;
Les États-Unis doivent faciliter la CPI ou le TPI d'entrer en possession de la boîte noire du falcon français abbatu au dessus de Kigali pour permettre l'avancement de l'enquête qui doit déterminier si c'est vrai ou faux, la responsabilité de Paul Kagamé est engagé dans ce bombardement qui a déclenché la guerre fratricide rwando-rwandaise, aussi nommé génocide de 1994 ;
Les États-Unis doivent cesser de s'interposer comme un bouclier qui fait obstacle à la justice pénale internationale d'inculper Paul Kagamé et yoweri Museveni pour leurs crimes contre l'humnaité, leurs crimes de guerre, leurs crimes contre la personne et leurs crimes contre la nation congolaise, le Rwanda et le Burundi, crimes au cours desquells cinq Présidents sont morts successivement, à savoir Mobutu Sese Seko indirectement et directement Juvénal Habyarimana, Melchior Ndadaye, Cyprien Ntariyamira et Laurent Désiré Kabila ;
Les États-Unis doivent apporter leurs concours aux enquêtes des Juges Jean-Louis Bruguière qui n'attend que le feu vert de Washington pour inculper Paul Kagamé et Baltazar Garzon qui poursuit le Président rwandais d'avoir assassiné lespr^tres, les religieux et religieuses espagonls et québécois, ces derniers cités étant des Nords-Américains ;
Les États-Unis doivent aider la population congolaise en obligeant le Conseil de Sécurité de l'ONU à faire condamner le personnel de la MONUC et le contingent de ses soldats qui se sont déshonorés au cours de leur mission en RDC par des viols, par la pédophilie et par les orgies de toutes sortes sans compter des cas de sodomie de certains caïds délinquants en uniforme.
Sur cette question douloureuse de la Congolaise traitée comme une chienne sous la coupe des chiens chauds, la presse congolaise, en ce jour du 4 aöût 2004, vient de produire une dépĉhe qui fait écho d'un viol des quatre soldats ghanées sur une jeune fille congolaise dans la broussaille de l'aéroport international de Kinshasa autour du camp d'entraînement des parachustistes. L'article de l'Agence Congolaise de Presse présente cette situation en ces termes :
"La Police nationale congolaise s’est refusée lundi à Kinshasa à toute déclaration sur l’arrestation de casques bleus pour viol d’une jeune fille dans les environs de l’aéroport de N’Djili. Une patrouille de la garde républicaine a mis la main 24 heures auparavant sur cinq casques bleus qui violaient une jeune fille dans l’une des maisons inachevées qui séparent le camp CETA (Centre d’entraînement des troupes aéroportées) du quartier Mikondo, dans la commune de Kimbanseke, selon des sources aéroportuaires.
Les cinq casques bleus du contingent ghanéen étaient commis à la surveillance des installations de l’aéroport, selon la source qui a souligné que ces soldats ont été transférés à la police des étrangers, à « Kin Mazière », siège des services spéciaux de la police nationale congolaise à Kinshasa/Gombe. Le dossier serait en cours d’instruction. La RDC, rappelle-t-on, héberge le plus important contingent des soldats de l’ONU dans le monde, évalué à quelque 18.000 hommes de troupes. Source : Agence Congolaise de Presse/Mask/ Fédé « La Police se refuse à toute déclaration sur l’arrestation de casques bleus »
Le crime contre l'humanité au Congo est véhiculé par presque tous les corps qui viennent prendre part au processus de pacification. De la MONUC aux ONGs de diverses nationalité, le Congo est devenu une terre de récréation macabre de l'infra-humanité . Vu ce traitement que l'on réserve à mon peuple alors qu'il existe tous les cadres juridiques et militaires, en particulier ceux laissés par Franklin Roosevelt au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, je suis écoeuré de constater que nous Congolais ne sommes vu que comme des fifrelins. Tout désaxés en quête d'aventure sexuel, de meurtre et de pillage nous choisissent pour étancher sa soif libidineuse, morbide ou de la soldatesque. C'est terrible ! Nous des êtres humains et non des chiens, encore moinsdes bêtes de somme que l'on abat n'importe quand lorsque vient la rage de voir couler le sang.
IV. LA DÉMOCRATIE N'EST PAS UN MONOPOLE DES PAYS DE L'ATLANTIQUE NORD
À peine que l'on a fait un semblant de faire taire les armes au Nord-Kivu et au Sud-Kivu par stratagème d'évitement des reproches, les intervenants impose à l'Armée Nationale Congolaise de brasser les rebelles dans ses rangs. Or, à travers ce prétexte vanté sous le label de réconciliation nationale, il se cache l'opprobre de désorientation de la vérité vers la polarité de la victime des crimes commis au Congo par les multinationales et leurs hommes de mains désormais habillé de l'uniforme officiel de l'État.
Pour se déguiser et passer incognito dans cette foire de la gabegie, de subversion et de mort imposée aux Congolais, le bandit accoutré en soldat légal continue, sous l'étiquette des armoiries congolaises à piller au nom de son commanditaire. Ce faisant, quand le crime de viol, de meurtre ou de toute autre vice est signalé, c'est sur le soldat congolais que l'on porte l'accusation la plus ignoble et le blâme immoral qui soit dit à l'encontre d'un militaire.
L'astuce de détourner le crime au Congo est bien trouvé au point que les criminels de tous horizons en ballade en RDC ne se sentent pas concernés par leurs forfaits. L'exemple probant de cette fourberie, c'est le Président ougandais, Yoweri Museveni, celui-ci s'est permis devant ses pairs africains à Dakar de dire contre les Congolais des propos insultants leur dignité et leur honneur.
Ce cruel héritier du Maréchal Idi Amin Dada a dit : « Qu’à côté de l’Ouganda, il y a un grand pays dont les habitants étaient amorphes et les dirigeants inexistants ». Qui croirait à ces stupidités de sadique tueur, voleur et violeurs des Congolais ? Sans doute la Communauté internationale. C'est ainsi que d'une faute commise par un autre, on passe facilement à l'imputabilité congolaise.
Aussitôt la sentence prononcée, on entend les enseignements moraux vienant de toutes les directions de la planète pour inculquer aux Congolais les notions de la démocratie pendant que ces mêmes intervenants refusent de voir la misère de la déshumanisation que la main des organisations criminelles venues d'ailleurs cause aux populations de la RDC et à leur cadre de vie quotidienne. Eh bien, que va-t-il falloir dire objectivement ?
La démocratieque l'on évoque n'est pas un monopole de l'Occident et la paix une licence des pays de l'Atlantique Nord. Les guerres qui ont vu le jour en Afrique subsaharienne ces vingt dernières années ne sont-elles pas une manufacture portant la signature des grandes puissances qui dispensent le cours des sciences politique au Continent noir ?
La guerre au Libéria ;
La guerre en Sierra Léone ;
La guerre au Rwanda ;
La guerre en République Démocratique du Congo, etc.
