Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Tuesday, May 26, 2009
Le massacre des refugiés de la cathédrale de Byumba :Mon expérience du Front Patriotique Rwandais (26 Juin 2007)
Mon expérience du Front Patriotique Rwandais
Par Jean Paul Munyarukato
26 Juin 2007
Ils étaient quelques 200 âmes qui avaient pris refuge dans la cathédrale de Byumba à la reprise des hostilités entre
l’arme gouvernementale et les rebelles du Front Patriotique Rwandais (FPR). Des femmes et des enfants; pour la
plupart des ressortissants de Rebero et Buhambe dans les environs de la cathédrale de Byumba, des enseignants à
l’école primaire d’application, des employés de l’église, quelques fonctionnaires aussi qui exerçaient dans
quelques services qui étaient encore opérationnels dans cette ville affectée par la guerre depuis octobre 1990. Les
rebelles du FPR sont entrés dans la ville de Byumba dimanche le 17 April 1994 sans rencontrer aucune résistance.
L’armée gouvernementale avait évacué la nuit précédente.
Ces réfugiés venaient donc de côtoyer les soldats du FPR pendant plus d’une semaine et s’apprêtaient à regagner
leurs domiciles. Tout portait à croire que l’ordre revenait. D’ailleurs cette place qu’ils occupaient étaient plutôt
besoin servir un grand nombre de déplacés de Kigali que le FPR convoyait sur Byumba en cette période.
C’est dans ce contexte que la nouvelle autorité du FPR approcha ces gens dans la journée du lundi le 25 avril 994,
leur prodiguant les assurances et leur proposa d’aller passer un peu de jours à Kageyo dans les prémisses du
noviciat des soeurs de Notre Dame du Bon Conseil pendant que les organes habilités du FPR s’assuraient les
moyens de les retourner chez eux en toute sécurité. Ils étaient alors mis en file indienne encadrée par les soldats
pour une marche de 4 km et demi vers Kageyo.
L’opération était soigneusement orchestrée. Deux propriétés assez grandes et bien clôturées, l’un appartenant à
un certain François Rwambonera, l’autre au commerçant Alphonse Nsengiyumva, avaient été apprêtées à cette
occasion à un lieu dit Kuruyaga, sur la route principale Byumba-Rukomo, à moitié de la marche vers Kageyo.
Quand la file arriva à la hauteur de cet endroit en fin d’après-midi, une halte fut commandée, les soldats
commencèrent à admettre ces gens en petits groupes dans les deux propriétés. On les faisait croire qu’ils allaient
subir un petit interrogatoire avant de poursuivre le chemin vers Kageyo. Une justification. C’était tout
simplement pour maintenir le calme chez ceux qui attendaient leur tour. A l’intérieur, un autre groupe de soldats
se distribuaient les admis qu’ils massacraient en leur brisant le crâne. La fusillade aurait semé la panique.
Je connais la plupart des victimes de ce massacre, des familles entières, des enfants aux bas âges, des bébés qui ne
furent pas épargnés. Je connais aussi une personne qui survécut par ce que l’on la crut une Tutsie ayant échappée
le premier tri que l’on avait subtilement effectué à la cathédrale. Elle reporta le sort de Madame Musabyimana à
qui l’on a demandé aussi de s’en aller pour une autre raison mais ne voulut pas laisser derrière son mari Ignace.
Elle insista à prendre part à l’interrogatoire à ses cotés, avec leurs deux enfants et une nièce qui vivait avec eux.
Les trois enfants étaient tous âgés de moins de cinq ans. Toute la famille entière pérît. Parmi les victimes figurait
aussi Médard Mudaheranwa, un collègue étudiant à l’université du Rwanda qui, au moment de la reprise de la
guerre civile, se trouvait, comme moi-même, en vacances à Byumba.
