Rwanda: Cartographie des crimes
Rwanda: cartographie des crimes du livre "In Praise of Blood, the crimes of the RPF" de Judi Rever
Kagame devra être livré aux Rwandais pour répondre à ses crimes: la meilleure option de réconciliation nationale entre les Hutus et les Tutsis.
Let us remember Our People
Let us remember our people, it is our right
You can't stop thinking
Don't you know
Rwandans are talkin' 'bout a revolution
It sounds like a whisper
The majority Hutus and interior Tutsi are gonna rise up
And get their share
SurViVors are gonna rise up
And take what's theirs.
We're the survivors, yes: the Hutu survivors!
Yes, we're the survivors, like Daniel out of the lions' den
(Hutu survivors) Survivors, survivors!
Get up, stand up, stand up for your rights
et up, stand up, don't give up the fight
“I’m never gonna hold you like I did / Or say I love you to the kids / You’re never gonna see it in my eyes / It’s not gonna hurt me when you cry / I’m not gonna miss you.”
The situation is undeniably hurtful but we can'stop thinking we’re heartbroken over the loss of our beloved ones.
"You can't separate peace from freedom because no one can be at peace unless he has his freedom".
Malcolm X
Welcome to Home Truths
The year is 1994, the Fruitful year and the Start of a long epoch of the Rwandan RPF bloody dictatorship. Rwanda and DRC have become a unique arena and fertile ground for wars and lies. Tutsi RPF members deny Rights and Justice to the Hutu majority, to Interior Tutsis, to Congolese people, publicly claim the status of victim as the only SurViVors while millions of Hutu, interior Tutsi and Congolese people were butchered. Please make RPF criminals a Day One priority. Allow voices of the REAL victims to be heard.
Everybody Hurts
“Everybody Hurts” is one of the rare songs on this list that actually offers catharsis. It’s beautifully simple: you’re sad, but you’re not alone because “everybody hurts, everybody cries.” You’re human, in other words, and we all have our moments. So take R.E.M.’s advice, “take comfort in your friends,” blast this song, have yourself a good cry, and then move on. You’ll feel better, I promise.—Bonnie Stiernberg
KAGAME - GENOCIDAIRE
Paul Kagame admits ordering...
Paul Kagame admits ordering the 1994 assassination of President Juvenal Habyarimana of Rwanda.
Why did Kagame this to me?
Inzira ndende
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Hutu Children & their Mums
Rwanda-rebranding
Rwanda-rebranding-Targeting dissidents inside and abroad, despite war crimes and repression
Rwanda has “A well primed PR machine”, and that this has been key in “persuading the key members of the international community that it has an exemplary constitution emphasizing democracy, power-sharing, and human rights which it fully respects”. It concluded: “The truth is, however, the opposite. What you see is not what you get: A FAÇADE”
Rwanda has hired several PR firms to work on deflecting criticism, and rebranding the country.
Targeting dissidents abroad
One of the more worrying aspects of Racepoint’s objectives
was to “Educate and correct the ill informed and factually
incorrect information perpetuated by certain groups of expatriates
and NGOs,” including, presumably, the critiques
of the crackdown on dissent among political opponents
overseas.
This should be seen in the context of accusations
that Rwanda has plotted to kill dissidents abroad. A
recent investigation by the Globe and Mail claims, “Rwandan
exiles in both South Africa and Belgium – speaking in clandestine meetings in secure locations because of their fears of attack – gave detailed accounts of being recruited to assassinate critics of President Kagame….
Ways To Get Rid of Kagame
How to proceed for revolution in Rwanda:
- The people should overthrow the Rwandan dictator (often put in place by foreign agencies) and throw him, along with his henchmen and family, out of the country – e.g., the Shah of Iran, Marcos of Philippines.Compaore of Burkina Faso
- Rwandans organize a violent revolution and have the dictator killed – e.g., Ceaucescu in Romania.
