Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Friday, August 7, 2009
À LA SECRÉTAITRE D'ÉTAT AUX AFFAIRES ÉTRANGÈRES, MADAME HILLARY CLINTON EN VISITE OFFICIELLE À KINSHASA, EN RDC
Copies : Au Congrès des États-Unis d'Amérique
Au Saint Père le Pape Benoît XVI ;
À la Conférence Nationale Épiscopale de la RDC
À Sa Majesté la Reine Élisabeth II du Royaume-Uni ;
Au Roi Albert II de Belgique ;
Au Président Nicolas Sarkozy de France ;
Au Président Shimon Perez d'Israël ;
Au Premier Ministre du Canada, le Très Honorable, Stephen Harper ;
À Développement et Paix, Canada ;
Aux Professeurs des Sciences Politiques, Éthiques et Sociales des UNIVERSITÉS :
HOWARD et HARVARD, (USA) SORBONNE (Fr), CAMBRIDGE (UK),
LOUVAIN (Be) et KINSHASA (RDC) ;
AUX ACTEURS D'HOLLYWOOD
I. PRÉAMBULE
Un pays comme les États-Unis d'Amérique ne peut pas se permettre l'indifférence de voir mourir les FEMMES, les HOMMES et les ENFANTS comme des mouches soumis aux émanations de l'insecticide.
Le Congo a tout donné à l'Amérique pendant plus de cent ans, c'est-à-dire du Congo-Belge à Joseph Kasa-Vubu et de Joseph-Désiré Mobutu à Laurent-Désiré Kabila. Maintenant, c'est son pseudo fils, Joseph Kabila, qui sert l'Amérique avec les mêmes facilités élargies sans que Washington ne puisse humaniser ses rapports de collaboration et de coordiantion avec cette Nation souveraine et indépendante de l'Afrique noire.
Pourtant, c'est par le Congo que les États-Unis s'approvisionnent scandaleusement, étant donné le fait que c'est cette République qui sert de réservoir des ressources à l'enrichissement égoïste de cette super-puissance. Or, celle-ci, bénéficiaire à sens unique des richesses du Congo, ne cesse de fomenter des guerres pour changer dans le paysage de la RDC des régimes à sa guise. Il faut avoir une âme insensible pour ne pas comprendre ce que les Congolais demandent en silence aux USA : la Paix. Source : Djamba Yohé
II. EXPOSÉ D'INTENTION
Poursuivant mon interpellation contre le Gouvernement américain sur son implication dans l'extermination des masses inaugurée au Congo-Zaïre à l'initiative de l'Administration Clinton, génératrice des rébellions confiées aux cruels Présidents, Paul Kagamé du Rwanda et Yoweri Museveni de l'Ouganda, moi, Djamba Yohé, connu sous le nom éditorial de "Congolais de l'Atlantique Nord" et consécutivement aux incitations patriotiques de mes concitoyens qui veulent me voir obtenir de Washington, de l'ONU, de l'Union Européenne, de l'OCDE, sinon du monde entier des explications sur la Shoa des Congolais, négligés et méprisés par la Communauté Internationale, à commencer par les puissances occidentales, nations chrétiennes par leur orientation historique et par leur ascension de continuité vers l'adresse téléologique du devenir humain, je relate sans faux-fuyant l'indignation de mon peuple vis-à-vis de la Communauté Internationale face aux multiples agressions et violations de l'intégrité territoriale de la RDC, dont les manifestations visibles et directes des conséquences se caractérisent par :
Au Saint Père le Pape Benoît XVI ;
À la Conférence Nationale Épiscopale de la RDC
À Sa Majesté la Reine Élisabeth II du Royaume-Uni ;
Au Roi Albert II de Belgique ;
Au Président Nicolas Sarkozy de France ;
Au Président Shimon Perez d'Israël ;
Au Premier Ministre du Canada, le Très Honorable, Stephen Harper ;
À Développement et Paix, Canada ;
Aux Professeurs des Sciences Politiques, Éthiques et Sociales des UNIVERSITÉS :
HOWARD et HARVARD, (USA) SORBONNE (Fr), CAMBRIDGE (UK),
LOUVAIN (Be) et KINSHASA (RDC) ;
AUX ACTEURS D'HOLLYWOOD
I. PRÉAMBULE
Un pays comme les États-Unis d'Amérique ne peut pas se permettre l'indifférence de voir mourir les FEMMES, les HOMMES et les ENFANTS comme des mouches soumis aux émanations de l'insecticide.
Le Congo a tout donné à l'Amérique pendant plus de cent ans, c'est-à-dire du Congo-Belge à Joseph Kasa-Vubu et de Joseph-Désiré Mobutu à Laurent-Désiré Kabila. Maintenant, c'est son pseudo fils, Joseph Kabila, qui sert l'Amérique avec les mêmes facilités élargies sans que Washington ne puisse humaniser ses rapports de collaboration et de coordiantion avec cette Nation souveraine et indépendante de l'Afrique noire.
Pourtant, c'est par le Congo que les États-Unis s'approvisionnent scandaleusement, étant donné le fait que c'est cette République qui sert de réservoir des ressources à l'enrichissement égoïste de cette super-puissance. Or, celle-ci, bénéficiaire à sens unique des richesses du Congo, ne cesse de fomenter des guerres pour changer dans le paysage de la RDC des régimes à sa guise. Il faut avoir une âme insensible pour ne pas comprendre ce que les Congolais demandent en silence aux USA : la Paix. Source : Djamba Yohé
II. EXPOSÉ D'INTENTION
Poursuivant mon interpellation contre le Gouvernement américain sur son implication dans l'extermination des masses inaugurée au Congo-Zaïre à l'initiative de l'Administration Clinton, génératrice des rébellions confiées aux cruels Présidents, Paul Kagamé du Rwanda et Yoweri Museveni de l'Ouganda, moi, Djamba Yohé, connu sous le nom éditorial de "Congolais de l'Atlantique Nord" et consécutivement aux incitations patriotiques de mes concitoyens qui veulent me voir obtenir de Washington, de l'ONU, de l'Union Européenne, de l'OCDE, sinon du monde entier des explications sur la Shoa des Congolais, négligés et méprisés par la Communauté Internationale, à commencer par les puissances occidentales, nations chrétiennes par leur orientation historique et par leur ascension de continuité vers l'adresse téléologique du devenir humain, je relate sans faux-fuyant l'indignation de mon peuple vis-à-vis de la Communauté Internationale face aux multiples agressions et violations de l'intégrité territoriale de la RDC, dont les manifestations visibles et directes des conséquences se caractérisent par :
Les guerres menées par des Armées illégales déversées en RDC par des pays voisins, à savoir : le Rwanda et l'Ouganda ;
Les massacres des masses et les crimes imondes contre l'humanité accompagnés de pillages ;
Les viols et la profanation de la femme congolaise sur l'échelle de tous ses âges de la féminité, c'est-à-dire celle allant de l'âge du nourrisson à l'âge de la grand'maman que réclame l'éternité à l'estuaire de son existence essoufflée ;
Le recrutement des enfants soldats pour renforcer la criminalité parraînée par les Multinationales des États-Unis, d'Europe, de Russie, de Chine et du Tiers-Monde ;
Le laxisme de la Mission des Nations-Unies pour l'Observation au Congo qui assiste, amorphe, avec ses Troupes, aux plus cruels drames d'un peuple, sans lui apporter l'assistance depuis bientôt dix ans ;
La déliquescence du sens du droit de la justice et des libertés fondamentales, en somme le Droit de l'Homme dans toute la quintescence du mot ;
L'appui tacite et ouvert des Grandes Puissances et leurs Multinationales, dont jouissent les crimes organisés en République Démocratique du Congo et qui tiennent tout un peuple dans l'esclavage, les privations et la nudité des dignités humaines ;
Le clientélisme et l'inconscience des dirigeants politiques confrontés à une épidémie endémique de la corruption, de la concusion, de la gabegie et de la subversion,
Ma constitution en partie civile est tout un Collectif rogatoire des Congolais qui portent des griefs non exhaustifs tels que ceux ci-dessus, à votre distinguée personnalité, Madame la Secrétaire d'État des Affaires Étrangères des États-Unis. Je vous remets dans ce scellé déballé et non secret les recommandations adressées à la Maison Blanche, à Son Excellence le Président de la République des États-Unis, Monsieur Barack Obama, afin qu'il s'implique à freiner les crimes que commettent les Présidents Paul Kagamé et Yoweri Museveni par la main de leurs bandits étrangers et locaux.