Le massacre des réfugiés de la cathédrale de Byumba n’est pas un cas isolé. En ce moment les soldats chargés des
opérations de l’arrière-garde sous le commandement de l’actuel Colonel Dan Munyuza des FDR étaient engagés
dans une campagne d’extermination des masses à grande envergure à la quelle collaboraient activement les cadres
politiques du FPR. Un des membres dirigeants de ces cadres politiques du FPR à Byumba (ABAKADA, comme on
les appelle en Kinyarwanda) n’étaient rien d’autre que Monsieur Ignatius Kamali Karegyesa, l’actuel ambassadeur
du Rwanda à Kampala. Il a été vu en train de superviser plusieurs massacres en fin d’avril 1994.
J’apprends dans un document disponible sur l’internet relatif à la plainte contre les éléments du FPR au près de la
justice espagnole que Père Joachim Vallmajó, le Missionnaire d'Afrique de nationalité espagnole qui a été tué.
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Le massacre des refugiés de la cathédrale de Byumba :Mon expérience du Front Patriotique Rwandais (26 Juin 2007)
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J’apprends dans un document disponible sur l’internet relatif à la plainte contre les éléments du FPR au près de la
justice espagnole que Père Joachim Vallmajó, le Missionnaire d'Afrique de nationalité espagnole qui a été tué par
les soldats du FPR fut enlevé au noviciat des soeurs de Notre Dame du Bon Conseil de Kageyo. On précise le jour
et l’heure de l’enlèvement : mardi le 26 Avril 1994 à 14h40. Je me trouvais à la maison familiale de Gitanwa en
ce moment. On voit, à partir de la maison, le noviciat à quelques 800 mètres en haut, perché au sommet de
Gitanwa, à deux pas de l’école primaire de Kageyo. Dans les jours précédents, on remarquait effectivement son
véhicule qui s’en allait à Byumba et revenait au noviciat.
Rétrospectivement, je peux dire que le prêtre a été tué par ce qu’il constituait un témoin gênant pour les
massacres ignobles aux quels les éléments du FPR se livraient sur toute la zone de Byumba en cette période. Cela
vaut d’ailleurs autant pour l’assassinat d’autres prêtres, notamment à Karushya, près de Rwesero. Il y a
notamment en face du noviciat, identifiable et relativement proche, le sommet de Meshero. Cet après-midi de
l’enlèvement du Père Vallmajó le FPR avait invité les habitants des environs de Rukomo, un petit centre
commercial sur la route de Kigali-Gatuna, de se rendre à cet endroit pour une réunion de prise de contact avec les
nouvelles autorités. Pour encourager la participation, la population était laissée croire à l’opportunité d’un
recensement des habitants par famille dans la perspective d’une distribution d’assistance humanitaire.
J’ai vu moi-même la population qui affluait au sommet de Meshero à partir d’une heure de l’après midi. Il y a
deux kilomètres et demi à vol d’oiseau à partir de chez moi, mais le temps était clair et cette journée du 26 avril
1994 plutôt ensoleillée malgré le mois d’avril connu habituellement pour de grosses pluies et de denses
brouillards dans ces montagnes de Byumba. Vers 15h00 de l’après midi, ce sommet était déjà couvert de foule
humaine. De loin, je jugeais cette masse plutôt calme et attentive pour une réunion qui, très apparemment,
prenait beaucoup de temps pour finir. Elle s’est éternisée jusqu’à la fin de l’après midi. Finalement, quand la
fusillade a éclaté vers 17 h30, discernables aussi étaient des gens qui fuyaient la scène de massacre de Meshero et
dévalaient en débandade le versant de cette imposante montagne. Malheureusement, un autre groupe de soldats
avait formé une chaîne d’assassins en bas de montagne tout au long de la route Kigali-Gatuna. Les fuyards
descendaient dans un autre champ d’exécution. Ils étaient abattus comme s’ils étaient quelque forme animale
sujette à la chasse.
