Rwanda: Cartographie des crimes
Let us remember Our People
You can't stop thinking
Welcome to Home Truths
Everybody Hurts
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Ways To Get Rid of Kagame
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Georgette Gagnon, Africa director at Human Rights Watch:
"Violence during protests may require that the police use force, but it must be proportionate"
The violence followed tensions caused by planned celebrations of National Youth Day in the eastern district of Kayunga on September 12. A delegation from Uganda's Buganda kingdom went there to observe preparations for the festivities, where the kabaka, the king of the Baganda people, was to make a formal presentation.
The police stopped them from entering the district, where a breakaway ethnic faction, the Banyala, rejects the kabaka's authority. Baganda youth protested in the Kampala suburbs and downtown throughout the afternoon of September 10. Police reacted by firing tear gas and live ammunition. It remains unclear whether any of the protesters engaged in violence.
Human Rights Watch researchers witnessed at least 35 injured people arriving on motorcycle taxis and ambulances at Mulago National Hospital during a two-hour period in the evening. Most had been beaten or hit by rocks.
Others had been shot and seriously wounded. Human Rights Watch saw the body of one man who witnesses said had been killed downtown by a stray bullet. A young boy was hit and killed by a stray bullet on the way home from school, a witness to that episode said.
The National Broadcasting Station televised severe beatings of civilians in the afternoon. In one instance, at least 30 people were assembled on a sidewalk, and the police forced men to remove their shirts. A group of men in civilian clothes, standing alongside the uniformed police, beat these people with large sticks.
Witnesses said that the men who carried out the beatings are members of an informal volunteer militia known as the Kiboko Stick Squad, which works alongside the police. A police spokesperson denied that members of the Kiboko Stick Squad had been deployed.
The Uganda Broadcasting Council, a government body in charge of monitoring broadcasting services in the country, shut down one radio station, the Central Broadcasting Station, owned by the kingdom of Buganda, allegedly for engaging in sectarian acts.
Taking the station off the air prevented people from getting information about violence in and around the city. Knowledgeable sources said that the council told another station, Radio Simba, to stop covering the day's events or face being shut down.
Force and Firearms by Law Enforcement Officials, Human Rights Watch said. The principles call upon law enforcement officials to apply nonviolent means before resorting to the use of force, to use force only in proportion to the seriousness of the offense, and to use lethal force only when strictly unavoidable to protect life.
"Violence during protests may require that the police use force, but it must be proportionate," said Gagnon. "Here it appears that the police use of live ammunition prompted an escalation in bloodshed."
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
En séjour privé au Rwanda, Baudouin Dunia Baharanyi
A la veillé parlementaire annoncée pour ce mardi 15 septembre 2009, un élu du peuple risque de manquer à l’appel au Palais du Peuple. Il s’agit de Baudouin Dunia Baharanyi, député national élu du territoire de Masisi, dans la province du Nord-Kivu et membre du Groupe parlementaire du MLC (Mouvement de Libération du Congo).
Selon des informations parvenues au Phare, cet « honorable » se trouve aux arrêts et placé en détention préventive dans une prison de la capitale du Rwanda, Kigali. Il a fait l’objet d’un mandat d’arrêt délivré contre lui par un Procureur rwandais et appréhendé à partir de Gisenyi, où il était en séjour privé.
A en croire les premiers éléments du dossier, Baudouin Dunia est poursuivi du chef d’abus de confiance, pour n’avoir par remboursé, dans les délais convenus, un crédit obtenu de la Banque de Commerce, Développement et Investissement (BCDI) du Rwanda, lequel s’élèverait à plusieurs millions de dollars américains. Tous les efforts déployés par Le Phare pour obtenir un chiffre précis ont été vains.
Entre autres éléments d’information parvenus au quotidien de l’avenue Lukusa, il y a ceux faisant état de l’utilisation, par le député incriminé, des fonds décaissés par la BCDI dans l’achat et la mise en valeur des fermes dans les territoires de Masisi, au Nord-Kivu, et de Kalehe, au Sud-Kivu.
L’autre précision parvenue au Phare est que la justice rwandaise a décidé de se saisir de Baudouin Dunia Baharanyi pour deux raisons: 1°) c’est un citoyen rwandais, 2°) ses mouvements incontrôlés entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo font craindre sa fuite. Aussi a-t-on décidé de le maintenir en prison jusqu’à l’ouverture de son procès.
Il convient de signaler que le patron de Banque de commerce, de Développement et d’investissement du Rwanda, considéré lui aussi comme complice de Baudouin Dunia dans le processus ayant abouti à l’octroi du crédit non remboursé, se trouve lui aussi aux arrêts.
L’on se trouve ainsi devant une situation fort délicate où la justice rwandaise estime avoir arrêté un ressortissant du Rwanda, coupable du non respect de ses engagements financiers vis-à-vis d’une institution financière de son pays. Dans ces conditions, l’immunité parlementaire dont aurait pu se prévaloir ce député national congolais est sans effet. D’où son maintien en détention.
La réaction de Thomas Luhaka (MLC)
Approché par le Phare à partir de Goma, dans le Nord-Kivu, où il se trouve en séjour privé, le député national Thomas Luhaka, Secrétaire Exécutif du MLC (Mouvement de Libération du Congo), a confirmé l’arrestation de son collègue Baudouin Dunia, membre de son parti et de son groupe parlementaire. Il a tenu à préciser que l’intéressé se trouvait au Rwanda dans le cadre de ses activités privées et qu’il a été arrêté, selon lui, comme citoyen congolais.
Il a confirmé aussi l’arrestation du numéro un de la BCDI, toujours en rapport avec le même dossier. Thomas Luhaka a fait savoir qu’à ce stade, le MLC ne disposait pas encore de données suffisantes sur l’affaire pour entreprendre une intervention pertinente. Toutefois, la direction du MLC suit le dossier avec le maximum d’attention.
L’Assemblée Nationale silencieuse
Le Phare a tenté aussi d’obtenir des renseignements du côté du Bureau de l’Assemblée Nationale, mais tous les essais d’entrer en contact avec l’un ou l’autre responsable se sont soldés par des échecs. D’où, il est difficile de savoir si la chambre basse du Parlement est au courant ou non de l’arrestation de son membre au Rwanda.
L’opinion congolaise, qui est intriguée d’apprendre que le député national aux arrêts au pays de Paul Kagame serait un citoyen rwandais, attend impatiemment un éclairage non seulement au sujet de son statut, mais aussi des griefs réellement mis à sa charge.
L’on aimerait connaître la nature de la flagrance des faits mis à charge de Baudouin Dunia, au point de faire fondre son immunité parlementaire comme neige au soleil. Car, jusqu’à preuve du contraire, c’est un citoyen congolais, élu du peuple par-dessus le marché qui se trouve aux arrêts dans un territoire étranger.
