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Thursday, May 20, 2010

HITLER n'est pas mort ! Il a changé de peau: 7 millions de mort en 2010 !!!

20/05/2010
Publié par M. KALWANGILA

Rwandan and Congolese Freedom is not for sale.

Pourquoi le monde se tait ? Comment certains juifs peuvent-ils soutenir aujourd'hui ce monstre?

utilise le droit pour obtenir le droit.

US awards and decorations are granted to worldwide criminals for assassinations, mass-rape, dirthy services and multiple accomplishments of crimes (massacres, rapes, looting,etc). 11 awards to :

General Paul Kagame, the bloodiest criminal of Africa

Qui dirige les Rwandais et les Congolais aujourd'hui ? Des criminels du FPR et par les transfuges britaniques et américanes. Tout le monde le sait et eux même ne le cachent plus. En retout de leur protection, les EU et la Grande Bretagne en partiluler demandent à Paul Kagame, à son APR/RDF, à la police du FPR, aux services de sécurité du FPR de mater les Rwandais et les Congolais, de les humilier, de voler leurs biens, de les terroriser, de les censurer, de les emprisonner, de les réprimer…de les assassiner, de les masscrer....Et, pourquoi, ils leur demandent tout ça ?
Pour continuer à gouverner le Rwanda et la RDC par des criminels interposés, cela leur permer de prospérer, de voler et dilapider les richesses de la RDC et de l'Afrique des Grands Lacs, de vivre dans le bonheur, avec la sécurité et la luxure, de dominer ceux qui s’opposent à leurs privilèges et biens illicites et mal acquis…

L'invitation de Paul Kagame en France par Sarkozy est une Exposition de la honte et insulte au peuple Rwandais et Congolais.

A tous les niveaux et partout dans les institutions existe encore desCongolais et des Congolaises, des Rwandias et des Rwandaises honnêtes, intègres et sincères mais ils ne peuvent pas s’épanouir dans ce climat nauséabonde de délation, de corruption, de copinage, de mensonge, d’hypocrisie, de fourberie, de ruse et d’impunité pour les criminels du FPR…La démocratie et un Etat de droit réel, seuls sont capables de séparer la bonne graine de l’ivraie et les profiteurs des serviteurs de du Congo et du Rwanda.

l’ONU doit soit se soumettre à Kagame, soit disparaître?

General Paul Kagame, the repeat of Adolf Hitler. The US and British ally has killed more than Hitler.

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Crimes et desastre humanitaire en RD

Taking into account what's happening in Rwanda and in the Democratic Republic of the Congo, How the UN can support the bloodiest criminal in history?

There will never be a "Good-bye to Hitler!" Since 1994, Kagame rules by terror, torture and mass-murder.

ASI is not surprised at all. Many of the world's most repressive dictators have been friends of America.

Tyrants, torturers, killers, and sundry dictators and corrupt puppet-presidents have been aided, supported, and rewarded handsomely for their loyalty to US interests. Traditional dictators seize control through force, while constitutional dictators hold office through voting fraud or severely restricted elections, and are frequently puppets and apologists for the military juntas which control the ballot boxes. In any case, none have been democratically elected by the majority of their people in fair and open elections.

They are democratic America's undemocratic allies. They may rise to power through bloody ClA-backed coups and rule by terror and torture. Their troops may receive training or advice from the CIA and other US agencies. US military aid and weapons sales often strengthen their armies and guarantee their hold on power.

Unwavering "anti-communism" and a willingness to provide unhampered access for American business interests to exploit their countries' natural resources and cheap labor are the excuses for their repression, and the primary reason the US government supports them. They may be linked internationalIy to extreme right-wing groups such as the World Anti-Communist League, and some have had strong Nazi affiliations and have offered sanctuary to WWll Nazi war criminals.

They usually grow rich, while their countries' economies deteriorate and the majority of their people live in poverty. US tax dollars and US-backed loans have made billionaires of some, while others are international drug dealers who also collect CIA paychecks. Rarely are they called to account for their crimes. And rarely still, is the US government held responsible for supporting and protecting some of the worst human rights violators in the world.

General Pau Kagame doesen't stop at enslaving his own people though. He also feeds them well, gave them little medical care, carries out large-scale purges and executes millions of them. The net result was killing off approximately 3/5 of the Rwandan population! Kagame's campaign is described as one of the worst mass-murders ever in Africa.General Kagame is even known to have garroted people to death.

CRIMES RELEVANT DE LA COMPÉTENCE DE LA COUR

1. La compétence de la Cour est limitée aux crimes les plus graves qui touchent l’ensemble de la communauté internationale. En vertu du présent Statut, la Cour a compétence à l’égard des crimes suivants :
a) Le crime de génocide ;
b) Les crimes contre l’humanité ;
c) Les crimes de guerre ;
d) Le crime d’agression.
2. La Cour exercera sa compétence à l’égard du crime d’agression quand une disposition aura été adoptée conformément aux articles 121 et 123, qui définira ce crime et fixera les conditions de l’exercice de la compétence de la Cour à son égard.
Cette disposition devra être compatible avec les dispositions pertinentes de la Charte des Nations Unies.