Ce document résume la volution congolaise de quête de bonne disposition des États-Unis d'Amérique afin que ceux-ci entretiennent des relations diplomatiques sincères et profondes avec la RDC sur les bases inamovibles des principes d'égalité et d'équité, ferments fondamentaux de votre Constitution deux fois centenaire, nous avons cité la Constitution des États-Unis honorée par la Déclaration de l'Indépendence de 1776.
"Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés.
Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l'organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur.
La prudence enseigne, à la vérité, que les gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des causes légères et passagères, et l'expérience de tous les temps a montré, en effet, que les hommes sont plus disposés à tolérer des maux supportables qu'à se faire justice à eux-mêmes en abolissant les formes auxquelles ils sont accoutumés. Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit et de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future." Source : Déclaration de l'Indépendence de 1776.
En effet, nous n'aurons pas d'excuses de faire le point de nos griefs à Washington et à la Communauté Internationale si nous ne soulignions pas la douleur qui terrasse notre for intérieur et notre âme à la suite de la perte de plus de 6.000.000 de Congolais et de plus de 14.000.000 de victimes au total général dans toute la Région des Grands-Lacs.
Il faut comprendre qu'il s'agit là de la mort gratuitement donnée par le Front Patriotique Rwandais aux Congolais sur leur propre territoire, aux Réfugiés Hutus-Rwandais dans les Camps des Nations-Unies basés en RDC et aux Tutsis par les extrémistes du FPR en vue d'amplifier l'étendue des massacres pour se servir de l'argument du génocide de 1994. Derrière toutes les accusations faites par le Régime de Kigali et de Kampala, à travers les Présidents, Paul Kagamé et Yoweri Museveni, le but poursuivi par ces bourreaux d'un hitlérisme renaissant, ne fut pas tant les raisons évoquées, sinon qu'une intrigue de malveillance mise au point par ces dirigeants en vue de continuer impunément leurs activités de banditisme sur le sol congolais.
L'ultime objectif à la base de toutes les rhétoriques récriminatoires de ces agresseurs incarnés faussement dans la peau des victimes était un argumentaire devant servir de paravent pour plaider de la nécessité de s'investir au Congo aux motifs des droits de poursuite contre les génocidaires de la guerre civile et fraticide rwando-rwandaise, de 1994. Hélas, le pot-aux-roses est en vérité la volonté fanatique et malhonnête de voler les richesses du sous-sol de la RDC, c'est aussi un besoin libidineux d'une engeance de désaxés qui tenaient et tiennent encore à s'offrir les femmes comme esclaves sexuelles et enfin une astuce d'un stratagème concocté pour modifier les frontières en guise de butin de guerre.
Le Rwanda et l'Ouganda, puisqu'il s'agit de ces pays par l'entremise de leurs dirigeants ont bénéficié du plus grand soutien de Washington, de Londres et dans une moindre mesure de Paris, sinon de l'Union Européenne qui a toujours oeuvré de protéger les agresseurs du Congo plustôt que celui de venir en aide au peuple meurtri, qui a sauvé le monde occidental à trois reprises durant les deux grandes Guerres Mondiales et pendant toute l'épaisseur du temps qu'aura duré la Guerre Froide. Forts de cette mémoire, et capables de faire la rétrospective préambulaire de la guerre en RDC, nous tenons, par notre Collectif, à faire valoir les précédents ci-dessous :
III. RESPECT DE LA VIE DES CONGOLAIS ET DE LA SOUVERAINETÉ
NATIONALE DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
Il n'est nul doute pour personne que la guerre qui sévit en République Démocratique du Congo est un acte délibéré et voulu par la Maison Blanche sous la banière de l'Administration Clinton. En effet, il a plu au Président, dont le nom qualifie l'Administration précitée de déployer toute la puissance publique des États-Unis en vue de chasser le Président zaïrois, Mobutu Sese Seko, du pouvoir. Mais, en s'obligeant d'accomplir cette tâche à la place des Congolais eux-mêmes, Monsieur Clinton n'a pas tenu compte du processus de transition en cours que supervisait à cette époque là "La Conférence Nationale Souveraine". Au cours de l'une de ses interviews, le Président Clinton a dit :
"Quand j'étais étudiant, Mobutu était Président; quand j'étais Gouverneur de l'Arkansas, Mobutu était toujours Président et lorsque je suis devenu le Président des États-Unis, Mobutu est encore le Président de ce même pays, le Zaïre". Source : attribué à Bill Clinton.
D'aucuns devinent la suite qui a été réservée à cette exclamation du Président américain, nous avons cité Bill Clinton. Mû par cette longévité qui dépasse l'entendement de son regard politique face au pouvoir, le Président américain et son Administration sont passés du mode de constat à la praxisme. Dès lors, il eut des ambassades dépêchées à Kinshasa pour obliger le Maréchal Président Mobutu Sese Seko à quitter le pouvoir.
Malheureusement, le refus de Mobutu d'obtempérer aux ordres d'un collègue étranger qu'est le Président américain, Monsieur Clinton a mis au point des mécanismes pour la déstabilisation du Zaïre au mépris de sa sécurité nationale et de la vie de sa population. Avec des membres de son Cabinet, à savoir Madeleine Albright, Bill Richardson, le Chef de l'État américain a mis du feu sur la poudre de l'arsenal congolais.