Ces conflits qui ont endeuillé l'Afrique noire durant les deux dernières décennies n'ont-elles pas pour épicentre les grandes puissances ? Pourquoi les médias occidentaux qui font écho des sauvageries allégués aux Africains ne se rabattent-ils pas sur les sentiers originaire des éruptions des conflits dont le centre névralgique est en Occident. Cette approche fausse des médias du Nord se sert des mensonges en omettant plusieurs vérités sciemment.
L'autopsie vraie des des dernières guerres en Afrique, dont la plus cruelle et immensément meurtrière qui a fait plus de six millions de victimes en RDC, n'est nullement occultée, or son moule foetale est dans les chancelleries des puissances majeures du globe. La cause qui explique succintement les drames des États du Continent noir en guerre est la ruée vers l'or, le diamant, le coltan et les autres ressources minérales et végétales dont rgorge le Congo et l'Afrique des Noirs.
Au demeurant, ceux qui contextualisent les offensives de guerres en Afrique subsaharienne et dans le Tiers-Monde sont les Nations occidentales qui déversent les armes de tout calibre et qui commencent à ressentir la concurrence russe, chinoise et indienne.
En substance, c'est aux pays surindustrialisé s de faire acte de contrition et de respecter les principes de bonne conduite qu'elles font observer les États démunis et sans économie capable pour soutenir une guerre sans eux. Dans le cas crucial séant, les pays de l'Atlantique Nord et les puissances adverses à leur hégmonie doivent cesser de faire la sourde-oreilleaux cris de deuil qui fusent de la RDC dans tous ses azimuts. Le Conseil de Sécurité de l'ONU, avec le concours du poids politique des États-Unis, doit sonner les glas contre la mort gratuitement et inutilement donnée au Congo.
Le viol des femmes doit être arrêté et une décision d'autorité doit tomber pour contraindre toutes les velléités de récidive et des dispositions belliqueuses de va-t-en guerre. Partant, c'est d'une résolution qui éradique les rébellions au Congo, car ceux qui tuent le font parce qu'ils ne sont pas inquiétés pour les crimes qu'ils commettent. Les assassins des Congolais sont des individus occupés à cette activité criminelle à cause des dividendes qu'ils y tirent, ils sont rebelles parce qu'ils volent, vilent et pillent. En d'autres mots, le crime organisé n'est pas une entreprise de la pégre congolaise, mais des étrangers qui égorgent en RDC.
J'en viens aux considérations finales de ma réflexion sur ce qui doit être présenté à l'intelligence de la diplomatie des États-Unis d'Amérique. Cette pétition résume mon indigantion contre l'indifférence des grandes puissances et de la Communauté internationale face à la violence faite aux Congolais.
Malgré ma petitesse dans cet écahfaudage des malheurs en RDC, j'accuse la Maison Blanche, sous le label de l'Administration Clinton, dans le rôle qu'elle a joué pour infantiliser, déshumaniser, marginaliser et infra-humaniser les Congolais, mon peuple. Ce n'est que chose juste que de rappeler à un géant les souffrances qu'il inflige à u tout petit.
Le faire, ce lui rendre service afin qu'il se rende compte des habitudes que ce dernier a perdu à cause du langage de sa puissance, laquelle est redouté par toute tentative d'interpellation. Mais à l'inverse, qui peut se taire en Amérique devant la mort de tant d'individus innocents au taux de plus de six millions ? Je n'en vois nenni. Quand bien même l'observateur désintéressé serait Franklin Roosevelt, celui-ci réagira contre le mal qui fait farandole devant lui, c'est pourquoi d'ailleurs ce grand homme d'État américain a crée les Nations-Unies à San Francisco, en 1944.
Toutefois, il impérieux et même catégorique que je me fasse comprendre dans la tonalité de ma poignante pétition. Ce n'est pas le peuple américain qui a infligé ces horribles souffrances aux Congolais, à leurs familles et à leur pays, mais la Maison Blanche sous l'Administration Clinton. Cette mise au point est essentielle d'être rappelée, car la vérité bien dite est digne d'être entendue sans les interéfrences des termes mal énoncés et moins clairement dits.
On n'a pas construit le Congo avec les Toyota, les Kia, les Scania, les Mitsubishi, mais ce pays a été mis en chantier avec la machinerie du génie des États-Unis, à savoir le Caterpillar, la Ford, la Chevrolet, le Pontiac, le Desoto, le Studebaker, le Plymouth, le Fargo, la GMC, l'International Harvester, la Dodge. Les stations d'essence, partout au Congo, avaient pour noms Shell, Texaco, Fina, Petro-Fina, Pétro-Congo, Mobil Oil. Et à tout cela, la première Université du Congo fut construite avec le financement de la Fondation Rockffeler, en 1956. Ces souvenirs doivent bien signifier quelque chose à la mémoire des Américains et des États-Unis.
Cette double identification de l'Amérique humaine et transactionnelle présente au Congo et en Afrique noire depuis plus de cent ans doit inciter les Étatasuniens à cesser de se taire lorsqu'ils assitent sans réaction d'indigantion devant le spectacle de la boucherie des Congolais offert en appât aux sbires du Président rwandais Paul Kagamé et du Président ougandais Yoweri Museveni amusés de voir mourir le peuple de la RDC comme des mouches devant une bombe d'insecticide.
Les États-Unis ne sont pas un pays de passivité, car les Américains, au nom de la liberté et du droit de l'homme envoient leurs enfants, comme en 1914-1918 et 1940-1945, à offrir leurs vies pour un idéal suprême d'altruisme au nom de la dignité humaine. Il est temps que reanisse cette puissance de la foi en l'homme qui sommeille sous le poids du chloroforme du néo-libéralisme, idéologie qui a écarté l'importance de la personne humaine pour l'intérêt du Capital et de la place boursière internationale.
V. LE LANGAGE DE CETTE PÉTITION
Cette pétition n'accuse pas les États-Unis sur les bases d'une présomption mal placée, la vérité est même reconnue par le Cabinet de Bill Clinton, lui-même, c'était en 1997. Quelle que fut la taille de Washington face à celle de la RDC, rien ne lui donne la jouissance d'organiser la mort des autres chez eux pour plaire aux besoins d'approvisionnement de ses industries en ignorant les lois universelles de la cohabitation harmonieuse. L'Amérique, elle-même, n'accepte pas qu'on lui face des intrigues, les moindres dumpings, vrais ou faux, attribuables au Canada, par exemple, sont suivis des repésailles commerciales très virulentes. L'illustration qui dépeint cette agressivité de la réaction américaine est dans le dossier du "bois d'oeuvre".
