Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Tuesday, April 21, 2009
Massacres à Kibeho le 22-04-1995
***
http://www.dailymotion.com/video/x55yvb_massacres-a-kibeho-22041995_news
***
http://www.dailymotion.com/video/x55yvb_massacres-a-kibeho-22041995_news
.**.**.
Appel à Commémorer nos proches parents massacrés à KIBEHO et en RDCongo ce mercredi 22/04/2009 de 17h30 à 18h30 au Mémorial du génocide à Woluwe St Pierre.
***
RV au métro Montgomery à partir de 17h15. Le Mémorial du génocide érigé au croisement de trois routes à savoir l’avenue R. Vandendriessche, l’avenue Jules César et la rue Père E. Devroye dans la Commune de Woluwe Saint Pierre (WSP).
Vous tous qui ont survécu et/ou qui ont perdu les vôtres dans les massacres de KIBEHO et/ou en République Démocratique du Congo (RDC), nous vous invitons au Mémorial ce mercredi 22/04/2009 entre 17h30 et 18h30 pour commémorer plus de 8000 déplacés de guerre massacrés par l’APR le 22/04/1995 à KIBEHO (Gikongoro, au Sud du Rwanda) et plus de 30.000 réfugiés rwandais massacrés par l’APR le 22/04/1997 sur le chemin de fer de KASESE en République Démocratique du Congo (RDC) ainsi que tous les réfugiés massacrés depuis Bukavu et Goma jusqu’à Mbandaka de 1996 à 1998.
Pour ceux qui auraient perdu le souvenir de ces crimes de génocide, voici les témoignages sur ces massacres de Kibeho et de KASESE en RDC, les victimes qui ont été massacrées dans les seules journées du 22/04/1995 (à Kibeho) et du 22/04/1997 (en RDC) l’ont été comme suit :
1) Le début de l’holocauste sur le chemin de fer de KASESE (22/04/1997 vers 14h) :
Voici un témoignage du rescapé Niwese Maurice dans son livre : « Le peuple rwandais, un pied dans la tombe, récit d’un réfugié étudiant » et édité dans la Collection « Mémoires Africaines » chez l’Harmattan en 2001 ; pages 159 à 162.
« Devant nous s’installèrent ces militaires qui nous conduisaient avec leurs mitrailleuses et les caisses d’obus. Ils tournèrent les canons sur nous. Ils étaient tellement nombreux qu’il y en avait partout. Sans pitié, ils ouvrirent le feu.
Les gens moururent par centaines. Le sang coula partout, se mêla au repas qu’on préparait et tout devint rouge. Je restais cloué par terre et attendais de recevoir une balle dans la tête. A côté de moi, parent, ami, voisin tombait. D’un coup, les gens blessés ou non, commencèrent à fuir vers l’intérieur de la forêt. Je suivis le mouvement et me lançait dans la forêt. Pas de chance là-bas non plus. Ayant tout prévu, les militaires y étaient. On échappait par hasard, sinon la mort était partout.
***
RV au métro Montgomery à partir de 17h15. Le Mémorial du génocide érigé au croisement de trois routes à savoir l’avenue R. Vandendriessche, l’avenue Jules César et la rue Père E. Devroye dans la Commune de Woluwe Saint Pierre (WSP).
Vous tous qui ont survécu et/ou qui ont perdu les vôtres dans les massacres de KIBEHO et/ou en République Démocratique du Congo (RDC), nous vous invitons au Mémorial ce mercredi 22/04/2009 entre 17h30 et 18h30 pour commémorer plus de 8000 déplacés de guerre massacrés par l’APR le 22/04/1995 à KIBEHO (Gikongoro, au Sud du Rwanda) et plus de 30.000 réfugiés rwandais massacrés par l’APR le 22/04/1997 sur le chemin de fer de KASESE en République Démocratique du Congo (RDC) ainsi que tous les réfugiés massacrés depuis Bukavu et Goma jusqu’à Mbandaka de 1996 à 1998.