Aujourd'hui, comme cela vient d'être souligné, la Nation congolaise est en deuil de plus de 6.000.000 de morts. En d'autres mots, il s'agit là d'un acte criminel et répréhensible qu'un Chef d'un État étranger ne devrait jamais faire contre un État souverain, au nom d'un souci de démocratie et de droits de l'homme.
Le paradoxe de la décision de l'Administration Clinton d'embraser le Congo est questionnable quant aux raisons véritables de son acharnement sur un peuple ami et un État allié qu'aucun fichier de la Maison Blanche, de la CIA, du Pentagone et du FBI n'a jamais mis en examen ni qualifié de pays de l'Axe du mal.
Or, en déclenchant les opérations qui aboutissent à un acte de guerre non déclaré à la RDC, la Maison Blanche s'est servi de criminels de droit commun et surtout d'une Armée arrivée au pouvoir avec un registre des justifications louables, celles faisant du Front Patriotique Rwandais une Armée populaire qui a combattu les injustices du Régime de Juvénal Habyarimana. Dans ces conditions là, par quels artifices une Armée dite de libération nationale d'un pays qui a vécu un génocide en son sein devrait devenir une Armée d'extermination des masses en République Démocratique du Congo ?
Les Congolais ne se font pas d'illusions là-dessus, ils sont convaincus que le génocide au Rwanda aura été planifié à la Maison Blanche pour envahir le Congo avec les arguments des causes locales entretenues par la mauvaise cohabitation Hutus-Tutsis. Certes, il y a eu génocide, on ne peut pas nier cette véracité que toutes les nations de la terre ont vécue en directe à la télévision.
Néanmoins, les Congolais restent pantois et incrédules, car au moment ou la Canada, la Norvège, la Suède et le Danmark ont proposé des Troupes pour aider l'ONU à mettre fin aux massacres qui ont duré trois mois, l'Administration Clinton a usé du droit de véto des États-Unis au Conseil de Sécurité pour bloquer toute possibilité de voir débarquer les Contingents de Nations-Unies et de l'Union Européenne au Rwanda.
Que faut-il comprendre de ce refus d'assistance des peuples en danger et comment interpréter le laxisme des capitales occidentales devant les crimes de masses commis par l'Armée de Paul Kagamé lorsque ses troupes sont venues massacrer les Hutus dans tous les camps de réfugiés de toutes les provinces congolaises d'Est en Ouest ?
Pourquoi au même moment les troupes de Kigali et de Kampala sont venues s'installer pour sept ans en République Démocratique du Congo et si il n'y avait jamais eue d'Administration Bush, ces armées de violeurs, de tueurs et de pilleurs demeureraient encore présentes sur le territoire de la RDC ?
Comment se fait-il que l'Amérique, la Grande Bretagne, la France, l'Allemagne et les autres Puissances occidentales n'ont pas pu d'une seule voix condamner le raid rwando-rwandais du 2 août 1998 au Congo, à deux milles kilomètres de leur territoire. Ce faisant, Kigali et Kampala ont coupé l'électricité de toute la province du Bas-Congo en faisant des milliers et des milliers de morts, sans oublier qu'ils ont privé Kinshasa de la même énergie électrique alors que cette ville a une démographie de 10.000.000 d'habitants. Peut-on réaliser le nombre de morts de tous âges, surtout les bébés qui étaient dans les incubateurs dans les hôpitaux ?
Qu'est-ce qui explique aujourd'hui qu'à l'issue de tous les processus de réconciliation nationale imposée aux Congolais par le parainnage de l'Occident, en particulier les États-Unis, la Belgique, la France, la Grande Bretagne et l'Union Européenne, à svoir les Accords de Lusaka, la Conférence de Sun City, le Référendum de 1995, les Élections de 1996, la Conférence de Goma, toutes les Conférences de Nairobi et enfin les Accords de l'Hôtel Ihussi de Goma, rien ne semble restaurer une paix durable et définitive en RDC ?
Plus personne au Congo ne croit en la bonne volonté de la Communauté Internationale et en particulier à travers ses organes de justice, à savoir le TPI et la CPI, car ceux qui remplissent les prisons de La Haye sont congolais et l'absence des Rwandais comme des Ougandais est criant dans ces géôles de la honte de l'injustice internationale. La Maison Blanche, par ses services de lecture n'aurait-elle pas lu les écrits de Djamba Yohé, les livres de Honoré N'Gbanda et de Charles Onana, dont je m'empêche d'étaler les titres ?
Le décor de la désolation est implanté au Congo pour de longues décennies encore, cela est tellement évident ! Il y a plus de 2.000.000 de déplacés qui vivent dans la forêt sous les pluies équatoriales, sous les tentes et sous les feuillages avec à peine des rations de prisonniers dans un pays riche en végétation, en sous-sol et en valeurs culturelles, alors qu'à côté de cette misère, la MONUC fait des dépenses somptuaires dans une vastitude de pauvreté immonde, celle-ci ne s'empêche pas au passage de se déshonorer par des agressions sexuelles et des orgies sado-masochistes, sans oublier la pédophilie de certains cadres de l'ONU au Congo.
Toutes ces dépenses servant à entretenir la MONUC qui dispose d'un budget d'un millard de dollars US, par an, ne sont-elles pas tirées de la richesse du Congo que la Banque Mondiale, via l'ONU, défalque au compte d'un crédit qui sera imputé dans la rubrique de la dette extérieure de la RDC. C'est scandaleux !
IV. RÉSOLUTIONS
Eu égard de ce qui précède, cette pétition invite les États-Unis, vue la responsabilité de leur implication dans la destruction du Congo et les assassinats commandités par leurs Multinationales qui ont financé les guerres qui exsanguent la RDC et sa population, de faire acte de contrition en acceptant ces recommandations qui ne sont que justes et dignes d'être honorées.
A/ AU PLAN POLITIQUE
Les États-Unis doivent se dissocier des organisations qui prônent la fraude électorale en RDC et de l'imposition des chefs illégaux dans ce pays, la légitimité doit prendre le principe de la démocratie qui constitue la "Proclamation- Force" de la vocation politique du Congo, déroger à cette disposition constitutionnelle est une violence faite à la RDC ;
Les États-Unis doivent encourager les Congolais à faire partir Joseph Kabila, ce Président de la République est illégitme, il n'a pas de Curriculum Vitae et n'est connu d'aucun Congolais, filles et fils de la RDC l'ont vu parachuter au pouvoir par les lobbies américains et de l'Union Européenne, or chaque fois qu'il dirige contre leur volonté, cet acte d'usurpation constitue un crime contre l'humanité, un crime contre la démocratie et un crime contre la souveraineté nationale de la RDC ;
Les États-Unis doivent, puisque c'était à l'initative de l'Administration Clinton que la guerre a éclaté au Congo, participer comme ils l'ont fait en 1945 à faciliter la mise sur pied d'un "Tribunal Pénal Congolais" qui convoque à la barre tous les criminels qui ont versé le sang en RDC, violé les femmes, les enfants et sodomisé les hommes, car sans justice, il n'y aura pas de réparation aux préjudices physiques et moraux. C'est un devoir obligatoire de Washington, par rapport aux actions clandestines de l'Administration Clinton qui endeuillent comme jamais le Congo dans son propre espace public et ses familles ;
Les États-Unis doivent suivre l'exemple de la Belgique désolée, celle-ci a exprimé en termes vrais sa peine pour les torts causés à la RDC et à l'une des familles congolaises au coeur du drame des lendemains de l'indépendance nationale, je cite : "À la lumière des critères appliqués aujourd'hui, certains membres du gouvernement d'alors et certains acteurs belges de l'époque portent une part irréfutable de responsabilité dans les événements qui ont conduit à la mort de Patrice Lumumba.