(CV/Milor/GW/Yes)
Kimp./Le Phare
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Survivors Human Rights Advocates help Rwandan survivors, performers, scholars, young Rwandans representing the breadth of Rwandan social and political movements.
Survivors Human Rights Advocates encourage critical and imaginative thinking about the current Rwandan bloody dictatorship issues through political, cultural, and educational forums worldwide].
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Mme Mc Kinney Cynthia- Les crimes commis en RDC et au Rwanda et qui cristallisent la crise dans les Grands Lacs à la base des déboires que continuent à subir ces deux pays doivent être élucidées pour ramener la paix réelle dans cette région, selon la congressiste américaine Cynthia Mc Kinney.
« Nous avons déposé une plainte, avec constitution de partie civile en Espagne, avec le prix Nobel argentin Adolfo Perez Esquivel, Juan Carrero, candidat espagnol au prix Nobel de la paix, et trois municipalités espagnoles pour élucider les crimes commis en RDC et au Rwanda de 1990 à 2002 ».
Ainsi s’est exprimée la congressiste américaine Cynthia, selon une information mise en ligne hier de New York et reçue à notre journal. Mme Mc Kinney prétend requalifier les crimes commis en République rwandaise en 1994. Elle était l’envoyée spéciale de l’ancien président américain en Afrique et a révélé que « l’attentat du 6 avril 1994 contre le président rwandais est un coup d’Etat ».
Cette révélation serait le résultat d’une enquête menée par Cynthia Mc Kinney avec les agents du FBI, de la CIA, des membres du Tribunal Pénal International et des témoins de l’attentat. En 2001, Mc Kinney avait organisé une table ronde sur les événements du 6 avril 1994. Elle confirme que « ce qui s’est passé au Rwanda n’est pas un génocide planifié par les Hutu.[NDLR :Le TPIR l'a également confirmé. Le planificateur demeure au large] C’est un changement de régime.
Un coup d’Etat terroriste perpétré par Kagame avec l’aide des forces étrangères.
[NDLR: Kagame l'a récemment confirmé lors de la remise des médailles à Museveni et à Zenawi sur conseil de Tony Blair.]
J’ai suivi de près la tragédie des Grands Lacs et je pense qu’il fallait faire éclater la vérité aux Etats-Unis. C’est pour cela que j’ai décidé à l’époque de réunir des fonctionnaires de l’ONU, des enquêteurs américains, experts de la CIA, des témoins rwandais et des élus américains préoccupés par cette souffrance et cette violence infligées à l’Afrique et aux Africains ».
Des éléments de cette investigation plutôt révisionniste ont été transmis au juge Bruguière et au Prix Nobel de la Paix argentin Adolpho Perez Esquivel.Celui-ci est intéressé dans le dossier de la justice espagnole sur le pillage et les crimes commis au Rwanda et en République Démocratique du Congo, contre les prêtres espagnols, les Rwandais et les Congolais.
En effet, en poursuivant les génocidaires Hutu rwandais, le corps expéditionnaire rwandais avait massacré les populations jusque sur le territoire congolais, à Tingi-Tingi, Kisangani-Rive gauche, Mbandaka...Des sources indiquent que la justice espagnole a lancé des mandats d’arrêt contre les proches collaborateurs de Kagame, dont le général James Kabarebe, chef d’état-major général de l’armée rwandaise.
Mc Kinney ne comprend pas pourquoi le Tribunal Pénal International refuse d’enquêter sur ce coup, qui, en fait, est l’élément déclencheur de la tragédie rwando-congolaise : « Je ne comprends pas pourquoi les pays occidentaux et les Etats Unis en particulier laissent faire.
Je ne comprends pas pourquoi l’on massacre, pille et viole les femmes en RDC sans que le monde entier s’en émeuve. Je ne comprends pas ce silence en forme d’encouragement de la communauté internationale à l’égard de crimes abominables ».
Pour elle, le TPI est « une honte internationale ». Et comme elle maîtrise le dossier des Grands Lacs au niveau du Congrès américain, elle s’est engagée à mener une action contre les autorités rwandaises et leurs complices impliqués dans ce drame : « C’est une véritable escroquerie.
Comment peut-on prétendre juger des criminels hutus alors que ceux qui ont abattu l’avion et assassiné des milliers de hutu ainsi que des Tutsi, des Espagnols et des Congolais sont libres ?
Je ne peux pas concevoir que ces gens qui ont bénéficié d’une formation militaire aux Etats-Unis depuis 1990 utilisent ces compétences à des fins criminelles. Il s’agit donc d’un dossier à rebondissements dans la région des Grands Lacs.
Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule, tyranny and corruption in Rwanda.The current Tutsi-led government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority (85% Hutus) of the Rwandan people by the RPF criminal organization.
(DN/TH/GW/Yes)
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11-09-2009
Edgar Kahindo du Racodit/Butembo
En langage officiel, ce programme concerne l’implantation en R.D.Congo des refugiés congolais du Rwanda, Burundi, Uganda et Tanzanie.
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Le masque de ce programme d’occupation rwandaise du Nord-Kivu est tombé quand les Chefs coutumiers de Beni-Lubero ont révélé qu’ils étaient sous pression de Kinshasa, du HCR, du PNUD, et de la MOUNC pour signer des documents par lesquels ils autoriseraient le Programme Habitat dirigé par Bizima Karaha, un projet qui consiste à construire des maisons dans leurs chefferies respectives, sur des sites choisis sans leur consultation.
Cette réunion de tous les dangers sous la présidence du HCR-PNUD-Bizima devait avoir lieu cette semaine à Goma. Aux dernières nouvelles, il se poserait un problème de transport des chefs coutumiers vers Goma.
Ce qui ressort de cette démarche du HCR-PNUD est le fait que les refugiés congolais dont il s'agit semblent ne pas savoir où ils vivaient avant de devenir réfugiés. Les congolais des villages ciblés pour abriter ces colonies rwandaises ne se rappellent pas avoir vécu avec des rwandais dans un passé récent ou lointain.
D’où la question de savoir quand ces refugiés congolais étaient partis par exemple de Mwenye, Vurondo, Isale, Kyondo, Munoli, Mayangos, Kasugho, Kanyabayonga, etc. Peut-être y-avait-il eu des rwandais dans ces contrées avant Jésus-Christ ou avant les pygmées reconnus par tous comme premiers citoyens de Beni-Lubero ! Ceux qui savent mieux que les congolais en cette matière sont les experts américains, anglais, belges du HCR-PNUD, etc.