- Foreign powers (till then maintaining the dictator) force the dictator to exile without armed intervention – e.g. Mátyás Rákosi of Hungary was exiled by the Soviets to Kirgizia in 1970 to “seek medical attention”.
- Foreign powers march in and remove the dictator (whom they either instated or helped earlier) – e.g. Saddam Hussein of Iraq or Manuel Noriega of Panama.
- The dictator kills himself in an act of desperation – e.g., Hitler in 1945.
- The dictator is assassinated by people near him – e.g., Julius Caesar of Rome in 44 AD was stabbed by 60-70 people (only one wound was fatal though).
- Organise strikes and unrest to paralyze the country and convince even the army not to support the dictaor – e.g., Jorge Ubico y Castañeda was ousted in Guatemala in 1944 and Guatemala became democratic, Recedntly in Burkina Faso with the dictator Blaise Compaoré.
Almighty God :Justice for US
Killing Hutus on daily basis
RPF Trade Mark: Akandoya
Fighting For Our Freedom?
KAGAME VS JUSTICE
Monday, January 3, 2011
Mbeki hears conflicting claims of vote rigging
Comprendre la crise ivoirienne en 4 points
Un coup d’État manqué le 19 septembre 2002 s’est transformé en rébellion armée. Et la Côte d’Ivoire connaît une crise politique et militaire depuis ce temps. Les élections présidentielles organisées cette année étaient sensées mettre fin à cette crise, marquée notamment par une partition de fait du pays. Ces élections se sont déroulées le 31 octobre 2010 (1e tour) et le 28 novembre 2010 (2è tour) alors que, malgré la signature de nombreux accords, les rebelles encore en armes occupent une partie du territoire (le Nord, le Centre et l’Ouest).Laurent Gbagbo le président sortant parait à la fois aujourd’hui, particulièrement isolé et … particulièrement déterminé, à faire valoir les textes de lois de la Côte d’Ivoire. Mais plusieurs pays et non des moindres disent qu’il doit céder le pouvoir à Monsieur Ouattara seul légitime à leurs yeux, d’après leur lecture de la situation. Et chose étrange, malgré un verrouillage exceptionnel des médias internationaux, les plus grosses manifestations des ivoiriens que chacun a pu voir dans la diaspora ou à l’intérieur du pays ont été des rassemblements d’ivoiriens soutenant …Laurent Gbagbo ! On a également appris aujourd’hui qu’à Abidjan l’appel à la « grève générale » lancé par Alassane Ouatarra pour ce lundi 27 décembre n’a pas été suivi. Paradoxal, non ?
Devant ce flou artistique entretenu, L’œil du Patriote a préféré transcender les passions et les élans émotionnels et partisans pour tenter d’extirper les secrets de l’énigme de la crise ivoirienne autour de quatre axes fondamentaux.
I. Le schéma ivoirien de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire
a. Le contenu global des accords inter-ivoiriens sur les élections signés depuis 2005 porte sur les points suivants :
· La réunification du pays passe par la formation d’un gouvernement d’union pour l’organisation des élections générales en vue de la sortie définitive de crise ;
· La réorganisation de la Commission Electorale Indépendante doit se faire sur la base des partis signataires des Accords de Marcoussis (80 % des membres sont du RHDP ; mais toute décision doit être prise par consensus au sein de la CEI) et non plus sur la base de « professionnels du droit » et de représentants de la société civile ;
· La CEI conduit l’organisation des élections et elle a 3 jours maximum pour proclamer les résultats provisoires validés par tous ses membres ; (ndlr: C’est nous qui soulignons)
· Unique juge du contentieux électoral, le Conseil Constitutionnel est seul habilité à proclamer les résultats définitifs après examen des réclamations éventuelles ;
· Institution chargée de veiller à la constitutionnalité des lois et textes officiels, le Conseil Constitutionnel est seul habilité à recevoir le serment de prise de fonction du Président élu, en séance solennelle ;
· La certification des élections selon les critères internationaux (transparence, équité, liberté du vote, respect des procédures légales) est confiée au Représentant du SG de l’ONU à l’issue de la proclamation des résultats définitifs.(ndlr : C’est nous qui soulignons toujours)
II.Les faits
a. L’organisation des élections s’est faite dans un pays toujours divisé et sans désarmement significatif des rebelles
b. Au 1er tour : Laurent Gbagbo de la LMP (38% des voix) et Ouattara Alassane du RDR (32%) sont retenus pour le 2è tour ; la CEI a annulé le scrutin de certaines circonscriptions à cause de violences constatées ; et le Conseil Constitutionnel a rejeté les réclamations du candidat du PDCI, Henri Konan Bédié (25%), parce que formulées hors délais. Deux actes qui n’ont provoqué aucun remous ni en Cote d’Ivoire, ni ailleurs dans le monde.