Pour ceux qui auraient perdu le souvenir de ces crimes de génocide, voici les témoignages sur ces massacres de Kibeho et de KASESE en RDC, les victimes qui ont été massacrées dans les seules journées du 22/04/1995 (à Kibeho) et du 22/04/1997 (en RDC) l’ont été comme suit :
1) Le début de l’holocauste sur le chemin de fer de KASESE (22/04/1997 vers 14h) :
Voici un témoignage du rescapé Niwese Maurice dans son livre : « Le peuple rwandais, un pied dans la tombe, récit d’un réfugié étudiant » et édité dans la Collection « Mémoires Africaines » chez l’Harmattan en 2001 ; pages 159 à 162.
« Devant nous s’installèrent ces militaires qui nous conduisaient avec leurs mitrailleuses et les caisses d’obus. Ils tournèrent les canons sur nous. Ils étaient tellement nombreux qu’il y en avait partout. Sans pitié, ils ouvrirent le feu.
Les gens moururent par centaines. Le sang coula partout, se mêla au repas qu’on préparait et tout devint rouge. Je restais cloué par terre et attendais de recevoir une balle dans la tête. A côté de moi, parent, ami, voisin tombait. D’un coup, les gens blessés ou non, commencèrent à fuir vers l’intérieur de la forêt. Je suivis le mouvement et me lançait dans la forêt. Pas de chance là-bas non plus. Ayant tout prévu, les militaires y étaient. On échappait par hasard, sinon la mort était partout.
Ces tueries durèrent trois jours. Les 2ème et 3ème jours, les militaires nous pourchassèrent dans la forêt. Ils examinaient également les cadavres pour achever ceux qui gardaient encore le souffle. Dans la forêt, l’homme attrapé était immédiatement tué. Les femmes, quant à elles, étaient emportées. Une femme rescapée me raconta par après qu’elles étaient sauvagement violées. On les tuait par après.
Les militaires mettaient les canons des fusils dans leurs sexes pour déclencher le feu. Ce témoignage fut confirmé par les cadavres des femmes que nous avons découverts par la suite. Après le troisième jour, des camions commencèrent à transporter des citernes de carburant. On brûla les corps étendus le long du chemin de fer. Cette opération a précédé l’arrivée des humanitaires”.
2) Pour les massacres de KIBEHO, laissons la parole à Mme Claudine VIDAL (sociologue française qui a revisiter archives et rapports de Médecins Sans Frontières (MSF) à Paris :
« Au Rwanda, dans le camp de Kibeho, le 22 avril 1995, des soldats de l'Armée patriotique rwandaise (Apr) encerclent quelques 100 000 personnes, regroupées dans un espace restreint. Utilisant armes automatiques, lance-roquettes et grenades, les militaires tirent longuement à plusieurs reprises sur la foule.
Ce massacre, qui fit sans doute autant de morts que les attentats d'Al-Qaida du 11 septembre 2001, eut sur le coup un grand retentissement dans la presse internationale. Cependant, perpétré moins d'une année après le génocide des Rwandais tutsis abandonnés à leur sort par le Conseil de Sécurité de l'Onu, il ne suscita pas de réaction significative de la communauté internationale. Massacre parmi d'autres, dans cette région qui connut et allait encore connaître de nombreux bains de sang, il s'oublia ». (…).
Samedi 22 avril (1995)
Le matin, l'équipe Msf, renforcée par d'autres volontaires de cette organisation travaillant au Rwanda, est prévenue par radio, depuis l'hôpital de Kibeho, qu'il y a eu des tirs de l'Apr (Armée Patriotique Rwandaise) toute la nuit. Leur convoi se rend au camp, est longuement retardé par des barrages, puis, sur la fin de la matinée, atteint l'hôpital, escorté par des Casques bleus.
Plusieurs heures durant, les témoins de Msf seront sur le site de Kibeho qu'ils évacueront avant la nuit (entre 17/18 heures). Impuissants, ils assisteront aux tueries depuis trois endroits : l'hôpital, le camp I (caserne des Zambiens) et le camp II (caserne des Australiens) de la Minuar. Voici un bref résumé de leurs témoignages.
Une pluie diluvienne se met à tomber. Ils commencent à donner des soins aux blessés lorsque, vers 12 heures15, ils entendent des tirs, de plus en plus intenses dans la cour de l'hôpital. Ce sont des soldats de l'Apr qui tirent depuis l'hôpital sur les déplacés. Les volontaires restent bloqués là, à plat ventre, près d'une heure jusqu'à ce que des Casques bleus les évacuent dans la caserne du bataillon zambien de la Minuar. Une partie de l'équipe tente de soigner les blessés transportés par les Casques bleus dans cette caserne. Une autre partie décide de se rendre dans la deuxième caserne de la Minuar, celle des Australiens.