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D’après les informations qui circulent de bouche à oreille, les sites identifiés par le HCR-PNUD sont des localités où des villages entiers sont actuellement incendiés par des pyromanes rwandais.
Si ces informations se révèlent véridiques, ceux qui suspectent l’ONU de travailler pour la balkanisation de la R.D.Congo auraient finalement raison. Ainsi, les atrocités actuelles d’incendies des maisons, les massacres des congolais, le phénomène des déplacés ne seraient qu’un prélude à l’implantation par le force des colonies de peuplement des rwandais au Nord-Kivu. Ceci expliquerait aussi le silence de Kinshasa et de la Monuc devant les atrocités ci-haut citées.
D’après les mêmes informations, si les Nande refusaient de vider les lieux choisis pour les rwandais, ils seraient assimilés aux Hutu rwandais, aux FDLR, etc. et seront traqués ou éliminés dans la forêt.
Les antennes du commandement militaire qui préside à ces opérations de déguerpissement forcé des congolais de Rutshuru, Beni, Lubero, et de Walikale sont implantées dans les endroits suivants : Pinga (Walikale), Kanyabayonga (Lubero), Musienene (Lubero), Aéroport de Rughenda (Butembo), Concession Ozacaf (Beni), etc. Des hommes en armes portant l’uniforme militaire congolais partiraient nuitamment de ces postes pour accomplir leur sale besogn de préparation du terrain aux colonies de peuplement rwandais.
Quand ces escadrons de la mort se font appréhendés par la Police locale, des ordres tomberaient de Kinshasa pour ordonner leur relaxation immédiate et sans conditions. Pour tromper l’opinion, de fois les ordres de l’hiérarchie ordonneraient que les incriminés soit transférés à la prison de Munzenze à Goma, devenue la porte de sortie de bandits or tueurs précurseurs de l’occupation arrêtés au Nord-Kivu.
L’antenne d’occupation de Butembo est commandée par un sujet Hema de l’Ituri. On se souviendra que les Hema de l’Ituri sont alliés aux Tutsi du Rwanda et aux Banyankole de l’Ouganda pour la balkanisation de la RDC.
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Toutes ces antennes d’occupation seraient commandées à partir de Rutshuru par un certain Colonel SMITH !
Comme on dit qu’il n’y a pas de fumée sans feu, les autorités compétentes ainsi que les forces vives devraient ouvrir une enquête pour éclairer la religion des Nord-Kivutiens sur ce phenomène !
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Par Gahamanyi
INKUNDURA, ni murwane inkundura kuko IMPURUZA yacyuye igihe. Banyarwanda , banyarwandakazi ndabakangurira kurwana INKUNDURA kuko impuruza yo yacyuye igihe.
Ku bakiri bato batazi ijambo INKUNDURA nabasabaga kuryimenyereza kuko n'Ingengabitekerez o mumaze kuyimenyera.
Ibihe birasa ntacyo bipfana; Ibihe turimo birasa na 59/60 igihe imiryango ya Fred/Kagame n'abandi baje kwibumbira hamwe bakaba Inkotanyi bahungaga, U Rwanda bakanyanyagira Uganda, Tanzania Burundi , I burayi n'ahandi.
Ubu mu Rwanda ababishoboye barahunga umusubirizo , abatabishoboye bakiyemeza gufungwa ubutazawuvamo. Ibihe birasa ntacyo bipfana, i 82, Obote wa Uganda yirukanye imiryango y'abo navuze haruguru ngo batahe iwabo, Bituma bicara baratekereza, bati arega bahungu duheze mu mahanga. Mbega aho mwicaye mu makambi Zambia , Congo Braza, Tanzania , I Burayi nahandi muricara mugatekereza ko muheze mu mahanga?
Wenda uracuruza ukabona biragende, uhinga muri Congo akabona birera, nyamara umunsi uzaba umwe mwese musabwe gusubira iwanyu. Umunyarwanda ati Ihunga Umurizo wayo Igwa Ruhaba .. Ngo abahunga barahunga Inkotanyi. Uzazihungira he ko ziri kwi isi hose? Ese ubundi izo Nkotanyi ni bande?
Aho si ba Banyarwanda bafashe imbunda muri 90 bakarwanya Habyarimana basaba uburenganzira bwabo bakabutsindira ubu bakaba bagenda bemye? Wowe se kuki utahaguruka ngo urwanire uburenganzira bwawe ubura Iki?
Ko uwateguye iyo genocide yabaye urwitwazo rwo gukandamiza bamwe yamenyekanye, kuki wakwemera gukomeza guhonyorwa n'inkandagira bitabo, kwitwa jenosideri, igipinga n'ibindi?
Ibihe birasa ntacyo bipfana; Ibihe turimo biranyibutsa 90, ubwo isasu ryavugiraga Kagitumba,ubwo Umwana w'Umututsi wese wumvaga yarabuze uburenganzira bwe, yaba ari uwarangizaga ayisumbuye, yaba uwari muri Universite, yaba uwari ufite akazi keza muri ONG cyangwa muri Reta, bose banyuze inzira zinyuranye bahurira Kagitumba. Ibi nibyo bita UBUTWARI.
Bararurwanye, abapfuye barapfa , ariko abasigaye ubu baragenda bemye wowe ugenda wubitse umutwe.Uwacikirije amashuri ye ubu yayasubiyemo yigira ubuntu, uwataye akazi ke keza ubu yaragasubiranye ndetse abona akarenzeho amaze kukwirukana mu biro , ndetse akwise Igipinga.. Nyamara ubu baravuga ngo FDRL uti ntibindeba. Kagame yavuga ngo abo ni aba Jenosideri ukadagadwa!! Nyamara ubu baravuga ngo FDRL uti : "ntibindeba".
Ese uwo Kagame ugutera ubwoba ngo uri Jenosideri, ko we na FPR ye ubu baregwa mu nkiko ubwicanyi ndengakamere ndetse na manda zo kubafata zikaba zarasohotse wigeze ubona bahagarika gahunda zabo? Uratinya kwitwa Jenosideri kuberako wasanze FDRL, nyamara n'ubu niko witwa. Ngo ni icyaha kizagukurikirana hamwe n'abazagukomokaho.
Nkakubaza nti; wowe uri kurangiza ayisumbuye ,( niba ugize amahirwe) kuko Papa wawe yabishaka atabishaka ari jenosideri ejo ko Gacaca izamutambikana na ka gasambu kavagamo ka minervale kakagurishwa , Imbere yawe urabona amaherezo ari ayahe?? Wowe wicaye ku ntebe ya Universite ubona bene wanyu bose barangizanye amanota ya mbere nta n'umwe uhabwa akazi..Ukeka ko wowe uri miseke igororotse??