Article 6

CRIME DE GÉNOCIDE

Aux fins du présent Statut, on entend par crime de génocide l’un quelconque des actes ci-après commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :

a) Meurtre de membres du groupe
b) Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe ;
c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ;
d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ;
e) Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.

Article 7

CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

1. Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l’humanité l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque :
a) Meurtre ;
b) Extermination ;
c) Réduction en esclavage ;
d) Déportation ou transfert forcé de population ;
e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;
f) Torture ;
g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forcée, grossesse forcée, stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable ;
h) Persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sens du paragraphe 3, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour ;
i) Disparitions forcées de personnes ;
j) Crime d’apartheid ;
k) Autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.
2. Aux fins du paragraphe 1 :

a) Par « attaque lancée contre une population civile », on entend le comportement qui consiste en la commission multiple d’actes visés au paragraphe 1 à l’encontre d’une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d’un État ou d’une organisation ayant pour but une telle attaque ;
b) Par « extermination », on entend notamment le fait d’imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d’accès à la nourriture et aux médicaments, calculées pour entraîner la destruction d’une partie de la population ;
c) Par « réduction en esclavage », on entend le fait d’exercer sur une personne l’un quelconque ou l’ensemble des pouvoirs liés au droit de propriété, y compris dans le cadre de la traite des être humains, en particulier des femmes et des enfants ;
d) Par « déportation ou transfert forcé de population », on entend le fait de déplacer de force des personnes, en les expulsant ou par d’autres moyens coercitifs, de la région où elles se trouvent légalement, sans motifs admis en droit international ;
e) Par « torture », on entend le fait d’infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, à une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contrôle ; l’acception de ce terme ne s’étend pas à la douleur ou aux souffrances résultant uniquement de sanctions légales, inhérentes à ces sanctions ou occasionnées par elles ;
f) Par « grossesse forcée », on entend la détention illégale d’une femme mise enceinte de force, dans l’intention de modifier la composition ethnique d’une population ou de commettre d’autres violations graves du droit international. Cette définition ne peut en aucune manière s’interpréter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives à la grossesse ;
g) Par « persécution », on entend le déni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs liés à l’identité du groupe ou de la collectivité qui en fait l’objet ;
h) Par « crime d’apartheid », on entend des actes inhumains analogues à ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d’un régime institutionnalisé d’oppression systématique et de domination d’un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l’intention de maintenir ce régime ;
i) Par « disparitions forcées de personnes », on entend les cas où des personnes sont arrêtées, détenues ou enlevées par un État ou une organisation politique ou avec l’autorisation, l’appui ou l’assentiment de cet État ou de cette organisation, qui refuse ensuite d’admettre que ces personnes sont privées de liberté ou de révéler le sort qui leur est réservé ou l’endroit où elles se trouvent, dans l’intention de les soustraire à la protection de la loi pendant une période prolongée.
3. Aux fins du présent Statut, le terme « sexe » s’entend de l’un et l’autre sexes, masculin et féminin, suivant le contexte de la société. Il n’implique aucun autre sens.
Article 8

CRIMES DE GUERRE

1. La Cour a compétence à l’égard des crimes de guerre, en particulier lorsque ces crimes s’inscrivent dans le cadre d’un plan ou d’une politique ou lorsqu’ils font partie d’une série de crimes analogues commis sur une grande échelle.
2. Aux fins du Statut, on entend par « crimes de guerre » :
a) Les infractions graves aux Conventions de Genève du 12 août 1949, à savoir l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’ils visent des personnes ou des biens protégés par les dispositions des Conventions de Genève :
i) L’homicide intentionnel;
ii) La torture ou les traitements inhumains, y compris les expériences biologiques ;
iii) Le fait de causer intentionnellement de grandes souffrances ou de porter gravement atteinte à l’intégrité physique ou à la santé ;
iv) La destruction et l’appropriation de biens, non justifiées par des nécessités militaires et exécutées sur une grande échelle de façon illicite et arbitraire ;
v) Le fait de contraindre un prisonnier de guerre ou une personne protégée à servir dans les forces d’une puissance ennemie ;
vi) Le fait de priver intentionnellement un prisonnier de guerre ou toute autre personne protégée de son droit d’être jugé régulièrement et impartialement ;
vii) La déportation ou le transfert illégal ou la détention illégale ;
viii) La prise d’otages ;