Le lendemain du massacre, un rescapé de Meshero m’informait que, contrairement à ce que l’on pouvait assumer
de loin, il n’y avait pas eu de réunion du tout. La foule était tout simplement assise, assiégée par les soldats,
empêchée de se parler ou de se lever pour quelque raison que ce soit. Le massacre avait commencé vers 16h00 sur
le modèle de la stratégie employée à Kuruyaga : admission et assassinat de gens en petits groupes dans les locaux
d’une école primaire tout près qui n’était pas visible de notre côté. Les soldats ont seulement ouvert le feu
à l’approche de la tombée de la nuit sur le constant qu’ils n’allaient pas achever tout le monde. D’ailleurs, les
organisateurs de ce massacre avaient également prévu cette éventualité en disposant les soldats au bas de la
montagne pour s’assurer un massacre « complet. »
Il y avait aussi cette route Kigali vers Gatuna à la frontière avec l’Uganda. Le quartier général du FPR à Mulindi se
trouvait aussi au long de ce corridor. Une fusillade plus tôt aurait alerté quelques convoies qui utilisaient cette
route pendant la journée y compris des journalistes étrangers qui couvraient la guerre. Sinon, dans les endroits
éloignés des voies de communication, les gens étaient tout simplement fusillés, les grenades jetés dans la foule et
dans les maisons.
Les massacres similaires ont eu lieu dans plusieurs coins de Byumba du 23 au 30 avril 1994: au stade de Byumba,
à Kisaro, à l’école primaire de Kibali, à l’école primaire de Muhondo pour ne citer que les sites les plus
importants. Après l’épisode des réunions-mouroirs (INAMA), les soldats descendaient sur les collines et
procédaient au regroupement et assassinat des familles entières. Cependant, il apparait que ces massacres étaient
bien définis dans le temps, essentiellement dans la deuxième semaine de l’occupation comme si les soldats étaient
enjoints d’exterminer autant de gens que possible avant de progresser vers d’autres zones.
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Le massacre des refugiés de la cathédrale de Byumba :Mon expérience du Front Patriotique Rwandais (26 Juin 2007)
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Les faits que j’évoque ici sont vérifiables. J’ai eu l’occasion de recouper l’expérience de Byumba avec celle des
ressortissants des autres régions. J’ai été dans plusieurs coins de Byumba, Butare, Gitarama et Kibungo entre 1995
et 1999. Je suis un témoin oculaire de la méthode d’extermination des masses du FPR et j’ai suffisamment
consulté les autres témoins. Je lis constamment tout ce qui est écrit sur les massacres d’Interahamwes, les
massacres du FPR, les travaux du tribunal pénal international sur le Rwanda. Il y a aussi le témoignage vidéo de
Marcelin et Gloria Gérin que l’on peut visualiser cette fois ci sur l’internet. Il éclaire sur les actes
d’extermination des masses par les soldats du FPR tout au long de la route qu’ils ont emprunté de Kibungo à
Mulindi pendant la même période de fin d’avril 1994.
N’ayant aucune raison personnelle de regretter la chute du régime qui comptait sur Interahamwes pour mettre en
oeuvre le génocide des tutsis, je parle de ces massacres qui ont été perpétrés par le FPR de la manière la plus
objective possible. Tous ceux qui sont informés de mon parcours sur ce sujet reconnaitront d’ailleurs que, plutôt
que de m’engager personnellement et sans réserves sur ce terrain, j’avais initialement préféré pointer du doigts la
méthode d’extermination des masses du FPR à un nombre d’acteurs capables d’apporter quelque redressement de
justice à cette situation. Autrement, les témoignages recueillis à travers le pays dressent un tableau sans
équivoque : les massacres du FPR confirment un niveau d’organisation hors-pair, une volonté explicite d’extermination des
masses ainsi qu’une capacité de dissimilation élaborée et constamment actualisée.
Cela étant dit, revenons sur l’exemple des massacres de Byumba. Il y avait une guerre en cours, bien entendu.