Ese ubona amaherezo ari ayahe?? Ese uratekereza? UBUTWARI bwawe bushingiye he? Utegereje iki ngo usange abandi urwanire uburenganzira bwawe. Wowe uhagatiye imbunda yabandi, iso na bakuru bawe baheze mu munyururu barengana.. ubwo nibwo BUTWARI bwawe?
Njye ndababwiza ukuri, ngaya cyane abirirwa bavuza urwamo batuka Kagame ngo ni Injiji, ngo ntiyize n'ibindi. Ese niba ari Rwarakabije, Pasteur, Kanyarengwe, Rizinde n'abandi bo baba iki? Ese abo bose hari uwize make? Injiji ninde?
Wowe wiyita ngo uri Ministre , Depute , SG, DG ni ibindi, wicaye ku ntebe yu UMUGAYO nki imwe baha utatwerereye mu bukwe, intebe wicayeho udafite ijambo no k'ukubura mu biro byawe, intebe wicayeho kugirango ujye wubahiriza ibyemezo utazi n'aho bifatirwa, ubujiji burenze ubwo ni ubuhe? Ahubwo akamaro kawe kakaba ako kujya kuvuga ubusa, ngo aba n'aba barwanya reta...
Utegereje ko ejo Igengabitekerezo izakugeraho ugasanga abandi 1930. Ubujiji burenze ubwo ni ubuhe? Erega ndanabwira wowe utuye Kacyiru wareze CYIZA ko ahamagarira abantu kurwanira uburenganzira bwabo. Yapfuye ari intwari , wowe uzapfa uri imbwa. Nanjye ubikubwiye uzandege, nzapfa nk'intwari, uzapfa nk'imbwa. Ndashima INTWARI zose zitinyuka zikamagana akarengane kari mu Rwanda, MURWANASHYA, RUSESABAGINA, MATATA n'abandi.
Ndashima intwari zikomeje umutsi mw'ishyamba, MUDACUMURA , ni Mudacumura koko, si Rwarakabije, Kanyarengwe, Bizimungu n'izindi mbwa ntavuze Ndabahamagarira kurwana INKUNDURA kuko amazi atangiye kurenga inkombe. Ese ubundi ninde wababwiye ko Kagame afite uruganda rw'amasasu cyangwa rw'imbunda?
Byose si ibyo agura mwicaye aho? Ndabwira wowe wicaye kuri source du Nil urya ka brochette na ka Byeri uti byaratunganye, wowe uri gucuruza quartier Matheus uti biragenda.. Ibyo byose ni iby'agahe gato..Niba udasinziriye, wagombye kubona ko 2020 iri kugenda ikwigizayo buhoro buhoro.. Ibyo byose ni iby'agahe gato.
Ibuka intwari zimaze imyaka 10 mw'ishyamba ,bose si ba Jenosideri, ngirango abanyarwanda benshi batangiye kumvako uwabatera inkunga byatuma Kagame atekereza kabiri akumva ko na nyina w'undi abyara umuhungu, ko uburenganzira yarwaniye n'abandi babukeneye. Wowe se uri mw'ishyamba, isomo wavanye mu rwo warwanye ni irihe?
Reka nkubwire, igihe wasahuraga Frigo, televiziyo n'ibindi. kandi uri kurugamba, ukaza kubita Mugunga , Masisi, Inkotanyi yo icyo gihe yishakiraga ikiro cy'isukari yo kurigata ngo yongere akabaraga k'iminsi 2 gusa ko kukuvana mu birindiro byawe..Na bimwe wari wararunze mu mazu byose barabyifunze'.
Ndashaka kukubwira ko iyo udafite iguhugu nta cyo uba ufite, ibintu birashakwa. Ntuzongere rero gukora iryo kosa. Ntuzongere rero gukora iryo kosa. None Banyarwanda mugeraniwe, harabura iki? IMBARAGA MURAZIFITE..
IMBARAGA MURAZIFITE ... HABUZE GUSHYIRA HAMWE. UBWENGE MURABUFITE MUBUZE GUTEKEREZA. BYOSE MWABISHOBORA MUBUZE UBUTWARI.
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Observers note that Rwandan-backed forces have themselves been responsible for much of the violence in Eastern Congo over the years.
Le Tribunal pénal international pour la RDC en marche
Par Le Potentiel
Les dernières actions menées par les instances de la Communauté internationale concourent vers la mise en place d’un Tribunal pénal international pour la République démocratique du Congo.
La secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, a été l’une des premières hautes personnalités étrangères à reconnaître que plus de 5 millions de personnes ont été tuées au Congo. Elle a plaidé pour que justice soit faite afin que les criminels répondent de leurs actes abominables devant la justice.
Hier mercredi, à Genève, l’ONU a présenté des «Rapports spéciaux des droits de l’ONU sur les événements de Kiwanja et Kanyabayonga ». Le CNDP a été accusé dans le premier cas et les FARDC sont pointées du doigt dans le second. La mise en place d’un Tribunal pénal international pour la RDC se précise.
Le Bureau conjoint des Nations unies des droits de l’homme, BCNDH, a confirmé que « 67 exécutions arbitraires » ont été commises par le CNDP. Il s’agit « des massacres perpétrés à Kiwanja, au Nord-Kivu, le 5 novembre 2008 par les Forces du Congrès national pour la défense du peuple, CNDP ». La plupart des victimes sont des hommes et jeunes garçons.
Cette précision a été donnée par M. Kevin S. Kennedy, directeur de la Division d’information publique de la Monuc à l’occasion de la présentation des « Rapports spéciaux de droits de l’homme » sur les événements de Kiwanja et de Kanyabayonga. Pour le dernier cas, il a été reproché aux FARDC les violations des droits de l’homme commises à Goma et à Kanyabayonga en octobre et novembre 2008.
Selon ce rapport spécial, les allégations non confirmées reçues par les Officiers des droits de l’homme (HROS) suggèrent que le nombre de victimes pourrait être beaucoup plus élevé. En effet, le rapport spécial note ceci : « Le CNDP a pris le contrôle de Rutshuru et de Kiwanja le 28 – 29 octobre, ne rencontrant aucune résistance de la part des FARDC ou des Maï Maï. Le 4 novembre, les combattants Maï-Maï sont entrés dans Kiwanja et des affrontements lourds ont éclaté dans la matinée.
Le matin du 5 novembre, le CNDP, réorganisé et renforcé par des troupes provenant de la zone de Rutshuru, est ré-entré dans la ville et a repoussé les Maï-Maï. Les Maï-Maï se sont retirés de Kiwanja et le CNDP a ensuite conduit des opérations de recherche, des tueries ciblées en représailles et d’autres violations des droits de l’Homme ».