Et le moindre faux pas aux normes de la santé publique, l'Amérique ne lésinne pas dans les moyens à prendre pour punir le partenaire qu'elle reproche. Sur ce chapitre, les Canadiens ont été les plus grandes victimes des colères de Washington, c'est le douloureux dossier de la "vache folle" en 2003. Certains fermiers de l'Alberta se sont suicidés. Partant, il n'est pas indu que les Congolais demandent des comptes à l'Amérique pour la mort ignoble de ceux-ci par les exécuteurs rwandais et ougandais. En tout cas, au sujet de la preuve du Cabinet Clinton qui reconnaît le mal fait contre les Congolais est dans ce paragraphe :
"Les États-Unis ont longtemps gardé le silence sur les massacres et éludé d'importantes questions telles que le nombre de réfugiés au Congo après novembre 1996 et le rôle des troupes rwandaises dans les forces de l'AFDL. Pendant toute cette période, les gouvernements rwandais et ougandais n'ont cessé de démentir que leurs soldats combattaient au Congo, déclaration trompeuse que les États-Unis n'ont pas mise en doute publiquement. Comme d'autres en Europe, les États-Unis savaient dès le départ que le Rwanda et l'Ouganda avaient envoyé chacun au moins mille hommes pour appuyer Kabila. Mais, pendant des mois, ils ont continué à soutenir que l'AFDL était une force purement congolaise.
L'étendue du soutien politique, économique et militaire, qui ne fait plus l'ombre d'aucun doute, apporté par les États-Unis au Rwanda est allé bien au-delà d’un entraînement militaire «modéré, inoffensif et gentil», selon Vincent Kern, secrétaire adjoint la Défense, enfin obligé d'admettre, le 4 décembre 1996, "l'implication gentille !" de son pays dans le conflit zaïrois. Des témoins, à Kinshasa et à Goma, ont signalé à IRW et à la FIDH qu'ils avaient vu des soldats américains sur le territoire congolais à différentes reprises entre novembre 1996 et août 1997.
Un des témoins, qui a une grande expérience militaire, a signalé avoir vu les Forces spéciales de l'armée américaine en uniforme dans les villages de Walikale et Kanyabayonga au Nord-Kivu, le 23 et 24 juillet 1996, accompagnant les troupes ougandaises dans la zone de Ruwenzori au Congo et encore pas plus tard qu'en août 1997." Propos recueilli par GILBERT Perrin, de la revue Vie, no 2722, du 30 octobre 1997.
La vérité du grand mal est là, les États-Unis sont responsables de l'enlisement du Congo dans le bourbier de la politique de décadence. Il y a eu des hommes d'État extraordinaires au pouvoir en Amérique, mais au cours d'un travail délibérément planifié par d'autres patrons de la Maison Blanche, de connivence avec Bruxelles et surtout l'antipathie américaine contre Paris, ont au fil du temps construit l'hécatombe de la tragédie congolaise.
Dans la morale comme dans l'éthique, celui qui fait des victimes est invité par la loi humaine de faire amende honorable. Le passage de Madame Clinton à Kinshasa, Secrétaire d'État aux Affaires Étrangères des USA, est une entremise pour les Congolais de dire poliment et sans crainte leurs récrminations pour les torts que l'Amérique a causés à leur pays. Madame Hillary Clinton aura vécu de visu les conditions de vie des familles déplacées de leurs foyers. Ce mémorandum exige que Paul Kagamé et Yoweri Museveni soient condamnés pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité, crimes contre la personne et crimes contre l'humanité.
V. LE DÉSAVEU PLAUSIBLE D'UN ANCIEN DE LA CIA AU CONGO
Cette réflexion ne vient pas des Congolais sur les activités clandestines que les États-Unis ont parrainées contre le Congo, la RDC, le Zaïre et la RDC/bis depuis l'indépendance, c'est un diplomate américain, Larry Devlin, qui a eu la mission de faire assassiner Patrice Émery Lumumba, en 1961, par la CIA, qui témoigne à la place du peuple meurtri que nous sommes, nous Congolais :
"En se dérobant de sa part de responsabilité morale sur le sort de Lumumba, les Etats-Unis brouillent l'histoire entre l'Afrique et l'Amérique et évitent ainsi le besoin de faire réparation pour les méfaits d'hier. En 1997, après la chute du régime de Mobutu, l'opposition démocratique congolaise a supplié en vain pour un appui aussi bien américain qu'international. Depuis lors, près de 3 millions de vies ont été perdues à cause aussi bien de la guerre civile que du conflit régional.
Les Etats-Unis n'ont pas soutenu une force de maintien de la paix des Nations-Unies ou stimulé une transition démocratique. L'échec des négociations d'avril 2002 entre les factions congolaises menace de ranimer le conflit et de ratifier le partage du pays. Les actions de notre gouvernement au Congo, il y a quatre décennies revêtent aussi une signification spéciale après la tragédie du 11 septembre.
Elles montrent que même si nous défendons, avec raison, notre terre et notre peuple contre le terrorisme, nous devons éviter l'excès de peur et de zèle qui mène à une intervention destructive qui trahit la plupart de nos principes fondamentaux. " Source : Larry Davlin, au Washington Post, faisant suite au commentaire du livre de Dr Weissman est l'auteur de "A Culture of Deference ; Congress's Failure of Leadership in Foreign Policy".
La démocratie n'est pas occidentale, elle est africaine au départ, car la liberté n'a pas souffert de confiscation de statut comme en Occident. Ce sont les Européens qui sont venus l'enlever aux Africians, aux Noirs et non l'inverse. Pour être nommée "Liberté" et pour être exaltée comme une vertu du droit et de la démocratie, ce terme, j'ai cité liberté, raconte l'histoire des sourffrances qu'une personne ou un groupe a infligé à ceux dont la force a été conquis par l'action d'une agression physique.
Or, en Afrique noire, la règle d'or avant d'être un leitmotiv de rappel de la souveraine majesté de la personne, les négro-africains tenaient pour essentiel à leur existence individuelle et communautaire, l'intégrité physique de tout être humain. Il n'existe aucun village en Afrique, malgré l'absence d'une coutume juridco-politique de l'opposition comme paravent de l'équlibre des rapports institutionnels, un chef qui décide seul. Tous les établis se décident par consensus et à l'unanimité.
Comme quoi, le Continent noir dans son constitut traditionnel, même sans Parlement sait légiférer démocratiquement. Ce qui amène quiconque connaît ce système à dire que la démocratie n'est pas un monopole de l'Occident. Évidemment, il ne faut pas mêler Mobutu, Bongo, Houphouët Boigny à cette notion, ces chefs d'État ont contaminé la coutume avec les ajouts de leurs enjeux politiques visant les réelections multiples à la tête de l'État.
VI. CONCLUSION
En guise de conclusion, j’émets ce point de vue. Les États-Unis doivent maintenant faire leur Pérestroïka, c'est-à-dire qu'ils doivent chercher à conformer leurs politiques aux nouvelles réalités, sans toujours vouloir arracher les positions dominantes dans les questions internationales et globales. L’Amérique doit également intégrer certaines valeurs culturelles de l’étranger à son savoir-faire, spécialement celles des pays moins nantis, comme le géant étouffé de l'Afrique centrale, la RDC.
L'Amérique doit aussi associer la Russie et la Chine Populaire aux décisions majeures de la marche de notre planète en qui concerne l'environnement sans oublier le Congo, qui, avec le Brésil sont les poumons du monde par leurs végétations. Et si cela était possible, les États-Unis doivent collaborer avec les États-Majors du Tiers-Monde à partir de Kinshasa pour apprendre ce qui leur échappe dans la psychologie des terroristes, des rebelles et des bandes armées auxquelles les Nations pauvres font face.