b) Les autres violations graves des lois et coutumes applicables aux conflits armés internationaux dans le cadre établi du droit international, à savoir, l’un quelconque des actes ci-après :
i) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre la population civile en tant que telle ou contre des civils qui ne participent pas directement part aux hostilités ;

ii) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des biens de caractère civil, c’est-à-dire des biens qui ne sont pas des objectifs militaires ;
iii) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre le personnel, les installations, le matériel, les unités ou les véhicules employés dans le cadre d’une mission d’aide humanitaire ou de maintien de la paix conformément à la Charte des Nations Unies, pour autant qu’ils aient droit à la protection que le droit international des conflits armés garantit aux civils et aux biens de caractère civil ;
iv) Le fait de diriger intentionnellement une attaque en sachant qu’elle causera incidemment des pertes en vies humaines dans la population civile, des blessures aux personnes civiles, des dommages aux biens de caractère civil ou des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel qui seraient manifestement excessifs par rapport à l’ensemble de l’avantage militaire concret et direct attendu ;
v) Le fait d’attaquer ou de bombarder, par quelque moyen que ce soit, des villes, villages, habitations ou bâtiments qui ne sont pas défendus et qui ne sont pas des objectifs militaires ;
vi) Le fait de tuer ou de blesser un combattant qui, ayant déposé les armes ou n’ayant plus de moyens de se défendre, s’est rendu à discrétion ;
vii) Le fait d’utiliser indûment le pavillon parlementaire, le drapeau ou les insignes militaires et l’uniforme de l’ennemi ou de l’Organisation des Nations Unies, ainsi que les signes distinctifs prévus par les Conventions de Genève, et, ce faisant, de causer la perte de vies humaines ou des blessures graves ;
viii) Le transfert, direct ou indirect, par une puissance occupante d’une partie de sa population civile, dans le territoire qu’elle occupe, ou la déportation ou le transfert à l’intérieur ou hors du territoire occupé de la totalité ou d’une partie de la population de ce territoire ;
ix) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des bâtiments consacrés à la religion, à l’enseignement, à l’art, à la science ou à l’action caritative, des monuments historiques, des hôpitaux et des lieux où des malades ou des blessés sont rassemblés, à condition qu’ils ne soient pas des objectifs militaires ;
x) Le fait de soumettre des personnes d’une partie adverse tombées en son pouvoir à des mutilations ou à des expériences médicales ou scientifiques quelles qu’elles soient qui ne sont ni motivées par un traitement médical, dentaire ou hospitalier, ni effectuées dans l’intérêt de ces personnes, et qui entraînent la mort de celles-ci ou mettent sérieusement en danger leur santé ;
xi) Le fait de tuer ou de blesser par traîtrise des individus appartenant à la nation ou à l’armée ennemie ;
xii) Le fait de déclarer qu’il ne sera pas fait de quartier ;
xiii) Le fait de détruire ou de saisir les biens de l’ennemi, sauf dans les cas où ces destructions ou saisies seraient impérieusement commandées par les nécessités de la guerre ;
xiv) Le fait de déclarer éteints, suspendus ou non recevables en justice les droits et actions des nationaux de la partie adverse ;
xv) Le fait pour un belligérant de contraindre les nationaux de la partie adverse à prendre part aux opérations de guerre dirigées contre leur pays, même s’ils étaient au service de ce belligérant avant le commencement de la guerre ;
xvi) Le pillage d’une ville ou d’une localité, même prise d’assaut ;
xvii) Le fait d’employer du poison ou des armes empoisonnées ;
xviii) Le fait d’employer des gaz asphyxiants, toxiques ou similaires, ainsi que tous liquides, matières ou procédés analogues ;
xix) Le fait d’utiliser des balles qui s’épanouissent ou s’aplatissent facilement dans le corps humain, telles que des balles dont l’enveloppe dure ne recouvre pas entièrement le centre ou est percée d’entailles ;
xx) Le fait d’employer les armes, projectiles, matières et méthodes de guerre de nature à causer des maux superflus ou des souffrances inutiles ou à frapper sans discrimination en violation du droit international des conflits armés, à condition que ces armes, projectiles, matières et méthodes de guerre fassent l’objet d’une
interdiction générale et qu’ils soient inscrits dans une annexe au présent Statut, par voie d’amendement adopté selon les dispositions des articles 121 et 123 ;
xxi) Les atteintes à la dignité de la personne, notamment les traitements humiliants et dégradants ;
xxii) Le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, telle que définie à l’article 7, paragraphe 2, alinéa f), la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle constituant une infraction grave aux Conventions de Genève ;
xxiii) Le fait d’utiliser la présence d’un civil ou d’une autre personne protégée pour éviter que certains points, zones ou forces militaires ne soient la cible d’opérations militaires ;
xxiv) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre les bâtiments, le matériel, les unités et les moyens de transport sanitaires, et le personnel utilisant, conformément au droit international, les signes distinctifs prévus par les Conventions de Genève ;
xxv) Le fait d’affamer délibérément des civils comme méthode de guerre, en les privant de biens indispensables à leur survie, y compris en empêchant intentionnellement l’envoi des secours prévus par les Conventions de Genève ;
xxvi) Le fait de procéder à la conscription ou à l’enrôlement d’enfants de moins de 15 ans dans les forces armées nationales ou de les faire participer activement à des hostilités ;
President Obama lied to all of us and Africa in particular