TRIBUNAL INTERNATIONAL
Selon le Bureau conjoint des Nations unies des droits de l’homme, ce rapport spécial a été transmis aux autorités congolaises et à la Justice internationale. Il va sans dire que l’on attend du gouvernement congolais et des instances judiciaires internationales des mesures conséquentes visant à traduire tous les criminels devant la Justice pour crimes contre l’humanité.
Mais plusieurs observateurs estiment qu’il est temps que soit institutionnalisé un « Tribunal pénal international » pour la République démocratique du Congo, à l’instar de l’ex-Yougoslavie et le Rwanda. En effet, il devient de plus en plus curieux de constater que cette même communauté internationale traîne les pieds là où il y a eu des crimes abominables, avec un bilan plus élevé que celui de la Deuxième Guerre mondiale.
Petite consolation tout de même avec la dernière déclaration de la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, laquelle a reconnu que le conflit armé en RDC a déjà causé plus de 5 millions de morts. Ajouter à cela, les pires violations sexuelles jamais enregistrées dans le monde. « Ce que j’ai vu, c’est la pire tragédie de l’humanité », s’est quasiment exprimée en ces termes, la secrétaire d’Etat américaine.
Le rapport spécial de l’ONU prouve à suffisance que le décompte macabre n’est pas encore clos et que si des dispositions utiles sur le plan politique, militaire et juridique ne sont pas prises, maintenant, il y aura d’autres crimes contre l’humanité.
Par ailleurs, le dernier élément enregistré au Kivu, avec la désertion d’une centaine de soldats du CNDP, intrigue plusieurs personnes. Désertion qui intervient juste à la veille de la publication de ce rapport spécial sur les crimes commis à Kiwanja et à Kanyabayonga.
Or, avant la publication de ce rapport, la Cour pénale internationale, CPI, demandait au gouvernement de Kinshasa de lui livrer Bosco Ntaganda, cité dans le procès Thomas Lubanga pour le recrutement ou l’enrôlement des « enfants soldats » de l’Ituri, fait considéré comme crime de guerre et crime contre l’humanité.
Des rumeurs circulaient déjà autour de Bo
sco Ntaganda qui se serait retranché dans un coin du Nord-Kivu, entouré de ses fidèles, afin de résister à la CPI. Cette dernière désertion serait considérée comme une réaction à ce rapport spécial et une menace contre la paix en RDC si jamais on se décidait à traduire en justice les éléments du CNDP.
Faut-il craindre la mise en mal de l’Accord de Goma et Nairobi entre le gouvernement et le CNDP ? La question mérite d’être posée au moment où des inquiétudes persistent sur un retour effectif de la paix dans la région du Kivu.
Il est acquis, maintenant, que la « dernière note diplomatique du département d’Etat américain » mettant en garde les ressortissants américains contre tout voyage dans l’Est de la RDC est réellement un signe prémonitoire. Il y a des nuages sombres dans le ciel congolais.
Rapport spécial sur les événements de Kiwanja et de Kanyabayonga
Sommaire exécutif
1. L’enquête conduite par le Bureau Conjoint des Nations Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH) de novembre 2008 jusqu’au début de 2009 sur le massacre de Kiwanja du 5 novembre 2008, indique qu’une fois que les combats intenses entre les combattants Maï-Maï et le Congrès National pour la Défense du Peuple (CNDP) se sont terminés et que les Maï-Maï se sont retirés de Kiwanja, les éléments du CNDP ont conduit en représailles des exécutions ciblées de villageois, principalement des jeunes hommes qui étaient soupçonnés d’être des membres ou des collaborateurs des Maï-Maï.
Au moment de la rédaction de ce rapport, le BCNUDH avait confirmé 67 exécutions arbitraires commises par le CNDP. Cependant, des allégations non-confirmées reçues par les Officiers des Droits de l’Homme (HROs) suggèrent que le nombre de victimes pourrait être beaucoup plus élevé.
2. En effet, le CNDP a pris le contrôle de Rutshuru et de Kiwanja les 28-29 octobre 2008, ne rencontrant aucune résistance de la part des F ARDC ou des Maï-Maï. Le 4 novembre, les combattants Maï-Maï sont entrés dans Kiwanja et des affrontements lourds ont éclaté dans la matinée. Les combats ont débuté à Buturande où les Maï-Maï ont kidnappé un journaliste belge et ses deux (2) collègues congolais, ainsi que certains membres du CNDP.
Les combats se sont alors déplacés dans d’autres endroits de la ville et les Maï-Maï ont repoussé le CNDP derrière la colline Kamulina et auraient tué au mo-ins deux (2) officiers du CNDP 1. Le matin du 5 novembre~-le CNDP, réorganisé et renforcé par "des troupes" (troupes Rwandaises plutôt) provenant de la zone de Rutshuru, est ré-entré dans la ville et a repoussé les Maï Maï.
Les Maï-Maï se sont retirés de Kiwanja et le CNDP a ensuite conduit des opérations de recherche, des tueries ciblées en représailles et d’autres violations des droits de l’homme.
3. Au moment des incidents, la Monuc avait environ 120 militaires basés à Kiwanja, dans un camp militaire (COB), situé à environ 3 kilomètres des zones, qui ont été le plus durement touchées par les affrontements. Plusieurs patrouilles et missions pour évacuer le personnel humanitaire ont été organisées dès le 5 novembre.
A la suite du massacre de Kiwanja, la Monuc a été fortement critiquée pour ne pas avoir protégé les populations, une tâche explicitement prévue dans son mandat et par le droit international. Dans un effort de replacer cette critique dans son contexte, il est nécessaire de souligner que le besoin des opérations de maintien de paix de rendre opérationnelle la protection des civils est une tâche relativement nouvelle et que les méthodes de mise en œuvre sont encore au stade expérimental.
Une formation spécifique du personnel militaire pour les opérations de maintien de la paix est nécessaire. De plus, des critères précis doivent être formulés explicitant quand les soldats de maintien de la paix doivent intervenir afin de protéger les civils. Ces critères devront obligatoirement tenir compte de la nécessité pour les soldats de posséder une connaissance des dangers qu’encourent les civils dans une situation donnée et de leur capacité à faire une différence dans cette situation.
Les preuves recueillies au cours de l’enquête suggèrent que le personnel militaire qui était présent à Kiwanja au moment du massacre, n’avait pas conscience de la nature ou de l’étendue de la situation, en raison des barrières culturelle et linguistique, ainsi que de l’absence de communication effective entre les responsables de la société civile à Kiwanja qui a empêché un échange régulier d’informations.
Une meilleure communication avec la population et une meilleure compréhension des types de violations des droits de l’homme auraient pu amener une réponse plus vigoureuse des soldats afin de protéger la population. Malgré tout, il n’est pas sûr qu’une réaction des soldats de maintien de la paix aurait eu un impact dissuasif suffisant vis-à-vis des CNDP.