Cependant, le front se trouvait en ce moment à 50 km plus au sud dans les environs de la capitale Kigali. En plus,
pour procéder à une orchestration des massacres de femmes, enfants et vieillards sur toute une région, le FPR a
dû déployer un nombre important de troupes qui, autrement, pouvaient être en train de servir quelque autre rôle
d’importance dans le cadre de l’effort de guerre. Ceci constitue une preuve que l’extermination des masses était
pour le moins un objectif de guerre explicitement déterminé et autorisé par the haut commandement du FPR.
Je fus instituteur à l’école primaire de Muhondo pendant l’année scolaire 1990/1991. Quand j’ai appris que le
FPR a organisé un massacre dans cette école, j’étais naturellement curieux de savoir plus ce qui s’est passé là-bas.
Je m’y suis rendu en janvier 1995. Les locaux étaient encore entachés de sang. Une fosse que les soldats du FPR
avaient creusée au bas de la cour de recréation pour y jeter, aux dires des témoins de ce massacre, plus de 300
victimes, se faisait remarquer aussi. Peu profonde, on pouvait discerner des bouts de restes humains. Des
individus concernés ajoutaient la terre ici et là pour recouvrir ces restes. La végétation s’étendait et aidait à
masquer cette fosse commune. L’école avait rouvert ses portes en moment là. Les enfants jouaient sur cette
sépulture inconvenable où gisaient parents et voisins ; une réalité dont personne ne pouvait s’indigner
ouvertement qu’au risque d’y payer pour sa vie. Le discours officiel était que le FPR n’a pas commis de massacres.
Dans son allocution de Kibeho le 07 Avril 2007, le président Kagame est encore revenu sur cette question. « Le
FPR n’a tué personne » a-t-il martelé.
Concernant, la capacité de dissimulation des massacres du FPR qui est d’ailleurs constamment actualisée depuis la
fin de la guerre, je peux attester que trois semaines après le massacre de Meshero, les soldats sont revenus pour
fouiller, ramasser et emporter les dépouilles des victimes qui jonchaient les environs. Aussi, la dernière
l’information sur la fosse commune de Muhondo est que qu’elle aurait été vidée au couvert de la nuit, les
dépouilles emportaient ailleurs. Cet acte aurait coïncidé avec le lancement des travaux du tribunal Gacaca dans la
région. En effet, si l’on se réfère à la version officielle du gouvernement rwandais sur les événements de 1994, il
ne peut pas exister de fosses communes dans une zone où Interahamwes ne sont pas connus d’avoir opérés. Doù
leffort soutenu deffacer les traces surtout quand il sagit de fosses communes contenant un large nombre de victimes.[cfr.aut.du doc26].Co
lisée depuis la fin lllllllllllllllllll ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;llguerre, je peux attester que trois semaines
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Le massacre des refugiés de la cathédrale de Byumba :Mon expérience du Front Patriotique Rwandais (26 Juin 2007)
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Cette dernière information reste à vérifier. Mais le FPR est connu pour plusieurs manouvres indignées de ce genre depuis la
fin de la guerre en 1994. Il y avait notamment une fosse commune à Munyinya, tout à coté de l’ancien bureau communal de
Kinyami. Les soldats ont mis trois jours pour la vider. Les dépouilles étaient emportées en camions étroitement gardés.
Durant l’opération, les lieux étaient interdits au public, la fosse commune elle-même couverte d’une gigantesque tente que
les gens de la région ont vue et se souviennent. Pour faciliter le bon déroulement de l’opération, l’autorité du FPR avait
pris soin d’envoyer en mission à l’étranger le bourgmestre local, un Hutu qui, comme la plupart des habitants de la région,
avait certainement des relations de parenté et des connaissances qui reposaient dans cette fosse commune.