Le Gouvernement estime dès lors qu'il est indiqué de présenter à la famille de Patrice Lumumba et au peuple congolais ses profonds et sincères regrets et ses excuses pour la douleur qui leur a été infligée de par cette apathie et cette froide neutralité." Source : le gouvernement belge a reconnu en 2002, une responsabilité dans les événements qui avaient conduit à la mort de Lumumba ;
Les États-Unis ont détruit la RDC, ils doivent utiliser leur puissance et leur influence pour l'aider à restaurer son autorité et doivent sévir contre les États voyoux qui assaillent la RDC à ses frontières, etc ;
B/ AU PLAN STRATÉGIQUE
Créer une Conférence Militaire Congolo-américaine pour des discussions bilatérales sur l'actualité des évolutions militaro-straté giques concernant les échanges d'expérience et d'expertise sans se laisser fondre dans le moule de l'autre ;
Reconnaitre que la guerre en RDC menace directement la paix aux États-Unis et la sécurité nationale de cet immense pays qui joue un rôle majeur dans les rapports des forces par son poids politique et militaro stratégique ;
Prendre conscience de la densité du dispositif militaire américain qui constitue à lui seul toute une dissuasion face à la Russie, la Chine et même à la France et à la Grande Bretagne, au sein de l'OTAN sans parler de l'effet de surprise qu'il peut imposer à l'Inde, au Pakistan et à l'Iran au cours d'un engagement éclair dans l'Océan Indien qui mouille les rivages de l'Afrique ;
Avoir à l'esprit l'idée que les État-Unis, pour leur sécurité en Afrique doivent poser les jalons d’une coopération sincère basée sur un système de prévention multilatérale qui n'est pas l'AFRICOM pour oeuvrer contre toutes les dérives de sa puissance contre le Congo et la terre africaine. Cette infrastructure de dialogue stratégique recommande un cadre juridique définissant le mode de fonctionnement de cette approche et qui devrait être dotée d'une "Charte bilatérale de coopération militaire" ;
Les États-Unis doivent s'ajuster à la notion stratégique de tous leurs pairs africains sans condescendance, en l'occurrence le ils doivent participer aux efforts du Congo consistant à contrer tout expansionnisme des groupes armés dirigés par ses voisins dans le but de servir Washington par des voies détournées, sinon ils courent involontairment un danger qui fera des États-Unis une cible direct des terroristes qui élisent domicile dans la pègre qui sévit en RDC. Washington qui n'a pas cessé d'être une cible potentielle pour les commandos dormants et secrets terrés au Rwanda ou en Ouganda ;
C/ AU PLAN ÉCONOMIQUE
Les États-Unis doivent effacer toute la dette extérieure de la RDC opar solidarité humaine pour palier aux souffrances de la nation congolaise dont ils sont une partie des causes évidentes des malheursau Congo sont imputables à leurs politiques depuis 1960. Sur ce chapitre, ce geste d'effacement de la dette peut s'étendre à la Belgique, à la France, àa la Grande Bretagne, à l'Allemagne et à l'Union Européenne ;
Les États-Unis doivent débloquer des fonds de contre-partie pour aider les familles victimes de la guerre due à la ruée des multinationales américaines, notamment celles de l'Arkansas, afin qu'elles s'ouvrent une activité lucrative d'auto-financement comme le micro-crédit, ces sommes remboursées le moment venu ;
Les États-Unis, sans servir d'ONG géant, doivent participer à la reconstruction de la RDC en s'impliquant dans la construction des logements sociaux dans les provinces et les régions sinistrées par les calamités de la guerre menée par les rébellions ;
Les États-Unis doivent supporter une partie du fardeau de l'équipement des services institutionnels à l'instar des machines et instruments informatiques qui participent au management et à la gestion des ressources humaines dans les Ministères et les sociétés parastatales ;
Les États-Unis doivent aider à l'allégement des coûts des services publics requis à l'expertise devant entrer en ligne de compte pour les études de faisabilité des projets publics et leurs planifications, etc.
D/ AU PLAN HUMANITAIRE ET DE SÉCURITÉ PUBLIQUE
Les États-Unis devraient, par devoir de mémoire, même collatéral à leur actualité, s'excuser aux Congolais pour les torts graves qui ont endeuillé la RDC depuis cinquanteans, ils seraient juste de leur part de verser des compensations à la veuve de Patrice Émery Lumumba à cause d'eux et qui a, malgré cet état civil, réussi à élever seule les enfants du Premier ministre congolais à l'étranger, en Égypte dans un pays arabe loin des siens sans assistance de l'État congolais ni de l'Occident qui s'est acharné sur son époux ;
Les États-Unis doivent oeuvrer en usant de leur puissante influence sur la RDC, la MONUC, l'Union Européenne et les ONGs pour hâter le retour coordonné des familles déplacées par la rébellion dans leur foyer d'origine ;
Les États-Unis, avec le dispositif de secours et le matériel logistique dont ils disposent dans leurs bases militaires de l'Océan Indien et de l'Océan Pacifique, doivent prendre part au processus de formalisation de retour des familles chez elles.
Ce sont les avions C 130 qu'ils ont à profusion qui peuvent être sollicités pour rendre efficace en un temps très court ces genres d'opérations ;
Les États-Unis, par leur équipements telluriques potentionmétré s, peuvent dans une entente bilatérale avec la RDC s'engager au travail de déminage des campagnes cogolaises truffées des mines laissées par l'armée rwandaise ;
Les États-Unis, par l'autorité qu'ils ont sur le Rwanda et l'Ouganda, doivent obliger les États-Major des Armées rwandaise et ougandaise à livrer les cartes sur lesquelles ils signalent les champ des mines afin de faciliter à leurs spécialistes de déminage à passer sur ces sites pour nettoyer la signature meurtrière de paul Kagamé et yoweri Museveni, etc.