c) En cas de conflit armé ne présentant pas un caractère international, les violations graves de l’article 3 commun aux quatre Conventions de Genève du 12 août 1949, à savoir l’un quelconque des actes ci-après commis à l’encontre de personnes qui ne participent pas directement aux hostilités, y compris les membres de forces armées qui ont déposé les armes et les personnes qui ont été mises hors de combat par maladie, blessure, détention ou par toute autre cause :
i) Les atteintes à la vie et à l’intégrité corporelle, notamment le meurtre sous toutes ses formes, les mutilations, les traitements cruels et la torture ;
ii) Les atteintes à la dignité de la personne, notamment les traitements humiliants et dégradants ;
iii) Les prises d’otages ;
iv) Les condamnations prononcées et les exécutions effectuées sans un jugement préalable, rendu par un tribunal régulièrement constitué, assorti des garanties judiciaires généralement reconnues comme indispensables ;
d) L’alinéa c) du paragraphe 2 s’applique aux conflits armés ne présentant pas un caractère international et ne s’applique donc pas aux situations de troubles et tensions internes telles que les émeutes, les actes isolés et sporadiques de violence ou les actes de nature similaire ;e) Les autres violations graves des lois et coutumes applicables aux conflits armés ne présentant pas un caractère international, dans le cadre établi du droit international, à savoir l’un quelconque des actes ci-après :

i) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre la population civile en tant que telle ou contre des personnes civiles qui ne participent pas directement aux hostilités ;
ii) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre les bâtiments, le matériel, les unités et les moyens de transport sanitaires, et le personnel utilisant, conformément au droit international, les signes distinctifs des Conventions de Genève ;
iii) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre le personnel, les installations, le matériel, les unités ou les véhicules employés dans le cadre d’une mission d’aide humanitaire ou de maintien de la paix conformément à la Charte des Nations Unies, pour autant qu’ils aient droit à la protection que le droit international des conflits armés garantit aux civils et aux biens de caractère civil ;
iv) Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des bâtiments consacrés à la religion, à l’enseignement, à l’art, à la science ou à l’action caritative, des monuments historiques, des hôpitaux et des lieux où des malades et des blessés sont rassemblés, pour autant que ces bâtiments ne soient pas des objectifs militaires ;
v) Le pillage d’une ville ou d’une localité, même prise d’assaut ;
vi) Le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, telle que définie à l’article 7, paragraphe 2, alinéa f), la stérilisation forcée, ou toute autre forme de violence sexuelle constituant une violation grave de l’article 3 commun aux quatre Conventions de Genève ;
vii) Le fait de procéder à la conscription ou à l’enrôlement d’enfants de moins de 15 ans dans les forces armées ou dans des groupes armés ou de les faire participer activement à des hostilités ;
viii) Le fait d’ordonner le déplacement de la population civile pour des raisons ayant trait au conflit, sauf dans les cas où la sécurité des civils ou des impératifs militaires l’exigent ;
ix) Le fait de tuer ou de blesser par traîtrise un adversaire combattant ;
x) Le fait de déclarer qu’il ne sera pas fait de quartier ;
xi) Le fait de soumettre des personnes d’une autre partie au conflit tombées en son pouvoir à des mutilations ou à des expériences médicales ou scientifiques quelles qu’elles soient qui ne sont ni motivées par un traitement médical, dentaire ou hospitalier, ni effectuées dans l’intérêt de ces personnes, et qui entraînent la mort de celles-ci ou mettent sérieusement en danger leur santé ;
xii) Le fait de détruire ou de saisir les biens d’un adversaire, sauf si ces destructions ou saisies sont impérieusement commandées par les nécessités du conflit ;
f) L’alinéa e) du paragraphe 2 s’applique aux conflits armés ne présentant pas un caractère international et ne s’applique donc pas aux situations de troubles et tensions internes telles que les émeutes, les actes isolés et sporadiques de violence ou les actes de nature similaire. Il s’applique aux conflits armés qui opposent de manière prolongée sur le territoire d’un État les autorités du gouvernement de cet État et des groupes armés organisés ou des groupes armés organisés entre eux.
3. Rien dans le paragraphe 2, alinéas c) et e), n’affecte la responsabilité d’un gouvernement de maintenir ou rétablir l’ordre public dans l’État ou de défendre l’unité et l’intégrité territoriale de l’État par tous les moyens légitimes.