Obligés de finir le trajet à pied, car la route est recouverte de corps empilés sur toute sa largeur, ils marchent sur les cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants. Durant le temps qu'ils vont passer dans cet endroit, ils entendent successivement des tirs sporadiques, des rafales courtes, enfin une fusillade intense et continue.
Selon les témoignages de ceux qui sont restés dans la première caserne, les tirs reprennent vers 14 heures 30 et continuent plusieurs heures. Des soldats rwandais, montés sur le mur de ce bâtiment, tirent de là sur la foule, indifférents à la présence des Casques bleus et des gens de Msf. Les Casques bleus (qui ont reçu de leur commandement à Kigali l'ordre de ne pas utiliser leurs armes) disent que l'Apr utilise des mini lance-roquettes (RPG), des grenades et des kalachnikovs.
Les secouristes Msf essaient à plusieurs reprises de sortir avec une escorte de militaires zambiens mais, à chaque fois, ils doivent rebrousser chemin à cause des tirs. " Avant cette longue série de tirs, il y avait encore des centaines de personnes qui étaient rassemblées sur la route de Butare, prêtes à partir.
Quand les tirs ont cessé et qu'on a pu sortir, il n'y avait plus personne debout, tous fauchés. " En fin d'après-midi, les Australiens évacuent les volontaires de leur caserne et récupèrent ceux qui étaient restés bloqués dans la caserne zambienne. Autour du camp de la Minuar, le sol est recouvert de morts et de blessés, de nombreux cadavres sont visibles plus loin sur la colline » (…).
3) Pour le massacre des élèves du Groupe Scolaire de MURAMBA dans la nuit du 27 au 28/04/1997, j’ai annexé le communiqué n°12/1997 daté du 20/05/1997 du CLIIR dans les documents décrivant les massacres que nous allons commémorer au Mémorial le mercredi 22/04/2009.
Voici comment les faits se seraient déroulés d’après certaines autorités rwandaises:
Une bande de personnes armées de fusils s’est introduite dans l’Ecole secondaire d’Economie et de Commerce sise à TETERO après avoir fait une brèche dans la clôture près des dortoirs des élèves. Cette bande se serait divisée en trois (3) groupes:
Le premier groupe aurait attaqué la position militaire tenu par un détachement de l’APR chargé de la sécurité de l’Ecole. Le second groupe a attaqué et tué directement les élèves au dortoir de l’Ecole Normale Primaire sise à RABA (la colline de Raba est située à 800 mètres environ en face de l’Ecole des filles de Tetero).
Le troisième groupe a pris et obligé la Soeur Directrice de l’Ecole de TETERO d’aller leur montrer où logeait Mlle Griet BOSMANS, Directrice de l’Ecole voisine (Ecole Normale Primaire de RABA). Cette dernière a été tuée après avoir donné aux tueurs tout l’argent qu’elle avait, tandis que l’autre Directrice a été relâchée et fut retrouvée le lendemain. Jusqu’au 29 avril 1997, cette Directrice qui s’appelle Soeur Marie de l’Annonciation (de la congrégation des soeurs Benebikira) était encore incapable de raconter ce qui s’était passé.
Voici le témoignage du Lt Abdul RUZIBIZA sur le massacre des élèves de Muramba
et sur l’assassinat de la directrice belge Griet BOSMANS par l’APR :
D’après le témoignage du Lieutenant Abdul RUZIBIZA qui raconte à la page 403 de son livre « Rwanda, l’histoire secrète » (Edit. Panama à Paris octobre 2005), l’assassinat de Mlle Griet BOSMANS par l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) est décrit dans ces termes :
« La nuit du 27 au 28 avril 1997, Mme Griet Bosmans, originaire de la Belgique et alors directrice de l’école secondaire de Muramba dans la commune de Satinsyi, a péri avec 17 de ses élèves et 4 autres personnes sous les balles des militaires du 9è bataillon qui avaient été envoyés par le lieutenant John CASSIUS et étaient dirigés par le sergent Camille ZUBA, en compagnie de 15 soldats du peloton spécial qui était affecté à la sous-préfecture de Ngororero.