c. Au 2è tour :
· Dans 15 des 19 régions, le scrutin s’est déroulé sans grand dommage selon les observateurs ; tous leurs résultats ont été validés par tous les membres de la CEI
· Dans 4 régions, toutes au Nord et contrôlées par les rebelles, on signale de nombreuses irrégularités : des violences sur les représentants du candidat Gbagbo (des morts, des blessés sauvés par l’ONUCI, des viols), l’expulsion de la plupart de ces représentants, des vols d’urnes, des bourrages d’urnes, des fraudes massives constatées sur 2000 pv de bureau de vote. Gbagbo introduit des réclamations dans le délai ;
· Les déclarations des observateurs étrangers confirment la plupart de ces réclamations, des observateurs y ayant parfois été frappés (Cf. Observations de l’UE, l’UA, des experts Africains) ….
· Incapables de se mettre d’accord sur la validation des résultats provisoires de ces régions du Nord, et après le délai légal de 72 heures qui leur est imparti, les membres de la CEI transmettent les données brutes au Conseil Constitutionnel, juge des élections présidentielles
· Mais, contre toute attente, au siège de son candidat A. Ouattara et hors délais, le Président de la CEI proclame seul des résultats qui, selon lui, donnent Ouattara vainqueur avec 54,1% des voix.
· Le Conseil Constitutionnel travaille sur les dossiers transmis la veille par la CEI et comme au 1er tour, invalide le scrutin là où les fraudes sont constatées, et proclame publiquement Gbagbo vainqueur avec 51,45 % des voix.
· M. Choi, représentant du SG de l’ONU, à la surprise générale, donne Ouattara vainqueur sur la base de la déclaration du Président de la CEI. Il outrepasse ainsi son mandat qui est de « certifier (et NON DE PROCLAMER) le résultat DEFINITIF (et non PROVISOIRE) de la CEI »
III.Les fondements de l’élection de M. Laurent Gbagbo
a. Au plan juridique, les institutions de la République et tout le processus électoral prennent base sur les dispositions pertinentes de la Constitution du 1er août 2000 ; celle-ci fait du Conseil Constitutionnel le seul juge des élections, même dans tous les aménagements intervenus sur la base de tous les accords depuis Marcoussis (2003). Le candidat Ouattara le conteste au profit du Président de la CEI et du Représentant du SG de l’ONU
b. Au plan politique, toutes les décisions et tous les accords signés ont concouru à préserver l’Etat, les institutions de la République, le respect des lois et de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Tout le monde a ainsi salué les efforts accomplis pour aller à des élections présidentielles devant mettre fin à la crise ouverte en septembre 2002
c. Les observateurs nationaux et étrangers (plus de 1500 observateurs) ont attesté toutes les réclamations de Gbagbo sur la non-sincérité du scrutin et les violations de droits du citoyen dans une partie du territoire national ; la distinction entre « observateurs de l’UE » et « observateurs Africains », faite par le Représentant du SG de l’ONU, est scandaleuse et dénonce une certaine partialité de la part de ce fonctionnaire de l’ONU.