The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine

Monday, May 17, 2010

New York Times: Grenade Attacks Shake Capital of Rwanda (Video)

May 17,2010
Posted by NY Times

[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination with an iron hand, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus), and mass-arrests and mass-murder by the RPF criminal organization.=>ASIF]

KAMPALA, Uganda — Nearly simultaneous grenade attacks in the Rwandan capital, Kigali, killed at least two people and wounded 32 on Saturday evening, the police said Sunday.

The grenades were thrown into crowds at a popular market and the city’s busiest bus station.

The attacks, which occurred within an hour, were the third set to rock Kigali since February. They came as political tension has risenahead of a presidential election in August. The police said they were investigating.

While past grenade attacks have been aimed mainly at genocide survivors or genocide memorials and were often blamed on rebels, the recent ones have struck at commercial areas, creating a new level of tension in the capital. Kigali residents said Sunday that some roads had been closed and that there was an increased army presence there.

In March, President Paul Kagame blamed two senior army officers who fled Rwanda for being behind the attacks. Since then, two high-ranking generals have been
arrested and others dismissed, and security forces have swept the country for arms and ammunition. Two newspapers that reported on a possible coup attempt were suspended. Scholar Gus Martin describes state terrorism as terrorism "committed by governments and quasi-governmental agencies and personnel against perceived enemies," which can be directed against both domestic and external enemies.

[2] The original general meaning of terrorism was of terrorism by the state, as reflected in the 1798 supplement of the Dictionnaire of the Academie Francaise, which described terrorism as systeme, regime de la terreur.

[3] Similarly, a terrorist in the late 18th century was considered any person "who attempted to further his views by a system of coercive intimidation.

"[4] The terms "establishment terrorism," "terrorism from above" (as opposed to "terrorism from below" (terrorism by non-state groups) and "structural terrorism" are sometimes used to denote state terrorism.

In a recent phone interview, one general blamed for the attacks, Lt. Gen. Kayumba Nyamwasa, said that Mr. Kagame was using security forces to protect his hold on power. “The army, the police, the intelligence, these are personal institutions,” he said. “It cannot be like this forever.”

The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine

Africa's Female Mandela? Victoire Ingabiré Umuhoza on Trial.

May 17,2010
ByAnn Garrison

[Since 1994, the world witnesses the horrifying Tutsi minority (14%) ethnic domination, the Tutsi minority ethnic rule, tyranny and corruption in Rwanda. The current government has been characterized by the total impunity of RPF criminals, the Tutsi economic monopoly, the Tutsi militaristic domination with an iron hand, and the brutal suppression of the rights of the majority of the Rwandan people (85% are Hutus), and mass-arrests and mass-murder by the RPF criminal organization.=>ASIF]

Opposition presidential candidate Victoire Ingabire Umuhoza stood before a judge in Kigali, Rwanda, on April 22, after the Kagame government arrested and charged her with "associating with terrorists" and "genocide ideology," a crime unique to Rwanda which includes "divisionism" and "revisionism," meaning politics, and/or attempting to revise the received history of the 1994 Rwanda Genocide.

Two weeks earlier, on April 7th, speaking at a commemorative ceremony, on the 16th anniversary of the civilian massacres known as the Rwanda Genocide, Rwandan President Paul Kagame referred to Victoire Ingabire Umuhoza as "some lady," an example of "some people" who "just come from nowhere, useless people." He refused to speak her proper name, though she is widely acknowledged as the leading opposition candidate in Rwanda's 2010 presidential election, and many of her supporters now call her Africa's female Mandela:

"Some people want to encourage political hooliganism. Some people just come from nowhere, useless people. I see everytime in the pictures, some lady who had her deputy, a genocide criminal, her deputy, talking about "y'know, there's Rwanda Genocide, but there is another. . . so that is politics. And the world says, 'The opposition leader!'

But I know those who say it and who support that. They know it is wrong, but it is an expression of contempt these people have for Rwandans and for Africans, that they think Africans deserve to be led by these hooligans, and to that we say NO, a big NO. And if anybody wants a fight there, we'll give them a fight." --Paul Kagame,

WishAFriend.com

Two weeks later, on April 21st, Kagame's security police arrested Ingabire, then brought her before a Rwandan court for a bail hearing within six hours, creating a flurry of international news. Not only the African press, but also the BBC, Radio Netherlands, CNN, Yahoo News via Agence France Presse, and other outlets around the world, including the San Francisco Bay View, National Black Newspaper, Black Star News, and Global Research reported the story, and it appeared on blogs across Africa, Europe, and North America, often with notes urging readers to contact Amnesty International and Human Rights Watch.

Two days later, on April 23rd, Rwandan authorities gave Human Rights Watch researcher Carina Tertsakian, 24 hours to get out of the country.