AU PLAN JURIDIQUE ET PÉNAL
Les États-Unis, devraient au niveau de leur Congrès, constituer une large Commission d'enquête pour ausculter les raisons qui ont poussé l'Administration Clinton à provoquer la guerre en République du Zaïre, aujourd'hui République Démocratique du Congo ;
Les États-Unis doivent faciliter la CPI ou le TPI d'entrer en possession de la boîte noire du falcon français abbatu au dessus de Kigali pour permettre l'avancement de l'enquête qui doit déterminier si c'est vrai ou faux, la responsabilité de Paul Kagamé est engagé dans ce bombardement qui a déclenché la guerre fratricide rwando-rwandaise, aussi nommé génocide de 1994 ;
Les États-Unis doivent cesser de s'interposer comme un bouclier qui fait obstacle à la justice pénale internationale d'inculper Paul Kagamé et yoweri Museveni pour leurs crimes contre l'humnaité, leurs crimes de guerre, leurs crimes contre la personne et leurs crimes contre la nation congolaise, le Rwanda et le Burundi, crimes au cours desquells cinq Présidents sont morts successivement, à savoir Mobutu Sese Seko indirectement et directement Juvénal Habyarimana, Melchior Ndadaye, Cyprien Ntariyamira et Laurent Désiré Kabila ;
Les États-Unis doivent apporter leurs concours aux enquêtes des Juges Jean-Louis Bruguière qui n'attend que le feu vert de Washington pour inculper Paul Kagamé et Baltazar Garzon qui poursuit le Président rwandais d'avoir assassiné lespr^tres, les religieux et religieuses espagonls et québécois, ces derniers cités étant des Nords-Américains ;
Les États-Unis doivent aider la population congolaise en obligeant le Conseil de Sécurité de l'ONU à faire condamner le personnel de la MONUC et le contingent de ses soldats qui se sont déshonorés au cours de leur mission en RDC par des viols, par la pédophilie et par les orgies de toutes sortes sans compter des cas de sodomie de certains caïds délinquants en uniforme.
Sur cette question douloureuse de la Congolaise traitée comme une chienne sous la coupe des chiens chauds, la presse congolaise, en ce jour du 4 aöût 2004, vient de produire une dépĉhe qui fait écho d'un viol des quatre soldats ghanées sur une jeune fille congolaise dans la broussaille de l'aéroport international de Kinshasa autour du camp d'entraînement des parachustistes. L'article de l'Agence Congolaise de Presse présente cette situation en ces termes :
"La Police nationale congolaise s’est refusée lundi à Kinshasa à toute déclaration sur l’arrestation de casques bleus pour viol d’une jeune fille dans les environs de l’aéroport de N’Djili. Une patrouille de la garde républicaine a mis la main 24 heures auparavant sur cinq casques bleus qui violaient une jeune fille dans l’une des maisons inachevées qui séparent le camp CETA (Centre d’entraînement des troupes aéroportées) du quartier Mikondo, dans la commune de Kimbanseke, selon des sources aéroportuaires.
Les cinq casques bleus du contingent ghanéen étaient commis à la surveillance des installations de l’aéroport, selon la source qui a souligné que ces soldats ont été transférés à la police des étrangers, à « Kin Mazière », siège des services spéciaux de la police nationale congolaise à Kinshasa/Gombe. Le dossier serait en cours d’instruction. La RDC, rappelle-t-on, héberge le plus important contingent des soldats de l’ONU dans le monde, évalué à quelque 18.000 hommes de troupes. Source : Agence Congolaise de Presse/Mask/ Fédé « La Police se refuse à toute déclaration sur l’arrestation de casques bleus »
Le crime contre l'humanité au Congo est véhiculé par presque tous les corps qui viennent prendre part au processus de pacification. De la MONUC aux ONGs de diverses nationalité, le Congo est devenu une terre de récréation macabre de l'infra-humanité . Vu ce traitement que l'on réserve à mon peuple alors qu'il existe tous les cadres juridiques et militaires, en particulier ceux laissés par Franklin Roosevelt au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, je suis écoeuré de constater que nous Congolais ne sommes vu que comme des fifrelins. Tout désaxés en quête d'aventure sexuel, de meurtre et de pillage nous choisissent pour étancher sa soif libidineuse, morbide ou de la soldatesque. C'est terrible ! Nous des êtres humains et non des chiens, encore moinsdes bêtes de somme que l'on abat n'importe quand lorsque vient la rage de voir couler le sang.
IV. LA DÉMOCRATIE N'EST PAS UN MONOPOLE DES PAYS DE L'ATLANTIQUE NORD
À peine que l'on a fait un semblant de faire taire les armes au Nord-Kivu et au Sud-Kivu par stratagème d'évitement des reproches, les intervenants impose à l'Armée Nationale Congolaise de brasser les rebelles dans ses rangs. Or, à travers ce prétexte vanté sous le label de réconciliation nationale, il se cache l'opprobre de désorientation de la vérité vers la polarité de la victime des crimes commis au Congo par les multinationales et leurs hommes de mains désormais habillé de l'uniforme officiel de l'État.
Pour se déguiser et passer incognito dans cette foire de la gabegie, de subversion et de mort imposée aux Congolais, le bandit accoutré en soldat légal continue, sous l'étiquette des armoiries congolaises à piller au nom de son commanditaire. Ce faisant, quand le crime de viol, de meurtre ou de toute autre vice est signalé, c'est sur le soldat congolais que l'on porte l'accusation la plus ignoble et le blâme immoral qui soit dit à l'encontre d'un militaire.
L'astuce de détourner le crime au Congo est bien trouvé au point que les criminels de tous horizons en ballade en RDC ne se sentent pas concernés par leurs forfaits. L'exemple probant de cette fourberie, c'est le Président ougandais, Yoweri Museveni, celui-ci s'est permis devant ses pairs africains à Dakar de dire contre les Congolais des propos insultants leur dignité et leur honneur.
Ce cruel héritier du Maréchal Idi Amin Dada a dit : « Qu’à côté de l’Ouganda, il y a un grand pays dont les habitants étaient amorphes et les dirigeants inexistants ». Qui croirait à ces stupidités de sadique tueur, voleur et violeurs des Congolais ? Sans doute la Communauté internationale. C'est ainsi que d'une faute commise par un autre, on passe facilement à l'imputabilité congolaise.
Aussitôt la sentence prononcée, on entend les enseignements moraux vienant de toutes les directions de la planète pour inculquer aux Congolais les notions de la démocratie pendant que ces mêmes intervenants refusent de voir la misère de la déshumanisation que la main des organisations criminelles venues d'ailleurs cause aux populations de la RDC et à leur cadre de vie quotidienne. Eh bien, que va-t-il falloir dire objectivement ?
La démocratieque l'on évoque n'est pas un monopole de l'Occident et la paix une licence des pays de l'Atlantique Nord. Les guerres qui ont vu le jour en Afrique subsaharienne ces vingt dernières années ne sont-elles pas une manufacture portant la signature des grandes puissances qui dispensent le cours des sciences politique au Continent noir ?
La guerre au Libéria ;
La guerre en Sierra Léone ;
La guerre au Rwanda ;
La guerre en République Démocratique du Congo, etc.
Ces conflits qui ont endeuillé l'Afrique noire durant les deux dernières décennies n'ont-elles pas pour épicentre les grandes puissances ? Pourquoi les médias occidentaux qui font écho des sauvageries allégués aux Africains ne se rabattent-ils pas sur les sentiers originaire des éruptions des conflits dont le centre névralgique est en Occident. Cette approche fausse des médias du Nord se sert des mensonges en omettant plusieurs vérités sciemment.