Etant donné la proximité de la plupart des exécutions avec les combats et le fait que ces combats aient été urbains, on peut douter que la MONUC aurait eu la capacité de protéger les civils qui ont•été arbitrairement ou sommairement exécutés par le CNDP.
4. En réponse aux leçons apprises suite aux incidents du 5 novembre à Kiwanja et les résultats de l’enquête préliminaire initiale et de la mission d’inspection du 7 au 13 novembre 2008, la MONUC a décidé que des sections substantives, à savoir le BCNUDH, les Affaires civiles (CAS) et la Protection de l’Enfant (CPS), devaient avoir une équipe multidisciplinaire ou une Equipe de Protection Conjointe déployée à Kiwanja.
L’objectif principal était de permettre une meilleure communication avec la population locale et d’améliorer la compréhension et la confiance entre la communauté, la Société civile, les autorités et la composante militaire de la MONUC. Cela a également créé un moyen de développer une analyse des droits de l’Homme de la situation, qui pourrait être intégrée dans les activités futures des militaires de la MONUC relatives à la protection.
Dès que des types de violations des droits de l’homme sont identifiés, des stratégies de protection plus efficaces peuvent être développées et mises en œuvre. La MONUC, ainsi que la communauté humanitaire en général, s’accordent sur le fait que ce développement a contribué à améliorer l’efficacité dans le domaine de la protection.
Le Conseil de sécurité a récemment autorisé 3 000 personnes en uniforme supplémentaires pour la MONUC, mais aucune ressource civile supplémentaire pour maintenir et développer cet effortt. Afin de rendre pleinement opérationnelles les Equipes de Protection Conjointes, du personnel civil additionnel et des sous-bureaux supplémentaires seront nécessaires, ainsi qu’un entraînement intensif du personnel civil et militaire impliqué dans la protection.
S’agissant des évènements des 4 et 5 novembre 2008
5. Plus de 60 témoins oculaires interviewés par l’équipe ont identifié 67 victimes d’exécutions ciblées commises par les cadres du CNDP. Les témoins ont déclaré qu’après que les Maï-Maï se soient retirés de Kiwanja le 5 novembre, les cadres du CNDP ont systématiquement exécuté des personnes qu’ils accusaient d’être des Maï-Maï ou de les soutenir, principalement des jeunes hommes.
L’équipe du BCNUDH a reçu des allégations et des indications d’un nombre plus élevé d’exécutions ciblées, mais n’a pas été encore en mesure de les confirmer. Le CNDP a jusqu’à présent rejeté toutes allégations d’exécution arbitraire par ses soldats à Kiwanja revendiquant que seuls des combattants Maï-Maï ont été tués dans le contexte des affrontements.
6. En plus des exécutions ciblées du CNDP, le BCNUDH a également reçu des témoignages de victimes civiles durant les combats (deux personnes tuées et 50 personnes blessées par balles).
7. Le BCNUDH a également reçu des allégations d’exécution d’au moins un civil et de plusieurs enlèvements commis par des Maï-Maï.
8. Durant les combats du 4 novembre, un hôtel et un certain nombre de maisons du quartier Buturande et le bureau de la Police Nationale Congolaise (PNC) à Kiwanja ont été incendiés par le CNDP.
9. Au cours de ses missions à Kiwanja, le BCNUDH a documenté de nouveaux cas d’exécution arbitraire et d’autres violations graves des droits de l’Homme commises par le CNDP (deux cas d’exécution arbitraire et trois cas de violation du droit à l’intégrité physique, dont un cas de viol) et les FDLR (exécution sommaire de sept (7) personnes et le viol de quatre (4) femmes) durant la période suivant les évènements des 4-5 novembre.
10. Le BCNUDH a également reçu des rapports faisant état de 10 cas d’arrestation arbitraire et de détention par le CNDP impliquant au moins huit (8) jeunes hommes et garçons. A la suite de l’intervention du BCNUDH, les autorités nommées par le CNDP à Kiwanja ont indiqué qu’elles les avaient tous libérés.
11. Le BCNUDH a également documenté des cas d’enlèvement par le CNDP d’au moins 23 jeunes hommes et garçons. Dans deux (2) de ces cas, ceux, qui se sont échappés et des témoins oculaires, ont déclaré que des éléments du CNDP avaient enlevé les jeunes hommes dans le but de les recruter de force. Les motifs des autres enlèvements ne sont toujours pas connus.
12. Les Officiers des Droits de l‘Homme ont pu observer que tous les camps de personnes déplacées dans et autour de Kiwanja et du centre de Rutshuru, à l’exception du site de personnes déplacées, qui s’est spontanément créé autour de la base de la MONUC, ont été démantelés.
Des témoignages concordants révèlent que cela s’est produit sur ordre des autorités du CNDP après que ceux-ci aient pris le contrôle de l’administration locale.
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
[Survivors Human Rights Advocates help Rwandan thinkers, writers, speakers and artists of our day to inspire our youth to raise their consciousness and transform the fractured African country of thousand hills.
Survivors Human Rights Advocates help Rwandan survivors, performers, scholars, young Rwandans representing the breadth of Rwandan social and political movements.
Survivors Human Rights Advocates encourage critical and imaginative thinking about the current Rwandan bloody dictatorship issues through political, cultural, and educational forums worldwide.]
10-09-2009
By Mick Collins
Cirqueminime
[This is a Press Release (a French version follows the English) from the Forces for the Democratic Liberation of Rwanda (FDLR) condemning the recent crimes against Rwandan refugees in eastern Congo committed by the combined militaries of the Democratic Republic of Congo (FADRC) and the Rwandan Patriotic Front (RPF), known as the Rwandan Patriotic Army or Rwandan Defense Forces (RPA/RDF)--the latter being the powerful armed forces built-up in the 1980s and 90s in Rwanda/Burundi/Uganda at great expense by the US (AFRICOM), the UK and Israel, to further the militarized wastage of the African continent while facilitating the theft of its vast natural resources by private Western multinational corporations. Much of the social and political chaos one sees in sub-Saharan Africa is instigated by off-the-books military units with roots in the several major US bases in Rwanda/Burundi. And, of course, when it occurs in eastern Congo, this deadly chaos (which has taken upward of 6 million lives since 1990) is blamed on its victims, the FDLR. --mc]
****************
FDLR PRESS RELEASE NR. 03/SE/CD/SEPTEMBER/2009
The FDLR condemn the assassination of Rwandan refugees and publish a partial list of Rwandan Hutu refugees brutally murdered by the military coalition of the RPA (RDF) and the FARDC in the territories of Masisi, Kalehe and Walikale in DRC between 4 July and 25 August 2009.