Even the New York Times, which had until then ignored this year's Rwandan presidential election, finally published three accounts of Ingabire's arrest on April 21st, and the next day the Washington Post, which had also been ignoring the story, finally published a Reuters wire reporting that Ingabire had been released on bail that morning.
Shortly after the news of her release, the International Humanitarian Law Institute of St. Paul Minnesota announced that its director, William and Mitchell Law School Professor Peter Erlinder, and Wichita Lawyer Kurt P. Kerns, will join Ingabire's Rwandan lawyer Protais Mutembe in her legal defense. Ingabire is charged with "genocide related crime," meaning crime related to the 1994 Rwanda Genocide, the central narrative justifying Rwanda's political life and relationship to the outside world, and, most of all, to its most ardent defenders and donors, the US and the UK.

Erlinder is Professor of Constitutional Criminal Law and International Humanitarian Law at William Mitchell College of Law, President of ICTR-ADAD (Association des Avocats de la Defense), and past President of the National Lawyers Guild, NY, NY. Most significantly, in Ingabire's case, he is the Lead Defense Counsel in the Military-1 trial at the UN's International Criminal Tribunal on Rwanda (ICTR), where he won a victory of enormous significance to Rwandan history---the acquittal of four former top military leaders accused of conspiring and planning to commit genocide or any other crimes in 1994.
The ICTR acquitted its highest ranking defendant, Colonel Bagosora, on December 18, 2008, after which Erlinder wrote:

". . . ALL of the top Rwandan military officers, including the supposedly infamous Colonel Bagosora, were found not guilty of conspiracy or planning to commit genocide. And Gen. Gratien Kabiligi, a senior member of the general staff was acquitted of all charges! The others were found guilty of specific acts committed by subordinates, in specific places, at specific times - not an overall conspiracy to kill civilians, much less Rwandan-Tutsi civilians."

"This raises the more profound question: If there was no conspiracy and no planning to kill ethnic (i.e., Tutsi) civilians, can the tragedy that engulfed Rwanda properly be called “a genocide” at all? Or, was it closer to a case of civilians being caught up in war-time violence, like the Eastern Front in WWII, rather than the planned behind-the-lines killings in Nazi death camps? The ICTR judgment found the former."

"The Court specifically found that the actions of Rwandan military leaders, both before and after the April 6, 1994, assassination of former Rwandan President Juvenal Habyarimana, Rwanda's head of state at the time of his murder, were consistent with war-time conditions and the massive chaos brought about by the four-year war of invasion from Uganda by General Paul Kagame's RPF Army, which seized power in July 1994. ----Professor Peter Erlinder, "Rwanda: No Conspiracy, No Genocide Planning. . . No Genocide?," Jurist, 12.23.2008, Global Research, 01.24.2009

Erlinder says that the Court's ruling in December 2008 should have radically revised the world's understanding of the 1994 Rwanda Genocide, but because there were no international press covering the ICTR by December 2008, 14 years after the slaughter that left 1 million or more Rwandans dead, and because of international political investment in the received history, it continues to be told in the Wikipedia and repeated by most news outlets whenever they revisit Rwanda or the Rwandan violence of 1994.
At the ICTR, Erlinder was able to assemble the evidence and argue the case that led to the court's conclusion that there was no conspiracy, and no planning to commit genocide, and therefore no genocide crime like that covered by the international law created by the UN Convention on the Prevention and Punishment of the Crime of Genocide after the Nazi death camps of World War II.

Though the international press had indeed turned away from Rwanda and the ICTR by December 2008, its attention is now on Victoire Ingabire Umuhoza and her trial, less than four months before Rwanda's August 9th polls. Though her party, the United Democratic Forces, (UDF)-Inkingi, remains unable to register, and she herself has now been indicted, she continues to attempt to contest the election.

"Ingabire was arrested on trumped-up, political thought crimes, including association with a terrorist group, propagating the genocide ideology, genocide denial, revisionism, and divisionism, all arising from the "crime" of publicly objecting to the Kagame military dictatorship, and Kagame's version of the Rwandan Civil War," Erlinder said.

If he and Rwandan lawyer Protais Mutembe can make the same case that he was able to make at the ICTR, then the international press may have to decide whether or not to report that, in Rwanda, in 1994, there was "no conspiracy, no planning . . . no genocide?" This, of course, depends on how the world defines "genocide," but, the genocide ideology statutes that Victoire is charged with violating---for having said that Hutus, as well as Tutsis, were victims of crimes against humanity---would become impossible to defend.