L'autopsie vraie des des dernières guerres en Afrique, dont la plus cruelle et immensément meurtrière qui a fait plus de six millions de victimes en RDC, n'est nullement occultée, or son moule foetale est dans les chancelleries des puissances majeures du globe. La cause qui explique succintement les drames des États du Continent noir en guerre est la ruée vers l'or, le diamant, le coltan et les autres ressources minérales et végétales dont rgorge le Congo et l'Afrique des Noirs.
Au demeurant, ceux qui contextualisent les offensives de guerres en Afrique subsaharienne et dans le Tiers-Monde sont les Nations occidentales qui déversent les armes de tout calibre et qui commencent à ressentir la concurrence russe, chinoise et indienne.
En substance, c'est aux pays surindustrialisé s de faire acte de contrition et de respecter les principes de bonne conduite qu'elles font observer les États démunis et sans économie capable pour soutenir une guerre sans eux. Dans le cas crucial séant, les pays de l'Atlantique Nord et les puissances adverses à leur hégmonie doivent cesser de faire la sourde-oreilleaux cris de deuil qui fusent de la RDC dans tous ses azimuts. Le Conseil de Sécurité de l'ONU, avec le concours du poids politique des États-Unis, doit sonner les glas contre la mort gratuitement et inutilement donnée au Congo.
Le viol des femmes doit être arrêté et une décision d'autorité doit tomber pour contraindre toutes les velléités de récidive et des dispositions belliqueuses de va-t-en guerre. Partant, c'est d'une résolution qui éradique les rébellions au Congo, car ceux qui tuent le font parce qu'ils ne sont pas inquiétés pour les crimes qu'ils commettent. Les assassins des Congolais sont des individus occupés à cette activité criminelle à cause des dividendes qu'ils y tirent, ils sont rebelles parce qu'ils volent, vilent et pillent. En d'autres mots, le crime organisé n'est pas une entreprise de la pégre congolaise, mais des étrangers qui égorgent en RDC.
J'en viens aux considérations finales de ma réflexion sur ce qui doit être présenté à l'intelligence de la diplomatie des États-Unis d'Amérique. Cette pétition résume mon indigantion contre l'indifférence des grandes puissances et de la Communauté internationale face à la violence faite aux Congolais.
Malgré ma petitesse dans cet écahfaudage des malheurs en RDC, j'accuse la Maison Blanche, sous le label de l'Administration Clinton, dans le rôle qu'elle a joué pour infantiliser, déshumaniser, marginaliser et infra-humaniser les Congolais, mon peuple. Ce n'est que chose juste que de rappeler à un géant les souffrances qu'il inflige à u tout petit.
Le faire, ce lui rendre service afin qu'il se rende compte des habitudes que ce dernier a perdu à cause du langage de sa puissance, laquelle est redouté par toute tentative d'interpellation. Mais à l'inverse, qui peut se taire en Amérique devant la mort de tant d'individus innocents au taux de plus de six millions ? Je n'en vois nenni. Quand bien même l'observateur désintéressé serait Franklin Roosevelt, celui-ci réagira contre le mal qui fait farandole devant lui, c'est pourquoi d'ailleurs ce grand homme d'État américain a crée les Nations-Unies à San Francisco, en 1944.
Toutefois, il impérieux et même catégorique que je me fasse comprendre dans la tonalité de ma poignante pétition. Ce n'est pas le peuple américain qui a infligé ces horribles souffrances aux Congolais, à leurs familles et à leur pays, mais la Maison Blanche sous l'Administration Clinton. Cette mise au point est essentielle d'être rappelée, car la vérité bien dite est digne d'être entendue sans les interéfrences des termes mal énoncés et moins clairement dits.
On n'a pas construit le Congo avec les Toyota, les Kia, les Scania, les Mitsubishi, mais ce pays a été mis en chantier avec la machinerie du génie des États-Unis, à savoir le Caterpillar, la Ford, la Chevrolet, le Pontiac, le Desoto, le Studebaker, le Plymouth, le Fargo, la GMC, l'International Harvester, la Dodge. Les stations d'essence, partout au Congo, avaient pour noms Shell, Texaco, Fina, Petro-Fina, Pétro-Congo, Mobil Oil. Et à tout cela, la première Université du Congo fut construite avec le financement de la Fondation Rockffeler, en 1956. Ces souvenirs doivent bien signifier quelque chose à la mémoire des Américains et des États-Unis.
Cette double identification de l'Amérique humaine et transactionnelle présente au Congo et en Afrique noire depuis plus de cent ans doit inciter les Étatasuniens à cesser de se taire lorsqu'ils assitent sans réaction d'indigantion devant le spectacle de la boucherie des Congolais offert en appât aux sbires du Président rwandais Paul Kagamé et du Président ougandais Yoweri Museveni amusés de voir mourir le peuple de la RDC comme des mouches devant une bombe d'insecticide.
Les États-Unis ne sont pas un pays de passivité, car les Américains, au nom de la liberté et du droit de l'homme envoient leurs enfants, comme en 1914-1918 et 1940-1945, à offrir leurs vies pour un idéal suprême d'altruisme au nom de la dignité humaine. Il est temps que reanisse cette puissance de la foi en l'homme qui sommeille sous le poids du chloroforme du néo-libéralisme, idéologie qui a écarté l'importance de la personne humaine pour l'intérêt du Capital et de la place boursière internationale.
V. LE LANGAGE DE CETTE PÉTITION
Cette pétition n'accuse pas les États-Unis sur les bases d'une présomption mal placée, la vérité est même reconnue par le Cabinet de Bill Clinton, lui-même, c'était en 1997. Quelle que fut la taille de Washington face à celle de la RDC, rien ne lui donne la jouissance d'organiser la mort des autres chez eux pour plaire aux besoins d'approvisionnement de ses industries en ignorant les lois universelles de la cohabitation harmonieuse. L'Amérique, elle-même, n'accepte pas qu'on lui face des intrigues, les moindres dumpings, vrais ou faux, attribuables au Canada, par exemple, sont suivis des repésailles commerciales très virulentes. L'illustration qui dépeint cette agressivité de la réaction américaine est dans le dossier du "bois d'oeuvre".
Et le moindre faux pas aux normes de la santé publique, l'Amérique ne lésinne pas dans les moyens à prendre pour punir le partenaire qu'elle reproche. Sur ce chapitre, les Canadiens ont été les plus grandes victimes des colères de Washington, c'est le douloureux dossier de la "vache folle" en 2003. Certains fermiers de l'Alberta se sont suicidés. Partant, il n'est pas indu que les Congolais demandent des comptes à l'Amérique pour la mort ignoble de ceux-ci par les exécuteurs rwandais et ougandais. En tout cas, au sujet de la preuve du Cabinet Clinton qui reconnaît le mal fait contre les Congolais est dans ce paragraphe :
"Les États-Unis ont longtemps gardé le silence sur les massacres et éludé d'importantes questions telles que le nombre de réfugiés au Congo après novembre 1996 et le rôle des troupes rwandaises dans les forces de l'AFDL. Pendant toute cette période, les gouvernements rwandais et ougandais n'ont cessé de démentir que leurs soldats combattaient au Congo, déclaration trompeuse que les États-Unis n'ont pas mise en doute publiquement. Comme d'autres en Europe, les États-Unis savaient dès le départ que le Rwanda et l'Ouganda avaient envoyé chacun au moins mille hommes pour appuyer Kabila. Mais, pendant des mois, ils ont continué à soutenir que l'AFDL était une force purement congolaise.