The Democratic Liberation Forces of Rwanda ( FDLR ) condemn the ongoing serious crimes against the Congolese people and against the Rwandan Hutu refugees located in the eastern DRC and call for an independent international investigation to be conducted in order to identify the perpetrators of such crimes and bring them to justice.
The FDLR are resentful that soldiers of the coalition of the RPA (RDF) and the FARDC brutally murdered Rwandan refugees in eastern DRC, with the connivance and silence of the international community, especially the MONUC which supports this coalition in logistics.
Similarly, it is shocking that the international organizations present in the eastern DRC, like Human Rights Watch, UNHCR, the UNCHR, and OCHA, and the local and international media, such as Radio Okapi, the RFI, the VOA and the BBC, which usually rush to relay all false propaganda against the FDLR condone the massacres against Rwandan Hutu refugees in eastern DRC avoiding to talk about them.
The FDLR condemn the complicit silence of humanitarian organizations, the international community and the media, and make available to the public a non-exhaustive list of Rwandan Hutu refugees brutally murdered by the military coalition of the RPA (RDF) and the FARDC with the support of the MONUC in Kalehe, Masisi and Walikale territories for the period from July 4, 2009, to August 25, 2009.
In the town of Kibua / Masisi:
In the town of Biliko / Walikale:
- Uwimana Madeleine 45, female;
- Irankunda Devota, 14, female;
- Ntawuzumunsi Evariste, 30, male;
- Habyarimana Emmanuel, 17, male;
- Soromba Martha, 36, female; Akanaka, 1 year, male
- Bienvenue, 35, female;
- Habiyambere Fabien, 50, male;
In the town of Kirambo / Walikale:
- Twagiramukama Samuel, 47, male;
- Mukacyuma Marie, 63, female;
- Mukandagano Lucia, 15, female;
- NIKUZE Francine, 47, female;
In the town of Shario / Walikale:
- Munyendamutsa Emmanuel, 50, male;
- Kabera Théoneste, 65, male;
- Baziki Eliel, 70, male;
- Manizabayo, 28, female;
- Baziki Colette, 36, female;
- Kambanda Jason, 54, male;
- Mukeshimana Assumpta, 50, male;
- Jibu, 2, male;
In the town of Tuonane / Walikale:
- Kirimvi, 60, male;
In the village of Ramba / Kalehe:
- Kigufi Jean-Marie, 45, male;
- Nikuze Anne, 40, female;
- Kalimunda Evariste, 35, male;
- Schadrak, 48, male;
- Mokili, 40, male;
- Nyirakabaraga Aloysie, 45, female;
- Ntibagwira Béata, 40, female;
- Mukamana Béatrice, 2, female;
- Mukandoli Thérèse, 3, female;
- Kigabo Froduald, 49, male;
In the town of Bunyarwanda / Walikale:
- Maman Koffi, 38, female;
In the town of Kalenge / Walikale:
- A group of 40 people, most of whom were women and children, were massacred and their identities are still to be determined.
- The women were murdered after being raped by soldiers of the coalition of the RPA (RDF) and the FARDC.
The FDLR publish this list to insure that the memory of these martyrs will not be forgotten; they remain convinced that sooner or later all those directly or indirectly responsible for these serious crimes against Rwandan refugees will have to face justice.
May the Almighty God receive the souls of these victims.
Issued in Paris,
09 September 2009
Callixte Mbarushimana
Executive Secretary of the FDLR
[VF] COMMUNIQUE DE PRESSE N°03/SE/CD/SEPTEMBRE/2009 DES FDLR
Les FDLR condamnent l’assassinat de réfugiés rwandais et publient une liste non exhaustive des réfugiés Hutu rwandais sauvagement assassinés par les militaires de la coalition de l’APR (RDF) et des FARDC dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale en RDC du 4 Juillet au 25 Août 2009.
Les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda ( FDLR ) condamnent les crimes graves en cours contre les populations congolaises et contre les réfugiés Hutu rwandais se trouvant à l’Est de la RDC et demandent qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice.
Les FDLR s’indignent que les soldats de la coalition de l’APR (RDF) et des FARDC assassinent sauvagement les réfugiés rwandais se trouvant à l’Est de la RDC et ce avec la complaisance et le silence de la Communauté Internationale , spécialement de la MONUC qui appuie cette coalition en logistique.
De même, il est révoltant que les organisations internationales présentes à l’est de la RDC comme le HRW, le HCR, le Bureau des Droits de l’Homme de l’ONU, l’OCHA ainsi que les médias locaux et internationaux comme la Radio OKAPI , la RFI , la VOA et la BBC qui s’empressent pourtant de relayer toutes les propagandes mensongères contre les FDLR cautionnent les massacres contre les réfugiés Hutu rwandais à l’Est de la RDC en évitant d’en parler.
Les FDLR dénoncent ce silence complice des organisations humanitaires, de la Communauté Internationale et des medias et mettent à la disposition du public une liste non exhaustive des réfugiés Hutu rwandais sauvagement assassinés par les militaires de la coalition de l’APR (RDF) et des FARDC avec le soutien de la MONUC dans les territoires de KALEHE, MASISI et WALIKALE pour la seule période allant du 4 Juillet 2009 au 25 Août 2009.
Dans la localité de Kibua/Masisi:
- Nyamukeba, 30 ans, masculin.
Dans la localité de Biliko/Walikale:
- Uwimana Madeleine 45 ans, féminin;
- Irankunda Devota, 14 ans, féminin;
- Ntawuzumunsi Evariste, 30 ans, masculin;
- Habyarimana Emmanuel, 17 ans, masculin;
- Soromba Marthe , 36 ans, féminin;
- Akanaka, 1 an ; masculin;
- Bienvenue, 35 ans, féminin ;
- Habiyambere Fabien, 50 ans, masculin ;
Dans la localité de Kirambo/Walikale :
- Twagiramukama Samuel, 47 ans, masculin ;
- Mukacyuma Marie, 63 ans, féminin ;
- Mukandagano Lucie, 15 ans, féminin ;
- Nikuze Francine, 47 ans, féminin ;
Dans la localité de Shario/Walikale:
- Munyendamutsa Emmanuel, 50 ans, masculin ;
- Kabera Theoneste, 65 ans, masculin ;
- Baziki Eliel, 70 ans, masculin ;
- Manizabayo, 28 ans, féminin ;
- Baziki Colette, 36 ans, féminin ;
- Kambanda Jason, 54 ans, masculin ;
- Mukeshimana Assumpta, 50 ans, masculin ;
- Jibu, 2 ans, masculin ;
Dans la localité de Tuonane/Walikale:
- Kirimvi, 60 ans, masculin;
Dans la localité de Ramba/Kalehe:
- Kigufi Jean Marie, 45 ans, masculin;
- Nikuze Anne, 40 ans, féminin;
- Kalimunda Evariste, 35 ans, masculin;
- Schadrak, 48 ans; masculin;
- Mokili, 40 ans, masculin;
- Nyirakabaraga Aloysie, 45 ans, féminin;
- Ntibagwira Béata, 40 ans, féminin;
- Mukamana Béatrice, 2 ans, féminin;
- Mukandoli Thérèse, 3 ans, féminin ;
- Kigabo Froduald, 49 ans, masculin;
Dans la localité de Bunyarwanda/Walikale:
- Maman Koffi, 38 ans, féminin;
Dans la localité de Kalenge/Walikale :
- Un groupe de 40 personnes dont la majorité étaient des femmes et des enfants furent massacrés et leurs identités sont en cours de détermination. Les femmes furent assassinées après avoir été violées par les militaires de la coalition de l’APR(RDF) et des FARDC.