And, it might finally emerge that there has been a massive cover-up of the real story of what we know as the Rwanda Genocide, as Global Research writers have pointed out for years in, e.g., Rwanda: Installing a U.S. Protectorate in Central Africa and The Geopolitics behind the Rwanda Genocide; Paul Kagame Accused of War Crimes, by Michel Chossudovsky, The US Sponsored "Rwanda Genocide'" and its Aftermath

Psychological Warfare, Embedded Reporters and the Hunting of Refugees, by Keith Harmon Snow, andU.S./U.K./Allies Grab Congo Riches and Millions Die, by Peter Erlinder.
If international reporters finally do begin to cover the real story of the Rwanda Genocide and the Congo War, then Paul Kagame's regime, which Hillary Clinton has called "the beacon of hope" for Africa, will cease to seem so to the outside world.

No one, least of all Professor Erlinder, denies that the bloodshed in Rwanda, in 1994 was horrific, but he says, as he did when I spoke to him for KPFA Radio, that the received history of Rwanda in 1994, and the ensuing war in neighboring D.R. Congo are history written by the victors, and by their backers, the U.S. and the UK:

The Truth can be buried and stomped into the ground where none can see, yet eventually it will, like a seed, break through the surface once again far more potent than ever, and Nothing can stop it. Truth can be suppressed for a "time", yet It cannot be destroyed. ==> Wolverine

Saturday, May 15, 2010

Rwanda: Hutu Children Held on Iwawa Island Prison Camp Are Crying Out for Someone to Help.

Saturday, May 15,2010

Hutu children are forced to attend ethnically segregated schools accross Rwanda.
There is no place for Hutu children in the New Rwandan society.

Do these Rwandan Hutu children have the right to dream, the right to hope and the right to excel ?

The bloody RPF dictatorship culminates in ethnic ideological purgings as the signs of the RPF fascism emerge.

Hundreds of vagrants, thieves and street kids, some as young as 14, have been sent, without a trial, to the remote island of Iwawa - an extreme example of the levels of repression in Rwanda.

IWAWA ISLAND, Rwanda — A few months ago, Gasigwa Gakunzi was hanging around a ramshackle house where poor children pay to watch television when the Rwandan police arrested him for loitering. The next thing he knew, he said, he was taken away from his family and carted off to this remote island (concentration camp) in the middle of Lake Kivu.

RPF JIHAD THEOLOGY AND IDEOLOGY

When children disappear : Falcified documents are provided to those children who often don’t know or lie about their age, anyone found to be younger than 18 is immediately transferred to the center for children. more than 50 Mothers hide their anger to see their children disappearing.

IWAWA BRAINWASHING CAMP : HUTU CHILDREN BRAINWASHED TO FIGHT FOR PRESIDENT KAGAME. SHAMING SESSIONS - RPF governement is using sophisticated techniques to brainwash Hutu children.

Slide Show An Island of the Unwanted

Times Topic: Rwanda

Jehad Nga for The New York Times

Hundreds have been sent to Iwawa Island without trial. More Photos »

Gasigwa, 14, now spends his days learning patriotic songs and how to march like a soldier. At night, he sleeps in a huge sheet-metal shed with hundreds of men and boys packed mattress to mattress.
“Please call my father,” he whispered. “He has no idea where I am.”

Nearly 900 beggars, homeless people and suspected petty thieves, including dozens of children, have recently been rounded up from the nation’s neatly swept streets and sent — without trial or a court appearance — to this little-known outpost. They will spend up to three years here being “rehabilitated,” learning skills like bricklaying, hairdressing and motorcycle maintenance.
It is one of the country’s newest self-improvement projects, and it seems a fitting symbol for what many political analysts and human rights groups say Rwanda has become: orderly but repressive.

Under President Paul Kagame, this country, which exploded in ethnic bloodshed 16 years ago, is now one of the safest, cleanest and least corrupt nations on the continent. The capital, Kigali, is not ringed by sprawling slums, and carjackings — a deadly problem in many African cities — are virtually unheard of here. The roads are smoothly paved; there is national health insurance; neighborhoods hold monthly cleanups; the computer network is among the best in the region; and the public fountains are full of water, not weeds. All of this has been accomplished in one of the world’s poorest countries.

“I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.
I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: "We hold these truths to be self-evident: that all men are created equal."
I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at the table of brotherhood.
I have a dream that one day even the state of Mississippi, a state sweltering with the heat of injustice, sweltering with the heat of oppression, will be transformed into an oasis of freedom and justice.
I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character.
I have a dream today.”

But while the nation continues to be praised as a darling of the foreign aid world and something of a central African utopia, it is increasingly intolerant of political dissent, or sometimes even dialogue, and bubbling with bottled-up tensions. Recent grenade attacks in Kigali and a shake-up in the army showed that even one of the cornerstones of the new Rwandan state — personal security — might be in danger.