Ce choix est capital, car l'Occident pour se libérer des totalitarisme a été financé par le Congo-Belge qui est aujourd'hui, la RDC, ce sont là en somme les Hauts-faits des Congolais dans la marche de la planète. Qui qu'exterieur aux systèmes dirigeants représentés par les Organisations, les Institutions et les Gouvernements, j’exhorte les Institutions américaines de revisiter les valeurs fondatrices de l’Amérique, c’est sera là une bonne rétrospective d'un parcours qui doit être regardé pour inspirer les États-Unis qui ne sont plus isolés comme autrefois par l'Atlantique Nord.
Le Congrès américain doit également, sans obliger personne, encourager la pratique de la religion chrétienne comme le faisait leurs ancêtres, car les États-Unis sur plusieurs tableaux d'eux-mêmes, sur le Dollar par exemple, font la preuve de cette pratique de profession de foi. Tous les Présidents américains prêtent serment sur la Bible. Il n’existe aucune civilisation athée sur la surface de la terre. C’est cela qui va augurer la Pérestroïka à l’américaine, prélude à la véritable révision constitutionnelle du pays. Deux siècles sont amplement suffisants pour dépoussiérer une Législation nationale demeurée vierge dans son fondement originel.
Cet exercice fera voir à l'Establishment que son indifférence au credo des fondateurs des États-Unis entraînent les multinationales et les Présidents qui composent avec elles à être sans âmes devant le spectacle de la mort des Noirs dans leurs pays, comme c'est le cas actuellement en RDC où ce ne sont que les Congolais qui sont les victimes et les coupables des méfaits d'une certaine main manupulatrice de Washington. Au sujet des voies et moyens qui vont éclairer la vérité sur la mort des Congolais dans un conflit qui n'est pas le leur et pour lequel, la Maison Blanche a donné son appui aux officiers des armées régulières rwandaise et ougandaise. L'Administration Clinton savait que ceux-ci étaient déterminés à prendre le pouvoir par le fer et le sang dans leur pays respectifs puis au Zaïre.
Ce faisant, au-delà des reproches qui peuvent être faites à la Communauté Internationale pour son manque d’assistance à peuple en danger, les Congolais, il y a lieu d’évaluer la responsabilité des dirigeants rwandais de deux camps, Hutu et Tutsi. Sauter directement sur les conclusions hâtives qui inhiberaient la possibilité de voir clair dans le dossier du génocide au Congo, ce serait là continuer à ignorer les crimes des officiels rwandais en RDC.
Bien des procédures floues aient assombri les possibilités de mettre en place une Commission d’enquête sur la destruction du Congo, il y a suffisamment des pistes pour remonter en aval de toutes les rébellions qui ont massacré massivement les Congolais. Au demeurant, ce sont deux tribunaux, la CPI et le TPI qui à juger les criminels du régime de Kigali pour leurs crimes au pays des femmes violentés et par le FPR et les FDLR.
À titre d'histoire, voici la structure du plan d'agression de la RDC telle qu'elle a été pensée par les architectes de la Maison Blanche pour déstabiliser la nation congolaise.Plan d’agression du Congo existe
Supputation de la Maison Blanche sur les enjeux gratifiants de la RDC apr s le génocide au Rwanda
Exploiter les tensions inter-armées sur le foyer des désaccords récurrents
Attiser les tensions inter-ethniques Hutu-Tutsi, les Congolais ayant été fichés comme Hutu
Rendre poreuses la frontière de la RDC aux incursions des rebelles du FPR
Ordonner au Rwanda et l’Ouganda d’attaquer la RDC avec leurs armées pour chasser Mobutu
Processus d'invasion : Massacrer les opposants, Guerre en finir avec les Forces Armées Zaïroises, Médiatisation de la guerre par le mensonge des médias occidentaux, Camouflage des victimes civiles tués par les Rwandais, les Ougandais et les mercenaires de tout bord.
La rançon de l’agression : gratifier Paul Kagamé et Yoweri Museveni des territoires sur lesquels les Congolais sont chassés, c’est fut d’ailleurs là la stratégie de la terre brûlée que Laurent Nkundabatuare a constamment appliqué aux injonctions directives secrètes du Président rwandais. Celui-ci a reconnu au Washington Post sa responsabilité direct dans l'embrasement de la République Démocratique du Congo lorsqu'il était soutenu de visu par la Présidence des États-Unis. Cela étant, il faut passer aux derniers mots de la pétition.
Ce n'est plus dans les décors de la mise à feu du Congo par les pyromanes de cette République qu'il faut dégager les intentions de la renaissance de l'âme congolaise meurtrie, mais dans la vision d'un homme de charité et de paix vers qui je recours pour expliciter comment j'entrevois le respect à devoir aux Congolais par la Communauté internationale et par les tenants-lieu de l'éthique publique universelle. Il s'agit d'un Docteur qui a consacré sa vie à soigner les psetiférés de la lèpre.
Les Congolais, par l'indifférence de tous les paliers de décideurs mondiaux sont dans la même similitude de contextualité . Ainsi, dans sa pratique médicale destinée aux soins de lépreux du Gabon, le théologien et médecin connu sous le nom de Dr Albert Schweitzer a dit que : "L’éthique du respect de la vie comprend en elle-même tout ce que couvrent les notions d’amour, de dévouement, de partage, de souffrances, de partage de joies et d’engagements pour le bien". Ceci fut le cri de coeur de ce médecin organiste de haute facture au cours de ses concerts de levée des fonds pour la construction de son hôpital au Gabon, à Lambarené.
Comme Congolais, par l'autorité morale que mes compatriotes exercent sur moi, je prie la "Maison Blanche" de regarder mon peuple comme des êtres humains et non comme des obstacles jonchant les pistes qui interdisent l'accès à l'exploitation des richesses minérales, fauniques et florales de la RDC. Plus de six millions de morts est une tragédie qui ne peut pas me confiner au silence à cause d'une peur ressentie face au gigantisme colossale de la puissance des États-Unis dans le monde. La gloire du puissant, c'est de regarder avec compassion la bas relief avec ses personnages qui gémissent.
La fable de Jean de la Fontaine dans le "Lion et le rat" m'identifie dans l'écran de cette communication que j'adresse à l'homme, nommé, le plus puissant du monde, j'ai cité, son Excellence, Monsieur le Président Barack Obama Président des États-Unis d'Amérique par l'entremise de son Secrétaire d'État aux Affaires Étrangères. C'est cela ma petition à Madame Hillary Clinton.
Djamba Yohé
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord
Ottawa, le 4 août 2009
Canada.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Vous publiez un livre bouleversant sur le TPIR et la tragédie du Rwanda. Plus de dix ans après, vous révélez qu’il n’y a jamais eu de planification d’un génocide par les Hutu et que le fax du général canadien, Roméo Dallaire, sur la planification du génocide est inexistant à l’ONU. Pensez-vous que le monde entier a été trompé sur la tragédie du Rwanda ?