Il y avait là deux compagnies du 9è bataillon, l’une était dirigée par le capitaine Eugène Rukundo et l’autre par le capitaine Christopher Rwibogora. Entre les deux compagnies, il y avait une distance de deux minutes à pied. Il y avait également une troisième compagnie non loin de là, celle du capitaine Steven Rukara.
Aucun de ces militaires n’a bougé pour secourir la directrice et le groupe qui l’accompagnait. La DMI soupçonnait Griet Bosmans de livrer des informations sur les atrocités de l’APR au ministre de l’Intérieur, Seth SENDASHONGA. En outre, la DMI croyait qu’elle mettait des mouvements d’action catholique au courant de ce qui se passait au Rwanda. C’est pourquoi elle a été tuée ».
4) Quant à l’assassinat du journaliste Appolo Hakizimana, voir CLIIR, communiqué n° 11/1997 du 21/05/1997 intitulé: « Rwanda: Assassinat du journaliste Hakizimana Appolo dans la soirée du 27/04/1997 par un «escadron de la mort » à Kigali.
En voici un petit extrait : « Dimanche, le 27 avril 1997 vers 21h, HAKIZIMANA Appolo, et sa cousine rentraient chez eux à MUMENA, secteur Nyamirambo, commune Nyarugenge, Préfecture de la Ville de Kigali (PVK). Tout près de leur domicile, dans un petit restaurant tenu par une dame connu sous le surnom de “Maman KEZA” sont sortis deux personnes portant de longs manteaux et des chapeaux, accompagnés par cette dame, propriétaire du Restaurant. Ils se dirigeaient en sens inverse, vers le journaliste HAKIZIMANA Appolo et sa cousine.
Mama KEZA a aussitôt rebroussé chemin, tandis que les deux individus “non encore identifiés” se sont retournés pour suivre Appolo et sa cousine qu’ils venaient de croiser. Ils ont arrêté HAKIZIMANA Appolo. L’un d’eux lui a immobilisé les bras, tandis que le second a obstrué sa bouche par la main avant de lui tirer deux balles au niveau de l’oreille ».
Pour la SOCIRWA (Société Civile Rwandaise),
MATATA Joseph, Coordinateur du CLIIR
Contacts : CLIIR : 0476.701.569,
COSAR :0488477363,
SAVE-Rwanda :0487624768
Centre de Lutte contre l'Impunitéet l'Injustice au Rwanda (CLIIR)
Boulevard Léopold II, n°2271080 BRUXELLES
Tél/Fax: 32.81.60.11.13GSM: 32.476.70.15.69
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
Les militaires mettaient les canons des fusils dans leurs sexes pour déclencher le feu. Ce témoignage fut confirmé par les cadavres des femmes que nous avons découverts par la suite. Après le troisième jour, des camions commencèrent à transporter des citernes de carburant. On brûla les corps étendus le long du chemin de fer. Cette opération a précédé l’arrivée des humanitaires”.
2) Pour les massacres de KIBEHO, laissons la parole à Mme Claudine VIDAL (sociologue française qui a revisiter archives et rapports de Médecins Sans Frontières (MSF) à Paris :
« Au Rwanda, dans le camp de Kibeho, le 22 avril 1995, des soldats de l'Armée patriotique rwandaise (Apr) encerclent quelques 100 000 personnes, regroupées dans un espace restreint. Utilisant armes automatiques, lance-roquettes et grenades, les militaires tirent longuement à plusieurs reprises sur la foule.
Ce massacre, qui fit sans doute autant de morts que les attentats d'Al-Qaida du 11 septembre 2001, eut sur le coup un grand retentissement dans la presse internationale. Cependant, perpétré moins d'une année après le génocide des Rwandais tutsis abandonnés à leur sort par le Conseil de Sécurité de l'Onu, il ne suscita pas de réaction significative de la communauté internationale. Massacre parmi d'autres, dans cette région qui connut et allait encore connaître de nombreux bains de sang, il s'oublia ». (…).