d. Le peuple s’est prononcé au 1er et 2è tours de la présidentielle, sous l’empire des lois et des dispositions pertinentes de la Constitution. 51,45% des électeurs ont accordé leur voix à Gbagbo ; mais 48,55% ont fait confiance à Ouattara. Il faut réconcilier les deux camps sur la base du respect du droit et des lois organisant le processus électoral.
e. L’armée (F.D.S.) est loyaliste et reste républicaine ; elle avait même commencé à s’ouvrir aux FAFN pour gagner la paix. La posture rebelle de l’ancien PM G. Soro remet en cause cette ouverture mais pas la loyauté républicaine des FDS.
f. « La souveraineté de la Côte d’Ivoire n’est pas négociable » a déclaré le Président Gbagbo. Les prétentions de certains pays à donner leur onction à l’un des deux candidats en dépit des règles élémentaires du droit et à l’imposer à tout prix sont contraires au droit international et à la Charte de l’ONU. La Côte d’Ivoire, État-membre de l’ONU, refuse ce diktat illégal et illégitime. Elle veut le respect du droit et de ses institutions pour la sortie de crise.
IV. Les paradoxes de la « Communauté internationale »
La crise ivoirienne est en train de mettre en lumière de façon flagrante, un certain nombre de paradoxes au sein de la communauté internationale. Et ces contradictions auront sans nul doute des conséquences durables dans l’histoire du peuple ivoirien et dans celui des pays de la région. Que Laurent Gbagbo quitte le pouvoir ou pas, les acteurs principaux de cette crise, protagonistes, marionnettes visibles ou tireurs de ficelles invisibles ne manqueront pas de subir les conséquences de ce que l’opinion internationale et particulièrement l’opinion africaine aura perçu ou compris de cette crise aujourd’hui et du rôle qu’aura joué chacun d’eux. L’histoire juge toujours à froid ! Quand toutes les passions et les feux d’artifices des médias s’éteignent.
· Ainsi, en cas d’embrasement, rien ne saurait justifier que, dans cette partie de l’Afrique où l’on commence pourtant à s’inquiéter de la montée de l’intégrisme, des responsables politiques, fussent-ils à la tête des grandes puissances ou des organismes internationaux, aient pu volontairement créer un nouveau foyer de conflit qui n’aura fait que contribuer à rendre la région plus instable et ingérable. Les cas de la Somalie ou de la République démocratique du Congo devraient pousser à une réflexion profonde chacun des responsables politiques (ivoiriens, africains, européens, américains ou autres) engagés de près ou de loin dans cette crise. En effet, ces deux pays prouvent aujourd’hui à quel point l’instabilité et le chaos politique font de nos jours le lit des réseaux terroristes et maffieux qui en profitent pour étendre leurs tentacules. Le Maghreb et une partie de l’Afrique de l’Ouest sont déjà confrontés aux activités des réseaux terroristes dont ils n’arrivent pas à contenir des assauts. Qui donc aurait aujourd’hui intérêt à aggraver ce danger qui préoccupe plus d’un Etat au monde?
· Et que dire du sort de ces millions d’Ivoiriens et d’étrangers vivant en Cote d’Ivoire et qui risquent de voir leurs vies basculer, du jour au lendemain dans les affres d’une guerre aussi cruelle qu’injuste. En effet, quelque soit le camp dans lequel on se trouve, celui de Gbagbo ou de Ouatara, une chose est certaine, chacun des deux candidats réunit derrière lui près de la moitié de la population de la Cote d’Ivoire ! Oublier ou négliger à dessein cette maxime dans la recherche de solution de cette crise serait commettre une erreur historique grave de conséquence. Gbagbo et Ouatara ne sont plus des simples individus ; chacun d’eux incarne l’espérance de 50% de la population de la Cote d’Ivoire! Cette réalité immuable ne devrait-elle pas inciter tous les acteurs de ce conflit à plus de sagesse et plus de retenu dans la recherche d’une solution salutaire pour le peuple ivoirien? Rejeter sans ménagement l’un des deux antagonistes, équivaudrait à dresser une moitié du pays contre une autre à travers un conflit armé qui embrasera toute la région de la CDEAO au sein de laquelle la Côte d’Ivoire joue incontestablement le rôle du véritable poumon économique.