Toutefois, malgré ces manouvres du FPR, il n’est pas du tout difficile de prouver l’existence des actes
d’extermination des masses de sa part. La stratégie qui était mise en oeuvre par le FPR ne varie presque pas dans
son exécution, que ce soit dans la campagne de Byumba juste après l’attentat du 06 avril 1994 que dans les
opérations de Butare et de Gitarama aux mois de juin et de juillet à la vielle de l’instauration du gouvernement
FPR à Kigali. En plus, même si les treize ans qui nous séparent des événement de 1994 ont permis au FPR
d’affiner ses moyens de dissimulation et de nettoyage des plus grands sites de carnage, les fausses communes issues
des assassinats groupés des familles et des voisins sur les collines restent intactes, car elles se trouvent le plus
souvent au milieu des habitations, loin des voies de communication. Je connais moi-même une douzaine
d’emplacements dans le périmètre de Byumba. Ils m’ont été indiqués par les proches et les voisins des victimes à
chaque fois que je voyageais dans cette zone depuis la fin de guerre en 1994 jusqu’en mai 1999 quand j’ai quitté le
pays.
Une précision, pourtant : parler des massacres qui ont été perpétrés par les éléments du FPR n’affecte pas en
aucun cas la gravité des actes d’extermination des masses qui visaient spécifiquement l’ethnie tutsie pendant la
même période. Au contraire. Je me réjouis notamment qu’il existe actuellement une plateforme convenable pour
l’exercice de la justice et de la mémoire pour les victimes de ces actes de ce génocide. Cependant, si on examinait
en toute conscience et sérénité l’histoire des conflits de pouvoir dans cette région du monde, au Rwanda et au
Burundi en particulier, on acceptera sans ambages que le génocide rwandais était le résultat d’une poursuite
effrénée des desseins hégémoniques basés le clivage ethnique chez les belligérants de la guerre civile de 1990-
1994.
Evidemment, il y a eu cet attentat du 06 avril 1994 qui fut l’élément déclencheur de l’hécatombe de 1994. Je ne
crois pas d’ailleurs que son auteur soit parmi ceux qui regrettent vraiment l’avènement du génocide de1994.
Toutefois, à la lumière de la composition ethnique des populations du Rwanda et du Burundi sur la ligne d’une
majorité et une minorité, cette histoire des conflits de pouvoir ne limite pas la capacité génocidaire dans les mains
d’une ethnie ou d’une autre. Sur ce point, la comparaison du génocide rwandais avec les génocides apparus dans
l’Ancien Monde dans une logique de minorité, à savoir le génocide des juifs et le génocide des araméens par
exemple, ne peut qu’obscurcir le fait qu’en 1994 les forces du FPR possédaient une supériorité militaire et luttaient
pour la prise du pouvoir. Les actes d’extermination des masses que les rebelles du FPR ont perpétrés reflètent
leur capacité militaire et d’organisation. Les membres du FPR étaient essentiellement issus de la minorité tutsie,
certes, mais le FPR ne doit pas être confondu à une organisation minoritaire en ce moment. Pour ceux qui
voudraient pousser la comparaison plus loin, les massacres dont je parle ne constituent quelques isolés de type
Dresden. Ils révèlent une stratégie raisonnée d’extermination des masses de la part du FPR.
D’ailleurs, les lecteurs de ce point de vue remarqueront que le Tribunal Pénal International pour le Rwanda
(TPIR) aura tergiversé et se sera montré peu disposé à faire la lumière sur les crimes de guerre et crimes contre
l’humanité qui ont été commis par les éléments du FPR notamment à cause de cette confusion. Pourtant les
crimes du FPR figurent aussi clairement dans la mission du TPIR qu’ils sont faciles à mettre à jour, du moins si on
considère la consistance et la généralisation de la stratégie d’extermination des masses qui a été mise en oeuvre par
le FPR. Il n’y a pas de doutes sur ce point : si, comme l’on peut déjà le constater nettement, le TPIR ferme ses
portes sans avoir apporté la lumière sur les massacres qui ont été perpétrés par les éléments du FPR, il va
certainement laisser derrière lui un héritage nuisible à la réconciliation nationale au Rwanda.