Samedi 22 avril (1995)
Le matin, l'équipe Msf, renforcée par d'autres volontaires de cette organisation travaillant au Rwanda, est prévenue par radio, depuis l'hôpital de Kibeho, qu'il y a eu des tirs de l'Apr (Armée Patriotique Rwandaise) toute la nuit. Leur convoi se rend au camp, est longuement retardé par des barrages, puis, sur la fin de la matinée, atteint l'hôpital, escorté par des Casques bleus.
Plusieurs heures durant, les témoins de Msf seront sur le site de Kibeho qu'ils évacueront avant la nuit (entre 17/18 heures). Impuissants, ils assisteront aux tueries depuis trois endroits : l'hôpital, le camp I (caserne des Zambiens) et le camp II (caserne des Australiens) de la Minuar. Voici un bref résumé de leurs témoignages.
Une pluie diluvienne se met à tomber. Ils commencent à donner des soins aux blessés lorsque, vers 12 heures15, ils entendent des tirs, de plus en plus intenses dans la cour de l'hôpital. Ce sont des soldats de l'Apr qui tirent depuis l'hôpital sur les déplacés. Les volontaires restent bloqués là, à plat ventre, près d'une heure jusqu'à ce que des Casques bleus les évacuent dans la caserne du bataillon zambien de la Minuar. Une partie de l'équipe tente de soigner les blessés transportés par les Casques bleus dans cette caserne. Une autre partie décide de se rendre dans la deuxième caserne de la Minuar, celle des Australiens.
Obligés de finir le trajet à pied, car la route est recouverte de corps empilés sur toute sa largeur, ils marchent sur les cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants. Durant le temps qu'ils vont passer dans cet endroit, ils entendent successivement des tirs sporadiques, des rafales courtes, enfin une fusillade intense et continue.
Selon les témoignages de ceux qui sont restés dans la première caserne, les tirs reprennent vers 14 heures 30 et continuent plusieurs heures. Des soldats rwandais, montés sur le mur de ce bâtiment, tirent de là sur la foule, indifférents à la présence des Casques bleus et des gens de Msf. Les Casques bleus (qui ont reçu de leur commandement à Kigali l'ordre de ne pas utiliser leurs armes) disent que l'Apr utilise des mini lance-roquettes (RPG), des grenades et des kalachnikovs.
Les secouristes Msf essaient à plusieurs reprises de sortir avec une escorte de militaires zambiens mais, à chaque fois, ils doivent rebrousser chemin à cause des tirs. " Avant cette longue série de tirs, il y avait encore des centaines de personnes qui étaient rassemblées sur la route de Butare, prêtes à partir.
Quand les tirs ont cessé et qu'on a pu sortir, il n'y avait plus personne debout, tous fauchés. " En fin d'après-midi, les Australiens évacuent les volontaires de leur caserne et récupèrent ceux qui étaient restés bloqués dans la caserne zambienne. Autour du camp de la Minuar, le sol est recouvert de morts et de blessés, de nombreux cadavres sont visibles plus loin sur la colline » (…).
3) Pour le massacre des élèves du Groupe Scolaire de MURAMBA dans la nuit du 27 au 28/04/1997, j’ai annexé le communiqué n°12/1997 daté du 20/05/1997 du CLIIR dans les documents décrivant les massacres que nous allons commémorer au Mémorial le mercredi 22/04/2009.
Voici comment les faits se seraient déroulés d’après certaines autorités rwandaises:
Une bande de personnes armées de fusils s’est introduite dans l’Ecole secondaire d’Economie et de Commerce sise à TETERO après avoir fait une brèche dans la clôture près des dortoirs des élèves. Cette bande se serait divisée en trois (3) groupes:
Le premier groupe aurait attaqué la position militaire tenu par un détachement de l’APR chargé de la sécurité de l’Ecole. Le second groupe a attaqué et tué directement les élèves au dortoir de l’Ecole Normale Primaire sise à RABA (la colline de Raba est située à 800 mètres environ en face de l’Ecole des filles de Tetero).
Le troisième groupe a pris et obligé la Soeur Directrice de l’Ecole de TETERO d’aller leur montrer où logeait Mlle Griet BOSMANS, Directrice de l’Ecole voisine (Ecole Normale Primaire de RABA). Cette dernière a été tuée après avoir donné aux tueurs tout l’argent qu’elle avait, tandis que l’autre Directrice a été relâchée et fut retrouvée le lendemain. Jusqu’au 29 avril 1997, cette Directrice qui s’appelle Soeur Marie de l’Annonciation (de la congrégation des soeurs Benebikira) était encore incapable de raconter ce qui s’était passé.