· Les passions que provoquent les récentes élections en Cote-d’Ivoire soulèvent des interrogations. D’autres élections ont en effet eu lieu en Afrique, avec des résultats au moins aussi discutables qu’en Côte-d’Ivoire : en Tunisie, en Egypte, au Burundi, au Rwanda, etc…. Pourquoi la Communauté internationale ne s’est-elle pas investie dans tous ces autres cas avec la même ferveur voire la même véhémence qu’en Cote d’Ivoire? Paul Kagamé ne séquestre-t-il pas actuellement son opposante principale (Victoire Ingabire) après des élections « remportées » grâce à des scores staliniens? Malgré un rapport de l’ONU de plus de 600 pages qui l’implique directement dans des massacres à grande échelle en RDC, pourquoi n’a-t-on pas entendu la « communauté internationale » parler d’aller le déloger par la force? De nombreuses élections truquées sont régulièrement organisées en Afrique, pourquoi la communauté internationale n’a–t-elle pas pris la noble et courageuse résolution de faire respecter « la volonté du peuple?»
· Lors des élections biaisées organisées en 2006 en RDC, « Joseph Kabila » avait été jusqu’à bombarder à l’arme lourde son rival en plein centre ville de Kinshasa alors que celui-ci était en réunion avec plusieurs ambassadeurs représentant la « communauté internationale ». Ses troupes ont ensuite causé la mort de plusieurs centaines de congolais à travers la ville. Aujourd’hui, « Kabila » allonge une liste interminable des victimes parmi les défenseurs des Droits de l’Homme, les religieux, les journalistes, les leaders politiques…, il menace la sécurité mondiale avec le trafic de l’uranium. Pourquoi la communauté internationale ne montre-t-elle pas la même détermination pour sanctionner sévèrement ces pratiques barbares d’un autre siècle?
Nous sommes persuadés que l’on devrait dépassionner le débat autour de la crise ivoirienne. Toute passion, toute partialité, tout parti pris ou tout règlement de compte devraient être totalement proscrits du processus de règlement de cette crise. Les puissants médias occidentaux devraient s’abstenir de rééditer l’exploit de 1994 au Rwanda et de 1996 en RDC où ils ont déformé la vérité au service des intérêts partisans des puissants lobbies occidentaux, et au détriment des peuples de la région. La solution à cette crise ivoirienne passe par une mise à plat des faits. Seulement des faits vérifiés et vérifiables. Cet appel de Gbagbo sur I-Télé mérite de retenir l’attention : « Vouloir occulter les faits et donc la vérité en privilégiant des compromis équivaudrait à de la compromission . Moi, je ne veux pas de compromis , je veux la vérité ». On ne peut sacrifier le peuple ivoirien sur l’autel des procédures électorales. Car la démocratie est faite pour servir au mieux être du peuple ivoirien!
Or, ce n’est surement pas dans le mensonge et la falsification que l’on apaisera le cœur des ivoiriens qui ont voté et attendent de savoir qui finalement des 2 candidats a réellement gagné ces élections. L’histoire tragique et récente de l’Afrique nous apprend qu’à chaque fois que la vérité a été dévoyée, elle a toujours fini par resurgir et à s’imposer aux hommes d’une manière ou d’une autre. De l’Afrique du Sud au Rwanda en passant par la RDC, la vérité sur les plus grandes tragédies du continent africain a toujours fini par triompher, mais souvent trop tard pour de millions de victimes! Et les conséquences de ces mises en scènes pèsent encore sur des régions entières de l’Afrique centrale et australe en proie à l’instabilité. Va-t-il en être de même pour l’Afrique occidentale qui a été jusqu’ici un havre de paix et de stabilité pour l’Afrique sub-saharienne ? Les dirigeants africains de la CDEAO devraient y réfléchir. L’Onuci a outrepassé son mandat qui était de certifier les résultats définitifs et non pas de proclamer les résultats provisoire de la CEI .