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Le massacre des refugiés de la cathédrale de Byumba :Mon expérience du Front Patriotique Rwandais (26 Juin 2007)
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kkkkkppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppp
ppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppp
Pour conclure ce point de vue, je dirais que mon expérience du FPR est profondément imprégnée de sa stratégie
d’extermination des masses, de sa capacité de dissimulation. Cela est particulièrement apparent dans le massacre
des réfugiés de la cathédrale de Byumba. D’ailleurs, mon évêque, son excellence Monseigneur Servilien
Nzakamwita, l’un des quatre destinataires de ce point de vue, conviendra avec moi: le silence sur les actes
d’extermination des masses qui ont été perpétrés par le FPR n’est pas du tout susceptible de promouvoir l’Etat de
droit et la réconciliation nationale dans son diocèse. Au besoin, il pourra publier les statistiques de l’Eglise sur les
victimes des massacres de 1994 à Byumba, pourquoi pas ?
A propos, souvenons nous que la réconciliation nationale forme actuellement une priorité dans l’agenda politique
du gouvernement rwandais. Malheureusement, il semble que la passion affichée dans ce sens vise uniquement à
impressionner les bailleurs de fonds et secourir la croissance de l’aide internationale. Autrement, la logique de la
réconciliation nationale demande que l’on établisse d’abord la vérité sur tous les massacres ciblés de grande
envergure que le Rwanda a connu en 1994. Et le FPR qui tient les reines du pouvoir politique, militaire et
économique au Rwanda ne voudrait pas l’entendre de cette oreille.
Cette situation rappelle un peu le mot d’ordre d’unité nationale sous le régime précédent. Le président
Habyarimana vivait, disait-on, de cette aspiration. La politique de l’unité nationale était enseignée à l’école, répétée
et renforcée chaque jour dans les discours politiques et sur les ondes de la radio nationale, du matin au soir.
Pourtant, que absurde était le silence de ce régime sur le sort des centaines des milliers de ressortissants rwandais
condamnés à l’exile dans des pays voisins! Pour le Général Major Habyarimana, l’unité nationale était
parfaitement compatible avec le maintien en exile des tutsis. Pour le Général Major Kagame, la réconciliation
nationale semble parfaitement compatible avec l’imposition d’un silence absolu sur les massacres qui ont ciblé les
hutus. Est-il possible que le temps puisse nous convaincre que le FPR n’a pas tué ? Je ne le crois pas.
Fait à Stoke-on-Trent, ce 26 Juin 2007
Jean Paul Munyarukato
Ce point de vue a été spécialement rédigé à lattention des personnalités suivantes :
! Monseigneur Servilien Nzakamwita, lévêque de Byumba
! Monseigneur Thaddée Ntihinyurwa, larchevêque de Kigali
! Monseigneur Anselmo Guido Pecorari, le Nonce Apostolique au Rwanda
! Monsieur Jeremy Macadie, lambassadeur de Grande Bretagne au Rwanda
Ladresse de lauteur: Jean Paul Munyarukato
183 Duke Street,
Heron Cross,
Stoke on Trent,
ST4 3BJ/ UK
Tel: +44(0)7709881046
Email:munyarukato@yahoo.co.uk
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part II
The Unstoppable Truth
Daily bread for Rwandans
The Unstoppable Truth
The killing Fields - Part III
The Unstoppable Truth
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Carla Del Ponte, Ancien Procureur au TPIR:"Le drame rwandais mérite une justice impartiale" - et réponse de Gerald Gahima
Sheltering 2,5 million refugees
Credible reports camps sheltering 2,500 million refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
The UN refugee agency says it has credible reports camps sheltering 2,5 milion refugees in eastern Democratic Republic of Congo have been destroyed.
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)
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