Oui, l’ensemble de la planète a été trompé et manipulé. Je ne dis pas qu’il n’y a pas eu de morts au Rwanda mais je dis que ce qui s’est passé en 1994 est une guerre entre Hutu et Tutsi, que chaque groupe a tué et que chaque groupe a eu des victimes. Je publie les rapports des diplomates de l’ONU y compris les correspondances de l’ancien Secrétaire général de l’ONU Boutros Boutros Ghali qui décrivent exactement ce qui se passe sur le terrain au mois d’avril 1994.
Le mensonge et la manipulation ont fait croire au monde entier que cela était un génocide planifié par les Hutu contre les Tutsi. Aujourd’hui, j’apporte la preuve, à travers le tribunal pénal international, que c’est faux et que l’on condamne plusieurs personnes à perpétuité sur la base de faux et usage de faux.
En 2000 le rapport d’experts de l’OUA sur le Rwanda disait ceci : « A notre connaissance, il n’existe aucun document, aucun procès verbal de réunion et aucune autre preuve qui mette le doigt sur un moment précis où certains individus, dans le cadre d’un plan directeur, auraient décidé d’éliminer les Tutsi ». Aucun chercheur rigoureux et impartial ne peut examiner le dossier de la « planification du génocide » au Rwanda sans rechercher des dates précises, des témoignages précis et des preuves irréfutables.
C’est ce qui a été fait par des fonctionnaires de l’ONU. C’est en 1995 que M. Kahn, chef de la MINUAR, diligente une enquête interne et demande la vérification de tous les télégrammes, fax, et autres correspondances échangés entre Kigali et New York. Il veut savoir si le prétendu fax alarmant du général Dallaire sur la « planification d’un génocide » au Rwanda a été négligé. Il cherche surtout à savoir comment une information aussi importante qu’une « planification de génocide » a pu échapper à l’attention de tous les fonctionnaires de l’ONU. Il crée donc une commission d’enquête composée de trois officiers supérieurs. Le 9 novembre 1995, une note de l’un de ces officiers, le colonel J Fletcher, au représentant spécial du Secrétaire général, détaille tous les câbles de Dallaire à l’ONU depuis décembre 1993.
Le 20 novembre 1995, M. Kahn rend à son tour son rapport, non seulement sur le fax de Dallaire mais aussi sur la planification du génocide :« il n’y a eu aucune information ni indication d’un génocide planifié ». Depuis 1995, à l’ONU, tout le monde s’est assis sur ce rapport car c’est la première bombe qui explose le mensonge d’un génocide planifié contre les Tutsi en 1994. Je publie pour la première fois ce document.
Ceci signifie qu’on a menti au monde entier depuis dix ans. Pour mesurer le degré de mensonge du général Dallaire lui-même à propos de son pseudo fax alarmant sur la « planification du génocide », on peut simplement observer ce qu’il dit lorsqu’il est interrogé le 14 septembre 1994 à la télévision canadienne.
A la question : « Est-ce que selon vous, il y a eu un génocide au Rwanda, c’est-à-dire l’exécution d’un plan pour éliminer l’ethnie Tutsi ? », Dallaire répond : « Je pense que le débordement qu’on a vu a été au-delà de pouvoir être conçu. Mais qu’il y avait un processus de destruction politique modérée, oui. Que après ça, il y eut un enchaînement d’hystérie et de réactions de base, des gens et aussi qui ont été enflammés par des éléments extrémistes, oui aussi. Mais jamais je pense que personne n’aurait pu planifier l’ampleur des massacres ». Sans commentaire !
Vous ne pensez pas que ce livre provoquera la polémique ?Il provoque plutôt un malaise général. J’ai mené une enquête froide et impitoyable sur le plus grand mensonge que l’Afrique et le monde ont connu depuis la fin de seconde guerre mondiale. Le malaise vient du fait que j’aligne des faits, des documents inédits et des preuves irréfutables. Je comprends pourquoi toutes les personnes mises en cause dans mon livre sont obligées de se taire.
Ils craignent tous le scandale, un scandale international. Parmi les personnes et organismes que vous mettez en cause, il y a aussi des Français tels Jean-Pierre Chrétien, Jean-François Dupaquier et même l’Association Survie.Vous savez, Cheikh Anta Diop disait en 1984 que, sur des sujets controversés, les Africains doivent être capables, par leurs propres investigations intellectuelles, d’accéder à la vérité. Et que les idéologues perdront leur temps parce qu’ils auront rencontré des intelligences capables de leur tenir tête sur le plan de la recherche de la vérité.
Et souvenez-vous que ce Jean-Pierre Chrétien avait déclenché une campagne féroce, presque raciste à l’égard d’un disciple de Cheikh Anta Diop, Théophile Obenga. Ce Jean-Pierre Chrétien a aussi déclenché contre-moi une campagne féroce au point d’interdire ma présence au festival du scoop et du journalisme d’Angers. Il a menacé le responsable de ce festival de représailles et de faire retirer le parrainage du CNRS si ma présence à ce festival était confirmée. Mais pourquoi vous attaque-il avec tant de violence ?
Parce que ce pseudo expert de l’Afrique et du Rwanda a une piètre connaissance du dossier rwandais et ma présence dans un débat public face à lui allait prouver son incompétence et surtout sa malhonnêteté intellectuelle. Je donne des détails précis sur son travail dans mon livre et il ne peut me contredire. Pour remettre les pendules à l’heure, j’ai préféré enquêter sur ce Jean-Pierre Chrétien, sur son expertise réelle dans l’affaire du Rwanda et sur son niveau de connaissances sur l’Afrique.
Alors quelles sont vos découvertes ?Cet homme est né le 18 septembre 1937 à Lille. Après l’obtention d’une agrégation d’histoire en 1962, Jean-Pierre Chrétien, nostalgique de l’époque coloniale, a décidé de poursuivre sa carrière en Afrique. C’est ainsi qu’il choisit de s’installer au Burundi. Pendant quatre ans (1964-1968), il enseigne l’histoire dans ce pays. En fait, l’Afrique lui sert de tremplin car il craint de finir sa vie comme professeur au lycée Fontenelle de Rouen. Pour gonfler son parcours, il devient enseignant à l’Ecole Normale Supérieure du Burundi au titre de la coopération. C’est ce qui lui permettra de revenir rapidement en France pour négocier une place d’assistant à l’université de Lille III.
En trois ans seulement et avec une simple agrégation de l’enseignement secondaire, Jean-Pierre Chrétien passe, grâce à l’Afrique, de professeur de lycée à maître-assistant à l’université. Il n’a donc sur son curriculum vitae ni DEA (Diplôme d’Etudes Approfondies) ni doctorat. Voilà pour son CV.Lorsque arrive le drame du Rwanda en 1994, M. Chrétien s’auto-désigne « expert » du Rwanda. En réalité, il travaille surtout comme sous-traitant pour deux associations de « délateurs-menteurs », proches du gouvernement rwandais : les associations Ibuka et Survie. Il décide de s’attaquer à un certain nombre de personnes qu’il considère comme des responsables du génocide.