L'étendue du soutien politique, économique et militaire, qui ne fait plus l'ombre d'aucun doute, apporté par les États-Unis au Rwanda est allé bien au-delà d’un entraînement militaire «modéré, inoffensif et gentil», selon Vincent Kern, secrétaire adjoint la Défense, enfin obligé d'admettre, le 4 décembre 1996, "l'implication gentille !" de son pays dans le conflit zaïrois. Des témoins, à Kinshasa et à Goma, ont signalé à IRW et à la FIDH qu'ils avaient vu des soldats américains sur le territoire congolais à différentes reprises entre novembre 1996 et août 1997.
Un des témoins, qui a une grande expérience militaire, a signalé avoir vu les Forces spéciales de l'armée américaine en uniforme dans les villages de Walikale et Kanyabayonga au Nord-Kivu, le 23 et 24 juillet 1996, accompagnant les troupes ougandaises dans la zone de Ruwenzori au Congo et encore pas plus tard qu'en août 1997." Propos recueilli par GILBERT Perrin, de la revue Vie, no 2722, du 30 octobre 1997.
La vérité du grand mal est là, les États-Unis sont responsables de l'enlisement du Congo dans le bourbier de la politique de décadence. Il y a eu des hommes d'État extraordinaires au pouvoir en Amérique, mais au cours d'un travail délibérément planifié par d'autres patrons de la Maison Blanche, de connivence avec Bruxelles et surtout l'antipathie américaine contre Paris, ont au fil du temps construit l'hécatombe de la tragédie congolaise.
Dans la morale comme dans l'éthique, celui qui fait des victimes est invité par la loi humaine de faire amende honorable. Le passage de Madame Clinton à Kinshasa, Secrétaire d'État aux Affaires Étrangères des USA, est une entremise pour les Congolais de dire poliment et sans crainte leurs récrminations pour les torts que l'Amérique a causés à leur pays. Madame Hillary Clinton aura vécu de visu les conditions de vie des familles déplacées de leurs foyers. Ce mémorandum exige que Paul Kagamé et Yoweri Museveni soient condamnés pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité, crimes contre la personne et crimes contre l'humanité.
V. LE DÉSAVEU PLAUSIBLE D'UN ANCIEN DE LA CIA AU CONGO
Cette réflexion ne vient pas des Congolais sur les activités clandestines que les États-Unis ont parrainées contre le Congo, la RDC, le Zaïre et la RDC/bis depuis l'indépendance, c'est un diplomate américain, Larry Devlin, qui a eu la mission de faire assassiner Patrice Émery Lumumba, en 1961, par la CIA, qui témoigne à la place du peuple meurtri que nous sommes, nous Congolais :
"En se dérobant de sa part de responsabilité morale sur le sort de Lumumba, les Etats-Unis brouillent l'histoire entre l'Afrique et l'Amérique et évitent ainsi le besoin de faire réparation pour les méfaits d'hier. En 1997, après la chute du régime de Mobutu, l'opposition démocratique congolaise a supplié en vain pour un appui aussi bien américain qu'international. Depuis lors, près de 3 millions de vies ont été perdues à cause aussi bien de la guerre civile que du conflit régional.
Les Etats-Unis n'ont pas soutenu une force de maintien de la paix des Nations-Unies ou stimulé une transition démocratique. L'échec des négociations d'avril 2002 entre les factions congolaises menace de ranimer le conflit et de ratifier le partage du pays. Les actions de notre gouvernement au Congo, il y a quatre décennies revêtent aussi une signification spéciale après la tragédie du 11 septembre.
Elles montrent que même si nous défendons, avec raison, notre terre et notre peuple contre le terrorisme, nous devons éviter l'excès de peur et de zèle qui mène à une intervention destructive qui trahit la plupart de nos principes fondamentaux. " Source : Larry Davlin, au Washington Post, faisant suite au commentaire du livre de Dr Weissman est l'auteur de "A Culture of Deference ; Congress's Failure of Leadership in Foreign Policy".
La démocratie n'est pas occidentale, elle est africaine au départ, car la liberté n'a pas souffert de confiscation de statut comme en Occident. Ce sont les Européens qui sont venus l'enlever aux Africians, aux Noirs et non l'inverse. Pour être nommée "Liberté" et pour être exaltée comme une vertu du droit et de la démocratie, ce terme, j'ai cité liberté, raconte l'histoire des sourffrances qu'une personne ou un groupe a infligé à ceux dont la force a été conquis par l'action d'une agression physique.
Or, en Afrique noire, la règle d'or avant d'être un leitmotiv de rappel de la souveraine majesté de la personne, les négro-africains tenaient pour essentiel à leur existence individuelle et communautaire, l'intégrité physique de tout être humain. Il n'existe aucun village en Afrique, malgré l'absence d'une coutume juridco-politique de l'opposition comme paravent de l'équlibre des rapports institutionnels, un chef qui décide seul. Tous les établis se décident par consensus et à l'unanimité.
Comme quoi, le Continent noir dans son constitut traditionnel, même sans Parlement sait légiférer démocratiquement. Ce qui amène quiconque connaît ce système à dire que la démocratie n'est pas un monopole de l'Occident. Évidemment, il ne faut pas mêler Mobutu, Bongo, Houphouët Boigny à cette notion, ces chefs d'État ont contaminé la coutume avec les ajouts de leurs enjeux politiques visant les réelections multiples à la tête de l'État.
VI. CONCLUSION
En guise de conclusion, j’émets ce point de vue. Les États-Unis doivent maintenant faire leur Pérestroïka, c'est-à-dire qu'ils doivent chercher à conformer leurs politiques aux nouvelles réalités, sans toujours vouloir arracher les positions dominantes dans les questions internationales et globales. L’Amérique doit également intégrer certaines valeurs culturelles de l’étranger à son savoir-faire, spécialement celles des pays moins nantis, comme le géant étouffé de l'Afrique centrale, la RDC.
L'Amérique doit aussi associer la Russie et la Chine Populaire aux décisions majeures de la marche de notre planète en qui concerne l'environnement sans oublier le Congo, qui, avec le Brésil sont les poumons du monde par leurs végétations. Et si cela était possible, les États-Unis doivent collaborer avec les États-Majors du Tiers-Monde à partir de Kinshasa pour apprendre ce qui leur échappe dans la psychologie des terroristes, des rebelles et des bandes armées auxquelles les Nations pauvres font face.