Les FDLR publient cette liste pour que la mémoire de ces martyrs ne soit pas oubliée et restent convaincues que tôt ou tard tous ceux qui sont responsables directement ou indirectement de ces crimes graves contre les réfugiés rwandais auront à en répondre devant la justice.
Que Dieu accueille les âmes de toutes ces victimes auprès de Lui.
Fait à Paris,
le 9 Septembre 2009
Callixte Mbarushimana
Secrétaire Exécutif des FDLR
(Sé)
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Survivors Human Rights Advocates help Rwandan survivors, performers, scholars, young Rwandans representing the breadth of Rwandan social and political movements.
Survivors Human Rights Advocates encourage critical and imaginative thinking about the current Rwandan bloody dictatorship issues through political, cultural, and educational forums worldwide].
***
09-09-2009
This is just to remind Kagame that history is made. It is not about writing it. Documents come and go; indeed, Kagame has seen all 'Rwandan history shelves' empty and replaced by his own version.
Is he so stupid as to think hi is eternal? Won't his version too be replaced? He is indeed making history.
Not writing it!! RPF has made its own history characterised by politicas of lies, undercover extreme ethnic discrimination and extermination of the Hutu, division among the Tutsi, diplomacy of aggression and war as well as instituionalizing government aproved corruption and nepotism.
Oh, Kigali city is wonderful building in comparision to the past! Yes, I agree but how many people have been displaced - mainly the Hutu without compensation? How much money does the junta get in aid and grants? Isnt it much more that the developments we see?
Where does the rest go? Not to Kagame and his family's private pockets? Yes, some business is coming up especially in Kigali. But whose business? Isn't it a very small clique doing business OF THE JUNTA doing business?
The army is strong? Who are the people in that army? How many senior officers do we have in that army? How many are Tutsi? How many are Hutu? How many are Twa? Is it possible that over 15 years since RPF took power, the army has failed to get a national characteristic? Is it an army for the Tutsi only?
Let us go to the Senate and lower house: Yes, he put there women. I have no probelme with that. How many of these people are Tutsi? Is it because the Tutsi are more superior? By the way, do they make decisions are they were handpicked for their ability to say 'yes' to Kagame and his Junta!!! Doesn' this confirm why I call it a JUNTA
Look at the cabinet: Why is it dominated by the Tutsi? Why is it that even those few Hutu he uses as ' a political condom' actually have no power in their so-called ministries?
Go to the Judiciary: Didnt he throw out the Hutu and the moderate Tutsi in the name of 'judicial reform'?
Let us look at the Police. Is it really a national police or a Tutsi Police? List the senior officers in that police and tell me whether you would get at least ten Hutu or at least two Twa?
Let us focus on Civil and public service commissions and/or institutions: Why are they dominated by the Tutsi? Is it because the Hutu are semi people?
Anybody who knows that the problem of Rwand is basically failure by leaders to build national identity instead of ethnic identity which leads to inqualities, based on ethnic relationships - in accessing the national cake as well institutionalising a culture of human rights abuse and irresponsible government can rightly say KAGAME Junta is only another group that came to broaden and deepen the country's problem. He has failed to become a solution.
Yes, he might be able to tell lies to the WEST, as he is an expert, but, ultimately, it is Rwandans to foot it. All these companies 'doing business' with the Junta will 'fly home' when Rwandans will be doing it all for themselves!! !!
Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule, tyranny and corruption in Rwanda.The current Tutsi-led government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority (85% Hutus) of the Rwandan people by the RPF criminal organization.
POOR Rwanda!
The current Tutsi-led government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination, and the brutal suppression of the rights of the majority (85% Hutus) of the Rwandan people by the RPF criminal organization]
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Date: 09 Sep 2009
Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), exprime son indignation au sujet des informations faisant état de récompenses accordées aux soldats qui ramènent des réfugiés rwandais au centre de transit, en vue de leur rapatriement au Rwanda.
Dans un communique de presse, parvenu à la rédaction du journal le Potentiel, le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), a exprimé son indignation par rapport aux informations faisant état d'attribution de récompenses en argent aux soldats qui ramènent des réfugiés rwandais au centre de transit, en vue de leur rapatriement au Rwanda.
Selon la même source, le HCR précise, à cet égard, que son action en faveur des réfugiés rwandais s'inscrit dans le respect le plus scrupuleux du caractère individuel et volontaire du retour qui constitue l'un des principes de base du rapatriement librement consenti.
Le HCR tient également à préciser que les réfugiés rwandais qui optent pour le rapatriement vers leur pays d'origine se rendent dans les points de rassemblement avant d'être transportés par le HCR et ses partenaires opérationnels vers les centres de transit établis à Goma et à Bukavu, en vue de leur documentation avant leur retour au Rwanda.
Dans ces centres de transit, poursuit le communiqué, le HCR s'assure auprès des réfugiés du caractère volontaire et dénué de toute forme de contrainte de retourner dans leur pays d'origine.
«Nous agissons dans le plus strict respect du mandat du Haut Commissaire qui vise à assurer la protection des réfugiés et à rechercher des solutions durables à leurs problèmes notamment leur rapatriement librement consenti dans leur pays » a renchéri M. Boukry.
Et de signaler que depuis le début de l'année 2009, près de 10.042 réfugiés rwandais ont été rapatries sous les auspices du HCR portant à 110.000, le nombre de réfugiés rwandais qui ont opté pour le retour vers leur pays d'origine depuis 2001.
Le Potentiel
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Human and Civil Rights
Rwanda: A mapping of crimes
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
Prof. Christian Davenport
The killing Fields - Part 1
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Daily bread for Rwandans
The killing Fields - Part III
Time has come: Regime change
Drame rwandais- justice impartiale
Sheltering 2,5 million refugees
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