En clair, Jean-Pierre Chrétien commence à fabriquer des « coupables » du génocide rwandais. Ce que veut son protecteur Paul Kagame.Dès 1995, il jette son dévolu sur un prêtre rwandais réfugié en France, le père Wenceslas Munyeshyaka. Pour briser la vie et la carrière de ce prêtre rwandais, Jean-Pierre Chrétien appelle ses amis et ils vont manifester le dimanche devant l’église où ce prêtre dit la messe. Cette méthode va profondément choquer les fidèles présents à l’église. Mon enquête auprès de la préfecture de police de Pontoise, lieu de résidence de M. Dupaquier, m’a réservé bien des surprises. J’ai par exemple découvert l’association Mémorial international dirigée par M. et Mme Dupaquier dont Jean-Pierre Chrétien est le vice-président.
Une véritable association de militants pro tutsi qui se moque éperdument des victimes françaises et du sort des veuves françaises de l’attentat du 6 avril 1994 mais qui agresse partout les Hutu innocents. Alors, le vice-président du Mémorial, Jean-Pierre Chrétien, est-il un chercheur impartial ou un militant invétéré ? Je vais vous donner d’autres précisions. En 1998, l’ancien directeur de recherche du CNRS, Jean-Pierre Chrétien, fatigué de traquer un prêtre rwandais en France, décide d’attaquer une nouvelle victime en Suisse. Il s’agit de l’ancien ministre rwandais de la Défense, M. James Gasana.
Une enquête conduite simultanément par l’auditeur militaire en chef de l’armée suisse et par un expert indépendant, M. Wirz, professeur d’histoire africaine à l’université Humboldt de Berlin, aboutit à la conclusion sans équivoque de l’innocence de James Gasana dans le « génocide » du Rwanda. Le Conseil fédéral suisse rend définitivement son avis en déclarant que James Gasana n’a en rien participé à la marche du Rwanda vers le chaos.
Dès que M. Chrétien a déclenché sa campagne contre ce Rwandais, il a perdu son travail alors qu’il avait des enfants à nourrir. Voilà le travail lamentable de ce chercheur. Il faut dire qu’il a affaibli le niveau de la recherche française sur le Rwanda avec des méthodes de ce genre.
Mais pourquoi Jean-Pierre Chrétien et ses amis mènent-ils des actions aussi brutales contre des gens qu’ils doivent, d’après vous, quelque part savoir innocents ?Jean-Pierre Chrétien et de Jean-François Dupaquier sont avides d’argent. Ils ont gagné beaucoup d’argent en mentant à outrance et en faisant condamner des innocents au TPIR.
Ce sont des colons sans scrupules. Savez-vous que Jean-Pierre Chrétien était payé 7500 dollars par mois de travail, soit 200 dollars par jour de travail d’après son contrat daté du 8 octobre 2001 et que Jean-François Dupaquier a touché 18 000 dollars du 1er juillet au 31 octobre 2001, soit 200 dollars par jour de travail. Au mois de novembre 2001, il touche 6000 dollars pour un piètre travail partisan. Certains des contrats évoqués ont transité par l’association Survie en provenance du TPIR sous le numéro de fax 43 20 55 58 de cette association.
Voilà ce que les Africains de bonne foi ignorent de cette bande de menteurs et de manipulateurs.Ils véhiculent à travers l’affaire rwandaise, le discours raciste de « la barbarie nègre» cher à certains colons. Ce sont les colons « du génocide » rwandais, qui sous le masque d’expert distille méthodiquement leur haine raciale au nez et à la barbe des Africains inconscients de ceux qu’ils font. Et l’association Survie leur sert de bunker colonial. C’est dans les bureaux de l’association Survie qu’ils vont émettre des fax de menace contre le procureur Carla del Ponte. Par exemple, le 7 mars 2000 à 12h23, Survie ouvre la ligne de fax numéro : 01 43 20 55 58 pour que de faux experts se défoulent sur Carla del Ponte.
Défendre la justice, c’est défendre la vérité en toute impartialité. Chez Survie, le travail de vérité se fait plutôt dans la sélectivité et la connivence, le parti pris et la publicité mensongère. Cette étrange association qui ne jure que par « la défense de l’Afrique », est devenu le cabinet noir de Kagame à Paris. Leur noir silence sur le massacre des Congolais par l’armée de Kagame est stupéfiant. Le noir silence de Survie est encore plus cruel lorsque le même Kagame jette arbitrairement en prison son ancien collaborateur et meilleur ami de l’association, Pasteur Bizimungu, ancien président de la République rwandaise.
Le feu président de l’association Survie, François-Xavier Vershave, n’avait jamais mis les pieds en Afrique pour voir comment vivent les Africains. La seule et unique fois qu’il s’y est rendu c’était pour voir son ami dictateur Paul Kagame et recevoir des ordres pour faire la publicité des Tutsi de l’APR à Paris. De nombreux Africains ignorent le travail occulte des cette étrange association qui n’a aucun Africain dans sa direction.
Dommage pour ces amis de la Françafrique qui adorent tant les Africains et sont prêts à mourir pour eux. Ce que je dis dans mon livre c’est que Survie a joué sur l’émotion et sur la souffrance objective des Africains. Survie l’a bien exploitée en utilisant l’image des héros des indépendances africaines et de la lutte anticolonialiste. Survie a ainsi obtenu un blanc-seing des Africains. Voilà la clef de la manipulation. C’est en s’appuyant sur les grands noms de l’Afrique et sur le colonialisme français que Survie recrute les Africains à tours de bras. C’est sur cette « fraternité coloniale » que Survie fait cuire ses épinards en y mettant beaucoup de beurre.
Vous publiez aussi deux rapports de la CIA sur l’attentat.Je publie certes les rapports de la CIA sur cette tragédie mais surtout les correspondances de la compagnie d’assurance britannique Lloyds qui a payé plus de 2 millions de dollars aux familles des victimes de l’attentat du 6 avril 1994 et l’argent a été détourné par l’actuel gouvernement rwandais. J’ai obtenu une tonne de documents de preuve sur cette affaire. Revenons sur le problème Hutu-Tutsi. En lisant votre livre on constate que leur haine est ancienne.
Pouvez-vous nous dire brièvement l’origine de leur conflit.Peu de personnes savent que, avant 1960, il a régné pendant longtemps au Rwanda, une monarchie tutsi qui a fait des hutu les serfs des grands seigneurs tutsi. Ils les traitaient comme des esclaves qui n’avaient pas accès ni à la sphère politique, ni au pouvoir économique. Ils étaient brutalisés et soumis à des lois racistes. C’est pour mettre fin à ce système cruel de servage que les Hutu se sont organisés en 1959 avec ce que l’on appelle « la Révolution sociale » qui a mené à la fin de la monarchie et à l’avènement d’une République.
Ce combat coïncidait avec la lutte pour les indépendances et les Belges qui soutenaient jusqu’alors les Tutsi et s’étaient appuyés sur leur système monarchique pour dominer le Rwanda, ont changé leur fusil d’épaule et ont décidé de soutenir les Hutu qui refusaient d’être écrasés. Les Belges ont compris que pour maintenir leur pouvoir sur le Rwanda, il leur fallait soutenir les Hutus majoritaires. Voilà l’origine de la haine Hutu-Tutsi.