Ce choix est capital, car l'Occident pour se libérer des totalitarisme a été financé par le Congo-Belge qui est aujourd'hui, la RDC, ce sont là en somme les Hauts-faits des Congolais dans la marche de la planète. Qui qu'exterieur aux systèmes dirigeants représentés par les Organisations, les Institutions et les Gouvernements, j’exhorte les Institutions américaines de revisiter les valeurs fondatrices de l’Amérique, c’est sera là une bonne rétrospective d'un parcours qui doit être regardé pour inspirer les États-Unis qui ne sont plus isolés comme autrefois par l'Atlantique Nord.
Le Congrès américain doit également, sans obliger personne, encourager la pratique de la religion chrétienne comme le faisait leurs ancêtres, car les États-Unis sur plusieurs tableaux d'eux-mêmes, sur le Dollar par exemple, font la preuve de cette pratique de profession de foi. Tous les Présidents américains prêtent serment sur la Bible. Il n’existe aucune civilisation athée sur la surface de la terre. C’est cela qui va augurer la Pérestroïka à l’américaine, prélude à la véritable révision constitutionnelle du pays. Deux siècles sont amplement suffisants pour dépoussiérer une Législation nationale demeurée vierge dans son fondement originel.
Cet exercice fera voir à l'Establishment que son indifférence au credo des fondateurs des États-Unis entraînent les multinationales et les Présidents qui composent avec elles à être sans âmes devant le spectacle de la mort des Noirs dans leurs pays, comme c'est le cas actuellement en RDC où ce ne sont que les Congolais qui sont les victimes et les coupables des méfaits d'une certaine main manupulatrice de Washington. Au sujet des voies et moyens qui vont éclairer la vérité sur la mort des Congolais dans un conflit qui n'est pas le leur et pour lequel, la Maison Blanche a donné son appui aux officiers des armées régulières rwandaise et ougandaise. L'Administration Clinton savait que ceux-ci étaient déterminés à prendre le pouvoir par le fer et le sang dans leur pays respectifs puis au Zaïre.
Ce faisant, au-delà des reproches qui peuvent être faites à la Communauté Internationale pour son manque d’assistance à peuple en danger, les Congolais, il y a lieu d’évaluer la responsabilité des dirigeants rwandais de deux camps, Hutu et Tutsi. Sauter directement sur les conclusions hâtives qui inhiberaient la possibilité de voir clair dans le dossier du génocide au Congo, ce serait là continuer à ignorer les crimes des officiels rwandais en RDC.
Bien des procédures floues aient assombri les possibilités de mettre en place une Commission d’enquête sur la destruction du Congo, il y a suffisamment des pistes pour remonter en aval de toutes les rébellions qui ont massacré massivement les Congolais. Au demeurant, ce sont deux tribunaux, la CPI et le TPI qui à juger les criminels du régime de Kigali pour leurs crimes au pays des femmes violentés et par le FPR et les FDLR.
À titre d'histoire, voici la structure du plan d'agression de la RDC telle qu'elle a été pensée par les architectes de la Maison Blanche pour déstabiliser la nation congolaise.Plan d’agression du Congo existe
Supputation de la Maison Blanche sur les enjeux gratifiants de la RDC apr s le génocide au Rwanda
Exploiter les tensions inter-armées sur le foyer des désaccords récurrents
Attiser les tensions inter-ethniques Hutu-Tutsi, les Congolais ayant été fichés comme Hutu
Rendre poreuses la frontière de la RDC aux incursions des rebelles du FPR
Ordonner au Rwanda et l’Ouganda d’attaquer la RDC avec leurs armées pour chasser Mobutu
Processus d'invasion : Massacrer les opposants, Guerre en finir avec les Forces Armées Zaïroises, Médiatisation de la guerre par le mensonge des médias occidentaux, Camouflage des victimes civiles tués par les Rwandais, les Ougandais et les mercenaires de tout bord.
La rançon de l’agression : gratifier Paul Kagamé et Yoweri Museveni des territoires sur lesquels les Congolais sont chassés, c’est fut d’ailleurs là la stratégie de la terre brûlée que Laurent Nkundabatuare a constamment appliqué aux injonctions directives secrètes du Président rwandais. Celui-ci a reconnu au Washington Post sa responsabilité direct dans l'embrasement de la République Démocratique du Congo lorsqu'il était soutenu de visu par la Présidence des États-Unis. Cela étant, il faut passer aux derniers mots de la pétition.
Ce n'est plus dans les décors de la mise à feu du Congo par les pyromanes de cette République qu'il faut dégager les intentions de la renaissance de l'âme congolaise meurtrie, mais dans la vision d'un homme de charité et de paix vers qui je recours pour expliciter comment j'entrevois le respect à devoir aux Congolais par la Communauté internationale et par les tenants-lieu de l'éthique publique universelle. Il s'agit d'un Docteur qui a consacré sa vie à soigner les psetiférés de la lèpre.
Les Congolais, par l'indifférence de tous les paliers de décideurs mondiaux sont dans la même similitude de contextualité . Ainsi, dans sa pratique médicale destinée aux soins de lépreux du Gabon, le théologien et médecin connu sous le nom de Dr Albert Schweitzer a dit que : "L’éthique du respect de la vie comprend en elle-même tout ce que couvrent les notions d’amour, de dévouement, de partage, de souffrances, de partage de joies et d’engagements pour le bien". Ceci fut le cri de coeur de ce médecin organiste de haute facture au cours de ses concerts de levée des fonds pour la construction de son hôpital au Gabon, à Lambarené.
Comme Congolais, par l'autorité morale que mes compatriotes exercent sur moi, je prie la "Maison Blanche" de regarder mon peuple comme des êtres humains et non comme des obstacles jonchant les pistes qui interdisent l'accès à l'exploitation des richesses minérales, fauniques et florales de la RDC. Plus de six millions de morts est une tragédie qui ne peut pas me confiner au silence à cause d'une peur ressentie face au gigantisme colossale de la puissance des États-Unis dans le monde. La gloire du puissant, c'est de regarder avec compassion la bas relief avec ses personnages qui gémissent.
La fable de Jean de la Fontaine dans le "Lion et le rat" m'identifie dans l'écran de cette communication que j'adresse à l'homme, nommé, le plus puissant du monde, j'ai cité, son Excellence, Monsieur le Président Barack Obama Président des États-Unis d'Amérique par l'entremise de son Secrétaire d'État aux Affaires Étrangères. C'est cela ma petition à Madame Hillary Clinton.
Djamba Yohé
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord
Ottawa, le 4 août 2009
Canada.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part II
The Unstoppable Truth
Daily bread for Rwandans
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part III
The Unstoppable Truth
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)
1 comments:
Très intéressant! Merci!
En effet, la démocratie ne s'installera pas en Afrique avec un coup de baguette magique! C'est un sujet très complexe, et cette analyse peut aider à y voire plus clair;
http://www.unmondelibre.org/Lottieri_Martin_detournement_democratique_070809