Voici le témoignage du Lt Abdul RUZIBIZA sur le massacre des élèves de Muramba
et sur l’assassinat de la directrice belge Griet BOSMANS par l’APR :
D’après le témoignage du Lieutenant Abdul RUZIBIZA qui raconte à la page 403 de son livre « Rwanda, l’histoire secrète » (Edit. Panama à Paris octobre 2005), l’assassinat de Mlle Griet BOSMANS par l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) est décrit dans ces termes :
« La nuit du 27 au 28 avril 1997, Mme Griet Bosmans, originaire de la Belgique et alors directrice de l’école secondaire de Muramba dans la commune de Satinsyi, a péri avec 17 de ses élèves et 4 autres personnes sous les balles des militaires du 9è bataillon qui avaient été envoyés par le lieutenant John CASSIUS et étaient dirigés par le sergent Camille ZUBA, en compagnie de 15 soldats du peloton spécial qui était affecté à la sous-préfecture de Ngororero.
Il y avait là deux compagnies du 9è bataillon, l’une était dirigée par le capitaine Eugène Rukundo et l’autre par le capitaine Christopher Rwibogora. Entre les deux compagnies, il y avait une distance de deux minutes à pied. Il y avait également une troisième compagnie non loin de là, celle du capitaine Steven Rukara.
Aucun de ces militaires n’a bougé pour secourir la directrice et le groupe qui l’accompagnait. La DMI soupçonnait Griet Bosmans de livrer des informations sur les atrocités de l’APR au ministre de l’Intérieur, Seth SENDASHONGA. En outre, la DMI croyait qu’elle mettait des mouvements d’action catholique au courant de ce qui se passait au Rwanda. C’est pourquoi elle a été tuée ».
4) Quant à l’assassinat du journaliste Appolo Hakizimana, voir CLIIR, communiqué n° 11/1997 du 21/05/1997 intitulé: « Rwanda: Assassinat du journaliste Hakizimana Appolo dans la soirée du 27/04/1997 par un «escadron de la mort » à Kigali.
En voici un petit extrait : « Dimanche, le 27 avril 1997 vers 21h, HAKIZIMANA Appolo, et sa cousine rentraient chez eux à MUMENA, secteur Nyamirambo, commune Nyarugenge, Préfecture de la Ville de Kigali (PVK). Tout près de leur domicile, dans un petit restaurant tenu par une dame connu sous le surnom de “Maman KEZA” sont sortis deux personnes portant de longs manteaux et des chapeaux, accompagnés par cette dame, propriétaire du Restaurant. Ils se dirigeaient en sens inverse, vers le journaliste HAKIZIMANA Appolo et sa cousine.
Mama KEZA a aussitôt rebroussé chemin, tandis que les deux individus “non encore identifiés” se sont retournés pour suivre Appolo et sa cousine qu’ils venaient de croiser. Ils ont arrêté HAKIZIMANA Appolo. L’un d’eux lui a immobilisé les bras, tandis que le second a obstrué sa bouche par la main avant de lui tirer deux balles au niveau de l’oreille ».
Pour la SOCIRWA (Société Civile Rwandaise),
MATATA Joseph, Coordinateur du CLIIR
Contacts : CLIIR : 0476.701.569,
COSAR :0488477363,
SAVE-Rwanda :0487624768
Centre de Lutte contre l'Impunitéet l'Injustice au Rwanda (CLIIR)
Boulevard Léopold II, n°2271080 BRUXELLES
Tél/Fax: 32.81.60.11.13GSM: 32.476.70.15.69
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
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Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
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Prof. Christian Davenport
The Unstoppable Truth
Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
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Everything happens for a reason
Bad things are going to happen in your life, people will hurt you, disrespect you, play with your feelings.. But you shouldn't use that as an excuse to fail to go on and to hurt the whole world. You will end up hurting yourself and wasting your precious time. Don't always think of revenging, just let things go and move on with your life. Remember everything happens for a reason and when one door closes, the other opens for you with new blessings and love.
Hutus didn't plan Tutsi Genocide
Kagame, the mastermind of Rwandan Genocide (Hutu & tutsi)
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