Devant les risques actuels d’embrasement qu’est ce qui empêche le réexamen du processus électoral ivoirien par un comité international indépendant ? Même aux États-Unis lors de l’élection de Bush face à Al Gore la contestation des résultats a entrainé un réexamen partielle des résultats par comptage manuel, pourquoi pas en Côte-d’Ivoire ? Une guerre dans cette région coûtera forcement plus cher qu’une telle option.
Paris , le 28 Décembre 2010
Candide OKEKE
© L’ŒIL DU PATRIOTE
The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine
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Profile
I am Jean-Christophe Nizeyimana, an Economist, Content Manager, and EDI Expert, driven by a passion for human rights activism. With a deep commitment to advancing human rights in Africa, particularly in the Great Lakes region, I established this blog following firsthand experiences with human rights violations in Rwanda and in the DRC (formerly Zaïre) as well. My journey began with collaborations with Amnesty International in Utrecht, the Netherlands, and with human rights organizations including Human Rights Watch and a conference in Helsinki, Finland, where I was a panelist with other activists from various countries.
My mission is to uncover the untold truth about the ongoing genocide in Rwanda and the DRC. As a dedicated voice for the voiceless, I strive to raise awareness about the tragic consequences of these events and work tirelessly to bring an end to the Rwandan Patriotic Front (RPF)'s impunity.
This blog is a platform for Truth and Justice, not a space for hate. I am vigilant against hate speech or ignorant comments, moderating all discussions to ensure a respectful and informed dialogue at African Survivors International Blog.
Genocide masterminded by RPF
Finally the well-known Truth Comes Out.
After suffering THE LONG years, telling the world that Kagame and his RPF criminal organization masterminded the Rwandan genocide that they later recalled Genocide against Tutsis. Our lives were nothing but suffering these last 32 years beginning from October 1st, 1990 onwards. We are calling the United States of America, United Kingdom, Japan, and Great Britain in particular, France, Belgium, Netherlands and Germany to return to hidden classified archives and support Honorable Tito Rutaremara's recent statement about What really happened in Rwanda before, during and after 1994 across the country and how methodically the Rwandan Genocide has been masterminded by Paul Kagame, the Rwandan Hitler. Above all, Mr. Tito Rutaremara, one of the RPF leaders has given details about RPF infiltration methods in Habyarimana's all instances, how assassinations, disappearances, mass-slaughters across Rwanda have been carried out from the local autority to the government,fabricated lies that have been used by Gacaca courts as weapon, the ICTR in which RPF had infiltrators like Joseph Ngarambe, an International court biased judgments & condemnations targeting Hutu ethnic members in contraversal strategy compared to the ICTR establishment to pursue in justice those accountable for crimes between 1993 to 2003 and Mapping Report ignored and classified to protect the Rwandan Nazis under the RPF embrella . NOTHING LASTS FOREVER.
Human and Civil Rights
Human Rights, Mutual Respect and Dignity
For all Rwandans :
Hutus - Tutsis - Twas
Rwanda: A mapping of crimes
Rwanda: A mapping of crimes in the book "In Praise of Blood, the crimes of the RPF by Judi Rever
Be the last to know: This video talks about unspeakable Kagame's crimes committed against Hutu, before, during and after the genocide against Tutsi in Rwanda.
The mastermind of both genocide is still at large: Paul Kagame
KIBEHO: Rwandan Auschwitz
Kibeho Concetration Camp.
Mass murderers C. Sankara
Stephen Sackur’s Hard Talk.
Prof. Allan C. Stam
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Prof. Christian Davenport
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Prof. Christian Davenport Michigan University & Faculty Associate at the Center for Political Studies
The killing Fields - Part 1
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The killing Fields - Part II
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