En 1994, les Belges savent que les Tutsi vont reprendre le pouvoir avec l’appui de l’Ouganda et des Etats-Unis et une fois de plus, ils changent de camp et soutiennent à nouveau les Tutsi. Voilà les raisons pour lesquelles tout le monde ment sur les événements qui sont survenus dans ce pays en 1994. Vous revenez sur l’attentat du 6 avril 1994 avec d’autres révélations et témoignages. Mais pourquoi la communauté internationale se tait sur cet attentat qui a tout déclenché ?Tout le monde est embarrassé. Deux chefs d’Etat de pays membres de l’ONU, sont abattus par un missile SAM 16 russe et personne ne dit rien.
Le jour de l’attentat, la sécurité de l’aéroport de Kigali est pourtant entre les mains des casques bleus de l’ONU. Je sais aujourd’hui que le fameux général Dallaire a disparu cette nuit-là. On n’a jamais su où il était puisque ce n’est que vers minuit qu’il a appelé son chef l’ambassadeur Booh Booh pour lui dire autre chose en s’abstenant de parler de l’attentat. Imaginez-vous deux présidents occidentaux tués la même nuit dans un attentat terroriste et personne ne dit rien.
Non ! Je crois que tuer deux noirs, même s’ils sont chefs d’Etat, c’est comme tuer des chiens ou des lapins. Ni l’ONU ni personne ne veut savoir la vérité sur cet attentat. Pourtant, cet attentat est la clef de la vérité. C’est le premier coup d’Etat terroriste commandité et exécuté par les Tutsi de l’APR sur ordre de Paul Kagame et supervisé par un général de l’ONU, le général Roméo Dallaire.
Voilà l’angoisse de la communauté internationale.
Le Rwanda est une ancienne colonie belge mais pourquoi parle-t-on tant de la France dans les massacres du Rwanda ? Parce ce qu’on veut étouffer la vérité. La France a soutenu les Hutu mais elle n’a rien à voir ni avec l’attentat du 6 avril 1994 ni les massacres. D’ailleurs cinq Français ont été tués dans cette tragédie et par mi les Français qui accusent leur pays, ils seraient bien inspirés de demander la vérité sur l’assassinat de leurs compatriotes au Rwanda.
J’ai du mal à croire que le massacre des Rwandais intéresse plus les Français que l’assassinat de leurs compatriotes. Pourtant la Belgique est mouillée jusqu’aux os dans cette tragédie et là encore silence, noir silence. Elle aussi a eu 10 soldats tués au Rwanda. Mais là encore, pas d’enquête, silence et elle prétend cependant juger les Rwandais et plus amusant Hissène Habré. C’est le comble du théâtre et de l’humiliation des Africains. Imaginez-vous le Roi Léopold jugé au Congo ou dans un pays d’Afrique Central pour ses crimes.
Mais pourquoi les pays africains restent-ils muets dans cette affaire ?Ils ont peur. Ils ne veulent pas se mouiller en mettant le doigt sur cette grave affaire. Mais à force de ne rien dire, à force de se coucher à plat ventre et de ne jamais s’indigner devant les manœuvres tragiques de certains occidentaux et de certains pays africains, chacun, à son tour, risque de subir un Rwanda dans son propre pays. A lire votre livre on a l’impression que le TPIR utilise de faux documentsVous allez jusqu’à dire qu’un deuxième document douteux attribué à Kofi Annan aurait été produit au TPIR pour soutenir l’existence d’un fax imaginaire de Dallaire daté du 11 janvier 1994.
Une chose est désormais claire, la « planification du génocide » au Rwanda est contestée par des documents officiels et confidentiels des Nations Unies. Et le TPIR, qui produit des documents suspects, a du mal à apporter la preuve de cette planification. Plusieurs avocats américains, français, canadiens et africains peuvent confirmer mes révélations.Pour justifier son existence et sa réputation internationale, le TPIR a décidé d’utiliser tous les moyens pour maintenir et défendre la thèse d’un « génocide planifié par les Hutu ».
La dernière trouvaille du TPIR dans ce domaine est un Hutu dont le nom de code est ADE. Son vrai nom de est : Michel Bagaragaza. Il a obtenu du procureur du TPIR en personne un arrangement à l’amiable pour mentir et accuser plusieurs prisonniers innocents d’avoir planifié un génocide. En 2004, les enquêteurs du TPIR l’ont rencontré pendant près de quatre mois. Soit 637 heures d’audition.
Ils lui ont demandé de préparer des accusations de choc contre les hauts responsables du parti hutu, le MRND. L’ojectif de son témoignage est d’aider le TPIR à prouver qu’il y a eu « planification du génocide » en 1994 par les Hutu. Pour cela, le procureur a donc pris un certain nombre d’engagements notamment à faire assurer la sécurité de Bagaragaza ainsi que celle de sa famille, à renoncer à mener des poursuites judiciaires contre lui, à l’installer hors d’Afrique, à obtenir en sa faveur une substitution de peine, à changer son identité et sa physionomie par le biais de la chirurgie esthétique. Voilà le scandale du mensonge au ICTR.
Vous avez aussi rencontré l’ancienne procureure du TPR Carla del Ponte qui vous a fait des confidences sur le comportement de Kofi Annan à l’égard de la justice et des criminels Tutsi de l’APR.Oui, j’ai enquêté sur les raisons de l’éviction du procureur Carla Del Ponte, une femme courageuse, connue en Suisse pour la lutte contre les trafiquants de drogue et le grand banditisme. Elle avait mis la main sur un dossier gênant appelé « rapport Gersony ». Ce rapport avait été rédigé par un expert américain mandaté par l’ONU. Une fois achevé, ce rapport a été remarquablement étouffé par le gouvernement Clinton.
Dans un article paru dans la revue Africa International en octobre 2003, l’ancien ministre rwandais des Affaires étrangères de Paul Kagame, Jean-Marie Vianney Ndagijimana, raconte les coulisses de cette affaire : Soucieux d’en savoir davantage sur le rapport Gersony et sur l’étrange comportement de l’ONU et des Etats-Unis devant les crimes contre l’humanité commis en 1994 par l’APR, nous avons demandé des détails à Mme Carla del Ponte. Son témoignage est stupéfiant. Voici ce qu’elle m’a raconté : « Ce que je peux dire est que le fameux rapport Gersony est très important. Nous l’avons retrouvé et il est aujourd’hui dans les dossiers du TPIR.
Mais il n’y avait rien à faire. C’était non !Voyez-vous comment le monde entier a été manipulé ?Vous démontrer toute la campagne de corruption instaurée au TPIR, c’est effrayant ce que vous décrivez alors que des personnes sont condamnées à perpétuité pour génocide.C’est parce que ce sont des noirs et que l’on traite les noirs comme des animaux. Aucun tribunal en occident ne peut accepter ce qu’ils font avec le TPIR. Il faut que les Noirs des Etats-Unis et tous les Américains qui sont victimes de condamnations abusives et mensongères regardent ce qui se passe à Arusha.