“Kagame’s strategy for stability is a dangerous, long-term gamble,” said Kenneth Roth, executive director of Human Rights Watch. “By stymieing a political opposition, an independent press or a critical civil society — in short, by not allowing democratic institutions to form — Kagame is leaving people little to identify with but their ethnic group.”
With less than four months to go before national elections, few of the major opposition parties have been allowed to register. Some opposition supporters have been attacked inside government offices; others have been jailed. Several prominent government officials who recently broke ranks with Mr. Kagame defected to other African nations, saying they feared for their lives. The BBC local-language radio service was shut down for a time because the Rwandan government did not like the way it was talking about the genocide of 1994.

Hutu prisoners sent to Gulag prison camps for compulsory labor in Tutsi farms "to pay back for their crimes". The new model of the RPF slavery.

That dark period, when death squads from the Hutu majority massacred hundreds of thousands of minority Tutsis, as well as moderate Hutus, remains the touchiest subject of all. In the past three years, Rwandan officials have prosecuted more than 2,000 people, including political rivals, teachers and students, for espousing “genocide ideology” or “divisionism.”
Mr. Kagame and his disciplined military quickly restored order after the genocide, and this stability has been the foundation for Rwanda’s remarkable comeback. The foreign minister, Louise Mushikiwabo, says that after all Rwanda has been through, the government has to remain vigilant about ethnic divisions.

“Rwanda will not allow any politician, political party, any individual, to tamper with the reconciliation and unity in Rwanda,” she said in an interview.

Photo: Rwandan youth attend a class (brainwashing Ingando) at Iwawa Island, 193km (116 miles) west of Rwanda's capital Kigali, June 26, 2010. Rwanda says the island camp provides education and vocational skills for some 1704 male petty criminals, but critics say the camp is a penal colony where beggars, homeless and suspected petty thieves, including dozens of children, have been rounded up and sent without trial or a court appearance, according to center authorities. Picture taken June 26, 2010. REUTERS/James Akena [need inquiry]
Instigators of violence have been prosecuted for divisionism, but so have people trying to discuss the country’s past or its current direction. Critics contend that the government wields Orwellian-sounding laws that are intentionally vague to stifle any inkling of opposition.

Even programs like the one on Iwawa Island, which the government says will give street people a second chance, are not exactly what they seem.

As a boatload of officials recently glided onto shore, one police commissioner gestured to the birds, the trees and the young men with uniformly shaved heads fetching water and said, “Welcome to our Hawaii.”
But on the mainland, people describe it as an Alcatraz.

One of the Brainwashing camp for Hutu females. Hutu Women are detained in different Gulag concentration camps across the country.

“We call it the island of no return,” said Esperance Uwizeyimana, a homeless mother of four.
None of the vocational training programs had started by mid-March. Protais Mitali, the youth minister, insisted there were no street children here, just adults. Yet squeezed in with the men were many adolescents like Gasigwa, and employees confided that several dozen boys were incarcerated here.

“This isn’t a good place for children,” one employee said in hushed tones because the minister was nearby. “They could get abused.”

Rwandan officials are prickly about complaints. President Kagame lashed out at foreign critics this month, saying, “Who should be giving lessons to Rwanda’s 11 million people about what is good for them?”

He called opposition leaders “hooligans” and said Rwandans were “as free, as happy, as proud of themselves, as they have never been in their lives.”

Several leading opposition figures, like Victoire Ingabire, say it is impossible to challenge the government, arguing that it is controlled by a cabal of Tutsis who were refugees in Uganda before the genocide and now unfairly dominate the economy.
Mrs. Ingabire, a Hutu, was an accountant living in the Netherlands until she returned in January to run for president.
The RPF regime has imported and implemented the South African Apartheid called :
Vision 2020 Estate

Denial of Political Rights
Denial of Citizenship (Citizenship is granted to the Hutus who acceptes the RPF card membership and monthly pays his membership fees (pre-condition to do any business).
Restrictions on Movement
Economic Discrimination
Public Health
Education: Separate and Unequal, Hutu children have no right to State financial aid
Sex and Marriage
Politics & Culture

Today, she lives in a new housing development called Vision 2020 Estate; her sturdy, two-story brick town house is indistinguishable from dozens of others, except for the guards out front.

“There’s no space to talk about what happened in our country,” said Mrs. Ingabire, who has been charged with genocide ideology, being a “divisionist” and collaborating with rebels. It is not just Hutu politicians who feel persecuted. Charles Kabanda used to be a leader of the Rwandan Patriotic Front, the Tutsi-dominated ruling party, but split with it in the late 1990s, he said, because “they were ruthless.”

He recently worked with the Green Party, but said it had been repeatedly blocked from competing in the elections. Government officials said the Green Party failed to meet requirements like getting 200 valid signatures from all over Rwanda. Mr. Kabanda simply shook his head.

“ ‘Enemy, enemy, enemy’ — that’s what they call anyone who thinks differently,” he said. “This government’s record is dreadful.

It’s only you, the international community, who is showering them with flowering praise.”

Josh Kron contributed reporting.
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