Comment les Etats-Unis peuvent cautionner une telle tragédie humaine ?Nous avons découvert que c’est le greffier en personne, Monsieur Adama Dieng, qui a pris l’initiative de mettre les fonds du TPIR à la disposition des pseudo témoins de l’association IBUKA, une association de menteurs et d’escrocs qui a participé à l’éviction de Carla del Ponte. Comment fonctionnait ce système ?
Pour créer des liens de sympathie et d’intérêts entre le gouvernement rwandais et le TPIR, le greffe a organisé un système de rémunération en toute illégalité et en contravention avec le statut du tribunal pour amadouer de faux témoins. Initié par l’ancien greffier Agwu Okali, le programme était piloté par une Tutsi burundaise dénommée Françoise Ngendahayo, devenue plus tard ministre de la Réhabilitation au Burundi. A l’arrivée d’Adama Dieng, nouveau greffier, la pression exercée par les autorités rwandaises a permis de reprendre ce programme.
Pour le superviser, le greffe a désigné un Tutsi du nom de Staton Musonera. Cette nomination non conforme aux statuts du tribunal « tribalise » le TPIR en inondant les Tutsi d’argent public. Les fonds frauduleusement utilisés sont des « Trust funds ». Ils émanent directement des pays donateurs.
Ils sont mis à la disposition du TPIR et n’empruntent pas le circuit des Nations Unies où l’on vote le budget du TPIR. Cet argent échappe donc au contrôle du Conseil de sécurité et sert exclusivement à la corruption et à la subordination des témoins. L’ancien responsable des services de renseignements de Paul Kagame nous a livré son témoignage sur l’association IBUKA, représentante du business des « rescapés du génocide » au TPIR
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
S'il a la chance d'avoir encore le soutien anglo-saxon contrairement à son homologue soudanais El Bechir, il sait que ce soutien n'efface pas la vérité. Les crimes dont il est auteur, co-auteur, bref responsable ne s'effaceront pas. Les juristes nous disent qu'ils sont imprescriptibles.
Une manœuvre pour l'impunité
Le parlement Rwandais vient d'adopter un amendement de la constitution pour accorder l'immunité à vie aux ex-présidents.
Je ne sais pas exactement l'entrée en vigueur de ce texte mais je pense que le premier test pour cet amendement de la constitution devrait s'appliquer sur son prédécesseur, Pasteur Bizimungu, emprisonné ou en résidence surveillée à Kigali. Mais seulement le despote rwandais se trompe au point de se mettre le doigt dans l'œil jusqu'au coude.
Pense-t-il vraiment que cet amendement stoppera la justice internationale ou effacera les funestes pages de l'histoire de la région des grands-lacs de la dernière décennie? Il a tenté de convaincre l'Union Africaine de rejeter la compétence universelle des tribunaux étrangers alors qu'il l'a utilisée a maintes reprises pour la traque de ses compatriotes Hutus, la plupart innocents.
Au fait cette manœuvre n'est pas gratuite; il semble que des mandats d'arrêts seraient déjà lancés en secret contre les membres de son escadron qui ne jouissent pas d'immunité. Ce qui explique ses agitations. Les crimes commis par Kagame et ses proches ne seront pas impunis. Il est inacceptable que ce qui continue d'ailleurs à se faire à l'est de la RDC fasse partie du "passé simple", c'est-à-dire soit banalisé.
Manipulation, demi-vérité et instrumentalisation du génocide
Tout le monde sait qu'au lendemain de la victoire du Front patriotique rwandais, le génocide rwandais a concerné les Tutsi et les Hutu dits modérés (encore qu'il faille savoir ce qu'on entend par modérés, comme si ceux qui font de ce triste génocide un fonds de commerce seraient moins extrémistes).
Mais, tenez la constitution du Rwanda de P. Kagame vient d'être modifiée pour dire "génocide commis sur les Tutsis." Oubliez ceux qu'on appelait naguère Hutus modérés. Apparemment il n'y en a plus un seul aux yeux de Kigali, surtout après la déception de celui qui les représentait, Mr. Paul Rusesabagina, le patron de "Hotel Rwanda" ou Hotel de Milles Collines? Son témoignage sur les exactions du FPR a directement suscité des doutes et des critiques sur le film tant acclamé à Kigali à sa sortie. Pourtant le film raconte une demi-vérité, et nous savons tous qu'il n'a pas de vérité partielle.
Comme quoi les médias ont contribué à la désinformation et ont été utilisés pour mentir, maquiller la réalité. De toute façon, tant que Hollywood ne lancera pas Hotel Rwanda 2 pour étaler les crimes du FPR et corriger Hotel Rwanda 1 en y incluant notamment l'élément déclencheur du génocide, Hotel Rwanda présente toujours une idée tronquée de la vérité, surtout aux yeux des Américains qui vous disent que "they finally understand what happened." Ailleurs, le déballage a commencé.
C'est notamment au Canada où les écrits de Filpot Robin mettent à mal le fameux Général Dalaire, le témoignage du Lieutenant Ruzibiza, ancien proche de P. Kagame, sur la responsabilité de ce dernier dans ce qui s'est passé au Rwanda, etc.
Si l'amendement de la constitution rwandaise cite les seuls Tutsis comme victimes --ce qui rend le texte tribaliste-- il semble qu'il est interdit aux Rwandais de s'appeler Hutus ou Tutsis.
Il semble qu'ils doivent s'appeler des Rwandais. Ceci pour couvrir les injustices tribales très criantes actuellement. C'est tout de même incongru d'interdire aux gens de s'identifier par leur groupe ethnique (ce qui est normal en Afrique, en tout cas) et en même temps consacrer des dispositions dans la constitution qui parlent d'une ethnie juste pour montrer qu'elle a été victime. C'est au fait une autre manière de tribaliser, d'opérer une discrimination. on arrive au résultat de l'interdit par un autre procédé et au final c'est le Hutu qui est discriminé.
Le Rwanda de Kagame est parmi les rares pays ayant signé un accord de non extradition visant à éviter la traduction devant la justice internationale des militaires américains coupables des faits de guerre. Ce qui fait du pays un hôte favorable de l'AFRICOM, le Centre de Commandement militaire américain en Afrique dont la basera est au Bugesera. En contre partie, l'Amérique le rassure de son soutien. Cela est encore visible, car l'on ne comprendrait pas autrement que les millions des morts au Congo soient aussi oubliés et négligés si le petit pays de milles collines n'avait pas bénéficié de la puissance arrogante américaine.
Mais si je peux utiliser une expression très populaire, la société rwandaise actuelle "is not sustainable". Vouloir ou pas elle sera sujette de mutations jusqu'a ce que l'équilibre sociopolitique revienne.
Dans l'entre-temps, nous continuerons à assister à des agitations constantes de Kagame et sa clique très anxieux de subir le sort Bemba. Comme ce dernier, il sera lâché et livré par ses actuels protecteurs.
Par Mahano J.
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Human and Civil Rights
Rwanda: A mapping of crimes
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
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The killing Fields - Part 1
The killing Fields - Part II
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The killing Fields - Part III
Time has come: Regime change
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